Caro, femme de militaire - Djibouti
Récit érotique écrit par PCN764 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Caro, femme de militaire - Djibouti
Caro et Mathieu sont mariés depuis deux ans. Il est militaire et pas toujours présent. Durant leurs premières vacances au Sénégal, elle a fauté sans le vouloir. Ils avaient choisi un club où tout était compris. Leur cottage était une maisonnette sur pilotis qui donné sur la plage. Après une soirée au club, bien arrosée, ils étaient rentrés se tenant par les bras. Pas mal éméchés, ils s’étaient couchés sans faire l’amour. Mathieu s’était directement endormi et ronflait. Caro n’arrivant pas à s’endormir, alla fumer une cigarette sur la terrasse. Un peu plus loin sur la plage, elle remarqua un feu. Elle se dit que c’était des vacanciers et décida de les rejoindre. Elle enfila sa robe de plage éponge, ses sandales et la voilà marchant vers le feu sur la plage. Sa démarche n’était toujours pas assurée. Arrivée près du feu, il n’y avait pas de vacanciers mais deux sénégalais, l’un jouant de la guitare, l’autre chantant. Ils fumaient du narguilé et buvaient du rhum. Elle s’assit sur le sable et les écouta en frappant des mains. Elle ne put refuser de boire au goulot une gorgée de rhum. Le chanteur l’invita à danser et elle se leva assez difficilement. Comme elle ne tenait pas bien sur ses jambes, il la sera contre lui. Profitant de l’état fébrile de Caro, il lui caressa le dos avant de descendre sur ses fesses. Elle se sentait chatte et ria béatement lorsqu’il l’embrassa dans le cou. Il s’enhardit en dézippant sa robe jusqu’à la taille et lui saisit un sein. Emoustillé par ce geste, elle laissa la main noire saisir le sein et titiller le téton qui pointait déjà. Elle ne s’aperçu pas que la musique avait cessé. L’autre homme, derrière elle, la saisit par la taille. Il dézippa totalement sa robe et lui retira. Elle avait quatre mains noires qui caressaient son corps. Elle ne s’effaroucha pas lorsqu’ils la couchèrent sur leur plaide. Un des hommes se coucha sur elle et l’embrassa. Elle ne refusa pas le baiser, lui caressant même les cheveux. Le deuxième compère, glissa ses mains sous son copain pour retirer la culotte de Caro. Il en profita pour faire glisser le short et le boxer de son ami. Caro sentit alors un sexe raide sur son ventre. Elle écarta les jambes et se laissa pénétrer. Elle gémissait par le bien que lui faisaient les va-et vient de l’homme. Avant d’éjaculer, il se retira de la belle et laissa sa place à son ami. Elle jouit lorsque l’homme se vida en elle. Cette partie de jambes en l’air l’avait réveillé de cet état second. Sans remords, car elle avait pris du plaisir, elle se rhabilla et retourna au cottage. Elle prit une douche et s’endormi dans les bras de Mathieu.
Mathieu accepta une mission de trois ans à Djibouti dans le corps d’armée des renseignements. Cette mission lui permit d’obtenir le grade de capitaine. Comme Caro ne travaillait pas, elle put le suivre. Ils étaient logés dans une maison et bénéficiaient d’un boy et d’une servante. Toutes les femmes de militaire se côtoyaient et se retrouvaient souvent autour d’un thé racontant leur histoire, voire leurs aventures. Mathieu et sa troupe partaient régulièrement sur le terrain pour des missions de trois jours et quelques fois une semaine.
C’est lors d’une de ces missions que Caro se retrouva seule pour son anniversaire. Les femmes étaient toutes au bal des officiers mais Caro ne se sentait pas d’y aller sans son homme. Deux soldats frappèrent à sa porte avec deux bouteilles de champagne et un gâteau.
- Bonjour madame la capitaine et bon anniversaire dirent en duo les deux militaires.
- Bonjour messieurs. Merci. Mais installez-vous sur le canapé. Mamadou, verse nous trois coupes et apporte un couteau. Je vous remercie de me tenir compagnie.
- C’est naturel madame la capitaine.
- Plus de madame la capitaine s’il vous plait. Appelez-moi Caro.
- On vous savez seule et nous ne voulions pas que vous passiez un triste anniversaire.
- je n’ai même pas reçu un message de mon mari.
- Vous savez en mission, il est interdit d’envoyer un message ou de téléphoner sous peine d’être localisé.
Ils burent les deux bouteilles de champagne et, une nouvelle fois, Caro était grisée entouré de deux hommes. Dans sa robe légère, elle croisait et décroisait ses jambes remontant légèrement sa robe sur ses cuisses. Un militaire posa sa main sur le genou de Caro. Sa seule réaction fut d’allumer machinalement une cigarette. Lorsqu’elle l’écrasa, la main caressait sa cuisse, retroussant sa robe. Elle tourna la tête vers l’autre militaire et l’embrassa. La situation évoluée favorablement pour les deux militaires. Un des militaires s’adressa au boy.
- Retourne à la cuisine Mamadou.
Ils savaient que les femmes de militaire étaient lasses d’être délaissée et savaient en profiter. Les événements avaient progressé et Caro avait le haut de la robe défaite affichant deux jolis seins tandis qu’elle caressait au travers des pantalons les sexes des soldats. L’un d’eux l’attrapa sous les jambes et la tête et la transporta jusqu’au lit. Après s’être déshabillés, ils s’occupèrent de défaire la robe et la culotte de Caro. Elle était nue, offerte aux deux militaires. Lorsque le premier s’allongea sur elle, elle lui demanda de la baiser. Elle avait conscience de ce qu’elle faisait.
- Oui, c’est bon. Continue baise moi bien. Oh, c’est bon, vas-y, laisse-toi aller.
Elle eut un orgasme lorsqu’elle le sentit jouir en elle.
- Viens dit-elle au second militaire.
Lorsqu’ils échangèrent leur place, Caro vit que Mamadou les regardait à la porte en s’astiquant un sexe de bon volume.
- Oh putain, elle est bonne aussi, tu me fais du bien.
Un deuxième orgasme la terrassa. Vidés, ils restèrent allongés quelques instants sur le lit.
- Dites, c’est mon anniversaire et c’est moi qui vous ai fait un cadeau.
- Désolé Caro, nous n’avions rien d’autre.
Ils se mirent à rire tous les trois.
- Vous m’avez offert deux orgasmes et c’est un beau cadeau. Merci jeune gens.
Caro resta au lit et les congédia. Elle dormit comme un loir. La servante lui apporta son petit déjeuner qu’elle aimait prendre au lit.
- Tu seras gentille de changer les draps, Amina.
En allant à la salle de bain, elle croisa Mamadou.
- Je t‘ai vu mater, hier. Tu garderas ça pour toi.
- Bien sûr m’dame.
Mathieu revint lessivé. Après un bon bain, il alla se coucher. Caro avait envie de lui et s’est lové dans ses bras. Elle caressa le sexe de son mari qui ne tarda pas à prendre forme. Elle le suça avec délice. Il appréciait la fellation de sa femme. Bien en forme, il la pénétra. Elle gémissait de plus en plus fort de telle sorte que les employés de maison ne pouvaient ignorer ce qu’il se passait. Mathieu la retourna et la pris en levrette. Elle reparti de plus belle, adorant cette position.
