« Josy »: La petite salope aux prises avec deux musiciens blacks. Épisode 22

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : « Josy »:  La petite salope aux prises avec  deux musiciens blacks. Épisode 22 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy »: La petite salope aux prises avec deux musiciens blacks. Épisode 22
Fin mars 1977, après une fin d’année tumultueuse et un trimestre épuisant pour mes nerfs, j’avais très envie de décompresser. Cela faisait déjà presque trois ans que ma société « Le Paradis » avait vu le jour et je n’étais partie, en tout et pour tout, que quatre semaines en vacances. Je n’étais pas richissime, mais à 27 ans je n’avais pas besoin d’avoir le nez en permanence sur mes comptes pour finir le mois. Il faut dire que j’étais bien entouré, le cabinet d’avocat de Maitre K, le père de mon chéri, s’occupait de tout le juridique et le cabinet d’Expert-comptable où Michel, le meilleur pote (amant occasionnel) de mon futur mari, suivant mon dossier, me conseillait ce qui me permettait de me donner à fond dans mon travail d’organisation.

Je me faisais une joie de partir quelques jours, seule avec John mon pianiste noir aux longs doigts qui faisait une petite tournée à Nice. Devant se produire à partir du mardi 22 au soir, son groupe descendait la veille et lui devait venir me chercher en voiture le dimanche, afin qu’ensemble nous descendions le lundi. Le dimanche, c’était le jour des élections municipales, alors que la guinguette battait son plein, étant très occupée moi-même, Gislaine reçut un appel. John était désolé, il était bloqué à Paris. À la fin du service, alors que je m’inquiétais de l’absence de mon ami, Gigi me fit passer le message me disant que mon voyage à Nice était annulé.

Ce qui voulait dire : adieu les quelques jours de repos au bord de la mer et adieu surtout les moments de pur bonheur, passés dans les bras du meilleur amant que j’avais connu jusque-là. Me voyant pensive et triste, mon amie Françoise, toujours aux petits soins avec moi, proposa de faire une sortie avec son chéri, le lundi soir, le jour de la fermeture et quand Jean-Lou était chez son amant Michel. N’ayant pas couché avec Patrice depuis le premier jour de sa campagne, maintenant qu’il avait remporté les élections, je l’invitai également à une bonne table en centre-ville. J’avais passé la journée à broyer du noir. Ayant le cafard, avant de nous y rende avec ma meilleure amie et Denis, j’avais déjà bu trois coupes au « Paradis. »
C’était beaucoup trop pour moi en si peu de temps, je ne pouvais pas prendre ma voiture. Le champagne m’avait donné des couleurs et me faisait tourner la tête. En arrivant dans la salle du restaurant, ce fut comme un coup de massue, à ma très grande surprise, Liliane accompagnait Patrice, je ne savais pas comment elle avait pu se libérer d’Alain, cependant j’étais déçue de la voir, surtout que je savais qu’elle était également sa maitresse, même si lors de notre petite amourette, je lui avais dit : « Pourquoi pas un plan à trois avec lui. »
Moi qui pensais finir une partie de la nuit avec lui, je m’aperçus que Liliane lui avait déjà mis le grappin dessus, ce qui m’avait exaspérée, d’autant plus qu’avec l’alcool, mon énervement était décuplé. Pendant les entrées, ne m’avouant pas vaincue, j’avais bien essayé d’attirer son attention en glissant mon pied entre ses jambes, mais Liliane qui avait déjà sa main sous la nappe, me le repoussa sans ménagement, voulant me faire passer le message : « Pas touche ! Ce soir il est tout à moi. » J’avais, pour noyer ma déception, continué à boire un peu de vin blanc, ce qui n’avait pas arrangé mon état.

En colère, je ne m’intéressais plus à mes amis qui me faisaient la morale sur mon comportement, en me demandant d’arrêter de boire. À la table d’à côté, se trouvait un homme seul que je ne voyais que de dos, je ne pourrais pas dire, s’il était beau ou non, cependant d’après ses vêtements à la mode, il ne devait pas être très vieux. Je l’avais interpelé et à ce moment-là, à l’unisson, Françoise, Denis et Patrice m’en firent le reproche. Fâchée, je m’étais alors levée, j’enfilai mon imper, sortis un billet de 500 francs que je déposai sur la table et j’avais quitté le restaurant. Françoise courut après moi, cependant têtue comme mule, je ne l’avais pas écouté et lui dit que j’allais chez Irène et que je rentrerais en taxi.

