« Josy » : La petite salope au permis de conduire. Épisode 18
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : La petite salope au permis de conduire. Épisode 18
Ce soir-là, au « Plazza, avec Françoise, je vous avais dit qu’un homme était venu me saluer : « Bonsoir Josiane ! Te souviens-tu de moi ? » Surprise et dans la pénombre, je ne l’avais pas reconnu immédiatement mais après l’avoir bien regardé, tellement heureuse de le revoir, je m’étais levée et lui avait déposé une bise sur ses lèvres : « Désolée, comment vas-tu ? Je te présente mon amie Françoise. Françoise voilà Denis un très vieil ami. Dis-je, avant de me reprendre ; un ancien amant, devrais-je dire. » Il salua mon amie en lui faisant la bise et repartit en s’excusant : « Je ne suis pas seul, je vous laisse. À tout à l’heure, j’espère. »
Une fois seules, je dis à Françoise que ce type était l’inspecteur qui me fit passer le permis de conduire. Elle s’esclaffa : « Il est super ce gars ! Un canon ! Comment as-tu pu, ne jamais m’en parler ? » Curieuses comme pas deux, nous avions essayé de voir avec qui était cet homme. Là encore, je fus réellement surprise, il n’était pas avec une femme, ce que l’on craignait mais un homme que je connaissais également. Là encore Françoise me dit : « Ne me dit pas que tu le connais aussi, ce mec doit avoir quarante-cinq ans. Il n’est pas mal mais je préfère Denis. » :— Lui c’est Paul, mon moniteur d’auto-école.
— T’as couché avec lui aussi ? Il faut que tu me présentes. Avant je veux que tu m’explique tout.
Me voilà partie dans mon histoire. À 21 ans, lorsque j’avais passé mon permis cinq ans plus tôt, la patronne de l’auto-école m’ayant trouvée sans doute trop sexy, avait préféré me prendre comme élève afin d’éviter à son mari, un beau quarantenaire, à le faire. Après une vingtaine de leçons, le jour J ne me fut pas favorable. Pourtant, ce jour-là, j’avais mis ma jupe la plus courte et avais arboré un très joli décolleté. J’avais fait en sorte de plaire à ce jeune inspecteur qui était connu pour être attiré par les jolies jeunes femmes. Je dois spécifier que lui était un très bel homme, de trente-cinq ans à peine.
Dès que je l’avais vu monter dans la voiture, j’étais perturbée par sa présence, j’avais eu des difficultés à me concentrer pour conduire, je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir des pensées érotiques en m’imaginant baiser avec lui, je le regardais bien trop souvent. Après une vingtaine de minutes, ma monitrice placée à l’arrière que je voyais dans le rétro, me faisait « non » de la tête, m’indiquant déjà que j’étais recalée. L’inspecteur me fit me garer à droite. Toujours perturbée, je le fis mais en oubliant de mettre mon clignotant : « Excusez-moi. » Dis-je en l’actionnant trop tard.
« Ce n’est pas grave » me dit-il « Maintenant faites un créneau et placez-vous derrière cette voiture. » Là encore, je ne fus pas très douée, cependant cet inspecteur essayait de me mettre dans de bonnes conditions et me dit même : « C’est bien Mademoiselle ! Vous voyez. » En regardant la patronne de l’auto-école, celle-ci écarquillant des yeux, ne comprenant pas le comportement de l’inspecteur. Malheureusement, malgré toute l’aide que ce jeune homme m’avait apporté, je n’avais pas su répondre à plusieurs de ses questions, qui pour la monitrice étaient relativement faciles.
N’étant pas folle, je compris qu’il était dans l’impossibilité de me donner ce papier rose, tant convoité : « Je suis vraiment désolé Mlle, je vous souhaite de faire mieux la prochaine fois. » M’avait-il dit en posant sa main sur la mienne un instant. À partir de là, je me doutais que ce bel inspecteur était attiré autant que moi je pouvais l’être par son physique. En rentrant, Mme G ne sachant plus comment faire avec moi, dit à son mari : « Écoute Paul, il faut que tu t’occupes de Josiane désormais. » Puis elle lui expliqua où je m’étais plantée en conduite et en code de la route, que j’avais toujours des difficultés à assimiler.
Deux mois plus tard, je devais repasser avec ce même inspecteur que l’on disait très sévère, personnellement, je n’avais pas trouvé. Paul, mon nouveau moniteur, m’avait dit : « Écoute, je vais te donner quelques leçons, ce n’est pas ton fort les manœuvres. » Si tout c’était passé correctement lors de ma première leçon avec lui, je l’avais senti très tactile lorsqu’il m’aidait à faire mes créneaux et pendant l’heure passée à ses côtés, il n’avait pas cessé de regarder mes cuisses largement découvertes, il faut le dire. Cet homme me plaisait aussi et je n’avais jamais hésité à baiser avec ce genre de types, lorsque le besoin s’en faisait sentir, je n’étais pas farouche et aimais ça.