- J’ai envie de te prendre les fesses.
Il était toujours délicat pour évoquer ses désirs au contraire de Caro.
- Oui, vas-y encules moi mais fait doucement au début.
Elle écarta les fesses et Mathieu s’y introduit sans difficulté. Il alla doucement au début dans de longs mouvements doux. Puis sur la demande de Caro, il accéléra ses mouvements et s’enfonça au plus profond de ses reins pour se libérer. Caro eut également un orgasme. Elle le laissa dormir et alla à la salle de bain prendre une douche. Par l’entrebâillement de la porte de la cuisine, elle vit Amina à genou suçant Mamadou. Amina était pourtant mariée mais les ébats de leurs maîtres avaient dû les exciter suffisamment pour passer à l’action. Elle regarda quelques instants avant de les laisser à leurs affaires et ferma la porte de la cuisine. Les jours suivants se passèrent comme d’habitude, Mathieu au travail et Caro en visite chez l’une ou l’autre des femmes d’expatriés.
Un matin, Caro se réveilla avec une envie de sexe. Elle rejeta le drap et les jambes écartées, se faisait du bien. Une fois de plus, Mamadou la matait. Il ne manquait pas une occasion de regarder sa maîtresse.
- Viens me lécher Mamadou.
Il s’approcha du lit et la tête entre les jambes de Caro, il titilla son clitoris avant de faire pénétrer sa langue dans son vagin. Caro, lui tenait la tête et gémissait.
- Utilise tes doigts, fais-moi jouir.
Mamadou enfonça un puis deux doigts avant de se redresser et la masturbait énergiquement Caro. Elle se mit à jouir dans un orgasme dévastateur. Il sortit son sexe dressé.
- Non Mamadou, ça suffit. Va-t’en.
Prise de remords, alors qu’il l’avait fait jouir, elle le rappela.
- Mamadou, revient, je vais te rendre l’appareil. Viens au bord du lit à côté de moi.
Elle commença par lécher sa verge de bas en haut, pénétrant de sa langue le prépuce. Puis le prit en bouche et le suça en s’aidant également de sa langue. Elle avait un vrai savoir-faire dont son mari se délectait. Elle tenta de le prendre entièrement mais le sexe de Mamadou était trop long. Elle le laissa libérer ses seins et les caressait. Lorsqu’elle sentit qu’il allait jouir, elle le tenu par les fesses. Il se vida dans sa bouche et elle avala la semence. Pour Caro la fellation était un préambule à l’acte sexuel ou alors une fellation qu’elle n’envisageait pas sans faire jouir son partenaire dans sa bouche. Elle aimait avaler la semence et le goût ne l’écœurait pas.
Un après-midi comme un autre, elle prenait le thé chez une amie avec les autres femmes de militaires. De confidences en confidences, elle raconta son aventure avec Mamadou. Elle apprit qu’il avait été le boy d’une de ces amies et qu’elle avait dû s’en séparer.
- Mon mari pensait que j’avais des relations avec lui.
- Et ce n’était pas vrai ?
- C’était vrai mais je l’ai toujours nié et maintenant nous avons Monbléhou, que j’appelle Hou. Mon mari est rassuré car c’est un noir de 60 ans. Malgré son âge, je peux vous dire qu’il sait se servir de ce qu’il a entre les jambes. Oui, je suis accro au sexe des noirs. Mais il n’a pas le savoir-faire de Mamadou et je le regrette souvent.
- Dis-nous en plus.
- Comme avec toi, Mamadou aimait nous épier quand nous faisions l’amour et je l’avais remarqué mais quand j’ai vu son sexe bandé qu’il caressait, j’ai eu un orgasme foudroyant. Je ne pensais qu’à lui, il me le fallait. Un matin, ma servante malade, nous étions que tous les deux dans la maison. Lorsqu’il m’apporta mon petit déjeuner, j’ai retiré le drap pour me montrer nue. Il a tout de suite compris et j’ai eu le droit au cunni de ma vie. Ensuite, il m’a baisé avec une rage qui m’a fait grimper au rideau deux fois. Dès que j’en avait envi, il été toujours prêt à me prendre. Mamadou aime les blanches car il les trouve plus salopes. Bon, j'en ai dit assez.
Caro avait été troublé par ces révélations et voyait différemment son boy. Elle se questionnait et ne savait pas si elle voulait aller plus loin ou pas. Ce qui la perturbait c’est que si elle couchait avec lui, elle savait qu’elle y reviendrait. Est-ce qu’elle sera comme sa copine, accro au black. Son souvenir de son aventure au Sénégal est trop embué pour lui permettre de répondre à cette question. Fidèle, elle ne l’est pas. Ce n’est pas ce qui la perturbe mais coucher avec son boy ! c’était un cap qu’elle ne s’était pas autorisé jusque-là. A force d’y penser, ça l’obnubilait maintenant. A partir de ce jour, elle laissait toujours la porte de la salle de bain entrouverte attendant de voir Mamadou l’épier. Lorsqu’elle l’aperçu, elle ne prit pas la peine de s’essuyer et ne laissa pas Mamadou se cacher. Elle l’attrapa par la main et l’entraina dans sa chambre qu’elle ferma. Elle le déshabilla et l’embrassa. Couché nue sur le lit, il commença à lui faire un cunni avant de se retrouver en position 69. Pendant qu’elle le suçait, lui s’occuper de son sexe et même de son petit trou. Elle appréciait en faisant des bruits comme si elle dégustait un met succulent.
- Baise-moi, maintenant- Vous les blanches, vous êtes des salopes qui trompent leur mari.
Il l’a baisé comme l’avait décrit sa copine, sauvagement. Elle gémissait sans discontinuer. Il la retourna pour la prendre en levrette. Son sexe était gros et elle l’appréciait. Il se servit de sa cyprine pour dilater son p’tit trou. Elle le laissa faire et ne fut pas surprise lorsqu’il y présenta son sexe. Ce fut difficile et elle eut mal au début. Dans cet orifice, il pouvait s’enfoncer entièrement. Il prit son temps pour qu’elle s’habitue mais une fois prête et sans douleur il la sodomisa sans ménagement. Elle partit dans un délire qui la transporta au paradis. Lorsqu’Il éjacula dans son cul, elle se mit à crier atteignant une nouvelle fois l’orgasme. Le soir, son mari lui fit l’amour délicatement en lui glissant des mots d’amour à l’oreille.
C’est à son tour d’invité ses copines. Elle leur annonça qu’après s’être faite baiser par son boy, elle mettait fin à ces écarts. La seule femme fidèle et la plus jeune était ravie de cette nouvelle. Un peu plus tard, elles ne restèrent que trois. Caro, Manon la femme fidèle et Virginie la folle de sexe noir. Cette dernière ne put s’empêcher, avec l’accord de Caro, de rejoindre Mamadou. Du salon, elles pouvaient entendre les plaintes de Virginie. Caro, remarqua les yeux de Manon qui brillaient. Elle croisait et décroisait ses jambes, ne sachant pas comment s’installer. Caro, compris que ces bruits la perturbaient. Elle eut envie de l’embrasser, de la caresser. A la grande surprise de Caro, Manon lui offrit sa bouche. Elle lui caressa les cuisses et les seins mais n’alla pas plus loin. Manon avait été troublé par les gestes de Caro. Il s’ensuit une discussion surprenante au lit avec Mathieu.
