« Josy » : Même malade, La petite salope suce des bites. Épisode 8

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : « Josy » :  Même malade, La petite salope suce des bites. Épisode 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : Même malade, La petite salope suce des bites. Épisode 8
Avec le nombre de clients que nous avions eu au bistrot de la place pendant la fête du village, Christiane, la serveuse et moi-même, nous nous étions surpassées. Côté sexe, Marius ne m’avait pas laissée pour autant, il avait su trouver un moment pendant la soirée et avant de rentrer chez-moi, pour me baiser. Puis le dimanche à treize heures, après le coup de feu au PMU, et dans son bureau en fin d’après-midi au moment de me donner mon argent, il avait su me donner du plaisir. Après ce week-end d’enfer, j’étais littéralement sur les rotules.

Je ne savais pas ce que je ressentais pour Marius, ce n’était pas de l’amour, c’était plutôt un besoin. Je ne pouvais pas me passer de ces baises sauvages qu’il me faisait vivre. À chaque fois, c’était rapide, torride sans violence mais brutal. J’avais l’impression que ma petite chatte appartenait à sa bite, tellement elle s’imbriquait à la perfection. Incontestablement, je n’étais pas amoureuse de lui car l’homme qui était dans mes pensées était bel et bien Germain. Je ne savais pas ce qui m’arrivait avec cet homme.

Cela faisait quinze jours que je le connaissais et que je le faisais attendre. Au début ce n’était qu’un jeu pour moi, cependant j’avais envie d’être avec lui, comme une jeune fille tout à fait normale, je ne voulais pas être sa salope comme je l’étais avec Marius. Surtout que Germain se montrait très patient, il venait me rendre visite au moins deux fois par jour, me laissait discrètement dans ma poche, soit des petits mots gentils ou me volait un petit baiser dès que nous nous retrouvions seuls.

C’est comme si j’avais remonté le temps, à l’époque de mon adolescence, je regrettais que cela se soit passé ainsi. J’aurais vraiment aimé perdre ma virginité avec lui mais le « mal » était fait. Je n’avais pas envie qu’il apprenne ce que j’étais devenue en six mois de temps, cette salope qui aime tant les hommes et leur sexe. Pour la première fois en trois semaines, Germain avait fini son petit mot doux par : « Je t’aime ma petite Jo. » Cette petite phrase anodine à priori, m’inquiéta un peu, cela devenait-il du sérieux ou avait-il écrit ceci instinctivement, comme un homme pouvait mentir à une femme après baisé avec elle.

Cela m’ouvrit les yeux, car je m’apercevais que moi aussi, j’avais des sentiments pour lui. Ce qui ne m’avais pas empêché de retrouver Marius afin de prendre mon pied avec lui, pendant le week-end suivant. Je prenais beaucoup de plaisir et je me sentais minuscule et fragile avec mes 45 kg dans les bras du colosse de 105 kilos, je me sentais en totale sécurité. Avec le travail en usine et mon boulot en extra au bistrot, je n’avais pas eu de repos depuis près d’un mois. Le lundi matin j’étais totalement épuisée, amorphe et sans aucune énergie. Je dus rester au lit et après m’avoir auscultée, André me fit un arrêt de travail.

J’avais dormi toute la matinée, au déjeuner, le docteur m’annonça que Germain, le fils et bras droit de son cousin, avait pris de mes nouvelles et s’inquiétait pour moi. J’avais pensé à lui toute l’après-midi, je ne l’avais pas vu depuis plus de trois jours et sa présence me manquait. Pourtant, je ne faisais que flirter avec lui depuis un mois, rien de plus. J’étais très heureuse qu’il ait pris des nouvelles de ma santé. Le mardi, il avait une nouvelle fois appelé, mais n’ayant pas de poste à l’appartement, ce fut André qui avait reçu cet appel et le soir au diner, celui-ci m’annonça que Germain passerait à la maison dans l’après-midi du lendemain.

Ma mère se doutait bien de quelque chose, se demandant pourquoi le sous-directeur d’une usine venait rendre visite à une de ces employées : « Tu couches avec lui ma parole ! C’est ça ? » « Non Maman, je te le jure. » Ma mère n’était pas dupe, elle avait vu, d’après mon comportement que je mentais, elle s’était aperçue que j’avais des sentiments pour lui. Je lui avais donc avoué que nous flirtions, simplement. Elle me mit en garde, elle connaissait de réputation, cet homme à femme. Il changeait de partenaire, toutes des « bimbo », chaque semaine et ses folles sorties avec ses copains, au « Plazza » un petit cabaret en ville, faisaient grands bruits dans la région.

