COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Saison I (2/3)
Je viens de satisfaire Giselle jolie femme brune frisant la trentaine au moins dix ans plus jeune que maman.
Elle m’a dragué au bal à Jo, thé dansant près de mon travail.
• Merci pour cette magnifique après-midi et cette soirée, tu es très doué, tu as un numéro de téléphone où je peux te joindre.
• Non, sauf maman, à qui aurais-je à téléphoner, alors.
• Alors vient dans mon bureau je vais régler ce problème.
Elle m’emmène nue alors que j’ai remis mes affaires.
Elle ouvre, un tiroir sort un portable qu’elle me tend, elle en prend un autre et appelle tout en posant ses fesses sur son bureau.
• Pouvez-vous réactiver mon ancien portable que vous venez de réparer en lui donnant un nouveau numéro sur la carte Sim ?
Bien, il sera opérationnel tout à l’heure, je note le numéro 06 20 .. .. ..
Oui, la facture avec un compte opérateur illimité sur le compte de mon propre portable.
Elle repose son téléphone.
• Je t’appelle tout à l’heure, comme cela tu pourras entrer mon 06 dedans, pardon, c’est un 07.
Elle me donne rendez-vous le lendemain au thé dansant à quatorze heures.
• Je t’ouvre.
Elle vient à moi et m’embrasse.
Je sens que nous allons repartir sans problème pour moi étant jeune.
• Je suis folle, je t’ai payé pour un petit moment.
Il faut que je me remette au travail, si je veux te revoir, il faut que je rentre quelques billets sur mon compte.
Je sens que tu vas me coûter cher, mais tu es tellement bon danseur et amant.
Je sors les billets et je lui tends.
• Reprends-les.
• Tu rigoles, tu les as largement gagnés, à demain.
Je reprends ma voiture, dès que je le peux, je m’arrête.
Je suis garé au centre commercial et je sors de ma poche 5 billets de 200 €.
1 000 € pour baiser une jolie femme, je suis étonné.
Je dois avoir sauté une case dans mon raisonnement, mais je prends conscience que je suis devenue la pute de cette jolie femme.
En plus quand je regarde l’opérateur de mon portable je me rends dans la boutique dans le centre, le vendeur l’active et me le redonne.
• Combien coûte ce portable, c’est une amie qui me l’a offert.
• Gardez là bien, neuf, le modèle vient de sortir entre 700 et 800 €.
J’évite de demander combien coûte mon contrat qu’elle a pris à sa charge.
Je repars du centre pour me rendre dans le centre-ville ou dans une charcuterie fine j’achète un repas que j’apporte à la maison.
• Que me vaut ce repas au champagne et aux bougies, c’est mon anniversaire, attend, je regarde !
Non, c’est le mois prochain jour pour jour, tu t’es trompé d’un mois mon chéri.
Coincé le mec, faire la pute, c’est bien mais justifier mes gains, c’est nettement plus difficile.
• J’ai pris un café dans un bar avec mes copains à la sortie de notre travail, il y avait un jeu sur une télé ou il fallait cocher 7 cases et j’ai gagné 1 000 €.
• Heureusement, que tu es seul Bruno, sinon tu pourrais croire que tu es cocu.
Nous dégustons ce bon repas en grande partie payé grâce à ma bite et c’est un peu pompette que nous allons nous coucher.
Le lendemain, matin de travail un peu difficile, mais je suis jeune et j’assume pressé d’aller retrouver Giselle au thé dansant.
Je vais au bar et je prends ma place devant ma limonade.
• Bonjour Bruno, vous me reconnaissez, je suis la copine de Giselle, nous nous sommes vus hier au moment où elle a décidé de rentrer avec vous.
Je l’ai eu au téléphone tout à l’heure.
Elle a dû partir en urgence en Grèce pour régler un moment de tension dans son groupe suite aux évènements dans ce pays.
Elle a souhaité que je vous accompagne un petit moment, car contrairement à elle qui est célibataire, je suis mariée.
