...gang bang (2)

- Par l'auteur HDS Akileditu -
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : ...gang bang (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2016 dans la catégorie Plus on est
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...gang bang (2)
…. Quand on émergea de notre farniente réparateur, on décida d'aller manger en ville. A cette époque de l'année, la ville était déjà animée par les touristes mais pas envahie. On avala de bons poissons grillés dans un petit resto sur le port. Le repas fut joyeux et arrosé. Après, Paulo et Ali voulurent aller danser dans une boite gay friendly. On y passa quelques heures à se trémousser, torses nus et en sueur. C'est sûr, Paulo attirait pas mal les regards envieux. La nuit était bien avancée quand on décida de rentrer. La lune éclairait complètement la plage devant « la cabane », ce qui donna à Paulo l'envie de faire un grand feu. Dès le feu allumé, on fila tous dans la mer pour se désembrumer de la soirée, puis on vint se serrer autour du feu pour se sécher. J'étais à côté d'Ali, face à Paulo et Pablo. Direct, Pablo commença à entreprendre Paulo. Il se serrait complètement contre lui et lui passait la main dans les cheveux. Sa main descendit dans son dos pour lui sécher, s'aventura sur ses fesses et vint se blottir entre ses jambes, caressant son slip de bain. Amusés, on regardait ça avec Ali. Paulo avait planté son regard dans le mien et ne me lâchait plus. Que cherchait-il à faire ? A me provoquer ou à me dire que, même dans ces circonstances, c'est à moi qu'il pensait ? Très vite, les caresses de Pablo se firent plus pressantes. Pablo le chauffait à fond. Il le fit s'allonger sur le dos et commença à le lécher partout. Puis il le retourna pour le mettre en levrette...Les flammes dansaient sur leurs peaux café au lait.

