Scénario coquin pour une soirée inattendue (2ème partie)
Récit érotique écrit par Marco84 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Scénario coquin pour une soirée inattendue (2ème partie)
Grisée par cet instant surréaliste, Lyse traverse le couloir. Dans sa gorge coule
encore la passion de Sylvain, ce goût du plaisir partagé l’enivre. Dans sa tête se
bousculent les images, ou plutôt les sensations, qu’elle vient d’éprouver : un mélange
d’inconnu, d’excitation et d’inhibition. Si elle ressent sur ses lèvres une légère
brulure, c’est un véritable brasier qui s’est emparé de sa poitrine et de son ventre,
elle sent son corps vibrer au rythme des soubresauts de son désir.
Elle retire le masque pour découvrir une nouvelle enveloppe qui l’attend sur la
commode devant elle.
Elle la saisit, la décachette sans plus attendre :
« Va dans la douche,
prends une minute pour te délasser
puis remet ton masque.
Ouvre le rideau, ce sera le signal ».
Lyse s’exécute immédiatement, pressée de continuer l’aventure. En pénétrant dans la
salle de bain, elle est, de nouveau, surprise : là aussi flotte une odeur de jasmin
tandis que trois bougies offrent une lueur vacillante. Ces petites attentions la font
fondre.
Elle dégrafe son soutien-gorge, passe ses mains sur sa poitrine gonflée par le désir.
Ensuite, elle déboutonne sa jupe et la laisse glisser sur ses chaussures. Elle
s’observe un instant dans le grand miroir. Lyse se trouve sexy, cambrée par ses talons
avec juste un string mauve sur elle. Fermant ses yeux une seconde, elle se remémore la
sensation de Sylvain au bord de l’évanouissement et le ressent à nouveau craquant dans
sa bouche. Elle rouvre ses yeux pour l’imaginer, observant son corps, détaillant ses
formes, la désirant.
Elle retire enfin son string, quitte ses talons et rejoint la douche. L’eau bouillante
qui ruisselle sur son corps la saisit et l’enveloppe d’une torpeur particulière. Lyse
s’enduit de gel douche tout en caressant son corps brulant de désir. Sous sa peau,
elle sent le désir inonder ses veines. Elle remet le masque et tire le rideau comme
convenu.
Sur le canapé, Sylvain s’est quasiment évanoui. Il a ressenti un tel plaisir ! Si la
situation l’excitait beaucoup, voir Lyse se prendre autant au jeu l’a transporté. Au
moment de jouir, son cœur s’est arrêté de battre, le temps s’est suspendu... Ensuite,
il l’a regardée se lever, superbe, sensuelle, divine. Il a entendu la porte du
couloir, puis celle de la salle de bain.
Le bruit de l’eau le tire, à présent, de ses rêveries. Il se rapproche du couloir et
attend qu’elle ouvre le rideau. Il l’imagine déjà, prête pour une nouvelle étape
sensuelle, avec son masque sur les yeux. Ses mains tremblent d’impatience et son sexe
montre déjà des signes de réveil. Soudain : le bruit tant attendu.
Il pousse la porte pour tomber sur ce qu’il espérait : Lyse, masquée, ruisselante,
torride, hésitante, rayonnante de volupté. Il prend le temps de l’observer. Elle
ressent sa présence et peut presque sentir son regard sur elle. Il laisse le désir
monter.
Lyse attend. Le masque la prive de la vue, l’eau la prive de l’ouïe mais elle sait que
Sylvain la regarde et la désire. Ce qu’elle ne sait pas, c’est ce qu’il va se passer.
Son esprit échafaude autant de plans que cet instant débridé lui inspire. Et d’un
coup, tout s’arrête. Il vient de saisir son poignet. Un frisson parcourt tout son
corps. C’est l’instant où l’on désire sauter dans l’inconnu tout en étant retenu par
une peur intense et inexplicable.
Sylvain prend ses poignets, les rassemble au-dessus de sa tête et les attache autour
de la barre de la douche. Au moment où le « clic » des menottes se referme sur elle,
Lyse est parcouru d’un spasme, comme une crainte. Sylvain prend un peu de recul.
