« Josy »: La petite salope prête à tout, même faire la pute. Épisode 12
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy »: La petite salope prête à tout, même faire la pute. Épisode 12
Pourtant très à l’aise avec les hommes, j’appréhendais la suite, faire la pute pour la première fois, ce n’était pas si évident que cela. Françoise était impatiente de me voir faire et se demandait comment j’allais m’en sortir. Elle essaya de me rassurer tout en continuant d’aguicher l’homme qu’elle matait. À la fin du petit spectacle érotique, voulant me laisser seule, elle se leva et me fit une bise en me souhaitant bonne chance. Celle-ci n’avait pas attendu, elle dansait déjà avec le jeune type qu’elle avait pris pour cible, tandis que de mon côté, j’étais restée finir mon verre.
Assise à notre table, la serveuse était venue me servir une nouvelle coupe de champagne en m’indiquant que cette boisson m’était offerte par ce charmant monsieur grisonnant, tout de noir vêtu. Comme il me fixait, pour voir ma réaction, je ne baissai pas les yeux, je lui avais souri une fois encore et en croisant une énième fois les jambes, je levai discrètement mon verre en sa direction puis je l’avais porté à mes lèvres sensuellement. Cela avait suffi, pour le détendre et le rassurer. Il se leva et vint vers moi afin de me proposer de le suivre sur la piste de danse.
Ayant aucune expérience de racolage, je ne savais pas comment m’y prendre. Toutefois, je m’étais suffisamment collée à lui lascivement afin de lui faire comprendre que je n’étais pas une femme farouche. Cet homme surpris par ma jeunesse, ne croyait pas un seul instant que je dansais avec lui pour ses beaux yeux. Après quelques minutes, me sentant réceptive, il posa sa main, un peu plus bas, littéralement sur mes fesses et me plaqua un peu plus contre lui. Son sexe était bien en érection, cela ne faisait aucun doute, il me testait.
Même s’il savait que je ne faisais pas partie du personnel, il me demanda, probablement pour avoir confirmation : « Vous n’êtes pas une hôtesse ici, cela ne vous dérange pas de danser avec moi ? Vous êtes si jeune. » J’avais compris son étonnement, j’étais venue ici pour tenter une expérience, cependant je ne désirais pas brusquer les choses, tout en restant sans équivoque, je lui répondis du tac au tac : « J’aime énormément les hommes mûrs comme vous. Ils sont gentils, généreux et savent ce qu’ils attendent d’une femme. » Avant de poursuivre :
— C’est bien votre cas n’est-ce pas Georges ? Je me trompe ? » Se frottant encore un peu plus contre moi, il me démontrait en joignant le geste à la parole que je lui faisais beaucoup d’effet : — Votre franchise vous honore, vous êtes tout à fait sublime, vous m’excitez beaucoup Josiane. Me dit-il.
Je m’étais mise sur la pointe des pieds pour lui répondre doucement à l’oreille : « Je le sais Georges. Je ressens contre mon ventre votre émoi. » Non seulement je lui faisais beaucoup d’effet, mais cette situation me mit en pleine effervescence, j’avais envie de soulager cet homme comme je l’avais fait si souvent. Si je ne m’étais pas écouté, je l’aurais fait volontiers même gratuitement. Seulement, ce n’était pas le but, la raison reprit le dessus :— Il serait préférable que nous arrêtions de danser Georges.
— Vous avez raison Josiane ! Venez ! Avant que je fasse une bêtise. Joignez-vous à moi.
