« Josy » renfile son costume de salope. Épisode 34

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : « Josy »  renfile son costume de salope. Épisode 34 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » renfile son costume de salope. Épisode 34
Après cette soirée mémorable de sexe en groupe où tous les couples s’étaient mélangés. Chacun d’eux était reparti de chez-moi qu’au petit matin épuisé mais conquis. Jamais ils n’auraient pu imaginer que mon idée puisse autant plaire. S’ils m’avaient tous remerciée de les avoir accueillis, le mérite en revenait à Chantal (professeur au collège), la véritable instigatrice de cet instant de partage, sans oublier Guy son mari qui avait su insister au bon moment afin d’enlever tous les doutes de certains. Ayant tous très apprécié, la date pour renouveler cette expérience fut fixée pour le réveillon du nouvel an, puis nous prévoyions d’en organiser une tous les quatre mois environ comme nous le faisions pour nos fiestas habituelles.

Cela n’empêchait pas certains de se retrouver en petit comité, comme l’avait fait Pierrot, Patricia, Gilbert et Joceline quinze jours après. Ou Joël Christiane, chez Chantal et Guy. Étant beaucoup plus libérés dans leur nouvelle sexualité, il semblerait qu’il n’y avait plus du tout d’infidélité, chacun prenait son plaisir autrement. Pour moi, la célibataire du groupe, j’avais toujours ce besoin permanant de sexe. Si avant la naissance de la petite Mary, je parvenais à m’abstenir, depuis qu’elle était venue au monde, toutes mes pulsions étaient revenues au galop.

Heureusement Gérald, vivant seul et venant régulièrement tous les mois pour chercher du matériel dans le secteur, dormait une nuit (pas entière) à la maison. C’était pour nous, un bon moyen de se retrouver. Gisèle ayant toujours apprécié baiser avec mon demi-frère, François laissait son épouse coucher avec lui dans ma chambre d’amis, tandis que lui venait dans la mienne. Nous avions vite pris nos habitudes et nos marques. J’avais trouvé en lui un amant régulier qui savait me contenter pleinement. En contrepartie, n’ayant pas toujours été satisfaite dans la semaine, lorsque j’étais avec lui, je me libérais entièrement.

Le reste du temps, il me fallait un amant au minimum deux soirs dans la semaine. Je devais donc chasser mes proies mais avec la petite Mary dans la poussette, lorsque je faisais mes courses en ville, ce n’était plus aussi facile que par le passé. Je devais être ingénieuse et beaucoup plus discrète. Une fois en novembre 1988, l’amant que j’attendais le mardi me fit faux bond et le jeudi soir l’autre n’était jamais venu. Le vendredi, j’attendais la livraison d’un meuble commandé dans un grand magasin à Marseille. Un de leurs livreurs devait venir me le monter ce jour-là. N’ayant pas touché un mec de toute la semaine, je m’étais lancée le défi de parvenir à baiser avec ce livreur que j’espérais à mon goût.

J’y avais pensé une bonne partie de la soirée et le lendemain dès mon réveil, j’attendais avec impatience la livraison. Pour mettre le maximum de chances de mon côté, J’avais prévu pour le recevoir de porter de jolis sous-vêtements, mes bas et porte-jarretelles, sous une jupe courte et plissé, avec un chemisier à bouton avec un décolleté plongeant et mes escarpins à talons hauts qui rendait ma silhouette plus élancée. En espérant que le type ait le temps de rester avec moi. Il était onze heures passé lorsqu’il sonna. J’avais accouru pour ouvrir la porte. Lorsqu’il m’avait regardé et qu’il m’avait vu dans ma tenue très sexy, j’avais tout de suite senti que j’étais une de ces playmates dont il espérait un jour rencontrer. (Sans prétention).

J’étais une femme assez chanceuse, si ce mec n’était pas Alain Delon, je pouvais tomber sur beaucoup plus moche et plus vieux. Cet homme de mon âge était plutôt pas mal, genre Henri Guybet, en plus mince, avec le même sourire que l’acteur. Ce livreur semblait pressé, je le voyais se hâter pour décharger son camion, il ne me parlait pas beaucoup, hormis le nécessaire. Une fois les cartons déballés, le meuble prêt à être installé, il regarda une nouvelle fois sa montre, je l’avais senti un peu plus relaxé : « Vous semblez bien stressé Monsieur, êtes-vous déjà si pressé de me quitter ? » Lui demandais-je. Il tourna la tête vers moi et me sourit : « Ce n’est pas ça, au contraire, je serais bien resté avec vous mais je dois encore déjeuner avant de redescendre à Aix pour 14 heures.

