"Parcours croisés" - suite - Chapitre 31
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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"Parcours croisés" - suite - Chapitre 31
Parcours croisés – Vendredi
Chapitre 31
Jonathan
Je n’ai pas très bien dormi ; il faisait chaud, même en laissant la fenêtre ouverte, et puis depuis hier, j’ai un peu mal, malgré la pommade que m’a donnée Nelly. On doit retourner chez sa tante aujourd’hui, cet après-midi ; je retrouverai Nelly sur un banc dans le parc. Tout ce matin je me suis ennuyé, d’habitude je dors tard quand je ne travaille pas, mais pas moyen de rester au lit. Je suis allé à la laverie avec mon sac de linge et j’ai attendu, 2 heures à rien faire, juste regarder tourner les machines, deux heures à m’emmerder. Je suis rentré à une heure à l’appart, et j’ai mangé un peu, même pas faim … j’ai rangé les habits et la vaisselle : j’ai bien vu que Nelly avait trouvé que c’était minable et sale chez moi, quand elle est venue me chercher hier ; elle reviendra sans doute plus, mais on sait jamais … j’ai bien compris qu’elle me trouvait pas à son goût et qu’elle veut me voir uniquement chez sa tante, mais on sait jamais … ça les épaterait tous si c’était ma copine … sauf Christophe peut-être, lui, il serait en colère, je crois, que je sois avec la copine de son fils ; il trouverait ça un peu louche, un nigaud comme moi avec elle … elle est trop mignonne, et intelligente aussi, pour être avec moi.
J’ai attendu sur un banc, à l’ombre, en guettant Nelly. Je l’ai vue arriver de loin, habillée comme d’habitude, avec sa jupe plissée et une chemise blanche qu’elle boutonne jusqu’en haut. Elle s’est arrêtée en face de moi, et m’a dit bonjour, sans s’approcher, et elle est partie devant. On a marché sans parler jusque chez sa tante. Elle a ouvert avec sa clé et a refermé derrière nous. Sa tante était dans l’entrée, les bras croisés ; elle m’a fait un signe de la tête quand je lui ai dit bonjour et elle a embrassé Nelly sur le front :
- C’est bien, vous êtes à l’heure ! Suivez-moi !
On l’a suivie jusqu’au fond du couloir ; elle a poussé la porte en face de celle de sa chambre en nous faisant signe d’entrer :
- Je vous laisse vous préparer, rejoignez- moi dans le salon quand vous serez prêts !
Et en montrant la table au milieu de la pièce :
- N’oubliez rien !
Sur la table, il y avait un grand plateau avec tout un tas de matériel dessus ; des instruments emballés dans du plastique, des compresses. Nelly s’est appuyée à la table et a regardé le plateau et tout ce qu’il y avait dedans ; elle a soulevé un ou deux sachets et sa main tremblait. Quand elle s’est retournée vers moi, deux grosses larmes coulaient de ses yeux, mais elle m’a repoussé quand j’ai avancé ma main pour la consoler :
- Qu’est-ce qu’il y a Nelly ?
- Rien ! Tais-toi s’il te plaît ! Déshabille-toi !
Elle m’a regardé faire sans rien dire, bras croisés, tout le temps que je me suis déshabillé, et elle a pris les deux gros anneaux qui étaient posés à côté du plateau avec la petite clé ; elle les a dévissés pour les ouvrir en deux. Quand j’ai été nu, elle m’a dit de m’approcher et de m’asseoir au bord du tabouret. Elle s’est mise à genoux entre mes jambes :
- Prends tes couilles dans ta main et tire vers le bas … tire plus bas …
Elle a mis la moitié du premier anneau dessous, a posé l’autre moitié par-dessus et a revissé pour qu’elles tiennent ensemble :
- Lâche-les …
Elle a pris l’anneau dans une main en tirant vers le bas assez fort pour me faire mal, et avec l’autre main elle a tiré sur la peau tout le tour pour la faire remonter au-dessus de l’anneau. Mes couilles étaient très serrées dessous et la peau très tendue. Après, elle a fermé l’autre anneau au-dessus du premier ; le diamètre était plus petit que l’autre ; elle a coincé un peu de peau dedans en le refermant et en vissant. Elle s’en est aperçue quand j’ai crié et elle a recommencé en repoussant la peau avec un doigt ; cette fois, ça me pinçait plus et elle a vissé à fond. Elle a fait couler du gel sur les anneaux et les a fait remonter tous les deux pour laisser plus de place à mes couilles :
- Tu ne bandes pas aujourd’hui ?
- Tu m’as fait mal … et puis hier aussi …
- Tu saignes encore ? … derrière ?
- Plus beaucoup …
- Fais voir …
Je me suis tourné. Elle m’a fait pencher sur le tabouret et en écartant mes fesses, elle a passé du gel sur mon cul et un peu dedans aussi en rentrant son doigt :
- Pourquoi tu me mets du gel ? Elle va encore vouloir aujourd’hui ?
