Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. VIII

- Par l'auteur HDS ANDRERP95 -
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Récit libertin :  Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. VIII Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. VIII
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Après le dîner, vaisselle faite, Margot m’a demandé de les rejoindre dans notre chambre. Ils m’attendaient. Je me suis couché à côté de Kemb. Je ne bandais pas.
Comme la veille Margot a commencé une fellation en me regardant fixement. Kemb jouait avec ses cheveux. Puis elle a relevé la tête et a tenu le sexe de son amant à la verticale en me regardant droit dans les yeux. Comme une invitation à prendre sa place.
- Allez Pt’i mâle. Viens prendre ton premier vrai biberon. Et attention aux dents.
Margot m’a fait un petit signe d'encouragement avec son menton et un sourire très doux.. Kemb plus directif que jamais m’a tiré par la nuque vers son gros dard. J’ai ouvert la bouche. Il est rentré directement au maximum de mes possibilités. C’est vrai que c’était gros! Stoïque, j’ai attendu quelques instants qu’il libère sa pression pour commencer sans révolte à le sucer. Avec application. Sous leurs regards complices.
- Tu fais vite des progrès la suceuse.
- Génial mon Chéri, je suis déjà toute trempée !
- Profite du spectacle ma Gazelle. Regarde bien ton mari en train de me pomper sans rechigner. Un mari qui suce l’amant, c’est assez rare comme spectacle. Et toi Pt’i mâle applique toi.
- Ne lui parle pas comme ça Kemb. Il est beau comme ça. Mon mari est vraiment superbe.
Le mot mari m’a fait plaisir. C’était comme un encouragement. Je me suis appliqué. C’est drôle à écrire, mais cela ne me faisait rien de le sucer devant ma femme qui se caressait. Elle était heureuse de me voir si docile. Comme soulagée.
- Prends mes couilles dans tes mains... Oui comme ça et malaxe doucement... Tu fais comme ta femme te faisait avant. Ce n’est pas sorcier. Suce mieux. Vas au max. Tète-moi le gland.
Je faisais servilement au mieux ce qu’il me demandait.
- Margot m’a dit que tu avais été incapable de la faire jouir avec ta queue. Elle ne sentait rien. Continue et suce à fond Pt’i mâle. Comme ça oui. C’est bien tu fais des progrès. Ta femme n’avait connu que ta queue, alors c’est normal qu’elle arrivait à jouir avec ton engin; mais maintenant c’est sûr qu’elle a de quoi comparer. Suce bien à fond. Lèche... Lèche tout le long. Peut-être que ta femme va jouir en te voyant si bien honorer ma bite.. Mais il te reste encore des progrès à faire mec !
Il a brusquement immobilisé ma tête pour me pilonner la bouche. Il me baisait de plus en plus loin dans mon palais, me donnant des envies de vomir. J'essayais vainement d'y échapper. Je bavais et hoquetais.
- Doucement Kemb.
- Pourquoi doucement ma Gazelle. Toi aussi tu avais des renvois mais ça passe vite.
J’avais les yeux embués de larmes et du mal à respirer.
- C’est comme ça qu’on suce un vrai mâle mec. Alors tu t’appliques le cocu !
J’ai essayé de lui plaire. Margot gémissait de plus en plus fort sous les doigts de son amant.
- Vu que t’as été incapable de la faire jouir avec ta queue, c’est plus la peine de l’utiliser avec elle. Maintenant tu vas lécher sur toute la longueur. Oui.... C’est bien.... Vas jusqu’aux couilles ma petite suceuse et remonte lentement...
Une petite claque sur ma tête:- Applique-toi. Branle-moi et bouffe mon gland. Putain ça vient. Tu vas réussir mec. Il a une bonne bouche à pipe ton mec.... On va la nettoyer au Karcher.
J’ai voulu me retirer. Il a refusé, me serrant la nuque d’une main de fer.
