« Josy » La petite salope à la recherche d’un emploi. Épisode 4
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 225 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Perruche ont reçu un total de 1 322 417 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 927 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
« Josy » La petite salope à la recherche d’un emploi. Épisode 4
À la fin du mois de juin 1968, ma petite vie tranquille commençait à se détériorer. Simon qui décidément ne savait pas tenir sa langue, voyant que je préférais son frère, avait vendu la mèche auprès de Nicole. Celle-ci n’avait pas attendu pour venir me crêper le chignon avec ses deux copines. D’autre part, Maman s’étant douté de quelque chose, était beaucoup plus présente auprès de son amant de toujours. De ce fait, Jean Charles ne me touchait pratiquement plus. Pour couronner le tout, mon troisième trimestre étant une catastrophe et ayant déjà redoublé deux fois, je ne pouvais plus continuer mes études au lycée.
« Tu vas devoir travailler ma petite. » Avait hurlé André qui était très fâché après moi. Il ne me parlait plus et me fis la tête juste qu’à son départ en vacances en aout. Il n’était pas question que je parte en Bretagne chez sa sœur comme nous le faisions depuis des années avec mère. L’ultimatum était lancé, je devais trouver du travail pendant les deux mois de congé, avant mon embauche à l’usine. En effet, André dont le cousin était le Directeur de la confiturerie du village voisin, m’avait déjà trouvé un emploi dès septembre.
André avait promis de m’offrir un solex si je passais en première. N’ayant qu’un vieux vélo, je devais trouver un emploi pendant les vacances afin de m’acheter moi-même ce vélomoteur pour me rendre à l’usine. Dans notre village, il y avait plusieurs commerces où j’avais une petite chance de travailler. Ne désirant plus voir Simon, j’éliminai directement la boucherie, la boulangère, l’épicière et la quincaillère, connaissant de réputation ma mère, n’avait pas donné suite à ma demande. Le patron de l’hôtel restaurant du commerce ne s’était pas encore prononcé et au bar tabac, il n’employait pas de saisonnier. Concrètement, il me restait le bistrot de la place.
Avec ce que m’avait dit Gaston, j’appréhendais avant d’aller trouver Marius qui avait repris l’affaire de son père. J’étais donc aller voir le garde-champêtre au parc municipal où il avait son bureau afin qu’il m’en dise un peu plus sur ce qu’il savait de ma mère. Il avait traité Colette de salope à plusieurs reprises, mais je désirais connaitre le fin mot de l’histoire. Comme pour ma petite culotte, je m’étais préparée à ce que Gaston me fasse un petit chantage, mais ce ne fut pas le cas, il m’avait à la bonne et me raconta tout ce qu’il savait sur cette histoire.
Lorsque maman vivait chez ses grands-parents, avant de travailler chez le docteur, elle avait trouvé un petit emploi au bistrot de la place chez Roger, le père de Marius. Comme me l’avait signalé le garde-champêtre, Colette n’était pas une oie blanche, très peu payée comme serveuse, elle se laissait volontiers mettre la main aux fesses, par les clients pour obtenir quelques pourboires. Et afin d’arrondir ses fins de mois, il lui arrivait de tailler des pipes pour 5 francs dans les toilettes se trouvant dans la cour.
Tout avait commencé lorsqu’elle fréquenta Marius, le fils du patron avec lequel, elle le faisait régulièrement avant de baiser avec lui en cachette. Au fil du temps, celui-ci un soir où il avait un peu bu, voulant s’amuser un peu, lui avait proposé d’amener un copain. Colette qui aimait Marius, avait accepté à contrecœur de tailler une pipe à son pote mais lorsqu’il en avait ramené un autre, elle lui : « J’ai besoin de fric, je le suce mais il me paye. » Elle n’avait pas perdu le nord et proposa ses services à la condition d’y trouver son compte.
Colette fit cela pendant quelques temps, Marius lui trouvait quelques clients, jusqu’au jour où Roger le patron du bar l’appris. À partir de là, cela avait dégénéré, ce soir-là, il était presque l’heure de la fermeture, Colette qui avait bu plus que de raison, débarrassait quand Marius avait invité ma mère à le suivre dans la cour. Le rideau de fer était fermé, il ne restait au bar que le garde-champêtre et son copain. Le patron avait laissé volontairement la bouteille sur le comptoir, avant d’aller rejoindre son fils.
À l’extérieur se trouvait également deux connaissances de Roger, des notables de la ville. Après avoir mis un gros billet dans le sac à main de Colette, le patron lui avait ordonné de se dévoiler en plein milieu de la cour, il montra ses seins, ses cuisses et ses fesses et leur dit : « Ça vous dirait de prendre un peu de bon temps ? » Sous le regard de Gaston qui se rinçait l’œil par la porte entrouverte. Les deux types la caressèrent sans retenu, cependant ne désirant pas être à la vue de tous, Roger les invita dans la réserve de la brasserie.
