« Josy » : Suite au chantage, le piège se referme. Épisode 15
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Josy » : Suite au chantage, le piège se referme. Épisode 15
Avec mon amie Françoise, nous avions, pendant le reste de la semaine, peaufiné notre plan. Le dimanche après-midi, M. Jean était bien venu à la guinguette mais à notre grande surprise, il était accompagné de son épouse. En arrivant, après m’avoir saluée et présentée à sa femme, ils s’étaient installés à une table, j’avais demandé à Monique de leur offrir un verre et comme il ne pouvait pas me parler en privé, j’étais repartie à mes occupations. Simone n’était pas très souriante, malgré le prix exorbitant de sa jolie robe, elle n’était pas plus élégante pour autant. Sa poitrine bien trop forte et ses grosses fesses, semblaient vouloir craquer le tissu de son beau vêtement.
En les regardant danser, ces deux personnages, proches du quintal semblaient voler sur la piste. Ils paraissaient aussi légers qu’une plume en valsant. À n’en pas douter, ils aimaient danser et savaient parfaitement le faire. Ce ne fut qu’une heure plus tard, pour savoir si son épouse était aussi jalouse que Françoise l’avait annoncé, j’étais venue inviter M. Jean à danser un slow avec moi. Simone ne nous avait pas quitté des yeux, je me collais légèrement contre son mari qui était aux anges. J’avais tout fait pour attirer l’attention de cette femme et j’y étais parvenue.
En effet, elle n’avait pas attendu, juste avant la troisième chanson, elle était venue, en pinçant les lèvres, chercher fermement son mari afin de finir la série de slow dans ses bras. Je m’étais effacée gentiment, j’avais rempli mon rôle car pendant six minutes, nous avions pu discuter de la marche à suivre. Ne désirant pas me faire remarquer avec lui à l’hôtel, je lui avais donc proposé de venir chez-moi le lendemain soir, le jour de la fermeture. Il était heureux que j’accepte aussi facilement sa proposition indécente, cependant afin de lui montrer que je le faisais uniquement pour une seule et bonne raison, je lui dis :— Je ferai tout ce que vous voudrez mais vous me signerez un papier comme quoi ce ne sera qu’une fois.
Il n’avait pas refusé, il savait comme moi que ce document n’avait aucune valeur, mais cela lui démontrait que je me sentais prise au piège, il n’avait donc pas imaginé un seul instant, à celui que je m’apprêtais à lui tendre. Lorsque ce couple avait quitté « La Grange à Josy » vers 19 heures, j’étais allée vers eux les saluer, en conservant un petit moment la main de mon hôte dans les miennes, bien trop longtemps au gout de son épouse puis je les avais remerciés de leur venue. Si M. Jean était parti avec un sourire lui fendant le visage, Simone m’avait littéralement fusillé du regard, elle m’en voulait mais également à son époux. Je l’entendais encore lui crier dessus, lorsqu’il se dirigeaient vers le parking.
Je n’avais plus aucun doute, cette femme était directive et jalouse comme un pou. Cette nuit-là, en faisant l’amour à mon homme, moi qui étais toujours disposée à le faire et qui jouissais plus que de raison, pensant trop à ce gros pervers, je n’étais pas parvenue à satisfaire pleinement Jean-Lou qui me croyait malade : « Qu’y a-t-il Josy ? Tu as de la fièvre ? Je te sens ailleurs depuis quelques temps. » Je m’étais blottie au creux de son épaule après l’avoir embrassé mais j’eu quelques difficultés à m’endormir. J’avais hâte dans finir avec le maitre chanteur.
La première partie de mon plan, élaboré en collaboration avec mon amie Françoise, était de le faire prendre une douche. J’avais deux raisons pour le faire. Primo, je ne supportais pas l’odeur forte qu’il dégageait car cet homme en surpoids transpirait beaucoup et je ne serais jamais parvenue à l’approcher même pour lui faire une pipe. Secundo, je devais, pendant son absence dans la chambre d’amis, verser dans son verre, la moitié du puissant somnifère. Pour cela, j’avais simulé dans la semaine quelques insomnies, probablement dues au stress occasionné par mon affaire. Ce fut avec difficulté que Jean-Charles m’en avait prescrit.