Il m’accompagna jusqu’à son box et m’invita à m’assoir à côté de lui sur la banquette en cuir. Il passa fièrement son bras autour de mes épaules, et son autre main se posa sur ma cuisse dénudée à la limite de mon porte-jarretelle. Notre conversation si courtoise au début de la danse, changea de tournure, il déclarait sa flamme en me flattant sur ma beauté et mes formes. Vers une heure du matin, Françoise repartait déjà, au bras de son amant, elle passa nous saluer en nous souhaitant bonne nuit : « Tu sais que tu te lèves tôt demain matin ma chérie, ne traine pas. »
Comme le sexagénaire ne m’avait pas encore proposé de passer la nuit avec lui, je tentai une approche différente. Je m’étais levée, avait fait une bise sur la joue de mon cavalier et j’avais suivi mon amie jusqu’au vestiaire. Georges vint me rejoindre très vite avant que je ne file. J’enfilais mon manteau avant de quitter les lieux, lorsqu’un peu gêné de me voir partir, tout en passant sa veste, il me demanda gentiment si je pouvais le suivre à son hôtel. Je pense qu’il avait compris que je ne le ferais pas gratuitement, il mit sa main dans la poche, et retira trois billets tout neuf.
Il prit un « Pascal » qu’il glissa dans mon sillon mammaire. Ne me voyant toujours pas réagir à sa proposition, il en mit un deuxième. Je lui fis la bise, il me donnait 1000 balles pour baiser alors que je n’avais jamais demandé un seul centime, j’avais envie de lui sauter au cou : « On se retrouve en bas. » J’avais pris l’escalier toute tremblotante : « Tiens ! Voilà le dernier. » Me dit-il en pénétrant dans le hall de l’hôtel. Ce mec était plein aux as, il avait encore de l’espèce, il donna un billet de 50 francs au groom de service en sortant de l’ascenseur.
Georges en avait eu pour son argent, il ne regretta pas sa nuit passée dans mes bras et entre mes cuisses. Comme il fut très généreux, je lui avais fait la totale. À ce sujet, je fus très surprise de ses performances, à plusieurs reprises, il m’avait fait grimper aux rideaux malgré son âge. Me voyant jouir de la sorte, il sut que je ne simulais pas et en était fier. Le matin lorsque je l’avais quitté, il me dit qu’il venait tous les premiers jeudis de chaque mois, tout en me tendant une enveloppe en me remerciant. Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde, je l’avais revu trois fois et me baisa à chaque fois pour 2000 francs la nuit.
Si le lendemain, je n’étais pas parvenue à trouver de clients, j’avais tout de même persévéré. Des hommes argentés désirant baiser des jeunes petites bourgeoises comme moi, étaient très nombreux au « Plazza », et ils étaient prêts à y mettre le prix. En un peu plus de quatre mois, au rythme de deux clients seulement par semaine, entre fellation en gorge profonde aux toilettes, petite passe rapide ou encore la totale avec en prime une sodomie, dans une chambre d’hôtel, j’avais en ma possession, la somme nécessaire pour mon fond-de-commerce.
L’argent était devenu si facile à gagner, que je me demandais si je ne devais pas continuer. Pourtant en y repensant aujourd’hui, j’ai un peu honte de moi. Cependant à l’époque, si au début cela me gênait un peu, à chaque fois, que je faisais les comptes, je ne le regrettais pas. Mis à part Françoise, qui avait également expérimenté quelques fois, le métier d’Escort girl, pour l’excitation que cela procurait, personne dans la région n’aurait pu se douter un instant que je me prostituais. Je prenais énormément de précautions pour ne pas me faire remarquer, d’autant plus que les proxénètes n’auraient pas vu cela d’un bon œil. Au « Plazza », la clientèle d’habitués, ne se doutait de rien, pour ces personnalités, je m’amusais à allumer tous les hommes qui m’approchaient.
Étant en permanence au bras de Françoise la libertine, il se disait même depuis trois ans que j’étais sans doute amoureuse de mon amie. J’avais plutôt une réputation de petite bourgeoise inaccessible, fille adoptive d’un docteur de campagne. En fait du grand n’importe quoi, même Maurice le patron du cabaret n’aurait pu s’imaginer que je baisais pour de l’argent. Il était bien trop occupé à vendre du champagne et remplir son tiroir-caisse. Il nous appréciait beaucoup, il était toujours prêt à nous offrir notre première consommation. Maurice savait pertinemment que, comme ses hôtesses, nous faisions consommer le client. À la différence près, il ne nous reversait aucun pourcentage.