Paul avait dû le ressentir aussi, lors de la deuxième leçon, après avoir réussi plusieurs créneaux de suite, il me fit conduire dans la campagne sur le trajet officiel. Arrivée entre deux villages, dans le « bois des princes », il me fit prendre à droite sur un parking : « C’est bien mieux ! Maintenant fais ta manœuvre et recule sur vingt mètres le long du chemin : « Dans le bois » lui demandai-je. J’avais compris ses intentions, il désirait sans aucun doute se retrouver seul avec moi, à l’abri des regards. En effet, après avoir fait la marche arrière comme il me l’avait demandé, il posa sa main sur ma cuisse : « Gare-toi là, sur le bas-côté. » Me dit-il en retirant sa ceinture de sécurité.
Ce que je fis immédiatement afin de laisser le passage à un véhicule le cas échéant. Je n’avais jamais reculé devant rien pour obtenir des hommes ce que je voulais, s’il fallait que je fasse une pipe à Paul, s’il était capable de me permettre d’obtenir mon permis, je la ferais tout de suite : « Dites-moi Paul, êtes-vous capable de convaincre cet inspecteur M. Denis B ? Dites-moi la vérité. » Il me répondit : « Franchement, je le crois, c’est moi qui viendrai avec toi et je te complimenterai. D’après ma femme, il t’a à la bonne. Mais…» en parlant, il avait toujours sa main sur ma cuisse droite qui remontait et remontait encore sous ma robe courte : « Oui ! je peux t’aider »
Voyant que je ne faisais aucun geste pour l’en empêcher, mais qu’au contraire j’avais insensiblement écarté les jambes, il pencha son visage sur moi et posa ses lèvres sur les miennes. Je sortis ma langue et nous nous étions embrassés quelques minutes, pendant que ses doigts jouaient avec ma petite culotte : « Tu es trop belle Josiane. »— Vous croyez que nous avons le temps, il va bientôt être l’heure de rentrer. Votre femme va s’inquiéter.
Il savait que j’avais raison, je n’avais même pas le temps de lui tailler une pipe. Il me prit la main pour la poser sur la grosse bosse qui se formait sur son entrejambe :— Tu as raison Josiane. Regarde dans l’état que tu m’as mis.
Pendant le chemin du retour, Paul reposa sa main sur ma cuisse et m’annonça qu’il m’avait réservé une heure pour le lendemain, la veille de l’examen. En ajoutant qu’il ne me la ferait pas payer : « Tu serais d’accord pour demain ? j’aimerais tant… » Je ne perdais jamais le nord, je voulais en retour qu’il m’aide : « Bien sûr, je suis partante, mais j’aurais quelque chose à vous demander. » Je lui expliquai ce que je désirais ; passer mon examen seul dans la voiture, avec l’inspecteur : « Ce n’est pas possible ! Sauf peut-être, si tu passes la dernière des candidats et encore je ne te promets rien. »
Le lendemain, lorsque j’étais montée avec Paul dans la voiture, nous étions retournés directement dans le « bois des princes », il avait vite passé ses doigts sous ma petite culotte, en me disant : « Denis t’a vraiment à la bonne, il a accepté ma proposition. » J’étais enfin libérée et excitée à la fois. Lorsque nous étions arrivés à destination, j’étais déjà toute mouillée, nous avions débouclé nos ceintures de sécurité puis je me penchai sur lui. Il baissa son pantalon et je lui fis la petite gâterie qu’il attendait et il apprécia énormément ma bouche : « En plus, tu es vraiment très douée. »
Comme le soleil brillait et que nous avions peu de place dans la voiture, il m’invita à sortir, me coucha sur le capot encore chaud, releva ma robe et retira ma petite culotte. Il plaça sa tête entre mes cuisses et me rendit la pareille, en jouant avec sa langue et ses doigts, ma chatte était trempée, il m’avait très vite fait jouir une première fois. Il me laissa reprendre mes esprits et se releva, venant se positionner entre mes jambes écartées qu’il releva, de ses mains avant de me pénétrer.
Sa queue n’était pas aussi grosse que je l’avais imaginée la veille mais il savait s’en servir. Il allait et venait, jusqu’à la garde et ressortait presqu’entièrement avant de replonger sa bite, sans tendresse mais sans brutalité non plus. Il accélérait le mouvement puis ralentissait, je sentais le désir remonter de mes entrailles. J’avais, comme on dit, le feu au cul. Après de longues minutes, je jouissais de nouveau puissamment cette fois. Il se retira et se tourna vers les buissons pour se finir en se branlant : « Non ! Attends dans ma bouche. » Criais-je.
