« Moi, Julien… » SAISON 3 EPISODE 3 : Retour vers le futur 2, suite des aventures avec Benoit et Fra
Récit érotique écrit par Castor99 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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« Moi, Julien… » SAISON 3 EPISODE 3 : Retour vers le futur 2, suite des aventures avec Benoit et Fra
De chez Marion, après une soirée agitée (voir épisode précédent), je suis reparti le dimanche midi après une grasse matinée bien méritée.
En fait on s’est d’abord réveillés une première fois à la lueur du jour. Enfin plutôt je me suis fait réveiller par la bouche de Marion qui s’activait nonchalamment sur mon érection matinale. Elle suçotait ma queue alors que j’ouvrais difficilement un œil. « Bonjour mon bel au bois dormant » a-t-elle dit après avoir posé mon gland sur sa lèvre inférieure. Et elle l’a repris dans sa bouche suave. Moi je ne comptais pas me laisser faire sans réagir, je l’ai tiré par le bras pour qu’elle me rejoigne et je l’ai embrassé goulument. On s’est retourné dans le lit, elle sur le dos moi au-dessus. Je m’apprêtais à descendre butiner son sexe quand elle m’a interrompu en me disant « non, viens en moi tout de suite » tout en écartant largement ses jambes. Je suis rentré en elle sans résistance, dans un océan de bonheur. Marion a croisé ses jambes autour de mes hanches. On a fait l’amour comme ça, collé l’un à l’autre, langoureusement, amoureusement, avec des mouvements lents et amples. On avait envie de prendre notre temps, et de temps en temps on faisait une pause, mon sexe fiché en elle et on s’embrassait. Puis on bougeait de nouveau. Parfois aussi je ressortais presque en entier ma queue, seul mon gland restant en contact avec l’entrée de sa chatte, et je faisais des micro mouvements qui massaient la surface sensible de mon gland contre celle sensible de ses lèvres. Puis Marion plaçait ses mains sur mes fesses pour me faire comprendre d’accélérer. Elle accompagnait mes mouvements, les amplifiait même pour faire monter le plaisir. Mon pubis frottait contre le sien, excitant au passage son clitoris. Elle poussait des petits cris dans mon oreille, je lui répondais dans la sienne. On a joui tous les deux intensément. Et on s’est rendormi presque instantanément.
Juste avant midi Marion m’a réveillé un peu plus brutalement. Elle a même dû me virer du lit car elle devait déjeuner avec ses parents. Une douche rapide et j’ai enfilé mes fringues à la hâte pendant qu’elle courait dans tout son appartement pour mettre de l’ordre. Je suis finalement parti juste avant leur arrivée. Le reste de la journée, j’ai zoné dans le studio. Et tard dans la soirée, j’ai reçu un SMS de Simon.
Son SMS m’a rappelé que je ne l’avais pas revu depuis le restaurant, soit pratiquement une semaine. Mais Simon m’avait appelé 2 jours après, un soir tard. Les enfants étaient déjà couchés et j’étais au lit en train de lire un bouquin. « Coucou mon Julien » avait-il dit. Je lui ai répondu que ça me faisait plaisir de l’entendre. Il m’a reparlé du restaurant, qu’il me remerciait de nouveau d’avoir eu confiance en lui et qu’il avait trouvé Marion vraiment super. Et puis il m’a finalement demandé « et après ta première fois, tu les as revus Benoit et François ? ». Il avait très envie que je lui raconte la suite, alors de bonne grâce je me suis exécuté.