Le lundi-soir, à 18 heures, M. Jean arriva toujours avec son plus beau sourire. Il s’était mis sur son trente et un pour me rendre visite, ce n’était pas pour cela qu’il était plus beau et malgré son parfum bon marché, il sentait toujours autant. Pour ma part, une demi-heure avant son arrivée, j’avais pris ma douche et je l’avais reçu nue sous mon peignoir éponge, j’avais tiré et coiffé mes cheveux encore humides en queue de cheval. Je l’avais invité à s’assoir sur le pied du lit et lui servis un Bourbon qu’il accepta puis nous avions commencé à parler.
Assise à côté de lui, je posai ma main sur sa cuisse, il n’avait pas attendu pour glisser la sienne sous le tissu éponge afin de me flatter ma belle poitrine, ferme à souhait. Bien entendu, je me laissais faire, j’aimais cela et ça lui permettait de s’exciter un peu, c’était le but. Pendant qu’il me titillait les tétons, j’avais une question qui me brûlait les lèvres, je ne comprenais pas pourquoi, sa femme si méfiante le laissait sortir toute une nuit : « C’est vrai, ma femme est très jalouse, j’ai du mal à la supporter aujourd’hui. »
Puis il continua son explication. Sa belle-mère n’avait jamais pu le voir en peinture. Aujourd’hui veuve et malade, lorsque Simone lui rend visite dans la région parisienne, une fois par mois, cela lui laisse la liberté de sortir. Ayant répondu à ma question, en passant ma main un peu plus haut sur son entrejambe, il m’avait semblé sentir son érection. Irène ne s’était pas trompée de ce côté-là. Si son sexe était très dur, il ne devait pas être bien impressionnant. Ce fut le moment que je choisis pour l’inviter à prendre une douche :— Vous savez, je suis une grande malade de la propreté, je ne pourrais pas baiser sinon. Venez ! Je vous emmène à la salle de bain. Lui proposais-je en le tirant par la main.
Pendant qu’il se dévêtit, j’avais rechargé son verre, vidé la poudre du somnifère que je fis dissoudre. Puis j’avais tellement soif que je vidai mon verre de soda d’un seul trait, c’était probablement le stress. La salle d’eau étant attenante à la chambre, j’écoutais où il en était. Lorsque M. Jean finissait de se rincer, je retirai mon peignoir et je m’étais glissé entre ses jambes. J’avais répondu à Françoise lorsqu’elle m’avait demandé jusqu’où j’étais prête à aller avec lui : « Oui ! Une pipe pas de problème, uniquement s’il est propre. »
Ce soir, c’était le cas, debout dans la douche, encore tout mouillé, me voyant nue, ma tête entre ses cuisses, M. Jean était heureux comme un gosse, sa petite verge était à l’horizontale, je m’étais retenue de rire et je l’avalai d’un seul coup. Il n’avait pas trainé de me tenir la tête, ce n’était pas difficile pour moi de le prendre en gorge profonde. Ça devait lui plaire car il poussait des rugissements puissants. Je m’appliquais avec ma langue sur son gland et je l’astiquais avant de l’avaler de nouveau.
J’aimais faire des fellations, jusqu’à l’éjaculation, mes maxillaires fonctionnaient à merveille, j’aspirais, léchais, suçais, avalais mais ce que je ne désirais pas, c’était de lui donner le bonheur de se vider dans ma bouche, il ne le méritait pas. Je m’appliquais depuis près de dix minutes, il adorait ça et se retenait au maximum afin de faire durer le plaisir. Je savais aux sons de sa gorge qu’il ne pourrait bientôt plus s’opposer à la nature. Je profitai de l’instant où je lui léchais le gland pour me relever dans une position où ne pouvait pas m’arroser.