Le jour de l’examen, Denis salua les six candidats, vint vers moi me serra la main et me prit l’avant-bras délicatement et me mit à l’écart : « Je t’ai fait passer la dernière, tu es au courant ? Tu serais libre pour boire un verre après, vers midi ? » Je lui souris et je lui répondis par l’affirmative. Il plaça le plus discrètement possible un papier plié en quatre dans ma main en chuchotant : « C’est les réponses aux questions que je te poserai. Tu as le temps de les lire. Aujourd’hui, tu l’auras ton permis. »— Merci, tu es un amour. Je saurai m’en souvenir.
Cette attente fut très longue, mais enfin j’allais me retrouver seule avec lui. Nous pourrons parler librement (LOL). Néanmoins, au moment où j’allais prendre place dans l’auto, Paul était toujours à l’intérieur. J’attachai ma ceinture, cependant Denis me fit attendre avant que je tourne la clé du démarreur : « Attendez Mlle, je vais d’abord contrôler vos compétences au code le route. » Cette fois, impossible pour moi de me tromper, j’avais lu et relu les réponses pendant plus de deux heures. Puis avant de démarrer, je lui demandai :— Pour conduire, est-il possible que M. Paul ne soit pas avec nous ? avec lui, je perds un peu les pédales, il m’impressionne.
— Ce n’est pas possible Mlle, roulez.
Après quelques centaines de mètres en centre-ville, Paul dit à Denis : « Je peux descendre ici, les candidats ne verrons rien. Vous repassez me chercher. » J’avais roulé sans faire trop d’erreur en traversant la ville puis le jeune inspecteur me fit me garer dans le petit parking souterrain de son immeuble. Nous n’avions pas attendu pour nous embrasser, nous étions tous les deux, chauds comme de la braise. En moins de temps, je le chevauchais, la main droite sur le volant et la gauche contre la vitre. Il me tenait les flans sans brutalité, ma tête en arrière, la bouche ouverte, mon front touchait de temps à autre le plafond de l’étroit habitacle.
Je me déhanchais, mon bassin allait d’avant en arrière, je montais et descendais sur sa belle queue qui était bien plus impressionnante que celle de Paul. Il m’embrassait quelques fois mon ventre ce qui m’excitait d’autant plus. Coincé contre le dossier par mon corps, il parvenait malgré tout à donner ses coups de reins. Ce n’était pas la première fois que je baisais à l’avant d’une voiture, c’était compliqué mais intense. En effet, ce fut rapide mais torride comme j’aimais, il m’avait en quelques minutes fait jouir, lorsqu’enfoncé jusqu’à la garde, il lâcha par saccades son sperme chaud dans mon vagin bouillonnant.
Après cette petite baise, nous nous étions embrassés et étions vite aller rechercher Paul, nous étions impatients de recommencer. Ce matin-là, j’avais bien bu un verre avec lui en revenant avec mon permis à la main. Cependant, je n’avais pas travaillé l’après-midi, nous avions remis le couvert pendant plus de trois heures. Après ce jour-là, nous nous étions si bien entendu sexuellement que j’avais revu Denis plusieurs fois, néanmoins, lorsque je fus absorbé par l’achat du routier, je l’avais perdu de vue.
— Tu as toujours été une petite salope ma chérie. Je t’adore ! Allez ! Va les chercher nous savons maintenant avec qui nous allons finir la nuit.
J’étais donc allée saluer Paul au bar et en avais profité pour les inviter à notre table : « je suis désolé Josiane, je serais bien resté avec vous mais tu sais comment est mon épouse, je dois rentrer à la maison. » Dit tristement Paul. Ils finirent leur verre et comme ils s’apprêtaient à partir : « Et toi Denis, tu ne vas pas te sauver tout de même. ? » Il changea d’avis et serra la main à Paul et me suivit : « Dis-moi Josiane, ton amie Françoise, elle vit seule ? » Je ne savais pas trop quoi trop répondre, elle vivait bien avec Daniel mais elle était libertine et je ne voulais pas le lui dire : « Tu n’auras qu’à lui demander. »
J’étais quelque peu déçue qu’il s’intéresse à elle plutôt qu’à moi mais pour ce soir, je pensais que nous allions faire un plan à trois. Nous avions changé d’emplacement en prenant un box où Denis se plaça entre nous deux. J’avais tout de suite compris qu’il plaisait beaucoup à mon amie et cela était complètement réciproque. Ils ne parlaient qu’ensemble et très vite, ils se prirent la main puis celles-ci se posèrent sur leurs cuisses respectives, et ils finirent par un petit baiser romantique. Ils avaient même dansé, me laissant seule. Je regrettais que Paul soit parti, j’étais heureuse pour eux mais je n’avais pas l’intention de tenir la chandelle toute la soirée.