Je déambulais sur le trottoir, j’avais l’intention de boire un café chez mon amie, la patronne du bar, (victime comme moi du chantage de M. Jean), se trouvant à deux pas du restaurant. Dans mon état d’ébriété, ayant quelques difficultés à marcher droit avec mes hauts talons, je me tenais avec ma main sur la façade d’un immeuble, lorsqu’un type assez sympa, me demanda : « Prenez mon bras Mademoiselle, où allez-vous ? ». En le remerciant, je m’accrochai à lui en disant que j’étais presque arrivée : « Ici, au café des amis, tu prends un verre avec moi ? »
Irène en me voyant ainsi, me servit tout de suite un café au comptoir, j’insistai afin qu’elle serve le type qui s’était installé à une table. Ayant fini ma tasse, je m’assis en face de lui, je le regardais avec attention et lui me dévisageais, il devait être assez surpris d’être abordé par une jeune et jolie femme, et me dit : « Vous savez Mlle, vous êtes ravissante. Je constate que vous devez avoir une peine de cœur, je compatis, ma copine m’a posé un lapin. » J’étais triste pour lui, je venais de remarquer que ce n’était pas mon genre, cependant il n’était pas désagréable et surtout ne me déplaisait pas.

Grand mince, le visage basané, les cheveux crépus, sans doute un marocain ou un tunisien. Toutefois, j’avais envie de faire la fête et surtout prendre du plaisir. Je lui posai la main sur la sienne et dit : « J’espère que tu ne perds pas au change avec moi. » Cet homme, la petite trentaine, fut assez embarrassé par ma réponse, il me sourit. Voyant qu’il ne disait rien, j’avais enchainé : « Au fait, comment t’appelles-tu ? Moi c’est Josiane. » Puis en murmurant : « Pour mes amants c’est Josy. Tu voudrais le devenir ? » Très surpris de ma demande obscène, il me donna son prénom « Brahim » puis après un petit silence, il reprit de l’assurance :
« T’es canon, je serais con de refuser. Mais je ne veux surtout pas profiter de ton état. » C’était tout à son honneur, c’était vrai, j’étais encore éméchée, cependant je reprenais peu à peu le dessus et j’étais parfaitement lucide, sachant très bien ce que j’avais proposé à Brahim et je n’avais pas attendu, j’avais hâte de baiser avec cet inconnu : « T’as une voiture ? Tu veux bien me raccompagner chez- moi à Facourt sur Drèze ? » Il fut étonné que je vienne d’aussi loin, néanmoins il sauta sur l’occasion. Cinq minutes plus tard, nous étions devant son auto, dans le parking souterrain de la gare.

Avant de monter dans la voiture, il me plaqua contre la portière, se colla contre moi pour embrasser à pleine bouche. J’avais contre mon ventre la belle bosse se formant dans son entrejambe. Ça promettait, il était déjà en train de bander : « Veux-tu que je te soulage avant de conduire car si tu restes comme ça quarante minutes, tu vas vite être à l’étroit. » Il me prenait pour une vraie petite salope complètement ivre, et je ne le nie pas. Pourtant je savais ce que je faisais. Nous étions montés à l’arrière, et je lui fis la pipe de sa vie. En quelques minutes, il m’avait éjaculé dans la bouche.

En sortant du parking, je vis John sur le trottoir devant la gare, levant le bras en hélant un taxi : « Arrête-toi Brahim. » Criais-je. J’étais descendue de sa voiture, sans demander mon reste, juste devant mon ami en disant à Brahim simplement : « Salut et merci. ». John était accompagné d’un autre black que je ne connaissais pas : « Mais que fais-tu ici, tu avais annulé ton voyage ? » Nous étions montés dans le taxi tous les trois et après m’avoir présenté son cousin Gary, il m’expliqua ses péripéties. En fait, lorsqu’il m’avait prévenue, sa voiture étant tombée en panne, il devait descendre à Nice directement avec le groupe.

Cependant, Gary lui proposa de l’emmener jusqu’ici et une fois encore, le sort s’était acharné sur lui. À cinquante kilomètres de là, la voiture de son cousin rendit l’âme malheureusement. Ils avaient donc pris le train pour finir le trajet et avait appelé chez-moi. Malheureusement, j’étais de sortie et n’avais donc pas reçu ce message : « Le principal c’est que tu sois là, bien vivant. » Lui dis-je en l’embrassant. En arrivant, je n’avais toujours pas dessaoulé, cependant, c’était probablement la joie de revoir John qui me rendait toute euphorique. Nous avions mangé un morceau puis je les avais emmenés dans mon appartement.

