« Josy »: La petite salope ne veux pas se faire sodomiser Épisode 23

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Récit libertin : « Josy »:  La petite salope ne veux pas se faire sodomiser Épisode 23 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy »: La petite salope ne veux pas se faire sodomiser Épisode 23
Le lundi 28 mars à 9 heures du matin, je recevais la commission de sécurité composée de huit personnes, possédant toutes les compétences en matière de la protection contre l’incendie et les risques de panique. Selon Jean-Lou, théoriquement, cette visite ne devait être qu’une simple formalité, dans la mesure où tous les éléments de sécurité furent pris en compte dès le lancement des travaux et que les matériaux de construction présentaient des qualités de réaction et de résistance appropriées aux risques, face au feu. Nous avions suivi à la lettre l’aide technique fournie par l’administration compétente notamment par le capitaine des sapeurs-pompiers professionnels de la ville : Gilbert un ami intime que j’avais rencontré à plusieurs reprises.

En effet, au moment où nous avions décidé de réhabiliter l’étable, afin de la transformer en discothèque, l’architecte s’était déplacé sur place et avait demandé à son ami le Capitaine F des sapeurs-pompiers de venir sur les lieux pour qu’il puisse, en grand professionnel qu’il était, donner son avis personnel et soumettre quelques suggestions afin que le bâtiment soit totalement en conformité, vis-à-vis de la réglementation en vigueur. Ce jour-là, Gilbert était arrivé en avance sur l’horaire prévu et attendait sur le trottoir. Ayant aperçu la camionnette rouge des pompiers se garer, j’étais sortie pour lui ouvrir l’étable.

Après nous être salués rapidement, il me regardait avec insistance, me débattre afin d’ouvrir cette lourde porte cochère. Voyant que je n’y parvenais pas, il vint à mon secours en me souriant et me dit : « Laissez-moi vous aider. » J’avais répondu à son sourire en le remerciant, je trouvais cet homme super sexy dans son uniforme d’officier. Puis après un grand effort, il était parvenu à coulisser cette fameuse porte. Pensant que j’étais la fille des propriétaires, il me sourit en disant : « Vous devriez dire à votre père qu’il règle ce problème, ce n’est pas une si jeune et jolie fille comme vous qui auriez pu l’ouvrir. »
« Merci Capitaine, vous êtes très galant, seulement c’est moi la propriétaire des lieux. Je demanderai à un ami de le faire. » Il n’en revenait pas et était un peu gêné de cette bévue : « Vous êtes donc Josy. Excusez-moi pour la confusion. Vous devez être très douée car malgré votre jeunesse, vous avez su faire de ce lieu un très bel endroit. » Je le remerciai une nouvelle fois : « Merci Capitaine vous me flatter. » Notre petite conversation pris fin lors de la venue de l’architecte, après qu’il m’ait demandé de l’appeler Gilbert. Je fus assez surprise de cette familiarité, néanmoins, il avait trente-deux ans, j’étais assez heureuse de le compter parmi mes amis, il pouvait m’être utile.

Après cette visite, durant laquelle il n’avait pas cessé de me regarder dans ma robe courte et mes escarpins, comme il me l’avait dit en blaguant, je n’avais pas la tenue appropriée, en ajoutant à mon oreille : « Ne changer rien, vous êtes ravissante ainsi. » Nous étions sortis, l’architecte avait désormais les clés il pouvait venir à sa guise prendre les cotes nécessaires pour la réalisation des plans. Avant de partir, Gilbert me proposa de venir dans sa camionnette, il avait des documents d’aide à la sécurité, à me fournir qui me devraient être bien utiles. À cet instant, ce charmant officier se lança directement sur un plan drague. Ce qui ne me déplut pas, je vous l’accorde :— Plus je te regarde Josy, plus je te trouve jolie. Pourrions-nous nous rencontrer dans un autre contexte ? Disons demain.
— Tu es un rapide toi ! J’en serais ravie également, je suis en ville demain après-midi, retrouvons-nous au buffet de la gare.

