-Un neveu idéal
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 250 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de linsee ont reçu un total de 1 230 211 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 5 018 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
-Un neveu idéal
Mireille et Gorges, la cinquantaine environ, n'ont pas d'enfants, chaque année pour les vacances, ils reçoivent dans leur mas, leur neveu Grégoire. Le jeune homme a maintenant dix-neuf ans.
Fan de photos, il fait crépiter son appareil pour un oui pour une non. Sa tante en est la cible privilégiée, souvent, il la prend à son insu. Mireille a un corps magnifique, peut-être un peu trop délaissé par Georges son mari.
Le coquin roule des mécaniques, bombe le torse en présence de sa tante. Lorsqu'il fait un petit plongeon dans la piscine, il insiste pour qu'elle le rejoigne.
Les deux jouent comme des enfants, une fois hors de l'eau, ils se courent derrière, se roulent dans l'herbe en simulant une lutte. Le jeune gredin en profite pour se frotter contre elle. Ils rient aux éclats, sous les yeux amusés de Georges. Une fois que sa tante se changer dans sa chambre, et que la porte était entrouverte, Grégoire en maillot de bain, appareil photographique en main, pousse la porte et fait crépiter l'appareil. Mireille sursaute, elle était en train d'enfiler sa culotte, elle redresse la tête et dit :
-Grégoire, qu'est-ce que tu fais dans ma chambre petit voyou, je te demande d'effacer ses photos, tu vois bien que je suis pratiquement nue !
Elle tente de cacher sa poitrine, ses seins lourds pendent sur son torse. Elle est rouge de honte. Le coquin, malgré les demandes répétées de sa tante, continue de la photographier. Sa culotte laisse deviner une toison généreuse. Grégoire s'en donne à cœur joie. Mireille élève le ton :
-Grégoire, si tu ne sors pas immédiatement de ma chambre, cela va mal se terminer !
Il gonfle sa poitrine, et avance vers sa tante, il la bascule sur le lit, se couche sur elle, et en lui tenant les bras, lui dit en souriant :
-Elle me ferait quoi ma petite tante d'amour, elle donnerait à son vilain neveu une bonne fessée !
Mireille se pince les lèvres pour ne pas rire, et dit :
-Pourquoi pas, je crois que tu la mérites bien !
Il répond en riant :
-Essaie pour voir !
Elle tente de se débattre, mais Grégoire est costaud, c'est lui qui réussi à la mettre sur le ventre. Il commence à lui donner quelques tapes sur les fesses. Mireille s'agite comme un ver en vociférant :
-Si je t'attrape, je te tue salaud !
Lui, il prend ça pour un jeu, et répond :
-Ah la tante veut tuer son neveu, rien que pour ses mots, je dois sévir !
Tout en la maintenant, d'une main, il lui baisse la culotte et se met à taper plus fort. Mireille pousse des cris, elle se contorsionne pour échapper à son bourreau. Grégoire là, y a été un peu fort, sa tante a les fesses rouges, l'empreinte de ses doigts et visible sur la peau.
Il cesse en voyant le mal qu'il a fait, il lui caresse doucement les fesses pour atténuer la brûlure, puis lui remonte la culotte et la libère. Mireille descend du lit, le regarde méchamment en faisant une moue. Grégoire écarquille mes yeux, il voit une tache humide sur la culotte à hauteur de la vulve. Mireille ne pense même pas à cacher ses seins, elle dit :
-Tu es un monstre, tu m'as fait mal, je te hais, sors de ma chambre !
Il s'approche, l'enlace et la serre dans ses bras, il lui dit avec un air penaud :
-Je te demande pardon, tante, je ne pensais par te faire du mal, je prenais ça pour un jeu !
Leurs lèvres sont très proches, leurs souffles se mêlent. Mireille a les yeux pleins de larmes. C'est en reniflant qu'elle dit :
-Sors de ma chambre, je passe l'éponge pour cette fois, aller file gredin !
Grégoire, lui donne un baiser rapide sur la joue, et lui souffle à l'oreille :
-Ta culotte est mouillée, pense à la changer !
Mireille rougit encore plus, et montre du doigt la porte de sortie à son neveu. Il sort sans refermer la porte. Mireille se jette sur son lit, elle regarde le plafond en soupirant de nombreuses fois. Machinalement sa main se pose sur la tâche humide, ses doigts passent plusieurs fois sur sa fente. Sans retirer sa culotte, elle s'agace le clito jusqu'à ce qu'elle jouisse.
Après un bon bout de temps, la tante fait son apparition, en jupe et un soutien-gorge de bain sur les seins. Elle foudroie du regard son neveu, qui lui fait un clin d'œil.
Georges a déjà préparé le diner, il a fait un barbecue et aussi dressé la table sous un olivier. Mireille prend place à côté de son neveu, elle ne cesse tourner la tête vers lui en le fusillant du regard. Lui la toise, en hochant doucement la tête. Pendant le diner, l'atmosphère se détend, les rires reprennent. De temps en temps, Grégoire appuie son genou contre la cuisse de sa tante, qui le repousse vivement. Il profite que son oncle et au barbecue, pour souffler à sa tante en ironisant :
-Alors petite mouilleuse de tante, on en veut toujours à son neveu !
