LAQUELLE 2
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LAQUELLE 2
Le samedi, à 20heures je prends place sur le parking encore vide. Je suis seul. Le bal n’est pas commencé, les musiciens débarquent leur matériel et vont l’installer. A l’ouverture du guichet, je réserve une place et je vais m’asseoir. Au hasard des réservations, je suis rejoins par une jeune fille au léger embonpoint, mais souriante et sympathique. Elle est venue seule également et espère nouer connaissance avec l’homme de sa vie qui l’aidera à élever son bébé. Je n’ai pas la vocation. J'impose une distance:
- Je suis seul ce soir, parce que ma fiancée, est en mission humanitaire. Elle m’a recommandé de me distraire en attendant son retour et notre mariage. La date reste à fixer.
Le mensonge la trompe-t-il? Je veux éviter de la froisser. Elle acceptera volontiers de danser avec moi, en attendant d’autres invitations. Effectivement nous faisons ensemble quelques rondes au milieu des autres. Elle me met à rude épreuve. L’existence d’une fiancée ne la gêne pas. Elle tente sa chance, me fait connaître la douceur et le confort d’un corps grassouillet.
Avec un malin plaisir, à la faveur de l’entassement des danseurs sur la piste, elle se presse contre moi, avec le fol espoir de me prouver qu’un tiens vaut mieux que deux tu l’auras. Je dois lui plaire, elle n’hésite pas à me le faire savoir. Son bras autour de mon cou, ses seins de nourrice contre mes pectoraux, ses cuisses en recherche de ma virilité: elle met le paquet. Je ne suis pas de bois et vois arriver avec soulagement la fin de ces slows dangereux pour mon intégrité.
Devinez qui j’aperçois dans la salle en compagnie d’une blonde à chignon et d'un grand brun. Oui, René, mais sans Jenna. Il semble s’ennuyer, mais il m’a vu. Et soudain il est à ma table, vient me serrer amicalement la main et, comme si c’était une seconde nature chez lui, il m’emprunte ma cavalière. Cette fois j'aurai plaisir à permettre!
- Tu permets?
- Je vous en prie.
Il savait que je ne protesterais pas. Margot rouge de plaisir prend sa main et s’éloigne. Plus tard avec un clin d’œil complice elle récupère ses affaires et va compléter la table du trio.
- Je crois que j’ai trouvé. Excuse-moi, il m’a invité à sa table. Merci. Bonne continuation.
Je n’irai pas remercier René. Sa fâcheuse habitude de vouloir me prendre mes partenaires ne le rend pas sympathique. A une table voisine, trois copines attendent. Deux vont danser ensemble. La troisième se morfond. Elle est mignonne comme un cœur, jeune et fraîche, avec de grands yeux bleus innocents. Pour combien de temps encore innocents? Je vais tenter ma chance et suis accueilli avec un large sourire de contentement. Je devrai excuser ses maladresses, mais mon invitation lui fait plaisir. Cahin-caha nous nous dandinons ensemble. Jeanne est novice, mais douée et si confiante. Elle apprend vite. Je deviens son partenaire attitré. Que Denise et Françoise m’oublient. Le discours est clair. Les cousines sourient, acquiescent.
Le loup s’approche. Il a senti la chair fraîche en ma compagnie. Il vient "emprunter". Je préviens les trois copines:
- Pas celui-là, refusez. Je vous expliquerai.
Il s’incline d’abord devant Jeanne avec son « Tu permets » conventionnel, ponctué d‘un sourire narquois à mon adresse. Elle exagère son affection pour moi, passe son bras velouté autour de mon cou et pour mon plus grand bonheur, fait savoir qu’elle a une invitation permanente. Denise et Françoise ne cherchent pas d’excuse, refusent tout bonnement de passer en deuxième ou troisième place.
René repart, étonné, refroidi et déçu du triple refus. Il ne doit pas être rejeté habituellement. Je mets les filles en garde contre ce prédateur. Elles me remercient. Il ne manque pas d’autres concurrents. René rejoint dépité Margot qui lui fait la fête. Il a perdu un pari: du bar il revient avec une bouteille de mousseux et quatre flûtes sous les applaudissements des trois autres.
