« Josy » se fait sodomiser comme une petite salope. Épisode 36

- Par l'auteur HDS Perruche -
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Auteur homme.
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Récit libertin : « Josy » se fait sodomiser comme une petite salope. Épisode 36 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » se fait sodomiser comme une petite salope. Épisode 36
Le vendredi 19 octobre 90, au réveil après ma courte nuit, j’étais épanouie et heureuse, je le regardais dormir puis je lui déposais des bises sur torse. Lorsqu’il se réveilla, il m’embrassa tendrement et prit un ton sévère : « Josy, je dois t’avouer quelque chose car je ne voudrais pas te mentir et te perdre. » Il m’expliqua qu’il ne m’avait pas dit toute la vérité sur son métier. Il était un simple serveur et venait malheureusement de perdre son emploi. Puis il enchaîna sur ses amours ratés et de sa récente rupture il y a un an, qui l’avait fait vraiment souffrir. Il n’avait plus un sou pour se loger et qu’il fut donc obligé de revenir au camping de M et Mme Y, où il espérait retrouver une vie normale.

Je pris sa main dans la sienne, j’étais touchée par la malchance qui s’acharnait sur lui. Je serais bien restée au lit comme il me demandait mais je devais absolument rentrer pour les funérailles. Thierry me manquait déjà. Pendant toute la matinée, je n’avais cessé de penser à lui, même lors de l’enterrement de Jean-Lou. Comme je l’avais pensé, Maitre K m’invita au pot d’adieu où je ne m’étais pas sentie à mon aise. Ayant mangé plusieurs petits fours, je n’avais pas déjeuner et j’étais rentrée directement chez ma mère pour me changer. Je ne voulais surtout pas manquer mon rendez-vous avec Thierry pour tout l’or du monde.

Après m’être préparée simplement, j’étais allée à quinze heures pile au camping. Ce fut pour moi un des plus beaux moments de ma vie. Je ne suis pas près d’oublier cette ballade main dans la main le long de Drèze, où nous avions fait l’amour en pleine nature avant d’aller diner, où là encore il m’avait fait monter au 7e ciel dans les toilettes du restaurant. Sans oublier la nuit d’amour passée dans ses bras. Thierry était un expert en la matière, il me faisait jouir plusieurs fois en une demi-heure de temps, j’étais aux anges. Malheureusement, il était temps pour moi de rentrer à la maison, cependant ne voulant pas me quitter trop tôt, il me proposa de rester tout le week-end.

Moi aussi, je désirais prolonger mon séjour dans ses bras, seulement j’avais ma fille Mary et je ne voulais pas encore lui dire. J’avais téléphoné à Gisèle afin qu’elle me garde la petite en lui expliquant ce qui m’arrivait : « Je te promets que je rentre lundi en fin de matinée. Je te raconterai tout. » Pour passer ce week-end de rêve, j’avais réservé une suite à l’hôtel du prince, un des plus renommé de la région où nous nous étions complètement libérés, nous étions seuls au monde en amoureux. Ce fut le dimanche soir que je lui avais dit pour la première fois : « Je t’aime. » Il m’avait alors répondu en riant : « Enfin tu me le dis, je croyais que tu ne me le dirais jamais. Moi aussi je t’aime, depuis la première seconde où je t’ai vu sur ce transat. »
Étant sans emploi, j’avais tout fait pour qu’il vienne s’installer à la maison, en lui promettant que je l’aiderai à trouver un emploi et qu’en attendant, je le nourrirai et le logerai. Il était heureux de ma proposition et l’accepta, néanmoins, ayant certaines affaires à régler et notamment de finir son préavis, il m’avait promis de venir chez-moi le dimanche suivant. Après un long baiser d’adieu, je fis la route seule et cela m’attrista beaucoup. Je n’avais qu’une hâte, c’était que la semaine se termine le plus vite possible en pensant à tous ces instants magiques passés avec lui.

Heureusement, ma petite Mary me fit oublier ma peine pendant cette semaine. Bien entendu, j’avais, parlé de mon magnifique séjour passé avec Thierry, à mes deux amies et néanmoins voisines. Gisèle et Joceline étaient heureuses pour moi, lorsque je leur avais avoué : « Un vrai coup de foudre. J’ai enfin trouvé l’amour avec l’homme de ma vie. Il m’aime, vous verrez il est formidable. » Le lundi après-midi, Daniel le notaire me téléphona pour m’indiquer qu’une très bonne affaire dans l’immobilier était à faire à 50 minutes de chez-moi et me demanda d’y passer.

