« Josy » : La petite salope prise à son propre piège. Épisode 10
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : La petite salope prise à son propre piège. Épisode 10
Ce soir-là, lorsque Daniel m’avait invitée dans sa chambre d’hôtel, j’avais accepté tout de suite et lui avait déposé une bise sur ses lèvres avant qu’il sorte pendant que je descendais le rideau de fer : « Je ferme et je te rejoins dans un instant. » J’étais très heureuse de pouvoir prendre mon pied, comme l’avait certifié Françoise, j’étais certaine qu’il était un bon coup. Toutefois, en enfilant mon manteau avant de quitter le bistrot de la place, j’appréhendais un peu car je ne savais pas si la secrétaire serait de la partie.
En effet, c’était la première fois qu’une femme me faisait du rentre dedans. Je n’avais couché qu’une seule fois avec une fille. À l’époque je n’étais qu’une adolescente lorsqu’avec Gislaine ma meilleure amie, nous nous étions embrassées sur la bouche avant de nous caresser le minou. J’avais trouvé cela très agréable, nous avions même joui en nous masturbant mutuellement. Cependant nous n’avions renouvelé l’expérience que deux ou trois fois avant de trouver notre plaisir avec les garçons. Mais ce soir-là cela me gênait car je voulais mon futur amant pour moi toute seule.
En rejoignant Daniel sur le trottoir, j’eus l’agréable surprise de le voir seul, Françoise étant déjà rentrée. Bras dessus, bras dessous, nous nous étions rendus jusqu’à l’Hôtel du Commerce. Pendant le trajet, j’en avais profité pour lui poser la question au sujet de Françoise : « Tu couches avec elle, ne me dis pas le contraire ? » Il passa son bras autour de mes épaules et m’avoua que tous les deux, étant mal mariés, ils baisaient ensemble chaque fois qu’ils le pouvaient. Lui était notaire et elle, sa secrétaire, libertins tous les deux, ils profitaient de certains rendez-vous en banlieue pour mentir à leurs conjoints afin de se retrouver à l’hôtel : « Elle a sa chambre et moi la mienne, au cas où. » M’avait-il spécifiée.
Nous n’avions pas trainé pour nous déshabiller mutuellement, nous avions hâte, d’en découdre. Après une courte fellation qu’il trouva divine, j’avais pu apprécier sa belle queue. À quatre pattes sur le rebord du lit, il m’avait fait jouir en quelques minutes avec sa langue. Étant déjà prêt en pleine érection, bandant très fort il me pénétra assez rageusement. Il allait et venait debout derrière moi, s’accrochant sans ménagement à mes hanches. En quelques secondes, j’étais déjà grimpée aux rideaux, laissant s’échapper ma jouissance.
Prise dans mon délire, je n’avais pas remarqué que Françoise était rentrée dans la chambre et se déshabillait. Lorsque je m’en étais aperçue, elle ne portait plus que son porte-jarretelles et ses bas. La situation semblait l’amuser, elle me sourit gentiment et s’approcha de moi. Elle m’embrassa sur la bouche tout en caressant ma poitrine. Les mains accrochées au drap, je n’avais pu que lui rendre son baiser, ma langue à la rencontre de la sienne. Elle prit donc cela pour un consentement de ma part.
Pendant que Daniel me pilonnait tel un marteau piqueur, Françoise se glissa sous moi et caressait ma petite chatte qui se faisait défoncer. Elle léchait goulument, aspirant ma mouille, tout en me pénétrant de son doigt ma petite rondelle. J’étais en extase, mes deux partenaires étaient tout à fait complémentaires pour mon plus grand plaisir. Daniel se retira, puis cracha sur mon anus qui s’était dilaté sous la pression exercée par les doigts de la secrétaire, pendant que sa langue avait remplacé le pénis de son patron.
— Je m’aperçois que tu es bien la petite salope que j’espérais. Tu mérites de te faire enculer.
Ce qu'il fit sans attendre plus longtemps. Il m’enfonça son beau dard doucement pendant que Françoise salivait sur sa queue afin de la lubrifier au fur et à mesure. Je le sentais glisser en moi, entre mes fesses offertes, c’était génial. Ses couilles s’écrasèrent enfin sur mon cul, sa queue me pénétrait entièrement, il pouvait me ramoner le conduit pendant que la secrétaire me léchait le clitoris, je gémissais de plaisir à le sentir me sodomiser de plus en plus violemment. Françoise fit le reste, en m’introduisant un gros gode dans ma chatte trempée.