- Regardes sur la table …
A côté du plateau, il y avait un sexe en caoutchouc noir, bien imité, mais plus gros … pas mal plus gros que le mien en tout cas :
- C’est peut-être pour toi …
- Et peut-être pour toi ! … tu commences à aimer ça, on dirait …
Ce n’était pas de voir le gode … c’était ses doigts sur mes fesses, je commençais à bander un peu … Nelly s’est mise toute nue aussi ; elle a pris le plateau, moi le gros gode et le gel, et on est allés au salon rejoindre sa tante.
Elle nous attendait sur le canapé, juste en culotte en en sous-pull noir :
- Posez tout ça sur la table !
Elle est allée jusqu’à la table et elle a enfilé un gant en caoutchouc sur la main gauche qu’elle a tartiné de gel :
- Jonathan, allonge-toi sur le tapis … Nelly, mets-toi sur lui … caresse-le !
Nelly s’est mise à cheval sur moi, au-dessus de ma tête et elle a commencé à me branler. Sa tante a enfilé un espèce de harnais en cuir qui tenait un gros gode devant, comme si elle avait une bite, aussi grosse et aussi longue que celui que j’avais amené de la chambre du fond et qu’elle avait posé entre mes jambes quand je m’étais allongé. Elle s’est mise derrière Nelly et l’a caressée un peu avec son gant, juste au-dessus de mes yeux, et elle a commencé à lui rentrer le gode dans la chatte en le tenant avec ses deux mains. Au début elle n’arrivait pas à le rentrer, il se pliait, mais Nelly s’est penchée plus en mettant sa joue sur mon ventre et là, il rentré plus loin. Je sentais les cheveux de Nelly contre moi et son souffle sur mon ventre et je bandais plus fort, même si elle avait arrêté de me branler ; elle tenait juste mes couilles dans une main, et elle les serrait un peu entre ses doigts. Au bout d’un moment, sa tante a arrêté de la baiser avec son gode et s’est reculée pour le sortir :
- Prends ses jambes sous tes bras !
Nelly s’est relevée et m’a soulevé une jambe après l’autre ; elle a passé ses bras au dessus, décollant mon cul du tapis, et elle a posé le bout du gode sur mon petit trou. Avec le gel dessus, ça faisait froid ; elle n’a pas essayé de le rentrer. Elle s’est reculée un peu sur ses genoux et en les écartant plus, elle a mis son sexe sur ma bouche pour que je la lèche. J’ai vu sa tante se rapprocher au-dessus de moi et essayer de lui mettre son gode entre les fesses. Nelly s’est mis à pousser le gode dans mon cul en même temps que sa tante poussait aussi. J’étais tout serré, ça me faisait mal, et Nelly arrivait pas à le rentrer ; je faisais exprès de serrer fort les fesses pour l’empêcher. Sa tante a réussi à rentrer le bout et elle a rajouté du gel ; ça gouttait sur mes cheveux. Elle a tendu le flacon à Nelly qui en a rajouté sur le sien aussi ; elle a recommencé à pousser plus fort et en même temps avec une main elle donnait des petits coups sur mes couilles. Je voyais sa tante rentrer lentement le gode, sans à-coups dans les fesses de Nelly, de plus en plus profond ; je n’aurais pas cru qu’on pouvait aller aussi profond que ça dans le cul … J’entendais Nelly qui se plaignait et gémissait. Elle a tapé plus fort sur mes couilles en poussant par petits coups sur le gode et il est rentré tout d’un coup. Elle s’est pas arrêté comme sa tante ; elle a continué à le rentrer autant qu’elle pouvait et je voyais sa tante qui l’avait presque rentré à fond ; ça faisait plus de vingt centimètres dans le cul de Nelly. Moi aussi je criais aussi en léchant Nelly. Sa tante la baisait à fond, et au bout d’un moment, j’ai senti sur ma bouche qu’elle se mettait à jouir ; en même temps qu’elle a joui, j’ai senti un jet chaud sur ma bouche. Elle ne s’est pas relevée du tout, au contraire, elle appuyait fort sa chatte sur moi et j’en ai eu aussi dans ma bouche que j’ai dû avaler. Elle a retiré le gode de mon cul, mais sa tante continuait à la baiser très fort en sortant presque pas à chaque fois, et elle a continué à me pisser à petits coups dans la bouche en jouissant et en criant. Sa tante a retiré son gode très vite du cul de Nelly et ça l’a fait crier encore plus fort. En levant les yeux je voyais son cul grand ouvert qui se fermait lentement et puis sa tante y a mis ses doigts avec le gant, ses quatre doigts en même temps qui lui branlaient le cul. Après elle est partie et Nelly m’a encore relevé le cul un peu plus en tenant mes jambes sous ses bras et j’ai senti sa tante me rentrer ses doigts aussi. Ça faisait moins mal que le gode ; je bandais presque plus mais ses doigts à l’intérieur, ça m’a fait gicler quand même, pas très fort …
- Bientôt, mes chéris, bientôt …
Elle a retiré sa main et elle est partie. Nelly a relâché mes jambes et s’est laissé tomber assise sur le tapis à côté de moi. On respirait fort et on transpirait tous les deux. J’ai essuyé ma figure avec ma main ; mes cheveux aussi étaient mouillés, de son pipi et de gel. Elle s’est relevée lentement, en se tenant à la table du salon, et en faisant une grimace :
- Viens te laver !
