« Josy » : La petite salope au paradis. Épisode 13
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : La petite salope au paradis. Épisode 13
Je n’avais donc pas eu recours à ma bouche pour satisfaire ce pervers de brasseur, les travaux d’aménagement purent commencer rapidement. Là encore, le peintre était lui aussi une relation du « Plazza. » Cependant, si j’avais cédé aux caprices du banquier pour parvenir à mes fins, en le suçant deux jours de suite. Cet artisan décorateur n’avait fait aucune pression sur moi. C’est vrai que j’étais prête à tout pour la réussite de mon projet, je ne m’étais donc pas arrêtée là.
Ce jeudi, après ma proposition indécente faite au jeune charpentier, comme il me plaisait, je n’avais pas hésité à lui offrir mes lèvres. Malgré qu’il soit pressé et allait probablement être en retard, il ne put m’empêcher de poursuivre ce que j’avais commencé, c’est-à-dire, baisser son pantalon. Il n’était pas monté comme mon pianiste noir, découvert dans la boite de jazz à Paris, cependant sa queue de taille moyenne était belle et bien raide, une vraie trique dure comme du bois.
Je m’étais tellement appliquée, autant avec ma langue qu’avec mes lèvres, dans cette fellation hors du commun, qu’il ne lui avait pas fallu très longtemps pour m’expédier toute sa semence au fond de ma gorge, pour son plus grand plaisir et le mien par la même occasion. Ayant très apprécié mes qualités de petite salope, il voulait me connaitre un peu mieux maintenant. Ce n’était plus le samedi, qu’il désirait me revoir : « Que fais-tu ce soir, tu es libre ? » Je ne me sentais pas capable de refuser une telle proposition, ce bel athlète me plaisait vraiment :— Ok ! Viens vers 19 heures « au Paradis ».
Avec Armand, marié avec deux enfants dont un en bas âge, je ressentais une réelle attirance. Ce fut comme cela que notre liaison débuta. Après l’avoir quitté, j’étais restée toute l’après-midi avec les peintres et le frigoriste en attendant avec impatience la venue de mon futur amant. Ce fut sur une table de brasserie pliante qu’il m’avait fait jouir avec sa langue et ses doigts. Après m’avoir apporté du plaisir, désirant revivre ce merveilleux moment, il m’invita à lui rendre la pareille dans une divine fellation.
Allongée le dos sur la table, ma tête en dehors tombant en arrière, je l’invitai à prendre ma bouche. Il m’enfonça sa queue entre les lèvres et se mis à me la baiser ainsi. Le sexe de mon amant venait cogner régulièrement au fond de ma gorge. Cette situation me rendait folle d'excitation, d'autant que les doigts du charpentier taquinaient sans relâche mon clitoris en même temps. Tellement excité, Armand n’en pouvant plus, était repassé devant moi pour me prendre la chatte à grands coups de rein et se vida en moi.
Pendant toute la durée des travaux de couverture, Armand venait me prendre tous les soirs avant de rentrer chez lui. Il semblait ne plus pouvoir se passer de mes trois orifices. Je ne savais pas comment, après ces baises ardentes, il pouvait encore satisfaire son épouse tellement il se donnait à fond dans tout ce qu’il entreprenait. Même moi, pourtant accroc au sexe, il me fatiguait. D’ailleurs ce fut le cas pour la grange, avec ses ouvriers, en à peine un mois, les travaux étaient terminés. À partir de ce jour, n’ayant plus d’excuse à fournir à sa femme, il ne venait plus aussi souvent.
Le fait de baiser avec des hommes mariés, me permettait de rester dans une absolue discrétion, ce n’était pas les types qui trompaient leur épouse qui allait crier sur tous les toits que j’étais une vraie petite salope. Ma réputation restait ainsi presqu’intacte même s’il se disait surtout par jalousie, que je faisais tourner la tête aux hommes que j’approchais.
Cela faisait déjà trois semaines que les travaux avaient débuté et j’avais déjà choisi le nom de mon nouvel établissement. Ce restaurant se nommait « Au Paradis » mon enseigne commerciale venait d’ailleurs d’être installée. Les peintres étaient en train de terminer pour la fin de la semaine, les murs et les plafonds de la cuisine et des deux grandes salles. Avant l’ouverture, il ne restait plus qu’au menuisier de monter une petite estrade, poncer et cirer les parquets afin que je puisse faire une piste de danse dans la deuxième grande salle.
