Le garçon boucher 2
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le garçon boucher 2
Ce soir-là, je fus le mari parfait. Gentil, à l’écoute, soucieux de prouver à Émilie qu’elle était heureuse avec moi, poussé par le désir de lui faire renoncer à son rendez-vous avec ce fameux Marcel. Elle se plaignit d’une cliente qui avait oublié l’heure de son rendez-vous, je m‘indignai avec elle. J‘en profitai, en qualité d’associé au remboursement de la dette, pour m‘informer de la bonne marche de son entreprise, de sa rentabilité. Je montrai mon intérêt pour le succès de ses efforts et voulais m’assurer que ma contribution pécuniaire bénéficiait au salon. Je souhaitais, sans en parler, lui montrer la supériorité d’un bon mari sur un amant de passage. Si je ne l’avais pas trouvée au salon à quatorze heures, lors d’une visite surprise éclair, c’est qu’elle était…, où déjà ? À la poste, oui pour déposer de l’argent sur son compte.
- Comme je regrette de ne pas avoir pu t’embrasser, mon chéri !
La poste était à l’opposé de l’endroit où elle embrassait Marcel. L’heure n’était pas à la chicane. Je l’embrassai donc, passionnément, forçai du genou, un passage où s’était infiltré le genou de Marcel, la faisant aller et venir sur son sexe, frottai sur le haut de ma jambe, taille serrée dans mes mains solides d’ouvrier du bâtiment et je constatai, comme le garçon boucher avait pu le constater, la formation d’une tache humide sur mon pantalon. Je lui fis compliment de sa bonne mine. Malgré les contrariétés, elle savait garder sa bonne humeur.
Je lui trouvais même un air plus heureux que d’habitude et m’en réjouissais. Je l’accompagnai à la salle de bain, lui frottai le dos, lui massai les pieds fatigués par la station debout, frôlai intentionnellement les parties intimes en admirant la coupe du buisson et le dessin des lèvres de son sexe. J’avais bien de la chance d’être le mari d’une si belle créature. En retour, elle se félicita d’avoir un mari aussi aimable, aussi attentif à sa santé et aussi engagé dans son entreprise. Je roucoulais, elle roucoulait. Quel beau couple nous formions ! C’était l’explication de son air heureux. Sa journée avait été merveilleuse !
Je mis à profit ses bonnes dispositions, j’exploitai l’excitation provoquée par Marcel, réveillée par mes caresses et baisers et je la conduisis au lit. Si, après l’amour avec moi, elle avait encore besoin de recevoir un concurrent demain à domicile, c’est que les produits chimiques, utilisés en coiffure, avaient déréglé sa libido. Je devrais en tirer les conséquences. Je fus mari, je fus amant. J’utilisai mes années d’expérience amoureuse avec elle. Je l’amenai à désirer l’union, à la réclamer. Mes mains, par attouchements légers, parcoururent sa poitrine, ses flancs, glissèrent des hanches aux cuisses, des genoux au cou, mes doigts fouillèrent le fruit d’amour entre ses cuisses remontées, ma langue frétilla sur son clitoris, mes lèvres se saisirent de ses petites lèvres, ma bouche happa, avala toutes ses chairs bouleversées, téta ses aréoles, mordit son cou, planta des suçons sur ses seins.
Attaquée de toutes parts, chatouillée, sucée, mordue, fouillée, Émilie se tordait de plaisir, s’ouvrait, s’offrait et finit par me supplier de la prendre. Je la pénétrai, limai comme un fou, la tournai et retournai, la chevauchai, puis la reçus sur moi. Autour de mon cou, elle nouait ses bras ou me faisait un collier de ses jambes. Elle gémit, cria ses orgasmes. Elle se donna sans réserve, se servit. Elle m’encourageait, me trouva formidable, demanda d’où me venait ce déchaînement. Apparemment épuisée par la joute, elle obtint un cessez-le-feu.
- Oh ! Le fou, regarde comme tu m’as marquée ! , dit-elle en se regardant dans le grand miroir de la salle de bain.
- C’est normal, tu es à moi, tu es ma femme, c’est pour que tu t’en souviennes. Qui le verra ? Toi et moi ! Voilà des parties du corps qu'on ne montre pas à n'importe qui, non?
- Tu t’es vidé en moi. Tu aurais pu te retirer. Tu te rends compte, je risque d’être enceinte. Ça va déformer mon corps !