Le mercredi après-midi, ma mère était très ennuyée, elle craignait de me laisser seule à la maison. André avait ses visites chez ses patients et elle était obligée de s’absenter. Pour ma part, j’avais encore dormi toute la matinée, je n’avais pas la grande forme, mais j’avais retrouvé un peu de couleur. Après le déjeuner, lorsque maman était partie, je m’étais lavée et peignée puis au lieu de passer un de mes tee-shirt de nuit, j’avais enfilé une petite nuisette de ma mère. J’étais très impatiente, j’avais bien l’intention de profiter du moment passé avec Germain. C’était probablement le grand jour.

J’attendais dans ma chambre, je m’étais recouchée, les draps jusqu’à ma tête. Lorsqu’il était arrivé dans le hall au rez-de-chaussée, comme c’était prévu avec ma mère, ce fut Jean-Charles qui l’emmena jusqu’à ma chambre avant de redescendre poursuivre ses consultations. Je fis semblant de me réveiller, il s’était agenouillé au bord de mon lit et me déposa un petit baiser sur mes lèvres en prenant de mes nouvelles : « Je me suis inquiétée, tu vas mieux ma chérie ? » Je fus surprise de ce terme, comment ça ? ma chérie. Je l’avais pris par le cou et nous nous étions embrassés passionnant.

Ses mains avaient retiré le drap : « Que tu es belle ! » Dit-il avant de commencer à me caresser la poitrine. Très vite une de ses deux mains avait pris possession de mon entrejambe, il continuait ce qu’il avait entrepris dans son bureau, lors de notre première rencontre. Sentir ses doigts caresser mon clitoris et pénétrer ma fente, me faisait un bien fou, je mouillais : « Oh que c’est bon ! » Dis-je honnêtement. Il comprit qu’il pouvait aller un peu plus loin cette fois, lorsqu’il me demanda : « Tu es prête ? Veux-tu aller plus loin ? » Je n’avais pas hésité de lui répondre naturellement : — Oui ! Déshabille-toi et viens avec moi dans le lit.
— Tu es encore vierge ? Me susurra-t-il à l’oreille.
— Non ! Mais fais comme si je l’étais, s’il te plait.

Il n’avait sans doute pas compris mais pensant que je n’avais pas très apprécié ma première fois, il fit en sorte de respecter mes désirs. Avant de se coucher à mes côtés, entièrement nu, il avait sorti un préservatif et l’avait déposé sur la table de nuit. J’allais lui dire qu’il n’en avait pas besoin mais au dernier moment, je m’étais retenu de lui dire que je prenais la pilule, j’avais l’intention de lui dire plus tard. J’avais à présent son sexe devant mes yeux, sa verge était superbe, toute lisse, bien droite et très dure.

Elle était comme je les aimais. Sans être aussi épaisse que celle de Marius, elle était toutefois un peu plus longue et effilée à souhait. Sans vouloir m’imposer quoi que ce soit, il me demanda : « Veux-tu me sucer ? » À genoux sur le lit, je l’avais prise en bouche et m'appliquais à la tâche, léchant son gland avec délectation, je ne cherchais pas à le faire éjaculer, j’attendais simplement sa demande. Très excité, il m’allongea sur le lit et me rendis la pareille en me faisant un cunnilingus, il s’était tellement appliqué que je jouis une première fois, en criant.

Tendrement, ce fut dans la position traditionnelle du missionnaire qu’il désirait me prendre. Il s’enfila la capote et vint se positionner entre mes jambes. C'était terriblement excitant d'être allongée dans un lit, les cuisses ouvertes en sachant que Germain l’homme que j’aimais, allait me faire l’amour dans cette position. Lentement, il joua avec son gland à l'entrée de mon sexe, le faisant glissé entre mes lèvres jusqu’à mon petit bouton gonflé de désir.

Cela me faisait mouiller encore plus et me rendait folle. Je n'avais qu'une envie, je voulais qu'il me pénètre, ma petite chatte trempée était prête à le recevoir, je désirais prendre encore du plaisir, et cela ne tarda pas. Lorsque sa queue se glissa dans ma fente, et qu'il se mit à aller et venir tendrement, je ronronnais comme une petite chatte en chaleur. C'était trop bon d'avoir cette belle bite dans mes entrailles, il me baisait à merveille. Sa verge tendue et très raide allait et venait de plus en plus vite. Mes mains accrochées à ses fesses, je le maintenais de toute mes forces.

