« Josy »: La petite salope joue avec le feu et se brûle. Épisode 25
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy »: La petite salope joue avec le feu et se brûle. Épisode 25
La situation très érotique que j’avais imposé à Philippe ce matin-là et cette discussion audacieuse de plus d’une demi-heure avec des gestes et des allusions sans équivoque, m’avait déjà passablement excitée. Arrivée au milieu de la pièce, je ne pus m’empêcher de regarder le corps presque nu de ce jeune garçon de vingt ans. Ce n’était pas un athlète, cependant, il était grand et svelte mais surtout, au vu de la belle bosse qui déformait le tissu de son sous-vêtement, une forte pulsion sexuelle m’envahit le ventre, au plus profond de mes entrailles.
Lui de son côté, si timide depuis trois jours, me voyant pénétrer avec ma petite tenue, dans la chambre servant de dépôt, se libéra enfin. En même temps, nous nous étions rapprochés, il enleva la ceinture en soie de mon peignoir kimono et m’enlaça. Ses mains sur mes fesses, les miennes derrière sa tête, son sexe contre mon ventre, nous nous embrassions tendrement et sensuellement. Philippe était doux et très affectueux, j’étais bien dans ses bras. L’ayant vexé en lui demandant s’il avait déjà couché avec sa petite amie, il désirait probablement me démontrer le contraire. Je le laissais donc prendre les initiatives en me laissant aller.
Après trois jours d’efforts, j’étais très heureuse d’être enfin parvenue à mon objectif, j’allais enfin coucher avec ce beau garçon dont l’érection prouvait tout le désir qu’il avait pour moi. Sur la pointe des pieds, j’avais redressé une jambe sur sa hanche, j’écartais de mes doigts la dentelle de mon shorty afin qu’il puisse saisir sa verge d’une main et la diriger vers ma fente qui suintait de plaisir. Il n’en fit rien et pour cause. Cela faisait déjà trois fois que le téléphone sonnait et à la quatrième, il me dit : « Décroche Josy ça doit être urgent. C’est sans doute mon patron. »
Décidément, ce n’était pas ma veine, je lui fis une bise sur ses lèvres et alla dans l’entrée afin de répondre à l’appel téléphonique. Pendant ce temps, Philippe au lieu de m’attendre, craignant son boss, avait enfilé sa tenue à la hâte et commença sa journée de travail. Malheureusement, ce n’était pas encore pour aujourd’hui que j’allais prendre du plaisir avec mon jeune peintre, je devais me rendre au « Paradise-Club » où un problème électrique était survenu. Après la douche (froide. LOL), je m’étais préparée rapidement et avant de partir, j’étais retournée voir Philippe lui déposant un bisou sur ses lèvres. Le premier pas étant fait, il fallait qu’il comprenne que ce n’était que partie remise.
Pressée, je ne m’étais pas maquillé, avait coiffé mes cheveux en queue de cheval et j’avais enfilai une tenue décontractée composée d’une jupe en jean et d’une chemise à carreaux à bouton pression, l’ensemble de marque et très en vogue à l’époque. Arrivée très vite sur place, l’entreprise d’électricité étant déjà prévenue, j’avais ouvert en attendant l’ouvrier et en effet, n’ayant plus du tout de courant, il y faisait bien trop sombre pour me diriger vers le local technique se trouvant derrière le comptoir. J’étais donc ressortie à l’extérieur, attendant l’arrivée de l’électricien.
À cet instant, une petite camionnette se gara sur le trottoir et en descendit, un homme typé, une lampe torche à la main, assez trapu son visage fendu par un large sourire lorsqu’il m’aperçut : « Salut ma mignonne, une vraie petite cow-boy, ça te va bien. » Ce mec culotté comme pas deux, d’une petite trentaine d’années, me prenait pour une fille qu’il connaissait ou étant dans une boite de nuit, il pensait probablement que je travaillais comme hôtesse : « Je ne connais pas cette boite. Tu bosses là ? Je m’appelle Kamel, tu me montres où se trouve le disjoncteur ?» Ce type était vraiment tout le contraire de Philippe, pourtant très sexy et devait le savoir.
Ce fut la raison pour laquelle, je ne lui avais pas dit qui j’étais, en le laissant dans son délire. En ouvrant le local technique, l’endroit étant assez exigu, il sourit en me disant : « Veux-tu te pousser un peu sur le côté, tes jolis airbags me gênent. Du combien 90C ? » Je m’écartai en riant de bon cœur, je n’avais pas pu me retenir, ce type m’amusait : « Bien ! 85 C ou 90 suivant la marque de soutien-gorge mais je n’en porte que rarement. » À partir de là, il rit aussi et me demanda gentiment de le laisser travailler car si je continuais à le perturber, il ne pourrait pas résoudre la panne et ne pouvait pas me garantir de rester sage très longtemps : Je te sers un verre Kamel en attendant ?