« - Putain qu'il est beau !! Ca ne te fait rien de le voir se faire mettre par quelqu'un d'autre que toi ? me demanda Ali-Je dirais pas ça mais, vu la gueule qu'il a et le m étier qu'il fait...Je suis réaliste. C'est pas les occasions qui doivent lui manquer. Et puis, je crois bien que t'aspas trop à t'en plaindre de tout ça, non ?
-C'est clair ! »
Pablo s'était redressé sue les genoux et faisait glisser sa bite dans la raie de Paulo, puis il se penchait pour la lui lécher copîeusement. Il allait bientôt le pénétrer. Paulo se laissait faire, ravi. On vit son visage se crisper très légèrement quand Pablo passa son gland. Pablo lui massait le dos, le cul, les couilles avec de douces caresses. Très doucement, il commença à bouger en lui. La bouche de Paulo s'entrouvrit légèrement, laissant entrevoir ses deux dents du haut. Il était trop trop mignon ainsi. Ce spectacle ne nous laissait pas indifférent, loin de là...On s'était passé nos mains dans les slips l'un de l'autre avec Ali. Paulo tendit les mains vers nous. On comprit qu'il voulait nos bites. On se rapprocha de lui, à genoux. Il sortit nos deux queues bien raides de nos slips de bain et commença à les caresser doucement. Cela eut le don d'exciter Pablo un peu plus. Maintenant, Paulo nous branlait lentement tous les deux, tandis qu'Ali et moi, collés l'un à l'autre, on se titillait mutuellement la rondelle, mouillant notre majeur avec la cyprine de nos glands. Pablo avait légèrement augmenté la cadence de son va et vient. Paulo voulut nous prendre en bouche. D’abord séparément puis ensemble, en collant nos deux bites. La mienne toutes rasée et celle d’Ali noyée dans une touffe brune et frisée. C’était délicieux. Je sentais la peau de la bite d’Ali contre la mienne, la langue de Paulo et la chaleur de sa bouche sur mon gland. Il commença à nous pomper à tour de rôle, de plus en plus vite à mesure que la cadence des coups de reins de Pablo s’accéléraient. A un moment, secoué comme un prunier, il dut nous lâcher. Pablo haletait, Paulo gémissait, ses grands yeux verts toujours plongés dans les miens.. On n’entendait plus que les ahanements de Pablo, le bruit de ses couilles qui claquaient contre le cul de Paulo à chaque coup de boutoir. A un moment, Pablo s’arrêta et ce fut Paulo qui se mit à coulisser à toute vitesse sur la bite de Pablo. Pablo allait bientôt venir. Paulo avait l’air extatique. C’est vrai qu’il avait toujours autant aimé être défoncé que défoncer lui-même. Avec Ali, on s’était rapidement passé un puis deux doigts et on se doigtait allégrement mutuellement, excités par ce spectacle torride. Pablo se raidit, poussa un grand cri et se vida dans le ventre de Paulo qui grogna en sentant le foutre chaud se inonder ses entrailles. Ils s’écroulèrent tous les deux, collés l’un à l’autre, sur le sable. On les laissa légèrement récupérer. Assez vite, Pablo se releva et se dirigea vers la mer pour se laver. Paulo prit alors ma main et la dirigea vers son trou. Je savais ce qu’il voulait. Il me l’avait déjà demandé auparavant. Du bout de mes doigts, je récupérais le sperme de Pablo qui coulait de son trou et je lui enduis les fesses et les reins avec. Il me remercia du regard.
Quand Pablo revint de la mer, Paulo se redressa tout joyeux et claironna« -Now, we need a good blowjob !! » ( -Maintenant, on a besoin d’une bonne pipe !)
Me prenant par le coup, on s’allongea côte à côte sur le sable, attendant que nos deux amis viennent nous honorer. Ali s’était précipité sur la bite de Paulo et Pablo sur la mienne. Paulo avait empoigné ma tête et m’embrassait à pleine bouche. J’étais aux anges. Que pouvais-je demander de plus ? Ali et Pablo s’activaient sur nos bites, je sentais virevolter la langue de Paulo dans ma bouche et, en plus, Pablo eut la bonne idée de me passer deux doigts en même temps qu’il me suçait. J’étais comblé par tous les bouts ! De temps en temps, Paulo faisait changer de bite à sucer. Pour le fun. Ali et Pablo avaient probablement renoncé à faire un concours de vitesse à celui qui ferait jouir le premier car ils alternaient les moments doux, les temps rapides et les caresses appuyées. C’était trop trop bon !! Puis Pablo se mit sérieusement à vouloir me faire jouir. Pareil pour Ali avec Paulo. On les aidait en soulevant nos bassins et en allant et venant à leur rencontre. Pablo adorait ça, que je lui baise la bouche. J’accélérais mon va et vient. Pablo avait enserré mes couilles et la base de ma bite de ses deux mains en coquille. J’accélérais encore frénétiquement. Quand Pablo sentit que j’allais jouir, il ressortit ma queue de sa bouche et la branla frénétiquement de ses deux mains. Je déchargeais trois jets brûlants sur son visage. Paulo vint presque en même temps que moi. Cette fois, on était rassasié tous les quatre. Du moins, pour le moment. On retourna à la mer pour se laver mutuellement. Rentrés dans « la cabane », on rapprocha les deux grands lits et on s’étendit, nus, imbriqués les uns dans les autres. Assez vite, on sombra dans le sommeil…
Pendant la nuit, je fus réveillé, à plusieurs reprises par de l’agitation autour de moi. C’était très doux, mais j’ai aussi le sommeil très léger. Une fois c’était Paulo et Ali qui se caressaient très doucement, une autre fois, Pablo se faisait sucer par Ali. Increvable, cet Ali ! A chaque fois, je préférais faire semblant de dormir, ça m’excitait plus de faire comme ça. Au milieu de la nuit, je fis même un rêve érotique bien bien chaud avant de comprendre que ce n’en était pas un mais bien quelqu’un qui s’occupait doucement de ma bite, en vrai. Je décidais de continuer mon petit jeu. Qui ça pouvait bien être ? Je penchais pour Ali, sans en être sûr à cent pour cent. Ma bite s’était bien raidie, bien mouillée. Il la branlait doucement du bout de ses trois doigts. Je le sentis se rapprocher de moi et sentis bientôt son gland humide me frotter doucement la raie. Visiblement, mon inconnu ne cherchait pas forcément à me réveiller, ni à se faire connaître ! Je fis mine de bouger dans mon sommeil pour mieux lui offrir mes fesses écartées et lui faciliter le passage. Fut-il dupe de mon stratagème ? Il mit un temps infini mais ô combien délicieux à me pénétrer tout en douceur. Une fois en moi, il ne bougea plus. C’était trop bien de le sentir ainsi en moi. Je sentais presque son cœur battre dans les palpitations de sa bite. Au bout d’un très long moment de douceur infinie, il se retira doucement, sans avoir joui.