« En fait Benoit je le voyais pratiquement tous les week-ends. Après cette première fois ils nous arrivaient souvent de faire des trucs ensemble. Mais comme je n’avais pas d’appart et lui non plus, et bien on le faisait là on pouvait. Avec lui j’ai connu les pelles, les branlettes et les pipes dans pratiquement tous les endroits possibles et imaginables. Dans la rue, sous une porte cochère, dans un cinéma, dans des toilettes de boites de nuit, dans une voiture à l’arrêt, et même dans une voiture en mouvement d’ailleurs, dans le métro on s’est branlé, dans un bois en pleine nuit, sur le banc d’un parc, dans la cabine d’un sex shop pendant qu’on regardait une vidéo porno, dans le couloir d’un immeuble à 3 heures du mat, dans l’escalier du même immeuble, et dans un ascenseur aussi. Et souvent je finissais par jouir dans sa bouche. Ou alors c’était lui qui jouissait dans la mienne, ça dépendait.
Et puis un jour Benoit m’avait avoué que François lui parlait de temps en temps de l’un de ses fantasmes : il voulait être soumis à deux mecs dans une cuisine. Pourquoi la cuisine me diras-tu ? Je ne sais pas. Et puis un fantasme, ça ne se discute pas, c’est comme ça. Du coup avec Benoit nous avions préparé un joli traquenard.
Un week-end où mon frère était absent, nous avions demandé à François de venir dans l’appartement de mon frère. C‘était un tout petit deux pièces en enfilade dans un petit immeuble au fond de la cour d’un immeuble bourgeois à côté de Passy. La cuisine était en second jour de la première pièce.
Sous un quelconque prétexte dont je ne me souviens plus, Benoit avait appelé François à l’aide dans la cuisine. Il était convenu avec Benoit que j’attendrais 5 minutes avant de les rejoindre silencieusement. Et c’est ce que j’ai fait.
Je suis arrivé à pas feutrés. Benoit était debout, le pantalon entrouvert, et François à genoux devant lui. Les mouvements de sa tête ne laissaient aucun doute. Benoit m’a fait un petit signe de la main. Je me suis rapproché en ouvrant ma braguette et j’ai sorti ma queue. Je bandais déjà. Je l’ai placée d’autorité devant le visage de François. Et d’une main ferme sur sa tête, je l’ai orientée vers moi pour enfourner au chaud ma bite. Tu imagines le tableau ? »
J’entendais les soupirs de Simon au téléphone. Je lui ai demandé : « Mais t’es en train de te branler ? ». Il m’a fait « oui, continue, tu m’excites ». Machinalement j’ai passé ma main sous ma couette pour la poser sur mon boxer moulant. Ma bite était dure comme du bois et mon gland voulait s’échapper de l’élastique. J’ai repris mon récit.
« Français était plutôt bon pour sucer les mecs. Et là on sentait qu’il s’appliquait. Il alternait entre la queue de Benoit et la mienne tout en nous branlant en même temps. Parfois même il approchait nos deux glands jusqu’à ce qu’ils se touchent et ils tentaient de les avaler en ouvrant grand sa bouche. On le traiter de petite salope et on lui baisait la bouche à tour de rôle.
Et puis Benoit est passé à l’action. Il a placé un tabouret haut au milieu de la cuisine. Il a relevé François, il lui a baissé son froc violemment et l’a fait se pencher sans ménagement sur le tabouret, son torse contre l’assise. Il a ajouté, attend c’était quoi déjà, ah oui, il a ajouté « on va bien la défoncer cette petite pute » et il a rentré comme ça sa queue dans son cul. Tu aurais dû entendre François couiner, une vraie lope. Et Benoit le besognait, encore et encore et il m’a dit « vas-y, met lui ta bite dans sa gueule sinon il va rameuter tout le quartier ». C’est ce que j’ai fait. Et il faut que je te dise Simon, j’adore entendre gémir quelqu’un la bouche pleine. Ça m’excite à un point tu ne peux pas savoir. »
Simon m’a répondu « oui moi aussi ça m’excite ». Je l’entendais se branler à l’autre bout du fil. Et je faisais de même après avoir descendu mon boxer, ma main allant et venant le long de ma tige. J’avais du mal à me concentrer sur mon histoire mais j’ai quand même continué.