— Ouais un demi ! T’es gentille ma mignonne cow-boy.
Quelques minutes plus tard, la lumière étant revenue, il m’expliqua qu’il avait réenclenché tout simplement le disjoncteur. Il jeta un œil sur sa montre et s’approcha : « Je peux vérifier ? Tu en portes un ou pas ? » Me demanda-t-il, en tirant sur le premier bouton pression de ma chemise qui lâcha. Déjà excitée par Philippe un peu plus tôt dans la matinée, ayant une folle envie de prendre du plaisir : « Vas-y mais je dois tâter moi aussi, la marchandise avant de consommer. » Lui avais-je répondu en mettant ma main sur son entrejambe.
M’embrassant la poitrine après avoir dégrafé les cinq boutons, il glissa sa main sous ma jupe et me caressait l’entrecuisse. Les doigts de ce don juan de Kamel étaient très adroits. Ce type me mettait dans tous mes états. Il n’avait pas fallu longtemps avant que ma petite culotte disparaisse dans mon sac à main. Je l’avais moi-même retirée afin que Kamel puisse jouer avec mon petit bouton et me pénètre ses doigts dans ma fente très humide. Quelques minutes plus tard, je jouissais sur la partie inférieure du comptoir à côté de la tireuse à bière, où il m’avait fait m’assoir.
J’avais envie de rendre la pareille à mon amant tunisien, je lui caressais la bosse sous le tissu de son pantalon, indiquant qu’il avait une forte envie de me sauter. Il baissa son pantalon et m’avait pénétrée assez délicatement. Il faut dire que sans l’avoir réellement vu, son pénis devait être impressionnant car il eut quelques difficultés à s’enfoncer. Puis, Kamel me lima, allant et venant en bêlant tel un bouc, pendant que je gémissais de plaisir. Après une dizaine de minutes, je jouissais de nouveau lorsqu’il se retirait pour éjaculer dans l’évier. Il regarda sa montre une nouvelle fois avant de me dire « T’es un super coup, j’espère que l’on se reverra. Je dois filer. Quelqu’un passera cet après-midi changer la pièce défectueuse. »
En effet, je l’avais revu quinze jours plus tard, comme il habitait assez loin, ce fut facile pour moi d’aller chez lui incognito ou j’avais passé une soirée mémorable. Au niveau de ses attributs sexuels, il n’avait rien à envier à mon pianiste black. Son phallus était d’une taille remarquable. Sa grosseur me déformait la bouche lors des fellations, me remplissait à la perfection mon vagin et me défonçait pendant la sodomie. Je fus comblée de bonheur, d’autant plus que sa langue et ses doigts étaient magiques.
J’avais atteint plusieurs orgasmes qui m’avaient épuisée. Je savais désormais où je pouvais aller lorsque le besoin se faisait sentir et suivant la disponibilité de Kamel, mon étalon tunisien. Dommage pour moi, cette petite liaison n’avait duré que quelques mois. En effet, son patron ayant reçu deux plaintes de certaines clientes, avait interrompu son contrat de travail. J’avais appris un peu plus tard, qu’il était parti après son licenciement, à Lyon. Kamel n’avait jamais su qui j’étais réellement, c’était idéal pour ma réputation car il était célibataire et aurait pu parler de nos ébats sexuels à qui voulait l’entendre.
Pour en revenir à Philippe que je comptais retrouver le plus vite possible, après m’être rendue au restaurant, voir Gisèle, celle-ci bavarde comme une pie me tint la jambe un long moment me parlant de ses soucis personnels. Puis Jean-Lou inquiet de la panne d’électricité, était venu aux nouvelles, je lui avais montré où se situait la pièce à changer. Ayant moi-même rendez-vous à 14 heures avec le comptable, il devait être présent lors de l’intervention du technicien. Il était plus de midi lorsque je rentrais, à mon domicile, Philippe prenait son déjeuner à la cuisine :— Désolée mon lapin, je t’ai laissé au plus mauvais moment pour toi. Je ne serai pas là lorsque tu partiras ce soir. Je te promets que nous reprendrons là où on s’est arrêté, dès lundi. Tu pourras dormir à la maison mercredi, c’est le soir de sortie de Jean-Lou.