- Mathieu, que dirais-tu si j’avais une relation avec une fille- Si je participe, je suis partant- Cochon. Non sérieusement- C’est-à-dire- Pour être honnête avec toi, j’ai embrassé Manon cet après-midi- Et ?
- Ne fais pas l’idiot. Je ne lui ai pas fait la bise, je l’ai embrassé. Avec la langue- Et elle a répondu à ton baiser ?
- Oui justement c’est ce qui m’a bouleversé. Je n’ai pas osé aller plus loin mais ça m’a donné des idées, disons, érotiques.
- Houlà. En tout cas, je ne veux pas le savoir. Je vois régulièrement son mari et je serais trop mal à l’aise.
- Ça veut dire que tu ne t’y oppose pas ?
- Ça veut dire que je ne veux pas le savoir. Mais c’est une jeune mariée. Elle a l’air si innocente.
La discussion ne s’est pas prolongée, Mathieu ayant d’autres envies avec sa femme. Ils firent l’amour avant de s’endormir.
C’était le jour du bal des officiers et cette fois, son mari était là. Toutes les femmes, dont Caro, portaient de longues robes de soirée plus ou moins décotées. L’ambiance était un peu trop guindée pour Caro qui ne se sentait pas si à l’aise. Heureusement, il n’y avait pas le clan des hommes d’un côté et les femmes de l’autre. Elles passaient suffisamment de temps ensemble. Son mari et elle étaient avec un groupe d’hommes assez drôles, accompagnés de leurs femmes. Finalement, ils avaient réussi à la détendre. Enfin arriva le temps des danses de salon. Heureusement pour Mathieu, les morceaux joués par un orchestre étaient plutôt lents, autorisant les piètres danseurs à inviter leur femme. Caro qui avait fait de la danse plus jeune, était plus douée. Deux danses suffirent à Mathieu. Le commandant en profita pour inviter Caro sans avoir omis de demander l’autorisation à Mathieu.
Le commandant était assez grand et bien que chauve était plutôt bel homme. Il prit Caro par la taille et l’entraina dans une valse. Sa main droite n’était pas, contrairement à la décence, au milieu du dos mais en bas des reins.
- Comment vous sentez vous Caro. ? pas trop difficile la vie d’expatriée ?
- Il y a peu d’activité mais nous avons formés un groupe de femme et nous tuant le temps en attendant nos maris.
- Oui, ma femme m’en a parlé. C’est vrai que les activités sont limitées mais vous avez déjà fait la moitié de l’affection de notre Capitaine.
De banalités en banalités, il enchaina une nouvelle danse.
- Caro, vous êtes radieuse et charmante.
- Merci pour le compliment.
- C’est vrai, pour moi vous êtes la plus séduisante, ajoutant avec un sourire narquois, excepté ma femme bien sûr.
- Bien sûr, sourit Caro.
- Si jeu peux me permettre, vous êtes désirable.
- Désirable ?
- Vous me mettez dans l’embarras. Comment le dire…Elle le coupa.
- Attirante, séduisante, appétissante. Il y a beaucoup d’adjectif pour dire que vous aimeriez me mettre dans votre lit.
- Vous avez du répondant et je n’aurais jamais osé de tels mots mais c’est l’idée.
- Il y a pourtant un hic, mon mari.
- Oh, je peux m’arranger à l’éloigner.
- Ça, je n’en doute pas.
La musique s’arrêta avant d’enchainer et le commandant accompagna Caro auprès de son mari. Caro avait été troublé par l’audace du commandant. Qu’il lui dise ouvertement qu’il voulait coucher avec elle la perturbait et elle y pensait souvent. Tout comme avec ce qui s’était passé avec Mamadou, à force d’y penser ça l’obsédait et elle se voyait bien dans les bras de ce commandant. La seule chose qui pourrait la faire reculer c’était la femme du commandant qui participait aux après-midis. Puis, elle se rappela que madame la commandant lui avait confié qu’elle avait couché avec le mari d’une des femmes de leur petit groupe.
Deux mois plus tard, son mari du partir en mission. Le commandant avait pris son temps et Caro était tout émoustillée. Elle fit l’amour à son mari avec une fougue inhabituelle. En fait, le commandant avait attendu que sa femme et ses enfants partent en vacances chez sa mère. Dès le deuxième jour après le départ du mari, le chauffeur du commandant lui apporta un message. « Caro, si tout comme moi vous éprouvait l’envoi de se revoir, je me permets de vous inviter à un tête-à-tête dans ma demeure demain soir. Mon chauffeur passera vous chercher. Il est très discret, mes employés auront un jour de congé, ma femme et les enfants seront en vacances. J’attends de vos nouvelles avec impatience. Votre commandant ». Caro donna sa réponse au chauffeur. Au dos du mot du commandant, elle ajouta « d’accord mon commandant ».
Caro se prépara. Elle commença par s’épiler soigneusement jambes et maillot, pris un bain. Elle opta pour une robe d’été courte à bretelles avec un colle en V. celle-ci se prote sans soutien-gorge mais sa poitrine le lui permettait. Elle choisit comme dessous une culotte blanche en dentelle. Elle se coiffa mais ne se maquilla pas. Elle se sentait prête. A l’heure dite, le chauffeur passa la chercher. Il était effectivement discret et le silence rendait l’atmosphère dans la voiture pesante mais ça n’altéré en rien la détermination de Caro. Le commandant l’accueilli sur le pas de la porte. Il lui fit un baise main et l’accompagna dans le salon, où elle prit place sur le canapé. Il lui proposa d’abord un digestif qu’elle accepta.
- Vous êtes splendide Caro, très attirante et vous savoir seule avec moi m’enchante.
- Lâchez-vous mon commandant, j’espère que la soirée ne se veut pas mondaine.
- Quels mots espériez-vous entendre ?
- Je ne sais pas, par exemple, Caro vous êtes bandante ce soir.
- Nous pouvons peut-être commencer par nous tutoyer.
- Je préfère garder le vouvoiement, je trouve ça plus sexy.
- Je vous trouve très bandante Caro.
- Oui, il me semble voir ça. Embrassez-moiLe baiser fut passionné et le commandant en profita pour passer une main dans son décolleté pour caresser ce sein dont il rêvait de toucher. Son autre main se posa sur la cuisse de Caro dont la peau était si douce.
- Voulez-vous que je vous suce, mon commandant.
- Oh oui, Caro faites-moi ce plaisir.
Elle s’agenouilla, le dégrafa et sortit le sexe déjà raide du commandant. Elle le lécha de toute sa longueur avant de titiller son prépuce. Puis, elle prit juste le gland dans la bouche en donnant des coups de langue dessus. Puis elle prit une grande respiration avant de petit à petit le prendre en entier dans sa bouche. Pour cette occasion, elle s’était entrainée avec toute sorte d’accessoire pour lui faire sa première gorge profonde.