- Pourquoi elle a dit « bientôt » ?
- … bientôt elle mettra toute sa main … dedans …
On s’est lavés sous la douche. Quand on a été propre et essuyé, Nelly est restée longtemps assise sur la baignoire, sans bouger, et puis elle a pris le rasoir à lame et elle a rasée un peu sa chatte. Ses poils avaient pas trop repoussé, pourtant ; je crois surtout qu’elle n’avait pas envie de sortir ; elle pleurait encore en rinçant le rasoir dans le lavabo. Elle s’est assise sur les toilettes pour faire pipi, le menton appuyé sur une main ; cette fois elle avait plus seulement des larmes, elle sanglotait, et elle m’a pas repoussé quand j’ai mis mon bras sur ses épaules, agenouillé à côté d’elle. Au contraire, elle a appuyé sa tête contre la mienne. Elle s’est essuyée et on s’est relevé ensemble. Je l’ai serrée dans mes bras ; cette fois non plus, elle m’a pas repoussé, et m’a fait un petit sourire timide, les yeux pleins de larmes quand je lui ai fait une bise sur la joue. En sortant de la salle de bains, elle serrait ma main très fort.
- Enfin ! J’allais venir vous chercher !
Elle avait tiré la table basse, couverte d’un drap, collée en face du grand fauteuil. Elle a fait allonger Nelly sur la table, les pieds posés sur les accoudoirs du fauteuil. Nelly avait les jambes grandes ouvertes et protégeait son sexe sous ses deux mains. Le plateau avec les ustensiles emballés était sur la grande table. La lampe de bureau, posée sur le fauteuil entre les jambes de Nelly, éclairait ses mains.
Elle m’a fait asseoir sur la table derrière Nelly, sa tête relevée appuyée sur mon ventre :
- Prends ses seins dans tes mains, et toi, enlèves tes mains … tiens toi à lui !
Nelly a relevé ses bras en arrière, se cramponnant à mes bras. Elle avait la chair de poule, ses jambes tremblaient un peu, et ses seins étaient durs sous mes mains.
- Caresse-lui les tétons, ça la détendra peut-être !
J’ai trouvé qu’elle avait un petit sourire méchant en disant ça, elle se moquait de Nelly. J’ai fait rouler ses tétons entre le pouce et l’index, mais ils ne grossissaient pas beaucoup. Sa tante me regardait faire en secouant la tête ; elle a repoussé mes mains et a pris les tétons entre ses doigts, s’en servant pour soulever les seins et les secouer assez fort. Quand elle les a lâchés, les pointes étaient plus longues et plus dures et j’ai recommencé à les rouler entre mes doigts. Sa tante a enfilé une paire de gants blancs en caoutchouc très fins, et avec une compresse et un produit marron, elle a nettoyé tout le sexe de Nelly, et puis elle a recommencé avec une autre. Elle a posé une glace grossissante contre le fauteuil entre les jambes de Nelly :
- Ouvre les yeux, Nelly, je veux que tu regardes !
Elle a pris un sachet fermé sur le plateau et nous l’a montré :
- Je vais commencer par ces deux-là, sur les petites lèvres … je t’ai déjà expliqué, tu t’en souviens ? Réponds-moi ! Tu t’en souviens ?
- … oui …
- Bien !
Entre deux doigts, elle a pris ensemble les deux petites lèvres de Nelly et les a étirées très fort vers le bas, et puis de l’autre main, avec comme un rayon feutre, elle a marqué deux points, un sur chaque petite lèvre. Elle a déchiré trois sachets sur le plateau : un avec une aiguille, un anneau, et une pince qui ressemblait à un ciseau avec deux trous ronds en bas. Elle a entouré un élastique autour des branches, a pris une petite lèvre entre ses doigts et fermé la pince dessus en vérifiant que les trous étaient bien en face avec sa marque. Sans lâcher la pince, elle a pris l’aiguille derrière elle, a regardé Nelly :
- Ne bouge pas !
Elle a planté l’aiguille. La peau s’est étirée un peu et puis elle a traversé en sortant de l’autre côté. Nelly a planté ses doigts dans mon bras en raidissant sa nuque, mais elle n’a pas crié. Sa tante a retiré l’aiguille en laissant un petit tube à travers le trou percé, a coupé l’embout et retiré sa pince. Elle a pris un petit anneau ouvert, et l’a poussé à travers le trou en repoussant le petit tube. Nelly s’est encore raidie plus fort quand elle a mis l’anneau que quand elle avait percé avec l’aiguille. En tenant l’anneau, sa tante a fermé l’ouverture par une petite boule et a encore nettoyé avec plusieurs compresses. Ça saignait presque pas, moins que j’aurais cru.