Ils se mirent à me tarauder en rythme, c'était trop bon d’avoir un phallus dans chaque trou, même si l’un des deux était en silicone. C’était une première pour moi et je ne regrettais pas d’être venue. Ils ralentissaient puis accéléraient de plus belle, me faisant gémir de plaisir. S’en était trop pour moi, Je me mis à hurler, je jouissais comme une folle, mon orgasme fut terrible, j’étais vraiment une petite salope comme ils ne cessaient de dire. Ils finirent de me défoncer puis Françoise retira habilement la capote du sexe en ébullition de son ami :— Vas-y crache ton venin. Lui dit-elle en tendant la langue.
Elle avait son visage à côté du mien lorsque Daniel nous envoya la sauce pour la première fois. À tour de rôle, il visait une bouche puis l’autre nous arrosant par de longs jets de sperme sans pitié. Françoise se mit à le lécher consciencieusement, puis il enfourna sa bite dans ma bouche pour la nettoyer. Elle m’embrassa de nouveau, mélangeant ainsi toute la semence que nous avions encore en bouche.
La soirée n’était pas finie pour autant, nous positionnant en alliées, nous avions rapidement remis Daniel sur pied. Elle s'allongea sur moi et se mit à me doigter tout en engloutissant la queue de son amant. Aidé, il faut dire, par le gode, il avait su cette nuit-là nous satisfaire. Épuisée, je n’eus pas le courage de rentrer à la maison, j’avais fini la nuit avec lui. Françoise en se rhabillant, avant de regagner sa chambre, m’avoua qu’elle aimerait bien renouveler cette expérience : « Qu’en dis-tu Daniel ? »— Moi aussi, je suis partant, si Josiane le veut bien entendu.
— Pas de problème ! Vous savez où me trouver maintenant.
En effet, j’avais revu régulièrement ce couple libertin afin de passer des moments formidables, il nous arrivait même, d’organiser des parties à quatre. Si j’avais gardé de très bons rapports avec Daniel, Françoise était devenue une amie et lorsque j’allais en ville, nous nous arrangions afin de déjeuner ensemble. Elle sut me faire comprendre que je devais tirer profit de mes atouts auprès des hommes sans scrupule dont j’avais besoin : « Tu as une arme que peu de femme ont : ton physique et ton charme. Apprend et n’hésite pas à t’en servir. »
Françoise avait vu juste, je ne m’en étais pas rendu compte mais quelque part, je le faisais déjà. En effet au bar, je faisais bien mieux que de me débrouiller dans mes tenues toujours sexy avec lesquelles je faisais rêver la clientèle. En quelques années, j’avais su augmenter le chiffre d’affaire, le bar ne désemplissait pas, nous faisions de très belles recettes. Les tournées d’apéros n’en finissaient pas et les fûts de bière se vidaient à vue d’œil. Ne voyant Marius qu’un minimum dans la journée, j’étais souvent seule pour gérer l’établissement.
Les matins, il faisait l’ouverture et venait une heure pour les coups de feu le midi et le soir à l’apéritif. Il comptait dorénavant sur mes capacités et mon savoir-faire, afin de faire tourner son affaire. Au bistrot de la place et dans tout le village j’étais considérée comme la gérante de ce commerce. De mon côté, même si je n’étais qu’une salariée, moi aussi je me considérais quelque part, comme la patronne. C’était chez-moi ici, je faisais fonctionner la boutique à ma guise, sans que Marius ne vienne me mettre des bâtons dans les roues.
Je m’occupais des commandes auprès de nos fournisseurs, allais à la banque et chez le comptable et je gérais le personnel en place ou en extra. Depuis Tony m’avait quitté, en effet, étant trop possessif, il ne supportait plus de me voir aussi aguichante envers la clientèle et désirait que je quitte ce métier. N’ayant plus personne pour assurer la sécurité, en sortant les jeunes ayant un peu trop bu et voulant en découdre avec d’autres, j’avais préféré arrêter les soirées jukebox un an après les avoir mises en place.