N'ayant jamais travaillé en restauration, Maman étant un fin cordon bleu, et désirant quitter André définitivement, c’était elle-même proposé de faire la cuisine en attendant que mon commerce fonctionne. Après vingt ans de soumission, ce ne fut pas simple avec le docteur mais il dut se résigner de prendre une autre ménagère. Gislaine mon amie d’enfance fit le maximum afin de faire savoir dans tout le secteur que j’avais repris l’ancien routier à F… et de la date d’ouverture de mon nouveau restaurant.
Le début de l’affaire fut très timide, heureusement avec toutes mes connaissances dont mes anciens clients travaillant dans le secteur, nous nous en sortions avec les repas du midi. Et vu la proximité avec ma commune, le bar fonctionnait bien en soirée. La cuisine étant bonne et servie en quantité, en quinze jours la salle se remplissait de plus en plus. Toutefois, les week-end, celle-ci semblait vide, mais la petite douzaine de couples de clients appréciaient danser au son de l’accordéon.
À la fin du mois de mai, j’étais parvenue à payer mon crédit et toutes mes traites, j’avais même versé un petit salaire à ma mère. Je savais que je devais attendre l’inauguration officielle de ma guinguette avant que mon nouvel établissement soit reconnu et apprécié. Pendant ce temps, les travaux de finition de la grange se poursuivait. Ce que je ne vous avais pas dit dans le récit précédent, c’était que le jour où j’avais rencontré Jean-Louis, le fils de Maitre K, j’en étais tombée follement amoureuse. Ce fut, pour moi, le véritable coup de foudre. Il ne s’était toutefois rien passé entre nous, il me semblait que je ne l’attirais pas.
Cet avocat de 27 ans ne portait pas d’alliance, pourtant il était beau comme un dieu et son physique n’avait rien à envier à un sportif de haut niveau. Malgré qu’il sût se contenir en gardant certaines distances avec moi, désirant passer le plus de temps possible en sa compagnie, il ne refusait jamais de me rencontrer. Nous étions allés à plusieurs reprises, en ville boire un verre, et passait régulièrement me rendre visite au restaurant dès que je l’appelais. C’était un ange, en l’espace d’un mois, nous étions devenus de véritables amis. C’était la première fois qu’un homme me résistait.
Ce fut lui qui me trouva mon comptable, Michel était un ami à lui, un gars charmant de son âge. Jean-Lou m’avait même récupéré pour une bouchée de pain, par l’intermédiaire d’un autre copain forain, un parquet en chêne et une estrade, provenant d’un vieux bal monté. Désirant avoir affaire le moins possible avec M Jean le brasseur, Jean Lou s’était proposé de le faire. Il négocia avec lui, la fourniture des chaises et des tables de terrasse disposée autour du parquet d’une centaine de m2, servant de piste de danse à ma guinguette.
Avec l’aide de Jean-Lou, de Gislaine et de son petit copain, nous avions installées le dernier samedi du mois de mai, toutes les guirlandes et banderoles afin de rendre ce lieu le plus champêtre et accueillant possible. Cet endroit ressemblant étrangement à un immense chapiteau de 600m2, était magnifique. « La Grange à Josy » pouvait recevoir jusqu’à 450 clients assis, tout était prêt pour l’inauguration prévue le week-end suivant. Ce soir-là, j’avais invité mes amis à manger, je sentais que Jean-Lou devenait de plus en plus proche avec moi, nous avions même danser le slow et le tango.
Ce fut la raison pour laquelle, après la fermeture vers une heure du matin, je ne l’avais pas laissé repartir. J’avais trouvé un prétexte bidon en lui demandant : « J’aimerais ton avis sur mes comptes. » J’habitais depuis à l’étage, dans l’ancien appartement des propriétaires où j’avais refait une chambre et un bureau. J’étais très impatiente et à la fois troublée de me retrouver seule avec lui. Dès notre arrivés en haut de l’escalier, ne pouvant plus attendre, je le pris par le cou avant de l’embrasser passionnément.