C’était l’occasion, je savais que je lui plaisais, et un déjeuner il pouvait s’en passer. Je devais lui faire du rentre dedans car ma petite Mary ne se réveillerais pas avant une heure et demi. Je m’étais assise de sorte que je sois en face de lui, les jambes légèrement écartées en ayant ôté un bouton supplémentaire à mon chemisier. Si avec ça, le type n’avais pas compris, tant pis, je le violerais (LOL). Bien entendu, le mec montait le meuble avec dextérité mais regardait sans cesse dans ma direction, essayant tant bien que mal de répondre aux petites questions que je lui posais sur son travail ou sur le temps qu’il ferait le lendemain. Ses yeux étaient bien trop attirés vers mon entrecuisse ou sur ma poitrine pour rester concentré.

Il était onze heures quarante lorsque le petit meuble était terminé, il se préparait à ranger les emballages mais ne désirant pas qu’il perde du temps, je lui dis : « Non Monsieur, laissez ! Je le ferai moi-même tout à l’heure. Vous avez bien un peu de temps pour boire un verre. Non ? » Jetant encore une fois un œil sur sa montre, il s’installa dans le canapé et moi dans le fauteuil pendant que je croisais et décroisais les jambes devant lui en dévoilant ma lingerie fine. Je devais désormais l’attirer dans mes griffes car il ne prenait pas du tout les devants. Je lui dis alors : « Avec votre métier, vous devez faire de jolies rencontres, n’est-ce pas ? Dommage que vous soyez si pressé. »
Tournant autour du pot, je poursuivis ma démarche : « Pourquoi êtes-vous resté ? » Prenant son air de chien battu, il répondit : « Désolé, mais je dois bientôt filer. » Le sentant un peu gêné je vins m’assoir à côté de lui et continuai. Son manque d’audace me faisait agir. En glissant ma main sur sa cuisse, je lui soufflai à l'oreille : « Vous êtes resté pour les mêmes raisons que je vous demandé de le faire. Vous savez ! Un repas ça se saute, une femme aussi. » En disant cela, je l’embrassai dans le cou, lui mordis le lobe de l’oreille pendant que ma main glissa jusqu’à son sexe que je massai à travers le tissu.

Devant de tels gestes et de tels propos, il bandait fortement, il devait être bien à l’étroit dans son pantalon que je m’empressai de lui enlevai sans qu’il ne s’y oppose. Je sortis de son slip, cette queue comprimée qui se redressa devant-moi. Agenouillée entre ses jambes, après lui avoir enfilée une capote je commençai à le sucer avec envie. Je ne le quittais pas des yeux, tout en caressant ses couilles pleines, je l’avalais dans une belle gorge profonde avec une grande gourmandise. J’avais faim de sexe surtout. Mon string était déjà tout mouillé. Sentant qu’il agrippait mes cheveux en grognant, je sus qu’il était prêt à m’envoyer la sauce et retirai sa queue de ma bouche :
— Tu peux m’appeler Roger ! Me dit-il en me pelotant carrément les seins avec ses deux mains. Allez ! Allonge-toi me dit-il.
Il m’aida à me relever en m’attrapant sous les aisselles délicatement et une fois sur le canapé, il m’écarta largement les cuisses, il se mis à genoux entre mes jambes et plongea directement son visage sur mon pubis où sa bouche prit possession de ma fente. Toutes ces minutes passées m’avaient mise en émoi, je mouillais comme une ado : « Dis-moi, t’es toute trempée déjà, t’as vraiment envie de baiser. »
Ce livreur n’était pas génial, il se servait plus de son nez que de sa langue et bien trop peu de ses doigts à mon goût. Toutefois il sut avec difficulté peut-être, me faire jouir. Cet homme bandait déjà comme un âne, il se coucha sur moi. Il guida sa queue entre mes grandes lèvres et rentra facilement dans mon vagin qui mouillait toujours. Là encore, il ne fut pas très performant, après avoir limer comme un lapin, il éjacula dans le latex après seulement cinq minutes. Ce jour-là, je dus me finir au vibro devant lui. Roger était un peu vexé en me voyant faire. Mais il retrouva vite le sourire lorsqu’il me vit jouir. Avant de le laisser partir, je m’étais amusée d’exiger de sa part qu’il ramasse et charge tous les cartons d’emballage. « Une vraie petite salope. » Avait-il dû se dire.

Enfin, je parvenais tout de même à trouver sur Aix mes amants que je conservais pendant plusieurs mois. J’aimais le changement, j’alternais entre deux par semaines. Lorsque je sentais une certaine lassitude, je changeais de partenaire et j’allais à la chasse en ville. Ayant perdu d’un seul coup mes deux mecs, me retrouvant seule pendant plusieurs jours, il devenait urgent pour moi de chasser. Une semaine et demi sans contact physique, en avril 1989 avec le soleil qui avait réchauffé l’atmosphère, il était temps pour moi de faire une petite virée au parc au centre-ville d’Aix.