Il se leva de table et me prit dans ses bras et m’embrassa tendrement en disant : « Ça va être long trois jours, tu n’as vraiment pas le temps tout de suite ? » Avant mon rdv avec Michel je devais me changer pour déjeuner avec Jean-Lou qui m’attendait : « Soit patient mon lapin, tu ne le regretteras pas. » lui dis-je en lui déposant un bisou, avant d’aller me maquiller et me préparer. Si j’avais promis à Philippe qu’il ne le regretterait pas, ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Sachant que Jean-Lou partait très tôt, il était sept heures, le lundi matin lorsqu’il ouvrit à la porte de ma chambre.
Ne baisant pas de tout le week-end, le dimanche soir était réservé à mon chéri qui cette nuit-là comme souvent, m’en avait fait voir de toutes les couleurs, il s’était déchainé et me fit la totale, il avait fini par m’épuiser. Un quart d’heure plus tôt, je venais de me lever pour faire pipi et je m’étais recouchée avec la ferme intention de me rendormir jusqu’à dix heures, après ces trois jours de folie que nous venions de vivre une nouvelle fois à la discothèque et à la guinguette.
Lorsque je m’étais tournée vers lui en ouvrant les yeux, je vis que Philippe était déjà nu avec son sexe en érection dans la main. Il pensait probablement se glisser sous les draps : « Non mon lapin ! Pas ce matin, je suis complètement crevée. » Comme à son habitude lorsqu’il était gêné, il baissa la tête et sortit de la chambre en refermant la porte. J’avais sans doute dû le blesser, je l’entendais râler en allant aux toilettes. Devais-je le laisser se masturber ou devais le rappeler ? Une petite fellation lui suffirait peut-être à le satisfaire pour le moment : « Philippe ! Reviens. » Criais-je.
Il n’avait pas tardé pour rouvrir la porte de la chambre, je me mis assise sur le lit et lui demandai d’approcher. Après qu’il m’ait fait une bise, je lui caressai le ventre d’une main et avais saisi son beau pénis tendu de l’autre. Lorsque j’ouvris la bouche pour glisser sa queue raide entre mes lèvres, il ferma les yeux en soupirant de bonheur. Dieu qu’il fut résistant, j’avais sucé, aspiré, léché son gland, tout en le masturbant et en lui massant les bourses renflées, je lui avais fait plusieurs gorges profondes pourtant il avait su tenir la distance.
Bien d’autres types avant lui, s’étaient vidés les couilles au bout de quelques minutes sous mon savoir-faire. Il faisait bien partie des rares qui savaient résister à mon supplice érotique. Cependant lorsqu’il me prévint qu’il ne pouvait plus, je l’avais maintenu par les fesses afin qu’il ne se retire pas et m’aspergea le palais avec une force incroyable, il semblait ne jamais s’arrêter d’éjaculer. Il m’avait pris par les cheveux avec délicatesse, restant le plus possible dans ma bouche et criant son bonheur : « Oh putain ! que c’était bien. Je n’ai jamais connu un plaisir aussi intense. »— Allez mon lapin, laisse-moi dormir maintenant.
Il sourit, me déposa une grosse bise sur les lèvres et sortit de la chambre.
Je n’avais pas menti, j’étais bien fatiguée et je m’étais rendormie en pensant à Philippe, je pense que je m’étais prise d’affection pour lui depuis ce fameux vendredi. Si au départ ce fut un jeu élaboré par mon chéri, il y avait de fortes chances que ça ne le soit plus. Ne me voyant toujours pas debout à dix heures trente, il frappa à ma porte. N’étant pas pudique et étant désormais intimes, je m’étais levée comme j’étais, c’est-à-dire : nue avec comme seule protection mon premier string. Ce sous-vêtement de lingerie fine ayant fait sa réapparition dans les magasins spécialisés à l’époque, me fut offert par Jean-Lou, le jour de mon 28e anniversaire.
J’étais assez déçue de ne pas pouvoir restée ce jour-là, mais j’étais en retard et j’avais beaucoup de travail, malgré le jour de fermeture. Je suppose que lui l’était encore plus, lorsqu’il me vit dans cette tenue, me diriger à la salle de bain. Il avait dû penser que sa belle matinée allait se poursuivre et que j’allais l’appeler lorsque j’étais sous la douche. Malheureusement, je le vis qu’en coup de vent ce jour-là et à peine le lendemain. Nous attendions avec impatience le mercredi soir car il m’avait donné confirmation, il passait bien la nuit avec moi, surtout que ce jour-là, il fêtait officiellement ses vingt ans.
