"Parcours croisés"- chapitre 15
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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"Parcours croisés"- chapitre 15
Parcours croisés – Mercredi
Chapitre 15
Jonathan
- Tu diras rien … faut pas …
Elle est assise sur le banc, à côté de moi. Elle serre ses bras autour d’elle, comme si elle avait froid. Elle baisse la tête et me parle tout doucement, sans me regarder.
Quand on est arrivé dans le parc, je voyais bien qu’elle était pas bien ; elle marchait loin de moi, les bras serrés, regardant loin devant elle.
On s’est assis sur un banc. J’avais pas envie de retourner au magasin. Elle disait rien ; et moi je savais pas quoi lui dire. J’ai mis mon bras sur ses épaules mais elle m’a repoussé.
- Tu diras rien … faut pas …
Elle a parlé tout doucement, j’ai presque pas entendu.
- … d’accord … je dirai à personne …
- Ni à Christophe, surtout pas à lui … tu parles beaucoup avec lui … faut pas … promet !
- … c’est promis … je te jure … je dirai rien …
Elle s’est levée. Elle attendait que je la suive.
En arrivant sur la rue, elle s’est arrêtée, m’a regardé, et elle est partie sans rien dire.
J’ai attendu un peu en la regardant partir, mais elle s’est pas retournée.
Tout le matin, j’ai nettoyé la resserre. J’avais pas fait depuis une semaine et le patron était pas content. J’ai écrasé les cagettes et les cartons et j’ai tout empilé dans le camion. Après j’ai balayé et tout lavé au jet d’eau. Le patron est venu vérifier et il m’a dit d’aller me changer parce que j’étais tout mouillé et que je devais faire deux livraisons : une au Café des Sports, avant midi, et l’autre chez ma prof au début d’après-midi.
Je savais déjà qu’il fallait aller chez elle ; elle me l’avait dit.
J’y suis arrivé vers deux heures. Elle m’a ouvert en peignoir, comme hier. Elle m’a amené dans la cuisine et elle a surveillé ce que je sortais des sacs et comment je rangeais.
- Tu sens la transpiration ! As-tu pris une douche, aujourd’hui ?
- Ce matin, oui … mais j’ai travaillé et y fait chaud …
- Suis-moi !
Je l’ai suivie dans le couloir. Le salon était presque dans le noir quand on est passé devant. Elle m’a amené dans la salle de bain et elle a fermé la porte. Elle est restée debout les bras croisés devant la porte et elle a dit de me déshabiller. J’ai enlevé les baskets, le polo et le jean’s. Quand elle a vu que j’avais mon caleçon, elle a secoué la tête : j’avais oublié … j’ai pensé ce matin à mettre la culotte comme elle avait dit, et puis j’ai oublié.
- Enlève cette chose immonde !
Elle a pris un gant sur le lavabo et m’a dit de me laver. Elle a surveillé tout le temps pour voir si je faisais bien. Quand j’ai fini, elle a sorti un foulard de la poche de son peignoir et elle l’a attaché sur mes yeux. Elle a pris ma main et on est sortis de la salle de bain ; j’étais encore tout nu.
J’ai reconnu que j’étais dans le salon quand elle m’a fait mettre à genoux sur un tapis et qu’elle m’a fait pencher en avant, comme à quatre pattes, mais en appuyant les épaules et la tête sur le canapé.
Je l’ai entendue bouger et marcher un petit moment et puis elle s’est mise à parler. C’était une histoire qu’elle m’avait fait déjà lire mais que j’avais pas finie : une histoire très cochonne où un vieux torturait une fille et la faisait baiser par plusieurs autres types. Elle lisait et à un moment elle m’a fait écarter les genoux avec son pied.