S’il m’avait rendu mon baiser, je l’avais trouvé réticent lorsque je l’avais attiré dans ma chambre. J’avais bien ressenti dans son entrejambe que je ne laissais pas indifférent, pourtant, Je sentais bien qu’il y avait quelque chose qui clochait : « Qu’est-ce qui ne va pas Jean-Lou, je ne te plais pas ? » Il ne répondit pas mais m’avait repris dans ses bras et après avoir répondu favorablement, une nouvelle fois à mon baiser, il me dit à l’oreille : « Si beaucoup ! Même plus que tu peux t’imaginer mais je ne suis pas l’homme qu’il te faut. »— Qu’est-ce que tu racontes là ! Viens ! Déshabille-toi et allons-nous coucher, il se fait tard.
Je ne désirais pas lui montrer mon côté petite cochonne, ce fut lui qui me demanda une fellation où j’avais très apprécié son érection. Puis après m’avoir fait jouir plusieurs fois avec ses doigts et en me baisant, il me proposa de me sodomiser, me disant qu’il adorait mon petit cul. Le lendemain matin, après avoir une nouvelle fois fait l’amour je lui avouai ce que je n’avais jamais dit à personne. Blottie nue contre lui, heureuse d’avoir enfin pu passer une nuit entière avec lui, je lui fis une bise dans le cou et lui murmurai à l’oreille : « Je t’aime Jean-Lou. »
Il n’avait pas pu s’imaginer de l’importance de ma petite phrase soufflée sur l’oreiller. Il me rendit mon baiser et me répondit : « Moi aussi ! Mais ne nous prenons pas au sérieux, j’ai beaucoup trop de sentiments pour toi. Cela risquerait de nous nuire à tous les deux. Je me dépêche, je dois filer. » Je n’avais pas compris ce qu’il voulait dire par là, cependant, je n’avais pas le temps d’y réfléchir car je devais moi aussi me préparer, une dure journée m’attendait.
Je devais rejoindre ma mère qui était déjà devant les fourneaux depuis 7 heures du matin. En effet, depuis l’ouverture, c’était la première fois que nous avions autant de réservations pour un dimanche. La première salle fut remplie aux trois-quarts, j’eus même l’agréable surprise de recevoir André accompagnée de sa nouvelle ménagère. Quel séducteur ce docteur ! Cet après-midi-là, l’accordéoniste que je payais au noir, me demanda s’il était possible de faire un essai avec la chanteuse qui l’accompagnait.
Ce fut une réussite, ayant l’habitude de chanter dans un orchestre « Chantal » n’était pas une débutante, en grande professionnelle de la chanson française, elle avait comblé l’assistance et le vieux musicien s’était surpassé. J’avais maintenant l’occasion d’avoir une véritable artiste à ma disposition pour le jour J. Françoise, Gislaine s’était donnée sans compter la semaine suivante. Pour l’inauguration de « La Grange à Josy », nous avions distribué et envoyé plus de deux-mille-cinq-cent invitations, à des notables de la région, aux nombreux clients du « Plazza » et à nos connaissances.
Là encore, ce fut génial. Du maire du village et ses homologues des communes avoisinantes, leurs conseillers municipaux mais également de nombreuses personnalités de la ville et de la région, dont Maitre K venu avec plusieurs magistrats, jusqu’au préfet, un ami de Françoise, tous ces messieurs étaient accompagnés de leur épouse ou maitresse. Ils furent plus de 800 personnes à avoir apprécié les lieux en buvant et en dansant au son de l’accordéon. « Chantal » avait une nouvelle fois enchanté l’assemblée avec sa voix magnifique.
De 15 à 19 heures, afin de faire connaitre mon affaire, les invités pouvaient visiter les lieux en allant et venant du restaurant à la guinguette. Chacun d’entre eux voulait s’entretenir un instant avec moi, bien souvent pour trinquer, me féliciter pour mon audace ou tout simplement afin de me souhaiter bonne chance pour la suite. D’entendre tous ces compliments, encouragements et toutes ces promesses, me mirent du baume au cœur, j’avais besoin de ce « bouche à oreille. » J’avais engagé pas mal d’argent dans cette inauguration, j’attendais un retour sur investissement.