Je vais être franche, j’ai aussi des besoins et j’ai envie de passer un moment agréable avec vous, Gisèle m’a avoué que vous étiez parfait sur tous les plans.
Je vais être directe, j’ai dans mon sac l’équivalent de l’argent qu’elle vous a donné hier, si vous êtes d’accord nous sortons et nous rejoignons un hôtel proche ou j’ai en prévision de votre accord retenue une chambre. Sachez que Giselle est une femme indépendante intellectuellement et physiquement.
Si nous allons passer un moment agréable, je le pense, je ferais tout pour ça.
• Je vous suis, vous êtes une aussi belle femme que votre amie.
• Mais un peu plus vieille.
• L’âge pour moi m’importe peu, vous êtes plus âgé, mais vous avez certainement beaucoup d’expérience.
• À ce que m’a dit Giselle, vous avez déjà la maturité d’un vieux briscard, vous êtes d’après elle, une des meilleures escortes qu’elle est rencontrée.
Je suis surpris c’est la première fois que j’entends ces deux mots accolés au masculin.
Alors qu’escorte girl, pute de luxe quand ce sont des femmes, je l’ai déjà entendu, un copain s’étant fait dépuceler par l’une d’elles.
J’ai un moment de solitude, comprenant que j’entre de plus en plus dans ce monde parallèle.
Mais le gain ajouté au plaisir pris hier dissipe tous mes scrupules.
• Vous voulez danser où y va-t-on ?
• J’aimerais danser, j’adore cela, mais je t’ai dit que mon temps était compté.
Nous aurons l’occasion de danser ensemble, mon mari part à l’étranger chaque mois et je trouverais le moyen de te payer pour la nuit entière.
Comment résister à l’appel des billets de banque, surtout si j’en récupère un gros paquet ?
Quand je monte dans l’ascenseur de l’hôtel, j’ai nettement l’impression que tout le monde me regarde.
Je réagis et dès que ma cliente a ouvert la porte avec sa carte magnétique, je vais pour la prendre dans mes bras.
• Ça va, vous me payerez plus tard, je vous fais confiance.
• Merci, j’ai tellement envie de sentir ta bite en moi.
Je la porte dans la chambre et je dénude ses seins, les fraises qui les terminent sont tendues.
Je les prends une après l’autre dans ma bouche.
• Tu me fais mouiller, je sens ma mouille descendre le long de mes jambes, fais-moi voir, comment tu suce une femme.
Je l’allonge sur la couche, sa robe remonte se tire-bouchonnant autour de sa taille.
M’agenouillant entre ses jambes pendantes hors du lit, j’approche ma bouche de son string que je lèche méticuleusement.
Le tissu bien imbibé devient translucide, je peux apercevoir le timbre-poste qui lui sert de toison, elle se met le bras devant les yeux pour rester dans son monde qu’elle doit se créer quand son mari la baise.
Je vois nettement chaque fois que ma langue arrive sur le haut de sa vulve la fine membrane que constitue sa petite culotte former une excroissance à l’endroit où se situe son clito, j’insiste sur l’endroit et je la fais frissonner.
J’essaye de l’attraper avec mes dents, mais je dois renoncer, aussi je prends la ficelle sur le côté et je tire, elle cède dans un bruit d’élastique.
• Aie.
• Je t’ai fait mal !
• Non, tu m’as surprise.
Elle retire son bras et soulève sa tête.
• C’est malin, je vais être obligé de repartir le cul à l’air.
Que va dire mon mari, cette petite culotte, c’est lui qui me l’a offerte et il aime que je me promène avec en cuisine cela l’existe ?
• Pourquoi payes-tu pour te faire faire l’amour ?
• Justement, car il aime me regarder, mais il y a presque deux ans qu’il lui est impossible de faire autre chose que de matter.
Continu maintenant que ma chatte est dégagée, je suis clitoridienne et si tu le suces, la façon dont tu le prends, va me faire partir.
Assez parlé, je retourne à ma tache insistant là où elle aime.
J’ai le plaisir de lui apporter un orgasme qui la fait se tortiller sous ma langue.
Je monte sur le lit, m’approchant de sa poitrine je lui mets ma verge dans la bouche.