Jeanne, en dansant, me fixe dans les yeux. Bientôt, ses cousines et elles vont quitter le bal. Elle en a le cœur gros. Pour une fois qu’elle est heureuse, ce n’est pas juste. Comme Cendrillon, elles ont une permission de minuit. Je dois lui promettre de revenir ici le samedi suivant. Elles seront présentes et, si je le souhaite, nous ignorerons tous les autres. Rendez-vous est pris sur l’étoile polaire tous les soirs de la semaine à 22 heures. Touchante déclaration d’amour, il y manque le mot. Comment croire à ce coup de foudre ? Pourquoi refuser ce naïf espoir?
Je les raccompagne jusqu’à leur voiture, les vois s’éloigner. Si je fumais une cigarette. Pas de briquet, pas d’allumettes. Mon allume-cigare va servir. Je m’assieds dans ma voiture, tournée vers le bal. Comme par magie cela déclenche une sortie. René, main sur l’épaule de Margot la pousse vers le coin d’ombre.
C’est un insatiable. Le loup a trouvé une nouvelle proie et se met à l’écart pour la dévorer seul. Pauvre Margot, son envie de trouver un brave type l’aveugle. Si je laisse faire elle pourra dans quelques mois chercher un père à deux mouflets au lieu d‘un! René aura disparu, trouvé un autre terrain de chasse. J’ai de la peine pour cette jeune mère, mais au nom de quoi irais-je casser son rêve d’amour ? Elle a plus d’expérience que moi, certainement. L’expérience n’est pas toujours un phare, la conduite de Margot en est l’illustration. Elle est majeure, agit librement. Peut-être est-elle en appétit. Pourquoi lui voler un plaisir promis?
René est pressé. Il l’a chauffée à blanc sur la piste, elle a bu, elle est pleine de bonne volonté, disposée à prouver son attachement à ce flatteur éhonté. Quelques baisers sur la bouche pour égarer le peu de vigilance éventuelle et il passe à l’offensive. Les gros seins dénudés l’arrêtent à peine. Il attaque hardiment le bas, trousse en quelques gestes précis.
Margot glousse quand il applique sa main au bon endroit. L’expérience du samedi précédent inspire le galant(? ), il fait exécuter un demi-tour à la brave fille, lui lève les bras vers le mur où elle doit prendre appui, pèse sur ses reins: je ne vois plus son dos. Le bon apôtre jette un œil alentour, fouille dans son pantalon, dégage ses affaires pendant cette inspection, laissant apparaître un fessier plantureux et blanchâtre toujours marqué par la ligne d‘un string rouge.
Un quart de tour, du pied il augmente l’écart des jambes de femme, ploie les genoux, se place à bonne hauteur, éloigne l’obstacle de tissu et se propulse brutalement dans les chairs. Quelques secondes il se félicite de l’humidité et de la chaleur de ce vagin accueillant, immobilisé dans le corps de Margot. Des deux mains il soulève le bassin trop affaissé, prend ses aises et lance l’assaut. A grands coups de boutoir il donne du plaisir, passe du trot au galop, s’emballe, se fige, éjacule en elle, se retire satisfait, se rhabille et retourne vers la salle, poursuivi par l’amoureuse surprise d’avoir reçu en si peu de temps d’une charge fantastique une aussi importante quantité de sperme.
Ils ont regagné leur place, ne dansent pas, après l’effort le réconfort, ils boivent. Margot doit s’étonner du peu d’attention qu’il lui porte désormais. De mon côté il ne découvre pas d’isolée. Je suis seul, il n’y a personne à me piquer. Finalement il tire Margot sur la piste et subit avec ennui les démonstrations embarrassantes de tendresse et de reconnaissance de l’hypothétique mère de ses enfants.
