« Josy » : le chantage d’un gros pervers. Épisode 14

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : « Josy » :  le chantage d’un gros pervers. Épisode 14 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : le chantage d’un gros pervers. Épisode 14
Nous nous retrouvions donc seuls avec Marius dans cette grande partie de bâtiment non réhabilitée. Cet endroit, n’étant éclairé uniquement que par quelques soupiraux, était sombre, frais et surtout loin d’être très propre. Lorsqu’il m’avait dit qu’il avait envie de me baiser, là tout de suite. Comme seule réponse, j’avais retiré ma petite culotte d’un geste adroit et ne désirant pas la salir, je l’avais accrochée à la poignée de la porte tandis que Marius baissait à la hâte, son pantalon. Mon ventre contre lui, mon dos appuyé sur le bois, mes pieds ne touchaient plus le sol, lorsqu’il m’avait pénétrée avec force.

Mes bras posés derrière sa tête, je l’embrassais à pleine bouche. J’avais les deux jambes pliées, relevées et serrées autour de ses hanches pendant qu’il me secouait. Mon corps montait et descendait au rythme soutenu de ses puissants va et viens. J’étais subjuguée par la violence de ses coups de reins qui me soulevaient littéralement les fesses. Ce fus tellement intense qu’en moins de six minutes, lorsqu’il éjacula à l’intérieur de ma chatte, je fus terrassée par un fulgurent orgasme. Accrochée à lui, je jouissais tout en tremblant de tout mon être : « Tu vois ! Tu as besoin de moi et tu dois être protégé. » Me dit-il avant de m’embrasser.

C’était rare de sa part, je n’avais pas le souvenir qu’il l’ait déjà fait après m’avoir baisée. Lorsque nous étions revenus dans le couloir, il avait disparu vers la sortie. N’ayant pas remis ma petite culotte avant de passer aux toilettes, j’avais le sperme de Marius et le fruit de ma jouissance qui coulaient encore le long de mes cuisses. Soudain en pénétrant dans les sanitaires, je me retrouvai nez à nez avec Jean-Lou : « T’étais où ? Ça fait un quart d’heure que je te cherche, mon père est parti, il voulait te saluer. » Tellement surprise de le voir ici, je me sentais fautive, tel un enfant qui vient de se faire prendre en train de chaparder une friandise.

Ne sachant que dire, j’étais restée silencieuse et immobile ma petite culotte dans ma main derrière mon dos. Mon visage devint pâle, il me regardait de la tête aux pieds, il trouva mon comportement bien étrange. J’étais certaine qu’il avait vu les tâches de sperme sur mes jambes, plus bas que ma robe pouvait les dissimuler. Heureusement pour moi, Michel son ami comptable l’appela à cet instant. J’avais pu me nettoyer et remettre de l’ordre dans ma tenue avant de rejoindre les invités.

J’avais attendu toute une semaine afin de passer la nuit avec lui comme c’était prévu. Néanmoins, si Jean-Lou n’avait fait aucune remarque, deux heures plus tôt, il m’avait fait la tête toute la soirée et au moment où tout était débarrassé, il s’excusa et m’annonça qu’il ne dormait pas ici, qu’il devait raccompagner Michel. Je m’en voulais terriblement d’avoir cédé une nouvelle fois à mon ancien patron, même si j’avais pris beaucoup de plaisir à le faire. Ce soir-là, seule dans mon lit, j’avais eu d’énormes difficultés à m’endormir, trop de choses me revenaient en tête.
Bien entendu, Jean-Lou qui semblait ne plus vouloir coucher avec moi mais aussi Marius qui avait insisté sur le fait que tout n’était pas fini entre nous, que j’avais besoin de lui et qu’il désirait me protéger. Mais de quoi ? Il avait également parlé de ma prostitution, savait-il quelque chose, il me faisait peur. Cependant, ce qui me chiffonnait le plus, c’était surtout les propos menaçants de M. Jean. Sur le moment, prise par mon occupation et mon énervement, je n’avais pas fait très attention à ses dires, néanmoins, lui aussi semblait savoir des choses, pourquoi agissait-il ainsi.

Enfin, dès le lendemain, le jour de fermeture du restaurant, tout fut oublié lorsqu’après avoir téléphoné à Jean-Lou, celui-ci m’invita à prendre le déjeuner avec lui. Dans l’après-midi, j’avais fait mes courses et m’étais acquittée de mes obligations et nous nous étions retrouvés à la maison où nous avions fait l’amour comme deux fous. Pendant tout l’été, il s’était privé de congé afin de venir m’aider à la guinguette. Sans réaliser des miracles, après l’inauguration, les couples étaient venus de plus en plus, je commençais à fidéliser la clientèle.