N’ayant plus de partenaire régulier, j’étais libre de sortir à ma guise. Françoise, ayant également divorcé, venait me retrouver « au bistrot de la place » quelques soirs par semaine et tous les samedis, nous nous changions avant de nous rendre en ville après la fermeture du bar. Mon amie savait me mettre en valeur, me disant tu es belle et très bien foutue, montre-le. Pour sortir, elle me conseilla de ne pas porter les mêmes tenues sexy que j’avais en semaine au travail mais des vêtements classe mettant en valeurs ma jeunesse et ma plastique.
Avec mon joli minois, mon mètre soixante-deux et mes cinquante kilos à peine, mes jambes fines, mon fessier musclé et ma poitrine un peu forte avec mon 90 B j’avais tous les atouts pour attirer les regards de ces messieurs qui se retournaient sur mon passage. J’avais donc sur ses conseils rempli ma garde-robe. Je portais pour ces occasions, des robes de soirées légères, assez moulantes avec un beau décolleté, courtes ou mi- longues mais largement fendue dévoilant ma cuisse. Dessous, des bas-résille et porte-jarretelle, à mes pieds des escarpins ou des bottes à hauts talons.
Ce fut à cette époque qu’elle me fit découvrir « Le Plazza » un cabaret dancing où les serveuses étaient plus que sexy et où des entraineuses encore moins vêtues, étaient spécialement employées afin d’engager les clients à consommer. La clientèle était majoritairement masculine et assez âgée, j’avais pu constater d’après les dires de Françoise, qui connaissait ce milieu qu’il y avait beaucoup de notables de la région, mais également des touristes fortunés, des hommes d’affaires de passage en ville. Pratiquement tous des hommes mariés, allant de trente-cinq à soixante-dix ans.
Françoise et moi faisions partie de leur monde, en tant que clientes, si nous étions considérées comme libertines pour ces notables, nous n’étions ni des salopes, ni des trainées. Ceci m’avait permis de faire la connaissance de certaines personnalités bien placées en ville mais aussi dans la région. Tous ces messieurs très galants, avaient beaucoup de respect pour nous, même si nous ne couchions pas avec toute la clientèle. Tous les plus vieux, savaient qu’ils n’avaient aucune chance, ce qui les rendaient encore plus vulnérables.
Pour nous, c’était devenu notre terrain de chasse favori, j’avais même croisé un soir Germain pourtant marié depuis peu. Nous savions qu’ici, il nous était impossible de finir la nuit seule dans notre lit. Certains soirs, dès que nous jugions qu’un homme était suffisamment jeune, plaisant et performant, nous nous amusions à le séduire afin de lui proposer un plan à trois. Nous adorions ce petit jeu, cependant, le jour de l’anniversaire de Françoise que nous fêtions au « Plazza », nous nous étions faites prendre à notre propre piège.
En effet, croyant que la cible que nous avions désignée était seule, ce beau mec d’une quarantaine d’années, de passage pour affaire en ville, nous invita à sa table. Nous fûmes surprises de constater qu’il était accompagné de quatre types de son âge. Si nous avions accepté la coupe de champagne, je n’avais pas l’intention de participé à une orgie. Seulement Françoise n’était pas contre, elle insista tellement, que je les avais suivis dans une de leur chambre d’hôtel.
Nous fûmes cette nuit-là, telles deux poupées gonflables, malmenées dans le bon sens du terme. Les cinq parisiens nous avaient prises par les trois orifices, bouche et double pénétration mais aussi, pour ma part une première : double vaginale et double anale et fist, sans compter les douches de sperme reçues sur le visage et sur ma poitrine. Toutefois je ne suis pas près d’oublier cette nuit de folie où j’avais pris plusieurs orgasmes terribles.
Je menais donc ma vie pleinement, pourtant en avril 1973 alors que je venais de fêter mes 23 ans, tout alla basculer une nouvelle fois pour moi. Françoise avait une semaine de congé pour Pâques et me demanda de venir avec elle à Paris. Il est vrai que je n’avais pas l’occasion de quitter la région et cette idée de m’évader pendant plusieurs jours avec mon amie, loin de mon village, m’enchantait. Lorsqu’en j’en avais parlé à Marius, celui-ci ne fut pas très heureux de mon absence, cependant il avait accepté. Si nous nous étions amusées comme des folles dans la capitale, le retour fut pour moi une vraie catastrophe.