- Oh Caro, c’est divin. Qu’est-ce-que vous sucez bien.
Elle répéta cette pratique une deuxième fois puis le suça de manière plus traditionnelle. Elle se redressa et face à lui, retroussa sa robe et retire sa petite culotte. Elle s’assit sur ses genoux et l’embrassa. Il lui caressa les fesses tandis qu’elle caressait son sexe. Elle le fixa dans les yeux.
- Baisez-moi mon commandant.
- A vos ordres Caro, avec plaisir.
Elle avança son bassin pour se positionner à hauteur de son pénis. Tenant le sexe bien droit, elle s’empala et le laissa la prendre profondément. C’est elle qui faisait les mouvements de pénétration. Déjà une onde de plaisir la parcourue. Après quelques minutes il lui demanda si elle ne préférait pas d’aller sur un lit. Par pudeur et respect pour sa femme, il l’emmena dans une chambre d’amis. Caro retira sa robe pour se trouver nue devant lui. Elle l’attendit, étendue sur le lit. Lorsqu’il s’approcha, elle put admirer son corps d’athlète et son sexe qu’elle trouva beau. Il monta sur le lit par l’extrémité et s’avança vers les cuisses de Caro. Il écarta les jambes et lui fit un cunni. Le clitoris, le vagin avez plus de secret pour lui. Caro eut un orgasme. C’est à ce moment qu’il s’allongea sur elle, son sexe au bord du puit d’amour de Caro.
- Baisez-moi, commandant. Ça l’amuser d’ajouter son grade à chaque demande.
Elle gémissait de plaisir tandis qui lui mordillait les tétons. Elle l’entoura de ses jambes pour le sentir encore plus profondément. Il la baisait bien et elle prenait vraiment son pied. Après quelques minutes de ce traitement, il la retourna. Elle se positionna à genoux son cul bien cambré, attendant l’assaut.
- Oh putain, qu’est-ce que vous me baisez bien. Oh oui, continuait, plus fort.
Le commandant lui-même grognait de bonheur de baiser cette jolie jeune femme.
- Mon commandant, enculez-moi.
- Pardon !
- Enculez-moi, prenez mon cul.
Il la fit pivoter, en position de la cuillère. Il prit son sexe pour le diriger vers le petit trou de Caro. Il y entra d’abord le gland avant de s’y enfoncer entièrement. Il alla d’abord doucement puis voyant que Caro appréciait, accéléra ses mouvements. Caro exprimait son plaisir.
- J’aime votre sexe dans mon cul. Oh, c’est trop bon. Ecartez-moi bien les fesses. Oh oui, comme ça, je vais jouir. Ça y est, je jouis.
Le commandant sentait qu’il n’allait pas tenir longtemps.
- Non, mon commandant, jouissez dans mon sexe, je veux vous sentir juter en moi.
Il se repositionna en missionnaire et après quelques aller-retours violents, il éjacula en elle. Caro cria son orgasme. Ils s’écroulèrent tous deux et Caro posa sa tête sur le torse du commandant.
- Caro, vous êtes une baiseuse hors pair. Je n’ai jamais une fille aussi déchainée. Vous êtes faites pour l’amour.
- L’amour c’est réservé à mon mari. Le sexe, je vous l’accorde. J’aime ça et ça m’arrive d’être très salope.
Pendant qu’ils se reposaient, Caro lui massait le sexe. Au bout d’un moment, il se remit à bander.
- Me permettez-vous de prendre une douche mais avant, mon commandant, je vais vous faire ma spéciale.
Elle se remit à le sucer avec son savoir-faire et usa de toute sa panoplie. Elle commençait à sentir des soubresauts dans le sexe du commandant. Elle stoppa, attrapa les mains du commandant qu’elle posa sur sa tête avant de reprendre sa fellation. Le commandant se mit à rythmer les mouvements puis sentant qu’il allait venir, maintenait la tête de Caro et se vida dans sa bouche. Elle se retira fit un bruit exagéré pour déglutir et lui montrer qu’elle avait avalé son sperme.
Le chauffeur la ramena à son foyer.
Elle avait passé un super moment et avait particulièrement apprécié de coucher avec le commandant. C’était les vacances scolaires et la plupart des femmes de militaires étaient soit en vacances soit à s’occuper de leurs bambins. Elle avait appelé Manon pour l’inviter l’après-midi. En fin de matinée, elle reçut de la part du chauffeur du commandant une lettre lui disant à quel point il avait aimé cette soirée. Elle lui répondit au dos de la lettre.
Après avoir parlé de tout et de rien, Caro engagea une toute autre discussion.
- Est-ce-que ton mari est ton premier.
- Non, j’ai perdu ma virginité à 17 ans et j’ai connu mon mari à 20.
- Quel a été ta plus chaude aventure.
- Je pense que c’est de m’être faite sauter dans les toilettes d’une discothèque.
- Ouahou, je n’imaginai pas ça de toi.
- A part cet écart, ma vie sexuelle a été très sage. Et toi,- Oh, il y en a plusieurs mais à part avoir baisé debout dans un ascenseur avec un voisin, la plus chaude est une soirée avec une copine et deux mecs alors que nous avions 19 ans. Nous avons baisé toute les deux avec chaque mec. Ma copine s’est même fait prendre en double, je ne pratiquais pas encore la sodomie.
- Tu aimes la sodomie ?
- Oui mais c’est aux femmes d’en avoir le désir, il ne faut surtout pas être forcée. Il faut le faire avec une personne à qui on veut tout donner et pas forcément ton mari. Manon, j’ai envie de t’embrasser.
Manon se laissa faire et accueilli la langue de Caro dans sa bouche. Caro lui caressa les seins d’abord au travers de sa robe puis dégrafant les premiers boutons, directement sur la peau. Caro mordilla ses tétons en malaxant l’autre sein. Manon appréciait et posa une main sur la tête de Caro en approbation. Caro, ainsi encourageait, lâcha la main sur le sein pour lui caresser la cuisse. Manon commençait à faire des petits bruits de plaisir et écarta légèrement ses jambes. Lorsque Caro sentit un frisson de la part de Manon lorsqu’elle lui toucha le sexe à travers la culotte, elle se leva et entraina Manon dans la chambre. Manon réclama un baiser et Caro en profita pour lui ôter sa robe. Elle se libéra de la sienne et coucha Manon sur le lit. Manon s’abandonna complétement en se laissant retirer sa culotte. Elle jouit sous la langue et les doigts de Caro. Tout était pour le plaisir de Manon et Caro n’été pas froissé de ne pas être caressée. Elle prenait du plaisir à dévergonder Manon. Elle se coucha à côté de Manon et en l’embrassant, elle lui branlait la chatte. Manon gémissait et écartait encore un peu plus les jambes pour se laisser branler plus énergiquement.
- Tu aimes ?
- Oh oui, j’adore. Dit-elle en sanglotant de plaisir.
- Tu aimerais te faire prendre par un homme. Pas ton mari, un mec comme celui de la discothèque.
- Hum, répondit simplement Manon.
- Alors, ferme les yeux et imagine.