De temps en temps, nous nous embrassions à pleine langue comme nous le pouvions, lui me tenait par les hanches, nous étions collés l’un à l’autre. J’actionnais mon bassin de haut en bas à son rythme, mes muscles internes enserraient le plus possible sa queue dans mes parois vaginales. Celle-ci me perforant délicatement mais régulièrement, me fit l’effet escompté, me déclenchant un orgasme puissant. Mes cris de plaisirs libérèrent, à son tour sa jouissance. Il se retira, enleva son préservatif et colla sa verge sur mon ventre. Ce fut en poussant un râle rauque qu’il s’était vidé pendant que je jouissais.

Son dos et son fessier portaient les marques de mes ongles tellement je m’étais accroché à lui. C’était la première fois que j’avais pris autant de plaisir à faire l’amour. Ce n’était pas mes orgasmes à proprement parlé, c’était plutôt un pur bonheur provenant au plus profond de mon cerveau. Malgré mon état de satisfaction, Germain, pressé de savoir ce que j’avais ressenti, en voulait la confirmation : « Alors ! C’était comment ? » « Génial. Tout simplement génial. » Après l’avoir remercié en l’embrassant, nous nous étions couchés l’un contre l’autre, ma tête reposant sur son épaule :— Malheureusement je n’étais plus vierge. J’aurais préféré l’être, je t’assure. Dis-moi Germain, le regrettes-tu ?
— Pas du tout, au moins tu as pu prendre du plaisir car les premières fois ne sont pas toujours très appréciées.

Sans lui dire que j’avais aimé être une petite salope, je n’avais plus envie de lui mentir. J’étais bien avec lui, il savait me mettre à l’aise. Je lui avais donc avoué en ne disant pas toute la vérité que c’était André le vieux docteur qui m’avait dépucelée et que par la suite, j’avais couché avec mon petit copain. Lorsque je lui expliquai comment le docteur venait me prendre presque de force dans ma chambre, il s’était esclaffé :— Le vieux salaud ! C’est un pervers, ça tient de famille, mon père est pareil, il a toujours aimé se taper les jeunes femmes.

Blottie dans ses bras, je lui avouai que j’avais adoré faire l’amour avec lui et que je n’avais pas envie qu’il me quitte. Cependant il était désolé, il devait déjà repartir car le devoir l’attendait : « Tu es vraiment adorable Jo, je suis dingue de toi. » M’avait-il dit après m’avoir embrassé une dernière fois. Me retrouvant seule, pensive dans ma chambre, après avoir réfléchi à ce qu’il m’était arrivé ces derniers mois, je pris la sage décision de ne plus baisé à tort et à travers et de me consacrer uniquement à Germain. Après ce qu’il venait de me faire vivre, je n’avais pas l’intention de le tromper.

Le jeudi matin de bonne heure, j’avais envie de le revoir, je m’étais levée pour aller travailler. Néanmoins, j’avais encore des difficultés, la fatigue était toujours présente et le docteur insista afin que je me recouche : « Tu ne reprendras que lundi Josiane. Il est hors de question de bosser dans ton état. » Une heure plus tard, ma mère était venue me voir et me demanda, en tenant la capote entre ses deux doigts : « C’est à qui ? Je l’ai trouvé dans la poubelle de ta chambre ? Ne me dis pas que tu n’as pas couché avec lui cette fois-ci. »
Je ne pouvais plus nier l’évidence, j’avouai à maman que j’étais tombée amoureuse de Germain. Elle prit sa tête entre ses mains et jura : « Oh bon Dieu ! Mais tu ne sais pas où tu as mis les pieds. » elle s’assis sur mon lit et commença à me raconter ce que très peu de gens connaissait. Un mois après qu’André l’ait forcé à baiser avec lui, il avait invité son cousin Eugène, le père de Germain et son ami Charles B, un homme un peu plus jeune. Colette dut ce soir-là pendant le service, se mettre en tenue hyper sexy de soubrette.

Tout avait commencé au dessert, lorsqu’André lui imposa de lui faire une fellation. Refusant de le faire devant des invités, il la gifla et la menaça de la mettre à la porte, elle et son bébé. Ne voulant pas se retrouver sans emploi, contrainte et forcée, elle céda aux caprices du docteur. Pendant ce temps, ses deux amis la pelotaient et lui enlevaient ses vêtements. Elle avait essayé de résister, cependant ce fut Eugène qui ne fut pas tendre avec ma mère. Il lui avait mis un aller-retour sur les joues, avant de se retrouver très vite toute nue, ne portant que son tablier et sa tiare dans les cheveux.