Quel corps ! Il pose sans ménagement ses mains sur la poitrine sans défense qui se
tend devant lui. La volupté des seins de Lyse le rend fou. Il passerait des heures à
les caresser, les palper, les mordiller. Il s’en délecte à pleines mains puis très
vite à pleine bouche. Il dévore comme si c’était un festin à volonté. Entravée, Lyse
est offerte. Il se sert.
Ses mains désœuvrées partent le long de ses jambes. Il la caresse comme un conquérant,
comme un chasseur avec sa proie. Ses mains sont fermes et autoritaires. Elles glissent
sur elle et redécouvrent son corps. Son ventre plat, ses cuisses musclées, ses fesses
rebondies sont à lui. Puis il glisse sa main entre ses cuisses. Il les force à
s’ouvrir. Ses doigts fondent sur le sexe dévoilé, le majeur remonte le long de lèvres
entrouvertes par le désir avant de rejoindre la jeune toison qui les surplombe.
Sylvain se redresse pour admirer de nouveau Lyse, offerte à son désir. Elle ne dit
rien mais elle irradie la pièce comme une source de chaleur, de désir, de passion. Il
s’approche d’elle, l’embrasse tout en saisissant son visage puis ses doigts filent de
sa poitrine vers son sexe. Le vainqueur de cette course effrénée la pénètre sans
attendre. Il découvre un havre de volupté qui brule intensément. Très vite, se sont
deux puis trois doigts qui vont et viennent en elle. D’un geste viril, il impose à
Lyse de se retourner. Les menottes pivotent, les bras se croisent, elle se retrouve
dos à Sylvain, une main qui fouille son ventre et ses fesses pressées contre un sexe
désormais pleinement réveillé. Être ainsi contrainte lui fait ressentir autant de
frustration que d’excitation, autant de crainte que de désir. Son bassin ondule au
rythme des caresses qui l’envahissent.
Au comble du désir, Sylvain la pénètre. L’étreinte bouillante d’un sexe assoiffé, la
sensation des fesses s’écrasant contre son bas ventre le transporte de nouveau dans un
monde parallèle. L’impuissance de sa maitresse décuple son désir. Déjà, c’est par
d’amples mouvements qu’il la prend. Ses mains bloquent des hanches fuyantes pour que
les deux sexes s’épousent au plus profond de l’étreinte. N’y tenant plus, il se retire
d’un sexe trop conventionnel, trop compréhensif, trop coopératif. Son gland remonte le
long du corps en transe de Lyse pour trouver des fesses pleines de promesses. Il s’y
enfonce sans discours ou flatteries et sans ménagement non plus. Mais ce n’est pas la
résistance qui l’attend, plutôt un volcan, bien plus terrible que celui qu’il vient de
quitter. Les entrailles dévoilées, telles un brasier impitoyable, piègent leur hôte.
Une déferlante l’envahit, il est déstabilisé un instant, si bien que la nature
diabolique de Lyse reprend le dessus. Ses hanches impriment d’intenses va-et-vient.
Elle reprend les commandes.
C’était sans compter sur la détermination de Sylvain qui met un terme à cette
rébellion. D’un grand coup de bassin, il la plaque contre le carrelage glacé. Il ne
sait si c’est ce contact soudain avec le froid ou son sexe qui a déchiré les fesses
rebelles mais Lyse vient de retenir un cri. Il s’acharne un instant en elle, tandis
qu’elle subit ces assauts virils inconfortablement plaquée au mur, les bras tordus.
Toute velléité de révolte ainsi matée, il la redresse et reprend des mouvements plus
doux.
Cette accalmie n’est que de courte durée. Les doigts de Sylvain reprennent possession
du sexe de Lyse mais ils envahissent aussi sa bouche. La comblant ainsi de toutes les
façons, il ne retient plus son élan. Mille sensations les parcourent tous deux. Elle
est à lui. Il ne vit plus que par elle.
Alors qu’une chaleur inattendue explose dans le ventre de Lyse, Sylvain se libère dans
des fesses vaincues.
A bout de souffle, il se retire, détache les menottes et dit :
« Garde le masque un instant puis retire le et sort. »
Après ces mots, il quitte la salle de bains.
Dans la chambre, brulent trois bouges au jasmin.
Dans le couloir, attend une nouvelle enveloppe.