Caro sentit Manon au paroxysme de son plaisir. Elle l’embrassa et frappa au mur. C’était un signal que Manon ne remarqua pas.
- Tu sens l’homme dans la chambre ?
- Oh oui, je l’imagine.
- Tu sens le lit s’enfoncer ?
Manon ne répondit pas, tout à son plaisir.
- Je vais retirer ma main et un sexe va te prendre. Tu le veux ?
Manon était dans un état second.
- OuiLe commandant s’allongea sur elle et dirigea son sexe dans celui de Manon. D’abord surprise par la pénétration, elle entoura ses bras autour de l’homme pour l’embrasser et ses jambes autour de la taille de l’homme. Elle gardait les yeux fermés. Caro, embrassé tantôt Manon, tantôt le commandant puis s’occuper des seins. Manon jouit sous les assauts de l’homme et eut un réel orgasme lorsqu’il a joui en elle. Elle garda les yeux fermés et ne saura jamais qui était l’homme qui venait de la faire jouir. Elle se blottit dans les bras de Caro et lui dit merci.
On sait donc maintenant ce que Caro a écrit au commandant en réponse à sa lettre. Elle a donc imaginé que Manon cèderait à ses avances et qu’elle s’offrirait à un homme.
Les trois ans à Djibouti s’achèvent comme d’ailleurs plusieurs de ses copines. Elle gardera contact avec Caro. Cette histoire clôture ainsi les aventures de Manon à Djibouti.
Mathieu accepta une mission de trois ans à Djibouti dans le corps d’armée des renseignements. Cette mission lui permit d’obtenir le grade de capitaine. Comme Caro ne travaillait pas, elle put le suivre. Ils étaient logés dans une maison et bénéficiaient d’un boy et d’une servante. Toutes les femmes de militaire se côtoyaient et se retrouvaient souvent autour d’un thé racontant leur histoire, voire leurs aventures. Mathieu et sa troupe partaient régulièrement sur le terrain pour des missions de trois jours et quelques fois une semaine.
C’est lors d’une de ces missions que Caro se retrouva seule pour son anniversaire. Les femmes étaient toutes au bal des officiers mais Caro ne se sentait pas d’y aller sans son homme. Deux soldats frappèrent à sa porte avec deux bouteilles de champagne et un gâteau.
- Bonjour madame la capitaine et bon anniversaire dirent en duo les deux militaires.
- Bonjour messieurs. Merci. Mais installez-vous sur le canapé. Mamadou, verse nous trois coupes et apporte un couteau. Je vous remercie de me tenir compagnie.
- C’est naturel madame la capitaine.
- Plus de madame la capitaine s’il vous plait. Appelez-moi Caro.
- On vous savez seule et nous ne voulions pas que vous passiez un triste anniversaire.
- je n’ai même pas reçu un message de mon mari.
- Vous savez en mission, il est interdit d’envoyer un message ou de téléphoner sous peine d’être localisé.
Ils burent les deux bouteilles de champagne et, une nouvelle fois, Caro était grisée entouré de deux hommes. Dans sa robe légère, elle croisait et décroisait ses jambes remontant légèrement sa robe sur ses cuisses. Un militaire posa sa main sur le genou de Caro. Sa seule réaction fut d’allumer machinalement une cigarette. Lorsqu’elle l’écrasa, la main caressait sa cuisse, retroussant sa robe. Elle tourna la tête vers l’autre militaire et l’embrassa. La situation évoluée favorablement pour les deux militaires. Un des militaires s’adressa au boy.
- Retourne à la cuisine Mamadou.
Ils savaient que les femmes de militaire étaient lasses d’être délaissée et savaient en profiter. Les événements avaient progressé et Caro avait le haut de la robe défaite affichant deux jolis seins tandis qu’elle caressait au travers des pantalons les sexes des soldats. L’un d’eux l’attrapa sous les jambes et la tête et la transporta jusqu’au lit. Après s’être déshabillés, ils s’occupèrent de défaire la robe et la culotte de Caro. Elle était nue, offerte aux deux militaires. Lorsque le premier s’allongea sur elle, elle lui demanda de la baiser. Elle avait conscience de ce qu’elle faisait.
- Oui, c’est bon. Continue baise moi bien. Oh, c’est bon, vas-y, laisse-toi aller.
Elle eut un orgasme lorsqu’elle le sentit jouir en elle.
- Viens dit-elle au second militaire.
Lorsqu’ils échangèrent leur place, Caro vit que Mamadou les regardait à la porte en s’astiquant un sexe de bon volume.
- Oh putain, elle est bonne aussi, tu me fais du bien.
Un deuxième orgasme la terrassa. Vidés, ils restèrent allongés quelques instants sur le lit.
- Dites, c’est mon anniversaire et c’est moi qui vous ai fait un cadeau.
- Désolé Caro, nous n’avions rien d’autre.
Ils se mirent à rire tous les trois.
- Vous m’avez offert deux orgasmes et c’est un beau cadeau. Merci jeune gens.
Caro resta au lit et les congédia. Elle dormit comme un loir. La servante lui apporta son petit déjeuner qu’elle aimait prendre au lit.
- Tu seras gentille de changer les draps, Amina.
En allant à la salle de bain, elle croisa Mamadou.
- Je t‘ai vu mater, hier. Tu garderas ça pour toi.
- Bien sûr m’dame.
Mathieu revint lessivé. Après un bon bain, il alla se coucher. Caro avait envie de lui et s’est lové dans ses bras. Elle caressa le sexe de son mari qui ne tarda pas à prendre forme. Elle le suça avec délice. Il appréciait la fellation de sa femme. Bien en forme, il la pénétra. Elle gémissait de plus en plus fort de telle sorte que les employés de maison ne pouvaient ignorer ce qu’il se passait. Mathieu la retourna et la pris en levrette. Elle reparti de plus belle, adorant cette position.
- J’ai envie de te prendre les fesses.
Il était toujours délicat pour évoquer ses désirs au contraire de Caro.
- Oui, vas-y encules moi mais fait doucement au début.
Elle écarta les fesses et Mathieu s’y introduit sans difficulté. Il alla doucement au début dans de longs mouvements doux. Puis sur la demande de Caro, il accéléra ses mouvements et s’enfonça au plus profond de ses reins pour se libérer. Caro eut également un orgasme. Elle le laissa dormir et alla à la salle de bain prendre une douche. Par l’entrebâillement de la porte de la cuisine, elle vit Amina à genou suçant Mamadou. Amina était pourtant mariée mais les ébats de leurs maîtres avaient dû les exciter suffisamment pour passer à l’action. Elle regarda quelques instants avant de les laisser à leurs affaires et ferma la porte de la cuisine. Les jours suivants se passèrent comme d’habitude, Mathieu au travail et Caro en visite chez l’une ou l’autre des femmes d’expatriés.
Un matin, Caro se réveilla avec une envie de sexe. Elle rejeta le drap et les jambes écartées, se faisait du bien. Une fois de plus, Mamadou la matait. Il ne manquait pas une occasion de regarder sa maîtresse.
- Viens me lécher Mamadou.