N’ayant pas envie de baiser avec Jean-Jacques, cela tombait bien, je l’avais appelé pour annuler tous les rendez-vous de la semaine. En effet, depuis un an et demi, les lundis, mercredis et vendredis, mon amant venait chez moi pour qu’ensemble nous prenions du plaisir. Avec sa barre de chair de 17 cm à ma disposition, je n’avais plus à chasser des inconnus au hasard de la vie, d’autant plus que je couchais une fois par mois, avec François le mari de mon amie Gisèle qui elle, baisait avec mon demi-frère ces nuits-là. Maintenant que j’allais vivre avec Thierry, j’avais pris la sage décision de ne plus prendre aucun amant et de ranger définitivement mon costume de petite salope. (C’est vrai je l’avais déjà dit et je ne m’en étais pas tenu.)
Une heure plus tard, j’étais à Salon de Provence au rendez-vous avec Daniel et les propriétaires. Cet hôtel était situé au cœur de la Provence, la destination préférée des touristes dans le Sud de la France. Idéalement accessible par l'autoroute, à de la sortie de cavaillon. C’était le calme et la détente assurée, un havre de paix, où il y avait 300 jours d'ensoleillement par an. Cet hôtel rustique non rénové aux exigences actuelles, possédait une vingtaine de chambres mais décorer. Il était prévu qu’elles soient équipées, de TV et de tout le confort. Cet établissement possédait un grand parking privé, un bar, restaurant, boulodrome, jardin. Il demandait toutefois à être réhabilité au goût du moment et une piscine était indispensable.

J’avais personnellement adoré cet endroit, qui semblait apporter un sentiment de liberté et de détente. À une époque, j’envisageais de tenir un hôtel de charme. En interrogeant des clients, ceux-ci s’y étaient reposés et avaient retrouvé leur petite vie amoureuse. Ils avaient vraiment profité de leur séjour, ils étaient aux anges. Les propriétaires désirant prendre leur retraite, s’en séparaient, seulement le prix de vente annoncé me semblait assez élevé, cependant, pas aux yeux du notaire. Je le chargeai donc de se renseigner et de me tenir au courant.

Plus je réfléchissais, plus je me disais qu’à quarante ans, je devais avoir une vie active, il était vrai que si ma vie sexuelle telle que je la vivais auparavant s’arrêtait, j’allais m’ennuyer dans cette grande maison. J’étais descendu à Salon de P tous les jours de la semaine, et je m’imaginais cet hôtel entièrement rénové, les clients barbotant dans la piscine pendant que les autres étaient au bar et Thierry en maitre d’hôtel au restaurant. J’avais donc pris ma décision, j’allais avec l’argent de l’héritage acheté cet hôtel de charme après que Daniel ait négocié les prix.

Cette semaine était passée relativement vite avec mon projet. J’avais même fait passer une offre d’emploi recherchant une jeune fille pouvant faire mon ménage et me garder ma petite pendant que je surveillerais les travaux. Toutefois mes pensées pour Thierry commençaient à me tarauder l’esprit, il me manquait. Le dimanche soir au diner, je n’avais toujours pas de nouvelle. Le lundi midi je m’inquiétais, j’avais attendu son appel en lui cherchant des excuses : « Il doit travailler, il m’appellera demain. » J’avais un problème, n’ayant pas le nom du restaurant où il faisait son préavis, je ne pouvais pas le joindre.

Dans l’après-midi, je venais de coucher la petite après son gouter, n’ayant toujours pas reçu d’appel de Thierry, je m’apprêtais à aller chez Joceline quand soudain je pensai à Jean-Jacques, je l’avais complètement oublié. Si j’étais bien avec lui, je n’étais pas du tout amoureuse, c’était un bon ami et il savait me satisfaire sexuellement. Depuis quelques temps, mon amant régulier devenait trop affectueux, j’avais peur qu’il s’attache à moi. En pensant à lui, après huit jours d’abstinence le sexe me manquait aussi. Avec ces événements, je ne m’étais même pas masturbée de la semaine et depuis la nuit passée avec Thierry, je n’avais pris aucun plaisir sexuel. J’eus subitement soif de jouir dans les bras de mon amant.

Pour parler plus crument, j’avais envie de baiser et en pensant à Marius, plutôt l’envie d’être sodomiser sauvagement afin de sortir Thierry de ma tête. J’étais tellement impatiente et excitée, que dès l’arrivée de Jean-Jacques, je lui sautai dessus comme une morte de faim. Lui de son côté, en général il bandait déjà quand il franchissait la porte. Nous n’étions donc pas allés dans la chambre. Dans la vaste entrée, je n’avais pas attendu pour lui baisser le pantalon, pour prendre son très beau sexe à pleine bouche pour son plus grand bonheur.