« Donc François était coincé entre la queue de Benoit dans son cul et la mienne dans sa bouche. Les mains de Benoit le tenaient fermement par ses hanches. Et les miennes par sa tête. On essayait de bien synchroniser de nos mouvements. Puis j’ai dit à Benoit que je voulais la baiser cette chienne. Et j’ai pris sa place. Son cul était bien ouvert, j’suis rentré comme dans du beurre. Je l’ai défoncé comme si ma vie en dépendait. Je tapais mon ventre contre son cul. Je regardais ma bite rentrer et sortir. Encore et encore. Benoit sentait que j’allais venir alors il m’a dit d’attendre. Je suis sorti à regret de son trou, Benoit a pris François par l’épaule et l’a mis de nouveau à genoux devant nous. Et Il m’a dit « branle-toi, on va lui jouir sur sa gueule de salope ». On s’est branlé comme ça juste devant le visage de François qui nous regardait avec sa gueule d’ange, la bouche ouverte, la langue sortie ».
Et pendant que je terminais mon récit, je sentais Simon qui accélérait sa masturbation, le souffle rauque. Moi aussi j’étais en train d’atteindre le point de non-retour alors que je lui murmurais au téléphone que Benoit et moi avions joui en même temps et que des longues trainées de sperme maculaient le visage de François, de son menton jusqu’à ses cheveux. Et à quelques kilomètres de distance, Simon et moi avons à notre tour éjaculé, mon sperme atterrissant sur les poils de mon ventre.
- Merde, lui ai-je dit en rigolant, j’en ai foutu partout- Moi aussi a-t-il rétorqué en rigolant. Putain tu m’as excité à mort tu sais ?
- Merci, c’était un peu le but aussi. Bon il faut quand même que j’aille me laver avant que j’en mette sur la couette.
- Et faut que je te laisse aussi, demain je bosse. Bisous mon Julien- Bisous mon Simon
Nous étions donc dimanche soir et j’avais reçu le sms de Simon. En substance il disait de façon très solennelle : « Rendez-vous mardi soir devant le BHV, 19H pétantes ! Habille-toi sexy 😉».
Je ne savais pas à quoi m’attendre. Mais avec Simon les surprises étaient toujours agréables. Et je ne fus pas déçu par celle-là non plus.
En fait on s’est d’abord réveillés une première fois à la lueur du jour. Enfin plutôt je me suis fait réveiller par la bouche de Marion qui s’activait nonchalamment sur mon érection matinale. Elle suçotait ma queue alors que j’ouvrais difficilement un œil. « Bonjour mon bel au bois dormant » a-t-elle dit après avoir posé mon gland sur sa lèvre inférieure. Et elle l’a repris dans sa bouche suave. Moi je ne comptais pas me laisser faire sans réagir, je l’ai tiré par le bras pour qu’elle me rejoigne et je l’ai embrassé goulument. On s’est retourné dans le lit, elle sur le dos moi au-dessus. Je m’apprêtais à descendre butiner son sexe quand elle m’a interrompu en me disant « non, viens en moi tout de suite » tout en écartant largement ses jambes. Je suis rentré en elle sans résistance, dans un océan de bonheur. Marion a croisé ses jambes autour de mes hanches. On a fait l’amour comme ça, collé l’un à l’autre, langoureusement, amoureusement, avec des mouvements lents et amples. On avait envie de prendre notre temps, et de temps en temps on faisait une pause, mon sexe fiché en elle et on s’embrassait. Puis on bougeait de nouveau. Parfois aussi je ressortais presque en entier ma queue, seul mon gland restant en contact avec l’entrée de sa chatte, et je faisais des micro mouvements qui massaient la surface sensible de mon gland contre celle sensible de ses lèvres. Puis Marion plaçait ses mains sur mes fesses pour me faire comprendre d’accélérer. Elle accompagnait mes mouvements, les amplifiait même pour faire monter le plaisir. Mon pubis frottait contre le sien, excitant au passage son clitoris. Elle poussait des petits cris dans mon oreille, je lui répondais dans la sienne. On a joui tous les deux intensément. Et on s’est rendormi presque instantanément.