J’avais prévu de dormir avec John dans la chambre d’amis et faire coucher Gary dans une des cinq chambres disponibles de l’autre côté du couloir à l’étage où je lui avais fait déposer sa valise. Nous avions ouvert une bouteille de champagne pour célébrer sa venue. Puis je m’installai à côté de John sur le canapé tandis que Gary était sur le fauteuil. Assez gêné de nous voir nous embrasser, il allait de son siège, à la bibliothèque regarder les livres posés sur l’étagère ou devant la chaine hifi afin de contempler les disques et les cassettes en ma possession.

John était excité de me voir dans cet état, me dandinant lascivement comme ça, il me pelotait et malaxait ma poitrine qu’il affectionnait, assis sur le canapé : « Oh mon chéri, que me fais-tu ? Tu sais que j’aime ça. Hein ! » Dis-je en remontant ma robe jusqu’à la taille, sans penser à son cousin, se baladant dans le salon ne sachant que faire. Sans doute en émoi en me voyant ainsi, toute débraillée, les seins à l’air sortant de mon décolleté et mes jambes nues, mon intimité protégée uniquement par ma petite culotte, tout ceci pendant de longues minutes. Ne voulant pas tenir la chandelle, il finit son verre et dit en mettant sa main sur son entrejambe en essayant de cacher son érection :— Bon ! Je vous laisse, je vais me coucher.

Dans un état second, je répondis : « Allez ! Viens avec nous, grand bêta, plutôt que d’aller te masturber dans la chambre. » John stupéfait de ma réaction, semblait plutôt heureux de ma proposition, il fit de la place à son cousin et ils me dévêtirent ensemble. Allongée entièrement nue sur le divan, j’avais quatre mains, dix doigts, deux bouches et deux langues uniquement pour mon plaisir. En l’espace d’un petit quart d’heure, j’avais déjà joui deux fois, mes deux blacks étaient très surprenants. Après avoir repris mes esprits après ces deux orgasmes successifs, ils se dévêtirent à leur tour.

À genoux devant eux, j’avais devant la bouche, deux queues noires, longues, épaisses et en érection, aussi superbes l’une que l’autre. Quand soudain la porte s’ouvrit sur Françoise qui resta figée en voyant la scène : « Excusez-moi ! Je me sauve ! Je m’inquiétais Jo, je suis allée chez Irène elle m’a dit qu’un type te ramenait, je suis venue vérifier. » Gary ne perdit pas le nord, il demanda à mon amie de se joindre à nous : « Franchement, à vous voir les gars, j’aurais bien aimé mais je suis avec Denis et deux types déjà, ils m’attendent en bas. »— Prends donc une ou deux chambres en haut, vous passerez la nuit ici avais-je proposé à Françoise.

Puis une fois qu’elle était partie, tout en suçant une bite puis l’autre, j’essayais de juger laquelle des deux était la plus grosse. Mon beau John et son jeune cousin Gary étaient en compétition et chacun d’entre eux, tout en estimant de leur côté mes fellations, j’adjugeaient la victoire : « Match nul. » Dis-je avant qu’ils n’éjaculent. Ils me relevèrent, j’étais bien entourée, John derrière moi, me malaxait sans ménagement les seins tandis que Gary à genoux devant, m’embrassait fougueusement la toison. Puis il s’assit sur le fauteuil et me fit le chevaucher sur son sexe long et épais, en me caressant les fesses. Pendant que John derrière le dossier m’enfonçait sa queue entre les lèvres.

Gary m’avait pénétré sans ménagement, la grosseur m’écartant les tissus me remplissant à la perfection, le vagin trempé, je laissai échapper un soupir de contentement avant de crier de plaisir sous cet assaut. Je n’avais pas lâché pour autant le sexe jumeau que je tenais dans la main, mais en sortant le gland de ma bouche. John m’attrapa par derrière le crâne et m’obligea autoritairement à le reprendre entre les lèvres. Je ne me fis pas prier et reprit de plus belle, ma fellation. Ce fut le début de longs ébats au cours desquels je fus prise plusieurs fois par tous les trous, ils avaient joué avec moi tantôt avec ma chatte et ma bouche, tantôt en double.