De savoir qu’elle pouvait voir mon cul et mes couilles depuis derrière, et puis l’histoire qu’elle lisait, ça m’a fait bander. Après elle a pris ma main qui était posée sur le canapé à côté de ma tête. Elle me tenait par le poignet. Elle l’a fait glisser vers la droite et j’ai senti des cheveux sous mes doigts. Elle a soulevé ma main et l’a reposée sur le haut d’une tête et a fait glisser en arrière. J’ai senti le dos sous ma main et puis des fesses. Y avait quelqu’un à côté de moi et tout nu aussi. Elle a encore tiré mon poignet sur le dos et puis l’a fait descendre et j’ai sentie sur le dos de ma main quelque chose de doux qui pendait et bougeait ; j’ai tourné la main pour la toucher avec les doigts et j’ai deviné que je touchais le sein d’une fille qui devait être dans la même position que moi. Elle a lâché ma main et j’ai continué à caresser, c’était doux et chaud et je bandais encore plus.
Au bout d’un moment la fille s’est redressée et je pouvais plus la toucher. J’ai senti que la prof s’asseyait à côté de moi et elle a pris mes mains pour que je les pose de chaque côté de ma tête. Sa cuisse était contre ma main et je sentais le tissu de ses bas contre mes doigts. Elle a un peu bougé. Une main s’est posée sur une de mes fesses et une autre a bougé sur la raie des fesses, a touché le trou de mon cul et puis est allée toucher mes couilles et les serrant entre les doigts ; l’autre main a glissé de sur ma fesse et m’a touché la queue et puis est remontée et j’ai senti un doigt appuyer sur le trou de mon cul. Au bout d’un moment j’ai senti deux autres mains se poser sur mon dos en me griffant un peu. Une est partie vers mes fesses et je l’ai plus sentie ; l’autre est descendue vers mon ventre et s’est mise à me tirer les poils au-dessus de la queue. Le doigt qui appuyait sur mon trou du cul a poussé fort et il rentré d’un coup. On m’a branlé la queue et la main sur mes couilles a serré plus fort. Le doigt bougeait dans mon cul et j’ai explosé. J’ai giclé longtemps et j’ai serré la cuisse de ma prof en appuyant ma joue contre elle. Elle a continué à me branler longtemps même quand je jouissais plus, et je débandais pas. Le doigt est sorti de mon cul et l’autre main a lâché mes couilles. Je sentais plus que les ongles qui me griffaient le dos et la main qui me branlait encore.
C’était forcément l’autre fille qui m’avait mis un doigt.
La prof m’a lâché la queue et s’est levée. J’ai pas bougé.
Au bout d’un moment, elle a dénoué le foulard. Je me suis relevé et j’ai regardé autour de moi. Elle était debout juste devant moi, un doigt sur les lèvres pour me dire de me taire. Elle était en petite culotte noire avec des bas Dim’up et une guêpière qui lui serrait la poitrine. La culotte était mal mise et y avait des poils gris qui dépassaient d’un côté. Il faisait presque noir. Elle m’a fait lever et m’a poussé jusqu’au fauteuil devant la fenêtre. La fille était là, les jambes écartées en grand et posées sur les accoudoirs ; elle avait un foulard sur les yeux, comme moi avant. En m’approchant, j’ai reconnu Nelly, la copine de Kévin !
La prof m’a fait mettre à genoux entre ses jambes et puis elle a mis les mains de Nelly sur sa chatte, et lui a fait écarter la fente en grand avec ses doigts. Elle est revenue derrière moi et m’a poussé jusqu’à ce que j’embrasse la fente grande ouverte. Elle sentait bon. Je l’ai embrassé et j’ai léché, en rentrant la langue au maximum. La prof m’a tiré en arrière par les cheveux et avec un doigt, elle m’a montré le petit bouton en haut de la fente, et puis elle m’a repoussé en avant. Quand j’ai commencé à lécher le bouton, Nelly s’est mise à remuer les hanches et à onduler. J’ai aspiré le bouton et la peau autour et je sentais qu’elle tremblait un peu et bougeait plus vite. Pour qu’elle sente comme elle m’avait fait à moi, j’ai mis un doigt dans son cul. La prof tenait ma tête appuyée contre sa chatte en me tenant les cheveux. Tout d’un coup, j’ai senti gicler dans ma bouche ; j’ai voulu reculer mais la prof me tenait fort et j’ai bu un peu du pipi qui giclait dans ma bouche ; Nelly criait en plaquant son ventre contre ma bouche ; elle tremblait beaucoup et donnait des coups de reins ; elle a repoussé ma tête à deux mains et je l’ai regardée se caresser et se faire jouir encore pendant que la prof lui serrait les seins très fort et tordait ses tétons.