- Ah ! Un enfant de toi, enfin, quel bonheur ce serait. Et tes clientes seraient ravies de l’apprendre. Viens, pose ta tête sur mon épaule !
Repue, elle s’endormit bien vite, une main en protection sur mon pénis retombé. À qui rêvait-elle ? Le matin, elle me répéta combien elle m’aimait, me prépara mon petit déjeuner en chantonnant gaiement et m’expédia au travail avec un baiser chargé de reconnaissance.
Mon patron m’accorda un congé pour l’après-midi. Ma demande exceptionnelle ne perturbait pas ses plans.
Habituellement, Émilie prend un repas léger au salon de coiffure pour conserver une ligne enviée de ses clientes, adeptes forcenées des régimes les plus farfelus et victimes d'un haïssable yo-yo? Elle est fière de sa ligne et rejette à un plus tard incertain, une grossesse peu désirée de ma femme. Elle ne revient jamais à la maison. Aujourd'hui elle fera exception pour accueillir le garçon boucher. Je rentre à la maison, je m’installe dans la chaufferie et vide la gamelle qu’elle m’avait préparée. Je veux savoir ce qui va se passer à l'abri des regards. Logiquement je peux m'attendre au pire. Quand on s'est embrassé aussi passionnément en public, on est partie pour consommer en privé, ou je n'y connais rien.
Et bien, aujourd’hui, ma femme arrive, très gaie, elle chante à tue-tête dans cette maison qu’elle croit vide et monte immédiatement à l’étage. Au bruit des talons sur le parquet, je suis ses déplacements. Elle s’attarde à la salle de bain, l’eau coule, un léger nuage de parfum de luxe descend vers la cave. On sonne, je repousse la porte de séparation entre cave et entrée.
- Pousse la porte, c’est ouvert, je t’attends. Tu vas bien mon beau gosse, tu es en forme ? Monte que je voie si ton plumage est aussi beau que ton ramage !
- Oh ! Que tu es belle. Quel beau morceau !
C’est un compliment de boucher. Il s’est arrêté au pied de l’escalier pour bramer son admiration.
- Tourne doucement. Quelle belle pièce, quel cul. Tes yeux de génisse me font bander comme un taureau. Oh !
- Viens, monte ton bouquet que je le mette dans un vase. Que c’est chou, des roses rouges ! C'est un langage d'amour. Tu sais parler aux femmes
Il gravit les marches trois par trois, s’arrête. Silence. Long silence. Je jette un œil, ils sont sur le palier, dans l’attitude où je les ai vus hier, dans la rue. Il ne s’est pas déplacé pour parler littérature, il est déjà dans le vif du sujet. Bouquet dans une main, Émilie ne résiste pas à la pression du genou pressé qui sépare ses cuisses.
- Un instant, je pose les roses dans un vase. Tu bois quelque chose, café, alcool ?
-Je croyais qu’il fallait faire vite. Tu sais je devrais être au boulot. Ma patronne va téléphoner à ma femme. Elle m’embête, à force. Va pour un petit verre. Tu as du kirsch ou une mirabelle ?
Le mufle est pressé de conclure, mais puisqu'elle lui offre un alcool, il consent. Elle se dirige vers la cuisine, il la suit, une main sur l’épaule, l’autre sur l’arrière train dans un geste possessif. Émilie glousse, réclame un peu de patience. Ce n’est qu’un début. J'entends l'annonce du prochain rendez-vous
Si tu peux venir demain, à midi et quart, nous disposerons de tout notre temps.
Bien entendu, il se libérera. Qu’elle téléphone à sa patronne pour passer une commande et il fera la livraison à domicile pendant la pause de midi.
Ils quittent la cuisine et entrent dans notre chambre à coucher. Le temps est compté et l’envie est pressante. Ils se déshabillent en marchant. Elle le provoque :
- Dégrafe mon soutien-gorge. Tu aimes mes seins ? Embrasse-les, dis leur bonjour. J’adore, hum !
- Ah ! Ce que t’es belle ! Les beaux nibars! Et ce cul ! Mais tu vois, moi aussi, j’ai de la belle marchandise, tu ne seras pas volée. Touche cette Montbéliard, n’est-ce pas de la belle saucisse pour la bouche et le con de madame : à servir chaud ! N’aie pas peur, c’est pas du toc. Fais-moi bander. C’est pas un truc à faire reluire les nanas, cet engin ? Tu as une chance formidable de pouvoir t’en servir. Apprécie !