Ayant la petite dans la poussette, il était assez difficile pour moi de chasser, mais ce jour-là je n’avais pas pu faire autrement que de l’amener avec moi. Ce lieu était prisé des amoureux, mais je savais que certaines personnes en manque d’affection s’y baladaient pour y faire des rencontres et plus si affinité. Je déambulais dans les allées au milieu des promeneurs à la recherche d’un homme seul, à mon goût. Il était 15 heures, perdue dans mes pensées, je m’aperçus qu’un type assis sur un banc à une vingtaine de mètres de moi, regardait dans ma direction.

Était-il à la chasse lui aussi ? À cet instant je ne pouvais pas encore juger de son physique. Par contre je pris une allure un peu plus chaloupée pour m’avancer vers lui. Plus je me rapprochais, plus je réalisais qu’il ne se contentait pas de me dévisager, il me scrutait de la tête aux pieds. J’avais attendu d’être à quelques mètres de lui, pour tourner seulement la tête vers lui en le fixant dans les yeux un instant. Ce type était bien à mon goût, un peu plus de quarante-cinq ans suffisamment en forme, sans réel embonpoint et un visage rond avec très peu de cheveux mais très souriant.

Arrivée à sa hauteur, il planta son regard dans le mien et me sourit franchement, il dégageait une certaine douceur, il était assez mignon, à vrai dire. Ne désirant pas être trop directe, je continuai mon chemin. Je sentais son regard posé sur mon dos, sans doute sur mes fesses charnues dans ma robe d’été courte et moulante. Cependant, l’intéressais-je avec un bébé dans la poussette ? Pour le savoir, je ralentis un peu et j’attendais qu’il se lève pour me suivre. Cependant ne l’ayant pas fait, et surtout afin de ne pas perdre une telle occasion, je fis demi-tour puis m’approchai de lui en lui demandant si je pouvais me reposer un instant à ses côtés.

Ayant pris ma petite dans mes bras, nous avions bavardé sur le sujet des enfants, lui était marié et en avait deux de 13 et 15 ans. Puis ce fut la conversation habituelle des hommes qui désirent séduire : je me sens seul depuis que ma femme ceci, ma femme cela et bla-bla-bla. En définitive, c’était exactement ce que je recherchais, un homme n’étant pas libre mais disponible de temps en temps. Je m’étais insensiblement rapprochée peu à peu de lui. Mon bras se collait au sien, sa main frôlait la mienne et ma cuisse s’était plaquée contre la sienne, il n’y avait aucun doute un réel rapprochement s’opérait. Si j’étais toute chose, Je savais également que je commençais à lui faire de l’effet :
« Comme je vous entends parler, vous me donnez l’impression que vous êtes prêt à être infidèle. Tromperiez-vous votre épouse Jean-Jacques ? » Lui demandais-je avec l’espoir qu’il me réponde oui : « Avec vous Josiane, cela serait un réel plaisir. » Machinalement, en baissant les yeux, en entendant cela, je vis au niveau de son entrejambe, la belle bosse que formait son sexe tellement dur et tendu et la tache où son gland était positionné. Je réalisai alors qu’il était un peu gêné que je m’en aperçoive, je pris les devants et lui dis : « Oui ! Je vois ça ! Nous devrions nous tutoyer, si tu es d’accord ? » En me répondant dans l’affirmative, je pris un kleenex et pinçai sa verge au niveau de la tâche afin d’absorber le liquide qui suintait.

Je m’étais légèrement tournée vers lui et me penchai comme j’avais pu et lui fis un gros bisou sur la joue avant de lui dire dans l’oreille : « Ce n’est pas grave, moi aussi je mouille. » Rassuré il me sourit et me rendit ma bise. J’avais très souvent le même problème avec les mecs que je rencontrais au hasard de la vie, ce fut la raison pour laquelle je lui avais avoué tout de suite que vu mon insatiable appétit pour le sexe, je déstabilisais certains de mes amants et dans certains cas, me prenant pour une salope, je les perdais : « Tu me plais vraiment Josiane, où habites-tu ? » Me demanda-t-il : « Au hameau du moulin à vent, tu as le temps ? Tu me suis ? ».

Ce fut comme cela que quarante minutes plus tard, il garait sa voiture dans l’allée de ma maison. Ce jour-là, en arrivant, j’avais déposé ma petite chez Joceline, celle-ci l’attendait déjà sur le perron de sa villa. Chez-moi, à aucun moment, je n’avais senti Jean-Jacques désemparé. Pourtant, une fois la porte de la chambre fermée, je lui avais sauté dessus et nous nous étions dévêtus en jetant nos vêtements ici et là. Je l’avais poussé sur le lit et m’étais jetée sur sa magnifique queue pour lui sucer. Elle n’était ni trop grosse, ni trop longue, elle était parfaite, avec ses 17 cm je l’avais tout suite adorée. Très vite nous nous étions retrouvés dans un 69, lui allongé sur le lit, moi tête bêche au-dessus, lui offrant ma chatte déjà très humide.