À cette occasion, si je fus ravie de recevoir mes invités, ce ne fus pas le cas pour certains. En premier lieu, M. Jean, le brasseur qui avait profité de la foule et du manque de place pour se coller à moi et pour me triturer les fesses sans vergogne. Je n’avais pu esquisser son geste tellement nous étions serrés. Cela m’avait semblé durer une éternité : « Tu me le donneras ton cul. Je saurai être patient » M’avait-il dit à l’oreille sans que personne ne puisse entendre, ni intervenir. Il avait recommencé les mêmes gestes, peu avant de partir : « Bientôt je te baiserai comme une putain, je sais des choses. »
Pour ce grand jour de festivité, je n’avais pas voulu dire non, lorsque Gislaine me proposa d’inviter Marius. Il était évident que c’était cet homme qui m’avait mis le pied à l’étrier. Même s’il m’avait causé du tort, c’était grâce à cela que j’en étais arrivée là. Et je ne pouvais pas oublier que c’était encore cet homme qui me fit frissonner pour la première fois. Avec lui, j’avais découvert le plaisir du sexe, la découverte de l’orgasme, dans des baises courtes, torrides et sauvages.
Ça faisait à peine un an et demi que j’avais quitté le bistrot de la place, lorsqu’il m’avait sodomisé de force. Même si ce jour-là, je fus très en colère et étais partie vexée, je m’étais rendu compte par la suite, que j’avais très apprécié. C’était la raison pour laquelle, j’étais allée le revoir trois fois, lorsque mon moral était au plus bas. Dans ses bras, en me baisant comme une chienne, ce colosse parvenait à me faire prendre un orgasme terrible, en à peine dix minutes et me faire oublier mes tracas.
J’étais même retournée le rencontrer, il y a cinq mois avant de faire la pute. Ayant besoin d’argent pour acheter le routier, je lui avais proposé une association. Ne croyant pas à mon projet, il avait donc refusé, cependant je lui avais demandé de me prêter la somme qui me manquait. Là encore, malgré mon insistance et mes supplications, il m’envoya sur les roses : « T’as qu’à faire la pute. » M’avait-il dit. Comme un an auparavant, après une fellation d’usage, il me coucha sur le bureau, posa un billet de 50 frs, m’arracha ma petite culotte et me sodomisa brutalement. Je n’avais pas osé le lui dire, mais j’avais une nouvelle fois adoré ça.
Lorsque je le vis arrivé seul à l’inauguration, cela m’étonna, sa femme ne le quittait plus d’une semelle. Après un simple « Bonjour », je ne l’avais plus revu. Contrairement au pervers de grossiste, il avait attendu le milieu de l’après-midi, pendant que de nombreux convives dansaient sur la piste, pour venir me voir à l’intérieur du restaurant, où tout était plus calme : « Tu me fais visiter ? » Me demanda-t-il en m’empoignant par la taille pour me soulever et me faire la bise.
Côte à côte, tout en discutant, nous étions allés des deux salles aux cuisines, en passant par la réserve et le vestiaire. Je sentais dans ses propos une petite pointe d’amertume et quelques regrets, de ne pas avoir accepté ma proposition. Il me parla beaucoup de toutes ces personnalités présentes à mon inauguration, tout surpris de ma notoriété : « Tu connais le préfet et le commissaire de police ? » En effet, au « Plazza, Françoise m’avait présenté ce dernier et nous l’avions revu quelques fois là-bas : « Tu as baisés avec tous types ? Le flic aussi ? Rassure-moi, t’as pas fait la pute ? »
Marius ne savait rien de ma vie passée dans le cabaret, il bluffait et était certainement jaloux. Ça le mettait hors de lui de savoir que tous ces messieurs étaient venus uniquement pour me faire plaisir. Bien entendu je n’avais jamais couché avec un habitué du club, même si ceux-ci en rêvaient, je tenais à conserver une certaine réputation. Avant de retourner dans le hall d’entrée, afin de ressortir du restaurant, il me demanda ce qu’il y avait derrière la sortie de secours, se trouvant de l’autre côté du couloir : « il n’y a rien, c’est un accès à l’étable et l’ancienne porcherie. »
Il actionna la poignée et ouvrit machinalement la lourde porte en bois. Il m’attrapa par le bras et m’attira à l’intérieur. Mon cœur battait la chamade, n’ayant pas revu Jean-Lou depuis une semaine, je fus très excitée. Je savais très bien ce que voulait Marius et j’étais incapable de lui refuser. Au contraire, je pensais même que je n’attendais que ça. Plaquée contre la porte refermée, je mouillais déjà ma petite culotte pendant que nos langues s’enroulaient dans nos bouches. Il me pétrissait le sein et une de mes fesses, j’étais totalement offerte à lui :— J’ai envie de te baiser Josy. Là tout de suite.