Les trois compères étaient déjà tous très excités à l’idée de la baiser, ils bandaient fortement. Colette fit immédiatement une fellation à Roger et pendant qu’elle était penchée sur le sexe du tenancier, le premier la léchait par derrière et le second lui malaxait la poitrine. Très vite ils échangèrent leur position. Après les avoir tous sucé tous les trois, le patron du bar qui menait les débats, la prit sauvagement par derrière pendant que les deux autres la tenaient, Colette semblait aimer cela, cependant elle était bien trop ivre pour se rendre compte.
Ils la baisèrent à tour de rôle plusieurs fois et pour terminer Roger la sodomisa pendant que les deux autres se vidaient les bourses sur son visage. Marius n’avait pas participé à cette tournante, cependant il n’avait rien pu faire pour empêcher son père et ses copains de baiser sa copine du moment. Il l’avait même suppliée le lendemain de ne pas porter plainte, prétextant que les copains de Roger n’hésiteraient pas à dire aux gendarmes qu’elle se prostituait. Même si très peu de monde étaient au courant de ce qui s’était réellement passé, il n’en restait pas moins que Colette eut une très mauvaise réputation, alors qu’elle fut bien abusée ce soir-là.
Après avoir entendu le garde-champêtre, j’étais allé voir ma mère pour entendre sa version. Ce fut avec beaucoup de difficultés qu’elle avoua ses fautes et me raconta que le père de Marius l’avait littéralement saoulé, elle ne savait plus ce qu’elle avait fait exactement, sauf que Roger avait profiter d’elle avec ses potes : « Et Marius dans tout ça ? » Lui demandais-je. Maman ne lui en voulait pas, il n’avait rien à dire, Roger était un tyran, il l’aurait démoli sur place, s’il avait, ne serait-ce dit, un seul mot :— Je l’aimais bien tu sais mais lui ne pensait qu’avec sa queue.
Ma mère n’avait rien dit à ses grands-parents, néanmoins comme elle ne prenait pas la pilule, elle était allée raconter cette histoire au docteur le lundi matin. Celui-ci lui déconseilla de porter plainte, car Roger était un personnage très connu dans la région et c’était sa parole contre la sienne et lui dit : « Tu as bien garder l’argent qu’il t’a donné. Comment vas-tu l’expliquer aux gendarmes ? » À partir de là, André lui proposa de venir chez lui travailler comme servante. Ce docteur de bonne réputation, vit là une belle opportunité. Vivant seul à la maison, il pouvait bénéficier d’une jolie jeune fille d’une vingtaine d’années à sa disposition.
En effet, si lors des premiers jours, il était avenant et très gentil, il comprit rapidement que Colette était en manque d’affection et recherchait un homme pour la protéger, elle et sa petite fille. C’était exactement ce que pouvait apporter le médecin, de plus en plus tactile avec sa soubrette, il n’hésitait pas non plus à lui montrer toute l’attention qu’il portait à la petite Josiane. Colette n’était pas très instruite, mais elle était loin d’être bête, elle s’aperçut rapidement que le docteur ne recherchait pas qu’une servante.
À cette époque, André à 46 ans était dans la force de l’âge et ne déplaisait pas à Colette qui en avait connu des pires et s’il fallait qu’elle couche avec lui pour que sa fille ait la possibilité d’avoir un bel avenir, elle était prête à apporter à cet homme le plaisir qu’il recherchait. C’était loin d’être un sacrifice car il était encore un bel homme. Le premier vendredi pendant le diner, le docteur avait eu la main quelque peu baladeuse, sans toutefois avoir des gestes déplacés. Il avait lancé les premières brindilles et Colette n’avait rien fait pour l’en dissuader.
Après le repas André lisait sur son fauteuil, avant de sortir de la cuisine, Colette déboutonna le col de son corsage, laissant apparaitre un peu de son sillon mammaire et avait retroussé la ceinture de sa jupe afin de la rendre plus courte. Comme tous les soirs, elle apporta ainsi le thé et se baissa devant lui pour poser le plateau sur la table basse : « Désirez-vous autre chose docteur ? » Lui demanda-t-elle en prenant sa voix suave et chaude, dans une position lascive.
Cela n’avait pas échappé au médecin qui ne l’avait pas quitté des yeux, sa vraie nature de mâle dominant ressurgit, il avait envie de la baiser, Colette l’excitait depuis qu’il l’avait vu dans son cabinet. André l’attrapa par le bras et l’attira à lui. Il passa sa main sous sa jupe, la posa sur ses fesses en disant : « Oui ! J’aimerais bien autre chose en effet. » Colette fit sa mijaurée en s’esclaffant : « Oh Docteur ! Est-ce bien raisonnable ? » André lui tritura une fesse et lui demanda de se mettre à genoux devant lui :— Allez ! Montre-moi tes talents.