La prof m’a fait asseoir dans le canapé et m’a fait signe de pas bouger. Elle est partie au moins cinq minutes. Nelly non plus avait pas bougé. J’en revenais pas de la voir toute nue comme ça, ici. Je bandais encore à fond mais j’osais pas me toucher.
La prof est revenue, elle s’était recoiffée. Elle avait un truc rose dans la main qu’elle a posé sur la table devant moi. Elle est allée chercher Nelly. Elle l’a faite mettre à quatre pattes sur le tapis et puis poser la tête sur le tapis, le cul en l’air. Elle a pris le truc en plastique sur la table ; c’était comme un gros sexe avec de grosses veines et un bouton noir au bout ; c’était plus gros et plus long que ma queue.
Elle s’est approchée de moi et l’a promené sur ma bouche ; elle l’a pris aussi dans sa bouche à elle et a mis plein de salive dessus et puis l’a encore avancé vers ma bouche ; j’ai aussi craché dessus et elle a étalé la salive avec un doigt. Elle m’a tiré par un bras jusque derrière le cul de Nelly. Elle a passé le gode dans sa raie et d’un coup, elle l’a rentré dans son cul. Nelly a crié et elle a serré les poings sur le tapis, mais elle s’est pas échappée ; la prof a retiré l’engin et l’a replanté aussi fort tout de suite en le rentrant plus loin ; Nelly a encore crié en se mordant une main. La prof l’a laissé planté sans y toucher et a pris ma queue dans sa main ; elle m’a branlé plusieurs fois en tirant très fort vers le bas et ça m’a fait mal, mais j’ai rien dit. Le gode est sorti du cul de Nelly et il est tombé sur le tapis entre ses jambes.
La prof m’a fait mettre debout derrière Nelly, les jambes très écartées de chaque côté de son cul et m’a fait plier les genoux en tirant ma queue vers le cul de Nelly. Je me suis appuyé sur son dos et la prof a posé mon gland sur la rondelle du cul ; après elle s’est mise derrière moi, elle a passé une main entre mes jambes pour tenir ma queue contre le trou de son cul ; en même temps, elle a posé le gode sur mon cul à moi et elle a poussé. Je serrais le cul parce que j’avais peur qu’elle me rentre ce gros truc. Elle a branlé ma queue et j’ai senti le cul de Nelly s’ouvrir un peu ; j’ai commencé à pousser plus fort et d’un coup, les deux sont rentrés en même temps, dans son cul et dans le mien. J’ai eu très mal, comme si on me déchirait quelque chose, et ça brûlait ; ma queue est rentrée à fond et Nelly a gémi ; je poussais fort ; j’avais envie de lui faire mal comme moi j’avais mal ; le gode a commencé à bouger dans mon cul et ça me brûlait vraiment beaucoup; il rentrait de plus en plus loin et je me suis mis à bouger aussi entre les fesses de Nelly de plus en plus fort et j’ai giclé au fond de son cul tout chaud qui me serrait presque plus et je sentais les secousses aussi sur mon cul qui se serrait sur le gode pendant que je giclais.
Elle m’a laissé le gode dans le cul enfoncé à fond et m’a pris une main pour que je le tienne dedans.
Elle a fait relever Nelly, l’a fait mettre debout en face de moi et elle lui a enlevé le foulard.
Quand elle m’a reconnu, Nelly s’est mise à pleurer en mettant la main devant sa bouche. La prof l’a prise par les cheveux et l’a fait se baisser devant moi :
- Suce-le ! tout de suite ! … et branle-lui le cul !