Elle serre les dents, puis pour le remettre à sa place, lui dit :
-Je me suis branlée tellement je mouillais, et je n'ai même pas pris le temps de mettre une culotte, cela te va comme réponse petit salaud !
Grégoire regarde sa tante, ses yeux s'illuminent et demande !
-C'est vrai, tu n'as pas de culotte !
D'un geste vif, Mireille remonte sa jupe et la rabaisse aussi vite. Grégoire devient moite, ce qu'il vient de voir le laisse sans voix. Il ravale bruyamment sa salive. Effectivement sa tante n'a pas de culotte.
Pour le narguer, Mireille fait mine de se caresser en passant la main sous sa jupe. Grégoire défaille, sa verge commence à entrer en érection. Sa tante regarde la bosse qui déforme son maillot en souriant. Elle lui donne une grande tape dessus en disant en riant :
-Couchée sale bête, aller à la niche !
L'érection est au top, Grégoire ne se contrôle plus, il écarte son maillot et extirpe sa verge tendue. Il la saisit et commence à se masturber en serrant les dents, heureusement que la table le cache de son oncle. Quant à sa tante, elle ne quitte pas des yeux le manche dressé. Elle serre les poings, pour ne pas saisir le membre bien raide. Soudain, elle sursaute, plusieurs giclées sont expulsées du mat de chair et retombent sur les doigts du branleur en lui souillant aussi le maillot.
Georges est sur le point de revenir avec les grillades. Grégoire a juste le temps de ranger sa queue dans son slip de bain. Il regarde sa tante et lui dit :
-Tu es une salope, j'ai joui pour toi !
La tante en souriant se penche sur lui et lui dit :
-Nous sommes quittes salaud, va te changer avant que Gorges ne se pose des questions !
Grégoire se lève et rapidement va mettre un autre slip de bain. Le repas se passe un peu tendu. Georges remplit plusieurs fois les verres, l'euphorie gagne. Les allusions sur le sexe et monnaie courante, Mireille s'agite sur sa chaise. Grégoire parle de baise, en fixant sa tante du regard. Georges lui rit aux éclats. L'alcool coule à flot, Le repas se termine, comme à l'accoutumé Georges va rejoindre sa chambre pour faire un sieste. Grégoire va chercher son appareil photo, et commence par mitrailler sa tante. Qui comme une star, en souriant prend la pose.
Elle met ses mains derrière sa tête en relevant ses cheveux, en faisant un regard ravageur, elle attend le clic de l'appareil pour changer de pose. Mireille en fait un jeu, elle pose un pied sur la chaise, sa jupe remonte sur le haut de sa cuisse, en découvrant presque totalement sa vulve. Grégoire fait crépiter l'appareil, il jubile, il excite sa tante pour qu'elle se découvre davantage. Grisée par l'alcool, elle dénoue son soutien-gorge, et plaque directement ses deux mains pour cacher ses seins.
Grégoire grince des dents, il bègue en parlant :
-C'est magnifique tante, retire doucement tes mains, les photos vont être merveilleuses, tu es dignes d'une star, retire tes mains, retire les !
En se penchant en avant, lentement Mireille ôte ses mains. Ses seins sont magnifiques, les mains du photographe amateur tremblent. Il dit en écarquillant les yeux :
-Retire ta jupe, montre ton fruit oh comme il doit être juteuse !
Mireille se redresse et lentement en souriant remonte sa jupe en dévoilant totalement sa vulve. Grégoire zoom, prise en gros plan il peut voir que la toison soyeuse est humide. En s'exhibant la coquine mouille. Il lui dit :
-Ouvre bien tes cuisses, montre bien à l'objectif ton bonbon, oh tante ce que tu es belle !
Sans aucune gêne, Mireille ouvre les cuisses et sans que l'on lui demande, avec ses mains elle écarte sa chatte. Grégoire croit rêver, sa tante lui ouvre son temple, c'est en riant qu'elle lui dit :
-Elle te plait, mais elle n'est pas pour toi !
Rapidement elle fait tomber sa jupe sur l'herbe brulée par le soleil, et s'élance entièrement nue dans la piscine. Grégoire bande comme un cerf, il pose son appareil et plonge aussi dans le bassin. Les deux jouent comme des enfants, ils s'enfoncent la tête sous l'eau, font des courses. C'est épuisée que la tante s'accroche au bord du bassin. Elle est vite rejoint par son neveu qui s'agrippe à elle, il plaque son bassin contre le fessier bien rebondi de sa tante et commence à onduler du bas-ventre.
