« Josy » La petite salope au camping. Épisode 5

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : « Josy » La petite salope au camping. Épisode 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » La petite salope au camping. Épisode 5
Après mon entretien d’embauche avec Marius, lorsque j’étais rentrée à la maison, j’avais le sourire, je venais de trouver un emploi. Si cela rendit ma mère joyeuse, ce ne fut pas le cas pour André. Il connaissait ce type et n’avait aucune confiance en lui, il était très jaloux malgré qu’il me fasse encore la tête. Il en fit aussitôt la remarque à maman. Celle-ci lui répondit du tac au tac : « Elle a un travail, c’est ce que tu voulais. Non ? »
Pourtant n’ayant pas encore 21 ans, ma mère devait venir avec moi signer le contrat de travail contre l’avis du docteur mais n’ayant aucun droit sur moi, il ne put rien contre ma décision, ce qui le mit hors de lui, il était sorti de table très en colère. Toutefois, maman me mit en garde, lorsque je lui avais dit que j’appréciais beaucoup Marius : « Fais très attention à lui, ne fais pas comme moi. C’est un manipulateur, j’ai eu le tort de lui céder tout de suite, je ne pouvais plus me passer de lui.

Ma mère m’expliqua qu’avec ce genre de type qui savait s’y prendre en apportant beaucoup de plaisir à une femme, il fallait se faire désirer le plus longtemps possible. Sans le brusquer, je devais en faire un peu mais sans jamais me donner à lui, tout au moins pendant un bon moment : « Tu verras, après il te mangera dans la main. » Ne désirant pas me faire violer, je lui en fis la remarque. Cependant, maman connaissait très bien Marius, il n’était pas du tout comme son père. Il était patient, il aimait jouer et très fier de lui, lorsqu’il parvenait à mettre dans son lit, une femme qui lui résistait.

Comme il y avait de l’eau dans le gaz entre le docteur et sa soubrette, le lendemain matin après la signature, ne désirant pas être présente lorsque ma mère rentrerait à la maison, j’avais accepté volontiers la proposition de Marius qui m’avait demandé de faire un petit essai. Je ne l’avais pas quitté de la matinée, toujours aussi tactile, il m’avait appris à faire les cafés à la machine et les demis de bière à la pression. Ses mains toujours sur une de mes hanches ou sur mes épaules, derrière le bar son corps frôlait le mien à chaque occasion. Cela me mettait sous tension mais je pense qu’il l’était tout autant, voire bien plus.

Pour le service en salle, ce fut Christiane qui m’avait montré ce que je devais faire et toujours avec le sourire devant les clients. Le plus difficile fut de réussir à remplir les verres de vins sans faux col. Franchement, je me sentais déjà à mon aise dans un bistrot, j’étais très à l’aise, je devais avoir la bosse du commerce. La présence de Marius me rassurait, surtout lorsqu’un client avait voulu me mettre la main aux fesses :— Norbert ! Ne recommence jamais ça avec Josy.
Le retraité n’avait pas osé répondre, il s’excusa tout de suite et n’était pas près de recommencer. C’était également un avertissement pour les autres clients. Je fus doublement surprise, le surnom qu’il me donna ne me plaisait pas plus que cela mais j’acceptai volontiers ce « Josy », ce fut surtout la façon dont il avait pris ma défense qui me plut énormément. Enfin tout me plaisait chez cet homme, sa force, son odeur et son souffle que je ressentais lorsqu’il était derrière-moi.

Quand Christiane me demanda de faire deux cafés, Marius vint pour surveiller, il passa derrière moi, je ressentis son bas ventre contre mon dos puis posa une main sur ma hanche. À cet instant, un nouveau frisson me parcourut sur tout le corps, il s’appuya un peu plus contre moi et je sentis qu’il bandait. Christiane que je croyais être sa femme, ayant vu cela, me fusilla d’un regard ravageur, elle était jalouse. Il me murmura alors dans l’oreille :— Ne t’inquiète pas Josy, je couche avec elle mais elle ne sera jamais la patronne. Je lui parlerai.

Je le sentais bien, il avait très envie de moi. Si ses gestes étaient discrets, ils devenaient de plus en plus déplacés, il était très tactile et pas seulement avec ses mains, sa queue en érection sous son pantalon se frottait contre moi chaque fois qu’il le pouvait et cela m’excitait malgré tout. Il n’était pas fou, il voyait à mon comportement que j’étais très attirée. En pensant à ce que m’avait dit ma mère, je commençai à ne plus venir vers lui, je devais lui donner l’impression que j’appréciais mais que je n’étais pas encore prête à lui dire oui.