Juste avant midi Marion m’a réveillé un peu plus brutalement. Elle a même dû me virer du lit car elle devait déjeuner avec ses parents. Une douche rapide et j’ai enfilé mes fringues à la hâte pendant qu’elle courait dans tout son appartement pour mettre de l’ordre. Je suis finalement parti juste avant leur arrivée. Le reste de la journée, j’ai zoné dans le studio. Et tard dans la soirée, j’ai reçu un SMS de Simon.
Son SMS m’a rappelé que je ne l’avais pas revu depuis le restaurant, soit pratiquement une semaine. Mais Simon m’avait appelé 2 jours après, un soir tard. Les enfants étaient déjà couchés et j’étais au lit en train de lire un bouquin. « Coucou mon Julien » avait-il dit. Je lui ai répondu que ça me faisait plaisir de l’entendre. Il m’a reparlé du restaurant, qu’il me remerciait de nouveau d’avoir eu confiance en lui et qu’il avait trouvé Marion vraiment super. Et puis il m’a finalement demandé « et après ta première fois, tu les as revus Benoit et François ? ». Il avait très envie que je lui raconte la suite, alors de bonne grâce je me suis exécuté.
« En fait Benoit je le voyais pratiquement tous les week-ends. Après cette première fois ils nous arrivaient souvent de faire des trucs ensemble. Mais comme je n’avais pas d’appart et lui non plus, et bien on le faisait là on pouvait. Avec lui j’ai connu les pelles, les branlettes et les pipes dans pratiquement tous les endroits possibles et imaginables. Dans la rue, sous une porte cochère, dans un cinéma, dans des toilettes de boites de nuit, dans une voiture à l’arrêt, et même dans une voiture en mouvement d’ailleurs, dans le métro on s’est branlé, dans un bois en pleine nuit, sur le banc d’un parc, dans la cabine d’un sex shop pendant qu’on regardait une vidéo porno, dans le couloir d’un immeuble à 3 heures du mat, dans l’escalier du même immeuble, et dans un ascenseur aussi. Et souvent je finissais par jouir dans sa bouche. Ou alors c’était lui qui jouissait dans la mienne, ça dépendait.
Et puis un jour Benoit m’avait avoué que François lui parlait de temps en temps de l’un de ses fantasmes : il voulait être soumis à deux mecs dans une cuisine. Pourquoi la cuisine me diras-tu ? Je ne sais pas. Et puis un fantasme, ça ne se discute pas, c’est comme ça. Du coup avec Benoit nous avions préparé un joli traquenard.
Un week-end où mon frère était absent, nous avions demandé à François de venir dans l’appartement de mon frère. C‘était un tout petit deux pièces en enfilade dans un petit immeuble au fond de la cour d’un immeuble bourgeois à côté de Passy. La cuisine était en second jour de la première pièce.
Sous un quelconque prétexte dont je ne me souviens plus, Benoit avait appelé François à l’aide dans la cuisine. Il était convenu avec Benoit que j’attendrais 5 minutes avant de les rejoindre silencieusement. Et c’est ce que j’ai fait.
Je suis arrivé à pas feutrés. Benoit était debout, le pantalon entrouvert, et François à genoux devant lui. Les mouvements de sa tête ne laissaient aucun doute. Benoit m’a fait un petit signe de la main. Je me suis rapproché en ouvrant ma braguette et j’ai sorti ma queue. Je bandais déjà. Je l’ai placée d’autorité devant le visage de François. Et d’une main ferme sur sa tête, je l’ai orientée vers moi pour enfourner au chaud ma bite. Tu imagines le tableau ? »
J’entendais les soupirs de Simon au téléphone. Je lui ai demandé : « Mais t’es en train de te branler ? ». Il m’a fait « oui, continue, tu m’excites ». Machinalement j’ai passé ma main sous ma couette pour la poser sur mon boxer moulant. Ma bite était dure comme du bois et mon gland voulait s’échapper de l’élastique. J’ai repris mon récit.
