Ses premières heures chez Monsieur le Comte Juan Antonio de Barcenas y Cadalso.

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin :  Ses premières heures chez Monsieur le Comte Juan Antonio  de Barcenas y Cadalso. Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ses premières heures chez Monsieur le Comte Juan Antonio de Barcenas y Cadalso.
Compelled au Château - Suite de l'épisode précédent N°466 - Ses premières heures chez Monsieur le Comte Juan Antonio de Barcenas y Cadalso.

Qu’elle fut longue cette route, plus de deux heures, avec une conduite plus que sportive. soumis compelled MDE, balloté, secoué, agité sinon ‘’trinqueballé’’ tentait de se cramponner dans le coffre, d’enrailler ses nausées, de repousser et retenir régulièrement les bagages qui lui tombaient dessus. Il entendait les deux Maîtres, assis à l’arrière du véhicule, dialoguer et échanger sur leur vision de la slavitude, du BDSM, de leurs pratiques et leurs façons de voir les choses. Tous deux semblaient d’accord sur un point essentiel : Les esclaves étaient nés esclaves et n’avaient donc d’autre choix que de vivre pleinement leur slavitude, d’être des sujets serviles, respectueux, travailleurs et obéissants envers les Maîtres qui daignent s’occuper d’eux. Ils devaient accepter les tourments, les châtiments, ils étaient faits pour ça aussi… Le chien soumis MDE, comprit aux détours d’une conversation que là où on le conduisait, il n’y avait que des chiens mâles. Monsieur le Comte s’affichait comme un pervers et vicieux homosexuel dominant, il n’aimait pas les femmes fussent-elles des esclaves-femelles. L’esclave sut aussi, qu’une hiérarchie était bien installée dans son cheptel composé de seulement quinze esclaves. (Cheptel bien réduit eu égard à celui de Monsieur le Marquis d’Evans). Oui, une hiérarchie, avec trois chiens mâles dominants, facilement reconnaissables parce qu’eux ne portaient pas de cage de chasteté et pouvaient donc disposer de leurs queues comme ils l’entendaient, pouvaient se caresser, se branler et même saillir les chiens mâles dominés à leur convenance, en contrepartie d’un travail acharné, d’un labeur de forcené, d’un dévouement à toute épreuve. Des bêtes de somme en quelque sorte, bien pourvu par la nature, avec des queues et couilles impressionnantes ! Outre ce cheptel, Monsieur le Comte employait Felipe en qualité de Majordome, mais aussi de Stefano un italien fin cuisinier, et d’Alberto qui était en charge de la propriété et qui encadrait le cheptel.

La voiture s’arrêtait enfin ! Les trois portières claquèrent laissant seul soumis compelled MDE dans le coffre. Ce n’est qu’au bout d’un quart d’heure qu’on vint le récupérer. Un homme en short, torse nu, avec une pilosité impressionnante, des cheveux bruns en bataille, le regard sombre. Cet homme ouvrit le coffre et empoigna l’esclave et le fit sortir de la voiture sans le moindre ménagement. Le chien soumis compelled MDE, ébloui par la dense lumière, fut conduit sous une pergola sur laquelle était posée des cannisses servant d’ombrage. L’homme sans rien dire attacha à chacun des poignets et chevilles de l’esclave des bracelets cuirs, une barre d’écartement entre ses jambes, un lien autour des bracelets de ses poignets. La corde passa au-dessus de la poutre de la pergola et se tendit. soumis compelled MDE, contraints et obligés, bras tendu vers le haut, cuisses maintenues écartées, n’avait d’autres solutions que d’accepter cette douloureuse posture. On lui ôta sa cage de chasteté ! Le vicieux homme lui passa une main rugueuse sur la poitrine, lui attrapa les couilles, les étira et les comprima un tant soit peu.

- Humm ! fit-il simplement.

Il relâcha l’esclave, s’éloigna de quelques pas, passa derrière un buisson pour attraper un tuyau d’arrosage posé au pied d’un arbousier. L’eau froide et sous pression, cingla le corps bouillant et transpirant de soumis compelled MDE. Sa réaction ne se fit pas attendre, il gigota, virevolta, sursauta, grimaça, hurla même lorsque le jet atteignait certaines parties sensibles de son corps : Bien vaine supplique, que d’efforts superflus et représentations inutiles. Le chien fut trempé de la tête aux pieds puis fut abandonné là, à son triste sort. Il était en pleine nature, au milieu des oliviers, des figuiers, des amandiers, des grenadiers qui abondaient dans la propriété de Monsieur le Comte, avec face à lui une belle et grande pinède. Pas un bruit si ce n’était le chant des cigales et des pas venant à sa rencontre. C’était justement Monsieur le Comte marchant lentement, comme accablé par la chaleur, les bras dans le dos. Il s’approcha de soumis compelled MDE, lui souleva le visage. Son regard se posa dans celui de l’esclave.