En effet, lorsque j’étais venu le mardi matin prendre mon service, je fus surprise de voir la maitresse de Marius présente derrière le bar avec lui. Celui-ci m’appela dans son bureau et m’annonça de but en blanc tous les changements qu’il avait mis en place. Évelyne me remplaçait désormais au bar et je devais m’occuper du service en salle. Il avait donc donné congé à Solange et n’avait plus l’intention de prendre des extras : « Ne t’inquiète pas, tu auras le même salaire me dit-il en souriant. »
Ce fut un véritable coup de massue que je prenais derrière la tête, tellement déçue, je n’avais rien répondu et je fis ce qu’il m’avait demandé. Honnêtement, je n’avais plus le cœur à l’ouvrage, après quelques jours, je me rendais compte que j’aurais préféré qu’il me mette dehors plutôt que de voir sa pétasse qui ne connaissait rien, faire sa belle derrière le comptoir. Le vendredi vers treize heures trente, après avoir reçu dans la matinée plusieurs remarques désobligeantes d’Évelyne, excédée j’avais attrapé Marius après l’apéro pour lui signifier mon désaccord.
Celui-ci s’était mis dans une colère noire, j’avais eu très peur, il m’avait semblé qu’il était prêt à me frapper : « Tu oses me défier après tout ce que j’ai fait pour toi. Sans moi, tu ne serais qu’une pute en train de faire le tapin, tu ne vaux pas mieux que ta mère. » Ce géant en furie devant moi m’impressionnait tellement que je n’osais pas répondre. Ça faisait trois ans qu’il ne m’avait pas baisée, il m’attrapa et me coucha sur son bureau : « Je sais que tu es jalouse, c’est ça qu’il te manque. »
Il me demanda de le sucer, cependant, c’était la première fois que je fis une fellation sans en prendre de plaisir. Afin de ne prendre de coups, je m’étais toutefois appliquée puis lorsqu’il banda suffisamment, il m’enleva ma petite culotte, cracha sur mon anus, enfila un doigt puis un deuxième avant de me sodomiser comme un malade :— Maintenant tu acceptes ou tu te casses. Avait-il hurlé en remontant son pantalon.
Je n’avais pu me défendre, j’étais très en colère, j’avais une envie folle de me venger et je savais comment faire pour nuire à Marius. J’avais suivi mon instinct, je ne pouvais plus continuer dans ces conditions. Sans rien dire, j’avais pris mes affaires et j’avais traversé la rue pour me diriger vers le bar-tabac. Cela faisait un moment que le patron m’avait proposé de venir le rejoindre et lorsque je m’étais présentée, tout heureux de me voir intégrer son équipe, il m’embaucha immédiatement.
Ce n’était pas la panacée, ne faisant que le service en salle, je n’avais aucune responsabilité, de plus je touchais moins de salaire. Néanmoins je savais que ce n’était que du provisoire et cela me permettrait de prendre ma revanche et d’avoir un emploi en attendant mieux. En effet, Marius était furieux d’avoir perdu une bonne partie de sa clientèle en journée, surtout des jeunes avec lesquels je m’entendais bien et toute une équipe de retraités qui m’appréciaient beaucoup.
Pour ne rien gâcher, je faisais mon service les après-midis, en équipe avec Pierre, le fils des propriétaires qui s’occupait lui, uniquement de la vente du tabac et des cigarettes. Très vite, nous avions sympathisés, ça faisait très longtemps qu’il me courait après. Ce charmant jeune homme légèrement plus âgé que moi, était toujours célibataire. Ce fut la raison pour laquelle, j’avais accepté de sortir avec lui, lorsque le samedi soir après la fermeture, à 20 heures, il m’invita au restaurant en ville.
Pierre était très timide, à 24 ans, il n’avait pas dû connaitre beaucoup de filles aussi hardies que moi. À table, pour me séduire, il utilisait sa main pour toucher la mienne, cela me faisait sourire, je sentais qu’il n’osait pas trop de parler franchement de sexe lorsque je m’attardais sur le sujet. Et lorsque je lui avais passé mon pied, dont j’avais retiré mon soulier, entre ses cuisses, je le vis changer de couleur. Il devint pâle puis tout rouge lorsque je lui caressais son sexe avec mes orteils.