A minuit trente arrive un groupe. A cette heure la caisse est fermée, l’entrée est gratuite. Une main s’abat sur mon épaule. Je lève les yeux. Jenna me sourit:
- Alors, ta visite a fait faux bond. Je te présente Alfred qui a accepté de me transporter, lui. Tu le connais
- Bien sûr. Comme tu l’as deviné, mes amis se sont décommandés en dernière minute. Je suis donc venu ici avec le secret espoir de recevoir ma première leçon de danse.
- Hélas, j’ai fait à Alfred la même promesse pour ce soir. Il sera difficile de vous satisfaire tous deux. Alfred veux-tu nous commander à boire?
L’autre aussi naïf que je l'ai été, fonce au bar. Jenna me sourit. Ils reviennent du cinéma et souhaitent terminer la soirée ensemble. En ma compagnie, si je les accepte à ma table. Une ombre se projette sur la table, René me demande si je permets et sans attendre ma réponse remorque l’enjôleuse vers la piste. Alfred revient avec trois verres.
- Où est-elle passée?
Du menton je désigne la piste. Il regarde, il voit, s’assied. Je le console en lui racontant ma propre mésaventure, vieille de huit jours. S’il veut danser, mieux vaut se trouver une autre fille, il a peu de chance de revoir Jenna cette nuit. Mais voici Margot, les yeux rougis, le visage défait.
- Tu te rends compte, René m’a demandé de dégager pour laisser la place à sa copine. Je peux m’asseoir près de vous?
- Mais oui. Je te conseille toutefois d’aller te rafraîchir un peu aux toilettes.
Elle me regarde, se demande si je sais. Je lui délivre un sourire encourageant et elle saisit son sac pour aller se refaire une beauté et peut-être prendre des mesures d'hygiène. Je trouverai le temps de lui conseiller la pilule du lendemain. Alfred veut se placer:
- Tu la connais. C’est ta copine?
m’interroge le dernier venu. Je lui explique que Margot et moi avons fait quelques pas ensemble avant l’attaque de René.
- Il me l’a soulevée comme il vient de te voler Jenna. Le goujat lassé la laisse tomber pour s’occuper de ta professeur de danse. C’est un vorace, il ramasse tout ce qu’il peut. J’ai dansé avec une autre jolie fille, elle m’a quitté à minuit. Le dénommé René a eu le culot de tenter de m’en séparer. Il est tombé sur un bec, la demoiselle m’a préféré.
- Si je l’invite, tu ne seras pas vexé?
- Mon cœur espère ailleurs. Je t’en prie, fais la danser. Tu la consoleras.
- Vous permettez, monsieur. Voudriez-vous m’accorder cette valse?
L'invitation me surprend. Voilà une connaissance appréciée. Jeanne me l’avait fait oublier. Confus, j'essaie de m'excuser:
- Vous étiez dans la salle? Excusez-moi; j’aurais dû vous inviter, je suis impardonnable. Ce sera avec plaisir, en souvenir de la fois précédente. Votre mari ne valse toujours pas? Tant mieux pour moi.
- Je n’ai pas voulu vous déranger plus tôt. Vous formiez un si beau couple avec cette jeune fille. Je vous souhaite beaucoup de bonheur. Mon mari vous félicite et vous invite à notre table pour vous remercier de me faire plaisir.
Cette trentenaire est parfaitement à l’aise et entretient la conversation. Je suis attentif et je me réjouis de pouvoir valser pour le pur plaisir de la danse, sans arrière pensée de conquête. Ca ne dure guère. Elle me provoque plus clairement. Il lui est arrivé quelque chose d’inhabituel cette semaine, elle a rêvé notre rencontre actuelle. Dans quel état va-t-elle me présenter à son mari reconnaissant si elle continue à diffuser dans ce corps à corps toute la chaleur de son envie. Ses yeux s’embuent, ses lèvres disjointes soufflent une haleine parfumée à la violette.
A proximité, Margot rayonnante mène un Alfred qui s’embrouille les pieds. Elle tient bon, le maintient debout, le serre contre elle pour lui éviter la chute, rit, le fait rire sur son ventre coussin. Succombera-t-il à la pulpeuse tentation? Je vais rejoindre Joseph, le mari d’Annie, la valseuse. Margot et Alfred seront mieux seuls à table. Le brave célibataire vient peut-être de découvrir sa perle rare. Ce Joseph est un brave type, jamais je ne pourrai briser sa famille. Il devrait faire un effort, la valse est accessible, surtout avec une danseuse comme Annie. J’insiste, mais le regard de l’épouse m’impose le silence.