« Français était plutôt bon pour sucer les mecs. Et là on sentait qu’il s’appliquait. Il alternait entre la queue de Benoit et la mienne tout en nous branlant en même temps. Parfois même il approchait nos deux glands jusqu’à ce qu’ils se touchent et ils tentaient de les avaler en ouvrant grand sa bouche. On le traiter de petite salope et on lui baisait la bouche à tour de rôle.
Et puis Benoit est passé à l’action. Il a placé un tabouret haut au milieu de la cuisine. Il a relevé François, il lui a baissé son froc violemment et l’a fait se pencher sans ménagement sur le tabouret, son torse contre l’assise. Il a ajouté, attend c’était quoi déjà, ah oui, il a ajouté « on va bien la défoncer cette petite pute » et il a rentré comme ça sa queue dans son cul. Tu aurais dû entendre François couiner, une vraie lope. Et Benoit le besognait, encore et encore et il m’a dit « vas-y, met lui ta bite dans sa gueule sinon il va rameuter tout le quartier ». C’est ce que j’ai fait. Et il faut que je te dise Simon, j’adore entendre gémir quelqu’un la bouche pleine. Ça m’excite à un point tu ne peux pas savoir. »
Simon m’a répondu « oui moi aussi ça m’excite ». Je l’entendais se branler à l’autre bout du fil. Et je faisais de même après avoir descendu mon boxer, ma main allant et venant le long de ma tige. J’avais du mal à me concentrer sur mon histoire mais j’ai quand même continué.
« Donc François était coincé entre la queue de Benoit dans son cul et la mienne dans sa bouche. Les mains de Benoit le tenaient fermement par ses hanches. Et les miennes par sa tête. On essayait de bien synchroniser de nos mouvements. Puis j’ai dit à Benoit que je voulais la baiser cette chienne. Et j’ai pris sa place. Son cul était bien ouvert, j’suis rentré comme dans du beurre. Je l’ai défoncé comme si ma vie en dépendait. Je tapais mon ventre contre son cul. Je regardais ma bite rentrer et sortir. Encore et encore. Benoit sentait que j’allais venir alors il m’a dit d’attendre. Je suis sorti à regret de son trou, Benoit a pris François par l’épaule et l’a mis de nouveau à genoux devant nous. Et Il m’a dit « branle-toi, on va lui jouir sur sa gueule de salope ». On s’est branlé comme ça juste devant le visage de François qui nous regardait avec sa gueule d’ange, la bouche ouverte, la langue sortie ».
Et pendant que je terminais mon récit, je sentais Simon qui accélérait sa masturbation, le souffle rauque. Moi aussi j’étais en train d’atteindre le point de non-retour alors que je lui murmurais au téléphone que Benoit et moi avions joui en même temps et que des longues trainées de sperme maculaient le visage de François, de son menton jusqu’à ses cheveux. Et à quelques kilomètres de distance, Simon et moi avons à notre tour éjaculé, mon sperme atterrissant sur les poils de mon ventre.
- Merde, lui ai-je dit en rigolant, j’en ai foutu partout- Moi aussi a-t-il rétorqué en rigolant. Putain tu m’as excité à mort tu sais ?
- Merci, c’était un peu le but aussi. Bon il faut quand même que j’aille me laver avant que j’en mette sur la couette.
- Et faut que je te laisse aussi, demain je bosse. Bisous mon Julien- Bisous mon Simon
Nous étions donc dimanche soir et j’avais reçu le sms de Simon. En substance il disait de façon très solennelle : « Rendez-vous mardi soir devant le BHV, 19H pétantes ! Habille-toi sexy 😉».
Je ne savais pas à quoi m’attendre. Mais avec Simon les surprises étaient toujours agréables. Et je ne fus pas déçu par celle-là non plus.
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