Entre juillet et août, il n’y avait pas moins de cent personnes chaque soir et le double les samedis et les dimanches après-midi, sans compter les repas pris au restaurant. Avec mes amies Françoise et Gislaine mais aussi ma mère, Jean-Lou et Monique la serveuse, nous arrivions à nous en sortir sans grandes difficultés. Ce ne fut qu’à partir de la rentrée en septembre 74 que le restaurant qui fonctionnait déjà bien les midis, commença vraiment à se remplir les week-end.
Le samedi soir et le dimanche après-midi, avec les 200 personnes qui venaient pour danser en consommant des boissons à « La Grange à Josy » et la clientèle du restaurant « Le Paradis », je fus vite victime de ce succès qui s’annonçait. En cuisine, je dus embaucher comme cuisinier, Simon le petit copain de Gislaine qui avait fini son apprentissage mais également plusieurs serveuses en extras. Jusqu’à fin octobre, tous nos week-end sous la grange furent une réussite. Pour la saison hivernale, la guinguette fut réintégrée à l’intérieur du restaurant.

En ce qui concernait ma vie sentimentale, ce n’était pas la panacée, Jean-Lou campait sur ses positions et ne me faisait l’amour qu’une à deux fois par semaine. Principalement les dimanches soir et de temps à autre les jeudis, il ne désirait toujours pas que je m’attache à lui. Malgré cela, j’étais toujours aussi folle de mon jeune avocat, mon amour pour lui, ne faiblissait pas pour autant. Pourtant, il m’arrivait souvent d’être en manque de sexe et lorsque mes pulsions me taraudaient les entrailles, je devais y remédier.

Pour cela, j’allais rendre visite à Marius qui savait comment me prendre pour obtenir ce que j’étais venue chercher : Une sodomie sauvage. C’était toujours aussi court et torride mais je partais après avoir pris un bel orgasme. Il y avait également Armand le charpentier, avec lequel j’avais toujours entretenu une petite liaison. Avec lui, c’était la totale, nous restions au moins une heure dans son bureau. Je ne rentrais qu’après avoir joui trois, voire quatre fois, il savait comment me faire grimper aux rideaux.

Après le bilan annuel, Michel le comptable n’était pas mécontent du résultat, il m’expliqua que malgré les débuts un peu difficiles, nous étions parvenus à maintenir les objectifs fixés pour la première année, pourtant assez élevés. Mon salaire n’était pas mirobolant, néanmoins je n’avais que peu de frais, d’autant plus que je n’avais pas de loyer ni de charge à payer et que mes vêtements étaient pris en charge par ma société. J’en avais donc largement assez pour bien vivre et j’étais même parvenue à placer quelques économies pendant plus de six mois.

Après les comptes de résultats, en mai 1975, Jean-Lou m’annonça que M Jean le grossiste désirait me rencontrer afin de faire un premier point sur le contrat de brasserie. Je ne voulais pas le voir, et lui répondit d’y aller lui-même : « Non Josy, c’est toi en personne, il t’invite au restau. » Il me tendit sa carte, en me donnant l’adresse et l’heure de mon rendez-vous : « J’ai choisi pour toi, c’est un lundi, le jour de ta fermeture. » Je n’avais pas envie d’y aller, ce gros porc me dégoutait et j’appréhendais, avec ce qu’il m’avait dit l’an dernier à l’inauguration. Je n’avais pas oublié.

Ce pervers voulait me prendre le cul comme une pute selon ses propos, et d’après lui, il savait des choses. Que savait-il au juste ? Je ne vous cache pas que ce bonhomme me foutait la trouille. Cependant, une fois à sa table, il fut relativement courtois et se tint correctement, malgré ses petits reproches qu’il me faisait au sujet du respect des quantités affichées : « M. Jean, presque rien, je ferai bien mieux l’an prochain. » Je savais que j’avais vendu de l’alcool non déclaré, comme je l’avais appris chez Marius. J’avais dû en abuser et devais corriger le tir pour l’an prochain :— Ok, je te fais confiance Josiane. Surtout ne me truande pas. Je ne suis pas mécontent de ta réussite, mais ce n’est pas pour ça que je voulais te voir en personne. Je vais tout te raconter.

Cet homme était en définitive obsédé depuis six ans, à mon arrivée au bistrot de la place. Dès qu’il m’avait vu, il me désira, ne pensant qu’à me baiser. Étant « la propriété » en quelque sorte de Marius, celui-ci lui avait interdit de me toucher. Puis les choses se compliquèrent lorsque j’avais rejoint le bar-tabac, mais là encore, je m’étais mise avec le fils des patrons et cela le perturbait. Me surveillant souvent, il avait appris que je sortais seule « au Plazza ». Ce fut à ce moment qu’il avait eu des vues sur moi.