Pour cette occasion, je tenais vraiment à lui faire plaisir, ne désirant pas me montrer dans le secteur, avec mon jeune amant, j’avais réservé une chambre d’hôtel à Lyon après avoir diner aux chandelles. Ayant relevé les tailles discrètement sur ses vêtements, le mercredi j’avais passé l’après-midi à faire les boutiques. Je lui avais acheté, un pantalon et une chemise d’une bonne marque, un petit gilet assorti, une cravate, un petit caleçon sexy et une jolie paire de mocassins. Sa montre étant bien abîmée, j’étais allée également chez le bijoutier.
Oui ! Je commençais à avoir des sentiments pour Philippe. On ne peut pas dire que c’était le coup de foudre mais je l’aimais bien. Je l’avais compris pendant les deux jours et demi passé sans le voir, je n’avais pas cessé de penser à lui. J’aimais sa compagnie, sa délicatesse. Certes, il avait huit ans de moins que moi, mais cela ne se voyait à peine. J’adorais Jean-Lou, cependant ce n’était pas pareil. Ayant plus de deux heures et demi de route, je l’avais prévenu qu’il soit prêt pour 16 h 30. Lorsqu’il me vit arrivée avec tous mes paquets que je lui tendais, il était joyeux comme un gosse.
J’eus de la chance, ayant la taille mannequin, tout lui allait comme un gant. Pendant le trajet et au restaurant, il s’était beaucoup confié, me racontant pratiquement toute sa vie qui ne fut pas rose tous les jours. Il était vraiment heureux d’être avec moi, il n’avait jamais ressenti un tel degré de sentiment pour une jeune femme. Toutefois, ce qui le gênait le plus était que je vive avec Jean-Lou. Il craignait, vu ma position sociale et mon âge que je le laisse après m’être servie de lui comme un simple jouet. Il n’avait pas tout à fait tort, c’était ainsi que je pratiquais la plupart du temps.
J’avais bien essayé de lui mentir en lui disant qu’avec mon futur mari, nous vivions en totale liberté sexuelle. Cela il l’avait bien compris. Dès que nous fûmes isolés dans l’ascenseur, nous emmenant au 6e étage, il m’enlaça pour m’embrasser comme s’il avait peur que je m’en aille. Et lorsque nous étions entrés dans la chambre, il fut en admiration, c’était la première fois qu’il dormais dans un lit d’hôtel et la grandeur de celui-ci l’impressionna doublement. À cet instant, je ne l’avais plus laissé dans ses idées nostalgiques, je l’avais moi-même déshabillé et je n’eus pas à forcer mes talents afin qu’il soit en érection, il l’était déjà.
Après la même fellation que trois jours plus tôt, je fus une nouvelle fois surprise de ses capacités. Je lui avais demandé de se mettre sur le lit pendant que j’enlevais un par un chacun de mes vêtements, sensuellement et lascivement telle une stripteaseuse. Je lui avais expliqué ce que je désirais et comment me faire jouir uniquement avec sa langue et ses doigts. En peu de temps, en respectant mes consignes, il avait très vite appris et parvint à un résultat satisfaisant pour un débutant, je l’avais un peu aidé à atteindre mon premier orgasme.
Son joli pénis de 18 cm, avait repris sa taille maximale dans ma bouche lors d’un 69 qu’il n’avait jamais pratiqué. Il était très demandeur, il faut dire et de mon côté, sans mon aide cette fois, je n’avais pas résisté à son cunnilingus et son petit doigtage timide de ma petite rondelle, j’avais joui très fortement. Comme je l’avais pensé, il fut surprenant de résistance, nous avions baisé pendant plus de trois heures de suite. Je tenais à lui apprendre et qu’il découvre le maximum de positions. Pour finir, il eut droit pour ses vingt ans à me sodomiser. Lorsque qu’après avoir bien lécher mon anus, je sentais bien qu’il le désirait, je lui dis alors : « Allez mon lapin ! Pour ton anniversaire, encule-moi, n’ait aucune retenue. »
Nous avions remis le couvert en nous réveillant et avant de nous préparer. Nous n’étions rentrés que le lendemain midi, autant fatigués l’un que l’autre. Je n’avais jamais connu une nuit comme celle-ci, pourtant Jean-Lou m’apportait beaucoup de bien-être et de délicatesse, cependant Philippe avait su me faire l’amour avec énormément de douceur et de tendresse, je me sentais bien dans ses bras. J’étais très heureuse d’avoir trouvé enfin un amant formidable, je désirais restée avec lui, tous les soirs où mon chéri me délaissait. Pourtant, mon rêve fut de courte durée lorsqu’il m’annonça de but en blanc en sanglotant : « Tu vas me manquer Josy. Je pars à l’armée dans huit jours. Je ne voulais pas lui montrer, néanmoins cette mauvaise nouvelle m’avait attristée et j’avais également envie de pleurer.