On se réveilla tous très tard. Le petit déjeuner expédié, on décida d’aller passer la journée sur un petit ilot désert, pas très loin, avec le dériveur caché sous la cabane. Etant un grand fan de slips et de maillots de bain- surtout ceux de Paulo-, j’avais enfilé un des maillots que Paulo avait amené, les autres avaient fait pareil. Très vite, le soleil, la mer désertique, le bateau, on s’était tous débarrassé de nos fins tissus, préférant jouer les »Robinson » à fond. Quel merveilleux spectacle que ces jeunes gaillards, beaux, musclés, nus, à la manœuvre des voiles ! On aurait cru le voyage d’Ulysse ! Quand quelqu’un avait trop chaud, il plongeait, manquant à chaque fois de faire chavirer le bateau passablement surchargé. Très souvent, un autre allait aussitôt le rejoindre dans l’eau pour le lutiner sous l’eau. Le plus dur, c’était de remonter dans le bateau. Ali, toujours lui, nous fit bien marrer quand il fit mine de confondre la barre du gouvernail avec la bite tendue en permanence de Pablo. Par la suite, il lui accrocha même un petit mouchoir blanc pour imiter le mât et la grand voile ! Là encore, on avait bien rigolé. A un autre moment, il fallut se déplacer dans le bateau pour rétablir son assiette. Paulo et Ali étaient assis à tribord. Pablo vint, lui aussi s’asseoir à tribord et, comme il manquait de place, il fit mine de s’empaler sur Paulo. Ca me donna l’idée d’en faire autant avec Ali. L’assiette était rétablie et la crise du logement réglée !! A un autre moment, Pablo s’était penché à l’avant du bateau au dessus de l’eau, un peu comme les anciennes figures de proue. Cela donna l’idée à Paulo de doubler la mise en allant le pénétrer et en prenant la même position. Car tout le monde avait bien capté que Pablo adorait se faire mettre en toutes circonstances, qu’il était toujours demandeur et, qu’en plus, il n’y avait rien de plus facile. Il adorait ça. Arrivés sur l’ilot, on explora un peu. C’était pas très grand et il n’y avait strictement rien, à part quelques arbres. On se trouva une petite crique et on passa là le reste de l’après midi entre bronzage, baignades, séances de caresses…Après le pic nique improvisé, Ali me demanda, avec un sourire en coin :« -C’est qui Robinson et c’est qui les Vendredi ?
-Pourquoi tu me demandes ça ?
-Ben tu sais les histoires qui courent entre Robinson et Vendredi, non ?
-J’ai capté. Ca te dirait d’être LE Robinson et nous LES Vendredi ?
-Ben…ouais !
-Je traduis. »Paulo et Pablo, ça les a fait rigoler. De toute façon, ils sont toujours OK quand il s’agit de sexe. Du coup, on pioche allègrement dans le pot de gel et on commence à se dilater mutuellement la rondelle. Puis, on se met à genoux, en levrette, tête au sol, collés l’un à l’autre, offerts à la bite d’Ali. J’étais au milieu, Paulo à ma gauche et Pablo à ma droite. Par petites poussées, Ali entreprit Paulo puis moi puis Pablo. On doigtait allègrement ceux qui n’étaient pas titillés par Ali. Ali prit son temps mais il finit par pénétrer en chacun de nous avec beaucoup de facilité et de délice ? Commencèrent alors de longs et délicieux va et vient en chacun de nous ? Ali passait rapidement de l’un à l’autre, ne nous laissant jamais très longtemps sans sa chaude bite. Il se régalait. Sa cadence s’accélérait légèrement devenant de plus en plus puissante. On pensait tous qu’Ali était un très bon coup : endurant, prévenant, sensuel, avec une très belle bite. Tout quoi ! De temps en temps, tout un chacun essayait de s’accaparer plus longuement Ali en lui empoignant les fesses et en le collant contre lui. Les autres râlaient aussitôt. Ali avait encore accéléré la cadence de ses coups de bite. Il passait de plus n plus vite de l’un à l’autre nous défonçant direct et à fond à chaque fois. Merveilleux ! Ali, en sueur, commença à haleter…Ca ne voulait rien dire, on savait tous que c’était une bête de sexe et qu’il pouvait encore durer, durer. Tant mieux pour nous ! Ali a encore accéléré. Quand ils le reçoivent, Paulo couine de plaisir et Pablo souffle à fond. Ali se met alors à rugir quelque chose en arabe, commence à jouir dans Paulo, se retire très vite et vient se finir dans le mien. Les dernières goutes seront pour Pablo. Chacun a eu sa dose de foutre chaud. Il s’écroule, épuisé. On le dorlote, le lave, le caresse, le masse, pour le remercier du plaisir qu’il nous a aussi donné.
Le retour en bateau fut épique : manque de vent ou vent contraire. On a bien cru qu’on n’y arriverait jamais. Mais le stress n’était pas de la partie car Paulo et Pablo ont une gaité naturelle permanente qui emporte tout.