Colette dut sucer chacun d’eux à tour de rôle puis ils la baisèrent sans retenue. Sans qu’elle ne puisse esquisser le moindre geste, ils l’avaient prise en double pénétration, c’était une première pour elle. Néanmoins, ce ne s’était pas arrêté là, pendant plusieurs années, tous les mois environ, elle avait droit à leurs visites et devait se laisser faire sans rien dire : « Au début, je n’avais que 19 ans, mes grands-parents ne voulant plus entendre parler de moi, je ne pouvais pas me retrouver à la rue avec toi. »
Malheureusement, cette histoire était loin d’être terminée. Ma mère venait d’avoir 21 ans lorsqu’André la prévint de la visite d’Eugène, pendant son absence : « Il vient cet après-midi, soit gentille avec lui et fais ce qu’il te demande. » Ce jour-là, cet homme n’était pas venu seul, il avait emmené avec lui son fils alors âgé de 18 ans. Ne voulant pas avoir de représailles, maman avait tout accepté, elle avait sucé longuement le père avant de se faire sodomiser sauvagement par celui-ci, devant Germain qui n’en croyait pas ses yeux.

Puis lorsqu’il avait joui dans son rectum, il remonta son pantalon et lui imposa de faire une pipe à son fils qui bandait comme un âne : « C’est mon cadeau d’anniversaire. Fais ça bien ! » Dit-il en riant. D’avoir assisté à ce spectacle, Germain était dans tous ses états, ce devait être la première fois qu’il voyait une femme nue se faire enculer. Après une fellation très courte car il allait éjaculer, Eugène mis Colette à quatre pattes et dit à son fils : « Allez mon garçon, dépucèle toi. Tu seras un homme un vrai. »
La mauvaise habitude était prise, Germain avait tellement aimé cela, qu’il était revenu. Ma mère n’avait pas osé lui refuser et de fil en aiguille, il venait au moins un soir par semaine et cela pendant sa première année de FAC. Ce qui n’empêchait pas les deux amis d’André de venir avec le docteur pour des parties de sexe endiablées, ils étaient venus une fois à six. Puis du jour au lendemain, ces soirées s’étaient espacées dans le temps. Ma mère avait appris que l’avocat avait une jeune fille de 20 ans au pair.

Et deux ans plus tard, lorsque Jean-Charles était revenu avec son diplôme de médecin, toutes ces soirées furent terminées. Il était amoureux de ma mère, cependant André lui dit que Colette n’était pas une femme pour lui, que ce n’était qu’une boniche et qu’elle le resterait. Il lui imposa donc Bernadette, la fille d’un ami pharmacien, comme épouse. Après le mariage, n’aimant pas sa femme, ils reprirent régulièrement une liaison adultère.

Avec tout ce que je venais d’entendre, j’étais outrée, je ne savais plus quoi penser. J’avais envie de tout plaquer et de partir loin d’ici, à Paris peut-être où personne ne me connaissait ? : « André était un monstre, pourquoi ne le quittes-tu pas ? » :— C’est vrai, aujourd’hui je le pourrais, cependant je reste uniquement pour toi. Ça fait 18 ans qu’il t’a ouvert un compte épargne et tous les mois il place 50 francs. Ce sera à toi à tes 21 ans. En attendant, je subis et maintenant, j’ai tout de même obtenu un peu plus de liberté grâce à Jean-Charles, il sait tout le vieux aujourd’hui, il en crève de jalousie.

Au sujet de Germain, je ne savais plus quoi penser, j’essayais de lui trouver des excuses, il était jeune et avais exécuté les ordres de son père. Mais il avait profité de la situation en revenant toutes les semaines la baiser. D’un autre côté, ma mère lui ouvrait la porte et le faisait entrer, il ne la forçait pas à la prendre comme une salope. Cependant j’étais très déçue, comment avait-il pu me mentir ? Comment avait-il pu me cacher qu’il connaissait Colette ma mère ? S’il l’avait fait, c’était bien parce qu’il se sentait coupable. M’aimait-il un tant soit peu ou voulait-il profiter de moi comme il l’avait fait avec maman ?

La suite de l’histoire samedi prochain. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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