Elle remonte ses mains et me masturbe autant qu’elle me suce, je suis au bord de l’explosion.
• Attends, retourne-toi tu vas me brouter en même temps que je te pomperais.
Je veux que tu décharges dans ma bouche, j’adore le sperme, hélas, chez moi, j’en suis privée.
Je suis à sa disposition, bien sûr, aucune question indiscrète.
C’est ma cliente bien que les billets que je suis en train de gagner sont toujours dans son sac.
Afin de vivre heureux il faut savoir vivre dangereusement et avec cette belle femme plantureuse les risques sont minimes.
Elle a un nouvel orgasme sous ma langue.
Je me vide dans sa bouche dans un cri de mutuel plaisir.
Je sens qu’elle récupère, je respecte son silence.
J’apprécie les petits coups de langue qu’elle me donne en relevant la tête.
Je la laisse continuer son petit jeu qu’elle semble apprécier.
La situation est tellement étrange que je lui remplis une nouvelle fois sa bouche sans l’avoir moi-même fait jouir.
Je bascule sur le côté le souffle en surmultiplier.
Un moment passe et l’on doit s’endormir.
• Bruno, quelle heure est-il ?
Je me réveille en sursaut, j’ai un réveil devant les yeux.
• Bientôt 17.
• Mon dieu, vilain tu me fais perdre la tête, il va être rentré et comme je vais être sans ma culotte, je risque l’accident.
Elle bouge, je la libère elle se relève part en courant vers la salle de bains ou elle en ressort maquillée recoiffée et je dirais pimpante.
• Tient c'est pour toi, j’ai mis une petite gratification, il y a bien longtemps qu’un garçon m’a fait autant jouir.
J’ai ton numéro, Gisèle me l’a donné soit sûr que dans les semaines prochaines je te rappellerais.
Tu tireras la porte derrière toi.
La porte refermée le regarde les gains de ma deuxième journée d’escorte 1 500, 500 € de gratte, elles sont bizarres ces femmes, tout cela sans que je la pénètre.
Lorsque je rentre à la maison, j’ai le portefeuille plein, mais les couilles vides...
Elle m’a dragué au bal à Jo, thé dansant près de mon travail.
• Merci pour cette magnifique après-midi et cette soirée, tu es très doué, tu as un numéro de téléphone où je peux te joindre.
• Non, sauf maman, à qui aurais-je à téléphoner, alors.
• Alors vient dans mon bureau je vais régler ce problème.
Elle m’emmène nue alors que j’ai remis mes affaires.
Elle ouvre, un tiroir sort un portable qu’elle me tend, elle en prend un autre et appelle tout en posant ses fesses sur son bureau.
• Pouvez-vous réactiver mon ancien portable que vous venez de réparer en lui donnant un nouveau numéro sur la carte Sim ?
Bien, il sera opérationnel tout à l’heure, je note le numéro 06 20 .. .. ..
Oui, la facture avec un compte opérateur illimité sur le compte de mon propre portable.
Elle repose son téléphone.
• Je t’appelle tout à l’heure, comme cela tu pourras entrer mon 06 dedans, pardon, c’est un 07.
Elle me donne rendez-vous le lendemain au thé dansant à quatorze heures.
• Je t’ouvre.
Elle vient à moi et m’embrasse.
Je sens que nous allons repartir sans problème pour moi étant jeune.
• Je suis folle, je t’ai payé pour un petit moment.
Il faut que je me remette au travail, si je veux te revoir, il faut que je rentre quelques billets sur mon compte.
Je sens que tu vas me coûter cher, mais tu es tellement bon danseur et amant.
Je sors les billets et je lui tends.
• Reprends-les.
• Tu rigoles, tu les as largement gagnés, à demain.
Je reprends ma voiture, dès que je le peux, je m’arrête.
Je suis garé au centre commercial et je sors de ma poche 5 billets de 200 €.
1 000 € pour baiser une jolie femme, je suis étonné.
Je dois avoir sauté une case dans mon raisonnement, mais je prends conscience que je suis devenue la pute de cette jolie femme.