- Alors ? Pas si terrible, n’est-ce pas ? Tu te vois bien ? … à l’autre, maintenant !
Et elle a recommencé de la même façon sur l’autre petite lèvre. Nelly a juste poussé deux petits gémissements en serrant les dents.
- Redresse-toi un peu ! Regarde-toi dans la glace !
J’ai aidé Nelly à s’asseoir ; sa tante a jeté tous ses ustensiles et les compresses dans une poubelle.
- Lève-toi Nelly ! Il faut que tu sois debout pour marquer le dernier !
Assise sur la petite table et Nelly debout devant elle, elle a à nouveau nettoyé avec son produit marron et plusieurs compresses et puis en présentant un autre anneau devant son sexe, elle a fait une autre marque de crayon, sur une grande lèvre. Nelly appuyait son dos contre moi en me tenant les mains :
- … il a l’air plus gros …
- Il l’est ! C’est du 2, les autres c’étaient du 1,2 ! Viens voir !
Elle nous a montré le plateau en déchirant les sachets :
- Celui-ci, on le pose avec cette aiguille qui sert de guide ! Le même type d’aiguille que pour les tétons !
C’était creux et ça ressemblait plus à un tube aiguisé en biseau très pointu qu’à une aiguille, ça paraissait énorme ! Nelly me serrait les doigts très forts et ne quittait pas le plateau des yeux.
- Je t’en poserai un second sur l’autre lèvre, mais pas aujourd’hui … un autre jour ! Tiens, Jonathan, regarde ça !
Elle m’a tendu un paquet de feuille d’imprimante :
- Nelly, regarde aussi, tu m’aideras à choisir !
J’ai feuilleté les images : des piercings sur des sexes d’hommes … j’en avais déjà vus sur internet, mais là, d’imaginer sur mon sexe après que je l’ai vue faire sur Nelly, c’était différent … Je regardais les images, et à un moment, j’ai vu qu’elle me regardait, qu’elle regardait mon sexe qui se redressait. Nelly a baissé les yeux aussi, a essuyé d’un doigt le petit filet de mouille qui pendait au bout de mon gland. Elle me souriait et sa tante souriait aussi :
- Tu ne t’enfuies pas, Jonathan ? Regarde encore … regarde bien …
Elle a fait réinstaller Nelly sur la petite table et l’a nettoyée à nouveau avec des compresses, a fermé le clamp sur sa lèvre en le serrant fort, en tirant et en tournant pour regarder à l’intérieur et à l’extérieur pour vérifier qu’il était bien où elle voulait, et elle a pris le tube aiguille :
- Je ne veux pas t’entendre ! C’est compris ? … pas un seul cri !
Même serrée par le clamp, la lèvre semblait épaisse à traverser, beaucoup plus que les petites lèvres qui étaient fines comme de la peau quand elles les avaient étirées. Elle a posé l’aiguille en face d’un œil du clamp et l’a appuyée un peu avec son index :
- Respire fort … et ! Ne ! Crie ! Pas !
Elle a poussé fort avec son index. J’ai vu la chair s’étirer de l’autre côté du clamp à travers le trou de l’autre côté ; ça m’a paru long … Nelly serrait les dents très fort et tout son visage était crispé. Ses mains me faisaient mal à serrer mes bras … et l’aiguille est ressortie, dépassant de deux centimètres des deux côtés de sa lèvre. Sa tante a tout de suite posé l’anneau contre le trou du tube et l’a enfilé en faisant sortir l’aiguille. Sur le bout qui avait traversé, elle a vissé une petite bille, et puis elle a posé des compresses pour éponger le filet de sang qui coulait. Nelly tremblait ; les bras, le ventre, les jambes, elle tremblait de partout, et de grosses larmes coulaient de ses yeux.
En continuant à la nettoyer avec des compresses, sa tante a passé son doigt dans sa fente, et a frotté son index sur son pouce :
- Mais dis-moi … tu mouilles ! Eh ! Regarde-moi ça Jonathan …
Du doigt elle me montrait le clito de Nelly, relevait le capuchon de peau du bout de l’index… son clitoris palpitait, s’abaissait et se relevait … Nelly était en train de jouir …
Nelly est restée un long moment allongée sur la table, les jambes en l’air. Sa tante a posé des compresses avec du scotch sur sa lèvre quand elle a arrêté de saigner. Je suis resté avec elle tout le temps en lui tenant la main pendant que sa tante nettoyait tout et débarrassait le plateau. Elle m’a dit d’aller me rhabiller dans la chambre du fond, que Nelly resterait plus tard que moi aujourd’hui. Elle m’a suivi dans la chambre pour me retirer les anneaux que j’avais encore :
- Reviens demain après-midi, vers 14h00 ; n’attends pas Nelly, elle sera déjà là !