Ce fut ainsi que notre courte liaison débuta. Je n’avais pas attendu pour coucher avec lui. Dès le premier jour, après avoir bu un verre, il m’emmena chez lui où je m’étais retrouvée rapidement dans son lit. Il eut l’occasion de mieux me connaitre, en particulier ma petite bouche avec laquelle, il avait pu apprécier la fellation en gorge profonde que je lui avais gentiment proposée. Mais aussi ma chatte qu’il avait léchée, sucé, avant de la pénétrer, où il put à sa guise, se vider de toute sa semence. Toutefois, je lui avais refusé l’accès de ma petite rondelle que je gardais pour plus tard. Celle-ci étant réservée à cette époque à Jean-Lou et à Alain.

Étant fiancé, nous nous étions revu que trois fois puis après son mariage, n’étant pas un amant extraordinaire, sans qu’il ne soit mauvais, j’avais interrompu notre liaison, prétextant qu’il était marié. Ce qui était totalement faux, seulement il me fallait trouver une bonne excuse afin de ne pas me fâcher avec lui. J’avais donc menti pour la bonne cause, je me doutais bien qu’un jour, j’aurais encore besoin de ses services. De ce fait, je ne lui avais jamais accordé ce qu’il demandait : me sodomiser.

Pour revenir à notre commission de sécurité, je ne fus pas réellement gâtée, sur les huit personnes composant cette commission, deux d’entre elles, qui théoriquement ne devaient pas être présentes ce jour-là, n’avaient pas cessé de chercher le moindre petit défaut pouvant me nuire à l’ouverture, c’était flagrant. En premier lieu, Patrice le nouveau Maire, ayant une réunion professionnelle importante, désigna Christian, son 1er adjoint pour y figurer et Gilbert le Capitaine des pompiers, ne pouvant se déplacer fut remplacé par Charles B, responsable des sapeurs-pompiers de Facourt/Drèze. Christian G et Charles B un farouche opposant à la discothèque firent obstruction en permanence, malgré la conformité évidente des lieux.

Cette inspection systématique du moindre élément inscrit sur le rapport était méticuleusement, lu et relu. Les mesures étaient deux voire trois fois vérifiées. Cette visite s’éternisait et ne finit qu’à 13 heures et pour un résultat surprenant : Il manquait sur le document, les deux signatures, celles du représentant de la mairie et du représentant des sapeurs-pompiers pour non-conformité avec mise en demeure de déplacer une issue de secours située à 15 cm en dehors de la norme, alors que le capitaine F avec l’accord de son commandant, au moment de la visite précédente, avaient donné tous les deux leur aval oralement, ce qui évitait de déplacer cette issue afin que la cloison amovible puisse coulisser sans la bloquer, ni l’obstruer. J’avais crié au scandale et les six autres membres étaient entièrement de mon avis.

À 14 heures, pensant que la Mairie avait les pleins pouvoirs dans cette situation, j’étais arrivée dans le bureau de Patrice, très remontée, en repoussant sa secrétaire : « Comment as-tu pu envoyer ce con de Christian à ta place à cette commission, tant importante pour l’ouverture du « Paradise-Club ? » Il me regardait comme deux ronds de flan, il se demandait de quoi je parlais : « Tu étais bien en réunion ce matin ? Alors que tu devais être chez-moi ? » « Mais non ma puce ! C’est Christian qui m’a proposé de m’y remplacer afin de me permettre de souffler un peu. Pourquoi ? » Je lui expliquai en deux mots et il comprit son erreur :— Mais là ma petite Josy, je n’y peux rien, je ne peux pas prendre le risque de signer si je n’ai pas la signature des pompiers.

En sortant de la Mairie, je pensais réellement que mon calvaire allait se terminer là. J’avais juste à téléphoner à Gilbert et le tour était joué, bien entendu, je savais que si j’allais lui demander ce service, en contrepartie il m’imposerait de prendre ma petite rondelle. Je n’en avais pas forcément envie, cependant si c’était le passage obligé (LOL), je me ferais sodomiser volontiers afin d’obtenir cette autorisation. Malheureusement, ça ne s’était pas passé de cette façon. En effet, lorsque j’avais joint Gilbert, celui-ci m’annonça que ce n’était pas de son ressort, qu’en tant que Chef de centre, il n’avait pas le pouvoir officiel pour signer un tel document départemental.