Après le diner, il avait prévu de m’emmener au cinéma, toutefois, il avait repris des couleurs après avoir payé la note, lorsque je lui demandai d’aller chez-lui pour faire l’amour. Il était fou de joie, et quand je l’avais sucé magistralement jusqu’à ne plus se retenir, il était comblé de bonheur. Il fut littéralement aux anges, lorsque je lui proposai une sodomie après qu’il m’ait baisée en levrette. Ce soir-là, Pierre avait beaucoup appris et sut de quoi j’étais capable. Il connaissait à présent mon côté « petite salope. »
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
En effet, c’était la première fois qu’une femme me faisait du rentre dedans. Je n’avais couché qu’une seule fois avec une fille. À l’époque je n’étais qu’une adolescente lorsqu’avec Gislaine ma meilleure amie, nous nous étions embrassées sur la bouche avant de nous caresser le minou. J’avais trouvé cela très agréable, nous avions même joui en nous masturbant mutuellement. Cependant nous n’avions renouvelé l’expérience que deux ou trois fois avant de trouver notre plaisir avec les garçons. Mais ce soir-là cela me gênait car je voulais mon futur amant pour moi toute seule.
En rejoignant Daniel sur le trottoir, j’eus l’agréable surprise de le voir seul, Françoise étant déjà rentrée. Bras dessus, bras dessous, nous nous étions rendus jusqu’à l’Hôtel du Commerce. Pendant le trajet, j’en avais profité pour lui poser la question au sujet de Françoise : « Tu couches avec elle, ne me dis pas le contraire ? » Il passa son bras autour de mes épaules et m’avoua que tous les deux, étant mal mariés, ils baisaient ensemble chaque fois qu’ils le pouvaient. Lui était notaire et elle, sa secrétaire, libertins tous les deux, ils profitaient de certains rendez-vous en banlieue pour mentir à leurs conjoints afin de se retrouver à l’hôtel : « Elle a sa chambre et moi la mienne, au cas où. » M’avait-il spécifiée.
Nous n’avions pas trainé pour nous déshabiller mutuellement, nous avions hâte, d’en découdre. Après une courte fellation qu’il trouva divine, j’avais pu apprécier sa belle queue. À quatre pattes sur le rebord du lit, il m’avait fait jouir en quelques minutes avec sa langue. Étant déjà prêt en pleine érection, bandant très fort il me pénétra assez rageusement. Il allait et venait debout derrière moi, s’accrochant sans ménagement à mes hanches. En quelques secondes, j’étais déjà grimpée aux rideaux, laissant s’échapper ma jouissance.
Prise dans mon délire, je n’avais pas remarqué que Françoise était rentrée dans la chambre et se déshabillait. Lorsque je m’en étais aperçue, elle ne portait plus que son porte-jarretelles et ses bas. La situation semblait l’amuser, elle me sourit gentiment et s’approcha de moi. Elle m’embrassa sur la bouche tout en caressant ma poitrine. Les mains accrochées au drap, je n’avais pu que lui rendre son baiser, ma langue à la rencontre de la sienne. Elle prit donc cela pour un consentement de ma part.
Pendant que Daniel me pilonnait tel un marteau piqueur, Françoise se glissa sous moi et caressait ma petite chatte qui se faisait défoncer. Elle léchait goulument, aspirant ma mouille, tout en me pénétrant de son doigt ma petite rondelle. J’étais en extase, mes deux partenaires étaient tout à fait complémentaires pour mon plus grand plaisir. Daniel se retira, puis cracha sur mon anus qui s’était dilaté sous la pression exercée par les doigts de la secrétaire, pendant que sa langue avait remplacé le pénis de son patron.
— Je m’aperçois que tu es bien la petite salope que j’espérais. Tu mérites de te faire enculer.
Ce qu'il fit sans attendre plus longtemps. Il m’enfonça son beau dard doucement pendant que Françoise salivait sur sa queue afin de la lubrifier au fur et à mesure. Je le sentais glisser en moi, entre mes fesses offertes, c’était génial. Ses couilles s’écrasèrent enfin sur mon cul, sa queue me pénétrait entièrement, il pouvait me ramoner le conduit pendant que la secrétaire me léchait le clitoris, je gémissais de plaisir à le sentir me sodomiser de plus en plus violemment. Françoise fit le reste, en m’introduisant un gros gode dans ma chatte trempée.