Chapitre 31
Jonathan
Je n’ai pas très bien dormi ; il faisait chaud, même en laissant la fenêtre ouverte, et puis depuis hier, j’ai un peu mal, malgré la pommade que m’a donnée Nelly. On doit retourner chez sa tante aujourd’hui, cet après-midi ; je retrouverai Nelly sur un banc dans le parc. Tout ce matin je me suis ennuyé, d’habitude je dors tard quand je ne travaille pas, mais pas moyen de rester au lit. Je suis allé à la laverie avec mon sac de linge et j’ai attendu, 2 heures à rien faire, juste regarder tourner les machines, deux heures à m’emmerder. Je suis rentré à une heure à l’appart, et j’ai mangé un peu, même pas faim … j’ai rangé les habits et la vaisselle : j’ai bien vu que Nelly avait trouvé que c’était minable et sale chez moi, quand elle est venue me chercher hier ; elle reviendra sans doute plus, mais on sait jamais … j’ai bien compris qu’elle me trouvait pas à son goût et qu’elle veut me voir uniquement chez sa tante, mais on sait jamais … ça les épaterait tous si c’était ma copine … sauf Christophe peut-être, lui, il serait en colère, je crois, que je sois avec la copine de son fils ; il trouverait ça un peu louche, un nigaud comme moi avec elle … elle est trop mignonne, et intelligente aussi, pour être avec moi.
J’ai attendu sur un banc, à l’ombre, en guettant Nelly. Je l’ai vue arriver de loin, habillée comme d’habitude, avec sa jupe plissée et une chemise blanche qu’elle boutonne jusqu’en haut. Elle s’est arrêtée en face de moi, et m’a dit bonjour, sans s’approcher, et elle est partie devant. On a marché sans parler jusque chez sa tante. Elle a ouvert avec sa clé et a refermé derrière nous. Sa tante était dans l’entrée, les bras croisés ; elle m’a fait un signe de la tête quand je lui ai dit bonjour et elle a embrassé Nelly sur le front :
- C’est bien, vous êtes à l’heure ! Suivez-moi !
On l’a suivie jusqu’au fond du couloir ; elle a poussé la porte en face de celle de sa chambre en nous faisant signe d’entrer :
- Je vous laisse vous préparer, rejoignez- moi dans le salon quand vous serez prêts !
Et en montrant la table au milieu de la pièce :
- N’oubliez rien !
Sur la table, il y avait un grand plateau avec tout un tas de matériel dessus ; des instruments emballés dans du plastique, des compresses. Nelly s’est appuyée à la table et a regardé le plateau et tout ce qu’il y avait dedans ; elle a soulevé un ou deux sachets et sa main tremblait. Quand elle s’est retournée vers moi, deux grosses larmes coulaient de ses yeux, mais elle m’a repoussé quand j’ai avancé ma main pour la consoler :
- Qu’est-ce qu’il y a Nelly ?
- Rien ! Tais-toi s’il te plaît ! Déshabille-toi !
Elle m’a regardé faire sans rien dire, bras croisés, tout le temps que je me suis déshabillé, et elle a pris les deux gros anneaux qui étaient posés à côté du plateau avec la petite clé ; elle les a dévissés pour les ouvrir en deux. Quand j’ai été nu, elle m’a dit de m’approcher et de m’asseoir au bord du tabouret. Elle s’est mise à genoux entre mes jambes :
- Prends tes couilles dans ta main et tire vers le bas … tire plus bas …
Elle a mis la moitié du premier anneau dessous, a posé l’autre moitié par-dessus et a revissé pour qu’elles tiennent ensemble :
- Lâche-les …
Elle a pris l’anneau dans une main en tirant vers le bas assez fort pour me faire mal, et avec l’autre main elle a tiré sur la peau tout le tour pour la faire remonter au-dessus de l’anneau. Mes couilles étaient très serrées dessous et la peau très tendue. Après, elle a fermé l’autre anneau au-dessus du premier ; le diamètre était plus petit que l’autre ; elle a coincé un peu de peau dedans en le refermant et en vissant. Elle s’en est aperçue quand j’ai crié et elle a recommencé en repoussant la peau avec un doigt ; cette fois, ça me pinçait plus et elle a vissé à fond. Elle a fait couler du gel sur les anneaux et les a fait remonter tous les deux pour laisser plus de place à mes couilles :
- Tu ne bandes pas aujourd’hui ?
- Tu m’as fait mal … et puis hier aussi …
- Tu saignes encore ? … derrière ?
- Plus beaucoup …
- Fais voir …
Je me suis tourné. Elle m’a fait pencher sur le tabouret et en écartant mes fesses, elle a passé du gel sur mon cul et un peu dedans aussi en rentrant son doigt :
- Pourquoi tu me mets du gel ? Elle va encore vouloir aujourd’hui ?