- Ici les esclaves peuvent hurler, il n’y a personne à 10 kilomètres à la ronde, si ce n’est d’autres esclaves de ton espèce… Ceci dit, tu es là par soumission et obéissance à Monsieur le Marquis d’Evans, le Maître qui te soumet et donc tu es là de ton plein gré. Si tu ne souhaites pas rester, un seul mot de ta bouche dans les 30 secondes et tu es libre de partir et même je t’offrirai le voyage du retour. Mais si dans 30 secondes tu n’as rien dit, cela veut dire que tu acceptes de ton plein gré le fait que Monsieur le Marquis te prête à Moi et que tu acceptes TOUT ce que je vais exiger de toi autant qu’il me plaira et le temps qu’il me plaira aussi…
Sur ces mots, le silence se fit lourd et les secondes s’écoulaient lentement… 30 secondes plus tard comme l’esclave n’avait rien dit, qu’il acceptait pleinement sa condition et en prenait même du plaisir sans ambiguïté, Monsieur le Comte leva la tête pour s’exprimer clairement. soumis compelled MDE baissait son regard, il se fit vilipender :
- OK. Tu acceptes donc d’être ici en ma demeure l’esclave chien que tu es… Regarde-moi chien, regarde surtout ce que j’ai dans la main, c’est pour toi …
Monsieur le Comte lui présentait un fouet ! Un fouet rouge, épais et assez court, un fouet en cuir séché d’hippopotame qu’il avait ramené d’un de ces voyages en Rhodésie
- Il va te souhaiter la bienvenue chien !

Monsieur le Comte fit glisser l’instrument sur le corps offert de soumis compelled MDE, le glissa entre ses jambes.

- Tu vas jouir ma chienne ! Repris Monsieur le Comte en regardant l’esclave droit dans les yeux. (il se tut un instant dévisageant toujours l’esclave, puis il reprit) Tu vas accepter ce fouet par respect envers la tradition ici installée. Tiens pose un baiser sur ce merveilleux objet !

soumis compelled MDE tremblait de tout son corps, l’instrument l’effrayait, le terrorisait… Pourtant, il savait qu’il devait en passer par là car il avait accepté tout ce qu’on lui ferait subir par dévotion totale envers le Marquis d’Evans !

- Vingt coups seulement pour aujourd’hui, et demain je doublerai la dose…
Les coups furent terribles, tous, ceux donnés lentement comme ceux donnés en cadence… soumis compelled MDE hurla à en perdre le souffle, remua tant et plus… En vain, le vingtième coup boursouffla plus encore son fessier… Il en tirait un plaisir mentalement jouissif dans son esprit.

- Veux-tu que je recommence chien ? Questionna Monsieur le Comte.

Pourquoi une telle question ? Monsieur le Comte serait-il un Maître ne tenant pas parole ? Il s’interrogea quelques secondes encore avant que Monsieur le Comte le reprenne :
- Monsieur le Marquis d’Evans ne t’aurait-il pas enseigné le respect et les remerciements.

soumis compelled MDE comprit son erreur. Il baissa la tête la tête un peu plus encore entre ses bras tendus, présenta ses plus humbles et plates excuses et remercia sincèrement Monsieur le Comte.

- Tu as fauté chien et ici toute faute est réprimée. Tu vas donc avoir cinq coups de fouet supplémentaire pour t’éviter la récidive.

Les cinq coups supplémentaires furent portés sans la moindre concession. Le chien les encaissa en crispant tous ses muscles et en hurlant... mais sitôt le dernier reçut, il remercia de nouveau Monsieur le Comte.

- C’est bien le chien, je suis fier de toi !

L’esclave fut détaché et emmené, tenu par les couilles, par Monsieur le Comte. Il était bien difficile de marcher pieds nus sur ce sol rocailleux ou dans cette herbe séchée. Ils marchèrent encore une centaine de mètres avant d’entrapercevoir une luxueuse piscine. soumis compelled MDE repéra le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans installé près de l’eau, nu, chevauchant et forniquant un esclave au cul relevé. Il semblait s’en donner à cœur joie… Il releva tout juste la tête lorsqu’il vit Son chien arriver.