A la cabane, on décida, d’un commun accord, de rester sur place pour la soirée. On s’enfila d’abord pas mal de verres pour « se rafraichir », j’aurais plutôt dit pour se chauffer…Pablo et Ali, bien chauds, décrétèrent alors que, pour cette nuit, Paulo et moi serions leurs « esclaves sexuels ». On avait quand même bien revendiqué de pouvoir, nous aussi, jouir à notre tour.

« -Quand on n’en pourra plus, ça sera votre tour mais…ça risque d’être long ! » avait décrété Ali. Pour être long, ce fut long. Mais loin d’être désagréable.

Pablo décida alors d’organiser un défilé de maillots de bain. Où tous les coups étaient permis. D’abord, c’est eux qui nous « habillaient », ensuite, ils filaient côté spectateurs, avec tous les droits. Siffler, applaudir, toucher, shooter, commenter…Ali imagina même de nous faire aller jusqu’à la plage, marcher dans l’eau jusqu’à la taille et revenir. Après tout, c’était des slips de bain…
« -Tu ne bandes pas assez !! » nous criait Ali à chaque passage. Heureusement, il ne savait pas le dire en anglais. Quelle rigolade ! Paulo, dont c’est le métier, le prit très bien. Moi, ça me rappelait comment j’avais connu Paulo. Après ce défilé mémorable, Pablo et Ali nous imposèrent une deuxième « épreuve ».

« -Vous allez devoir effectuer devant nous un show torride qui doit nous faire bander UN MAX . OK ? » rigole Ali.
Paulo a déjà éteint toutes les lampes et planté, dans le sable, une bougie allumée. Avec Paulo on se met d’accord très vite sur un petit scénario de drague en boite de nuit. Très vite, on se retrouve torses nus à danser serrés dans les ombres de la bougie. On se titille les tétons, on se palpe le cul, on se roule des pelles. Ca siffle…Va falloir faire plus. Je lui déboucle lentement sa ceinture, il en fait autant. Je fais glisser son short doucement. Ca apprécie. On se retrouve tous deux en slips de bain, bien collés. On passe les mains sous le tissu. Ca hurle. On se tripote les fesses, la raie, puis les bites. On se fait glisser nos slips et on les enlève gracieusement. On frotte nos bites tendues. Paulo se retourne et je me colle à lui, tout en dansant. Ils nous encouragent à grands cris. Je fais mine de le défoncer d’un seul coup. Ca hurle à nouveau. Je descends le long de son dos, lui fait écarter les jambes et le mets à lécher sa raie goulûment. Ca siffle de plus belle. Paulo ondule outrageusement. Je me redresse et lui passe un doigt. Il ondule à nouveau comme un serpent, se glisse au sol, sur le dos, arc bouté, offert à ma bouche. Je le lèche le long de sa ligne de poils et engloutit son membre tout en le doigtant par-dessous. Ca applaudit ! On se relève alors, faisant mine d’être effarouchés et on s’enfuit vers la mer, main dans la main. Ca applaudit à tout rompre.