- Regardes sur la table …
A côté du plateau, il y avait un sexe en caoutchouc noir, bien imité, mais plus gros … pas mal plus gros que le mien en tout cas :
- C’est peut-être pour toi …
- Et peut-être pour toi ! … tu commences à aimer ça, on dirait …
Ce n’était pas de voir le gode … c’était ses doigts sur mes fesses, je commençais à bander un peu … Nelly s’est mise toute nue aussi ; elle a pris le plateau, moi le gros gode et le gel, et on est allés au salon rejoindre sa tante.
Elle nous attendait sur le canapé, juste en culotte en en sous-pull noir :
- Posez tout ça sur la table !
Elle est allée jusqu’à la table et elle a enfilé un gant en caoutchouc sur la main gauche qu’elle a tartiné de gel :
- Jonathan, allonge-toi sur le tapis … Nelly, mets-toi sur lui … caresse-le !
Nelly s’est mise à cheval sur moi, au-dessus de ma tête et elle a commencé à me branler. Sa tante a enfilé un espèce de harnais en cuir qui tenait un gros gode devant, comme si elle avait une bite, aussi grosse et aussi longue que celui que j’avais amené de la chambre du fond et qu’elle avait posé entre mes jambes quand je m’étais allongé. Elle s’est mise derrière Nelly et l’a caressée un peu avec son gant, juste au-dessus de mes yeux, et elle a commencé à lui rentrer le gode dans la chatte en le tenant avec ses deux mains. Au début elle n’arrivait pas à le rentrer, il se pliait, mais Nelly s’est penchée plus en mettant sa joue sur mon ventre et là, il rentré plus loin. Je sentais les cheveux de Nelly contre moi et son souffle sur mon ventre et je bandais plus fort, même si elle avait arrêté de me branler ; elle tenait juste mes couilles dans une main, et elle les serrait un peu entre ses doigts. Au bout d’un moment, sa tante a arrêté de la baiser avec son gode et s’est reculée pour le sortir :
- Prends ses jambes sous tes bras !
Nelly s’est relevée et m’a soulevé une jambe après l’autre ; elle a passé ses bras au dessus, décollant mon cul du tapis, et elle a posé le bout du gode sur mon petit trou. Avec le gel dessus, ça faisait froid ; elle n’a pas essayé de le rentrer. Elle s’est reculée un peu sur ses genoux et en les écartant plus, elle a mis son sexe sur ma bouche pour que je la lèche. J’ai vu sa tante se rapprocher au-dessus de moi et essayer de lui mettre son gode entre les fesses. Nelly s’est mis à pousser le gode dans mon cul en même temps que sa tante poussait aussi. J’étais tout serré, ça me faisait mal, et Nelly arrivait pas à le rentrer ; je faisais exprès de serrer fort les fesses pour l’empêcher. Sa tante a réussi à rentrer le bout et elle a rajouté du gel ; ça gouttait sur mes cheveux. Elle a tendu le flacon à Nelly qui en a rajouté sur le sien aussi ; elle a recommencé à pousser plus fort et en même temps avec une main elle donnait des petits coups sur mes couilles. Je voyais sa tante rentrer lentement le gode, sans à-coups dans les fesses de Nelly, de plus en plus profond ; je n’aurais pas cru qu’on pouvait aller aussi profond que ça dans le cul … J’entendais Nelly qui se plaignait et gémissait. Elle a tapé plus fort sur mes couilles en poussant par petits coups sur le gode et il est rentré tout d’un coup. Elle s’est pas arrêté comme sa tante ; elle a continué à le rentrer autant qu’elle pouvait et je voyais sa tante qui l’avait presque rentré à fond ; ça faisait plus de vingt centimètres dans le cul de Nelly. Moi aussi je criais aussi en léchant Nelly. Sa tante la baisait à fond, et au bout d’un moment, j’ai senti sur ma bouche qu’elle se mettait à jouir ; en même temps qu’elle a joui, j’ai senti un jet chaud sur ma bouche. Elle ne s’est pas relevée du tout, au contraire, elle appuyait fort sa chatte sur moi et j’en ai eu aussi dans ma bouche que j’ai dû avaler. Elle a retiré le gode de mon cul, mais sa tante continuait à la baiser très fort en sortant presque pas à chaque fois, et elle a continué à me pisser à petits coups dans la bouche en jouissant et en criant. Sa tante a retiré son gode très vite du cul de Nelly et ça l’a fait crier encore plus fort. En levant les yeux je voyais son cul grand ouvert qui se fermait lentement et puis sa tante y a mis ses doigts avec le gant, ses quatre doigts en même temps qui lui branlaient le cul. Après elle est partie et Nelly m’a encore relevé le cul un peu plus en tenant mes jambes sous ses bras et j’ai senti sa tante me rentrer ses doigts aussi. Ça faisait moins mal que le gode ; je bandais presque plus mais ses doigts à l’intérieur, ça m’a fait gicler quand même, pas très fort …
- Bientôt, mes chéris, bientôt …
Elle a retiré sa main et elle est partie. Nelly a relâché mes jambes et s’est laissé tomber assise sur le tapis à côté de moi. On respirait fort et on transpirait tous les deux. J’ai essuyé ma figure avec ma main ; mes cheveux aussi étaient mouillés, de son pipi et de gel. Elle s’est relevée lentement, en se tenant à la table du salon, et en faisant une grimace :
- Viens te laver !