D’une main ferme je le branlais énergiquement pendant que de l’autre, je lui malaxais les couilles pleines. Appuyé le dos et ses grosses fesses contre le mur carrelé de la douche, il grognait de plaisir lorsqu’il éjacula. Je n’en revenais pas, surprise de la quantité de semence que pouvait jaillir d’une si petite bite. Toutefois, ses jets n’étaient pas très puissants, son sperme s’écoulait de son gland sans discontinuité pour finir dans le bac à douche : « Bon ! Je vous laisse finir de vous laver le zizi. »
Afin de finir de le mettre en confiance, je lui tendis son verre en le félicitant. Après toutes les petites phrases très salaces mais gentilles qu’il m’avait dites sous la douche, je l’avais remercié : « Je suis très fière d’avoir vu un homme, me prouvant toute son excitation, par la quantité de sperme que vous avez éjaculé, à mon intention. C’est énorme ! » Il trinqua et bu son verre de Bourbon. Connaissant par Irène, sa gourmandise, je lui demandai de s’allonger sur le lit : « J’espère que vous donnerez à mon tour du plaisir. En attendant que vous repreniez des forces, je vais vous chercher une part de pâtisserie. »
J’étais allée à la cuisine prendre une part de flan mais surtout pour retrouver Françoise qui m’attendait avec impatience. J’enfilai la perruque de cheveux mi long, d’un blond platine, en commençant par le front et en allant jusqu’à ma nuque. Une fois prête, mon amie testa son appareil photo puis nous étions remontées. Selon Jean-Charles « mon beau-père », le docteur, ce médicament agissait très vite mais devait être pris en petite dose. En ayant utilisé que la moitié d’une gélule, M. Jean devait déjà s’assoupir et dormirait profondément pendant plus de quatre heures et il était déjà 18h45.
J’étais rentrée seule dans la chambre, apportant avec moi l’assiette de pâtisserie. Mon maitre chanteur était allongé nu, à plat dos sur le lit, les bras en croix. S’il était toujours conscient, il commençait à bafouer et à se sentir mal. Il n’avait pas fallu longtemps à attendre, quelques secondes plus tard, lorsqu’il dormait profondément, Françoise en rentrant à son tour, en voyant son petit pénis recroquevillé, ne dépassant pas les poils de son pubis, s’était mise à rire. Pressée d’en finir, j’enlevai mon peignoir et m’allongeai nue, à plat ventre contre lui.
Mon amie me guida, il me fit mettre mon front sur son bras, mes fesses bien en vue et me demanda de poser ma main sur sous son gros ventre, juste au-dessus de son pubis poilu :— Tourne-toi un tout petit peu sur la gauche, il faut que je vois un peu ton sein droit. Voilà Parfait ! Si toi nous ne pouvons pas te reconnaitre, lui ce n’est pas le cas. Il ne fait aucun doute, ton M. Jean est bien couché à côté d’une jolie jeune fille. Attends ! Une dernière. Prends sa petite bite entre le bout de tes deux doigts.
Le tour était joué, Françoise pris trois photos polaroid et les inspecta à la loupe : « C’est parfait ma chérie ! Tu peux te lever, il ne nous reste plus qu’à attendre qu’il se réveille ce gros salaud. » J’avais retiré ma perruque et je remis mon peignoir. Je remerciai mon amie et pensant qu’elle avait sans doute un amant à retrouver, je lui demandai, si elle avait prévu de rentrer tout de suite : « Tu rigoles, si ça ne te dérange pas je passe la nuit chez toi. Je ne vais pas te laisser seule, affronter ce pervers. » la situation m’avait tellement excitée et n’ayant pas pris mon pied, pour passer le temps je lui proposai : « On se fait un petit câlin dans ma chambre ? »— Bien sûr ma chérie mais avant cela, j’ai un peu faim.
Nous étions redescendues dans la cuisine et je lui avais préparé une petite omelette au lard que ma mère faisait souvent au docteur. Nous avions mangé un morceau, pendant que nous nous remémorions toutes nos frasques impudiques vécues ensemble. Puis très excitées toutes les deux, nous étions remontées. En effet, Cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas retrouvées toutes les deux dans le même lit. C’était le plus souvent avec un homme mais il nous était arrivé, au petit matin, quand notre cible nous quittait, de finir la nuit dans une étreinte affectueuse et sensuelle. Ce fut ce que nous avions fait ce soir-là, jusqu’à onze heures.