Mon bel inspecteur du permis de conduire m’abandonnant ainsi pour ma meilleure amie, j’avais donc décidé de rentrer en taxi, à la maison plus tôt que prévu. J’avais refusé deux invitations dont la dernière celle d’un homme avec lequel d’habitude, j’aurais accepté volontiers. Je les attendais afin de les saluer, néanmoins lorsqu’ils finirent leur danse, Denis alla payer les consommations au bar et Françoise me dit : « Nous partons ! Tu viens ? »— Mais que ce passe-t-il ? Il te quitte déjà ?
— Non ! au contraire, je l’ai convaincu avec difficulté, de venir faire un trio avec nous. Il ne peut pas chez lui et Daniel est à la maison avec Gisèle. Nous allons donc chez toi.
Heureusement, depuis quelques semaines, j’avais refait la chambre d’amis et y avait installé un très grand lit, modèle des chambres d’hôtel, justement afin de pouvoir dormir à trois (enfin pas que pour dormir). Là encore, ils s’étaient installés, avachis sur la banquette arrière pendant que je conduisais la voiture de Françoise, je faisais leur chauffeur. Pendant tout le trajet, il la doigta et elle lui caressait la queue, tout en s’embrassant à pleine langue. Cela ne m’excita même pas, j’étais plutôt déçue et jalouse, je n’avais plus envie de baiser de la soirée.
En arrivant dans l’entrée du restaurant, les derniers clients venaient de partir. Je dis à Françoise de monter, elle connaissait le chemin. Pendant qu’elle prenait la clé, Denis me pris à part et me demanda : « Ça te dérange vraiment de nous laisser seuls ? Je crois que j’ai flashé sur Françoise. » Ce fut l’occasion rêvée, je lui répondis : « Non ! Dis-lui que je ne me sens pas bien ce soir. Allez n’attends pas, vas la rejoindre. » j’étais allée prendre des nouvelles auprès de Gislaine qui finissait la mise en place avec la serveuse, pendant que Simon préparait la fermeture :— Comment ça s’est passé ce soir ?
— Très bien pour un mercredi soir. Au fait tu viens de recevoir un appel d’un certain Alain, il m’a dit que tu pouvais l’appeler même très tard. Qui c’est ? Me demanda-t-elle.
— Ce n’est rien Gislaine, c’est l’entrepreneur, il doit avoir un soucis sur le chantier. Je m’en occupe. Merci.
Pendant que les deux tourtereaux baisaient comme des fous dans la chambre d’amis. Avec les grognements, les gémissements et les petits cris qui parvenaient dans mon bureau à travers la cloison, j’avais du mal à comprendre ce que voulais me dire Alain : « Alors tu peux venir ? Oui ! Je suis seul à la maison. Allez viens, j’ai envie de te prendre dans un vrai lit, c’est l’occasion rêvée, ma bonne femme ne rentre pas avant après-demain. » Oui ! ce fut génial, si je n’avais plus envie de baiser en arrivant, Alain m’avait redonné la pêche. Il m’avait littéralement épuisée.
Le jeudi matin, lorsque j’étais rentrée, Denis était déjà parti en taxi. Françoise m’attrapa et m’avoua : « C’est la première fois que je ressens vraiment quelque chose pour un homme, je pense que je suis amoureuse de Denis, il m’affole, il me manque déjà. » Ça me surprenait de sa part, mais tout de suite, je lui fis la remarque : « Et le bébé ? » Elle me prit dans ses bras et en sanglotant, elle me dit : « Je ne pouvais pas te le dire, j’ai vu la gynéco cette semaine, c’était une fausse alerte. » — Merde ! Toi qui t’en faisais une joie.
— Ouais ! Mais en plus je viens d’apprendre que Daniel est bien stérile, ses gosses ne sont pas à lui. Il ne va pas très bien.
Le mardi à la réunion de chantier, je fus très étonnée de voir Alain accompagné de sa charmante épouse Liliane. Si à aucun moment elle avait pris la parole, à la fin de cette réunion, elle était venue me voir et m’annonça avec un sourire moqueur : « Nous nous sommes réunis au conseil municipal et celui-ci, à la majorité refuse de vous accorder votre dérogation d’horaire d’ouverture. » Je savais que Liliane était conseillère, cependant, je ne comprenais pas pourquoi, celle-ci était si heureuse de m’annoncer cette mauvaise nouvelle. Dans l’après-midi, j’avais pu joindre Alain en privé et il m’annonça qu’il ne pouvait plus coucher avec moi, sans aucune autre explication.