- Tu bois tout Pt’i mâle. Jusqu’à la dernière goutte.
Je n’ai pas pu. Son sperme coulait sur mon menton et mon torse. J’ai entendu ma femme jouir. Il a libéré ma bouche. M’a relevé la tête vers son visage.
- Casse toi. Laisse-nous. Elle a besoin d’un vrai mec dans son lit.
Je suis parti dans un état second. La bouche envahie de son odeur, du goût âcre et amer de sa virilité. Des filets de sperme collaient sur mon palais, s’étaient figés sur mon menton et mes joues. Je n’arrivais pas à respirer.
Comme si je me noyais....
oooOOOoooJe ne sais pas ce que j’ai. Je broie du noir. Je tourne en rond. Envie de ne rien faire. Des fois je pleure sans raison dans ma chambre. Je reste sale des jours entiers. Je refuse de sortir même pour aller acheter le pain.
Je regarde Kemb et Margot vivrent ensemble. Il bosse beaucoup.
Le soir il jubile en me disant d’une voix sèche: - Viens avec nous ma petite suceuse.
Je les rejoins sans révolte. Je le suce de mieux en mieux. J’arrive pratiquement à boire toute sa jute. Après j’éclate en sanglots incontrôlés. Je les quitte sous ses rires. Il met mon comportement sur le compte de mon humiliation. Mais cela ne plaît pas à ma femme qui pourtant ne lui dit rien. Quand elle essaye de me consoler, je la rejette brutalement alors qu’au contraire je voudrais la prendre dans mes bras... je ne comprends pas ce qui m’arrive.
Les jours passent lentement. Je ne me rase plus et ne fait rien à la maison. Je reste vautré sur le canapé devant la télé éteinte! Margot s’inquiète. Me demande ce qui se passe. Je ne lui réponds même pas.
Un soir ou Kemb travaillait. Elle a voulu se frotter et jouir sur mes fesses. Avec un sourire coquin elle m’a demandé de lui montrer mes fesses. Sans même lui répondre je me suis mis à plat ventre, pantalon sous mon derrière et cul tendu. Je l’ai laissé faire. Je ne bandais pas. Elle était déçue de mon inertie.
Kemb est rentré tard. Margot l’a rejoint dans notre chambre à coucher me laissant seul. Je l’ai entendu raconter à son amant la séance. Kemb a éclaté de rire. Quelques minutes plus tard, j’ai entendu ma femme couiner. C’était presque de la douleur. Et la voix conquérante de son amant:- Moi aussi je fais pareil que toi avec ton mari. Mais avec une vraie queue comme tu aimes ma Gazelle. Tu vas voir. Toi tu vas bien la sentir. .. Je sais . Je sais que t’aimes pas trop. Mais tu vas bien jouir.
Le lit a grincé. Margot poussait des petits cris.
- Doucement. Doucement Kemb.
- Chut.. Chut ma Gazelle. Tu n’y échapperas pas de toute façon.
Elle se faisait enculer et ça lui faisait mal. Je me suis rendu compte que cela me faisait plaisir de l’entendre souffrir. Et j’en ai eu mal au cœur de penser de telles choses au sujet de ma femme adorée.
oooOOOoooPas fermé l’œil de la nuit. Angoisse. Sueurs froides. Palpitations. Larmes.
J’ai dû le sucer et le boire tous les soirs de la semaine suivante. Margot lui a montré comment elle se faisait jouir contre mes fesses. Kemb a voulu que je le suce ne même temps. Ils ont essayé de jouir ensemble.
Et toutes les nuits seul dans la chambre de mon gamin: Angoisse. Sueurs froides. Palpitations. Larmes... C’était intenable.... Toute à son bonheur, ma femme ne voyait rien de mon comportement et de ma fatigue.
oooOOOoooPuis j’ai craqué... D’un coup... Je m’y attendais pas du tout!
 CE JOUR LA......