Colette n’avait pas répondu, elle obéit aux ordres du docteur qui baissait déjà son pantalon. La soubrette qu’elle était devenue, se devait d’être obéissante auprès de son maitre, elle s’appliqua dans cette fellation et n’avait pas eu à attendre longtemps avant qu’il la retourne comme une plume, la couchant sur la table basse pour la baiser sans retenu. Sachant qu’elle prenait la pilule, il s’était vidé en quelques minutes au fond de son vagin, après plusieurs va et vient puissants.
Cette nuit-là, Colette avait dormi dans le lit du médecin. Si elle n’avait pas joui au salon, le docteur lui prouva qu’il était doué dans un lit. Ils avaient baisé plusieurs fois pour le plus grand plaisir de la soubrette. Le pli était pris, Colette devint vite la femme cachée du médecin tout en restant à sa place, c’était avant tout la servante. Et pour bien montrer sa domination, André obligea Colette à porter tous les soirs des bas et porte-jarretelle, une petite jupette ultra courte sous son tablier, un bustier à balconnet et une coiffe en dentelle dans ses cheveux. Colette acceptait tout de son docteur, elle était heureuse de connaitre enfin un homme qui s’occupait autant d’elle que de sa fille.
Je connaissais à présent une bonne partie de l’histoire, mais après l’avoir travaillée au corps, elle me dévoila également quelques-uns de ses secrets. Le docteur avait un fils à peu près du même âge que ma mère, Jean-Charles faisant ses études de médecine, il ne vivait pas à la maison et ne venait que pendant les périodes de vacances. André ne voulait pas que son fils connaisse la relation qu’il entretenait avec sa servante, ce fut la raison pour laquelle, lorsqu’il venait, celle-ci devait absolument tenir ses distances avec le docteur.
La première fois que Colette avait rencontré Jean-Charles, elle fut très attirée par ce jeune homme plein de délicatesse. Très vite, passant de nombreuses heures, seule avec lui pendant que le docteur travaillait, elle n’avait pas hésité de faire des avances à ce garçon qui était tombé sous son charme. Colette l’avait attiré dans sa chambre sous les combles et ils avaient fait l’amour pendant plus de deux heures. Après cette partie de jambes en l’air, n’ayant jamais connu une partenaire aussi ardente et avide de sexe, Jean-Charles ne pouvait plus se passer d’elle.
À chaque occasion lorsqu’il venait à la maison, il ne pensait qu’à lui faire l’amour, il en était tombé amoureux, il lui avait même promis de se marier un jour avec lui. Cela avait duré pendant plusieurs années, Colette l’avait cru, elle aussi l’aimait en cachette. En attendant, elle devait coucher alternativement avec l’un et avec l’autre sans que cela se sache. À la fin de ses études, lorsque Jean-Charles s’était marié avec une grosse bourgeoise, ma mère fut très déçue. Ne pouvant pas se contenter du docteur qui prenait de l’âge, elle s’était laissée aller et avait eu plusieurs liaisons avec certains commerçants du village dont Marius et bien d’autres.
Jean-Charles regrettait ce mariage que lui avait imposé son père, il ne supportait pas son épouse et encore moins son physique. Il n’avait jamais cessé d’aimer Colette. S’apercevant qu’elle couchait à droite à gauche, il était jaloux et était revenu à la charge, en lui offrant la possibilité de revenir baiser avec lui les après-midis, lorsqu’André était en visite. Ma mère qui était éprise également de lui, espérait toujours que Jean-Charles divorce et se remarie avec elle : « Tu vois Josiane comme j’ai eu mal lorsque j’ai su qu’il avait couché avec toi ? »
Ma mère avait bien caché son jeu, j’étais pâle, je ne savais plus quoi dire, elle était au courant et très triste. Savait-elle aussi que je baisais avec André qui m’avait dépucelée ? Sans lui avouer cela, je l’avais pris dans mes bras et lui promis que je ne recommencerais plus jamais. Elle me remercia et me fit la morale en me disant : « Comment as-tu pu céder ? Tu es bien trop jeune, regarde où cela m’a menée, je suis à la merci du docteur. » — Ne n’inquiète pas maman, je serai la soubrette de personne.
Il ne me restait que deux jours pour trouver quelques choses car j’avais tenté ma chance chez la fleuriste et à la librairie, cependant j’essuyai une nouvelle fois un refus. Même à la station-service à la sortie du village, ce fut un non catégorique, lorsque j’avais donné mon nom. Désormais, je comprenais pourquoi je n’avais pas encore trouvé de boulot, ma mère était bien considérée comme la salope du village. Devais-je aller demander à Marius sans que celui-ci me fasse des propositions indécentes ?