Je devais donc passer par le Commandant T, chef de groupement. Il nous restait que quinze jours avant l’inauguration, toute la publicité à la radio, sur les journaux et les affiches 4X3, indiquant l’ouverture de la nouvelle discothèque « Le Paradise-Club » était lancée, je ne pouvais plus reculer. Soit, nous avions ces signatures, soit, nous ouvrions sans, avec les conséquences que cela pouvait engendrer. Jean-Lou était totalement contre, il ne voulait pas que nous ne soyons hors la loi et me demanda de le laisser gérer cette affaire. Dans son milieu homosexuel, il avait beaucoup d’appuis.

J’avais toutefois dès le lendemain, rencontré le Commandant T, un homme charmant qui n’était pas contre mon projet. Il reconnaissait avoir constaté le déplacement de cette issue de secours en disant, lors d’une visite que ce contre temps n’occasionnerait pas de refus le jour de la commission de contrôle et regrettait de ne pas l’avoir consigné par écrit. Il était prêt à signer cette autorisation, néanmoins il lui fallait l’accord de la personne qui avait déclaré la mise en demeure. C’est-à-dire : Charles B.

Là était le problème, cet homme de 64 ans était très bien connu et respecté dans le secteur, en tant qu’agent de ville et pompier volontaire depuis des années. Lorsque Jean-Lou essaya de lui faire entendre raison, cet homme était tellement têtu, qu’il n’aurait même pas accepté une voiture neuve en pot de vin afin de le faire changer d’avis. Avec son réseau, mon chéri s’était renseigné afin de trouver un moyen de pression contre lui, en vain. Ce type semblait être le plus intègre des hommes. Il fallait faire vite, les jours passaient et nous étions au point mort. Ayant résidé à Beauville sur Drèze, j’en avais parlé machinalement à Colette ma mère.

Ce jour-là, j’avais probablement la solution à mon problème, lorsque maman m’annonça que Charles B était le troisième homme : « Ce type est un violeur ! Il venait avec Eugène lorsqu’André me partageait à ses deux amis. J’avais enfin trouvé son talon d’Achille, mais nous n’avions aucune preuve. Je ne pouvais pas mettre ma mère dans l’embarras, en la mettant en cause, si je répandais la rumeur : Charles B est un violeur de jeune-filles. Ma mère me dit alors qu’elle avait peut-être une idée : « Je crois que tu devrais aller voir ton père, il le déteste ce type.