Hormis cela, je savais déjà que le métier me plairait et je voulais apprendre, d’autant plus que Christiane ou Marius me complimentaient. J’étais si bien au bistrot que je lui avais demandé de revenir l’après-midi. À quatorze heures, une serveuse était venue le remplacer, il devait faire des courses en ville : « Tu veux venir avec moi Josy, tu as assez travaillé pour aujourd’hui. » J’avais attendu avant de lui répondre, je ne voulais pas lui montrer que j’étais contente de me retrouver seule avec lui.

J’avais donc accepté après avoir hésité un petit moment, une petite balade avec lui n’était pas pour me déplaire, bien au contraire. J’avais déjà oublié les recommandations de maman, des pensées érotiques m’avaient traversé l’esprit, je n’avais pas imaginé que cela allait se conclure aussi vite. Nous venions de quitter le village dans sa camionnette que déjà Marius aventura sa main juste au-dessus de mon genou. J’en eus la chair de poule, j’étais très heureuse de cette prise d’initiative, je lui plaisais, il n’y avait plus aucun doute : « Alors Josy, qu’en penses-tu ? »— De quoi…Monsieur… heu… Marius— De ton futur travail, de quoi d’autre ?

Je voulais lui répondre au sujet de sa main sur ma cuisse mais il changea de vitesse. Je lui répondis donc que je me sentais dans mon élément et que j’étais certaine que cela me plaisait beaucoup : « Moi aussi, je le pense, tu es née pour ce métier, ça se voit. » Dit-il en reposant sa main sur ma cuisse. Cette fois je posai la mienne au-dessus, afin de lui montrer que je n’étais pas une fille facile. Il ne s’en soucia guère, deux minutes plus tard, lorsqu’il avait une nouvelle fois passé une vitesse, il reposa sa main bien plus haut sur ma cuisse mais cette fois sous ma robe :— Marius ! Non ! Ce n’est pas bien. Lui murmurais-je. Tout en mouillant le fond de ma petite culotte.
— Tu n’apprécies pas que l’on te désire ?
— Si c’est très agréable mais…Je n’ai que 18 ans, j’aimerais ne pas être considérée comme ma mère.

J’avais dit cela avec le cœur, sans aucune méchanceté, il comprit ce que je voulais dire et s’excusa immédiatement. Après cette remarque, le voyage se passa très bien, il ne fit plus aucun geste déplacé, ni aucune mauvaise allusion. Nos échanges verbaux furent sur le métier et Marius me révéla ce qu’il attendait de moi. Il désirait que j’attire une clientèle jeune, pour cela il me demandait d’aller au camping les après-midis et de faire la promotion de son établissement. C’était largement dans mes cordes et lui promis de le faire.

Dès le lendemain, le samedi après-midi, après avoir eu la permission de sortie, j’étais allée avec Gislaine, ma meilleure amie au bord de la rivière. Les vacanciers commençaient à arriver au camping, vers seize heures, deux jeunes parisiens de vingt-trois ans, Christian et Bernard, étaient venus nous tenir compagnie. Nous avions fait connaissance et avions sympathisé. Si Gislaine était une petite ingénue, ce fut elle la première, qui roula une pelle à son prétendant.

Pour ma part, Christian à mes côtés fut très entreprenant et avait bien tenté de m’inviter sous sa tente. Si j’avais volontiers ouvert les cuisses pour me laisser caresser et si je n’avais pas hésité un instant pour passer ma main dans son short afin de lui masser la verge qui était au garde à vous, j’avais refusé ses avances car je manquais de temps. Je l’avais donc satisfait en le branlant énergiquement. Avant de partir, après notre dernier baiser, je lui fis comprendre qu’il devait encore patienter :— À demain Christian ! je saurai être très gentille.
— Tu n’es plus vierge ? M’avait-il demandé pour se rassurer.
— Ne t’inquiète pas, je ne t’offrirai pas que ma main. Lui dis-je en riant.

Il était déjà tard, lorsque nous les avions laissés, nous nous étions donc donnés rendez-vous pour le lendemain vers quatorze heures. Ces deux types étaient déjà des hommes, je savais ce qu’ils attendaient de nous et j’en avais averti mon amie. Le sexe me manquait, étant très attirée par le jeune parisien, j’avais accepté de rentrer dans sa toile de tente, quant à Gislaine, elle se contentait de flirter avec Bernard qui la pelotait sans résultat. Très vite, Christian eut ce qu’il attendait, j’avais baissé son short de bain sans scrupule et lui taillait déjà une pipe dont il se souviendrait longtemps.