Pourtant, comme me l’avait conseillé ma mère, ma seule chance était bien au bistrot de la place où l’annonce restait affichée sur la vitrine. Je ne connaissais pas cet endroit, je n’avais jamais mis les pieds dans ce bar qui recherchait trois serveuses, pendant la saison estivale. En effet, avec le terrain de camping, de nombreux touristes venaient dans notre village et le bistrot avec sa grande terrasse extérieure, était plein à craquer pendant les deux mois d’été.
Lorsque j’ouvris la porte de l’établissement, le jeudi en fin d’après-midi, je fus surprise par ce brouhaha qui régnait dans ce bistrot, une petite dizaine d’ouvriers étaient au comptoir buvant l’apéritif et les tables étaient occupées au trois-quarts par des retraités jouant aux cartes ou commentant les nouvelles du jour. Christiane la serveuse, une femme très aguichante de trente-cinq ans aux formes avantageuses se dandinait avec un large sourire, son plateau à la main, passant entre les tables.
Derrière le bar, se trouvait Marius le patron, un homme d’une petite quarantaine d’années, un colosse de près d’un mètre quatre dix, aux épaules larges, avec des bras gros comme mes cuisses, recouverts de jolis tatouages. J’étais assez impressionnée par cet homme, je pris donc mon courage à deux mains et m’étais dirigée vers lui d’un pas hésitant. Arrivée enfin devant lui, je lui dis timidement : « Bonjour Monsieur ! je viens pour l’annonce. » Il me sortit son plus beau sourire et appela la serveuse : « Christiane ! remplace-moi un instant derrière le comptoir. »
Afin d’être au calme pour bavarder, il me prit la main et m’emmena dans son bureau. Malgré mes talons, il faisait une tête de plus que moi, je me sentais minuscule auprès de ce malabar. Il posa ses fesses sur le bureau et me plaça à quelques centimètres de lui. D’une voix rauque et puissance, Marius se présenta et me dit : « Comme ça tu as envie de travailler dans mon bar. » Pour avoir une petite chance, je lui annonçai que je venais de la part du docteur M. « Ah c’est donc toi Josiane ! Je t’ai déjà vu à l’arrêt de bus mais je ne savais pas que tu étais la fille de la Colette. »— Tu es encore plus belle que ta mère à ton âge. Dit-il en posant ses mains sur mes hanches.
Il me déshabillait littéralement d’un regard admiratif de la tête aux pieds avant de me demander ce que je savais faire. Après lui avoir avoué que je n’avais aucune expérience pour ce poste, mais que j’étais habituée à faire le service chez le médecin, Marius sourit franchement et en caressant mes fesses, me dit :— Tu es adroite, c’est le principal. Tu as aussi le physique, tu es très mignonne et bien foutue, ça attire les clients, ils adorent les petites nénettes comme toi.
— Je ne vais tout de même pas faire tripoter à longueur de journée ?
— Ça, c’est toi qui décides, tu dois savoir te faire respecter. Crois-moi tu vas te faire pas mal de pourboire si tu sais t’y prendre. Ne t’inquiète pas, je serai là pour te protéger.
À mon tour, je lui avais souri de bon cœur, je compris tout de suite à quoi il faisait allusion. Je comprenais à présent pourquoi ma mère fut attiré par ce garçon. Cet homme me plaisait déjà beaucoup, non seulement c’était un bel homme mais en plus j’aimais son franc-parler et sa réelle sympathie pour moi. Il m’annonça tout de suite qu’il avait embauché deux serveuses expérimentées pour les après-midis et les soirées et qu’il était disposé de me prendre en matinée, tous les jours de la semaine de 9 à 14 heures.
Il se leva, passa derrière moi et posa ses deux paluches délicatement sur mes épaules. Décidément, il était très tactile et cela me faisait de l’effet, ces grosses mains étaient douces. Après m’avoir annoncé le salaire, il me dit à l’oreille : « Tu peux commencer dès lundi. Ça te va ? » Il se rassis et tout en me gardant la main entre les deux siennes, il me rassura en m’expliquant qu’en matinées les clients étaient beaucoup moins en chaleur qu’en soirée et que je serais ainsi moins exposée aux attouchements.
Bien entendu, j’acceptai immédiatement, j’étais joyeuse qu’il m’ait choisie. Marius me fit visiter, dans le petit couloir qui menait dans une petite salle à l’arrière, il m’avait pris par la taille et en y pénétrant il me dit : « C’est ici que les clients s’agglutinent les dimanches-matin pour faire leur tiercé. Là tu auras du boulot » Puis il me ramena au bar, me paya un soda en m’expliquant ce j’aurais à faire. Je me sentais bien avec lui, je n’avais pas envie de partir.