Ayant toute la somme pour acheter le fond-de-commerce, je m’étais précipitée chez le notaire. Comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, Daniel m’annonça avec le sourire qu’il avait su convaincre les propriétaires. N’ayant pas d’enfant et d’un âge bien avancé, ceux-ci ayant économisé pendant plus de trente ans de vie de commerçant, me vendaient les murs en viager. J’avais donc la possibilité par la suite d’agrandir mon établissement afin de faire de ce lieu, un paradis de la danse comme je l’envisageais depuis le début.
Ce fut ainsi que fin mars 1974 à seulement 24 ans, je signais enfin l’acte de vente. Néanmoins, ce n’était pas encore gagné, juste après avoir acheté le routier, lorsque j’étais allée rencontrer le grossiste avec lequel je devais négocier les aménagements intérieurs, grâce au contrat de brasserie. Je fus très contrariée d’apprendre que non seulement, il ne pouvait engager aucun frais mais que je devais payer un arriéré des anciens propriétaires n’ayant pas respecté leurs engagements.
Ce gros bonhomme répugnant, sale, imberbe avec la peau grasse et lisse me dégoutait, pourtant il m’avait fait comprendre qu’il y avait une possibilité de s’arranger en essuyant la dette. Il me faisait littéralement du chantage. Je devais quitter mon emploi et n’ayant plus d’argent de côté, il fallait que j’ouvre au plus vite, afin que je puisse vivre du fruit de mon travail. Après avoir fait la pute de luxe, Il était hors de question que je le fasse une nouvelle fois, c’était bien trop risqué. Par le passé, j’étais capable de beaucoup de chose, j’en avais pris l’habitude. Pourtant, cette fois-ci et surtout avec ce type, j’étais repartie en claquant la porte.
Le « Plazza » était un lieu de prédilection pour moi, Françoise me conseilla d’aller rencontrer Maitre K, un ami avocat, avec lequel elle avait pris rendez-vous pour moi. Cet homme très précieux de sa personne avait déjà soixante-trois ans mais ne faisait pas son âge. Il ne manquait jamais de venir nous saluer lorsqu’il nous rencontrait au cabaret : « Je suis très honoré de vous rencontrer Mlle Josy. Que puis-je faire pour vous aider ? » Étant proche de mon notaire et de mon amie, je me doutais bien des mœurs assez libertines de cet avocat du barreau.
Toutefois, il avait su être très patient et à l’écoute de mes besoins. Je lui avais tout expliquer sur mon projet et il m’en félicita. Au sujet de M. J le grossiste, je l’avais prévenu que je n’avais aucune ressource disponible et que je ne manquerais pas de le régler dès que possible : « Prenez cela pour un service Mlle B. Avec votre affaire vous aurez probablement besoin de conseils et de notre cabinet. Je compte sur vous pour me renvoyer l’ascenseur. » Avant que je quitte son bureau magnifique, Maitre K me baisa la main comme une princesse et promit que cette affaire serait réglée dans les plus brefs délais.
En effet, mon nouvel avocat tint sa promesse, deux jours plus tard son fils qui venait d’être inscrit comme son père au barreau, vint me voir avec un contrat revu et corrigé. Ce nouveau contrat d’exclusivité d’une durée de cinq ans, me permettait de financer l’aménagement du restaurant avant son ouverture mais également le changement de tout le mobilier (tables et chaises) ne correspondant plus à ce que j’envisageais de faire. Il prenait à sa charge également l’enseigne lumineuse et la devanture. En contrepartie, je m’engageais à ne me fournir que chez ce brasseur et à lui commander un volume minimum chaque année.
Je ne savais pas comment Maitre K avait réussi ce tour de passe-passe mais je sus quelques temps plus tard, par Jean-Louis, que son père étant l’avocat du brasseur, avait fait pression sur lui. En effet cet homme était un gros pervers et avait déjà quelques belles casseroles derrière lui. Principalement une agression sexuelle sur une serveuse d’un bar. Si le grossiste s’en était sorti sans dommage, c’était uniquement grâce aux compétences de Maitre K et à ses connaissances personnelles. Oui ! Jean-Lou et moi…mais cela je vous le raconterai plus tard.