La suite de l’histoire mercredi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Ce jeudi, après ma proposition indécente faite au jeune charpentier, comme il me plaisait, je n’avais pas hésité à lui offrir mes lèvres. Malgré qu’il soit pressé et allait probablement être en retard, il ne put m’empêcher de poursuivre ce que j’avais commencé, c’est-à-dire, baisser son pantalon. Il n’était pas monté comme mon pianiste noir, découvert dans la boite de jazz à Paris, cependant sa queue de taille moyenne était belle et bien raide, une vraie trique dure comme du bois.
Je m’étais tellement appliquée, autant avec ma langue qu’avec mes lèvres, dans cette fellation hors du commun, qu’il ne lui avait pas fallu très longtemps pour m’expédier toute sa semence au fond de ma gorge, pour son plus grand plaisir et le mien par la même occasion. Ayant très apprécié mes qualités de petite salope, il voulait me connaitre un peu mieux maintenant. Ce n’était plus le samedi, qu’il désirait me revoir : « Que fais-tu ce soir, tu es libre ? » Je ne me sentais pas capable de refuser une telle proposition, ce bel athlète me plaisait vraiment :— Ok ! Viens vers 19 heures « au Paradis ».
Avec Armand, marié avec deux enfants dont un en bas âge, je ressentais une réelle attirance. Ce fut comme cela que notre liaison débuta. Après l’avoir quitté, j’étais restée toute l’après-midi avec les peintres et le frigoriste en attendant avec impatience la venue de mon futur amant. Ce fut sur une table de brasserie pliante qu’il m’avait fait jouir avec sa langue et ses doigts. Après m’avoir apporté du plaisir, désirant revivre ce merveilleux moment, il m’invita à lui rendre la pareille dans une divine fellation.
Allongée le dos sur la table, ma tête en dehors tombant en arrière, je l’invitai à prendre ma bouche. Il m’enfonça sa queue entre les lèvres et se mis à me la baiser ainsi. Le sexe de mon amant venait cogner régulièrement au fond de ma gorge. Cette situation me rendait folle d'excitation, d'autant que les doigts du charpentier taquinaient sans relâche mon clitoris en même temps. Tellement excité, Armand n’en pouvant plus, était repassé devant moi pour me prendre la chatte à grands coups de rein et se vida en moi.
Pendant toute la durée des travaux de couverture, Armand venait me prendre tous les soirs avant de rentrer chez lui. Il semblait ne plus pouvoir se passer de mes trois orifices. Je ne savais pas comment, après ces baises ardentes, il pouvait encore satisfaire son épouse tellement il se donnait à fond dans tout ce qu’il entreprenait. Même moi, pourtant accroc au sexe, il me fatiguait. D’ailleurs ce fut le cas pour la grange, avec ses ouvriers, en à peine un mois, les travaux étaient terminés. À partir de ce jour, n’ayant plus d’excuse à fournir à sa femme, il ne venait plus aussi souvent.
Le fait de baiser avec des hommes mariés, me permettait de rester dans une absolue discrétion, ce n’était pas les types qui trompaient leur épouse qui allait crier sur tous les toits que j’étais une vraie petite salope. Ma réputation restait ainsi presqu’intacte même s’il se disait surtout par jalousie, que je faisais tourner la tête aux hommes que j’approchais.
Cela faisait déjà trois semaines que les travaux avaient débuté et j’avais déjà choisi le nom de mon nouvel établissement. Ce restaurant se nommait « Au Paradis » mon enseigne commerciale venait d’ailleurs d’être installée. Les peintres étaient en train de terminer pour la fin de la semaine, les murs et les plafonds de la cuisine et des deux grandes salles. Avant l’ouverture, il ne restait plus qu’au menuisier de monter une petite estrade, poncer et cirer les parquets afin que je puisse faire une piste de danse dans la deuxième grande salle.