Seulement il se faisait tard, je devais rentrer mais avant de le quitter, en me raccompagnant, il me dit en me faisant la bise : « Passe demain matin avec ta mère pour signer ton contrat et tu peux m’appeler Marius. » Ce petit bisou, même sur ma joue, me fit frissonner. J’étais rentrée à la maison toute heureuse d’avoir cet emploi mais surtout d’avoir fait sa connaissance. J’en avais rêvé toute la nuit, je m’étais masturbée comme une folle, j’avais hâte de le revoir le lendemain matin.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
« Tu vas devoir travailler ma petite. » Avait hurlé André qui était très fâché après moi. Il ne me parlait plus et me fis la tête juste qu’à son départ en vacances en aout. Il n’était pas question que je parte en Bretagne chez sa sœur comme nous le faisions depuis des années avec mère. L’ultimatum était lancé, je devais trouver du travail pendant les deux mois de congé, avant mon embauche à l’usine. En effet, André dont le cousin était le Directeur de la confiturerie du village voisin, m’avait déjà trouvé un emploi dès septembre.
André avait promis de m’offrir un solex si je passais en première. N’ayant qu’un vieux vélo, je devais trouver un emploi pendant les vacances afin de m’acheter moi-même ce vélomoteur pour me rendre à l’usine. Dans notre village, il y avait plusieurs commerces où j’avais une petite chance de travailler. Ne désirant plus voir Simon, j’éliminai directement la boucherie, la boulangère, l’épicière et la quincaillère, connaissant de réputation ma mère, n’avait pas donné suite à ma demande. Le patron de l’hôtel restaurant du commerce ne s’était pas encore prononcé et au bar tabac, il n’employait pas de saisonnier. Concrètement, il me restait le bistrot de la place.
Avec ce que m’avait dit Gaston, j’appréhendais avant d’aller trouver Marius qui avait repris l’affaire de son père. J’étais donc aller voir le garde-champêtre au parc municipal où il avait son bureau afin qu’il m’en dise un peu plus sur ce qu’il savait de ma mère. Il avait traité Colette de salope à plusieurs reprises, mais je désirais connaitre le fin mot de l’histoire. Comme pour ma petite culotte, je m’étais préparée à ce que Gaston me fasse un petit chantage, mais ce ne fut pas le cas, il m’avait à la bonne et me raconta tout ce qu’il savait sur cette histoire.
Lorsque maman vivait chez ses grands-parents, avant de travailler chez le docteur, elle avait trouvé un petit emploi au bistrot de la place chez Roger, le père de Marius. Comme me l’avait signalé le garde-champêtre, Colette n’était pas une oie blanche, très peu payée comme serveuse, elle se laissait volontiers mettre la main aux fesses, par les clients pour obtenir quelques pourboires. Et afin d’arrondir ses fins de mois, il lui arrivait de tailler des pipes pour 5 francs dans les toilettes se trouvant dans la cour.
Tout avait commencé lorsqu’elle fréquenta Marius, le fils du patron avec lequel, elle le faisait régulièrement avant de baiser avec lui en cachette. Au fil du temps, celui-ci un soir où il avait un peu bu, voulant s’amuser un peu, lui avait proposé d’amener un copain. Colette qui aimait Marius, avait accepté à contrecœur de tailler une pipe à son pote mais lorsqu’il en avait ramené un autre, elle lui : « J’ai besoin de fric, je le suce mais il me paye. » Elle n’avait pas perdu le nord et proposa ses services à la condition d’y trouver son compte.
Colette fit cela pendant quelques temps, Marius lui trouvait quelques clients, jusqu’au jour où Roger le patron du bar l’appris. À partir de là, cela avait dégénéré, ce soir-là, il était presque l’heure de la fermeture, Colette qui avait bu plus que de raison, débarrassait quand Marius avait invité ma mère à le suivre dans la cour. Le rideau de fer était fermé, il ne restait au bar que le garde-champêtre et son copain. Le patron avait laissé volontairement la bouteille sur le comptoir, avant d’aller rejoindre son fils.
À l’extérieur se trouvait également deux connaissances de Roger, des notables de la ville. Après avoir mis un gros billet dans le sac à main de Colette, le patron lui avait ordonné de se dévoiler en plein milieu de la cour, il montra ses seins, ses cuisses et ses fesses et leur dit : « Ça vous dirait de prendre un peu de bon temps ? » Sous le regard de Gaston qui se rinçait l’œil par la porte entrouverte. Les deux types la caressèrent sans retenu, cependant ne désirant pas être à la vue de tous, Roger les invita dans la réserve de la brasserie.
Les trois compères étaient déjà tous très excités à l’idée de la baiser, ils bandaient fortement. Colette fit immédiatement une fellation à Roger et pendant qu’elle était penchée sur le sexe du tenancier, le premier la léchait par derrière et le second lui malaxait la poitrine. Très vite ils échangèrent leur position. Après les avoir tous sucé tous les trois, le patron du bar qui menait les débats, la prit sauvagement par derrière pendant que les deux autres la tenaient, Colette semblait aimer cela, cependant elle était bien trop ivre pour se rendre compte.