Gislaine, nous entendant gémir sous la tente pendant que mon nouvel ami me baisait, se décida enfin à suivre Bernard qui l’avait très excitée. Elle venait de perdre son dépucelage ce jour-là, heureusement que j’avais prévu pour elle, je savais que cela ne trainerait pas, elle m’en avait encore parlé la veille sur le chemin du retour. J’avais pris quelques capotes dans le cabinet de Jean-Louis. Quant à moi, je prenais mon pied, Christian était d’une résistance incroyable, il semblait ne pas vouloir débander.

Par la même occasion, j’avais fait mon job, en leur disant que je travaillais au bistrot de la place. Deux jours plus tard, ces deux parisiens s’étaient faits des copains et des copines dans le camping. Ceci eut pour effet d’augmenter la clientèle du bar. Quant à nous, Gislaine satisfaite de sa première fois en redemandait. Nous avions pris l’habitude de venir passer nos après-midis avec cette bande de jeunes. Nous trouvions toujours un petit moment d’intimité avant de rentrer à la maison.

Pendant la première quinzaine de juillet, il y eut toute une ribambelle de jeunes au bistrot de la place, c’était devenu leur quartier général. Bernard ayant une autre copine, Gislaine y venait également, elle était belle et très attirante, elle repartait souvent avec un nouveau prétendant. De mon côté, ayant la possibilité de prendre mon pied tous les jours avec Christian, j’étais satisfaite. Il eut même le droit d’accéder à mon petit trou, c’était sa première fois par là et en fut plus que ravi.

La discussion que nous avions eu dans la camionnette avec Marius n’était plus d’actualité, il me voyait bien, depuis deux semaines repartir avec Christian main dans la main, à la fin de mon service. Marius devenait jaloux, cependant je m’étais promise d’attendre fin juillet. Je le sentais bien tourner autour de moi pendant toute la matinée. Mon nouveau copain me permettait de repousser les ardeurs de mon patron. Cela avait encore duré une semaine, jusqu’au départ de Christian. Ne désirant pas restée seule, j’avais cédé aux avances de Jean-Pierre, un célibataire rémois de 25 ans.

Ce jour-là, toute la matinée il fut derrière moi et insista une fois de plus. À la fin de mon service, je venais de reprendre mes affaires dans la réserve, Marius qui m’attendait me pris à bras le corps dans le petit couloir : « Dis-moi Josy, baises-tu aussi avec ce mec ? » Je lui avais, une nouvelle fois souri, l’avait gentiment repoussé et en lui caressant la joue, je répondis franchement afin qu’il sache que je n’étais plus une pucelle mais une jeune fille qui prenait du plaisir : « Oui Marius ! Mais j’ai assez du docteur André pour me faire la morale. »— Ce n’est pas la morale que je te fais, je veux te protéger. Je t’avoue, je te désire, tu me rends fou. J’ai envie de toi.
— Enfin Marius ! Vous pourriez être mon père et vous êtes mon patron, ce ne serait pas convenable.

Le champenois ne me plaisait pas, j’avais vite rompu, il n’était qu’un prétexte, je désirais de plus en plus Marius et j’avais hâte de me retrouver seule avec lui. Je ne savais pas si j’en étais amoureuse mais ce colosse me rendait dingue. Je pensais à lui toutes les nuits. Au fil du temps, Marius s’en rendait compte, j’étais comme une chatte en chaleur, son contact me rendait folle, je me frottais à lui à chaque occasion. Il m’avait dit une fois : « Ton tour viendra plus vite que tu ne le penses. Je saurai être patient. » il avait raison, je ne pourrais plus attendre bien longtemps.

Le jeudi 1er août, le docteur partit seul en vacances chez sa sœur à Quiberon. Avec ma mère, j’avais enfin la liberté de sortir un peu plus longtemps les soirs après le diner. Il était temps pour moi d’accepter la proposition de Marius. Le vendredi matin, je l’avais excité toute la matinée, il faut dire que je m’étais habillée pour l’occasion. Je m’étais maquillée un peu plus que d’habitude, je portais une jupe noire très courte, me moulant mes fesses, un petit chemisier blanc dont j’avais enlevé les trois premiers boutons, laissant apparaître une bonne partie de mon sillon mammaire.