La suite de l’histoire mercredi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Lui de son côté, si timide depuis trois jours, me voyant pénétrer avec ma petite tenue, dans la chambre servant de dépôt, se libéra enfin. En même temps, nous nous étions rapprochés, il enleva la ceinture en soie de mon peignoir kimono et m’enlaça. Ses mains sur mes fesses, les miennes derrière sa tête, son sexe contre mon ventre, nous nous embrassions tendrement et sensuellement. Philippe était doux et très affectueux, j’étais bien dans ses bras. L’ayant vexé en lui demandant s’il avait déjà couché avec sa petite amie, il désirait probablement me démontrer le contraire. Je le laissais donc prendre les initiatives en me laissant aller.
Après trois jours d’efforts, j’étais très heureuse d’être enfin parvenue à mon objectif, j’allais enfin coucher avec ce beau garçon dont l’érection prouvait tout le désir qu’il avait pour moi. Sur la pointe des pieds, j’avais redressé une jambe sur sa hanche, j’écartais de mes doigts la dentelle de mon shorty afin qu’il puisse saisir sa verge d’une main et la diriger vers ma fente qui suintait de plaisir. Il n’en fit rien et pour cause. Cela faisait déjà trois fois que le téléphone sonnait et à la quatrième, il me dit : « Décroche Josy ça doit être urgent. C’est sans doute mon patron. »
Décidément, ce n’était pas ma veine, je lui fis une bise sur ses lèvres et alla dans l’entrée afin de répondre à l’appel téléphonique. Pendant ce temps, Philippe au lieu de m’attendre, craignant son boss, avait enfilé sa tenue à la hâte et commença sa journée de travail. Malheureusement, ce n’était pas encore pour aujourd’hui que j’allais prendre du plaisir avec mon jeune peintre, je devais me rendre au « Paradise-Club » où un problème électrique était survenu. Après la douche (froide. LOL), je m’étais préparée rapidement et avant de partir, j’étais retournée voir Philippe lui déposant un bisou sur ses lèvres. Le premier pas étant fait, il fallait qu’il comprenne que ce n’était que partie remise.
Pressée, je ne m’étais pas maquillé, avait coiffé mes cheveux en queue de cheval et j’avais enfilai une tenue décontractée composée d’une jupe en jean et d’une chemise à carreaux à bouton pression, l’ensemble de marque et très en vogue à l’époque. Arrivée très vite sur place, l’entreprise d’électricité étant déjà prévenue, j’avais ouvert en attendant l’ouvrier et en effet, n’ayant plus du tout de courant, il y faisait bien trop sombre pour me diriger vers le local technique se trouvant derrière le comptoir. J’étais donc ressortie à l’extérieur, attendant l’arrivée de l’électricien.
À cet instant, une petite camionnette se gara sur le trottoir et en descendit, un homme typé, une lampe torche à la main, assez trapu son visage fendu par un large sourire lorsqu’il m’aperçut : « Salut ma mignonne, une vraie petite cow-boy, ça te va bien. » Ce mec culotté comme pas deux, d’une petite trentaine d’années, me prenait pour une fille qu’il connaissait ou étant dans une boite de nuit, il pensait probablement que je travaillais comme hôtesse : « Je ne connais pas cette boite. Tu bosses là ? Je m’appelle Kamel, tu me montres où se trouve le disjoncteur ?» Ce type était vraiment tout le contraire de Philippe, pourtant très sexy et devait le savoir.
Ce fut la raison pour laquelle, je ne lui avais pas dit qui j’étais, en le laissant dans son délire. En ouvrant le local technique, l’endroit étant assez exigu, il sourit en me disant : « Veux-tu te pousser un peu sur le côté, tes jolis airbags me gênent. Du combien 90C ? » Je m’écartai en riant de bon cœur, je n’avais pas pu me retenir, ce type m’amusait : « Bien ! 85 C ou 90 suivant la marque de soutien-gorge mais je n’en porte que rarement. » À partir de là, il rit aussi et me demanda gentiment de le laisser travailler car si je continuais à le perturber, il ne pourrait pas résoudre la panne et ne pouvait pas me garantir de rester sage très longtemps : Je te sers un verre Kamel en attendant ?