Il ne restait plus longtemps avant l’été et je devais faire réparer cette fameuse grange sous laquelle j’envisageais de faire danser les clients. Après avoir reçu les devis concernant la réfection de la grange, je devais encore investir dans sa réhabilitation et n’ayant plus assez d’argent de disponible, il me fallait contracter un prêt. Ce fut une fois encore la croix et la bannière pour obtenir cet emprunt. J’avais rencontré plusieurs banquiers, mon projet n’étant pas encore certain de fonctionner, j’essuyais refus sur refus.
Là encore, mon physique avait fait la différence. À croire que les hommes mûrs étaient tous, des vicieux, ce fut le responsable de ma banque, un type de cinquante-huit ans que je connaissais depuis fort longtemps qui avait, à certaines conditions, bien voulu consentir ce prêt. Bien entendu, une de celle-ci était un garant que j’avais trouvé en la personne de Jean-Charles, mais pas que… Ce n’était pas la première fois que mes deux maxillaires me servaient à convaincre ces Messieurs et je n’avais pas hésité de passer sous son bureau afin de lui prodiguer la fellation qu’il attendait et deux jours de suite s’il vous plait.
Étant encore trop élevé, je devais parvenir à faire baisser le prix du devis le plus bas, des trois entreprises de charpente et couverture contactées. J’étais allée pour cela, rencontrer cet entrepreneur, installé depuis peu dans ma commune. Un ancien compagnon du devoir, un type de trente-huit dont le physique correspondait parfaitement à ce que j’appréciais chez un homme. Pour couronner le tout, son visage jovial et souriant n’était pas pour me déplaire. Malgré mon charme, cela n’avait pas suffi à ce charpentier de faire baisser ses tarifs.
Après de longues minutes de négociations infructueuses, lorsqu’il m’annonça : « Il y a peut-être un autre moyen. » Heureuse que je lui fasse de l’effet et étant persuadée que cet homme voulait me baiser, comme il me plaisait beaucoup, je lui répondis sans trop réfléchir : « Vous me plaisez aussi beaucoup. » Là, je ne parlais pas d’une pipe, je n’aurais pas refusé d’offrir à ce charmant artisan, ma chatte et pourquoi pas ma petite rondelle. Il m’avait souri, tout en se retenant de rire aux éclats, tellement surpris de ma proposition indécente.
Très gentiment, son ton changea, je m’étais complètement trompée sur son compte, Armand voulait parler de dessous de table, en faisant une partie des travaux, non déclaré au fisc. Je ne savais plus où me mettre, j’étais très gênée et il avait compris mon désarroi. Après notre accord oral, lorsque j’allais quitter son bureau, il m’enlaça et en me faisant la bise, et me dit à l’oreille : — Je penserai longtemps à ce que tu m’as dit. Si tu le désires, je veux bien t’accorder un peu de temps. »
Je lui avais mis le feu, très excité, il m’embrassa à pleine bouche, je m’étais laissée emporter par mon désir, en lui rendant son baiser. Après avoir enfouie toute ma langue dans sa bouche pour l’embrasser avec ardeur. Armand devant se rendre absolument sur un chantier, n’avait que très peu de temps à me consacrer. Toutefois, il ne désirait pas non plus me laisser partir au risque que je change d’avis. Alors que nos langues dansaient une folle farandole, ses mains caressaient ma poitrine et ma croupe.
Pendant ce temps, je me trémoussais comme une chatte en chaleur, en me frottant contre son sexe que je pouvais déjà ressentir durcir sous son pantalon :— Je suis désolé Josiane, je dois te quitter. Je viens samedi à la première heure avec mes gars, nous aurons plus de temps, je te promets.