Nelly a ouvert la bouche et a pris ma queue dans sa bouche. Elle a mis une main entre mes jambes, J’ai lâché le gode et elle l’a pris dans la main ; j’ai senti qu’il se mettait à vibrer à l’intérieur de mon cul. Je sentais sa langue chaude et ses dents sur mon gland ; elle bougeait presque pas le gode ; quand j’ai senti que j’allais gicler encore, j’ai voulu sortir de sa bouche, mais elle m’a avalé complè-tement au fond de la gorge, le nez dans mes poils et pendant que je jouissais elle a enlevé le gode de mon cul. Elle m’a gardé dans sa bouche sans bouger jusqu’à ce que je débande.
Elle s’est relevée et on osait pas se regarder. La prof était dans le canapé et nous regardait en sou-riant. Elle avait les joues très rouges et ses yeux brillaient.
Elle nous amené dans la salle de bain. Elle s’est assise sur la baignoire et nous a dit de nous laver l’un l’autre, partout. Je savais pas trop comment m’y prendre pour laver Nelly alors elle m’a guidé. Et puis elle m’a lavé partout, lentement, et je me suis remis à bander. Elle gardait les yeux baissés et elle avait l’air un peu triste.
On s’est rhabillés.
La prof avait renfilé son peignoir à fleurs ; elle nous a servi un coca …
On est parti en même temps … elle marche loin de moi, les bras serrés autour d’elle, et regarde loin devant elle.
Je ne sais pas quoi lui dire ; je sens qu’elle va pas trop bien :
- Tu la connais depuis longtemps ?
Je me suis arrêté et je la regarde. Elle continue à marcher, et s’assoit sur un banc :
- C’est ma tante …
Je me suis assis à côté d’elle. J’ai mis mon bras sur ses épaules mais elle m’a repoussé. Elle a parlé tout doucement, j’ai presque pas entendu :
- Tu diras rien … faut pas …
Chapitre 15
Jonathan
- Tu diras rien … faut pas …
Elle est assise sur le banc, à côté de moi. Elle serre ses bras autour d’elle, comme si elle avait froid. Elle baisse la tête et me parle tout doucement, sans me regarder.
Quand on est arrivé dans le parc, je voyais bien qu’elle était pas bien ; elle marchait loin de moi, les bras serrés, regardant loin devant elle.
On s’est assis sur un banc. J’avais pas envie de retourner au magasin. Elle disait rien ; et moi je savais pas quoi lui dire. J’ai mis mon bras sur ses épaules mais elle m’a repoussé.
- Tu diras rien … faut pas …
Elle a parlé tout doucement, j’ai presque pas entendu.
- … d’accord … je dirai à personne …
- Ni à Christophe, surtout pas à lui … tu parles beaucoup avec lui … faut pas … promet !
- … c’est promis … je te jure … je dirai rien …
Elle s’est levée. Elle attendait que je la suive.
En arrivant sur la rue, elle s’est arrêtée, m’a regardé, et elle est partie sans rien dire.
J’ai attendu un peu en la regardant partir, mais elle s’est pas retournée.
Tout le matin, j’ai nettoyé la resserre. J’avais pas fait depuis une semaine et le patron était pas content. J’ai écrasé les cagettes et les cartons et j’ai tout empilé dans le camion. Après j’ai balayé et tout lavé au jet d’eau. Le patron est venu vérifier et il m’a dit d’aller me changer parce que j’étais tout mouillé et que je devais faire deux livraisons : une au Café des Sports, avant midi, et l’autre chez ma prof au début d’après-midi.
Je savais déjà qu’il fallait aller chez elle ; elle me l’avait dit.
J’y suis arrivé vers deux heures. Elle m’a ouvert en peignoir, comme hier. Elle m’a amené dans la cuisine et elle a surveillé ce que je sortais des sacs et comment je rangeais.