Six jours étaient passés lorsque j’étais allée voir Jean-Paul à son atelier. J’expliquai mon affaire à mon père et à mon demi-frère Gerald qui m’appréciait beaucoup, depuis que j’avais retrouvé ma famille. Je leur avais tout expliqué en détail, lorsque je parlai de l’homme qui posait problème, ce fameux Charles B. Je leur racontai comment il venait avec ses deux amis pour baiser ma mère : « Ce salaud, demain je vais aller lui mettre la tête au carré et tu verras qu’il reviendra sur sa décision. » Dit Gérald passablement énervé : « Toi, tu ne fais rien du tout. » Lui ordonna Jean-Paul, avant de l’envoyer faire une course.
Puis il m’expliqua alors pourquoi il était allé en prison. En 1954, Marie H la jeune sœur de Bernard, l’un de ses amis, fut violée par le fils du patron de la confiturerie. La jeune fille après avoir parlé avec M. Charles B, ne porta pas plainte. Toutefois elle l’avoua à son grand frère qui en tabassant Germain, le laissa pour mort le long de la Drèze : « Ce jour-là, Charles B étant à la pêche, avait vu un type s’enfuir sur une moto rouge.
Comme c’était la seule de ce genre dans le secteur, il en déduisit que j’étais l’agresseur du fils d’Eugène. » Seulement mon père, l’avais prêté à Bernard. Ayant un alibi, il n’avait pas dénoncé son ami et l’ayant pris par surprise, Germain n’ayant pas vu son assaillant, ne pouvait pas accuser Bernard. Le jour de son procès, Charles B persista dans son témoignage et nia les propos qu’il aurait soi-disant tenus à la jeune-fille. Le juge avait prononcé la peine de deux ans de prison, dont un avec sursis, à l’encontre de mon père : « Si tu veux en savoir plus, va voir Marie. »
Je connaissais déjà cette femme, avec son amie, elles faisaient partie de nos fidèles clientes. Le lendemain, à la guinguette, je l’avais approchée afin de parler de M. Charles B : « Ne me parle pas de ce type, je l’ai en horreur. » Après lui avoir expliqué que cet homme me posait problème et que c’était Bebel, mon père biologique qui m’envoyait vers elle, je vis son visage s’illuminer. Marie était beaucoup moins réticente et me dit qu’elle n’oublierait jamais Jean-Paul, avec lequel elle était sortie six mois après sa sortie de prison, ce qui avait évité à son frère de très gros ennuis.

Puis j’insistai afin qu’elle me parle du sapeur-pompier bénévole, je ne désirais pas forcément qu’elle se remémore son viol mais c’était surtout le rôle qu’avait joué cet homme dans cette affaire, qui m’intéressait. À partir de cet instant, elle n’hésita pas de me raconter toute l’histoire. Ceci s’était passé pendant l’été 54 alors qu’elle avait 17 ans. Elle allait souvent au parc avec une amie et toutes les deux étaient en admiration devant le beau et sexy Germain. Celui-ci ayant 21 ans, sortait avec des filles de son âge et ne s’intéressait pas à elles.

Cependant, un après-midi alors que Marie était seule, il était venu s’assoir sur le banc à côté d’elle et commença à la séduire : « J’étais toute heureuse que ce type qui me faisait rêver puisse s’intéresser à moi. » Ce fut pour cette raison que lorsqu’il lui proposa une balade, elle avait accepté tout de suite. Il lui prit la main et l’emmena dans un endroit reculé du parc qu’il appelait « le coin des amoureux ». Il faisait chaud ce jour-là, ils s’étaient allongés dans l’herbe et s’étaient embrassés. Il lui caressait la poitrine, puis très vite une main était passée sous sa robe légère.

Si Marie était encore vierge, tout cela ne la choquait pas, elle avait l’habitude avec les garçons de se faire masturber tandis qu’elle rendait la pareille en massant la verge de son petit ami du moment. Ce qu’elle fit à Germain ce jour-là. Pendant qu’il lui donnait du plaisir avec ses doigts sous sa petite culotte, elle caressait le sexe de son nouvel amant. Seulement, il en avait voulu plus et prise dans sa jouissance, il en avait profité pour lui retirer son dernier rempart. Elle avait bien essayé de l’en empêcher, mais son refus ne fut pas suffisamment ferme. Il lui dit :— Ne t’inquiète pas, je ne pénètre pas. Dit-il en se frottant le gland sur sa fente.

Prise une nouvelle fois de spasmes, il poussa et dépucela la jeune vierge qu’était Marie qui avait plusieurs fois dit : « Non fais pas ça. » Puis il s’était retiré et avait éjaculé sur les poils de son pubis. C’était trop tard, elle n’avait pas réalisé sur le moment, cependant lorsqu’il s’était rhabillé et qu’il était parti la laissant seule, elle comprit qu’il avait bien abusé d’elle. Marie, honteuse, était restée plus d’un quart d’heure sur place, en sanglotant avant de repartir. En sortant du parc, elle croisa Charles B et lui dit que Germain l’avait agressée sexuellement :
« Ah bon ! Tu étais bien avec lui de ton plein gré pourtant ? Tu t’es laissé caressé et il ne t’a pas forcé ? L’as-tu griffé, giflé ? Alors où est le problème, la police dira que tu étais consentante. Tu sais Germain à un père très puissant, ton papa simple ouvrier agricole pourrait avoir de gros ennuis, s’il apprenait que tu racontes ces choses-là. » Avec ce que j’avais entendu, s’en était trop, ce porc allait le payer un jour, ça ne pouvait pas continuer. Avec le travail que j’avais à la guinguette et au restaurant, le week-end, je m’étais déplacée chez-lui, le lundi à midi.