Après ma savante fellation, lorsqu’il fut prêt à éjaculer, je me mis à quatre pattes sur le canapé et lui demandai : « JJ encule-moi s’il te plait. » Ce n’était pas ce qu’il préférait, s’il m’avait bien sodomisée au début quand je lui demandais, depuis six mois nous avions mis au placard cette pratique qu’il n’appréciait guère. Je me rattrapais avec François c’était plutôt sa spécialité. Néanmoins, Jean-Jacques fit de bon cœur ce que je lui demandais mais il était bien trop tendre et respectueux : « Plus fort bon sang ! Vas-y Prends-moi sauvagement. » S’il ne comprenait pas ce qui m’arrivait, cela l’avait terriblement excité, j’avais l’impression que son gland grossissait.

À partir de là, il me sodomisa puissamment comme je le désirais tout en m’insultant comme je lui expliquais : « Tu aimes que je t’encule petite salope ! Tiens prends ça. ». Puis il se vida allégrement de tout son sperme dans mon rectum, pendant mon orgasme. Tout ceci s’était passé très vite et ce fut torride comme j’aimais, nous n’avions qu’une heure un quart, mais n’ayant pas baisé sa femme du week-end. Rapidement, il reprit de la vigueur dans une fellation en gorge profonde dont j’étais une experte en la matière.

Pendant ce temps, il me fit prendre du plaisir en me suçant la chatte dans notre position favorite le 69. Là encore, je ne l’autorisai pas de me prendre par devant, il m’encula de nouveau de la même façon avec force et détermination. Au moment de me quitter, il n’avait pas osé me demander ce qu’il m’arrivait mais j’avais senti chez-lui une légère frustration. Nous nous étions embrassés et avant qu’il monte dans sa voiture, il me demanda : « Tu veux vraiment que je passe mercredi ? » J’avais compris que, ce qu’il venait de me faire n’était pas dans sa nature et ne sachant pas où j’en étais moi-même, je lui répondis : « Tu as raison JJ, téléphone moi lundi prochain. »
Après toute une soirée supplémentaire à attendre que Thierry se décide enfin à me contacter, je pris le taureau par les cornes. Dès le mardi matin, en regardant sur le bottin le nombre restaurants dans cette ville était bien trop important pour que je recherche au hasard. J’étais bien obligée d’attendre son appel. À partir de cet instant, le doute s’installa : « Désirait-il vraiment me revoir ? M’avait-il menti ? L’après-midi passée avec Joceline dans les boutiques, m’avait changé les idées mais le soir en rentrant, je n’avais toujours pas de message et je m’étais couchée encore avec les larmes plein les yeux, je ne pouvais pas croire qu’il n’avait aucun de sentiment pour moi.

Le mercredi matin de bonne heure, il me vint une idée, si je ne pouvais le joindre directement, peut-être que les propriétaires du camping savaient où se trouvait leur protégé. Là encore, ce fut un nouvel échec, cette vielle dame m’avait expliqué que Thierry était parti la semaine dernière et qu’elle n’avait pas eu de ses nouvelles non plus. Puis elle me donna le N° de son dernier employeur. Lorsque je l’avais contacté, l’homme que j’avais eu au téléphone était assez mécontent. Thierry avait complètement disparu de la circulation depuis un mois, sans laisser d’adresse.

Ne pouvant rien faire d’autre, je m’étais résignée et j’abandonnai mes recherches. Depuis ce jour, je n’avais plus aucun d’entrain, je n’avais pas faim et j’avais des troubles du sommeil, je savais intérieurement qu’il m’aimait et je craignais pour sa santé, sans jamais penser qu’il ait pu me jeter comme une vielle chaussette : « Que lui était-il arrivé ? » Demandais à mes amies : « Rien ! Il ne veut pas de toi simplement. Oublie ce type Josy tu te fais du mal. ». Me répondit franchement Joceline. Quant à Gisèle, elle fut beaucoup plus optimiste que notre voisine, celle-ci me réconforta en me disant : « Thierry a probablement un problème de boulot et ne voulait pas que tu le saches. Ne t’inquiète donc pas, si tu lui plais comme tu nous l’as dit, il va appeler dès que cela ira mieux pour lui. Soit patiente ma chérie. »
Même si je conservais toujours un petit espoir au fond de mon cœur, je m’étais fait une raison, je ne reverrais pas Thierry de sitôt et je ne devais pas me morfondre comme me l’avait si bien conseillé Joceline ce dimanche. Le lundi matin, Jean-Jacques ne m’avait pas appelé malgré qu’il me l’ait promis et n’était pas passé à 17 heures non plus, comme à son habitude. Me retrouvant seule, j’avais envie d’être consolée dans ses bras, il me manqua car il avait toujours le bon mot pour me faire rire ou au moins sourire, dès que j’avais le cafard.