- Tu sens la transpiration ! As-tu pris une douche, aujourd’hui ?
- Ce matin, oui … mais j’ai travaillé et y fait chaud …
- Suis-moi !
Je l’ai suivie dans le couloir. Le salon était presque dans le noir quand on est passé devant. Elle m’a amené dans la salle de bain et elle a fermé la porte. Elle est restée debout les bras croisés devant la porte et elle a dit de me déshabiller. J’ai enlevé les baskets, le polo et le jean’s. Quand elle a vu que j’avais mon caleçon, elle a secoué la tête : j’avais oublié … j’ai pensé ce matin à mettre la culotte comme elle avait dit, et puis j’ai oublié.
- Enlève cette chose immonde !
Elle a pris un gant sur le lavabo et m’a dit de me laver. Elle a surveillé tout le temps pour voir si je faisais bien. Quand j’ai fini, elle a sorti un foulard de la poche de son peignoir et elle l’a attaché sur mes yeux. Elle a pris ma main et on est sortis de la salle de bain ; j’étais encore tout nu.
J’ai reconnu que j’étais dans le salon quand elle m’a fait mettre à genoux sur un tapis et qu’elle m’a fait pencher en avant, comme à quatre pattes, mais en appuyant les épaules et la tête sur le canapé.
Je l’ai entendue bouger et marcher un petit moment et puis elle s’est mise à parler. C’était une histoire qu’elle m’avait fait déjà lire mais que j’avais pas finie : une histoire très cochonne où un vieux torturait une fille et la faisait baiser par plusieurs autres types. Elle lisait et à un moment elle m’a fait écarter les genoux avec son pied.
De savoir qu’elle pouvait voir mon cul et mes couilles depuis derrière, et puis l’histoire qu’elle lisait, ça m’a fait bander. Après elle a pris ma main qui était posée sur le canapé à côté de ma tête. Elle me tenait par le poignet. Elle l’a fait glisser vers la droite et j’ai senti des cheveux sous mes doigts. Elle a soulevé ma main et l’a reposée sur le haut d’une tête et a fait glisser en arrière. J’ai senti le dos sous ma main et puis des fesses. Y avait quelqu’un à côté de moi et tout nu aussi. Elle a encore tiré mon poignet sur le dos et puis l’a fait descendre et j’ai sentie sur le dos de ma main quelque chose de doux qui pendait et bougeait ; j’ai tourné la main pour la toucher avec les doigts et j’ai deviné que je touchais le sein d’une fille qui devait être dans la même position que moi. Elle a lâché ma main et j’ai continué à caresser, c’était doux et chaud et je bandais encore plus.
Au bout d’un moment la fille s’est redressée et je pouvais plus la toucher. J’ai senti que la prof s’asseyait à côté de moi et elle a pris mes mains pour que je les pose de chaque côté de ma tête. Sa cuisse était contre ma main et je sentais le tissu de ses bas contre mes doigts. Elle a un peu bougé. Une main s’est posée sur une de mes fesses et une autre a bougé sur la raie des fesses, a touché le trou de mon cul et puis est allée toucher mes couilles et les serrant entre les doigts ; l’autre main a glissé de sur ma fesse et m’a touché la queue et puis est remontée et j’ai senti un doigt appuyer sur le trou de mon cul. Au bout d’un moment j’ai senti deux autres mains se poser sur mon dos en me griffant un peu. Une est partie vers mes fesses et je l’ai plus sentie ; l’autre est descendue vers mon ventre et s’est mise à me tirer les poils au-dessus de la queue. Le doigt qui appuyait sur mon trou du cul a poussé fort et il rentré d’un coup. On m’a branlé la queue et la main sur mes couilles a serré plus fort. Le doigt bougeait dans mon cul et j’ai explosé. J’ai giclé longtemps et j’ai serré la cuisse de ma prof en appuyant ma joue contre elle. Elle a continué à me branler longtemps même quand je jouissais plus, et je débandais pas. Le doigt est sorti de mon cul et l’autre main a lâché mes couilles. Je sentais plus que les ongles qui me griffaient le dos et la main qui me branlait encore.