Je me réveille en nage, je tremble, je suffoque. J’appelle Margot. Je n’arrive pas à lui parler. J’ai peur! Je ne sais pas de quoi. Elle est inquiète, me dit de me calmer. Que cela va passer. Qu’elle en parlera à Kemb ce soir.
J’arrive à me lever. Mes jambes tremblent. Je ne sais pas ce qui se passe et cela me fait peur. A midi je ne mange pas. Pas faim. Rien ne passe. Une boule dans l’estomac. Margot me demande de faire un effort. Je ne peux pas. Je reste muet. Une angoisse terrible me saisit. Je me sens très mal.
Début d'après-midi, Le téléphone sonne. Je réponds.
- Allô- Allô bonjour, puis je parler à André.
- C’est moi...
- André? Excuse moi j’ai pas reconnu ta voix c’est Max.
- Max?
- Ben oui ton ex-collègue.
- Ah oui. Salut...
- Çà va, je te dérange pas ?
- Non... Non...
- Voilà, j’ai hérité d’une partie de tes clients et je me disais que peut être tu pourrais accepter de me renseigner.
- Euh... Oui. Bien sûr. Lesquels?
- Si tu veux, je peux passer te voir ce soir. Ça risque d'être un peu long au téléphone.
Je panique. Sueur froide. Tremblements. Je ne peux plus respirer. J'étouffe et l’angoisse revient en force. Il reprend:- Tu sais je serais très discret. Personne ne le saura à la boite. On peut dîner ensemble. Avec ta femme. Je vous offre le restaurant avec plaisir.
- Un autre jour certainement.
Ma voix me semble ridicule. Je suis à la recherche oppressante d’air.
- Sois sympa. Je dois aller voir ce client demain. Et après le restau, on pourrait boire un dernier verre chez vous. Et puis tu sais votre vie privée ne me regarde pas. Je serais partant tu sais.
Long silence. Sentiment de panique. Il reprend avec plus d’assurance:- Peut être qu'après le boulot on pourrait rigoler un peu. Je me suis laissé dire que vous pratiquiez et que ta femme est magnifique.
- Pratiquer????
- Allons André. Tout le monde sait que ta femme n’a rien contre les beaux mecs, surtout devant toi. Je suis bien monté tu sais et je sais y faire. J’adorerais cela.
J’entends des rires en fond sonore. Il y a le haut-parleur de l’autre côté!.
Je raccroche. Je ne peux pas tenir debout. Je manque d’air. Je me noie. Je tombe assis contre le mur. Beaucoup de mal à me relever et à reprendre pieds.
Je ne parle pas de ce coup de fil à ma femme.
Milieu d’après-midi. Margot m’appelle:- Chéri tu peux repasser le linge pendant que je prépare le repas. Je suis très en retard.
Je me retrouve comme un somnambule en train de repasser les blouses, les chemises et les caleçons de son amant. Plus rien n’est cohérent dans mon cerveau. En fait, je n’arrive plus à penser. Je repasse le linge de l’amant de ma femme sans aucun sentiment particulier. Comme un automate. Et toujours les angoisses et le sentiment d’étouffement. !
Je vais chercher le courrier. Trois lettres. toutes des refus à mes demandes d’embauche ! Je les regarde d’un air ahuri. Je sais plus quoi faire, alors je rigole. Je ne sais pas pourquoi.
Le soir, je suis exténué. Pourtant je n’ai rien fait de la journée. J’ai mal à la tête et les angoisses et tremblements sont toujours présents. De plus en plus forts. J’ai la tête qui tourne.
Kemb rentre tard. Ils sont dans le salon pendant que je dresse la table dans la cuisine. Il raconte sa journée à ma femme. Puis ma femme lui parle. Je ne comprends pas ce qu’elle dit mais je crois qu’elle lui parle de moi. Il rigole en lui disant:- Et alors? Tu as ce que tu voulais non! Un mari consentant et complaisant! Tu devrais être contente d’avoir une marionnette à la maison. Il est dans ce qu’on appelle dans notre jargon une spirale d’acceptation.