Nous attendions patiemment à la cuisine, un verre de soda à la main, il était près de onze heures quarante-cinq, quand soudain nous avons perçu du bruit provenant de la chambre et entendu M. Jean pester en regardant probablement le réveil : « Bon Dieu ! Je suis à la bourre. Putain de merde.» Cinq minutes plus tard, il s’était rhabillé et en ne me trouvant pas sur place, il descendit l’escalier en râlant. Il avait envie de me disputer mais s’arrêta net lorsqu’il vit Françoise. D’un ton plus calme il me dit en me regardant : « Que c’est-il passé ? Pourquoi ne m’as-tu pas réveillé ? »— Quand je vous ai amené votre gâteau, vous dormiez déjà comme un bébé. J’ai pensé que je vous avais trop fatigué. Vous voulez votre pâtisserie, elle est au frais ?
— Ne te fous pas de ma gueule salope ! Tu m’as droguée.
Ce fut à cet instant que mon amie avait pris le relais, elle ne mâchait pas ses mots et n’avait pas peur de ce type : « Écoute-bien gros porc, soit poli et signe ce papier immédiatement. » Avait-elle dit en haussant le ton et en lui tendant la lettre où était écrit : Je soussigné M. Jean H certifie que j’ai menti au sujet de Mlle Josiane afin de la forcer à coucher avec moi. Par cette présente, je tiens à m’excuser et je garantis qu’à partir de ce jour, je n’exercerai plus aucune pression, quelles qu’elles soient, à son encontre.
Après avoir lu ce document, M. Jean éleva le ton à son tour en disant : « Vous rigolez ! Vous êtes deux belles salopes, vous allez me le payer. Vous ne pensiez pas que j’allais signer ce torchon ? » Françoise se leva, attrapa une des photos et lui montra : « D’accord ! Dans ce cas, demain ta bonne femme recevra ce polaroid. Tu signes ou pas ? Sache que je suis témoin et que je travaille chez un notaire. » — Oui ! Ça je sais pouffiasse. Passe-moi ton un stylo.
Il était parti très en retard, en colère et la queue entre les jambes, il avait dû recevoir une sacrée réprimande par son épouse, lorsqu’il était rentré chez-lui. Depuis ce jour, je n’avais plus à m’inquiéter de lui. Il avait su se taire car aucune rumeur avait circulé et mis à part pour le travail, il ne me parla plus de cet épisode. Un an plus tard, si la chance m’avait une nouvelle fois souri, ce ne fut malheureusement pas son cas. En juillet 1976, pendant la canicule, il fut terrassé par une crise cardiaque et emporta mon secret dans sa tombe.
Depuis que Marius m’avait laissé me débrouiller seule, à régler le problème avec le brasseur, je ne l’avais pas revu. Il avait bien essayé de venir me rencontrer à la guinguette « La grange à Josy » néanmoins, j’avais toujours refusé de renouer, il m’avait trop déçue pour que je lui pardonne. J’avais définitivement coupé les ponts, malgré le plaisir qu’il m’avait procurée lors de nos parties de sexe torrides. Avec Jean-Lou, c’était toujours la même chanson, j’étais toujours aussi dingue de lui et pourtant même s’il m’aimait en retour, il ne voulait toujours pas que l’on se mette en ménage. C’était la première fois qu’une relation durait aussi longtemps.
Au niveau de ma société, depuis que l’hebdomadaire régional, en début d’année1975, avait parlé à plusieurs reprises de ma guinguette et que FR3 en septembre avait réalisé un long reportage sur moi et mes deux établissements : « Chez Josy » et « La Grange à Josy », j’étais devenue une femme d’affaire reconnue dans la région et cela m’avait fait une pub incroyable et importante pour mes affaires. Mlle Josy, comme on me surnommait à l’époque, gérant seule un restaurant et une guinguette à seulement 25 ans, était l’image de la nouvelle génération, après les événement de 68.
Lors du bilan pour l’année 1975, Michel le comptable qui s’occupait de mon affaire m’annonça de bonne nouvelle. Ma société « Paradis » avait réalisé un bon chiffre d’affaire avec un bénéfice plus important que prévu. Depuis que Simon était en cuisine, le restaurant fonctionnait de mieux en mieux et la guinguette « La Grange à Josy » devenait un lieu de danse incontournable avec ses nombreux fidèles clients. Mon salaire avait augmenté et j’eus droit à des dividendes que j’avais immédiatement placées.