Ils la baisèrent à tour de rôle plusieurs fois et pour terminer Roger la sodomisa pendant que les deux autres se vidaient les bourses sur son visage. Marius n’avait pas participé à cette tournante, cependant il n’avait rien pu faire pour empêcher son père et ses copains de baiser sa copine du moment. Il l’avait même suppliée le lendemain de ne pas porter plainte, prétextant que les copains de Roger n’hésiteraient pas à dire aux gendarmes qu’elle se prostituait. Même si très peu de monde étaient au courant de ce qui s’était réellement passé, il n’en restait pas moins que Colette eut une très mauvaise réputation, alors qu’elle fut bien abusée ce soir-là.
Après avoir entendu le garde-champêtre, j’étais allé voir ma mère pour entendre sa version. Ce fut avec beaucoup de difficultés qu’elle avoua ses fautes et me raconta que le père de Marius l’avait littéralement saoulé, elle ne savait plus ce qu’elle avait fait exactement, sauf que Roger avait profiter d’elle avec ses potes : « Et Marius dans tout ça ? » Lui demandais-je. Maman ne lui en voulait pas, il n’avait rien à dire, Roger était un tyran, il l’aurait démoli sur place, s’il avait, ne serait-ce dit, un seul mot :— Je l’aimais bien tu sais mais lui ne pensait qu’avec sa queue.
Ma mère n’avait rien dit à ses grands-parents, néanmoins comme elle ne prenait pas la pilule, elle était allée raconter cette histoire au docteur le lundi matin. Celui-ci lui déconseilla de porter plainte, car Roger était un personnage très connu dans la région et c’était sa parole contre la sienne et lui dit : « Tu as bien garder l’argent qu’il t’a donné. Comment vas-tu l’expliquer aux gendarmes ? » À partir de là, André lui proposa de venir chez lui travailler comme servante. Ce docteur de bonne réputation, vit là une belle opportunité. Vivant seul à la maison, il pouvait bénéficier d’une jolie jeune fille d’une vingtaine d’années à sa disposition.
En effet, si lors des premiers jours, il était avenant et très gentil, il comprit rapidement que Colette était en manque d’affection et recherchait un homme pour la protéger, elle et sa petite fille. C’était exactement ce que pouvait apporter le médecin, de plus en plus tactile avec sa soubrette, il n’hésitait pas non plus à lui montrer toute l’attention qu’il portait à la petite Josiane. Colette n’était pas très instruite, mais elle était loin d’être bête, elle s’aperçut rapidement que le docteur ne recherchait pas qu’une servante.
À cette époque, André à 46 ans était dans la force de l’âge et ne déplaisait pas à Colette qui en avait connu des pires et s’il fallait qu’elle couche avec lui pour que sa fille ait la possibilité d’avoir un bel avenir, elle était prête à apporter à cet homme le plaisir qu’il recherchait. C’était loin d’être un sacrifice car il était encore un bel homme. Le premier vendredi pendant le diner, le docteur avait eu la main quelque peu baladeuse, sans toutefois avoir des gestes déplacés. Il avait lancé les premières brindilles et Colette n’avait rien fait pour l’en dissuader.
Après le repas André lisait sur son fauteuil, avant de sortir de la cuisine, Colette déboutonna le col de son corsage, laissant apparaitre un peu de son sillon mammaire et avait retroussé la ceinture de sa jupe afin de la rendre plus courte. Comme tous les soirs, elle apporta ainsi le thé et se baissa devant lui pour poser le plateau sur la table basse : « Désirez-vous autre chose docteur ? » Lui demanda-t-elle en prenant sa voix suave et chaude, dans une position lascive.
Cela n’avait pas échappé au médecin qui ne l’avait pas quitté des yeux, sa vraie nature de mâle dominant ressurgit, il avait envie de la baiser, Colette l’excitait depuis qu’il l’avait vu dans son cabinet. André l’attrapa par le bras et l’attira à lui. Il passa sa main sous sa jupe, la posa sur ses fesses en disant : « Oui ! J’aimerais bien autre chose en effet. » Colette fit sa mijaurée en s’esclaffant : « Oh Docteur ! Est-ce bien raisonnable ? » André lui tritura une fesse et lui demanda de se mettre à genoux devant lui :— Allez ! Montre-moi tes talents.
Colette n’avait pas répondu, elle obéit aux ordres du docteur qui baissait déjà son pantalon. La soubrette qu’elle était devenue, se devait d’être obéissante auprès de son maitre, elle s’appliqua dans cette fellation et n’avait pas eu à attendre longtemps avant qu’il la retourne comme une plume, la couchant sur la table basse pour la baiser sans retenu. Sachant qu’elle prenait la pilule, il s’était vidé en quelques minutes au fond de son vagin, après plusieurs va et vient puissants.