Merci pour vos commentaires suite à la première partie. N’hésitez pas à faire de même
pour celle-ci. Pour ceux ou celles qui voudraient discuter, laisser moi votre mail.
Merci et à bient^to pour une éventuelle suite.
encore la passion de Sylvain, ce goût du plaisir partagé l’enivre. Dans sa tête se
bousculent les images, ou plutôt les sensations, qu’elle vient d’éprouver : un mélange
d’inconnu, d’excitation et d’inhibition. Si elle ressent sur ses lèvres une légère
brulure, c’est un véritable brasier qui s’est emparé de sa poitrine et de son ventre,
elle sent son corps vibrer au rythme des soubresauts de son désir.
Elle retire le masque pour découvrir une nouvelle enveloppe qui l’attend sur la
commode devant elle.
Elle la saisit, la décachette sans plus attendre :
« Va dans la douche,
prends une minute pour te délasser
puis remet ton masque.
Ouvre le rideau, ce sera le signal ».
Lyse s’exécute immédiatement, pressée de continuer l’aventure. En pénétrant dans la
salle de bain, elle est, de nouveau, surprise : là aussi flotte une odeur de jasmin
tandis que trois bougies offrent une lueur vacillante. Ces petites attentions la font
fondre.
Elle dégrafe son soutien-gorge, passe ses mains sur sa poitrine gonflée par le désir.
Ensuite, elle déboutonne sa jupe et la laisse glisser sur ses chaussures. Elle
s’observe un instant dans le grand miroir. Lyse se trouve sexy, cambrée par ses talons
avec juste un string mauve sur elle. Fermant ses yeux une seconde, elle se remémore la
sensation de Sylvain au bord de l’évanouissement et le ressent à nouveau craquant dans
sa bouche. Elle rouvre ses yeux pour l’imaginer, observant son corps, détaillant ses
formes, la désirant.
Elle retire enfin son string, quitte ses talons et rejoint la douche. L’eau bouillante
qui ruisselle sur son corps la saisit et l’enveloppe d’une torpeur particulière. Lyse
s’enduit de gel douche tout en caressant son corps brulant de désir. Sous sa peau,
elle sent le désir inonder ses veines. Elle remet le masque et tire le rideau comme
convenu.
Sur le canapé, Sylvain s’est quasiment évanoui. Il a ressenti un tel plaisir ! Si la
situation l’excitait beaucoup, voir Lyse se prendre autant au jeu l’a transporté. Au
moment de jouir, son cœur s’est arrêté de battre, le temps s’est suspendu... Ensuite,
il l’a regardée se lever, superbe, sensuelle, divine. Il a entendu la porte du
couloir, puis celle de la salle de bain.
Le bruit de l’eau le tire, à présent, de ses rêveries. Il se rapproche du couloir et
attend qu’elle ouvre le rideau. Il l’imagine déjà, prête pour une nouvelle étape
sensuelle, avec son masque sur les yeux. Ses mains tremblent d’impatience et son sexe
montre déjà des signes de réveil. Soudain : le bruit tant attendu.
Il pousse la porte pour tomber sur ce qu’il espérait : Lyse, masquée, ruisselante,
torride, hésitante, rayonnante de volupté. Il prend le temps de l’observer. Elle
ressent sa présence et peut presque sentir son regard sur elle. Il laisse le désir
monter.
Lyse attend. Le masque la prive de la vue, l’eau la prive de l’ouïe mais elle sait que
Sylvain la regarde et la désire. Ce qu’elle ne sait pas, c’est ce qu’il va se passer.
Son esprit échafaude autant de plans que cet instant débridé lui inspire. Et d’un
coup, tout s’arrête. Il vient de saisir son poignet. Un frisson parcourt tout son
corps. C’est l’instant où l’on désire sauter dans l’inconnu tout en étant retenu par
une peur intense et inexplicable.
Sylvain prend ses poignets, les rassemble au-dessus de sa tête et les attache autour
de la barre de la douche. Au moment où le « clic » des menottes se referme sur elle,
Lyse est parcouru d’un spasme, comme une crainte. Sylvain prend un peu de recul.
Quel corps ! Il pose sans ménagement ses mains sur la poitrine sans défense qui se
tend devant lui. La volupté des seins de Lyse le rend fou. Il passerait des heures à
les caresser, les palper, les mordiller. Il s’en délecte à pleines mains puis très
vite à pleine bouche. Il dévore comme si c’était un festin à volonté. Entravée, Lyse
est offerte. Il se sert.