N'ayant jamais travaillé en restauration, Maman étant un fin cordon bleu, et désirant quitter André définitivement, c’était elle-même proposé de faire la cuisine en attendant que mon commerce fonctionne. Après vingt ans de soumission, ce ne fut pas simple avec le docteur mais il dut se résigner de prendre une autre ménagère. Gislaine mon amie d’enfance fit le maximum afin de faire savoir dans tout le secteur que j’avais repris l’ancien routier à F… et de la date d’ouverture de mon nouveau restaurant.
Le début de l’affaire fut très timide, heureusement avec toutes mes connaissances dont mes anciens clients travaillant dans le secteur, nous nous en sortions avec les repas du midi. Et vu la proximité avec ma commune, le bar fonctionnait bien en soirée. La cuisine étant bonne et servie en quantité, en quinze jours la salle se remplissait de plus en plus. Toutefois, les week-end, celle-ci semblait vide, mais la petite douzaine de couples de clients appréciaient danser au son de l’accordéon.
À la fin du mois de mai, j’étais parvenue à payer mon crédit et toutes mes traites, j’avais même versé un petit salaire à ma mère. Je savais que je devais attendre l’inauguration officielle de ma guinguette avant que mon nouvel établissement soit reconnu et apprécié. Pendant ce temps, les travaux de finition de la grange se poursuivait. Ce que je ne vous avais pas dit dans le récit précédent, c’était que le jour où j’avais rencontré Jean-Louis, le fils de Maitre K, j’en étais tombée follement amoureuse. Ce fut, pour moi, le véritable coup de foudre. Il ne s’était toutefois rien passé entre nous, il me semblait que je ne l’attirais pas.
Cet avocat de 27 ans ne portait pas d’alliance, pourtant il était beau comme un dieu et son physique n’avait rien à envier à un sportif de haut niveau. Malgré qu’il sût se contenir en gardant certaines distances avec moi, désirant passer le plus de temps possible en sa compagnie, il ne refusait jamais de me rencontrer. Nous étions allés à plusieurs reprises, en ville boire un verre, et passait régulièrement me rendre visite au restaurant dès que je l’appelais. C’était un ange, en l’espace d’un mois, nous étions devenus de véritables amis. C’était la première fois qu’un homme me résistait.
Ce fut lui qui me trouva mon comptable, Michel était un ami à lui, un gars charmant de son âge. Jean-Lou m’avait même récupéré pour une bouchée de pain, par l’intermédiaire d’un autre copain forain, un parquet en chêne et une estrade, provenant d’un vieux bal monté. Désirant avoir affaire le moins possible avec M Jean le brasseur, Jean Lou s’était proposé de le faire. Il négocia avec lui, la fourniture des chaises et des tables de terrasse disposée autour du parquet d’une centaine de m2, servant de piste de danse à ma guinguette.
Avec l’aide de Jean-Lou, de Gislaine et de son petit copain, nous avions installées le dernier samedi du mois de mai, toutes les guirlandes et banderoles afin de rendre ce lieu le plus champêtre et accueillant possible. Cet endroit ressemblant étrangement à un immense chapiteau de 600m2, était magnifique. « La Grange à Josy » pouvait recevoir jusqu’à 450 clients assis, tout était prêt pour l’inauguration prévue le week-end suivant. Ce soir-là, j’avais invité mes amis à manger, je sentais que Jean-Lou devenait de plus en plus proche avec moi, nous avions même danser le slow et le tango.
Ce fut la raison pour laquelle, après la fermeture vers une heure du matin, je ne l’avais pas laissé repartir. J’avais trouvé un prétexte bidon en lui demandant : « J’aimerais ton avis sur mes comptes. » J’habitais depuis à l’étage, dans l’ancien appartement des propriétaires où j’avais refait une chambre et un bureau. J’étais très impatiente et à la fois troublée de me retrouver seule avec lui. Dès notre arrivés en haut de l’escalier, ne pouvant plus attendre, je le pris par le cou avant de l’embrasser passionnément.
S’il m’avait rendu mon baiser, je l’avais trouvé réticent lorsque je l’avais attiré dans ma chambre. J’avais bien ressenti dans son entrejambe que je ne laissais pas indifférent, pourtant, Je sentais bien qu’il y avait quelque chose qui clochait : « Qu’est-ce qui ne va pas Jean-Lou, je ne te plais pas ? » Il ne répondit pas mais m’avait repris dans ses bras et après avoir répondu favorablement, une nouvelle fois à mon baiser, il me dit à l’oreille : « Si beaucoup ! Même plus que tu peux t’imaginer mais je ne suis pas l’homme qu’il te faut. »— Qu’est-ce que tu racontes là ! Viens ! Déshabille-toi et allons-nous coucher, il se fait tard.