- C’est vrai, tu en as une belle, majestueuse, chaude en main et réactive, dis donc. Je lui fais un bisou ?
- C’est une superbe bite, tu peux même la lécher, la sucer si tu en as envie. Tu ne dois pas en avaler une pareille tous les jours, à voir comme tu la fêtes ! Goulue, salope, tu me fais du bien. Oh ! Mais tu sais y faire, une experte, j’ai tiré le gros lot. Qu’est-ce que tu en dis ? »
Elle doit avoir la bouche pleine, elle ne répond pas.
- Comme je regrette de ne pas avoir pu t’embrasser, mon chéri !
La poste était à l’opposé de l’endroit où elle embrassait Marcel. L’heure n’était pas à la chicane. Je l’embrassai donc, passionnément, forçai du genou, un passage où s’était infiltré le genou de Marcel, la faisant aller et venir sur son sexe, frottai sur le haut de ma jambe, taille serrée dans mes mains solides d’ouvrier du bâtiment et je constatai, comme le garçon boucher avait pu le constater, la formation d’une tache humide sur mon pantalon. Je lui fis compliment de sa bonne mine. Malgré les contrariétés, elle savait garder sa bonne humeur.
Je lui trouvais même un air plus heureux que d’habitude et m’en réjouissais. Je l’accompagnai à la salle de bain, lui frottai le dos, lui massai les pieds fatigués par la station debout, frôlai intentionnellement les parties intimes en admirant la coupe du buisson et le dessin des lèvres de son sexe. J’avais bien de la chance d’être le mari d’une si belle créature. En retour, elle se félicita d’avoir un mari aussi aimable, aussi attentif à sa santé et aussi engagé dans son entreprise. Je roucoulais, elle roucoulait. Quel beau couple nous formions ! C’était l’explication de son air heureux. Sa journée avait été merveilleuse !
Je mis à profit ses bonnes dispositions, j’exploitai l’excitation provoquée par Marcel, réveillée par mes caresses et baisers et je la conduisis au lit. Si, après l’amour avec moi, elle avait encore besoin de recevoir un concurrent demain à domicile, c’est que les produits chimiques, utilisés en coiffure, avaient déréglé sa libido. Je devrais en tirer les conséquences. Je fus mari, je fus amant. J’utilisai mes années d’expérience amoureuse avec elle. Je l’amenai à désirer l’union, à la réclamer. Mes mains, par attouchements légers, parcoururent sa poitrine, ses flancs, glissèrent des hanches aux cuisses, des genoux au cou, mes doigts fouillèrent le fruit d’amour entre ses cuisses remontées, ma langue frétilla sur son clitoris, mes lèvres se saisirent de ses petites lèvres, ma bouche happa, avala toutes ses chairs bouleversées, téta ses aréoles, mordit son cou, planta des suçons sur ses seins.
Attaquée de toutes parts, chatouillée, sucée, mordue, fouillée, Émilie se tordait de plaisir, s’ouvrait, s’offrait et finit par me supplier de la prendre. Je la pénétrai, limai comme un fou, la tournai et retournai, la chevauchai, puis la reçus sur moi. Autour de mon cou, elle nouait ses bras ou me faisait un collier de ses jambes. Elle gémit, cria ses orgasmes. Elle se donna sans réserve, se servit. Elle m’encourageait, me trouva formidable, demanda d’où me venait ce déchaînement. Apparemment épuisée par la joute, elle obtint un cessez-le-feu.
- Oh ! Le fou, regarde comme tu m’as marquée ! , dit-elle en se regardant dans le grand miroir de la salle de bain.
- C’est normal, tu es à moi, tu es ma femme, c’est pour que tu t’en souviennes. Qui le verra ? Toi et moi ! Voilà des parties du corps qu'on ne montre pas à n'importe qui, non?
- Tu t’es vidé en moi. Tu aurais pu te retirer. Tu te rends compte, je risque d’être enceinte. Ça va déformer mon corps !
- Ah ! Un enfant de toi, enfin, quel bonheur ce serait. Et tes clientes seraient ravies de l’apprendre. Viens, pose ta tête sur mon épaule !
Repue, elle s’endormit bien vite, une main en protection sur mon pénis retombé. À qui rêvait-elle ? Le matin, elle me répéta combien elle m’aimait, me prépara mon petit déjeuner en chantonnant gaiement et m’expédia au travail avec un baiser chargé de reconnaissance.
Mon patron m’accorda un congé pour l’après-midi. Ma demande exceptionnelle ne perturbait pas ses plans.