Armand bandait fortement, je ne pouvais pas le laisser ainsi. Je m’étais déjà accroupi devant lui en débouclant sa ceinture, j’avais trop envie de lui faire plaisir en le soulageant et j’étais curieuse de savoir s’il avait vraiment l’intention de tromper sa femme : « Attends, je n’en ai pas pour longtemps, tu ne peux pas rester comme ça. »
La suite de l’histoire samedi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Assise à notre table, la serveuse était venue me servir une nouvelle coupe de champagne en m’indiquant que cette boisson m’était offerte par ce charmant monsieur grisonnant, tout de noir vêtu. Comme il me fixait, pour voir ma réaction, je ne baissai pas les yeux, je lui avais souri une fois encore et en croisant une énième fois les jambes, je levai discrètement mon verre en sa direction puis je l’avais porté à mes lèvres sensuellement. Cela avait suffi, pour le détendre et le rassurer. Il se leva et vint vers moi afin de me proposer de le suivre sur la piste de danse.
Ayant aucune expérience de racolage, je ne savais pas comment m’y prendre. Toutefois, je m’étais suffisamment collée à lui lascivement afin de lui faire comprendre que je n’étais pas une femme farouche. Cet homme surpris par ma jeunesse, ne croyait pas un seul instant que je dansais avec lui pour ses beaux yeux. Après quelques minutes, me sentant réceptive, il posa sa main, un peu plus bas, littéralement sur mes fesses et me plaqua un peu plus contre lui. Son sexe était bien en érection, cela ne faisait aucun doute, il me testait.
Même s’il savait que je ne faisais pas partie du personnel, il me demanda, probablement pour avoir confirmation : « Vous n’êtes pas une hôtesse ici, cela ne vous dérange pas de danser avec moi ? Vous êtes si jeune. » J’avais compris son étonnement, j’étais venue ici pour tenter une expérience, cependant je ne désirais pas brusquer les choses, tout en restant sans équivoque, je lui répondis du tac au tac : « J’aime énormément les hommes mûrs comme vous. Ils sont gentils, généreux et savent ce qu’ils attendent d’une femme. » Avant de poursuivre :
— C’est bien votre cas n’est-ce pas Georges ? Je me trompe ? » Se frottant encore un peu plus contre moi, il me démontrait en joignant le geste à la parole que je lui faisais beaucoup d’effet : — Votre franchise vous honore, vous êtes tout à fait sublime, vous m’excitez beaucoup Josiane. Me dit-il.
Je m’étais mise sur la pointe des pieds pour lui répondre doucement à l’oreille : « Je le sais Georges. Je ressens contre mon ventre votre émoi. » Non seulement je lui faisais beaucoup d’effet, mais cette situation me mit en pleine effervescence, j’avais envie de soulager cet homme comme je l’avais fait si souvent. Si je ne m’étais pas écouté, je l’aurais fait volontiers même gratuitement. Seulement, ce n’était pas le but, la raison reprit le dessus :— Il serait préférable que nous arrêtions de danser Georges.
— Vous avez raison Josiane ! Venez ! Avant que je fasse une bêtise. Joignez-vous à moi.
Il m’accompagna jusqu’à son box et m’invita à m’assoir à côté de lui sur la banquette en cuir. Il passa fièrement son bras autour de mes épaules, et son autre main se posa sur ma cuisse dénudée à la limite de mon porte-jarretelle. Notre conversation si courtoise au début de la danse, changea de tournure, il déclarait sa flamme en me flattant sur ma beauté et mes formes. Vers une heure du matin, Françoise repartait déjà, au bras de son amant, elle passa nous saluer en nous souhaitant bonne nuit : « Tu sais que tu te lèves tôt demain matin ma chérie, ne traine pas. »
Comme le sexagénaire ne m’avait pas encore proposé de passer la nuit avec lui, je tentai une approche différente. Je m’étais levée, avait fait une bise sur la joue de mon cavalier et j’avais suivi mon amie jusqu’au vestiaire. Georges vint me rejoindre très vite avant que je ne file. J’enfilais mon manteau avant de quitter les lieux, lorsqu’un peu gêné de me voir partir, tout en passant sa veste, il me demanda gentiment si je pouvais le suivre à son hôtel. Je pense qu’il avait compris que je ne le ferais pas gratuitement, il mit sa main dans la poche, et retira trois billets tout neuf.