En fin d’année, notre couple n’était pas au mieux, pourtant nous essayions de faire pour le mieux. Avec Jean Lou nous avions pris l’habitude de nous voir presque tous les midis, nous nous appelions au moins une fois par jour mais ne dormant pas à la maison, sauf les deux nuits par semaine où nous baisions. Je sortais donc toujours de mon côté, les mardis et les jeudis soir au « Plazza » avec ma meilleure amie Françoise. Pour nous permettre de nous retrouver, nous avions décidé de prendre une semaine de congé entre les fêtes à Paris.
La suite de l’histoire mercredi. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
En les regardant danser, ces deux personnages, proches du quintal semblaient voler sur la piste. Ils paraissaient aussi légers qu’une plume en valsant. À n’en pas douter, ils aimaient danser et savaient parfaitement le faire. Ce ne fut qu’une heure plus tard, pour savoir si son épouse était aussi jalouse que Françoise l’avait annoncé, j’étais venue inviter M. Jean à danser un slow avec moi. Simone ne nous avait pas quitté des yeux, je me collais légèrement contre son mari qui était aux anges. J’avais tout fait pour attirer l’attention de cette femme et j’y étais parvenue.
En effet, elle n’avait pas attendu, juste avant la troisième chanson, elle était venue, en pinçant les lèvres, chercher fermement son mari afin de finir la série de slow dans ses bras. Je m’étais effacée gentiment, j’avais rempli mon rôle car pendant six minutes, nous avions pu discuter de la marche à suivre. Ne désirant pas me faire remarquer avec lui à l’hôtel, je lui avais donc proposé de venir chez-moi le lendemain soir, le jour de la fermeture. Il était heureux que j’accepte aussi facilement sa proposition indécente, cependant afin de lui montrer que je le faisais uniquement pour une seule et bonne raison, je lui dis :— Je ferai tout ce que vous voudrez mais vous me signerez un papier comme quoi ce ne sera qu’une fois.
Il n’avait pas refusé, il savait comme moi que ce document n’avait aucune valeur, mais cela lui démontrait que je me sentais prise au piège, il n’avait donc pas imaginé un seul instant, à celui que je m’apprêtais à lui tendre. Lorsque ce couple avait quitté « La Grange à Josy » vers 19 heures, j’étais allée vers eux les saluer, en conservant un petit moment la main de mon hôte dans les miennes, bien trop longtemps au gout de son épouse puis je les avais remerciés de leur venue. Si M. Jean était parti avec un sourire lui fendant le visage, Simone m’avait littéralement fusillé du regard, elle m’en voulait mais également à son époux. Je l’entendais encore lui crier dessus, lorsqu’il se dirigeaient vers le parking.
Je n’avais plus aucun doute, cette femme était directive et jalouse comme un pou. Cette nuit-là, en faisant l’amour à mon homme, moi qui étais toujours disposée à le faire et qui jouissais plus que de raison, pensant trop à ce gros pervers, je n’étais pas parvenue à satisfaire pleinement Jean-Lou qui me croyait malade : « Qu’y a-t-il Josy ? Tu as de la fièvre ? Je te sens ailleurs depuis quelques temps. » Je m’étais blottie au creux de son épaule après l’avoir embrassé mais j’eu quelques difficultés à m’endormir. J’avais hâte dans finir avec le maitre chanteur.
La première partie de mon plan, élaboré en collaboration avec mon amie Françoise, était de le faire prendre une douche. J’avais deux raisons pour le faire. Primo, je ne supportais pas l’odeur forte qu’il dégageait car cet homme en surpoids transpirait beaucoup et je ne serais jamais parvenue à l’approcher même pour lui faire une pipe. Secundo, je devais, pendant son absence dans la chambre d’amis, verser dans son verre, la moitié du puissant somnifère. Pour cela, j’avais simulé dans la semaine quelques insomnies, probablement dues au stress occasionné par mon affaire. Ce fut avec difficulté que Jean-Charles m’en avait prescrit.
Le lundi-soir, à 18 heures, M. Jean arriva toujours avec son plus beau sourire. Il s’était mis sur son trente et un pour me rendre visite, ce n’était pas pour cela qu’il était plus beau et malgré son parfum bon marché, il sentait toujours autant. Pour ma part, une demi-heure avant son arrivée, j’avais pris ma douche et je l’avais reçu nue sous mon peignoir éponge, j’avais tiré et coiffé mes cheveux encore humides en queue de cheval. Je l’avais invité à s’assoir sur le pied du lit et lui servis un Bourbon qu’il accepta puis nous avions commencé à parler.