Il fallait que je sorte, j’emmenai Mary chez Gisèle qui me la garda afin que je puisse me rendre en ville. Je désirais me rendre à la « Brasserie du Coin » où nous allions certains midis lorsque nous étions en ville avec mes deux voisines. Je savais que la cuisine était particulièrement bonne depuis le changement de propriétaire. Guy, le nouveau patron était un ami de Joceline, lorsqu’il m’accueillit il m’avait avertie : « C’est plein ce soir » Il m’expliqua qu’étant donné qu’il avait un séminaire d’entreprise, il était complet à l’intérieur et même sur la terrasse couverte. Après avoir fait le tour du regard, en effet, les huit tables étaient occupées.

Ça m’ennuyait de changer mon plan, le patron me plaisait et j’avais bien l’intention de profiter d’être venue sans mes amies pour le séduire. Soudain un homme seul sur la table du fond, leva son bras en appelant Guy. Celui-ci après quelques secondes revint m’annoncer que si cela ne me dérangeait pas, il pouvait partager sa table avec moi : « Tu le connais ? ». Demandais-je au patron, je n’avais pas envie de m’installer à côté d’un pervers : « Oui, c’est un type bien, il est en pension complète depuis plus de 15 jours et il n’a jamais fait d’histoire. » Cet inconnu avait une quarantaine d’année avec déjà des tempes grisonnantes, propre sur lui et semblait assez sympathique et à mon goût pour une petite soirée.

Je m’étais donc décidée et vint en m’excusant, m’installer à la table de cet homme charmant qui se présenta en se levant de sa chaise et en me tendant la main : « Bonsoir Madame ! Paolo je suis ravi d’être en si bonne compagnie. » Restant assez distante, je me présentai à mon tour puis quand Guy m’amena la carte, mon voisin de table me conseilla « la daube » ce plat mythique de la Provence, en me disant qu’elle était excellente. Paolo était très bavard, il n’avait pas cessé de me raconter sa vie et comment il avait atterri ici. En fait, suite à une séparation douloureuse, voulant fuir sa femme, restée à Nantes, il avait acheté ce tabac-presse dans le quartier.

Pendant qu’il parlait, je sentais son pied toucher le mien à plusieurs reprises, sans que je bouge le mien. Puis parfois, sa main touchait la mienne. Au moment du dessert, il avait enlevé son soulier, nous avions choisi tous les deux, une tropézienne que nous dégustions quand je sentis son pied montant sur l’intérieur de ma jambe, là encore, je n’avais pas esquissé de refus, j’avais même écarté les jambes et bientôt, son pied sous la nappe se trouvait désormais entre mes cuisses ses orteils me caressaient le pubis. À ce moment, il me faisait beaucoup d’effet, je mouillais terriblement. Mais je n’avais pas envie d’amener ce type à la maison :
— C’est super ! Je vais aux toilettes si cela vous enchante !
— Je vous y accompagne. Me dit-il en se penchant vers moi.
Je n’avais pas attendu, je m’y étais dirigée immédiatement et comme il n’avait pas refusé ma proposition, en attendant, j’avais retiré mon string et me caressais, j’étais chaude comme de la braise. Paolo m’avait rejoint un peu plus tard. Dès qu’il avait franchi la porte, je le tirai par le bras pour nous enfermer dans la cabine. Je n’eus pas besoin de le sucer, il bandait fortement lorsqu’il s’équipa de latex. Penchée sur la cuvette du WC, je lui demandai de me sodomiser comme une petite salope.

Il cracha sur ma raie et me doigta quelques secondes puis me lécha la rondelle avant d’enfiler un deuxième doigt, avant de me pénétrer. Je m’étais retenue de crier tellement son pénis était large mais très vite, mon anus dilaté avala entièrement sa grosse queue. Paolo tel un ours, m’agrippait par les hanches et me défonçait littéralement. Ses coups de boutoir étaient si puissants, que tout mon corps basculait vers l’avant, ma tête était à la limite de cogner contre le mur du fond à chaque coup de rein. Je pris mon orgasme en premier, libérant une grande quantité de jouissance. Il retira sa capote et en se branlant, m’expédia par longues saccades son sperme sur les fesses.

Nous nous étions retrouvés à notre table, la mine réjouie mais sans que personne ne se doute, de ce que l’on venait de faire aux sanitaires. Il paya l’addition et nous nous étions promis de nous revoir dès que nous serions disponibles. Dès que j’étais rentrée, je regrettais déjà, j’appréhendais de redevenir cette petite salope que j’étais auparavant. Pourtant, je m’étais promise de ne plus coucher avec des inconnus. Je désirais avant tout être lavée de toute ma perversion avant que je retrouve Thierry car je me doutais qu’il allait bientôt me revenir, c’était pour moi comme une évidence.


La suite de l’histoire samedi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Josiane, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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