LAQUELLE 6 FIN
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LAQUELLE 6 FIN
Tiré par les trois filles, intéressées par la perspective de rentrées plus tardives, René s’avance vers l’entrée. Il n’y va pas la fleur au fusil, il semble vouloir reculer. Devenu parrain de la troupe, il devra renoncer à ses avantages de célibataire chasseur. Il aura à rendre compte au papa. J’ai subi un interrogatoire pointu pour convaincre Silvio, René n’y échappera pas! Le père, dans la lumière blafarde de la lampe de l’auvent, examine le nouvel arrivant. Tout à coup, dans la nuit résonnent des cris de colère, nous voyons René courir à sa voiture, sauter au-dessus de la porte et démarrer en faisant crisser ses pneus.
Du doigt Jeanne désigne ma voiture. J’obéis à l’invitation du père. Jenna m’accompagne, main dans la main. Nous entrons. Le séjour réunit trois filles, Silvio et notre couple. Les mains du père tremblent, il me prend à partie :
- Je vous confie ma fille: comment pouvez-vous la laisser revenir en compagnie de cet odieux individu? Je vous prenais pour un gars bien. Non, mais, vous vous rendez compte. Ce salaud osait ...
Je tente une explication:
. Jeanne m’a trouvé un remplaçant, je tenais à vous en informer. Je n’ai pas relâché ma surveillance. Mais, monsieur, je renonce à accompagner votre fille, elle préfère ce René, je ne vois aucun intérêt à insister pour veiller sur elle.
Jeanne retrouve son aplomb et pour éviter le pire, elle charge, elle accuse. Pour peu je serais responsable de ses choix:
- Bien sûr, tu es trop occupé avec cette vieille fille qui te court après. Et moi tu me laisses tomber. Alors il fallait bien que je te remplace. Sans compter que tu n'es pas toujours très drôle. On peut être sérieux sans être chiant, toujours à surveiller ce que je fais. Hein, cousines.
Les cousines se taisent. La fuite de leur candidat les privera de sorties tardives si l'oncle revient sur sa décision et me renvoie ou si je me retire à cause des accusations odieuses de Jeanne.
L’attaque inattendue me révolte, je craque :
- Petite Jeanne, René m’a demandé de te remettre un objet que tu lui aurais donné en gage d’amitié, jeudi soir sur une aire d'autoroute. Tu lui as fait un cadeau significatif. Qui a laissé tomber l’autre en premier?
Le père s'inquiète:
Pourquoi. Qu’a-t-elle encore fait ? Quel est cet objet ?
La jeune fille encaisse, craint la révélation qui compromettrait l'avenir et dresserait contre elle son géniteur. Elle sait que je sais ce qu'elle a fait jeudi, ne voudrait pas que j'en parle. Elle se radoucit soudain, et aimerait se racheter:
- Non, Mon chéri Nicolas, ne fais pas cela. Garde ce cadeau, il est pour toi. René devait te le remettre de ma part. Je t'aime.
Sa protestation est un aveu. René a cueilli sa fleur, le jour de sa fatigue, le jour où il a gagné la culotte de l'imprudente. Je n’ai pas de regret, pour moi cette fille s'est disqualifiée. Je feins d’avoir perdu la chose pour ne pas aggraver la colère paternelle. Je biaise :
- Excuse-moi, j’ai oublié ton dessin dans la salle de bal. Tu pourras le réclamer au vestiaire probablement.la prochaine fois.
- Sans vous, il n’y aura pas de prochaine fois.
Le père me ferait encore confiance?
En chœur, Denise, Françoise interrogent :
- Mais pourquoi, tonton? Nicolas nous convient. On veut le garder
- Prenez place, vous l saurez le pourquoi. Voilà. Il y a deux ans, un orage a interrompu ma partie de pêche. A mon retour, devant la maison stationnait une voiture de sport comme celle de ce sale voyou cette nuit. A mon arrivée dans le séjour j’ai entendu ma femme, ta mère, soupirer, comme blessée. J’ai cru à un accident, je me suis précipité et là j’ai vu.