En plus quand je regarde l’opérateur de mon portable je me rends dans la boutique dans le centre, le vendeur l’active et me le redonne.
• Combien coûte ce portable, c’est une amie qui me l’a offert.
• Gardez là bien, neuf, le modèle vient de sortir entre 700 et 800 €.
J’évite de demander combien coûte mon contrat qu’elle a pris à sa charge.
Je repars du centre pour me rendre dans le centre-ville ou dans une charcuterie fine j’achète un repas que j’apporte à la maison.
• Que me vaut ce repas au champagne et aux bougies, c’est mon anniversaire, attend, je regarde !
Non, c’est le mois prochain jour pour jour, tu t’es trompé d’un mois mon chéri.
Coincé le mec, faire la pute, c’est bien mais justifier mes gains, c’est nettement plus difficile.
• J’ai pris un café dans un bar avec mes copains à la sortie de notre travail, il y avait un jeu sur une télé ou il fallait cocher 7 cases et j’ai gagné 1 000 €.
• Heureusement, que tu es seul Bruno, sinon tu pourrais croire que tu es cocu.
Nous dégustons ce bon repas en grande partie payé grâce à ma bite et c’est un peu pompette que nous allons nous coucher.
Le lendemain, matin de travail un peu difficile, mais je suis jeune et j’assume pressé d’aller retrouver Giselle au thé dansant.
Je vais au bar et je prends ma place devant ma limonade.
• Bonjour Bruno, vous me reconnaissez, je suis la copine de Giselle, nous nous sommes vus hier au moment où elle a décidé de rentrer avec vous.
Je l’ai eu au téléphone tout à l’heure.
Elle a dû partir en urgence en Grèce pour régler un moment de tension dans son groupe suite aux évènements dans ce pays.
Elle a souhaité que je vous accompagne un petit moment, car contrairement à elle qui est célibataire, je suis mariée.
Je vais être franche, j’ai aussi des besoins et j’ai envie de passer un moment agréable avec vous, Gisèle m’a avoué que vous étiez parfait sur tous les plans.
Je vais être directe, j’ai dans mon sac l’équivalent de l’argent qu’elle vous a donné hier, si vous êtes d’accord nous sortons et nous rejoignons un hôtel proche ou j’ai en prévision de votre accord retenue une chambre. Sachez que Giselle est une femme indépendante intellectuellement et physiquement.
Si nous allons passer un moment agréable, je le pense, je ferais tout pour ça.
• Je vous suis, vous êtes une aussi belle femme que votre amie.
• Mais un peu plus vieille.
• L’âge pour moi m’importe peu, vous êtes plus âgé, mais vous avez certainement beaucoup d’expérience.
• À ce que m’a dit Giselle, vous avez déjà la maturité d’un vieux briscard, vous êtes d’après elle, une des meilleures escortes qu’elle est rencontrée.
Je suis surpris c’est la première fois que j’entends ces deux mots accolés au masculin.
Alors qu’escorte girl, pute de luxe quand ce sont des femmes, je l’ai déjà entendu, un copain s’étant fait dépuceler par l’une d’elles.
J’ai un moment de solitude, comprenant que j’entre de plus en plus dans ce monde parallèle.
Mais le gain ajouté au plaisir pris hier dissipe tous mes scrupules.
• Vous voulez danser où y va-t-on ?
• J’aimerais danser, j’adore cela, mais je t’ai dit que mon temps était compté.
Nous aurons l’occasion de danser ensemble, mon mari part à l’étranger chaque mois et je trouverais le moyen de te payer pour la nuit entière.
Comment résister à l’appel des billets de banque, surtout si j’en récupère un gros paquet ?
Quand je monte dans l’ascenseur de l’hôtel, j’ai nettement l’impression que tout le monde me regarde.
Je réagis et dès que ma cliente a ouvert la porte avec sa carte magnétique, je vais pour la prendre dans mes bras.
• Ça va, vous me payerez plus tard, je vous fais confiance.
• Merci, j’ai tellement envie de sentir ta bite en moi.