- Pourquoi elle a dit « bientôt » ?
- … bientôt elle mettra toute sa main … dedans …
On s’est lavés sous la douche. Quand on a été propre et essuyé, Nelly est restée longtemps assise sur la baignoire, sans bouger, et puis elle a pris le rasoir à lame et elle a rasée un peu sa chatte. Ses poils avaient pas trop repoussé, pourtant ; je crois surtout qu’elle n’avait pas envie de sortir ; elle pleurait encore en rinçant le rasoir dans le lavabo. Elle s’est assise sur les toilettes pour faire pipi, le menton appuyé sur une main ; cette fois elle avait plus seulement des larmes, elle sanglotait, et elle m’a pas repoussé quand j’ai mis mon bras sur ses épaules, agenouillé à côté d’elle. Au contraire, elle a appuyé sa tête contre la mienne. Elle s’est essuyée et on s’est relevé ensemble. Je l’ai serrée dans mes bras ; cette fois non plus, elle m’a pas repoussé, et m’a fait un petit sourire timide, les yeux pleins de larmes quand je lui ai fait une bise sur la joue. En sortant de la salle de bains, elle serrait ma main très fort.
- Enfin ! J’allais venir vous chercher !
Elle avait tiré la table basse, couverte d’un drap, collée en face du grand fauteuil. Elle a fait allonger Nelly sur la table, les pieds posés sur les accoudoirs du fauteuil. Nelly avait les jambes grandes ouvertes et protégeait son sexe sous ses deux mains. Le plateau avec les ustensiles emballés était sur la grande table. La lampe de bureau, posée sur le fauteuil entre les jambes de Nelly, éclairait ses mains.
Elle m’a fait asseoir sur la table derrière Nelly, sa tête relevée appuyée sur mon ventre :
- Prends ses seins dans tes mains, et toi, enlèves tes mains … tiens toi à lui !
Nelly a relevé ses bras en arrière, se cramponnant à mes bras. Elle avait la chair de poule, ses jambes tremblaient un peu, et ses seins étaient durs sous mes mains.
- Caresse-lui les tétons, ça la détendra peut-être !
J’ai trouvé qu’elle avait un petit sourire méchant en disant ça, elle se moquait de Nelly. J’ai fait rouler ses tétons entre le pouce et l’index, mais ils ne grossissaient pas beaucoup. Sa tante me regardait faire en secouant la tête ; elle a repoussé mes mains et a pris les tétons entre ses doigts, s’en servant pour soulever les seins et les secouer assez fort. Quand elle les a lâchés, les pointes étaient plus longues et plus dures et j’ai recommencé à les rouler entre mes doigts. Sa tante a enfilé une paire de gants blancs en caoutchouc très fins, et avec une compresse et un produit marron, elle a nettoyé tout le sexe de Nelly, et puis elle a recommencé avec une autre. Elle a posé une glace grossissante contre le fauteuil entre les jambes de Nelly :
- Ouvre les yeux, Nelly, je veux que tu regardes !
Elle a pris un sachet fermé sur le plateau et nous l’a montré :
- Je vais commencer par ces deux-là, sur les petites lèvres … je t’ai déjà expliqué, tu t’en souviens ? Réponds-moi ! Tu t’en souviens ?
- … oui …
- Bien !
Entre deux doigts, elle a pris ensemble les deux petites lèvres de Nelly et les a étirées très fort vers le bas, et puis de l’autre main, avec comme un rayon feutre, elle a marqué deux points, un sur chaque petite lèvre. Elle a déchiré trois sachets sur le plateau : un avec une aiguille, un anneau, et une pince qui ressemblait à un ciseau avec deux trous ronds en bas. Elle a entouré un élastique autour des branches, a pris une petite lèvre entre ses doigts et fermé la pince dessus en vérifiant que les trous étaient bien en face avec sa marque. Sans lâcher la pince, elle a pris l’aiguille derrière elle, a regardé Nelly :
- Ne bouge pas !
Elle a planté l’aiguille. La peau s’est étirée un peu et puis elle a traversé en sortant de l’autre côté. Nelly a planté ses doigts dans mon bras en raidissant sa nuque, mais elle n’a pas crié. Sa tante a retiré l’aiguille en laissant un petit tube à travers le trou percé, a coupé l’embout et retiré sa pince. Elle a pris un petit anneau ouvert, et l’a poussé à travers le trou en repoussant le petit tube. Nelly s’est encore raidie plus fort quand elle a mis l’anneau que quand elle avait percé avec l’aiguille. En tenant l’anneau, sa tante a fermé l’ouverture par une petite boule et a encore nettoyé avec plusieurs compresses. Ça saignait presque pas, moins que j’aurais cru.