Ils se mirent à me tarauder en rythme, c'était trop bon d’avoir un phallus dans chaque trou, même si l’un des deux était en silicone. C’était une première pour moi et je ne regrettais pas d’être venue. Ils ralentissaient puis accéléraient de plus belle, me faisant gémir de plaisir. S’en était trop pour moi, Je me mis à hurler, je jouissais comme une folle, mon orgasme fut terrible, j’étais vraiment une petite salope comme ils ne cessaient de dire. Ils finirent de me défoncer puis Françoise retira habilement la capote du sexe en ébullition de son ami :— Vas-y crache ton venin. Lui dit-elle en tendant la langue.
Elle avait son visage à côté du mien lorsque Daniel nous envoya la sauce pour la première fois. À tour de rôle, il visait une bouche puis l’autre nous arrosant par de longs jets de sperme sans pitié. Françoise se mit à le lécher consciencieusement, puis il enfourna sa bite dans ma bouche pour la nettoyer. Elle m’embrassa de nouveau, mélangeant ainsi toute la semence que nous avions encore en bouche.
La soirée n’était pas finie pour autant, nous positionnant en alliées, nous avions rapidement remis Daniel sur pied. Elle s'allongea sur moi et se mit à me doigter tout en engloutissant la queue de son amant. Aidé, il faut dire, par le gode, il avait su cette nuit-là nous satisfaire. Épuisée, je n’eus pas le courage de rentrer à la maison, j’avais fini la nuit avec lui. Françoise en se rhabillant, avant de regagner sa chambre, m’avoua qu’elle aimerait bien renouveler cette expérience : « Qu’en dis-tu Daniel ? »— Moi aussi, je suis partant, si Josiane le veut bien entendu.
— Pas de problème ! Vous savez où me trouver maintenant.
En effet, j’avais revu régulièrement ce couple libertin afin de passer des moments formidables, il nous arrivait même, d’organiser des parties à quatre. Si j’avais gardé de très bons rapports avec Daniel, Françoise était devenue une amie et lorsque j’allais en ville, nous nous arrangions afin de déjeuner ensemble. Elle sut me faire comprendre que je devais tirer profit de mes atouts auprès des hommes sans scrupule dont j’avais besoin : « Tu as une arme que peu de femme ont : ton physique et ton charme. Apprend et n’hésite pas à t’en servir. »
Françoise avait vu juste, je ne m’en étais pas rendu compte mais quelque part, je le faisais déjà. En effet au bar, je faisais bien mieux que de me débrouiller dans mes tenues toujours sexy avec lesquelles je faisais rêver la clientèle. En quelques années, j’avais su augmenter le chiffre d’affaire, le bar ne désemplissait pas, nous faisions de très belles recettes. Les tournées d’apéros n’en finissaient pas et les fûts de bière se vidaient à vue d’œil. Ne voyant Marius qu’un minimum dans la journée, j’étais souvent seule pour gérer l’établissement.
Les matins, il faisait l’ouverture et venait une heure pour les coups de feu le midi et le soir à l’apéritif. Il comptait dorénavant sur mes capacités et mon savoir-faire, afin de faire tourner son affaire. Au bistrot de la place et dans tout le village j’étais considérée comme la gérante de ce commerce. De mon côté, même si je n’étais qu’une salariée, moi aussi je me considérais quelque part, comme la patronne. C’était chez-moi ici, je faisais fonctionner la boutique à ma guise, sans que Marius ne vienne me mettre des bâtons dans les roues.
Je m’occupais des commandes auprès de nos fournisseurs, allais à la banque et chez le comptable et je gérais le personnel en place ou en extra. Depuis Tony m’avait quitté, en effet, étant trop possessif, il ne supportait plus de me voir aussi aguichante envers la clientèle et désirait que je quitte ce métier. N’ayant plus personne pour assurer la sécurité, en sortant les jeunes ayant un peu trop bu et voulant en découdre avec d’autres, j’avais préféré arrêter les soirées jukebox un an après les avoir mises en place.
N’ayant plus de partenaire régulier, j’étais libre de sortir à ma guise. Françoise, ayant également divorcé, venait me retrouver « au bistrot de la place » quelques soirs par semaine et tous les samedis, nous nous changions avant de nous rendre en ville après la fermeture du bar. Mon amie savait me mettre en valeur, me disant tu es belle et très bien foutue, montre-le. Pour sortir, elle me conseilla de ne pas porter les mêmes tenues sexy que j’avais en semaine au travail mais des vêtements classe mettant en valeurs ma jeunesse et ma plastique.