Je venais de perdre mon amant dont j’avais tant besoin, je savais que ce maudit soir-là, j’aurais dû aller me coucher. Pendant ce temps, Françoise avait revu Denis tous les soirs de la semaine et n’avait pas voulu sortir avec moi au « Plazza. Elle était bien tombée amoureuse.
La suite de l’histoire samedi prochain. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Une fois seules, je dis à Françoise que ce type était l’inspecteur qui me fit passer le permis de conduire. Elle s’esclaffa : « Il est super ce gars ! Un canon ! Comment as-tu pu, ne jamais m’en parler ? » Curieuses comme pas deux, nous avions essayé de voir avec qui était cet homme. Là encore, je fus réellement surprise, il n’était pas avec une femme, ce que l’on craignait mais un homme que je connaissais également. Là encore Françoise me dit : « Ne me dit pas que tu le connais aussi, ce mec doit avoir quarante-cinq ans. Il n’est pas mal mais je préfère Denis. » :— Lui c’est Paul, mon moniteur d’auto-école.
— T’as couché avec lui aussi ? Il faut que tu me présentes. Avant je veux que tu m’explique tout.
Me voilà partie dans mon histoire. À 21 ans, lorsque j’avais passé mon permis cinq ans plus tôt, la patronne de l’auto-école m’ayant trouvée sans doute trop sexy, avait préféré me prendre comme élève afin d’éviter à son mari, un beau quarantenaire, à le faire. Après une vingtaine de leçons, le jour J ne me fut pas favorable. Pourtant, ce jour-là, j’avais mis ma jupe la plus courte et avais arboré un très joli décolleté. J’avais fait en sorte de plaire à ce jeune inspecteur qui était connu pour être attiré par les jolies jeunes femmes. Je dois spécifier que lui était un très bel homme, de trente-cinq ans à peine.
Dès que je l’avais vu monter dans la voiture, j’étais perturbée par sa présence, j’avais eu des difficultés à me concentrer pour conduire, je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir des pensées érotiques en m’imaginant baiser avec lui, je le regardais bien trop souvent. Après une vingtaine de minutes, ma monitrice placée à l’arrière que je voyais dans le rétro, me faisait « non » de la tête, m’indiquant déjà que j’étais recalée. L’inspecteur me fit me garer à droite. Toujours perturbée, je le fis mais en oubliant de mettre mon clignotant : « Excusez-moi. » Dis-je en l’actionnant trop tard.
« Ce n’est pas grave » me dit-il « Maintenant faites un créneau et placez-vous derrière cette voiture. » Là encore, je ne fus pas très douée, cependant cet inspecteur essayait de me mettre dans de bonnes conditions et me dit même : « C’est bien Mademoiselle ! Vous voyez. » En regardant la patronne de l’auto-école, celle-ci écarquillant des yeux, ne comprenant pas le comportement de l’inspecteur. Malheureusement, malgré toute l’aide que ce jeune homme m’avait apporté, je n’avais pas su répondre à plusieurs de ses questions, qui pour la monitrice étaient relativement faciles.
N’étant pas folle, je compris qu’il était dans l’impossibilité de me donner ce papier rose, tant convoité : « Je suis vraiment désolé Mlle, je vous souhaite de faire mieux la prochaine fois. » M’avait-il dit en posant sa main sur la mienne un instant. À partir de là, je me doutais que ce bel inspecteur était attiré autant que moi je pouvais l’être par son physique. En rentrant, Mme G ne sachant plus comment faire avec moi, dit à son mari : « Écoute Paul, il faut que tu t’occupes de Josiane désormais. » Puis elle lui expliqua où je m’étais plantée en conduite et en code de la route, que j’avais toujours des difficultés à assimiler.
Deux mois plus tard, je devais repasser avec ce même inspecteur que l’on disait très sévère, personnellement, je n’avais pas trouvé. Paul, mon nouveau moniteur, m’avait dit : « Écoute, je vais te donner quelques leçons, ce n’est pas ton fort les manœuvres. » Si tout c’était passé correctement lors de ma première leçon avec lui, je l’avais senti très tactile lorsqu’il m’aidait à faire mes créneaux et pendant l’heure passée à ses côtés, il n’avait pas cessé de regarder mes cuisses largement découvertes, il faut le dire. Cet homme me plaisait aussi et je n’avais jamais hésité à baiser avec ce genre de types, lorsque le besoin s’en faisait sentir, je n’étais pas farouche et aimais ça.