- Je suis seul ce soir, parce que ma fiancée, est en mission humanitaire. Elle m’a recommandé de me distraire en attendant son retour et notre mariage. La date reste à fixer.
Le mensonge la trompe-t-il? Je veux éviter de la froisser. Elle acceptera volontiers de danser avec moi, en attendant d’autres invitations. Effectivement nous faisons ensemble quelques rondes au milieu des autres. Elle me met à rude épreuve. L’existence d’une fiancée ne la gêne pas. Elle tente sa chance, me fait connaître la douceur et le confort d’un corps grassouillet.
Avec un malin plaisir, à la faveur de l’entassement des danseurs sur la piste, elle se presse contre moi, avec le fol espoir de me prouver qu’un tiens vaut mieux que deux tu l’auras. Je dois lui plaire, elle n’hésite pas à me le faire savoir. Son bras autour de mon cou, ses seins de nourrice contre mes pectoraux, ses cuisses en recherche de ma virilité: elle met le paquet. Je ne suis pas de bois et vois arriver avec soulagement la fin de ces slows dangereux pour mon intégrité.
Devinez qui j’aperçois dans la salle en compagnie d’une blonde à chignon et d'un grand brun. Oui, René, mais sans Jenna. Il semble s’ennuyer, mais il m’a vu. Et soudain il est à ma table, vient me serrer amicalement la main et, comme si c’était une seconde nature chez lui, il m’emprunte ma cavalière. Cette fois j'aurai plaisir à permettre!
- Tu permets?
- Je vous en prie.
Il savait que je ne protesterais pas. Margot rouge de plaisir prend sa main et s’éloigne. Plus tard avec un clin d’œil complice elle récupère ses affaires et va compléter la table du trio.
- Je crois que j’ai trouvé. Excuse-moi, il m’a invité à sa table. Merci. Bonne continuation.
Je n’irai pas remercier René. Sa fâcheuse habitude de vouloir me prendre mes partenaires ne le rend pas sympathique. A une table voisine, trois copines attendent. Deux vont danser ensemble. La troisième se morfond. Elle est mignonne comme un cœur, jeune et fraîche, avec de grands yeux bleus innocents. Pour combien de temps encore innocents? Je vais tenter ma chance et suis accueilli avec un large sourire de contentement. Je devrai excuser ses maladresses, mais mon invitation lui fait plaisir. Cahin-caha nous nous dandinons ensemble. Jeanne est novice, mais douée et si confiante. Elle apprend vite. Je deviens son partenaire attitré. Que Denise et Françoise m’oublient. Le discours est clair. Les cousines sourient, acquiescent.
Le loup s’approche. Il a senti la chair fraîche en ma compagnie. Il vient "emprunter". Je préviens les trois copines:
- Pas celui-là, refusez. Je vous expliquerai.
Il s’incline d’abord devant Jeanne avec son « Tu permets » conventionnel, ponctué d‘un sourire narquois à mon adresse. Elle exagère son affection pour moi, passe son bras velouté autour de mon cou et pour mon plus grand bonheur, fait savoir qu’elle a une invitation permanente. Denise et Françoise ne cherchent pas d’excuse, refusent tout bonnement de passer en deuxième ou troisième place.
René repart, étonné, refroidi et déçu du triple refus. Il ne doit pas être rejeté habituellement. Je mets les filles en garde contre ce prédateur. Elles me remercient. Il ne manque pas d’autres concurrents. René rejoint dépité Margot qui lui fait la fête. Il a perdu un pari: du bar il revient avec une bouteille de mousseux et quatre flûtes sous les applaudissements des trois autres.