Avec mon joli minois, mon mètre soixante-deux et mes cinquante kilos à peine, mes jambes fines, mon fessier musclé et ma poitrine un peu forte avec mon 90 B j’avais tous les atouts pour attirer les regards de ces messieurs qui se retournaient sur mon passage. J’avais donc sur ses conseils rempli ma garde-robe. Je portais pour ces occasions, des robes de soirées légères, assez moulantes avec un beau décolleté, courtes ou mi- longues mais largement fendue dévoilant ma cuisse. Dessous, des bas-résille et porte-jarretelle, à mes pieds des escarpins ou des bottes à hauts talons.
Ce fut à cette époque qu’elle me fit découvrir « Le Plazza » un cabaret dancing où les serveuses étaient plus que sexy et où des entraineuses encore moins vêtues, étaient spécialement employées afin d’engager les clients à consommer. La clientèle était majoritairement masculine et assez âgée, j’avais pu constater d’après les dires de Françoise, qui connaissait ce milieu qu’il y avait beaucoup de notables de la région, mais également des touristes fortunés, des hommes d’affaires de passage en ville. Pratiquement tous des hommes mariés, allant de trente-cinq à soixante-dix ans.
Françoise et moi faisions partie de leur monde, en tant que clientes, si nous étions considérées comme libertines pour ces notables, nous n’étions ni des salopes, ni des trainées. Ceci m’avait permis de faire la connaissance de certaines personnalités bien placées en ville mais aussi dans la région. Tous ces messieurs très galants, avaient beaucoup de respect pour nous, même si nous ne couchions pas avec toute la clientèle. Tous les plus vieux, savaient qu’ils n’avaient aucune chance, ce qui les rendaient encore plus vulnérables.
Pour nous, c’était devenu notre terrain de chasse favori, j’avais même croisé un soir Germain pourtant marié depuis peu. Nous savions qu’ici, il nous était impossible de finir la nuit seule dans notre lit. Certains soirs, dès que nous jugions qu’un homme était suffisamment jeune, plaisant et performant, nous nous amusions à le séduire afin de lui proposer un plan à trois. Nous adorions ce petit jeu, cependant, le jour de l’anniversaire de Françoise que nous fêtions au « Plazza », nous nous étions faites prendre à notre propre piège.
En effet, croyant que la cible que nous avions désignée était seule, ce beau mec d’une quarantaine d’années, de passage pour affaire en ville, nous invita à sa table. Nous fûmes surprises de constater qu’il était accompagné de quatre types de son âge. Si nous avions accepté la coupe de champagne, je n’avais pas l’intention de participé à une orgie. Seulement Françoise n’était pas contre, elle insista tellement, que je les avais suivis dans une de leur chambre d’hôtel.
Nous fûmes cette nuit-là, telles deux poupées gonflables, malmenées dans le bon sens du terme. Les cinq parisiens nous avaient prises par les trois orifices, bouche et double pénétration mais aussi, pour ma part une première : double vaginale et double anale et fist, sans compter les douches de sperme reçues sur le visage et sur ma poitrine. Toutefois je ne suis pas près d’oublier cette nuit de folie où j’avais pris plusieurs orgasmes terribles.
Je menais donc ma vie pleinement, pourtant en avril 1973 alors que je venais de fêter mes 23 ans, tout alla basculer une nouvelle fois pour moi. Françoise avait une semaine de congé pour Pâques et me demanda de venir avec elle à Paris. Il est vrai que je n’avais pas l’occasion de quitter la région et cette idée de m’évader pendant plusieurs jours avec mon amie, loin de mon village, m’enchantait. Lorsqu’en j’en avais parlé à Marius, celui-ci ne fut pas très heureux de mon absence, cependant il avait accepté. Si nous nous étions amusées comme des folles dans la capitale, le retour fut pour moi une vraie catastrophe.