— Ouais un demi ! T’es gentille ma mignonne cow-boy.
Quelques minutes plus tard, la lumière étant revenue, il m’expliqua qu’il avait réenclenché tout simplement le disjoncteur. Il jeta un œil sur sa montre et s’approcha : « Je peux vérifier ? Tu en portes un ou pas ? » Me demanda-t-il, en tirant sur le premier bouton pression de ma chemise qui lâcha. Déjà excitée par Philippe un peu plus tôt dans la matinée, ayant une folle envie de prendre du plaisir : « Vas-y mais je dois tâter moi aussi, la marchandise avant de consommer. » Lui avais-je répondu en mettant ma main sur son entrejambe.
M’embrassant la poitrine après avoir dégrafé les cinq boutons, il glissa sa main sous ma jupe et me caressait l’entrecuisse. Les doigts de ce don juan de Kamel étaient très adroits. Ce type me mettait dans tous mes états. Il n’avait pas fallu longtemps avant que ma petite culotte disparaisse dans mon sac à main. Je l’avais moi-même retirée afin que Kamel puisse jouer avec mon petit bouton et me pénètre ses doigts dans ma fente très humide. Quelques minutes plus tard, je jouissais sur la partie inférieure du comptoir à côté de la tireuse à bière, où il m’avait fait m’assoir.
J’avais envie de rendre la pareille à mon amant tunisien, je lui caressais la bosse sous le tissu de son pantalon, indiquant qu’il avait une forte envie de me sauter. Il baissa son pantalon et m’avait pénétrée assez délicatement. Il faut dire que sans l’avoir réellement vu, son pénis devait être impressionnant car il eut quelques difficultés à s’enfoncer. Puis, Kamel me lima, allant et venant en bêlant tel un bouc, pendant que je gémissais de plaisir. Après une dizaine de minutes, je jouissais de nouveau lorsqu’il se retirait pour éjaculer dans l’évier. Il regarda sa montre une nouvelle fois avant de me dire « T’es un super coup, j’espère que l’on se reverra. Je dois filer. Quelqu’un passera cet après-midi changer la pièce défectueuse. »
En effet, je l’avais revu quinze jours plus tard, comme il habitait assez loin, ce fut facile pour moi d’aller chez lui incognito ou j’avais passé une soirée mémorable. Au niveau de ses attributs sexuels, il n’avait rien à envier à mon pianiste black. Son phallus était d’une taille remarquable. Sa grosseur me déformait la bouche lors des fellations, me remplissait à la perfection mon vagin et me défonçait pendant la sodomie. Je fus comblée de bonheur, d’autant plus que sa langue et ses doigts étaient magiques.
J’avais atteint plusieurs orgasmes qui m’avaient épuisée. Je savais désormais où je pouvais aller lorsque le besoin se faisait sentir et suivant la disponibilité de Kamel, mon étalon tunisien. Dommage pour moi, cette petite liaison n’avait duré que quelques mois. En effet, son patron ayant reçu deux plaintes de certaines clientes, avait interrompu son contrat de travail. J’avais appris un peu plus tard, qu’il était parti après son licenciement, à Lyon. Kamel n’avait jamais su qui j’étais réellement, c’était idéal pour ma réputation car il était célibataire et aurait pu parler de nos ébats sexuels à qui voulait l’entendre.
Pour en revenir à Philippe que je comptais retrouver le plus vite possible, après m’être rendue au restaurant, voir Gisèle, celle-ci bavarde comme une pie me tint la jambe un long moment me parlant de ses soucis personnels. Puis Jean-Lou inquiet de la panne d’électricité, était venu aux nouvelles, je lui avais montré où se situait la pièce à changer. Ayant moi-même rendez-vous à 14 heures avec le comptable, il devait être présent lors de l’intervention du technicien. Il était plus de midi lorsque je rentrais, à mon domicile, Philippe prenait son déjeuner à la cuisine :— Désolée mon lapin, je t’ai laissé au plus mauvais moment pour toi. Je ne serai pas là lorsque tu partiras ce soir. Je te promets que nous reprendrons là où on s’est arrêté, dès lundi. Tu pourras dormir à la maison mercredi, c’est le soir de sortie de Jean-Lou.
Il se leva de table et me prit dans ses bras et m’embrassa tendrement en disant : « Ça va être long trois jours, tu n’as vraiment pas le temps tout de suite ? » Avant mon rdv avec Michel je devais me changer pour déjeuner avec Jean-Lou qui m’attendait : « Soit patient mon lapin, tu ne le regretteras pas. » lui dis-je en lui déposant un bisou, avant d’aller me maquiller et me préparer. Si j’avais promis à Philippe qu’il ne le regretterait pas, ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Sachant que Jean-Lou partait très tôt, il était sept heures, le lundi matin lorsqu’il ouvrit à la porte de ma chambre.