Je ne peux plus me rappeler des détails, mais à un moment donné, je me souviens que Gary aventura le premier son doigt dans mon anus, avant d’en faire pénétrer un deuxième en s’exclamant : « Quel beau trou du cul que tu as. Prépare-toi, je vais t’enculer ma chérie. » Cela m’avait fait gémir de plaisir tandis que John me limait la chatte. Je fus ce soir-là complètement soumise à leurs désirs, j’avais adoré ça, je ne leur avais rien refusé. Même lorsqu’ils essayèrent de faire une double anale. Seulement, même dilaté, vu la grosseur de leur sexe, la douleur fut si intense que John préféra arrêter avant que je ne sois déchirée : « Une autre fois ma puce, tu n’es pas prête. »
Ni John ni moi, n’étions amoureux, néanmoins notre entente était parfaite. Il tenait à moi et voulait que l’on soit ensemble pour finir la nuit, comme pour montrer que je lui appartenais. Ce fut la raison pour laquelle, il demanda à son cousin Gary de rejoindre sa chambre. Pensant que nous étions seuls à l’étage, j’étais sortie nue dans le couloir afin de lui indiquer où se trouvait la sienne. En sortant, je vis les deux types en costumes très classes, sortant le visage radieux, de la chambre où se trouvait Françoise. À les voir, ils semblaient satisfaits de leur soirée. Lorsqu’ils m’aperçurent en tenue d’Ève, ils me sourirent en me souhaitant bonne nuit.

Nous avions dormi jusqu’à 10 heures du matin, tellement fatiguée, je n’avais pas entendu les bruits qu’occasionnait le personnel de cuisine ni même le départ de mon amie et de Denis qui avaient fini la nuit ici. J’avais retrouvé la forme, après quelques préliminaires très érotiques, lorsque John pointa sa queue sur mon petit trou et commença à forcer le passage, avant de disparaître entre mes fesses, je m’étais allée une nouvelle fois aux plaisirs de la sodomie, un petit orgasme dès le matin était l’idéal pour bien débuter la journée qui s’annonçait longue.

J’étais restée dans le lit, pendant que John était allé sous la douche. Soudain, je vis arrivé Gary tenant d’une main et me présentant son énorme sexe en pleine érection matinale sous mon nez : « Y-a-moyen se matin ? » Ne désirant pas le laisser dans cet état, étant encore bien mouillée, il me besogna avec ardeur, à quatre pattes devant lui, allant et venant avec une grande facilité, à l’intérieur de mon vagin. Sa bite était trop longue pour s’enfoncer jusqu’à la garde. Lorsque prit de spasmes, il laissait s’échapper les giclées de sperme se déversant à l’intérieur de ma chatte, je jouis pour la seconde fois de la matinée.

Et ce fut ainsi pendant les trois jours et trois nuits passés à Nice en leur compagnie. Entre petits déjeuners tardifs, longues balades sur la plage en fin de matinée, avant le restaurant vers treize-heure, petites baignades les après-midi l’eau n’étant pas très chaude, concerts de jazz le soir et trios avec mes deux musiciens blacks la nuit et petites baises le matin au réveil, je n’avais pas eu le temps de m’ennuyer. Si j’avais réservé deux chambres, nous n’en utilisions pratiquement qu’une seule. Le cousin Gary dormait que quelques heures dans la sienne.

J’eus droit enfin à ma double anale, la nuit précédant notre départ, j’avais un peu souffert au début, je dus plaquer mon visage sur mon oreiller afin d’étouffer mes cris de douleur qui rapidement se transformèrent en râles de plaisir. En revenant de Nice, j’étais épuisée de mes quelques jours de congés mais tellement sereine et remontée comme une horloge, que j’étais prête à affronter une tempête et reprendre du service afin d’appréhender au mieux l’inauguration de ma discothèque « Le Paradise-Club ».

En rentrant, j’eus l’agréable surprise de constater que les travaux étaient enfin terminés. L’immense comptoir de trente mètres en L était tout à fait magnifique, toutes les banquettes étaient installées et nous avions reçus les petites tables basses. Les boules à facettes, les jeux de lumière, les posters derrière des vitrines en verre incassable, éclairées de jolis néons multicolores et la décoration donnait un certain cachet à cette immense salle de plus de 1000 m2.

L’architecte avait prévu d’installer une cloison amovible afin de réduire la salle, au cas où lors de certaines soirées, la clientèle serait venue moins nombreuse. À quinze jours de l’inauguration, tout était prêt, il ne manquait plus qu’à faire intervenir la commission de sécurité afin qu’elle nous délivre l’autorisation d’ouverture de ce lieu public. Cela sera pour un autre récit que vous lirez prochainement.

La suite de l’histoire samedi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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