"Tu es vraiment un bon amant"

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : "Tu es vraiment un bon amant" Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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"Tu es vraiment un bon amant"
Alors que je suis devant mon ordinateur, j’aperçois ma voisine. Marie-Sophie de son prénom, sortir de chez elle par la baie vitrée. Après s’être assuré que personne s’intéresse à elle, la voilà qui traverse la terrasse pour s’approcher de la piscine. Là, elle étale la serviette qu’elle tenait en main sur le bain de soleil. Après un nouveau coup d’œil autour d’elle la voilà qu’elle se sépare de son corsage et dans la foulée son soutien-gorge. Mais chose étrange garde tout de même sa jupe. Après un nouveau coup d’œil circulaire, elle enlève sa culotte qu’elle pose sur le dallage, là devant ses pieds.
Elle forme une boule de couleur rouge. Je ne sais pas ce qui me retient d’aller me l’approprié. Sans doute sa présence.
Elle profite que je sois dans mes réflexions pour s’enduire de crème solaire avant de s’étendre sur le dos.
Perplexe je me demande à quoi elle joue. Je l’observe un long moment attendant patiemment sa jupe pour voire sa chatte. C’est alors que le voisin se trouvant de l’autre côté, sort à son tour. C’est l’instant que choisi la voisine pour se retourner et par la même occasion relevé les genoux tout en les écartant. Le coquin à droit de se rincer les yeux. Mais voilà que le même voisin, prend l’initiative de parcourir la distance qui sépare son jardin à celui de la belle Marie-Sophie. Sans préambule il glisse une main sous la jupe, tout en échangeant quelques mots. Sans doute pousser par le temps, le voilà qui déboutonne son short, le fait glisser de long de ses jambes et tout de suite après se couche sur elle et entreprend de la baiser. Après quelques aller et retour le voilà qui se relève et remonte son short.
-Eh bien dis donc ! S’exclame la voisine toujours les cuisses écartées, tu dois prendre un train ?
-Pourquoi cette question ?
-Tu ne trouves pas que tu as été trop rapide ?
-C’est qu’on risque de nous voir !
-Tout le quartier travaille !
-C’est pas une raison.
-Salaud !
Et le voilà qui lui tourne le dos et retourne chez lui par le même chemin que l’aller. Saisis d’une pulsion incontrôlable, je passe par-dessus le grillage, et m’avance jusqu’à la femme. Elle pousse un cri de surprise en me découvrant et tente de cacher son sexe avec ses mains.
-Mais qu’est-ce que vous foutez chez moi ? S’écrie-t-elle.
-J’étais tranquillement en train de pianoter sur mon ordinateur quand j’ai aperçu le voisin foulait votre terrain. Ma première pensée était de me demander à quoi il jouait, c’est alors que je vous ai aperçu et là, j’ai tout compris.
Déjà sa colère s’évapora, elle me sourit même.
-C’est juste un coup. Je compte sur vous pour ne rien dire à mon mari.
- Je m’en garderais bien ! J’ai tout de même pu m’apercevoir il est très gâté par la nature.
-Peut-être, mais il reste tout de même un éjaculateur précoce.
-Alors pourquoi le garder ?
-Pas le choix !
-Et… et votre époux dans tout ça ?
-Un goujat !
-Je devine !
-Vous devinez quoi ?
-Que vous êtes en mal de jouissance.
Elle se contente de sourire, puis lâche :
-Vous connaissez peut-être quelqu’un qui pourrait me convenir dans vos relations ?
-Oui…moi, voyez-vous, je peux vous faire jouir.
-Prétentieux !
-Non Madame, pragmatique ! Jusqu’à maintenant mes partenaires disent que je suis un bon amant !
-Et qu’est-ce que vous faite de votre femme dans tout ça ?
-Ma concubine, vous voulez dire…
-Bon… bon, si vous voulez ! Et vous faite quoi pour qu’elles disent cela ?
-Je leur broute le minou !
-Il y a qu’une femme pour faire ce genre de relation à la perfection !
-J’en suis peut-être une, allez savoir ! Cela vous tente ?
Je suis émerveillé par son charme, les quelques rides discrètes qui marquent la naissance de sa poitrine attirent mon regard qui se fixe dessus.
-Vous êtes mignon, vous savez ! Me dit-elle en regardant autour d’elle pour s’assurer que nous sommes seuls. Je pourrais être votre maman ! fait-elle avec un sourire.
-Et alors qu’est-ce que cela peut faire !
Elle jette un coup d’œil du côté de mon jardin.
-Un problème ? Lui fais je.
-Non… non, c’est seulement, fit-elle en s’appuyant sur son coude et me regardant droit dans les yeux.
-Seulement ?
-C’est bête mais je crois que vous êtes en train de jouez avec moi en ce moment.
-Un pari, en sommes !
-En sommes, oui ! Fit-elle.
-Pas du tout, c’est parfaitement sérieux ce que je vous propose.