Il prit un « Pascal » qu’il glissa dans mon sillon mammaire. Ne me voyant toujours pas réagir à sa proposition, il en mit un deuxième. Je lui fis la bise, il me donnait 1000 balles pour baiser alors que je n’avais jamais demandé un seul centime, j’avais envie de lui sauter au cou : « On se retrouve en bas. » J’avais pris l’escalier toute tremblotante : « Tiens ! Voilà le dernier. » Me dit-il en pénétrant dans le hall de l’hôtel. Ce mec était plein aux as, il avait encore de l’espèce, il donna un billet de 50 francs au groom de service en sortant de l’ascenseur.
Georges en avait eu pour son argent, il ne regretta pas sa nuit passée dans mes bras et entre mes cuisses. Comme il fut très généreux, je lui avais fait la totale. À ce sujet, je fus très surprise de ses performances, à plusieurs reprises, il m’avait fait grimper aux rideaux malgré son âge. Me voyant jouir de la sorte, il sut que je ne simulais pas et en était fier. Le matin lorsque je l’avais quitté, il me dit qu’il venait tous les premiers jeudis de chaque mois, tout en me tendant une enveloppe en me remerciant. Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde, je l’avais revu trois fois et me baisa à chaque fois pour 2000 francs la nuit.
Si le lendemain, je n’étais pas parvenue à trouver de clients, j’avais tout de même persévéré. Des hommes argentés désirant baiser des jeunes petites bourgeoises comme moi, étaient très nombreux au « Plazza », et ils étaient prêts à y mettre le prix. En un peu plus de quatre mois, au rythme de deux clients seulement par semaine, entre fellation en gorge profonde aux toilettes, petite passe rapide ou encore la totale avec en prime une sodomie, dans une chambre d’hôtel, j’avais en ma possession, la somme nécessaire pour mon fond-de-commerce.
L’argent était devenu si facile à gagner, que je me demandais si je ne devais pas continuer. Pourtant en y repensant aujourd’hui, j’ai un peu honte de moi. Cependant à l’époque, si au début cela me gênait un peu, à chaque fois, que je faisais les comptes, je ne le regrettais pas. Mis à part Françoise, qui avait également expérimenté quelques fois, le métier d’Escort girl, pour l’excitation que cela procurait, personne dans la région n’aurait pu se douter un instant que je me prostituais. Je prenais énormément de précautions pour ne pas me faire remarquer, d’autant plus que les proxénètes n’auraient pas vu cela d’un bon œil. Au « Plazza », la clientèle d’habitués, ne se doutait de rien, pour ces personnalités, je m’amusais à allumer tous les hommes qui m’approchaient.
Étant en permanence au bras de Françoise la libertine, il se disait même depuis trois ans que j’étais sans doute amoureuse de mon amie. J’avais plutôt une réputation de petite bourgeoise inaccessible, fille adoptive d’un docteur de campagne. En fait du grand n’importe quoi, même Maurice le patron du cabaret n’aurait pu s’imaginer que je baisais pour de l’argent. Il était bien trop occupé à vendre du champagne et remplir son tiroir-caisse. Il nous appréciait beaucoup, il était toujours prêt à nous offrir notre première consommation. Maurice savait pertinemment que, comme ses hôtesses, nous faisions consommer le client. À la différence près, il ne nous reversait aucun pourcentage.
Ayant toute la somme pour acheter le fond-de-commerce, je m’étais précipitée chez le notaire. Comme une bonne nouvelle ne vient jamais seule, Daniel m’annonça avec le sourire qu’il avait su convaincre les propriétaires. N’ayant pas d’enfant et d’un âge bien avancé, ceux-ci ayant économisé pendant plus de trente ans de vie de commerçant, me vendaient les murs en viager. J’avais donc la possibilité par la suite d’agrandir mon établissement afin de faire de ce lieu, un paradis de la danse comme je l’envisageais depuis le début.