Je ne désirais pas lui montrer mon côté petite cochonne, ce fut lui qui me demanda une fellation où j’avais très apprécié son érection. Puis après m’avoir fait jouir plusieurs fois avec ses doigts et en me baisant, il me proposa de me sodomiser, me disant qu’il adorait mon petit cul. Le lendemain matin, après avoir une nouvelle fois fait l’amour je lui avouai ce que je n’avais jamais dit à personne. Blottie nue contre lui, heureuse d’avoir enfin pu passer une nuit entière avec lui, je lui fis une bise dans le cou et lui murmurai à l’oreille : « Je t’aime Jean-Lou. »
Il n’avait pas pu s’imaginer de l’importance de ma petite phrase soufflée sur l’oreiller. Il me rendit mon baiser et me répondit : « Moi aussi ! Mais ne nous prenons pas au sérieux, j’ai beaucoup trop de sentiments pour toi. Cela risquerait de nous nuire à tous les deux. Je me dépêche, je dois filer. » Je n’avais pas compris ce qu’il voulait dire par là, cependant, je n’avais pas le temps d’y réfléchir car je devais moi aussi me préparer, une dure journée m’attendait.
Je devais rejoindre ma mère qui était déjà devant les fourneaux depuis 7 heures du matin. En effet, depuis l’ouverture, c’était la première fois que nous avions autant de réservations pour un dimanche. La première salle fut remplie aux trois-quarts, j’eus même l’agréable surprise de recevoir André accompagnée de sa nouvelle ménagère. Quel séducteur ce docteur ! Cet après-midi-là, l’accordéoniste que je payais au noir, me demanda s’il était possible de faire un essai avec la chanteuse qui l’accompagnait.
Ce fut une réussite, ayant l’habitude de chanter dans un orchestre « Chantal » n’était pas une débutante, en grande professionnelle de la chanson française, elle avait comblé l’assistance et le vieux musicien s’était surpassé. J’avais maintenant l’occasion d’avoir une véritable artiste à ma disposition pour le jour J. Françoise, Gislaine s’était donnée sans compter la semaine suivante. Pour l’inauguration de « La Grange à Josy », nous avions distribué et envoyé plus de deux-mille-cinq-cent invitations, à des notables de la région, aux nombreux clients du « Plazza » et à nos connaissances.
Là encore, ce fut génial. Du maire du village et ses homologues des communes avoisinantes, leurs conseillers municipaux mais également de nombreuses personnalités de la ville et de la région, dont Maitre K venu avec plusieurs magistrats, jusqu’au préfet, un ami de Françoise, tous ces messieurs étaient accompagnés de leur épouse ou maitresse. Ils furent plus de 800 personnes à avoir apprécié les lieux en buvant et en dansant au son de l’accordéon. « Chantal » avait une nouvelle fois enchanté l’assemblée avec sa voix magnifique.
De 15 à 19 heures, afin de faire connaitre mon affaire, les invités pouvaient visiter les lieux en allant et venant du restaurant à la guinguette. Chacun d’entre eux voulait s’entretenir un instant avec moi, bien souvent pour trinquer, me féliciter pour mon audace ou tout simplement afin de me souhaiter bonne chance pour la suite. D’entendre tous ces compliments, encouragements et toutes ces promesses, me mirent du baume au cœur, j’avais besoin de ce « bouche à oreille. » J’avais engagé pas mal d’argent dans cette inauguration, j’attendais un retour sur investissement.