-Vous me donner l’eau à la bouche !
-Laissez-vous alors tenté !
-Je ne sais pas si je dois… surtout avec un jeune…
-Juste sucer Madame…
-Bon… d’accord, une première et dernière fois !
-Je signe où ?
Elle se lève et plonge dans la piscine, avec sa jupe. Sitôt sortie elle s’essuie et m’entraîne à l’intérieur de chez elle. Devant mon étonnement elle se doit de me préciser que c’est pour effacer la trace de son amant.
Succombant à ses sens et comprenant tout l’avantage qu’elle peut en tirer de la situation, voilà que Marie-Sophie m’attrape par le bras, et m’entraîne avec elle à l’intérieur de chez elle. L’extrême vivacité de la femme de me laisse pantois. Je me laisse diriger comme une marionnette. Tout ce qui intéresse à présent la belle mature est de se retrouver avec moi, chez elle et ainsi calmer le feu qui lui dévore le bas-ventre. Ses sens totalement exacerbés, elle fonce comme un zombie dans le salon, serrant bien fort mon bras.
Très vite la voluptueuse voisine se presse encore plus intensément contre moi et m’embrasse langoureusement, profondément, violant ma bouche avec sa langue. Marie-Sophie me dévore littéralement la bouche. Je succombe plus que jamais à l’envoûtante voisine, mes lèvres se mettent à répondre à celles de la torride Marie-Sophie.
Elle a tout de même lâché un fort « Ouuuuiiiiii ! » étouffé quand j’ai plaqué ma main contre le relief de son mont de Vénus et que j’ai planté mon doigt dans son creux, essayant de rentrer en elle aussi profondément que je pouvais.
J’ai alors une sorte d’illumination. Je me dis pour moi-même, que je deviens de plus en plus pervers. Que je vais de plus en plus loin dans mes relations.
Je me mets à lui pétrir les seins, mais je viens ensuite sur son ventre, descendant jusqu’au bas de ses hanches. J’appuis mes doigts sur la saillie de son pubis, et je descends très lentement. Je suis surpris par l’impact que ça à eu sur elle. Je ne suis même pas encore sur son sexe, simplement, je cherche à bien me repérer, sur le renflement de sa motte, qu’elle a une sorte de spasme très violent, qui l’a traverse, comme si elle vient de prendre une décharge électrique.
Assez curieusement, cela éveille en moi une sorte d’instinct malsain. L’espace d’un instant, dans une sorte de test, je m’écarte de son intimité. Le regard suppliant qu’elle me jette alors ne m’a pas vraiment surpris. Ça a réaffirmé à mes yeux, une fois encore, le pouvoir de mes caresses.
J’amène deux doigts au centre de sa fente, et je les fais aller et venir en appuyant de tout mon poids. Elle ne garde pas le contrôle d’elle-même très longtemps. Ça ne me surprend. La violence de sa réaction me prend de court. L’espace d’un instant, je crains même qu’elle fasse une crise cardiaque. Elle ouvre la bouche et elle pousse des gémissements, et des sortes de cris brefs, rauques, inarticulés, en même temps que ses yeux se révulsent. Je poursuis ma branlette.
Basculée en arrière, elle a des spasmes. Elle a la bouche ouverte, comme si elle cherche désespérément à reprendre sa respiration. Elle bave. Laisse échapper une sorte de lente et longue romance. Elle mouille. Ça se répand à une vitesse folle. J’ai même pensé un instant qu’elle se pisse dessus. Mais l’odeur qui monte, forte, je la connais, c’est celle des sécrétions.
Je plante une dernière fois mes doigts dans la fente, l’enfonçant aussi loin que je le peux. Elle se fige, bouche ouverte. D’instinct, elle se place à quatre pattes sur le divan en cuir marron, écartant bien les cuisses. Elle tend son cul vers moi. Je ne cesse de m’émerveiller de la puissance qu’une caresse quelconque peut avoir sur elle.
Elle gémit doucement, alors que je me balade sur elle. J’ai longuement parcouru sa croupe. Je la travaille dans cette position très longtemps. Parfois, elle se retourne vers moi, me jetant un regard qui ne me voit pas vraiment. J’amène mes doigts sur la boursouflure de son sexe, appuyant, creusant.
Je a fais se retourner, s’allonger sur le dos. Ses lèvres sont extrêmement dilatées. Son méat sourde une sorte de liquide très crémeux, qui sort par décharges successives. Je me penche sur elle et lape ses sécrétions. Elle libère une rasade de sécrétions mousseuses et blanches. Je plonge ma bouche et ma langue dessus avec l’idée de la boire. Le goût est succulent. Ma langue la fouille et lui procure que du plaisir.
Je ferme les yeux, et lui offre le pourquoi que je suis là. En les rouvrant mon regard rencontre le sien, dans lequel je lis une sorte de défi, une clameur qui me dit distinctement « Tu es vraiment un bon amant ».

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