C’était forcément l’autre fille qui m’avait mis un doigt.
La prof m’a lâché la queue et s’est levée. J’ai pas bougé.
Au bout d’un moment, elle a dénoué le foulard. Je me suis relevé et j’ai regardé autour de moi. Elle était debout juste devant moi, un doigt sur les lèvres pour me dire de me taire. Elle était en petite culotte noire avec des bas Dim’up et une guêpière qui lui serrait la poitrine. La culotte était mal mise et y avait des poils gris qui dépassaient d’un côté. Il faisait presque noir. Elle m’a fait lever et m’a poussé jusqu’au fauteuil devant la fenêtre. La fille était là, les jambes écartées en grand et posées sur les accoudoirs ; elle avait un foulard sur les yeux, comme moi avant. En m’approchant, j’ai reconnu Nelly, la copine de Kévin !
La prof m’a fait mettre à genoux entre ses jambes et puis elle a mis les mains de Nelly sur sa chatte, et lui a fait écarter la fente en grand avec ses doigts. Elle est revenue derrière moi et m’a poussé jusqu’à ce que j’embrasse la fente grande ouverte. Elle sentait bon. Je l’ai embrassé et j’ai léché, en rentrant la langue au maximum. La prof m’a tiré en arrière par les cheveux et avec un doigt, elle m’a montré le petit bouton en haut de la fente, et puis elle m’a repoussé en avant. Quand j’ai commencé à lécher le bouton, Nelly s’est mise à remuer les hanches et à onduler. J’ai aspiré le bouton et la peau autour et je sentais qu’elle tremblait un peu et bougeait plus vite. Pour qu’elle sente comme elle m’avait fait à moi, j’ai mis un doigt dans son cul. La prof tenait ma tête appuyée contre sa chatte en me tenant les cheveux. Tout d’un coup, j’ai senti gicler dans ma bouche ; j’ai voulu reculer mais la prof me tenait fort et j’ai bu un peu du pipi qui giclait dans ma bouche ; Nelly criait en plaquant son ventre contre ma bouche ; elle tremblait beaucoup et donnait des coups de reins ; elle a repoussé ma tête à deux mains et je l’ai regardée se caresser et se faire jouir encore pendant que la prof lui serrait les seins très fort et tordait ses tétons.
La prof m’a fait asseoir dans le canapé et m’a fait signe de pas bouger. Elle est partie au moins cinq minutes. Nelly non plus avait pas bougé. J’en revenais pas de la voir toute nue comme ça, ici. Je bandais encore à fond mais j’osais pas me toucher.
La prof est revenue, elle s’était recoiffée. Elle avait un truc rose dans la main qu’elle a posé sur la table devant moi. Elle est allée chercher Nelly. Elle l’a faite mettre à quatre pattes sur le tapis et puis poser la tête sur le tapis, le cul en l’air. Elle a pris le truc en plastique sur la table ; c’était comme un gros sexe avec de grosses veines et un bouton noir au bout ; c’était plus gros et plus long que ma queue.
Elle s’est approchée de moi et l’a promené sur ma bouche ; elle l’a pris aussi dans sa bouche à elle et a mis plein de salive dessus et puis l’a encore avancé vers ma bouche ; j’ai aussi craché dessus et elle a étalé la salive avec un doigt. Elle m’a tiré par un bras jusque derrière le cul de Nelly. Elle a passé le gode dans sa raie et d’un coup, elle l’a rentré dans son cul. Nelly a crié et elle a serré les poings sur le tapis, mais elle s’est pas échappée ; la prof a retiré l’engin et l’a replanté aussi fort tout de suite en le rentrant plus loin ; Nelly a encore crié en se mordant une main. La prof l’a laissé planté sans y toucher et a pris ma queue dans sa main ; elle m’a branlé plusieurs fois en tirant très fort vers le bas et ça m’a fait mal, mais j’ai rien dit. Le gode est sorti du cul de Nelly et il est tombé sur le tapis entre ses jambes.