Alors je ne sais pas du tout ce qui me prend.
Je prépare sereinement un apéritif et leur amène.
- Je vais prendre une douche.
Quand je redescends, ils sont assis sur le canapé en train de boire un verre. Kemb chuchote à l’oreille de ma femme qui roucoule. J’entre dans le salon en portant un plateau de gâteaux apéritifs. Margot tourne la tête vers moi et se fige complètement pétrifiée: - Didou! Pourquoi t’es nu?...
Sans répondre je me mets à genoux devant Kemb et ouvre la bouche:- T’as envie d’une bonne pipe le nègre?. Tu veux ta suceuse blanche? Tu veux que je mette les vêtements de ma femme. Dis ! Tu veux quoi ?... DIS..... DIS-MOI...
Les larmes coulent sur mon visage. J’ai la bouche ouverte. Je hurle des mots incompréhensibles.
Margot est figée. Je saisis le zip du pantalon de Kemb qui me repousse violemment. Et me regarde avec une lueur dangereuse dans les yeux. Il lève sa main pour me frapper. Il stoppe son geste et me dévisage avec application.
Et son attitude change du tout au tout!
Il se lève lentement et m’aide doucement à me redresser. J’éclate en sanglot. Je tape de toutes mes forces sur son torse. Il tente de me calmer sans chercher à se protéger de mes coups de poings.
Je hurle.... Margot aussi.
Kemb veut me prendre dans ses bras pour m’immobiliser.
- N’ai pas peur André. Ça va passer... Calme-toi. Respire ! Respire.
Il tente de me ceinturer. Mais mes forces sont décuplées. Je ne laisse pas faire. Je le griffe, le gifle, lui crache à la figure. Je pleure à chaudes larmes.
Brusquement comme un coup de marteau sur la joue.
Kemb vient de me gifler !
Une seule.... Très puissante... Qui me laisse muet et hébété.
Margot demande en hurlant: - Qu’est-ce qu’il a Kemb! Qu’est-ce qu’il a? Ne lui fais pas de mal ! NE LE FRAPPE PAS..
- Rien ma Gazelle. C’est rien. Calme-toi. Je m’en occupe. Calme-toi. Viens André viens avec moi. On va parler.
Je le suis amorphe. Tellement fatigué. Je ne tiens plus sur mes jambes. Il m’aide à tenir debout. Margot nous suit en larme. J'arrive à peine à marcher. J'ai la tête qui tourne et je n'arrive plus à respirer.
Kemb me soutient Au passage, il prend sa mallette d’urgentiste qu’il donne à Margot.. Je n’arrive pas à monter l’escalier. Mes jambes ne me soutiennent plus. Il me porte comme on porte un enfant. Margot suit en pleurant. Elle serre contre son torse la mallette de Kemb.
Dans la chambre de l’ainé, il me force doucement à m’assoir. Je me sens mal. Envie de vomir. Tout se brouille. J’ai des renvois. De la bile aigre et acide envahie ma bouche.
- Vas chercher une cuvette Margot... Vite !
Je crache de la bile. Ça brûle. J'étouffe.
Kemb me manipule. M’ausculte. Il est doux, gentil. Sa voix me calme. Il me dit que je traverse une passe difficile. Que ça va aller mieux. Je m’effondre en larme.
- C’est rien André. Juste une petite dépression. Tu sais plus où t’en es. C’est normal.
- J’ai du mal a respirer... J'étouffe..... J'étouffe!!!!!!
- Calme-toi... C’est dans ta tête.
Je n’arrive plus à respirer. Je m’écroule. J’ai le temps de le voir prendre une seringue. Puis c’est le trou noir. J’entends juste Margot crier mon surnom.

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