Jeanne, en dansant, me fixe dans les yeux. Bientôt, ses cousines et elles vont quitter le bal. Elle en a le cœur gros. Pour une fois qu’elle est heureuse, ce n’est pas juste. Comme Cendrillon, elles ont une permission de minuit. Je dois lui promettre de revenir ici le samedi suivant. Elles seront présentes et, si je le souhaite, nous ignorerons tous les autres. Rendez-vous est pris sur l’étoile polaire tous les soirs de la semaine à 22 heures. Touchante déclaration d’amour, il y manque le mot. Comment croire à ce coup de foudre ? Pourquoi refuser ce naïf espoir?
Je les raccompagne jusqu’à leur voiture, les vois s’éloigner. Si je fumais une cigarette. Pas de briquet, pas d’allumettes. Mon allume-cigare va servir. Je m’assieds dans ma voiture, tournée vers le bal. Comme par magie cela déclenche une sortie. René, main sur l’épaule de Margot la pousse vers le coin d’ombre.
C’est un insatiable. Le loup a trouvé une nouvelle proie et se met à l’écart pour la dévorer seul. Pauvre Margot, son envie de trouver un brave type l’aveugle. Si je laisse faire elle pourra dans quelques mois chercher un père à deux mouflets au lieu d‘un! René aura disparu, trouvé un autre terrain de chasse. J’ai de la peine pour cette jeune mère, mais au nom de quoi irais-je casser son rêve d’amour ? Elle a plus d’expérience que moi, certainement. L’expérience n’est pas toujours un phare, la conduite de Margot en est l’illustration. Elle est majeure, agit librement. Peut-être est-elle en appétit. Pourquoi lui voler un plaisir promis?
René est pressé. Il l’a chauffée à blanc sur la piste, elle a bu, elle est pleine de bonne volonté, disposée à prouver son attachement à ce flatteur éhonté. Quelques baisers sur la bouche pour égarer le peu de vigilance éventuelle et il passe à l’offensive. Les gros seins dénudés l’arrêtent à peine. Il attaque hardiment le bas, trousse en quelques gestes précis.
Margot glousse quand il applique sa main au bon endroit. L’expérience du samedi précédent inspire le galant(? ), il fait exécuter un demi-tour à la brave fille, lui lève les bras vers le mur où elle doit prendre appui, pèse sur ses reins: je ne vois plus son dos. Le bon apôtre jette un œil alentour, fouille dans son pantalon, dégage ses affaires pendant cette inspection, laissant apparaître un fessier plantureux et blanchâtre toujours marqué par la ligne d‘un string rouge.
Un quart de tour, du pied il augmente l’écart des jambes de femme, ploie les genoux, se place à bonne hauteur, éloigne l’obstacle de tissu et se propulse brutalement dans les chairs. Quelques secondes il se félicite de l’humidité et de la chaleur de ce vagin accueillant, immobilisé dans le corps de Margot. Des deux mains il soulève le bassin trop affaissé, prend ses aises et lance l’assaut. A grands coups de boutoir il donne du plaisir, passe du trot au galop, s’emballe, se fige, éjacule en elle, se retire satisfait, se rhabille et retourne vers la salle, poursuivi par l’amoureuse surprise d’avoir reçu en si peu de temps d’une charge fantastique une aussi importante quantité de sperme.
Ils ont regagné leur place, ne dansent pas, après l’effort le réconfort, ils boivent. Margot doit s’étonner du peu d’attention qu’il lui porte désormais. De mon côté il ne découvre pas d’isolée. Je suis seul, il n’y a personne à me piquer. Finalement il tire Margot sur la piste et subit avec ennui les démonstrations embarrassantes de tendresse et de reconnaissance de l’hypothétique mère de ses enfants.
A minuit trente arrive un groupe. A cette heure la caisse est fermée, l’entrée est gratuite. Une main s’abat sur mon épaule. Je lève les yeux. Jenna me sourit:
- Alors, ta visite a fait faux bond. Je te présente Alfred qui a accepté de me transporter, lui. Tu le connais
- Bien sûr. Comme tu l’as deviné, mes amis se sont décommandés en dernière minute. Je suis donc venu ici avec le secret espoir de recevoir ma première leçon de danse.