Il s’approcha du lit et la tête entre les jambes de Caro, il titilla son clitoris avant de faire pénétrer sa langue dans son vagin. Caro, lui tenait la tête et gémissait.
- Utilise tes doigts, fais-moi jouir.
Mamadou enfonça un puis deux doigts avant de se redresser et la masturbait énergiquement Caro. Elle se mit à jouir dans un orgasme dévastateur. Il sortit son sexe dressé.
- Non Mamadou, ça suffit. Va-t’en.
Prise de remords, alors qu’il l’avait fait jouir, elle le rappela.
- Mamadou, revient, je vais te rendre l’appareil. Viens au bord du lit à côté de moi.
Elle commença par lécher sa verge de bas en haut, pénétrant de sa langue le prépuce. Puis le prit en bouche et le suça en s’aidant également de sa langue. Elle avait un vrai savoir-faire dont son mari se délectait. Elle tenta de le prendre entièrement mais le sexe de Mamadou était trop long. Elle le laissa libérer ses seins et les caressait. Lorsqu’elle sentit qu’il allait jouir, elle le tenu par les fesses. Il se vida dans sa bouche et elle avala la semence. Pour Caro la fellation était un préambule à l’acte sexuel ou alors une fellation qu’elle n’envisageait pas sans faire jouir son partenaire dans sa bouche. Elle aimait avaler la semence et le goût ne l’écœurait pas.
Un après-midi comme un autre, elle prenait le thé chez une amie avec les autres femmes de militaires. De confidences en confidences, elle raconta son aventure avec Mamadou. Elle apprit qu’il avait été le boy d’une de ces amies et qu’elle avait dû s’en séparer.
- Mon mari pensait que j’avais des relations avec lui.
- Et ce n’était pas vrai ?
- C’était vrai mais je l’ai toujours nié et maintenant nous avons Monbléhou, que j’appelle Hou. Mon mari est rassuré car c’est un noir de 60 ans. Malgré son âge, je peux vous dire qu’il sait se servir de ce qu’il a entre les jambes. Oui, je suis accro au sexe des noirs. Mais il n’a pas le savoir-faire de Mamadou et je le regrette souvent.
- Dis-nous en plus.
- Comme avec toi, Mamadou aimait nous épier quand nous faisions l’amour et je l’avais remarqué mais quand j’ai vu son sexe bandé qu’il caressait, j’ai eu un orgasme foudroyant. Je ne pensais qu’à lui, il me le fallait. Un matin, ma servante malade, nous étions que tous les deux dans la maison. Lorsqu’il m’apporta mon petit déjeuner, j’ai retiré le drap pour me montrer nue. Il a tout de suite compris et j’ai eu le droit au cunni de ma vie. Ensuite, il m’a baisé avec une rage qui m’a fait grimper au rideau deux fois. Dès que j’en avait envi, il été toujours prêt à me prendre. Mamadou aime les blanches car il les trouve plus salopes. Bon, j'en ai dit assez.
Caro avait été troublé par ces révélations et voyait différemment son boy. Elle se questionnait et ne savait pas si elle voulait aller plus loin ou pas. Ce qui la perturbait c’est que si elle couchait avec lui, elle savait qu’elle y reviendrait. Est-ce qu’elle sera comme sa copine, accro au black. Son souvenir de son aventure au Sénégal est trop embué pour lui permettre de répondre à cette question. Fidèle, elle ne l’est pas. Ce n’est pas ce qui la perturbe mais coucher avec son boy ! c’était un cap qu’elle ne s’était pas autorisé jusque-là. A force d’y penser, ça l’obnubilait maintenant. A partir de ce jour, elle laissait toujours la porte de la salle de bain entrouverte attendant de voir Mamadou l’épier. Lorsqu’elle l’aperçu, elle ne prit pas la peine de s’essuyer et ne laissa pas Mamadou se cacher. Elle l’attrapa par la main et l’entraina dans sa chambre qu’elle ferma. Elle le déshabilla et l’embrassa. Couché nue sur le lit, il commença à lui faire un cunni avant de se retrouver en position 69. Pendant qu’elle le suçait, lui s’occuper de son sexe et même de son petit trou. Elle appréciait en faisant des bruits comme si elle dégustait un met succulent.
- Baise-moi, maintenant- Vous les blanches, vous êtes des salopes qui trompent leur mari.
Il l’a baisé comme l’avait décrit sa copine, sauvagement. Elle gémissait sans discontinuer. Il la retourna pour la prendre en levrette. Son sexe était gros et elle l’appréciait. Il se servit de sa cyprine pour dilater son p’tit trou. Elle le laissa faire et ne fut pas surprise lorsqu’il y présenta son sexe. Ce fut difficile et elle eut mal au début. Dans cet orifice, il pouvait s’enfoncer entièrement. Il prit son temps pour qu’elle s’habitue mais une fois prête et sans douleur il la sodomisa sans ménagement. Elle partit dans un délire qui la transporta au paradis. Lorsqu’Il éjacula dans son cul, elle se mit à crier atteignant une nouvelle fois l’orgasme. Le soir, son mari lui fit l’amour délicatement en lui glissant des mots d’amour à l’oreille.
C’est à son tour d’invité ses copines. Elle leur annonça qu’après s’être faite baiser par son boy, elle mettait fin à ces écarts. La seule femme fidèle et la plus jeune était ravie de cette nouvelle. Un peu plus tard, elles ne restèrent que trois. Caro, Manon la femme fidèle et Virginie la folle de sexe noir. Cette dernière ne put s’empêcher, avec l’accord de Caro, de rejoindre Mamadou. Du salon, elles pouvaient entendre les plaintes de Virginie. Caro, remarqua les yeux de Manon qui brillaient. Elle croisait et décroisait ses jambes, ne sachant pas comment s’installer. Caro, compris que ces bruits la perturbaient. Elle eut envie de l’embrasser, de la caresser. A la grande surprise de Caro, Manon lui offrit sa bouche. Elle lui caressa les cuisses et les seins mais n’alla pas plus loin. Manon avait été troublé par les gestes de Caro. Il s’ensuit une discussion surprenante au lit avec Mathieu.
- Mathieu, que dirais-tu si j’avais une relation avec une fille- Si je participe, je suis partant- Cochon. Non sérieusement- C’est-à-dire- Pour être honnête avec toi, j’ai embrassé Manon cet après-midi- Et ?
- Ne fais pas l’idiot. Je ne lui ai pas fait la bise, je l’ai embrassé. Avec la langue- Et elle a répondu à ton baiser ?
- Oui justement c’est ce qui m’a bouleversé. Je n’ai pas osé aller plus loin mais ça m’a donné des idées, disons, érotiques.
- Houlà. En tout cas, je ne veux pas le savoir. Je vois régulièrement son mari et je serais trop mal à l’aise.
- Ça veut dire que tu ne t’y oppose pas ?
- Ça veut dire que je ne veux pas le savoir. Mais c’est une jeune mariée. Elle a l’air si innocente.
La discussion ne s’est pas prolongée, Mathieu ayant d’autres envies avec sa femme. Ils firent l’amour avant de s’endormir.