Je la porte dans la chambre et je dénude ses seins, les fraises qui les terminent sont tendues.
Je les prends une après l’autre dans ma bouche.
• Tu me fais mouiller, je sens ma mouille descendre le long de mes jambes, fais-moi voir, comment tu suce une femme.
Je l’allonge sur la couche, sa robe remonte se tire-bouchonnant autour de sa taille.
M’agenouillant entre ses jambes pendantes hors du lit, j’approche ma bouche de son string que je lèche méticuleusement.
Le tissu bien imbibé devient translucide, je peux apercevoir le timbre-poste qui lui sert de toison, elle se met le bras devant les yeux pour rester dans son monde qu’elle doit se créer quand son mari la baise.
Je vois nettement chaque fois que ma langue arrive sur le haut de sa vulve la fine membrane que constitue sa petite culotte former une excroissance à l’endroit où se situe son clito, j’insiste sur l’endroit et je la fais frissonner.
J’essaye de l’attraper avec mes dents, mais je dois renoncer, aussi je prends la ficelle sur le côté et je tire, elle cède dans un bruit d’élastique.
• Aie.
• Je t’ai fait mal !
• Non, tu m’as surprise.
Elle retire son bras et soulève sa tête.
• C’est malin, je vais être obligé de repartir le cul à l’air.
Que va dire mon mari, cette petite culotte, c’est lui qui me l’a offerte et il aime que je me promène avec en cuisine cela l’existe ?
• Pourquoi payes-tu pour te faire faire l’amour ?
• Justement, car il aime me regarder, mais il y a presque deux ans qu’il lui est impossible de faire autre chose que de matter.
Continu maintenant que ma chatte est dégagée, je suis clitoridienne et si tu le suces, la façon dont tu le prends, va me faire partir.
Assez parlé, je retourne à ma tache insistant là où elle aime.
J’ai le plaisir de lui apporter un orgasme qui la fait se tortiller sous ma langue.
Je monte sur le lit, m’approchant de sa poitrine je lui mets ma verge dans la bouche.
Elle remonte ses mains et me masturbe autant qu’elle me suce, je suis au bord de l’explosion.
• Attends, retourne-toi tu vas me brouter en même temps que je te pomperais.
Je veux que tu décharges dans ma bouche, j’adore le sperme, hélas, chez moi, j’en suis privée.
Je suis à sa disposition, bien sûr, aucune question indiscrète.
C’est ma cliente bien que les billets que je suis en train de gagner sont toujours dans son sac.
Afin de vivre heureux il faut savoir vivre dangereusement et avec cette belle femme plantureuse les risques sont minimes.
Elle a un nouvel orgasme sous ma langue.
Je me vide dans sa bouche dans un cri de mutuel plaisir.
Je sens qu’elle récupère, je respecte son silence.
J’apprécie les petits coups de langue qu’elle me donne en relevant la tête.
Je la laisse continuer son petit jeu qu’elle semble apprécier.
La situation est tellement étrange que je lui remplis une nouvelle fois sa bouche sans l’avoir moi-même fait jouir.
Je bascule sur le côté le souffle en surmultiplier.
Un moment passe et l’on doit s’endormir.
• Bruno, quelle heure est-il ?
Je me réveille en sursaut, j’ai un réveil devant les yeux.
• Bientôt 17.
• Mon dieu, vilain tu me fais perdre la tête, il va être rentré et comme je vais être sans ma culotte, je risque l’accident.
Elle bouge, je la libère elle se relève part en courant vers la salle de bains ou elle en ressort maquillée recoiffée et je dirais pimpante.
• Tient c'est pour toi, j’ai mis une petite gratification, il y a bien longtemps qu’un garçon m’a fait autant jouir.
J’ai ton numéro, Gisèle me l’a donné soit sûr que dans les semaines prochaines je te rappellerais.
Tu tireras la porte derrière toi.
La porte refermée le regarde les gains de ma deuxième journée d’escorte 1 500, 500 € de gratte, elles sont bizarres ces femmes, tout cela sans que je la pénètre.
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