Assise à côté de lui, je posai ma main sur sa cuisse, il n’avait pas attendu pour glisser la sienne sous le tissu éponge afin de me flatter ma belle poitrine, ferme à souhait. Bien entendu, je me laissais faire, j’aimais cela et ça lui permettait de s’exciter un peu, c’était le but. Pendant qu’il me titillait les tétons, j’avais une question qui me brûlait les lèvres, je ne comprenais pas pourquoi, sa femme si méfiante le laissait sortir toute une nuit : « C’est vrai, ma femme est très jalouse, j’ai du mal à la supporter aujourd’hui. »
Puis il continua son explication. Sa belle-mère n’avait jamais pu le voir en peinture. Aujourd’hui veuve et malade, lorsque Simone lui rend visite dans la région parisienne, une fois par mois, cela lui laisse la liberté de sortir. Ayant répondu à ma question, en passant ma main un peu plus haut sur son entrejambe, il m’avait semblé sentir son érection. Irène ne s’était pas trompée de ce côté-là. Si son sexe était très dur, il ne devait pas être bien impressionnant. Ce fut le moment que je choisis pour l’inviter à prendre une douche :— Vous savez, je suis une grande malade de la propreté, je ne pourrais pas baiser sinon. Venez ! Je vous emmène à la salle de bain. Lui proposais-je en le tirant par la main.
Pendant qu’il se dévêtit, j’avais rechargé son verre, vidé la poudre du somnifère que je fis dissoudre. Puis j’avais tellement soif que je vidai mon verre de soda d’un seul trait, c’était probablement le stress. La salle d’eau étant attenante à la chambre, j’écoutais où il en était. Lorsque M. Jean finissait de se rincer, je retirai mon peignoir et je m’étais glissé entre ses jambes. J’avais répondu à Françoise lorsqu’elle m’avait demandé jusqu’où j’étais prête à aller avec lui : « Oui ! Une pipe pas de problème, uniquement s’il est propre. »
Ce soir, c’était le cas, debout dans la douche, encore tout mouillé, me voyant nue, ma tête entre ses cuisses, M. Jean était heureux comme un gosse, sa petite verge était à l’horizontale, je m’étais retenue de rire et je l’avalai d’un seul coup. Il n’avait pas trainé de me tenir la tête, ce n’était pas difficile pour moi de le prendre en gorge profonde. Ça devait lui plaire car il poussait des rugissements puissants. Je m’appliquais avec ma langue sur son gland et je l’astiquais avant de l’avaler de nouveau.
J’aimais faire des fellations, jusqu’à l’éjaculation, mes maxillaires fonctionnaient à merveille, j’aspirais, léchais, suçais, avalais mais ce que je ne désirais pas, c’était de lui donner le bonheur de se vider dans ma bouche, il ne le méritait pas. Je m’appliquais depuis près de dix minutes, il adorait ça et se retenait au maximum afin de faire durer le plaisir. Je savais aux sons de sa gorge qu’il ne pourrait bientôt plus s’opposer à la nature. Je profitai de l’instant où je lui léchais le gland pour me relever dans une position où ne pouvait pas m’arroser.
D’une main ferme je le branlais énergiquement pendant que de l’autre, je lui malaxais les couilles pleines. Appuyé le dos et ses grosses fesses contre le mur carrelé de la douche, il grognait de plaisir lorsqu’il éjacula. Je n’en revenais pas, surprise de la quantité de semence que pouvait jaillir d’une si petite bite. Toutefois, ses jets n’étaient pas très puissants, son sperme s’écoulait de son gland sans discontinuité pour finir dans le bac à douche : « Bon ! Je vous laisse finir de vous laver le zizi. »
Afin de finir de le mettre en confiance, je lui tendis son verre en le félicitant. Après toutes les petites phrases très salaces mais gentilles qu’il m’avait dites sous la douche, je l’avais remercié : « Je suis très fière d’avoir vu un homme, me prouvant toute son excitation, par la quantité de sperme que vous avez éjaculé, à mon intention. C’est énorme ! » Il trinqua et bu son verre de Bourbon. Connaissant par Irène, sa gourmandise, je lui demandai de s’allonger sur le lit : « J’espère que vous donnerez à mon tour du plaisir. En attendant que vous repreniez des forces, je vais vous chercher une part de pâtisserie. »
J’étais allée à la cuisine prendre une part de flan mais surtout pour retrouver Françoise qui m’attendait avec impatience. J’enfilai la perruque de cheveux mi long, d’un blond platine, en commençant par le front et en allant jusqu’à ma nuque. Une fois prête, mon amie testa son appareil photo puis nous étions remontées. Selon Jean-Charles « mon beau-père », le docteur, ce médicament agissait très vite mais devait être pris en petite dose. En ayant utilisé que la moitié d’une gélule, M. Jean devait déjà s’assoupir et dormirait profondément pendant plus de quatre heures et il était déjà 18h45.