C’était le jour du bal des officiers et cette fois, son mari était là. Toutes les femmes, dont Caro, portaient de longues robes de soirée plus ou moins décotées. L’ambiance était un peu trop guindée pour Caro qui ne se sentait pas si à l’aise. Heureusement, il n’y avait pas le clan des hommes d’un côté et les femmes de l’autre. Elles passaient suffisamment de temps ensemble. Son mari et elle étaient avec un groupe d’hommes assez drôles, accompagnés de leurs femmes. Finalement, ils avaient réussi à la détendre. Enfin arriva le temps des danses de salon. Heureusement pour Mathieu, les morceaux joués par un orchestre étaient plutôt lents, autorisant les piètres danseurs à inviter leur femme. Caro qui avait fait de la danse plus jeune, était plus douée. Deux danses suffirent à Mathieu. Le commandant en profita pour inviter Caro sans avoir omis de demander l’autorisation à Mathieu.
Le commandant était assez grand et bien que chauve était plutôt bel homme. Il prit Caro par la taille et l’entraina dans une valse. Sa main droite n’était pas, contrairement à la décence, au milieu du dos mais en bas des reins.
- Comment vous sentez vous Caro. ? pas trop difficile la vie d’expatriée ?
- Il y a peu d’activité mais nous avons formés un groupe de femme et nous tuant le temps en attendant nos maris.
- Oui, ma femme m’en a parlé. C’est vrai que les activités sont limitées mais vous avez déjà fait la moitié de l’affection de notre Capitaine.
De banalités en banalités, il enchaina une nouvelle danse.
- Caro, vous êtes radieuse et charmante.
- Merci pour le compliment.
- C’est vrai, pour moi vous êtes la plus séduisante, ajoutant avec un sourire narquois, excepté ma femme bien sûr.
- Bien sûr, sourit Caro.
- Si jeu peux me permettre, vous êtes désirable.
- Désirable ?
- Vous me mettez dans l’embarras. Comment le dire…Elle le coupa.
- Attirante, séduisante, appétissante. Il y a beaucoup d’adjectif pour dire que vous aimeriez me mettre dans votre lit.
- Vous avez du répondant et je n’aurais jamais osé de tels mots mais c’est l’idée.
- Il y a pourtant un hic, mon mari.
- Oh, je peux m’arranger à l’éloigner.
- Ça, je n’en doute pas.
La musique s’arrêta avant d’enchainer et le commandant accompagna Caro auprès de son mari. Caro avait été troublé par l’audace du commandant. Qu’il lui dise ouvertement qu’il voulait coucher avec elle la perturbait et elle y pensait souvent. Tout comme avec ce qui s’était passé avec Mamadou, à force d’y penser ça l’obsédait et elle se voyait bien dans les bras de ce commandant. La seule chose qui pourrait la faire reculer c’était la femme du commandant qui participait aux après-midis. Puis, elle se rappela que madame la commandant lui avait confié qu’elle avait couché avec le mari d’une des femmes de leur petit groupe.
Deux mois plus tard, son mari du partir en mission. Le commandant avait pris son temps et Caro était tout émoustillée. Elle fit l’amour à son mari avec une fougue inhabituelle. En fait, le commandant avait attendu que sa femme et ses enfants partent en vacances chez sa mère. Dès le deuxième jour après le départ du mari, le chauffeur du commandant lui apporta un message. « Caro, si tout comme moi vous éprouvait l’envoi de se revoir, je me permets de vous inviter à un tête-à-tête dans ma demeure demain soir. Mon chauffeur passera vous chercher. Il est très discret, mes employés auront un jour de congé, ma femme et les enfants seront en vacances. J’attends de vos nouvelles avec impatience. Votre commandant ». Caro donna sa réponse au chauffeur. Au dos du mot du commandant, elle ajouta « d’accord mon commandant ».
Caro se prépara. Elle commença par s’épiler soigneusement jambes et maillot, pris un bain. Elle opta pour une robe d’été courte à bretelles avec un colle en V. celle-ci se prote sans soutien-gorge mais sa poitrine le lui permettait. Elle choisit comme dessous une culotte blanche en dentelle. Elle se coiffa mais ne se maquilla pas. Elle se sentait prête. A l’heure dite, le chauffeur passa la chercher. Il était effectivement discret et le silence rendait l’atmosphère dans la voiture pesante mais ça n’altéré en rien la détermination de Caro. Le commandant l’accueilli sur le pas de la porte. Il lui fit un baise main et l’accompagna dans le salon, où elle prit place sur le canapé. Il lui proposa d’abord un digestif qu’elle accepta.
- Vous êtes splendide Caro, très attirante et vous savoir seule avec moi m’enchante.
- Lâchez-vous mon commandant, j’espère que la soirée ne se veut pas mondaine.
- Quels mots espériez-vous entendre ?
- Je ne sais pas, par exemple, Caro vous êtes bandante ce soir.
- Nous pouvons peut-être commencer par nous tutoyer.
- Je préfère garder le vouvoiement, je trouve ça plus sexy.
- Je vous trouve très bandante Caro.
- Oui, il me semble voir ça. Embrassez-moiLe baiser fut passionné et le commandant en profita pour passer une main dans son décolleté pour caresser ce sein dont il rêvait de toucher. Son autre main se posa sur la cuisse de Caro dont la peau était si douce.
- Voulez-vous que je vous suce, mon commandant.
- Oh oui, Caro faites-moi ce plaisir.
Elle s’agenouilla, le dégrafa et sortit le sexe déjà raide du commandant. Elle le lécha de toute sa longueur avant de titiller son prépuce. Puis, elle prit juste le gland dans la bouche en donnant des coups de langue dessus. Puis elle prit une grande respiration avant de petit à petit le prendre en entier dans sa bouche. Pour cette occasion, elle s’était entrainée avec toute sorte d’accessoire pour lui faire sa première gorge profonde.
- Oh Caro, c’est divin. Qu’est-ce-que vous sucez bien.
Elle répéta cette pratique une deuxième fois puis le suça de manière plus traditionnelle. Elle se redressa et face à lui, retroussa sa robe et retire sa petite culotte. Elle s’assit sur ses genoux et l’embrassa. Il lui caressa les fesses tandis qu’elle caressait son sexe. Elle le fixa dans les yeux.
- Baisez-moi mon commandant.
- A vos ordres Caro, avec plaisir.
Elle avança son bassin pour se positionner à hauteur de son pénis. Tenant le sexe bien droit, elle s’empala et le laissa la prendre profondément. C’est elle qui faisait les mouvements de pénétration. Déjà une onde de plaisir la parcourue. Après quelques minutes il lui demanda si elle ne préférait pas d’aller sur un lit. Par pudeur et respect pour sa femme, il l’emmena dans une chambre d’amis. Caro retira sa robe pour se trouver nue devant lui. Elle l’attendit, étendue sur le lit. Lorsqu’il s’approcha, elle put admirer son corps d’athlète et son sexe qu’elle trouva beau. Il monta sur le lit par l’extrémité et s’avança vers les cuisses de Caro. Il écarta les jambes et lui fit un cunni. Le clitoris, le vagin avez plus de secret pour lui. Caro eut un orgasme. C’est à ce moment qu’il s’allongea sur elle, son sexe au bord du puit d’amour de Caro.