Ne baisant pas de tout le week-end, le dimanche soir était réservé à mon chéri qui cette nuit-là comme souvent, m’en avait fait voir de toutes les couleurs, il s’était déchainé et me fit la totale, il avait fini par m’épuiser. Un quart d’heure plus tôt, je venais de me lever pour faire pipi et je m’étais recouchée avec la ferme intention de me rendormir jusqu’à dix heures, après ces trois jours de folie que nous venions de vivre une nouvelle fois à la discothèque et à la guinguette.
Lorsque je m’étais tournée vers lui en ouvrant les yeux, je vis que Philippe était déjà nu avec son sexe en érection dans la main. Il pensait probablement se glisser sous les draps : « Non mon lapin ! Pas ce matin, je suis complètement crevée. » Comme à son habitude lorsqu’il était gêné, il baissa la tête et sortit de la chambre en refermant la porte. J’avais sans doute dû le blesser, je l’entendais râler en allant aux toilettes. Devais-je le laisser se masturber ou devais le rappeler ? Une petite fellation lui suffirait peut-être à le satisfaire pour le moment : « Philippe ! Reviens. » Criais-je.
Il n’avait pas tardé pour rouvrir la porte de la chambre, je me mis assise sur le lit et lui demandai d’approcher. Après qu’il m’ait fait une bise, je lui caressai le ventre d’une main et avais saisi son beau pénis tendu de l’autre. Lorsque j’ouvris la bouche pour glisser sa queue raide entre mes lèvres, il ferma les yeux en soupirant de bonheur. Dieu qu’il fut résistant, j’avais sucé, aspiré, léché son gland, tout en le masturbant et en lui massant les bourses renflées, je lui avais fait plusieurs gorges profondes pourtant il avait su tenir la distance.
Bien d’autres types avant lui, s’étaient vidés les couilles au bout de quelques minutes sous mon savoir-faire. Il faisait bien partie des rares qui savaient résister à mon supplice érotique. Cependant lorsqu’il me prévint qu’il ne pouvait plus, je l’avais maintenu par les fesses afin qu’il ne se retire pas et m’aspergea le palais avec une force incroyable, il semblait ne jamais s’arrêter d’éjaculer. Il m’avait pris par les cheveux avec délicatesse, restant le plus possible dans ma bouche et criant son bonheur : « Oh putain ! que c’était bien. Je n’ai jamais connu un plaisir aussi intense. »— Allez mon lapin, laisse-moi dormir maintenant.
Il sourit, me déposa une grosse bise sur les lèvres et sortit de la chambre.
Je n’avais pas menti, j’étais bien fatiguée et je m’étais rendormie en pensant à Philippe, je pense que je m’étais prise d’affection pour lui depuis ce fameux vendredi. Si au départ ce fut un jeu élaboré par mon chéri, il y avait de fortes chances que ça ne le soit plus. Ne me voyant toujours pas debout à dix heures trente, il frappa à ma porte. N’étant pas pudique et étant désormais intimes, je m’étais levée comme j’étais, c’est-à-dire : nue avec comme seule protection mon premier string. Ce sous-vêtement de lingerie fine ayant fait sa réapparition dans les magasins spécialisés à l’époque, me fut offert par Jean-Lou, le jour de mon 28e anniversaire.
J’étais assez déçue de ne pas pouvoir restée ce jour-là, mais j’étais en retard et j’avais beaucoup de travail, malgré le jour de fermeture. Je suppose que lui l’était encore plus, lorsqu’il me vit dans cette tenue, me diriger à la salle de bain. Il avait dû penser que sa belle matinée allait se poursuivre et que j’allais l’appeler lorsque j’étais sous la douche. Malheureusement, je le vis qu’en coup de vent ce jour-là et à peine le lendemain. Nous attendions avec impatience le mercredi soir car il m’avait donné confirmation, il passait bien la nuit avec moi, surtout que ce jour-là, il fêtait officiellement ses vingt ans.
Pour cette occasion, je tenais vraiment à lui faire plaisir, ne désirant pas me montrer dans le secteur, avec mon jeune amant, j’avais réservé une chambre d’hôtel à Lyon après avoir diner aux chandelles. Ayant relevé les tailles discrètement sur ses vêtements, le mercredi j’avais passé l’après-midi à faire les boutiques. Je lui avais acheté, un pantalon et une chemise d’une bonne marque, un petit gilet assorti, une cravate, un petit caleçon sexy et une jolie paire de mocassins. Sa montre étant bien abîmée, j’étais allée également chez le bijoutier.