Il me léchait avec le plat de sa langue et la pénétrait de temps en temps dans ma fente, sans oublier de sucer mon petit bouton gonflé de désir. Ma mouille coulait sans discontinuité sur ses lèvres, ses doigts agiles jouaient délicieusement avec mon anus palpitant de bonheur. Lorsque son majeur avait entièrement disparu dans les profondeurs de mon rectum, et que ses lèvres aspirèrent énergiquement mon clitoris, je me laissai emporter par un orgasme fulgurant, je dus stopper la fellation que je lui prodiguais avec une grande application. Mon corps tout entier était pris de spasmes et ma liqueur intime inonda son visage tout entier.

Jean-Jacques buvait ma jouissance, je m’étais remise à m’activer sur sa queue. Mais cette fois, ayant mouillé mes doigts de ma mouille, je lui avais enfoncé moi aussi un doigt dans sa petite rondelle étoilée. À cet instant, il ne pouvait pas résister bien longtemps, avant qu’il n’éjacule, je ressortis mon index de son anus puis je ressortis sa queue de ma bouche, en l’implorant : « Baise-moi Jean-Jacques ! Je n’en peux plus. » Me voyant faire, il avait tout de suite compris, il resta en place en maintenant sa verge bien à la verticale afin que je puisse m’empaler.

Telle une amazone morte de faim, je montais et descendais sur sa queue bandante prête à exploser, le chevauchant comme un étalon, faisant claquer mes fesses contre ses cuisses. Fichée par ma chatte, sur son pieu de chair, j’étais penchée en arrière, bouche ouverte, empoignant mes seins en le regardant droit dans les yeux, en véritable Dominatrice ! Je le baisais et il subissait mes assauts. Nous avions joui après une chevauchée fantastique qui dura bien, un bon quart d’heure. Je regrettais ne pas avoir reçu son foutre au fond de mon vagin, ni sur mon corps. Pris de cours, il s’était vidé hélas trop vite dans son préservatif. Quelques semaines plus tard, nous nous en passions.

À partir de ce jour, Jean-Jacques, venait me rendre visite tous les lundis et vendredi de 17 h 15 à 18 h 45 principalement pour baiser. En effet, cet instituteur fut pour moi un amant dont je n’avais pas voulu me séparer. Il avait très vite compris mes désirs et sans lui mettre la pression, il avait su gérer mes envies, mes pulsions et mes excitations, en me procurant tout le plaisir dont j’avais besoin. Le mercredi après-midi de 13 à 18 H 30, nous le passions ensemble, ces jours-là n’étaient pas réservés qu’au sexe, si nous prenions du plaisir, nous prenions le temps de nous balader, de nous amuser, je l’avais même présenté à Gisèle et Joceline.

Si deux ans après mon accouchement, j’avais récupéré ma silhouette d’antan, je me plaignais de ma poitrine qui avait pris du volume (90 C) et mes seins n’étant plus aussi fermes qu’avant, je devais dorénavant porter un soutien-gorge. Selon mes amis et admirateurs, dont François et Pierrot, cela me rendait encore plus désirable dans mes décolletés affriolants et rendait mon physique plus sexy et plus agréable à regarder. Cela ne gênait pas non plus mes amants lorsqu’ils me voyaient en sous-vêtements. Depuis, m’y étant habitée, je ne me faisais plus de complexe.

Pendant les congés d’été 1990, j’étais allée chez ma mère qui attendait avec impatience, d’avoir dans ses bras sa petite fille Mary. J’en avais profité pour rencontrer toute la famille par la même occasion. Ayant sous la main une nounou idéale à qui je pouvais faire confiance, cela m’avait permis de sortir sans me préoccuper de ma petite. Comme j’avais promis à Françoise, j’étais venue au « Josy-Club, seulement en plein mois d’août, les habitués étant en congé, je n’avais pu voir toutes mes vieilles connaissances.

Ce qui ne m’avais pas empêché de jouir tous les soirs avec certains des nombreux touristes venus pour l’occasion. Nous avions avec Françoise revêtu notre costume de salope, un soir, nous avions mis trois hommes dans notre lit et ils avaient eu quelques difficultés à nous satisfaire tellement nous étions chaudes bouillantes, alors qu’en général, nous en choisissions qu’un seul voire deux. Elle me laissait baisé dans le box privé dans la soirée avant que nous retrouvions un type avant de partir pour finir la nuit. Pendant les quinze jours passé là-bas, j’avais baisé presqu’avec autant d’amants que pendant six mois chez-moi au « Moulin à vent ». Je m’étais totalement libérée et je fus rassasiée de sexe.

La suite de l’histoire samedi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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