- Baisez-moi, commandant. Ça l’amuser d’ajouter son grade à chaque demande.
Elle gémissait de plaisir tandis qui lui mordillait les tétons. Elle l’entoura de ses jambes pour le sentir encore plus profondément. Il la baisait bien et elle prenait vraiment son pied. Après quelques minutes de ce traitement, il la retourna. Elle se positionna à genoux son cul bien cambré, attendant l’assaut.
- Oh putain, qu’est-ce que vous me baisez bien. Oh oui, continuait, plus fort.
Le commandant lui-même grognait de bonheur de baiser cette jolie jeune femme.
- Mon commandant, enculez-moi.
- Pardon !
- Enculez-moi, prenez mon cul.
Il la fit pivoter, en position de la cuillère. Il prit son sexe pour le diriger vers le petit trou de Caro. Il y entra d’abord le gland avant de s’y enfoncer entièrement. Il alla d’abord doucement puis voyant que Caro appréciait, accéléra ses mouvements. Caro exprimait son plaisir.
- J’aime votre sexe dans mon cul. Oh, c’est trop bon. Ecartez-moi bien les fesses. Oh oui, comme ça, je vais jouir. Ça y est, je jouis.
Le commandant sentait qu’il n’allait pas tenir longtemps.
- Non, mon commandant, jouissez dans mon sexe, je veux vous sentir juter en moi.
Il se repositionna en missionnaire et après quelques aller-retours violents, il éjacula en elle. Caro cria son orgasme. Ils s’écroulèrent tous deux et Caro posa sa tête sur le torse du commandant.
- Caro, vous êtes une baiseuse hors pair. Je n’ai jamais une fille aussi déchainée. Vous êtes faites pour l’amour.
- L’amour c’est réservé à mon mari. Le sexe, je vous l’accorde. J’aime ça et ça m’arrive d’être très salope.
Pendant qu’ils se reposaient, Caro lui massait le sexe. Au bout d’un moment, il se remit à bander.
- Me permettez-vous de prendre une douche mais avant, mon commandant, je vais vous faire ma spéciale.
Elle se remit à le sucer avec son savoir-faire et usa de toute sa panoplie. Elle commençait à sentir des soubresauts dans le sexe du commandant. Elle stoppa, attrapa les mains du commandant qu’elle posa sur sa tête avant de reprendre sa fellation. Le commandant se mit à rythmer les mouvements puis sentant qu’il allait venir, maintenait la tête de Caro et se vida dans sa bouche. Elle se retira fit un bruit exagéré pour déglutir et lui montrer qu’elle avait avalé son sperme.
Le chauffeur la ramena à son foyer.
Elle avait passé un super moment et avait particulièrement apprécié de coucher avec le commandant. C’était les vacances scolaires et la plupart des femmes de militaires étaient soit en vacances soit à s’occuper de leurs bambins. Elle avait appelé Manon pour l’inviter l’après-midi. En fin de matinée, elle reçut de la part du chauffeur du commandant une lettre lui disant à quel point il avait aimé cette soirée. Elle lui répondit au dos de la lettre.
Après avoir parlé de tout et de rien, Caro engagea une toute autre discussion.
- Est-ce-que ton mari est ton premier.
- Non, j’ai perdu ma virginité à 17 ans et j’ai connu mon mari à 20.
- Quel a été ta plus chaude aventure.
- Je pense que c’est de m’être faite sauter dans les toilettes d’une discothèque.
- Ouahou, je n’imaginai pas ça de toi.
- A part cet écart, ma vie sexuelle a été très sage. Et toi,- Oh, il y en a plusieurs mais à part avoir baisé debout dans un ascenseur avec un voisin, la plus chaude est une soirée avec une copine et deux mecs alors que nous avions 19 ans. Nous avons baisé toute les deux avec chaque mec. Ma copine s’est même fait prendre en double, je ne pratiquais pas encore la sodomie.
- Tu aimes la sodomie ?
- Oui mais c’est aux femmes d’en avoir le désir, il ne faut surtout pas être forcée. Il faut le faire avec une personne à qui on veut tout donner et pas forcément ton mari. Manon, j’ai envie de t’embrasser.
Manon se laissa faire et accueilli la langue de Caro dans sa bouche. Caro lui caressa les seins d’abord au travers de sa robe puis dégrafant les premiers boutons, directement sur la peau. Caro mordilla ses tétons en malaxant l’autre sein. Manon appréciait et posa une main sur la tête de Caro en approbation. Caro, ainsi encourageait, lâcha la main sur le sein pour lui caresser la cuisse. Manon commençait à faire des petits bruits de plaisir et écarta légèrement ses jambes. Lorsque Caro sentit un frisson de la part de Manon lorsqu’elle lui toucha le sexe à travers la culotte, elle se leva et entraina Manon dans la chambre. Manon réclama un baiser et Caro en profita pour lui ôter sa robe. Elle se libéra de la sienne et coucha Manon sur le lit. Manon s’abandonna complétement en se laissant retirer sa culotte. Elle jouit sous la langue et les doigts de Caro. Tout était pour le plaisir de Manon et Caro n’été pas froissé de ne pas être caressée. Elle prenait du plaisir à dévergonder Manon. Elle se coucha à côté de Manon et en l’embrassant, elle lui branlait la chatte. Manon gémissait et écartait encore un peu plus les jambes pour se laisser branler plus énergiquement.
- Tu aimes ?
- Oh oui, j’adore. Dit-elle en sanglotant de plaisir.
- Tu aimerais te faire prendre par un homme. Pas ton mari, un mec comme celui de la discothèque.
- Hum, répondit simplement Manon.
- Alors, ferme les yeux et imagine.
Caro sentit Manon au paroxysme de son plaisir. Elle l’embrassa et frappa au mur. C’était un signal que Manon ne remarqua pas.
- Tu sens l’homme dans la chambre ?
- Oh oui, je l’imagine.
- Tu sens le lit s’enfoncer ?
Manon ne répondit pas, tout à son plaisir.
- Je vais retirer ma main et un sexe va te prendre. Tu le veux ?
Manon était dans un état second.
- OuiLe commandant s’allongea sur elle et dirigea son sexe dans celui de Manon. D’abord surprise par la pénétration, elle entoura ses bras autour de l’homme pour l’embrasser et ses jambes autour de la taille de l’homme. Elle gardait les yeux fermés. Caro, embrassé tantôt Manon, tantôt le commandant puis s’occuper des seins. Manon jouit sous les assauts de l’homme et eut un réel orgasme lorsqu’il a joui en elle. Elle garda les yeux fermés et ne saura jamais qui était l’homme qui venait de la faire jouir. Elle se blottit dans les bras de Caro et lui dit merci.
On sait donc maintenant ce que Caro a écrit au commandant en réponse à sa lettre. Elle a donc imaginé que Manon cèderait à ses avances et qu’elle s’offrirait à un homme.
Les trois ans à Djibouti s’achèvent comme d’ailleurs plusieurs de ses copines. Elle gardera contact avec Caro. Cette histoire clôture ainsi les aventures de Manon à Djibouti.
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superbe histoire bien écrite