Habituellement, Émilie prend un repas léger au salon de coiffure pour conserver une ligne enviée de ses clientes, adeptes forcenées des régimes les plus farfelus et victimes d'un haïssable yo-yo? Elle est fière de sa ligne et rejette à un plus tard incertain, une grossesse peu désirée de ma femme. Elle ne revient jamais à la maison. Aujourd'hui elle fera exception pour accueillir le garçon boucher. Je rentre à la maison, je m’installe dans la chaufferie et vide la gamelle qu’elle m’avait préparée. Je veux savoir ce qui va se passer à l'abri des regards. Logiquement je peux m'attendre au pire. Quand on s'est embrassé aussi passionnément en public, on est partie pour consommer en privé, ou je n'y connais rien.
Et bien, aujourd’hui, ma femme arrive, très gaie, elle chante à tue-tête dans cette maison qu’elle croit vide et monte immédiatement à l’étage. Au bruit des talons sur le parquet, je suis ses déplacements. Elle s’attarde à la salle de bain, l’eau coule, un léger nuage de parfum de luxe descend vers la cave. On sonne, je repousse la porte de séparation entre cave et entrée.
- Pousse la porte, c’est ouvert, je t’attends. Tu vas bien mon beau gosse, tu es en forme ? Monte que je voie si ton plumage est aussi beau que ton ramage !
- Oh ! Que tu es belle. Quel beau morceau !
C’est un compliment de boucher. Il s’est arrêté au pied de l’escalier pour bramer son admiration.
- Tourne doucement. Quelle belle pièce, quel cul. Tes yeux de génisse me font bander comme un taureau. Oh !
- Viens, monte ton bouquet que je le mette dans un vase. Que c’est chou, des roses rouges ! C'est un langage d'amour. Tu sais parler aux femmes
Il gravit les marches trois par trois, s’arrête. Silence. Long silence. Je jette un œil, ils sont sur le palier, dans l’attitude où je les ai vus hier, dans la rue. Il ne s’est pas déplacé pour parler littérature, il est déjà dans le vif du sujet. Bouquet dans une main, Émilie ne résiste pas à la pression du genou pressé qui sépare ses cuisses.
- Un instant, je pose les roses dans un vase. Tu bois quelque chose, café, alcool ?
-Je croyais qu’il fallait faire vite. Tu sais je devrais être au boulot. Ma patronne va téléphoner à ma femme. Elle m’embête, à force. Va pour un petit verre. Tu as du kirsch ou une mirabelle ?
Le mufle est pressé de conclure, mais puisqu'elle lui offre un alcool, il consent. Elle se dirige vers la cuisine, il la suit, une main sur l’épaule, l’autre sur l’arrière train dans un geste possessif. Émilie glousse, réclame un peu de patience. Ce n’est qu’un début. J'entends l'annonce du prochain rendez-vous
Si tu peux venir demain, à midi et quart, nous disposerons de tout notre temps.
Bien entendu, il se libérera. Qu’elle téléphone à sa patronne pour passer une commande et il fera la livraison à domicile pendant la pause de midi.
Ils quittent la cuisine et entrent dans notre chambre à coucher. Le temps est compté et l’envie est pressante. Ils se déshabillent en marchant. Elle le provoque :
- Dégrafe mon soutien-gorge. Tu aimes mes seins ? Embrasse-les, dis leur bonjour. J’adore, hum !
- Ah ! Ce que t’es belle ! Les beaux nibars! Et ce cul ! Mais tu vois, moi aussi, j’ai de la belle marchandise, tu ne seras pas volée. Touche cette Montbéliard, n’est-ce pas de la belle saucisse pour la bouche et le con de madame : à servir chaud ! N’aie pas peur, c’est pas du toc. Fais-moi bander. C’est pas un truc à faire reluire les nanas, cet engin ? Tu as une chance formidable de pouvoir t’en servir. Apprécie !
- C’est vrai, tu en as une belle, majestueuse, chaude en main et réactive, dis donc. Je lui fais un bisou ?
- C’est une superbe bite, tu peux même la lécher, la sucer si tu en as envie. Tu ne dois pas en avaler une pareille tous les jours, à voir comme tu la fêtes ! Goulue, salope, tu me fais du bien. Oh ! Mais tu sais y faire, une experte, j’ai tiré le gros lot. Qu’est-ce que tu en dis ? »
Elle doit avoir la bouche pleine, elle ne répond pas.
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