- Quoi?
- Un type, pantalon sur les chevilles secouait ses fesses et les lançait avec force, entre les cuisses grandes ouvertes de ta mère, ma fille. Ce type l’avait culbutée, dos sur la table, et était trop occupé pour m'entendre arriver. Il pilonnait ta mère, lui arrachait des plaintes et des cris de plaisir. Et elle, les talons calés sur ses reins, lui disait:
- "Vas-y, René, plus fort, mon amour. Oh que c'est bon."
J’étais pétrifié. Et il y allait de plus belle, s’enfonçait au plus profond, acharné à lui arracher la preuve de sa jouissance. Il a braillé :
- "Ca y est, je viens, prends ça ma salope"
Elle a répondu:-"Moi aussi je jouis, quel bonheur. Tu es formidable, René."
Il a fallu son cri pour me sortir de ma stupeur. Je l’ai attrapé, jeté à terre sur le carrelage, je l’ai tabassé et foutu à la porte. Ta mère pleurait. Le lendemain elle a disparu pendant que j’étais au travail. Nous ne l’avons pas revue de la semaine.
- Tu m’as dit qu’elle était à l’hôpital, c'était cette fois?
- Que pouvais-je te dire? Huit jours plus tard, la police l’a ramenée. Elle errait en ville dans un état lamentable. L’autre l’avait foutue à la porte au bout de quelques jours. Elle faisait pitié à voir. Jamais elle n’a voulu me parler de cette aventure. Et depuis, elle ne se remet pas, perd la tête. Et toi, tu choisis cette crapule pour garde du corps. Je suis maudit. Nicolas, vous êtes sûr qu’il n’a rien fait à ma fille ?
- Pas ce soir, j’ai fait attention.
Je n'ai pas à dénoncer davantage des faits dont je n'ai pas été témoin et qui se sont déroulés quand je n'avais pas à la surveiller. Qu'elle s'en explique éventuellement avec ce père désespéré. Jeanne vient de comprendre la réaction de son père. Elle saisit qu'elle verra ses sorties écourtées.
- Je ne savais pas. Quel malheur! Nicolas, je regrette, pardonne-moi. Tu veux? Je...
- Non, merci. Trouve un autre ballot, j’ai compris ma douleur cette nuit. Et, comme tu l’as remarqué, j’ai une occupation plus plaisante désormais. Tu m'as aidé à voir où était et sera mon bonheur.
Jenna a de la poigne, elle approuve en m’écrasant les doigts. Nous prenons congé.
- Et si on allait chez moi. Je n’ai pas attendu bien longtemps, mais chaque minute m’a coûté. Si tu m’aimes un peu, oublie ta déception, je saurai te consoler. Viens
Nous avons retrouvé le petit nid douillet où Jenna vivait. Nous y avons enfin laissé éclater notre joie. Elle s'est offerte, j'ai accepté le don de son coeur et de son corps magnifique. René en fuite fut oublié. Nous avons dansé nus, nous sommes tombés sur le canapé, nous nous sommes aimés tendrement, puis avec passion. Jenna a une nature généreuse et un coeur solide, je me suis épanoui à son contact. Je sortais d'un état nébuleux quand le coucou de l'horloge a chanté six fois.
Ma mère m'a demandé où j'avais passé la nuit. Il a fallu que je raconte ce dimanche l'heureuse rencontre faite au bal. Sans détails sur le reste de la nuit, j'ai reconnu être très amoureux d'une jeune femme nommée Jenna. Je l'ai présentée, elle est devenue ma femme.