J’étais prête à me donner à lui, j’appréhendais toutefois car je ne connaissais pas la suite. Ferait-il de moi une pute comme il l’avait fait à ma mère ? Toute la matinée, nous n’avons cessés de nous toucher, de nous sourire. À 14 heures, les serveuses arrivèrent et Christiane prit la place du patron derrière le bar. Marius m’appela dans son bureau où il posa ses fesses comme la première fois. J’étais dans mes petits souliers, debout devant lui, ne sachant pas trop ce qui m’attendait : « Tiens ! » Me dit-il, en me donnant une enveloppe où mon prénom était inscrit.

À l’intérieur, se trouvait mon bulletin de salaire avec un chèque de 420 francs, correspondant à ma paye. Puis Marius sortit de sa poche un billet de 50 francs qu’il me tendit : « C’est quoi ça ? » Lui demandais-je d’un ton arrogant, repensant à ce qu’avait vécu ma mère : « C’est une prime ma Josy, tu as super bien bossé, tu le mérites. » J’avais déjà touché près de 45 francs de pourboire ce mois-ci, j’étais folle de joie.

J’avais à peine rangé l’enveloppe dans mon sac à main que Marius, les jambes écartées, posa ses deux mains sur ma taille et m’attira à lui. Par reflexe, je posai les miennes sur ses épaules. Ses grosses paluches étaient désormais sur mes fesses et me tiraient à lui, mon pubis était collé à son entrejambe où je ressentais son désir. Sans aucun doute, mon patron était bel et bien en érection. J’imaginais dans ma tête cette queue se durcir, j’étais à la fois très excitée mais j’appréhendais. Pourtant la situation était trop belle, je l’avais attendu assez longtemps, je mouillais à l’idée qu’il me baise.

Marius excité comme jamais, se jeta sur moi, je le pris par le cou prenant sa bouche goulument, sa langue était chaude, notre baiser embrasé ne dura que quelques instants. Ayant descendu la fermeture éclair de ma jupe, il enleva le bouton et celle-ci se retrouva sur le sol. Il enleva tous les boutons de mon chemisier, j’avais les deux seins à l’air. Il les pétrit un long moment en m’embrassant les tétons. Je transpirais, ma petite chatte trempée ruisselait jusqu’à l’intérieur de mes cuisses.

Marius me souleva comme une plume et me déposa sur le bureau avant de baisser ma petite culotte puis s’accroupit. En quelques minutes, j’étais assise nue devant lui, sa tête entre mes jambes écartées, sans avoir pu esquisser le moindre geste. Il lécha mes grandes lèvres et sa langue pénétra ma fente pour remonter vers mon clitoris en feu. Je gémis de plaisir en lui serrant la tête contre moi, il m’enfonça un doigt dans la chatte avant d’en glisser un deuxième. Je le suppliai de me lécher encore, c’était magique.

Marius ne pouvait plus attendre, il se releva, baissa son pantalon, me coucha à plat dos brusquement sur le bureau, me pétris les seins à la limite de la douleur puis me pénétra sèchement de son sexe de pierre, dans ma petite chatte lubrifiée à souhait. Jamais personne ne m’avait pris aussi fort et aussi vite, sa queue plantée au plus profond de mon vagin. Je sentis le plaisir se prolonger jusqu’à mon clitoris, je joui si fort que je cru tomber dans les pommes. Pour lui aussi, c’était le moment, ne sachant pas que je prenais la pilule, il retira sa bite humide et m’aspergea le ventre de son sperme, j’en avais reçu jusqu’à mon menton, mes seins ne furent pas épargnés.

J’avais hâte de recommencer, je pensais que Marius me propose de monter avec lui. En effet, il faisait toujours sa sieste à cette heure-là. Tout ne se passa pas comme je me l’étais imaginée, il m’embrassa à pleine bouche et me dit calmement en remontant son pantalon : « Je monte, je te vois demain matin. » J’étais très déçue, je voulais le retenir. Je m’étais lâchée en lui disant carrément : « — Je peux vous faire une fellation, ça vous dit ?
— Merci ! Nous verrons ça le mois prochain.

Marius me rendait la monnaie de ma pièce, j’étais vexée et si triste de ne pas lui avoir plu, au point qu’il ne veuille plus de moi. En sortant, il m’avait dit : « Continue comme ça, j’aimerais que le mois d’août soit encore meilleur. Tu ne le regretteras pas. »
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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