Paul avait dû le ressentir aussi, lors de la deuxième leçon, après avoir réussi plusieurs créneaux de suite, il me fit conduire dans la campagne sur le trajet officiel. Arrivée entre deux villages, dans le « bois des princes », il me fit prendre à droite sur un parking : « C’est bien mieux ! Maintenant fais ta manœuvre et recule sur vingt mètres le long du chemin : « Dans le bois » lui demandai-je. J’avais compris ses intentions, il désirait sans aucun doute se retrouver seul avec moi, à l’abri des regards. En effet, après avoir fait la marche arrière comme il me l’avait demandé, il posa sa main sur ma cuisse : « Gare-toi là, sur le bas-côté. » Me dit-il en retirant sa ceinture de sécurité.
Ce que je fis immédiatement afin de laisser le passage à un véhicule le cas échéant. Je n’avais jamais reculé devant rien pour obtenir des hommes ce que je voulais, s’il fallait que je fasse une pipe à Paul, s’il était capable de me permettre d’obtenir mon permis, je la ferais tout de suite : « Dites-moi Paul, êtes-vous capable de convaincre cet inspecteur M. Denis B ? Dites-moi la vérité. » Il me répondit : « Franchement, je le crois, c’est moi qui viendrai avec toi et je te complimenterai. D’après ma femme, il t’a à la bonne. Mais…» en parlant, il avait toujours sa main sur ma cuisse droite qui remontait et remontait encore sous ma robe courte : « Oui ! je peux t’aider »
Voyant que je ne faisais aucun geste pour l’en empêcher, mais qu’au contraire j’avais insensiblement écarté les jambes, il pencha son visage sur moi et posa ses lèvres sur les miennes. Je sortis ma langue et nous nous étions embrassés quelques minutes, pendant que ses doigts jouaient avec ma petite culotte : « Tu es trop belle Josiane. »— Vous croyez que nous avons le temps, il va bientôt être l’heure de rentrer. Votre femme va s’inquiéter.
Il savait que j’avais raison, je n’avais même pas le temps de lui tailler une pipe. Il me prit la main pour la poser sur la grosse bosse qui se formait sur son entrejambe :— Tu as raison Josiane. Regarde dans l’état que tu m’as mis.
Pendant le chemin du retour, Paul reposa sa main sur ma cuisse et m’annonça qu’il m’avait réservé une heure pour le lendemain, la veille de l’examen. En ajoutant qu’il ne me la ferait pas payer : « Tu serais d’accord pour demain ? j’aimerais tant… » Je ne perdais jamais le nord, je voulais en retour qu’il m’aide : « Bien sûr, je suis partante, mais j’aurais quelque chose à vous demander. » Je lui expliquai ce que je désirais ; passer mon examen seul dans la voiture, avec l’inspecteur : « Ce n’est pas possible ! Sauf peut-être, si tu passes la dernière des candidats et encore je ne te promets rien. »
Le lendemain, lorsque j’étais montée avec Paul dans la voiture, nous étions retournés directement dans le « bois des princes », il avait vite passé ses doigts sous ma petite culotte, en me disant : « Denis t’a vraiment à la bonne, il a accepté ma proposition. » J’étais enfin libérée et excitée à la fois. Lorsque nous étions arrivés à destination, j’étais déjà toute mouillée, nous avions débouclé nos ceintures de sécurité puis je me penchai sur lui. Il baissa son pantalon et je lui fis la petite gâterie qu’il attendait et il apprécia énormément ma bouche : « En plus, tu es vraiment très douée. »
Comme le soleil brillait et que nous avions peu de place dans la voiture, il m’invita à sortir, me coucha sur le capot encore chaud, releva ma robe et retira ma petite culotte. Il plaça sa tête entre mes cuisses et me rendit la pareille, en jouant avec sa langue et ses doigts, ma chatte était trempée, il m’avait très vite fait jouir une première fois. Il me laissa reprendre mes esprits et se releva, venant se positionner entre mes jambes écartées qu’il releva, de ses mains avant de me pénétrer.
Sa queue n’était pas aussi grosse que je l’avais imaginée la veille mais il savait s’en servir. Il allait et venait, jusqu’à la garde et ressortait presqu’entièrement avant de replonger sa bite, sans tendresse mais sans brutalité non plus. Il accélérait le mouvement puis ralentissait, je sentais le désir remonter de mes entrailles. J’avais, comme on dit, le feu au cul. Après de longues minutes, je jouissais de nouveau puissamment cette fois. Il se retira et se tourna vers les buissons pour se finir en se branlant : « Non ! Attends dans ma bouche. » Criais-je.