Le soir où Georges mon premier client m’avait glissé ce troisième billet entre mes seins, il était justement au bar de l’hôtel et avait vu la scène. Lorsqu’il me vit monter dans l’ascenseur à son bras, il s’était tout de suite douté, que je tapinais. Il en eut la certitude la semaine suivante alors qu’il était dans ce même hôtel avec une matrone tenant un bar en ville. Étant au même étage, il me vit pénétrer dans la chambre d’un homme qu’il n’avait jamais vu, bien plus âgé que moi.

Le lendemain matin, alors qu’il s’apprêtait à repartir, dès qu’il me vit sortir de la chambre 305, il s’était arrêté net devant sa porte afin que je ne le surprenne pas à m’espionner. Dans le couloir, j’avais pris l’enveloppe que le client m’avait donné la veille et en avait retiré les billets de 500 frs afin de les ranger discrètement dans mon sac. Quelques semaines plus tard, juste après la vente, il avait aperçu Georges à l’hôtel avec une prostituée et l’ayant déjà croisé, il lui demanda à l’oreille en bluffant : « Vous ne prenez plus Josiane ? Vous devez la regretter non ? »
Mon premier client avait répondu franchement sans aucune gêne : « C’est sûr ! Ce n’était pourtant pas une pro mais elle valait le coup. » À partir de ce moment, M. Jean était certain que je faisais la pute. Ce fut la raison pour laquelle, deux jours plus tard lorsqu’il m’avait rencontré pour ce fameux contrat de brasserie, il me proposa de baiser afin d’en alléger les pénalités. J’étais restée scotchée sur mon siège, j’étais blanche comme un linge, ce gros porc savait tout, en effet, j’avais du mal à le contredire : « Mais… heu… »— Tu sais Josiane, une mauvaise réputation dans le milieu, pourrait te détruire. Ça dépend de toi, je saurai me taire comme je le fais depuis un an, si tu me donnes enfin ce que je demande.

Ce vieux pervers ne manquait pas d’air, il me faisait du chantage et je ne savais pas comment faire pour m’en débarrasser : « Non, je ne suis pas une pute. Je n’ai pas envie de coucher avec vous. » Avais-je tenté de dire afin de connaitre sa réaction : « D’accord ! Demain j’en parlerai à Jean-Lou. » Ce salopard me tenait, j’avais lu dans son regard qu’il ne bluffait pas et n’hésiterait pas un seul instant de mettre sa menace à exécution. Je ne pouvais plus lui échapper. Je pris mon courage à deux mains et j’essayai de m’en sortir qu’avec une fellation :
— Non Josiane ! N’importe quelle bouche fait l’affaire.
— Vous me baiser et après ! Que va-t-il se passer ? Tous les jours, toutes les semaines, vous allez me menacer ?
— L’avenir nous le dira. Si je comprends bien tu es d’accord…je suis réellement impatient d’y être. Aujourd’hui ?

Il fallait absolument que je gagne du temps, ce qui me permettrais peut-être d’y échapper, si par chance je trouvais une solution : « Oui mais ! Pour le moment, j’ai mes règles… » Mentis-je. Il me répondit du tac au tac : « Ce n’est pas grave, je ne suis pas à huit jours-près, je viendrai dimanche à « La Grange à Josy » nous fixerons un rendez-vous pour le lendemain. » J’avais une semaine pour trouver une solution, j’avais bien l’intention de me servir de ce petit répit afin de me sortir du piège que me tendait M. Jean.

J’avais un très gros problème, je ne pouvais pas en parler à mon entourage. Il était hors de question de demander de l’aide au père de Jean-Lou, même si celui-ci, étant l’avocat de M. Jean pouvait faire pression sur lui. Comment pouvais-je lui avouer pourquoi le grossiste me faisait chanter. Je n’avais pas l’intention de dire quoique ce soit à Jean-Lou, à ma mère et à Jean-Charles, d’ailleurs je ne voyais pas comment auraient-ils pu m’aider. Je ne voyais que Marius c’était sans doute le seul, à pouvoir me sortir de là.