« -Bon c’était pas mal…conclut Ali. Maintenant, il va falloir que vous vous occupiez sérieusement de Pablo. Epreuve indoor ! Il a demandé à être attaché pour « subir vos sévices » OK ? »
« -OK, mais tu pourrais peut être nous donner un coup de main ?
-On verra… »
On passe à Pablo le plus micro de tous les slips de bain apportés par Paulo, on lui bande les yeux et on « attache » ses deux poignets aux bois du lit. Avec Paulo, on se met à le lécher partout, à se frotter à lui avec nos slips tendus, à le caresser, à le masser. Il a l’air d’apprécier. Ali filme. Puis Paulo se met à califourchon sur son cou et lui propose son bas ventre, pendant que je m’occupe de son micro slip de bain. Il se met à onduler et à gémir. Paulo lui propos alternativement ses couilles, son gland, sa tige à sucer. Je lui masse furieusement les couilles sous le tissu puis je déchire le maillot et enfourne son gland. Il grogne de plaisir.. Je le pompe de plus en plus vite pendant que Paulo lui baise la bouche. C’est là qu’on fait appel à Ali pour qu’il vienne s’occuper de sa rondelle. Ali se place sous lui et va lui dévorer la raie et lui exciter la rondelle du bout de sa langue. Pablo s’est soulevé et vibre de plaisir. Ali se glisse complètement sous lui et l’embroche d’un seul coup. Pablo gémit. Il commence à le trombonner, à sec. Je m’active de plus en plus sur sa queue. Et si on essayait de jouir ou de faire jouir en même temps ? Finalement, ça n’a pas trop marché car Paulo a joui en premier dans la bouche de Pablo, puis Pablo dans la mienne et, bon dernier, Ali dans le ventre de Pablo. Pablo, débranché, était aux anges !

« -Oh my god ! What a trip ! Thank’s a lot ! »
Restait plus que moi à faire jouir. Qu’allaient-ils trouver ces trois là ? Ils ne furent pas chiens. Ils me proposèrent une fellation par les trois en même temps. Ce fut un feu d’artifice qui se finit dans la bouche d’Ali. Il était temps de se reposer un peu. Après s’être baigné sous la lune, on regagna les grands lits. On s’endormit assez rapidement. Je ne me réveillais qu’une seule fois quand Paulo me chuchota à l’oreille :
« -Come with me… »
Il m’entraina sur la plage. Les autres dormaient. Il voulait parler. De lui, de son boulot, de nous, du week end. La nuit était chaude, on était assis dans le sable, collés l’un à l’autre, sous les étoiles. J’étais bien. Je sentis qu’il voulait plus. Je m’allongeais et l’attendis. Il se pencha sur moi et me fit l’amour très longuement, avec une tendresse infinie. Je le sentais aller et venir en moi, me labourer lentement le ventre tout en m’embrassant langoureusement. J’avais agrippé ses deux lobes dans mes mains et j’accompagnais les mouvements de son bassin. Je sentais parfaitement sa bite chaude coulisser dans mon ventre. C’était un plaisir sans nom. Ma bite bandée frottait contre son ventre à chaque allée et venue. Je le serrais à le casser. Cela dura, dura…J’aurais voulu que ça ne finisse jamais. Visiblement, après tout ce sexe joyeux et exubérant, il voulait me faire passer un autre message. Sur le point de jouir, je sentis sa hampe vibrer en moi, ses coups de reins devinrent plus violents. Je le sentis tirer sur mes épaules, mes hanches comme s’il voulait ne faire qu’un avec moi.
On resta ainsi, très longtemps, l’un dans l’autre, bien après qu’il ait joui en moi. J’étais à deux doigts de pleurer d’émotion, de bonheur de m’être ainsi offert à sa jouissance.

Le dernier jour fut très court. L’avion était à treize heures. On alla se baigner tous les quatre, longuement, joyeusement. Paulo nous proposa de puiser autant qu’on voulait dans sa collection de slips et maillots de bain ce qui nous ferait plaisir et de l’emporter dans la mesure où c’étaient des cadeaux du boulot pour lui. Fan de sous vêtements, je ne me fis pas prier pour en prendre un max.Ca me permettrait de penser à Paulo en les portant. Après un copieux petit déjeuner, on ferma la maison prêtée à Paulo et on partit vers l’aéroport. C’était assez silencieux. Chacun de vait se repasser ses meilleurs moments du week end. A l’aéroport, Paulo voulut nous dire un mot :
« -Il was GREAT ! Great and healthy ! obrigado !! »
On se retrouverait. C’était certain.

Dans l’avion,Ali me dit
« -Ouais. C’était un sacré week end ! Je crois que j’ai pas vraiment débandé pendant trois jours ! »
Bizarrement, le retour fut beaucoup plus calme. Une seule tentative.

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