Le jour de l’examen, Denis salua les six candidats, vint vers moi me serra la main et me prit l’avant-bras délicatement et me mit à l’écart : « Je t’ai fait passer la dernière, tu es au courant ? Tu serais libre pour boire un verre après, vers midi ? » Je lui souris et je lui répondis par l’affirmative. Il plaça le plus discrètement possible un papier plié en quatre dans ma main en chuchotant : « C’est les réponses aux questions que je te poserai. Tu as le temps de les lire. Aujourd’hui, tu l’auras ton permis. »— Merci, tu es un amour. Je saurai m’en souvenir.
Cette attente fut très longue, mais enfin j’allais me retrouver seule avec lui. Nous pourrons parler librement (LOL). Néanmoins, au moment où j’allais prendre place dans l’auto, Paul était toujours à l’intérieur. J’attachai ma ceinture, cependant Denis me fit attendre avant que je tourne la clé du démarreur : « Attendez Mlle, je vais d’abord contrôler vos compétences au code le route. » Cette fois, impossible pour moi de me tromper, j’avais lu et relu les réponses pendant plus de deux heures. Puis avant de démarrer, je lui demandai :— Pour conduire, est-il possible que M. Paul ne soit pas avec nous ? avec lui, je perds un peu les pédales, il m’impressionne.
— Ce n’est pas possible Mlle, roulez.
Après quelques centaines de mètres en centre-ville, Paul dit à Denis : « Je peux descendre ici, les candidats ne verrons rien. Vous repassez me chercher. » J’avais roulé sans faire trop d’erreur en traversant la ville puis le jeune inspecteur me fit me garer dans le petit parking souterrain de son immeuble. Nous n’avions pas attendu pour nous embrasser, nous étions tous les deux, chauds comme de la braise. En moins de temps, je le chevauchais, la main droite sur le volant et la gauche contre la vitre. Il me tenait les flans sans brutalité, ma tête en arrière, la bouche ouverte, mon front touchait de temps à autre le plafond de l’étroit habitacle.
Je me déhanchais, mon bassin allait d’avant en arrière, je montais et descendais sur sa belle queue qui était bien plus impressionnante que celle de Paul. Il m’embrassait quelques fois mon ventre ce qui m’excitait d’autant plus. Coincé contre le dossier par mon corps, il parvenait malgré tout à donner ses coups de reins. Ce n’était pas la première fois que je baisais à l’avant d’une voiture, c’était compliqué mais intense. En effet, ce fut rapide mais torride comme j’aimais, il m’avait en quelques minutes fait jouir, lorsqu’enfoncé jusqu’à la garde, il lâcha par saccades son sperme chaud dans mon vagin bouillonnant.
Après cette petite baise, nous nous étions embrassés et étions vite aller rechercher Paul, nous étions impatients de recommencer. Ce matin-là, j’avais bien bu un verre avec lui en revenant avec mon permis à la main. Cependant, je n’avais pas travaillé l’après-midi, nous avions remis le couvert pendant plus de trois heures. Après ce jour-là, nous nous étions si bien entendu sexuellement que j’avais revu Denis plusieurs fois, néanmoins, lorsque je fus absorbé par l’achat du routier, je l’avais perdu de vue.
— Tu as toujours été une petite salope ma chérie. Je t’adore ! Allez ! Va les chercher nous savons maintenant avec qui nous allons finir la nuit.
J’étais donc allée saluer Paul au bar et en avais profité pour les inviter à notre table : « je suis désolé Josiane, je serais bien resté avec vous mais tu sais comment est mon épouse, je dois rentrer à la maison. » Dit tristement Paul. Ils finirent leur verre et comme ils s’apprêtaient à partir : « Et toi Denis, tu ne vas pas te sauver tout de même. ? » Il changea d’avis et serra la main à Paul et me suivit : « Dis-moi Josiane, ton amie Françoise, elle vit seule ? » Je ne savais pas trop quoi trop répondre, elle vivait bien avec Daniel mais elle était libertine et je ne voulais pas le lui dire : « Tu n’auras qu’à lui demander. »
J’étais quelque peu déçue qu’il s’intéresse à elle plutôt qu’à moi mais pour ce soir, je pensais que nous allions faire un plan à trois. Nous avions changé d’emplacement en prenant un box où Denis se plaça entre nous deux. J’avais tout de suite compris qu’il plaisait beaucoup à mon amie et cela était complètement réciproque. Ils ne parlaient qu’ensemble et très vite, ils se prirent la main puis celles-ci se posèrent sur leurs cuisses respectives, et ils finirent par un petit baiser romantique. Ils avaient même dansé, me laissant seule. Je regrettais que Paul soit parti, j’étais heureuse pour eux mais je n’avais pas l’intention de tenir la chandelle toute la soirée.