Cette nuit-là, Colette avait dormi dans le lit du médecin. Si elle n’avait pas joui au salon, le docteur lui prouva qu’il était doué dans un lit. Ils avaient baisé plusieurs fois pour le plus grand plaisir de la soubrette. Le pli était pris, Colette devint vite la femme cachée du médecin tout en restant à sa place, c’était avant tout la servante. Et pour bien montrer sa domination, André obligea Colette à porter tous les soirs des bas et porte-jarretelle, une petite jupette ultra courte sous son tablier, un bustier à balconnet et une coiffe en dentelle dans ses cheveux. Colette acceptait tout de son docteur, elle était heureuse de connaitre enfin un homme qui s’occupait autant d’elle que de sa fille.
Je connaissais à présent une bonne partie de l’histoire, mais après l’avoir travaillée au corps, elle me dévoila également quelques-uns de ses secrets. Le docteur avait un fils à peu près du même âge que ma mère, Jean-Charles faisant ses études de médecine, il ne vivait pas à la maison et ne venait que pendant les périodes de vacances. André ne voulait pas que son fils connaisse la relation qu’il entretenait avec sa servante, ce fut la raison pour laquelle, lorsqu’il venait, celle-ci devait absolument tenir ses distances avec le docteur.
La première fois que Colette avait rencontré Jean-Charles, elle fut très attirée par ce jeune homme plein de délicatesse. Très vite, passant de nombreuses heures, seule avec lui pendant que le docteur travaillait, elle n’avait pas hésité de faire des avances à ce garçon qui était tombé sous son charme. Colette l’avait attiré dans sa chambre sous les combles et ils avaient fait l’amour pendant plus de deux heures. Après cette partie de jambes en l’air, n’ayant jamais connu une partenaire aussi ardente et avide de sexe, Jean-Charles ne pouvait plus se passer d’elle.
À chaque occasion lorsqu’il venait à la maison, il ne pensait qu’à lui faire l’amour, il en était tombé amoureux, il lui avait même promis de se marier un jour avec lui. Cela avait duré pendant plusieurs années, Colette l’avait cru, elle aussi l’aimait en cachette. En attendant, elle devait coucher alternativement avec l’un et avec l’autre sans que cela se sache. À la fin de ses études, lorsque Jean-Charles s’était marié avec une grosse bourgeoise, ma mère fut très déçue. Ne pouvant pas se contenter du docteur qui prenait de l’âge, elle s’était laissée aller et avait eu plusieurs liaisons avec certains commerçants du village dont Marius et bien d’autres.
Jean-Charles regrettait ce mariage que lui avait imposé son père, il ne supportait pas son épouse et encore moins son physique. Il n’avait jamais cessé d’aimer Colette. S’apercevant qu’elle couchait à droite à gauche, il était jaloux et était revenu à la charge, en lui offrant la possibilité de revenir baiser avec lui les après-midis, lorsqu’André était en visite. Ma mère qui était éprise également de lui, espérait toujours que Jean-Charles divorce et se remarie avec elle : « Tu vois Josiane comme j’ai eu mal lorsque j’ai su qu’il avait couché avec toi ? »
Ma mère avait bien caché son jeu, j’étais pâle, je ne savais plus quoi dire, elle était au courant et très triste. Savait-elle aussi que je baisais avec André qui m’avait dépucelée ? Sans lui avouer cela, je l’avais pris dans mes bras et lui promis que je ne recommencerais plus jamais. Elle me remercia et me fit la morale en me disant : « Comment as-tu pu céder ? Tu es bien trop jeune, regarde où cela m’a menée, je suis à la merci du docteur. » — Ne n’inquiète pas maman, je serai la soubrette de personne.
Il ne me restait que deux jours pour trouver quelques choses car j’avais tenté ma chance chez la fleuriste et à la librairie, cependant j’essuyai une nouvelle fois un refus. Même à la station-service à la sortie du village, ce fut un non catégorique, lorsque j’avais donné mon nom. Désormais, je comprenais pourquoi je n’avais pas encore trouvé de boulot, ma mère était bien considérée comme la salope du village. Devais-je aller demander à Marius sans que celui-ci me fasse des propositions indécentes ?
Pourtant, comme me l’avait conseillé ma mère, ma seule chance était bien au bistrot de la place où l’annonce restait affichée sur la vitrine. Je ne connaissais pas cet endroit, je n’avais jamais mis les pieds dans ce bar qui recherchait trois serveuses, pendant la saison estivale. En effet, avec le terrain de camping, de nombreux touristes venaient dans notre village et le bistrot avec sa grande terrasse extérieure, était plein à craquer pendant les deux mois d’été.