Voilà une histoire vieille de vingt ans. Que dire encore? René a été victime d'un fou furieux peu de temps après notre mariage. Quelqu'un l'a frappé à mort dans un coupé rouge, sur une aire d'autoroute. On n'a retrouvé, à ce jour, ni la blonde qui l'aurait accompagné à cet endroit selon les enquêteurs chargés d'élucider l'affaire, ni celui qui l'a massacré pour une raison inconnue. J'ai une petite idée de la cause de la mise à mort. Jeanne a disparu dans une université. Je souhaite qu'elle ait su trouver le bonheur. Jenna et moi avons deux grands enfants qui font notre fierté.
Du doigt Jeanne désigne ma voiture. J’obéis à l’invitation du père. Jenna m’accompagne, main dans la main. Nous entrons. Le séjour réunit trois filles, Silvio et notre couple. Les mains du père tremblent, il me prend à partie :
- Je vous confie ma fille: comment pouvez-vous la laisser revenir en compagnie de cet odieux individu? Je vous prenais pour un gars bien. Non, mais, vous vous rendez compte. Ce salaud osait ...
Je tente une explication:
. Jeanne m’a trouvé un remplaçant, je tenais à vous en informer. Je n’ai pas relâché ma surveillance. Mais, monsieur, je renonce à accompagner votre fille, elle préfère ce René, je ne vois aucun intérêt à insister pour veiller sur elle.
Jeanne retrouve son aplomb et pour éviter le pire, elle charge, elle accuse. Pour peu je serais responsable de ses choix:
- Bien sûr, tu es trop occupé avec cette vieille fille qui te court après. Et moi tu me laisses tomber. Alors il fallait bien que je te remplace. Sans compter que tu n'es pas toujours très drôle. On peut être sérieux sans être chiant, toujours à surveiller ce que je fais. Hein, cousines.
Les cousines se taisent. La fuite de leur candidat les privera de sorties tardives si l'oncle revient sur sa décision et me renvoie ou si je me retire à cause des accusations odieuses de Jeanne.
L’attaque inattendue me révolte, je craque :
- Petite Jeanne, René m’a demandé de te remettre un objet que tu lui aurais donné en gage d’amitié, jeudi soir sur une aire d'autoroute. Tu lui as fait un cadeau significatif. Qui a laissé tomber l’autre en premier?
Le père s'inquiète:
Pourquoi. Qu’a-t-elle encore fait ? Quel est cet objet ?
La jeune fille encaisse, craint la révélation qui compromettrait l'avenir et dresserait contre elle son géniteur. Elle sait que je sais ce qu'elle a fait jeudi, ne voudrait pas que j'en parle. Elle se radoucit soudain, et aimerait se racheter:
- Non, Mon chéri Nicolas, ne fais pas cela. Garde ce cadeau, il est pour toi. René devait te le remettre de ma part. Je t'aime.
Sa protestation est un aveu. René a cueilli sa fleur, le jour de sa fatigue, le jour où il a gagné la culotte de l'imprudente. Je n’ai pas de regret, pour moi cette fille s'est disqualifiée. Je feins d’avoir perdu la chose pour ne pas aggraver la colère paternelle. Je biaise :
- Excuse-moi, j’ai oublié ton dessin dans la salle de bal. Tu pourras le réclamer au vestiaire probablement.la prochaine fois.
- Sans vous, il n’y aura pas de prochaine fois.
Le père me ferait encore confiance?
En chœur, Denise, Françoise interrogent :
- Mais pourquoi, tonton? Nicolas nous convient. On veut le garder
- Prenez place, vous l saurez le pourquoi. Voilà. Il y a deux ans, un orage a interrompu ma partie de pêche. A mon retour, devant la maison stationnait une voiture de sport comme celle de ce sale voyou cette nuit. A mon arrivée dans le séjour j’ai entendu ma femme, ta mère, soupirer, comme blessée. J’ai cru à un accident, je me suis précipité et là j’ai vu.
- Quoi?