La prof m’a fait mettre debout derrière Nelly, les jambes très écartées de chaque côté de son cul et m’a fait plier les genoux en tirant ma queue vers le cul de Nelly. Je me suis appuyé sur son dos et la prof a posé mon gland sur la rondelle du cul ; après elle s’est mise derrière moi, elle a passé une main entre mes jambes pour tenir ma queue contre le trou de son cul ; en même temps, elle a posé le gode sur mon cul à moi et elle a poussé. Je serrais le cul parce que j’avais peur qu’elle me rentre ce gros truc. Elle a branlé ma queue et j’ai senti le cul de Nelly s’ouvrir un peu ; j’ai commencé à pousser plus fort et d’un coup, les deux sont rentrés en même temps, dans son cul et dans le mien. J’ai eu très mal, comme si on me déchirait quelque chose, et ça brûlait ; ma queue est rentrée à fond et Nelly a gémi ; je poussais fort ; j’avais envie de lui faire mal comme moi j’avais mal ; le gode a commencé à bouger dans mon cul et ça me brûlait vraiment beaucoup; il rentrait de plus en plus loin et je me suis mis à bouger aussi entre les fesses de Nelly de plus en plus fort et j’ai giclé au fond de son cul tout chaud qui me serrait presque plus et je sentais les secousses aussi sur mon cul qui se serrait sur le gode pendant que je giclais.
Elle m’a laissé le gode dans le cul enfoncé à fond et m’a pris une main pour que je le tienne dedans.
Elle a fait relever Nelly, l’a fait mettre debout en face de moi et elle lui a enlevé le foulard.
Quand elle m’a reconnu, Nelly s’est mise à pleurer en mettant la main devant sa bouche. La prof l’a prise par les cheveux et l’a fait se baisser devant moi :
- Suce-le ! tout de suite ! … et branle-lui le cul !
Nelly a ouvert la bouche et a pris ma queue dans sa bouche. Elle a mis une main entre mes jambes, J’ai lâché le gode et elle l’a pris dans la main ; j’ai senti qu’il se mettait à vibrer à l’intérieur de mon cul. Je sentais sa langue chaude et ses dents sur mon gland ; elle bougeait presque pas le gode ; quand j’ai senti que j’allais gicler encore, j’ai voulu sortir de sa bouche, mais elle m’a avalé complè-tement au fond de la gorge, le nez dans mes poils et pendant que je jouissais elle a enlevé le gode de mon cul. Elle m’a gardé dans sa bouche sans bouger jusqu’à ce que je débande.
Elle s’est relevée et on osait pas se regarder. La prof était dans le canapé et nous regardait en sou-riant. Elle avait les joues très rouges et ses yeux brillaient.
Elle nous amené dans la salle de bain. Elle s’est assise sur la baignoire et nous a dit de nous laver l’un l’autre, partout. Je savais pas trop comment m’y prendre pour laver Nelly alors elle m’a guidé. Et puis elle m’a lavé partout, lentement, et je me suis remis à bander. Elle gardait les yeux baissés et elle avait l’air un peu triste.
On s’est rhabillés.
La prof avait renfilé son peignoir à fleurs ; elle nous a servi un coca …
On est parti en même temps … elle marche loin de moi, les bras serrés autour d’elle, et regarde loin devant elle.
Je ne sais pas quoi lui dire ; je sens qu’elle va pas trop bien :
- Tu la connais depuis longtemps ?
Je me suis arrêté et je la regarde. Elle continue à marcher, et s’assoit sur un banc :
- C’est ma tante …
Je me suis assis à côté d’elle. J’ai mis mon bras sur ses épaules mais elle m’a repoussé. Elle a parlé tout doucement, j’ai presque pas entendu :
- Tu diras rien … faut pas …
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
imagine le malaise apres XD mais la personne qui a écris sa tas de limagination lol