J’étais rentrée seule dans la chambre, apportant avec moi l’assiette de pâtisserie. Mon maitre chanteur était allongé nu, à plat dos sur le lit, les bras en croix. S’il était toujours conscient, il commençait à bafouer et à se sentir mal. Il n’avait pas fallu longtemps à attendre, quelques secondes plus tard, lorsqu’il dormait profondément, Françoise en rentrant à son tour, en voyant son petit pénis recroquevillé, ne dépassant pas les poils de son pubis, s’était mise à rire. Pressée d’en finir, j’enlevai mon peignoir et m’allongeai nue, à plat ventre contre lui.
Mon amie me guida, il me fit mettre mon front sur son bras, mes fesses bien en vue et me demanda de poser ma main sur sous son gros ventre, juste au-dessus de son pubis poilu :— Tourne-toi un tout petit peu sur la gauche, il faut que je vois un peu ton sein droit. Voilà Parfait ! Si toi nous ne pouvons pas te reconnaitre, lui ce n’est pas le cas. Il ne fait aucun doute, ton M. Jean est bien couché à côté d’une jolie jeune fille. Attends ! Une dernière. Prends sa petite bite entre le bout de tes deux doigts.
Le tour était joué, Françoise pris trois photos polaroid et les inspecta à la loupe : « C’est parfait ma chérie ! Tu peux te lever, il ne nous reste plus qu’à attendre qu’il se réveille ce gros salaud. » J’avais retiré ma perruque et je remis mon peignoir. Je remerciai mon amie et pensant qu’elle avait sans doute un amant à retrouver, je lui demandai, si elle avait prévu de rentrer tout de suite : « Tu rigoles, si ça ne te dérange pas je passe la nuit chez toi. Je ne vais pas te laisser seule, affronter ce pervers. » la situation m’avait tellement excitée et n’ayant pas pris mon pied, pour passer le temps je lui proposai : « On se fait un petit câlin dans ma chambre ? »— Bien sûr ma chérie mais avant cela, j’ai un peu faim.
Nous étions redescendues dans la cuisine et je lui avais préparé une petite omelette au lard que ma mère faisait souvent au docteur. Nous avions mangé un morceau, pendant que nous nous remémorions toutes nos frasques impudiques vécues ensemble. Puis très excitées toutes les deux, nous étions remontées. En effet, Cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas retrouvées toutes les deux dans le même lit. C’était le plus souvent avec un homme mais il nous était arrivé, au petit matin, quand notre cible nous quittait, de finir la nuit dans une étreinte affectueuse et sensuelle. Ce fut ce que nous avions fait ce soir-là, jusqu’à onze heures.
Nous attendions patiemment à la cuisine, un verre de soda à la main, il était près de onze heures quarante-cinq, quand soudain nous avons perçu du bruit provenant de la chambre et entendu M. Jean pester en regardant probablement le réveil : « Bon Dieu ! Je suis à la bourre. Putain de merde.» Cinq minutes plus tard, il s’était rhabillé et en ne me trouvant pas sur place, il descendit l’escalier en râlant. Il avait envie de me disputer mais s’arrêta net lorsqu’il vit Françoise. D’un ton plus calme il me dit en me regardant : « Que c’est-il passé ? Pourquoi ne m’as-tu pas réveillé ? »— Quand je vous ai amené votre gâteau, vous dormiez déjà comme un bébé. J’ai pensé que je vous avais trop fatigué. Vous voulez votre pâtisserie, elle est au frais ?