Ses mains désœuvrées partent le long de ses jambes. Il la caresse comme un conquérant,
comme un chasseur avec sa proie. Ses mains sont fermes et autoritaires. Elles glissent
sur elle et redécouvrent son corps. Son ventre plat, ses cuisses musclées, ses fesses
rebondies sont à lui. Puis il glisse sa main entre ses cuisses. Il les force à
s’ouvrir. Ses doigts fondent sur le sexe dévoilé, le majeur remonte le long de lèvres
entrouvertes par le désir avant de rejoindre la jeune toison qui les surplombe.
Sylvain se redresse pour admirer de nouveau Lyse, offerte à son désir. Elle ne dit
rien mais elle irradie la pièce comme une source de chaleur, de désir, de passion. Il
s’approche d’elle, l’embrasse tout en saisissant son visage puis ses doigts filent de
sa poitrine vers son sexe. Le vainqueur de cette course effrénée la pénètre sans
attendre. Il découvre un havre de volupté qui brule intensément. Très vite, se sont
deux puis trois doigts qui vont et viennent en elle. D’un geste viril, il impose à
Lyse de se retourner. Les menottes pivotent, les bras se croisent, elle se retrouve
dos à Sylvain, une main qui fouille son ventre et ses fesses pressées contre un sexe
désormais pleinement réveillé. Être ainsi contrainte lui fait ressentir autant de
frustration que d’excitation, autant de crainte que de désir. Son bassin ondule au
rythme des caresses qui l’envahissent.
Au comble du désir, Sylvain la pénètre. L’étreinte bouillante d’un sexe assoiffé, la
sensation des fesses s’écrasant contre son bas ventre le transporte de nouveau dans un
monde parallèle. L’impuissance de sa maitresse décuple son désir. Déjà, c’est par
d’amples mouvements qu’il la prend. Ses mains bloquent des hanches fuyantes pour que
les deux sexes s’épousent au plus profond de l’étreinte. N’y tenant plus, il se retire
d’un sexe trop conventionnel, trop compréhensif, trop coopératif. Son gland remonte le
long du corps en transe de Lyse pour trouver des fesses pleines de promesses. Il s’y
enfonce sans discours ou flatteries et sans ménagement non plus. Mais ce n’est pas la
résistance qui l’attend, plutôt un volcan, bien plus terrible que celui qu’il vient de
quitter. Les entrailles dévoilées, telles un brasier impitoyable, piègent leur hôte.
Une déferlante l’envahit, il est déstabilisé un instant, si bien que la nature
diabolique de Lyse reprend le dessus. Ses hanches impriment d’intenses va-et-vient.
Elle reprend les commandes.
C’était sans compter sur la détermination de Sylvain qui met un terme à cette
rébellion. D’un grand coup de bassin, il la plaque contre le carrelage glacé. Il ne
sait si c’est ce contact soudain avec le froid ou son sexe qui a déchiré les fesses
rebelles mais Lyse vient de retenir un cri. Il s’acharne un instant en elle, tandis
qu’elle subit ces assauts virils inconfortablement plaquée au mur, les bras tordus.
Toute velléité de révolte ainsi matée, il la redresse et reprend des mouvements plus
doux.
Cette accalmie n’est que de courte durée. Les doigts de Sylvain reprennent possession
du sexe de Lyse mais ils envahissent aussi sa bouche. La comblant ainsi de toutes les
façons, il ne retient plus son élan. Mille sensations les parcourent tous deux. Elle
est à lui. Il ne vit plus que par elle.
Alors qu’une chaleur inattendue explose dans le ventre de Lyse, Sylvain se libère dans
des fesses vaincues.
A bout de souffle, il se retire, détache les menottes et dit :
« Garde le masque un instant puis retire le et sort. »
Après ces mots, il quitte la salle de bains.
Dans la chambre, brulent trois bouges au jasmin.
Dans le couloir, attend une nouvelle enveloppe.
Merci pour vos commentaires suite à la première partie. N’hésitez pas à faire de même
pour celle-ci. Pour ceux ou celles qui voudraient discuter, laisser moi votre mail.
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