Ce fut ainsi que fin mars 1974 à seulement 24 ans, je signais enfin l’acte de vente. Néanmoins, ce n’était pas encore gagné, juste après avoir acheté le routier, lorsque j’étais allée rencontrer le grossiste avec lequel je devais négocier les aménagements intérieurs, grâce au contrat de brasserie. Je fus très contrariée d’apprendre que non seulement, il ne pouvait engager aucun frais mais que je devais payer un arriéré des anciens propriétaires n’ayant pas respecté leurs engagements.
Ce gros bonhomme répugnant, sale, imberbe avec la peau grasse et lisse me dégoutait, pourtant il m’avait fait comprendre qu’il y avait une possibilité de s’arranger en essuyant la dette. Il me faisait littéralement du chantage. Je devais quitter mon emploi et n’ayant plus d’argent de côté, il fallait que j’ouvre au plus vite, afin que je puisse vivre du fruit de mon travail. Après avoir fait la pute de luxe, Il était hors de question que je le fasse une nouvelle fois, c’était bien trop risqué. Par le passé, j’étais capable de beaucoup de chose, j’en avais pris l’habitude. Pourtant, cette fois-ci et surtout avec ce type, j’étais repartie en claquant la porte.
Le « Plazza » était un lieu de prédilection pour moi, Françoise me conseilla d’aller rencontrer Maitre K, un ami avocat, avec lequel elle avait pris rendez-vous pour moi. Cet homme très précieux de sa personne avait déjà soixante-trois ans mais ne faisait pas son âge. Il ne manquait jamais de venir nous saluer lorsqu’il nous rencontrait au cabaret : « Je suis très honoré de vous rencontrer Mlle Josy. Que puis-je faire pour vous aider ? » Étant proche de mon notaire et de mon amie, je me doutais bien des mœurs assez libertines de cet avocat du barreau.
Toutefois, il avait su être très patient et à l’écoute de mes besoins. Je lui avais tout expliquer sur mon projet et il m’en félicita. Au sujet de M. J le grossiste, je l’avais prévenu que je n’avais aucune ressource disponible et que je ne manquerais pas de le régler dès que possible : « Prenez cela pour un service Mlle B. Avec votre affaire vous aurez probablement besoin de conseils et de notre cabinet. Je compte sur vous pour me renvoyer l’ascenseur. » Avant que je quitte son bureau magnifique, Maitre K me baisa la main comme une princesse et promit que cette affaire serait réglée dans les plus brefs délais.
En effet, mon nouvel avocat tint sa promesse, deux jours plus tard son fils qui venait d’être inscrit comme son père au barreau, vint me voir avec un contrat revu et corrigé. Ce nouveau contrat d’exclusivité d’une durée de cinq ans, me permettait de financer l’aménagement du restaurant avant son ouverture mais également le changement de tout le mobilier (tables et chaises) ne correspondant plus à ce que j’envisageais de faire. Il prenait à sa charge également l’enseigne lumineuse et la devanture. En contrepartie, je m’engageais à ne me fournir que chez ce brasseur et à lui commander un volume minimum chaque année.
Je ne savais pas comment Maitre K avait réussi ce tour de passe-passe mais je sus quelques temps plus tard, par Jean-Louis, que son père étant l’avocat du brasseur, avait fait pression sur lui. En effet cet homme était un gros pervers et avait déjà quelques belles casseroles derrière lui. Principalement une agression sexuelle sur une serveuse d’un bar. Si le grossiste s’en était sorti sans dommage, c’était uniquement grâce aux compétences de Maitre K et à ses connaissances personnelles. Oui ! Jean-Lou et moi…mais cela je vous le raconterai plus tard.