Oui ! Je commençais à avoir des sentiments pour Philippe. On ne peut pas dire que c’était le coup de foudre mais je l’aimais bien. Je l’avais compris pendant les deux jours et demi passé sans le voir, je n’avais pas cessé de penser à lui. J’aimais sa compagnie, sa délicatesse. Certes, il avait huit ans de moins que moi, mais cela ne se voyait à peine. J’adorais Jean-Lou, cependant ce n’était pas pareil. Ayant plus de deux heures et demi de route, je l’avais prévenu qu’il soit prêt pour 16 h 30. Lorsqu’il me vit arrivée avec tous mes paquets que je lui tendais, il était joyeux comme un gosse.
J’eus de la chance, ayant la taille mannequin, tout lui allait comme un gant. Pendant le trajet et au restaurant, il s’était beaucoup confié, me racontant pratiquement toute sa vie qui ne fut pas rose tous les jours. Il était vraiment heureux d’être avec moi, il n’avait jamais ressenti un tel degré de sentiment pour une jeune femme. Toutefois, ce qui le gênait le plus était que je vive avec Jean-Lou. Il craignait, vu ma position sociale et mon âge que je le laisse après m’être servie de lui comme un simple jouet. Il n’avait pas tout à fait tort, c’était ainsi que je pratiquais la plupart du temps.
J’avais bien essayé de lui mentir en lui disant qu’avec mon futur mari, nous vivions en totale liberté sexuelle. Cela il l’avait bien compris. Dès que nous fûmes isolés dans l’ascenseur, nous emmenant au 6e étage, il m’enlaça pour m’embrasser comme s’il avait peur que je m’en aille. Et lorsque nous étions entrés dans la chambre, il fut en admiration, c’était la première fois qu’il dormais dans un lit d’hôtel et la grandeur de celui-ci l’impressionna doublement. À cet instant, je ne l’avais plus laissé dans ses idées nostalgiques, je l’avais moi-même déshabillé et je n’eus pas à forcer mes talents afin qu’il soit en érection, il l’était déjà.
Après la même fellation que trois jours plus tôt, je fus une nouvelle fois surprise de ses capacités. Je lui avais demandé de se mettre sur le lit pendant que j’enlevais un par un chacun de mes vêtements, sensuellement et lascivement telle une stripteaseuse. Je lui avais expliqué ce que je désirais et comment me faire jouir uniquement avec sa langue et ses doigts. En peu de temps, en respectant mes consignes, il avait très vite appris et parvint à un résultat satisfaisant pour un débutant, je l’avais un peu aidé à atteindre mon premier orgasme.
Son joli pénis de 18 cm, avait repris sa taille maximale dans ma bouche lors d’un 69 qu’il n’avait jamais pratiqué. Il était très demandeur, il faut dire et de mon côté, sans mon aide cette fois, je n’avais pas résisté à son cunnilingus et son petit doigtage timide de ma petite rondelle, j’avais joui très fortement. Comme je l’avais pensé, il fut surprenant de résistance, nous avions baisé pendant plus de trois heures de suite. Je tenais à lui apprendre et qu’il découvre le maximum de positions. Pour finir, il eut droit pour ses vingt ans à me sodomiser. Lorsque qu’après avoir bien lécher mon anus, je sentais bien qu’il le désirait, je lui dis alors : « Allez mon lapin ! Pour ton anniversaire, encule-moi, n’ait aucune retenue. »
Nous avions remis le couvert en nous réveillant et avant de nous préparer. Nous n’étions rentrés que le lendemain midi, autant fatigués l’un que l’autre. Je n’avais jamais connu une nuit comme celle-ci, pourtant Jean-Lou m’apportait beaucoup de bien-être et de délicatesse, cependant Philippe avait su me faire l’amour avec énormément de douceur et de tendresse, je me sentais bien dans ses bras. J’étais très heureuse d’avoir trouvé enfin un amant formidable, je désirais restée avec lui, tous les soirs où mon chéri me délaissait. Pourtant, mon rêve fut de courte durée lorsqu’il m’annonça de but en blanc en sanglotant : « Tu vas me manquer Josy. Je pars à l’armée dans huit jours. Je ne voulais pas lui montrer, néanmoins cette mauvaise nouvelle m’avait attristée et j’avais également envie de pleurer.
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