- Un type, pantalon sur les chevilles secouait ses fesses et les lançait avec force, entre les cuisses grandes ouvertes de ta mère, ma fille. Ce type l’avait culbutée, dos sur la table, et était trop occupé pour m'entendre arriver. Il pilonnait ta mère, lui arrachait des plaintes et des cris de plaisir. Et elle, les talons calés sur ses reins, lui disait:
- "Vas-y, René, plus fort, mon amour. Oh que c'est bon."
J’étais pétrifié. Et il y allait de plus belle, s’enfonçait au plus profond, acharné à lui arracher la preuve de sa jouissance. Il a braillé :
- "Ca y est, je viens, prends ça ma salope"
Elle a répondu:-"Moi aussi je jouis, quel bonheur. Tu es formidable, René."
Il a fallu son cri pour me sortir de ma stupeur. Je l’ai attrapé, jeté à terre sur le carrelage, je l’ai tabassé et foutu à la porte. Ta mère pleurait. Le lendemain elle a disparu pendant que j’étais au travail. Nous ne l’avons pas revue de la semaine.
- Tu m’as dit qu’elle était à l’hôpital, c'était cette fois?
- Que pouvais-je te dire? Huit jours plus tard, la police l’a ramenée. Elle errait en ville dans un état lamentable. L’autre l’avait foutue à la porte au bout de quelques jours. Elle faisait pitié à voir. Jamais elle n’a voulu me parler de cette aventure. Et depuis, elle ne se remet pas, perd la tête. Et toi, tu choisis cette crapule pour garde du corps. Je suis maudit. Nicolas, vous êtes sûr qu’il n’a rien fait à ma fille ?
- Pas ce soir, j’ai fait attention.
Je n'ai pas à dénoncer davantage des faits dont je n'ai pas été témoin et qui se sont déroulés quand je n'avais pas à la surveiller. Qu'elle s'en explique éventuellement avec ce père désespéré. Jeanne vient de comprendre la réaction de son père. Elle saisit qu'elle verra ses sorties écourtées.
- Je ne savais pas. Quel malheur! Nicolas, je regrette, pardonne-moi. Tu veux? Je...
- Non, merci. Trouve un autre ballot, j’ai compris ma douleur cette nuit. Et, comme tu l’as remarqué, j’ai une occupation plus plaisante désormais. Tu m'as aidé à voir où était et sera mon bonheur.
Jenna a de la poigne, elle approuve en m’écrasant les doigts. Nous prenons congé.
- Et si on allait chez moi. Je n’ai pas attendu bien longtemps, mais chaque minute m’a coûté. Si tu m’aimes un peu, oublie ta déception, je saurai te consoler. Viens
Nous avons retrouvé le petit nid douillet où Jenna vivait. Nous y avons enfin laissé éclater notre joie. Elle s'est offerte, j'ai accepté le don de son coeur et de son corps magnifique. René en fuite fut oublié. Nous avons dansé nus, nous sommes tombés sur le canapé, nous nous sommes aimés tendrement, puis avec passion. Jenna a une nature généreuse et un coeur solide, je me suis épanoui à son contact. Je sortais d'un état nébuleux quand le coucou de l'horloge a chanté six fois.
Ma mère m'a demandé où j'avais passé la nuit. Il a fallu que je raconte ce dimanche l'heureuse rencontre faite au bal. Sans détails sur le reste de la nuit, j'ai reconnu être très amoureux d'une jeune femme nommée Jenna. Je l'ai présentée, elle est devenue ma femme.
Voilà une histoire vieille de vingt ans. Que dire encore? René a été victime d'un fou furieux peu de temps après notre mariage. Quelqu'un l'a frappé à mort dans un coupé rouge, sur une aire d'autoroute. On n'a retrouvé, à ce jour, ni la blonde qui l'aurait accompagné à cet endroit selon les enquêteurs chargés d'élucider l'affaire, ni celui qui l'a massacré pour une raison inconnue. J'ai une petite idée de la cause de la mise à mort. Jeanne a disparu dans une université. Je souhaite qu'elle ait su trouver le bonheur. Jenna et moi avons deux grands enfants qui font notre fierté.
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