Lorsqu’il m’avait ouvert la porte, je n’avais pas eu besoin de me présenter. Charles B me reçut dans l’entrée, il me prit le bras et me dit : « Je sais que c’est toi qui as fait jeter la brique à travers la vitre de mon salon. » En effet, il me la montra et sortit de sa poche un mot qui fut sans doute fixé sur cette brique : « Tu es un violeur, tu vas le payer. » Puis il me menaça de porter plainte, j’étais bien ennuyée car cela n’arrangeait pas mes affaires.
— Écoutez Mr Charles, je sais des choses sur vous. Marie G et Colette ma mère, ça vous dit probablement quelque chose.

À cet instant, il devint pâle et en me tirant par le bras, me fit sortir sur le trottoir. J’avais compris, il ne désirait pas que sa femme et son fils, se trouvant à la cuisine, entendent notre conversation et ne tenait pas que sa propre famille soit mise au courant de ses méfaits : « Écoutez Mlle B, je ne sais pas ce que vous savez, mais je n’ai rien à me reprocher. Marie n’était pas très futée, elle ne savait pas ce qu’elle disait.

Quant à votre mère, elle était majeure et vaccinée. Vous devriez rentrer chez-vous. » Ayant remarqué qu’il avait remis le petit mot dans sa poche, il était probable qu’il ne l’ait pas montré à son épouse et c’était sans doute pour cette raison, qu’il n’avait pas encore porté plainte.
— Votre femme ne vous a pas demandé pourquoi il était écrit violeur sur le mot ? Est-elle au courant des propos que vous avez tenus à la jeune Marie à l’époque pour défendre un violeur.

Sa couleur de peau s’éclaircit encore un peu plus, maintenant qu’il était certain que je n’avais rien à voir avec la brique, il se sentait menacé. D’autre part, il était surpris que j’en sache autant et désirait que toute cette affaire se termine : « Écoutez Mlle, j’ai fait des erreurs de jeunesse, c’est vrai et je m’en excuse mais s’il vous plait, n’en dites rien. Je vous promets que dès demain, je fais le nécessaire, je vais voir le Commandant T qui, lui aussi insiste afin que j’annule la mise en demeure. Vous aurez en temps et en heure, votre autorisation d’ouverture.

Quatre jours avant l’inauguration de la discothèque « Le Paradise-Club », ce fut Gilbert en personne qui vint m’apporter le document tant espéré. J’avais enfin l’autorisation d’ouverture en ma possession. Je me doutais bien pour quelle raison il avait demandé à son supérieur de venir lui-même, je supposais qu’il désirait coucher avec moi et surtout me sodomiser, ce que je lui avais toujours refusé. Pourtant, étant tellement heureuse d’avoir obtenu cette autorisation qui m’avait occasionnée tant de soucis et sachant qu’il avait plaidé ma cause auprès du Commandant T, je m’étais laissé emporter par le désir.

J’avais accepté et avait cédé à ses avances malgré le peu de temps que j’avais à lui consacrer. Je ne l’avais pas regretté, mon ami Gilbert avait dû manger du lion, il fut bien plus performant que les fois précédentes. Il avait su résister à ma fellation et me ramona pendant plus de dix minutes dans plusieurs positions, sans aller jusqu’à l’éjaculation. Pour finir, lorsqu’il essaya de m’enculer en levrette, je m’étais laissée faire et j’avais atteint un bel orgasme lorsqu’il se vida de tout son sperme dans mon rectum.

La suite de l’histoire mercredi Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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