En effet, lorsque j’étais venu le mardi matin prendre mon service, je fus surprise de voir la maitresse de Marius présente derrière le bar avec lui. Celui-ci m’appela dans son bureau et m’annonça de but en blanc tous les changements qu’il avait mis en place. Évelyne me remplaçait désormais au bar et je devais m’occuper du service en salle. Il avait donc donné congé à Solange et n’avait plus l’intention de prendre des extras : « Ne t’inquiète pas, tu auras le même salaire me dit-il en souriant. »
Ce fut un véritable coup de massue que je prenais derrière la tête, tellement déçue, je n’avais rien répondu et je fis ce qu’il m’avait demandé. Honnêtement, je n’avais plus le cœur à l’ouvrage, après quelques jours, je me rendais compte que j’aurais préféré qu’il me mette dehors plutôt que de voir sa pétasse qui ne connaissait rien, faire sa belle derrière le comptoir. Le vendredi vers treize heures trente, après avoir reçu dans la matinée plusieurs remarques désobligeantes d’Évelyne, excédée j’avais attrapé Marius après l’apéro pour lui signifier mon désaccord.
Celui-ci s’était mis dans une colère noire, j’avais eu très peur, il m’avait semblé qu’il était prêt à me frapper : « Tu oses me défier après tout ce que j’ai fait pour toi. Sans moi, tu ne serais qu’une pute en train de faire le tapin, tu ne vaux pas mieux que ta mère. » Ce géant en furie devant moi m’impressionnait tellement que je n’osais pas répondre. Ça faisait trois ans qu’il ne m’avait pas baisée, il m’attrapa et me coucha sur son bureau : « Je sais que tu es jalouse, c’est ça qu’il te manque. »
Il me demanda de le sucer, cependant, c’était la première fois que je fis une fellation sans en prendre de plaisir. Afin de ne prendre de coups, je m’étais toutefois appliquée puis lorsqu’il banda suffisamment, il m’enleva ma petite culotte, cracha sur mon anus, enfila un doigt puis un deuxième avant de me sodomiser comme un malade :— Maintenant tu acceptes ou tu te casses. Avait-il hurlé en remontant son pantalon.
Je n’avais pu me défendre, j’étais très en colère, j’avais une envie folle de me venger et je savais comment faire pour nuire à Marius. J’avais suivi mon instinct, je ne pouvais plus continuer dans ces conditions. Sans rien dire, j’avais pris mes affaires et j’avais traversé la rue pour me diriger vers le bar-tabac. Cela faisait un moment que le patron m’avait proposé de venir le rejoindre et lorsque je m’étais présentée, tout heureux de me voir intégrer son équipe, il m’embaucha immédiatement.
Ce n’était pas la panacée, ne faisant que le service en salle, je n’avais aucune responsabilité, de plus je touchais moins de salaire. Néanmoins je savais que ce n’était que du provisoire et cela me permettrait de prendre ma revanche et d’avoir un emploi en attendant mieux. En effet, Marius était furieux d’avoir perdu une bonne partie de sa clientèle en journée, surtout des jeunes avec lesquels je m’entendais bien et toute une équipe de retraités qui m’appréciaient beaucoup.
Pour ne rien gâcher, je faisais mon service les après-midis, en équipe avec Pierre, le fils des propriétaires qui s’occupait lui, uniquement de la vente du tabac et des cigarettes. Très vite, nous avions sympathisés, ça faisait très longtemps qu’il me courait après. Ce charmant jeune homme légèrement plus âgé que moi, était toujours célibataire. Ce fut la raison pour laquelle, j’avais accepté de sortir avec lui, lorsque le samedi soir après la fermeture, à 20 heures, il m’invita au restaurant en ville.
Pierre était très timide, à 24 ans, il n’avait pas dû connaitre beaucoup de filles aussi hardies que moi. À table, pour me séduire, il utilisait sa main pour toucher la mienne, cela me faisait sourire, je sentais qu’il n’osait pas trop de parler franchement de sexe lorsque je m’attardais sur le sujet. Et lorsque je lui avais passé mon pied, dont j’avais retiré mon soulier, entre ses cuisses, je le vis changer de couleur. Il devint pâle puis tout rouge lorsque je lui caressais son sexe avec mes orteils.
Après le diner, il avait prévu de m’emmener au cinéma, toutefois, il avait repris des couleurs après avoir payé la note, lorsque je lui demandai d’aller chez-lui pour faire l’amour. Il était fou de joie, et quand je l’avais sucé magistralement jusqu’à ne plus se retenir, il était comblé de bonheur. Il fut littéralement aux anges, lorsque je lui proposai une sodomie après qu’il m’ait baisée en levrette. Ce soir-là, Pierre avait beaucoup appris et sut de quoi j’étais capable. Il connaissait à présent mon côté « petite salope. »
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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