- Ah, Mon chien te voilà, où étais-tu passé ? Lança-t-il, un brin amusé tout en donnant de grands coups de rein dans celui qui se donnait à Lui.

soumis compelled MDE ne dit rien, il se contenta de regarder le spectacle, le chien-mâle se laissait empaler en poussant de petits geignements
- Approche chien et montre-moi ton dos…
Le Maître s’était un peu redressé, les vas et viens étaient de plus en plus rapides, de petits mouvements de hanches en saccade, aidés par une ondulation du bassin du chien enculé. Il ne tarda pas à jouir et à remplir le cul de l’esclave. Il resta encore un instant ancré en lui, puis se dégagea en s’appuyant d’une main sur l’épaule de soumis compelled MDE. Il examina de près le dos de Son chien, il compta une à une, les traces laissées par la lanière du fouet. Le compte était bon, vingt-cinq belles traces rougeâtres et boursoufflées zébraient le cul et les omoplates de soumis compelled MDE.

- Tu es beau Mon chien ainsi marqué, tu mérites bien un petit bain.

soumis compelled MDE plongea dans la piscine alors que le Maître s’asseyait sur la margelle en laissant tremper ses pieds dans l’eau. Il laissa prendre un peu de détente à Son esclave, et le regarda nager, puis après cinq ou six longueurs, il lui ordonna d’approcher, de rester dans l’eau mais de placer sa tête entre ses cuisses.

- Tiens Mon chien décrasse ma queue, nettoie toi la bien !

soumis compelled MDE se plia aux exigences du Maître avec un plaisir non dissimulé, il sentit même sa propre queue se tendre, en même temps que celle du Maître. L’esclave était heureux, fier d’appartenir, fier de satisfaire et donner du plaisir… Il ne lui en fallait pas plus !

Pendant ce temps sous les pins maritimes et les phœnix, près de la piscine, Stefano le cuisinier avait dressé une table avec deux couverts, ceux de Monsieur le Marquis et de Monsieur le Comte. Les Maîtres prirent leur repas là, confortablement installés, avec à leurs pieds soumis compelled MDE. L’esclave se contenta de manger ce que le Maître lui tendait du bout des doigts et même parfois ce qu’ils jetèrent par terre et que l’esclave devait ramasser et avaler comme un véritable chien à quatre pattes. Au moment du dessert, Stefano arriva avec un esclave noir tel un dog en laisse marchant à quatre pattes derrière lui. L’esclave posa son visage sur la jambe gauche de Monsieur le Comte. Il se laissa gratter sa chevelure crépue et flatter la croupe en remuant le derrière tel un véritable animal.

- Va Mon bel esclave, va Mon chien, va ! Intima Monsieur le Comte à Son soumis.

Toujours à quatre pattes, l’esclave noir fit le tour de la table et s’approcha de soumis compelled MDE, toujours allongé près des pieds du Maître. Dans un premier temps, l’esclave noir renifla le cul de soumis compelled MDE, puis le lui lécha avidement déposant sur son anus beaucoup de salive.

- A quatre pattes chienne ! Ordonna le Maître à soumis compelled MDE
Sitôt dans la position requise, l’esclave noir le grimpa, pointa son énorme queue sur l’anus humidifié et l’enfourna jusqu’à la garde, lui arrachant au passage un cri de douleur. Les Maîtres se délectaient de leur glace et du spectacle. Monsieur le Comte encourageait Son esclave.

- Prends-la bien cette chienne, elle est en chaleur, féconde là !
- Et toi soumis compelled MDE, bouge ton cul, montre nous que tu as envie de cette queue ! Reprenait le Maître.

Les deux soumis se donnaient en spectacle, sans la moindre pudeur, sans la moindre gêne, sans la moindre retenue, soumis compelled MDE se laissait pilonner, enculer en poussant des gémissements de plus en plus puissants. L’esclave noir se déchainait dans ce cul à un rythme effréné, il poussait des « arrrh ! » à chaque fois qu’il pénétrait et défonçait la lope soumise, jusqu’au moment où l’ensemble de son corps se tendit, tous ses muscles se raidirent pour laisser exploser sa jouissance. Juste après, Monsieur le Comte s’était levé, il attrapa soumis compelled MDE par un bras, le fit redresser et constata qu’il bandait. Il gifla à plusieurs reprises l’esclave en rut, lui asséna des claques sur sa bite tendue, lui comprima les couilles. L’effet fut immédiat, l’érection tomba, la cage de chasteté fut immédiatement réinstallée sur ces mots du Comte :
- Ca t’excite hein ! Espèce de chienne en chaleur de te faire enculer ainsi …
(A suivre…)

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Texte coquin :  Ses premières heures chez Monsieur le Comte Juan Antonio  de Barcenas y Cadalso.
Histoire sexe : Une rose rouge
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