- Hélas, j’ai fait à Alfred la même promesse pour ce soir. Il sera difficile de vous satisfaire tous deux. Alfred veux-tu nous commander à boire?
L’autre aussi naïf que je l'ai été, fonce au bar. Jenna me sourit. Ils reviennent du cinéma et souhaitent terminer la soirée ensemble. En ma compagnie, si je les accepte à ma table. Une ombre se projette sur la table, René me demande si je permets et sans attendre ma réponse remorque l’enjôleuse vers la piste. Alfred revient avec trois verres.
- Où est-elle passée?
Du menton je désigne la piste. Il regarde, il voit, s’assied. Je le console en lui racontant ma propre mésaventure, vieille de huit jours. S’il veut danser, mieux vaut se trouver une autre fille, il a peu de chance de revoir Jenna cette nuit. Mais voici Margot, les yeux rougis, le visage défait.
- Tu te rends compte, René m’a demandé de dégager pour laisser la place à sa copine. Je peux m’asseoir près de vous?
- Mais oui. Je te conseille toutefois d’aller te rafraîchir un peu aux toilettes.
Elle me regarde, se demande si je sais. Je lui délivre un sourire encourageant et elle saisit son sac pour aller se refaire une beauté et peut-être prendre des mesures d'hygiène. Je trouverai le temps de lui conseiller la pilule du lendemain. Alfred veut se placer:
- Tu la connais. C’est ta copine?
m’interroge le dernier venu. Je lui explique que Margot et moi avons fait quelques pas ensemble avant l’attaque de René.
- Il me l’a soulevée comme il vient de te voler Jenna. Le goujat lassé la laisse tomber pour s’occuper de ta professeur de danse. C’est un vorace, il ramasse tout ce qu’il peut. J’ai dansé avec une autre jolie fille, elle m’a quitté à minuit. Le dénommé René a eu le culot de tenter de m’en séparer. Il est tombé sur un bec, la demoiselle m’a préféré.
- Si je l’invite, tu ne seras pas vexé?
- Mon cœur espère ailleurs. Je t’en prie, fais la danser. Tu la consoleras.
- Vous permettez, monsieur. Voudriez-vous m’accorder cette valse?
L'invitation me surprend. Voilà une connaissance appréciée. Jeanne me l’avait fait oublier. Confus, j'essaie de m'excuser:
- Vous étiez dans la salle? Excusez-moi; j’aurais dû vous inviter, je suis impardonnable. Ce sera avec plaisir, en souvenir de la fois précédente. Votre mari ne valse toujours pas? Tant mieux pour moi.
- Je n’ai pas voulu vous déranger plus tôt. Vous formiez un si beau couple avec cette jeune fille. Je vous souhaite beaucoup de bonheur. Mon mari vous félicite et vous invite à notre table pour vous remercier de me faire plaisir.
Cette trentenaire est parfaitement à l’aise et entretient la conversation. Je suis attentif et je me réjouis de pouvoir valser pour le pur plaisir de la danse, sans arrière pensée de conquête. Ca ne dure guère. Elle me provoque plus clairement. Il lui est arrivé quelque chose d’inhabituel cette semaine, elle a rêvé notre rencontre actuelle. Dans quel état va-t-elle me présenter à son mari reconnaissant si elle continue à diffuser dans ce corps à corps toute la chaleur de son envie. Ses yeux s’embuent, ses lèvres disjointes soufflent une haleine parfumée à la violette.
A proximité, Margot rayonnante mène un Alfred qui s’embrouille les pieds. Elle tient bon, le maintient debout, le serre contre elle pour lui éviter la chute, rit, le fait rire sur son ventre coussin. Succombera-t-il à la pulpeuse tentation? Je vais rejoindre Joseph, le mari d’Annie, la valseuse. Margot et Alfred seront mieux seuls à table. Le brave célibataire vient peut-être de découvrir sa perle rare. Ce Joseph est un brave type, jamais je ne pourrai briser sa famille. Il devrait faire un effort, la valse est accessible, surtout avec une danseuse comme Annie. J’insiste, mais le regard de l’épouse m’impose le silence.
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