— Ne te fous pas de ma gueule salope ! Tu m’as droguée.
Ce fut à cet instant que mon amie avait pris le relais, elle ne mâchait pas ses mots et n’avait pas peur de ce type : « Écoute-bien gros porc, soit poli et signe ce papier immédiatement. » Avait-elle dit en haussant le ton et en lui tendant la lettre où était écrit : Je soussigné M. Jean H certifie que j’ai menti au sujet de Mlle Josiane afin de la forcer à coucher avec moi. Par cette présente, je tiens à m’excuser et je garantis qu’à partir de ce jour, je n’exercerai plus aucune pression, quelles qu’elles soient, à son encontre.
Après avoir lu ce document, M. Jean éleva le ton à son tour en disant : « Vous rigolez ! Vous êtes deux belles salopes, vous allez me le payer. Vous ne pensiez pas que j’allais signer ce torchon ? » Françoise se leva, attrapa une des photos et lui montra : « D’accord ! Dans ce cas, demain ta bonne femme recevra ce polaroid. Tu signes ou pas ? Sache que je suis témoin et que je travaille chez un notaire. » — Oui ! Ça je sais pouffiasse. Passe-moi ton un stylo.
Il était parti très en retard, en colère et la queue entre les jambes, il avait dû recevoir une sacrée réprimande par son épouse, lorsqu’il était rentré chez-lui. Depuis ce jour, je n’avais plus à m’inquiéter de lui. Il avait su se taire car aucune rumeur avait circulé et mis à part pour le travail, il ne me parla plus de cet épisode. Un an plus tard, si la chance m’avait une nouvelle fois souri, ce ne fut malheureusement pas son cas. En juillet 1976, pendant la canicule, il fut terrassé par une crise cardiaque et emporta mon secret dans sa tombe.
Depuis que Marius m’avait laissé me débrouiller seule, à régler le problème avec le brasseur, je ne l’avais pas revu. Il avait bien essayé de venir me rencontrer à la guinguette « La grange à Josy » néanmoins, j’avais toujours refusé de renouer, il m’avait trop déçue pour que je lui pardonne. J’avais définitivement coupé les ponts, malgré le plaisir qu’il m’avait procurée lors de nos parties de sexe torrides. Avec Jean-Lou, c’était toujours la même chanson, j’étais toujours aussi dingue de lui et pourtant même s’il m’aimait en retour, il ne voulait toujours pas que l’on se mette en ménage. C’était la première fois qu’une relation durait aussi longtemps.
Au niveau de ma société, depuis que l’hebdomadaire régional, en début d’année1975, avait parlé à plusieurs reprises de ma guinguette et que FR3 en septembre avait réalisé un long reportage sur moi et mes deux établissements : « Chez Josy » et « La Grange à Josy », j’étais devenue une femme d’affaire reconnue dans la région et cela m’avait fait une pub incroyable et importante pour mes affaires. Mlle Josy, comme on me surnommait à l’époque, gérant seule un restaurant et une guinguette à seulement 25 ans, était l’image de la nouvelle génération, après les événement de 68.
Lors du bilan pour l’année 1975, Michel le comptable qui s’occupait de mon affaire m’annonça de bonne nouvelle. Ma société « Paradis » avait réalisé un bon chiffre d’affaire avec un bénéfice plus important que prévu. Depuis que Simon était en cuisine, le restaurant fonctionnait de mieux en mieux et la guinguette « La Grange à Josy » devenait un lieu de danse incontournable avec ses nombreux fidèles clients. Mon salaire avait augmenté et j’eus droit à des dividendes que j’avais immédiatement placées.
En fin d’année, notre couple n’était pas au mieux, pourtant nous essayions de faire pour le mieux. Avec Jean Lou nous avions pris l’habitude de nous voir presque tous les midis, nous nous appelions au moins une fois par jour mais ne dormant pas à la maison, sauf les deux nuits par semaine où nous baisions. Je sortais donc toujours de mon côté, les mardis et les jeudis soir au « Plazza » avec ma meilleure amie Françoise. Pour nous permettre de nous retrouver, nous avions décidé de prendre une semaine de congé entre les fêtes à Paris.
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