À cette occasion, si je fus ravie de recevoir mes invités, ce ne fus pas le cas pour certains. En premier lieu, M. Jean, le brasseur qui avait profité de la foule et du manque de place pour se coller à moi et pour me triturer les fesses sans vergogne. Je n’avais pu esquisser son geste tellement nous étions serrés. Cela m’avait semblé durer une éternité : « Tu me le donneras ton cul. Je saurai être patient » M’avait-il dit à l’oreille sans que personne ne puisse entendre, ni intervenir. Il avait recommencé les mêmes gestes, peu avant de partir : « Bientôt je te baiserai comme une putain, je sais des choses. »
Pour ce grand jour de festivité, je n’avais pas voulu dire non, lorsque Gislaine me proposa d’inviter Marius. Il était évident que c’était cet homme qui m’avait mis le pied à l’étrier. Même s’il m’avait causé du tort, c’était grâce à cela que j’en étais arrivée là. Et je ne pouvais pas oublier que c’était encore cet homme qui me fit frissonner pour la première fois. Avec lui, j’avais découvert le plaisir du sexe, la découverte de l’orgasme, dans des baises courtes, torrides et sauvages.
Ça faisait à peine un an et demi que j’avais quitté le bistrot de la place, lorsqu’il m’avait sodomisé de force. Même si ce jour-là, je fus très en colère et étais partie vexée, je m’étais rendu compte par la suite, que j’avais très apprécié. C’était la raison pour laquelle, j’étais allée le revoir trois fois, lorsque mon moral était au plus bas. Dans ses bras, en me baisant comme une chienne, ce colosse parvenait à me faire prendre un orgasme terrible, en à peine dix minutes et me faire oublier mes tracas.
J’étais même retournée le rencontrer, il y a cinq mois avant de faire la pute. Ayant besoin d’argent pour acheter le routier, je lui avais proposé une association. Ne croyant pas à mon projet, il avait donc refusé, cependant je lui avais demandé de me prêter la somme qui me manquait. Là encore, malgré mon insistance et mes supplications, il m’envoya sur les roses : « T’as qu’à faire la pute. » M’avait-il dit. Comme un an auparavant, après une fellation d’usage, il me coucha sur le bureau, posa un billet de 50 frs, m’arracha ma petite culotte et me sodomisa brutalement. Je n’avais pas osé le lui dire, mais j’avais une nouvelle fois adoré ça.
Lorsque je le vis arrivé seul à l’inauguration, cela m’étonna, sa femme ne le quittait plus d’une semelle. Après un simple « Bonjour », je ne l’avais plus revu. Contrairement au pervers de grossiste, il avait attendu le milieu de l’après-midi, pendant que de nombreux convives dansaient sur la piste, pour venir me voir à l’intérieur du restaurant, où tout était plus calme : « Tu me fais visiter ? » Me demanda-t-il en m’empoignant par la taille pour me soulever et me faire la bise.
Côte à côte, tout en discutant, nous étions allés des deux salles aux cuisines, en passant par la réserve et le vestiaire. Je sentais dans ses propos une petite pointe d’amertume et quelques regrets, de ne pas avoir accepté ma proposition. Il me parla beaucoup de toutes ces personnalités présentes à mon inauguration, tout surpris de ma notoriété : « Tu connais le préfet et le commissaire de police ? » En effet, au « Plazza, Françoise m’avait présenté ce dernier et nous l’avions revu quelques fois là-bas : « Tu as baisés avec tous types ? Le flic aussi ? Rassure-moi, t’as pas fait la pute ? »
Marius ne savait rien de ma vie passée dans le cabaret, il bluffait et était certainement jaloux. Ça le mettait hors de lui de savoir que tous ces messieurs étaient venus uniquement pour me faire plaisir. Bien entendu je n’avais jamais couché avec un habitué du club, même si ceux-ci en rêvaient, je tenais à conserver une certaine réputation. Avant de retourner dans le hall d’entrée, afin de ressortir du restaurant, il me demanda ce qu’il y avait derrière la sortie de secours, se trouvant de l’autre côté du couloir : « il n’y a rien, c’est un accès à l’étable et l’ancienne porcherie. »
Il actionna la poignée et ouvrit machinalement la lourde porte en bois. Il m’attrapa par le bras et m’attira à l’intérieur. Mon cœur battait la chamade, n’ayant pas revu Jean-Lou depuis une semaine, je fus très excitée. Je savais très bien ce que voulait Marius et j’étais incapable de lui refuser. Au contraire, je pensais même que je n’attendais que ça. Plaquée contre la porte refermée, je mouillais déjà ma petite culotte pendant que nos langues s’enroulaient dans nos bouches. Il me pétrissait le sein et une de mes fesses, j’étais totalement offerte à lui :— J’ai envie de te baiser Josy. Là tout de suite.
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