Mon bel inspecteur du permis de conduire m’abandonnant ainsi pour ma meilleure amie, j’avais donc décidé de rentrer en taxi, à la maison plus tôt que prévu. J’avais refusé deux invitations dont la dernière celle d’un homme avec lequel d’habitude, j’aurais accepté volontiers. Je les attendais afin de les saluer, néanmoins lorsqu’ils finirent leur danse, Denis alla payer les consommations au bar et Françoise me dit : « Nous partons ! Tu viens ? »— Mais que ce passe-t-il ? Il te quitte déjà ?
— Non ! au contraire, je l’ai convaincu avec difficulté, de venir faire un trio avec nous. Il ne peut pas chez lui et Daniel est à la maison avec Gisèle. Nous allons donc chez toi.
Heureusement, depuis quelques semaines, j’avais refait la chambre d’amis et y avait installé un très grand lit, modèle des chambres d’hôtel, justement afin de pouvoir dormir à trois (enfin pas que pour dormir). Là encore, ils s’étaient installés, avachis sur la banquette arrière pendant que je conduisais la voiture de Françoise, je faisais leur chauffeur. Pendant tout le trajet, il la doigta et elle lui caressait la queue, tout en s’embrassant à pleine langue. Cela ne m’excita même pas, j’étais plutôt déçue et jalouse, je n’avais plus envie de baiser de la soirée.
En arrivant dans l’entrée du restaurant, les derniers clients venaient de partir. Je dis à Françoise de monter, elle connaissait le chemin. Pendant qu’elle prenait la clé, Denis me pris à part et me demanda : « Ça te dérange vraiment de nous laisser seuls ? Je crois que j’ai flashé sur Françoise. » Ce fut l’occasion rêvée, je lui répondis : « Non ! Dis-lui que je ne me sens pas bien ce soir. Allez n’attends pas, vas la rejoindre. » j’étais allée prendre des nouvelles auprès de Gislaine qui finissait la mise en place avec la serveuse, pendant que Simon préparait la fermeture :— Comment ça s’est passé ce soir ?
— Très bien pour un mercredi soir. Au fait tu viens de recevoir un appel d’un certain Alain, il m’a dit que tu pouvais l’appeler même très tard. Qui c’est ? Me demanda-t-elle.
— Ce n’est rien Gislaine, c’est l’entrepreneur, il doit avoir un soucis sur le chantier. Je m’en occupe. Merci.
Pendant que les deux tourtereaux baisaient comme des fous dans la chambre d’amis. Avec les grognements, les gémissements et les petits cris qui parvenaient dans mon bureau à travers la cloison, j’avais du mal à comprendre ce que voulais me dire Alain : « Alors tu peux venir ? Oui ! Je suis seul à la maison. Allez viens, j’ai envie de te prendre dans un vrai lit, c’est l’occasion rêvée, ma bonne femme ne rentre pas avant après-demain. » Oui ! ce fut génial, si je n’avais plus envie de baiser en arrivant, Alain m’avait redonné la pêche. Il m’avait littéralement épuisée.
Le jeudi matin, lorsque j’étais rentrée, Denis était déjà parti en taxi. Françoise m’attrapa et m’avoua : « C’est la première fois que je ressens vraiment quelque chose pour un homme, je pense que je suis amoureuse de Denis, il m’affole, il me manque déjà. » Ça me surprenait de sa part, mais tout de suite, je lui fis la remarque : « Et le bébé ? » Elle me prit dans ses bras et en sanglotant, elle me dit : « Je ne pouvais pas te le dire, j’ai vu la gynéco cette semaine, c’était une fausse alerte. » — Merde ! Toi qui t’en faisais une joie.
— Ouais ! Mais en plus je viens d’apprendre que Daniel est bien stérile, ses gosses ne sont pas à lui. Il ne va pas très bien.
Le mardi à la réunion de chantier, je fus très étonnée de voir Alain accompagné de sa charmante épouse Liliane. Si à aucun moment elle avait pris la parole, à la fin de cette réunion, elle était venue me voir et m’annonça avec un sourire moqueur : « Nous nous sommes réunis au conseil municipal et celui-ci, à la majorité refuse de vous accorder votre dérogation d’horaire d’ouverture. » Je savais que Liliane était conseillère, cependant, je ne comprenais pas pourquoi, celle-ci était si heureuse de m’annoncer cette mauvaise nouvelle. Dans l’après-midi, j’avais pu joindre Alain en privé et il m’annonça qu’il ne pouvait plus coucher avec moi, sans aucune autre explication.
Je venais de perdre mon amant dont j’avais tant besoin, je savais que ce maudit soir-là, j’aurais dû aller me coucher. Pendant ce temps, Françoise avait revu Denis tous les soirs de la semaine et n’avait pas voulu sortir avec moi au « Plazza. Elle était bien tombée amoureuse.
La suite de l’histoire samedi prochain. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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