- Alors ? Pas si terrible, n’est-ce pas ? Tu te vois bien ? … à l’autre, maintenant !
Et elle a recommencé de la même façon sur l’autre petite lèvre. Nelly a juste poussé deux petits gémissements en serrant les dents.
- Redresse-toi un peu ! Regarde-toi dans la glace !
J’ai aidé Nelly à s’asseoir ; sa tante a jeté tous ses ustensiles et les compresses dans une poubelle.
- Lève-toi Nelly ! Il faut que tu sois debout pour marquer le dernier !
Assise sur la petite table et Nelly debout devant elle, elle a à nouveau nettoyé avec son produit marron et plusieurs compresses et puis en présentant un autre anneau devant son sexe, elle a fait une autre marque de crayon, sur une grande lèvre. Nelly appuyait son dos contre moi en me tenant les mains :
- … il a l’air plus gros …
- Il l’est ! C’est du 2, les autres c’étaient du 1,2 ! Viens voir !
Elle nous a montré le plateau en déchirant les sachets :
- Celui-ci, on le pose avec cette aiguille qui sert de guide ! Le même type d’aiguille que pour les tétons !
C’était creux et ça ressemblait plus à un tube aiguisé en biseau très pointu qu’à une aiguille, ça paraissait énorme ! Nelly me serrait les doigts très forts et ne quittait pas le plateau des yeux.
- Je t’en poserai un second sur l’autre lèvre, mais pas aujourd’hui … un autre jour ! Tiens, Jonathan, regarde ça !
Elle m’a tendu un paquet de feuille d’imprimante :
- Nelly, regarde aussi, tu m’aideras à choisir !
J’ai feuilleté les images : des piercings sur des sexes d’hommes … j’en avais déjà vus sur internet, mais là, d’imaginer sur mon sexe après que je l’ai vue faire sur Nelly, c’était différent … Je regardais les images, et à un moment, j’ai vu qu’elle me regardait, qu’elle regardait mon sexe qui se redressait. Nelly a baissé les yeux aussi, a essuyé d’un doigt le petit filet de mouille qui pendait au bout de mon gland. Elle me souriait et sa tante souriait aussi :
- Tu ne t’enfuies pas, Jonathan ? Regarde encore … regarde bien …
Elle a fait réinstaller Nelly sur la petite table et l’a nettoyée à nouveau avec des compresses, a fermé le clamp sur sa lèvre en le serrant fort, en tirant et en tournant pour regarder à l’intérieur et à l’extérieur pour vérifier qu’il était bien où elle voulait, et elle a pris le tube aiguille :
- Je ne veux pas t’entendre ! C’est compris ? … pas un seul cri !
Même serrée par le clamp, la lèvre semblait épaisse à traverser, beaucoup plus que les petites lèvres qui étaient fines comme de la peau quand elles les avaient étirées. Elle a posé l’aiguille en face d’un œil du clamp et l’a appuyée un peu avec son index :
- Respire fort … et ! Ne ! Crie ! Pas !
Elle a poussé fort avec son index. J’ai vu la chair s’étirer de l’autre côté du clamp à travers le trou de l’autre côté ; ça m’a paru long … Nelly serrait les dents très fort et tout son visage était crispé. Ses mains me faisaient mal à serrer mes bras … et l’aiguille est ressortie, dépassant de deux centimètres des deux côtés de sa lèvre. Sa tante a tout de suite posé l’anneau contre le trou du tube et l’a enfilé en faisant sortir l’aiguille. Sur le bout qui avait traversé, elle a vissé une petite bille, et puis elle a posé des compresses pour éponger le filet de sang qui coulait. Nelly tremblait ; les bras, le ventre, les jambes, elle tremblait de partout, et de grosses larmes coulaient de ses yeux.
En continuant à la nettoyer avec des compresses, sa tante a passé son doigt dans sa fente, et a frotté son index sur son pouce :
- Mais dis-moi … tu mouilles ! Eh ! Regarde-moi ça Jonathan …
Du doigt elle me montrait le clito de Nelly, relevait le capuchon de peau du bout de l’index… son clitoris palpitait, s’abaissait et se relevait … Nelly était en train de jouir …
Nelly est restée un long moment allongée sur la table, les jambes en l’air. Sa tante a posé des compresses avec du scotch sur sa lèvre quand elle a arrêté de saigner. Je suis resté avec elle tout le temps en lui tenant la main pendant que sa tante nettoyait tout et débarrassait le plateau. Elle m’a dit d’aller me rhabiller dans la chambre du fond, que Nelly resterait plus tard que moi aujourd’hui. Elle m’a suivi dans la chambre pour me retirer les anneaux que j’avais encore :
- Reviens demain après-midi, vers 14h00 ; n’attends pas Nelly, elle sera déjà là !
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