Il ne restait plus longtemps avant l’été et je devais faire réparer cette fameuse grange sous laquelle j’envisageais de faire danser les clients. Après avoir reçu les devis concernant la réfection de la grange, je devais encore investir dans sa réhabilitation et n’ayant plus assez d’argent de disponible, il me fallait contracter un prêt. Ce fut une fois encore la croix et la bannière pour obtenir cet emprunt. J’avais rencontré plusieurs banquiers, mon projet n’étant pas encore certain de fonctionner, j’essuyais refus sur refus.
Là encore, mon physique avait fait la différence. À croire que les hommes mûrs étaient tous, des vicieux, ce fut le responsable de ma banque, un type de cinquante-huit ans que je connaissais depuis fort longtemps qui avait, à certaines conditions, bien voulu consentir ce prêt. Bien entendu, une de celle-ci était un garant que j’avais trouvé en la personne de Jean-Charles, mais pas que… Ce n’était pas la première fois que mes deux maxillaires me servaient à convaincre ces Messieurs et je n’avais pas hésité de passer sous son bureau afin de lui prodiguer la fellation qu’il attendait et deux jours de suite s’il vous plait.
Étant encore trop élevé, je devais parvenir à faire baisser le prix du devis le plus bas, des trois entreprises de charpente et couverture contactées. J’étais allée pour cela, rencontrer cet entrepreneur, installé depuis peu dans ma commune. Un ancien compagnon du devoir, un type de trente-huit dont le physique correspondait parfaitement à ce que j’appréciais chez un homme. Pour couronner le tout, son visage jovial et souriant n’était pas pour me déplaire. Malgré mon charme, cela n’avait pas suffi à ce charpentier de faire baisser ses tarifs.
Après de longues minutes de négociations infructueuses, lorsqu’il m’annonça : « Il y a peut-être un autre moyen. » Heureuse que je lui fasse de l’effet et étant persuadée que cet homme voulait me baiser, comme il me plaisait beaucoup, je lui répondis sans trop réfléchir : « Vous me plaisez aussi beaucoup. » Là, je ne parlais pas d’une pipe, je n’aurais pas refusé d’offrir à ce charmant artisan, ma chatte et pourquoi pas ma petite rondelle. Il m’avait souri, tout en se retenant de rire aux éclats, tellement surpris de ma proposition indécente.
Très gentiment, son ton changea, je m’étais complètement trompée sur son compte, Armand voulait parler de dessous de table, en faisant une partie des travaux, non déclaré au fisc. Je ne savais plus où me mettre, j’étais très gênée et il avait compris mon désarroi. Après notre accord oral, lorsque j’allais quitter son bureau, il m’enlaça et en me faisant la bise, et me dit à l’oreille : — Je penserai longtemps à ce que tu m’as dit. Si tu le désires, je veux bien t’accorder un peu de temps. »
Je lui avais mis le feu, très excité, il m’embrassa à pleine bouche, je m’étais laissée emporter par mon désir, en lui rendant son baiser. Après avoir enfouie toute ma langue dans sa bouche pour l’embrasser avec ardeur. Armand devant se rendre absolument sur un chantier, n’avait que très peu de temps à me consacrer. Toutefois, il ne désirait pas non plus me laisser partir au risque que je change d’avis. Alors que nos langues dansaient une folle farandole, ses mains caressaient ma poitrine et ma croupe.
Pendant ce temps, je me trémoussais comme une chatte en chaleur, en me frottant contre son sexe que je pouvais déjà ressentir durcir sous son pantalon :— Je suis désolé Josiane, je dois te quitter. Je viens samedi à la première heure avec mes gars, nous aurons plus de temps, je te promets.
Armand bandait fortement, je ne pouvais pas le laisser ainsi. Je m’étais déjà accroupi devant lui en débouclant sa ceinture, j’avais trop envie de lui faire plaisir en le soulageant et j’étais curieuse de savoir s’il avait vraiment l’intention de tromper sa femme : « Attends, je n’en ai pas pour longtemps, tu ne peux pas rester comme ça. »
La suite de l’histoire samedi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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