Lorsque j’ouvris la porte de l’établissement, le jeudi en fin d’après-midi, je fus surprise par ce brouhaha qui régnait dans ce bistrot, une petite dizaine d’ouvriers étaient au comptoir buvant l’apéritif et les tables étaient occupées au trois-quarts par des retraités jouant aux cartes ou commentant les nouvelles du jour. Christiane la serveuse, une femme très aguichante de trente-cinq ans aux formes avantageuses se dandinait avec un large sourire, son plateau à la main, passant entre les tables.
Derrière le bar, se trouvait Marius le patron, un homme d’une petite quarantaine d’années, un colosse de près d’un mètre quatre dix, aux épaules larges, avec des bras gros comme mes cuisses, recouverts de jolis tatouages. J’étais assez impressionnée par cet homme, je pris donc mon courage à deux mains et m’étais dirigée vers lui d’un pas hésitant. Arrivée enfin devant lui, je lui dis timidement : « Bonjour Monsieur ! je viens pour l’annonce. » Il me sortit son plus beau sourire et appela la serveuse : « Christiane ! remplace-moi un instant derrière le comptoir. »
Afin d’être au calme pour bavarder, il me prit la main et m’emmena dans son bureau. Malgré mes talons, il faisait une tête de plus que moi, je me sentais minuscule auprès de ce malabar. Il posa ses fesses sur le bureau et me plaça à quelques centimètres de lui. D’une voix rauque et puissance, Marius se présenta et me dit : « Comme ça tu as envie de travailler dans mon bar. » Pour avoir une petite chance, je lui annonçai que je venais de la part du docteur M. « Ah c’est donc toi Josiane ! Je t’ai déjà vu à l’arrêt de bus mais je ne savais pas que tu étais la fille de la Colette. »— Tu es encore plus belle que ta mère à ton âge. Dit-il en posant ses mains sur mes hanches.
Il me déshabillait littéralement d’un regard admiratif de la tête aux pieds avant de me demander ce que je savais faire. Après lui avoir avoué que je n’avais aucune expérience pour ce poste, mais que j’étais habituée à faire le service chez le médecin, Marius sourit franchement et en caressant mes fesses, me dit :— Tu es adroite, c’est le principal. Tu as aussi le physique, tu es très mignonne et bien foutue, ça attire les clients, ils adorent les petites nénettes comme toi.
— Je ne vais tout de même pas faire tripoter à longueur de journée ?
— Ça, c’est toi qui décides, tu dois savoir te faire respecter. Crois-moi tu vas te faire pas mal de pourboire si tu sais t’y prendre. Ne t’inquiète pas, je serai là pour te protéger.
À mon tour, je lui avais souri de bon cœur, je compris tout de suite à quoi il faisait allusion. Je comprenais à présent pourquoi ma mère fut attiré par ce garçon. Cet homme me plaisait déjà beaucoup, non seulement c’était un bel homme mais en plus j’aimais son franc-parler et sa réelle sympathie pour moi. Il m’annonça tout de suite qu’il avait embauché deux serveuses expérimentées pour les après-midis et les soirées et qu’il était disposé de me prendre en matinée, tous les jours de la semaine de 9 à 14 heures.
Il se leva, passa derrière moi et posa ses deux paluches délicatement sur mes épaules. Décidément, il était très tactile et cela me faisait de l’effet, ces grosses mains étaient douces. Après m’avoir annoncé le salaire, il me dit à l’oreille : « Tu peux commencer dès lundi. Ça te va ? » Il se rassis et tout en me gardant la main entre les deux siennes, il me rassura en m’expliquant qu’en matinées les clients étaient beaucoup moins en chaleur qu’en soirée et que je serais ainsi moins exposée aux attouchements.
Bien entendu, j’acceptai immédiatement, j’étais joyeuse qu’il m’ait choisie. Marius me fit visiter, dans le petit couloir qui menait dans une petite salle à l’arrière, il m’avait pris par la taille et en y pénétrant il me dit : « C’est ici que les clients s’agglutinent les dimanches-matin pour faire leur tiercé. Là tu auras du boulot » Puis il me ramena au bar, me paya un soda en m’expliquant ce j’aurais à faire. Je me sentais bien avec lui, je n’avais pas envie de partir.
Seulement il se faisait tard, je devais rentrer mais avant de le quitter, en me raccompagnant, il me dit en me faisant la bise : « Passe demain matin avec ta mère pour signer ton contrat et tu peux m’appeler Marius. » Ce petit bisou, même sur ma joue, me fit frissonner. J’étais rentrée à la maison toute heureuse d’avoir cet emploi mais surtout d’avoir fait sa connaissance. J’en avais rêvé toute la nuit, je m’étais masturbée comme une folle, j’avais hâte de le revoir le lendemain matin.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Perruche
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...