Lorsque je l’avais rencontré le soir-même, je ne savais pas comment lui expliquer dans quel guêpier, je me trouvais. Enfin, j’avais pris mon courage à deux mains et lui dis : « Tu avais raison sur un point Marius. Je me suis bien prostituée lorsque tu m’as refusé le prêt. J’avais besoin de cet argent. » Il m’avait regardé méchamment et me répondit : « Je m’en doutais. Tu n’es qu’une pute après tout. Mais pourquoi me dis tu ça ? »
Je ne pouvais plus reculer, j’avais honte de moi mais je poursuivis en lui expliquant le chantage de ce gros pervers. À ce moment-là, il me rit au nez en me disant que je n’avais qu’à me débrouiller et que je n’avais que ce que je méritais : « Putain Marius ! Tu dois pouvoir m’aider. » Il continua à rire un moment en se moquant de moi. Puis me sortit la phrase qui tue : « Je ne vois qu’une solution. » Il s’arrêta de parler, j’étais impatiente d’entendre la suite, il avait trouvé sans doute la parade. J’étais prête à l’embrasser mais lorsqu’il continua après un long silence, je fus dépitée :— Ouais ! Tu vas te faire sauter ma grande. Ce gros porc à gagner et tu n’y peux rien. Tu n’as pas voulu que je te protège, tu en payes aujourd’hui les conséquences.

Tellement en colère, j’étais rentrée chez moi en le repoussant, il voulait me prendre de force mais cette fois, je ne m’étais pas laissée allée aux plaisirs d’une bonne sodomie. De ce pas j’étais allée, comme souvent lorsque j’avais un problème, chez mon amie. Françoise était géniale, c’était la grande sœur que je n’avais jamais eue. Cette femme savait toujours retourner la situation en sa faveur. J’étais arrivée chez elle complètement en miette et j’en étais ressortie avec un large sourire, avec l’espoir de trouver une solution à mon problème.

Travaillant avec Daniel le notaire qui savait beaucoup de choses sur de nombreuses personne, depuis le problème du contrat de brasserie, elle avait enquêté sur ce gros pervers. M. Jean s’était marié une vingtaine d’années plus tôt avec la fille d’un gros négociant en alcool, alors qu’il n’avait pas un sou. Aujourd’hui il était à la tête de l’entreprise mais fut à deux doigts de tout perdre, lorsqu’il fut accusé d’agression sexuelle. En effet son épouse, une grosse femme très directive, l’avait menacé de divorcer. Heureusement son avocat avait retourné la situation à son avantage.

Comme me l’avait conseillé Françoise, j’étais allée rencontrer dans son établissement la femme dont avait parlé M. Jean. Après une petite heure, je compris que comme moi, cette femme subissait la même sorte de chantage. Irène était une femme de 45 ans, assez grande, un peu forte peut-être, cependant plutôt jolie. Elle était mariée au patron d’un petit bar en ville, un homme de dix ans son ainé. Un jour, le grossiste ressortant de la cave avec son mari, aperçut en haut de l’escalier dans le couloir à l’abri des regards, Irène déposer une bise sur les lèvres d’un client, avant de rejoindre l’arrière du comptoir en vitesse.

En voyant ça, M. Jean avait tout de suite compris que cette femme trompait son mari avec le soi-disant ami. Ça faisait déjà longtemps que cet homme lui courait après, ce n’était pas la première fois qu’il insistait et lui avait même passé la main aux fesses sous sa robe en lui disant : « Je t’aurai un jour. » Lorsqu’elle en avait parlé à son mari, celui-ci, qui venait de supplier le grossiste de lui accorder un échelonnement sur les paiements, minimisa les choses. Ce jour-là, ce pervers n’avait pas perdu le nord et voulait profiter de la situation, en venant dès le lendemain, menacer Irène. Depuis il la forçait de baiser avec lui toutes les trois semaines ou tous les mois à l’hôtel :— Le pire c’est que Charles, même s’il en crève de jalousie, a accepté le deal. Avec les pénalités qu’il lui a imposées, il nous tient par les couilles. Je dois encore baiser avec lui six fois.

Après avoir expliqué ma démarche à cette dame, sans donner les raisons de mon chantage, je lui avais posé de nombreuses questions au sujet de ce gros porc, auxquelles elle avait bien voulu répondre franchement. À plus de cinquante ans, il n’était pas très performant et dès qu’il éjaculait une première fois, il lui fallait, avec un verre de Bourbon sa boisson préférée, près d’une heure avant que son petit sexe de 12 cm, se remettre en érection. Il faisait avec Irène tout ce que son épouse ne faisait jamais. Il adorait les fellations, il aimait lui prendre la chatte en levrette, puis l’enculer avant de s’écrouler, épuisé, après avoir éjaculé une deuxième fois dans son rectum.

Avec les idées de Françoise et ce que je venais d’entendre, j’en avais assez pour établir mon plan d’action. J’avais quitté Irène en lui faisant deux bises pour la remercier et lui avait dit : « Bientôt votre calvaire et le mien seront de l’histoire ancienne, je vous le promets.

La suite de l’histoire samedi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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