Pendant qu'il se frotte contre elle, il lui donne une multitude de baisers sur la nuque les épaules et sur le cou. Mireille sent contre sa croupe le manche de son neveu qui ne cesse de grossir. Elle pousse de gros soupirs puis se retourne pour lui faire face. Elle se retient comme elle peut, pour ne pas couler. Lui l'enlace c'est le ventre de sa tante qui maintenant est agressé par la verge tendue. Elle le regarde intensément, lui voudrait la prendre là, dans l'eau. Il approche ses lèvres des siennes, les frôlent, sa tante tourne la tête pour éviter le contact. Elle dit :
-Reste sage Grégoire, je suis ta tante !
Lui pour toute réponses donne quelques coups de reins pour que sa tante se fasse une idée dans quel état elle la mis. Elle sent contre son ventre la verge tendue que le slip de bain emprisonne. Elle frisonne. Puis en poussant un gros soupir, se dégage de son agresseur bandant. Elle sort de l'eau, Grégoire regarde le corps nue de sa tante ruisselant de perles de rosées. Ses yeux ne peuvent quitter les fesses rebondies, il serre les dents en soupirant. Elle saisit une serviette qu'elle étend sur l'herbe et s'allonge dessus.
Grégoire sort à son tour, il s'étend à côte de sa tante. Il lui dit :
-Mireille tu as un corps magnifique, oh si tu le voulais, mon dieu !
Mireille, lui dit :
-Cesse de te faire du mal, pense à autre chose, je te répète que je suis ta tante !
Il lui caresse doucement le dos en la complimentant sur sa beauté. Mireille se laisse charmer, par ce jeune beau parleur, qui pourrai être son fils. Elle frissonne sous ses doigts, le soleil a séché son corps. La caresse de la main sur sa peau brûlante la fait soupirer. La main descend doucement sur ses reins, avance lentement sur les lobes séparés par un large sillon. Deux doigts s'insère entre les demi-sphères, s'approchent dangereusement de l'œillet brun, fortement ridé.
Mireille commence à trembler, elle dit :
-Grégoire cesse, ce petit jeu malsain !
Le coquin lui souffle à l'oreille :
-Pendant la séance photo, ta chatte mouillée, tu t'excitais en d'exhibant devant moi, tu me rend fou. Regarde comme je bande pour toi !
Mireille, se met assise, et regarde la bosse monstrueuse qui déforme le slip de son neveu. Lui allongé sur le dos, baisse son slip de bain et exhibe sa verge dressée comme un mat, i ll'agite. Mireille regarde un long moment le membre tendu, il est vrai que Grégoire est bien monté. Il est vrai aussi, que Le manque de libido de son mari, la prive d'étreintes fougueuses. Elle ravale sa salive, puis sans se préoccuper des suites que cela peux engendrer, elle saisit la verge.
Elle la branle lentement au début, puis en a fixant toujours du regard, accélère. Son neveu gémit, le branlage est sévère, à chaque descente de son poignet, sa main frappe durement les couilles du jeunot. Grégoire, souffle comme un animale, il grimace et dit entre deux moues :
-Oh tante, tante, je vais jouir !
le branlage augmente en intensité, un giclée, est expulsée de la verge, et retombe sur la main branleuse et sur le ventre du branlé. Elle est suivie d'une autre giclée encore plus abondante. Mireille décalotte le gland et le maintient décalotté, toute en le tenant d'une main, de la paume de l'autre elle frotte doucement le chapeau visqueux. Cet attouchement inconnu produit son effet, Une nouvelle giclée se produit, le sperme s'écoule le long de la verge en engluant les couilles de l'éjacuteur.
La tante lâche le membre, regarde sa main et la frotte sur le torse de son neveu pour l'essuyer. Sa chatte est noyée, sous elle la serviette s'humidifie de plus en plus. Elle se lève, saisit sa serviette et se dirige vers la maison. Son neveu lui crie :
-Mais tante ne me laisse pas comme ça !
Soudain une voix se fait entendre, c'est l'oncle qui depuis sa fenêtre dit :
-Il a raison Mireille, tu ne peux pas le laisser comme ça !
Mireille sursaute, son cœur s'arrête presque, elle regarde vers la fenêtre. Son mari en souriant ajoute :
- Ca fait un bon bout de. temps que je vous observe ma chérie, continue ce que tu as commencée regarde le pauvre dans quel état tu le laisse !
Mireille s'arrête de marcher, fronce les sourcils et dit avec étonnement en béguant un peu :
-Tu, tu veux que je fasse l'amour avec lui Georges !
Georges réplique :
-Je te demande de ne pas le laisser comme ça, je suis certain que tu es en feu, je suis même étonné que tu ne lui à pas offert ta chatte, j'admire comment que tu métrises ma chérie, mais là, lâche toi, je suis de tout cœur avec toi !
Le cœur de sa femme se met à battre fortement dans sa poitrine, son mari la pousse à le cocufier, mais elle a un doute :
-Mais Georges tu es conscient de se que tu me demandes, tu es sûr que tu le désires que je le fasse !
Georges répond :
-Je sais que je te néglige, alors fait toi plaisir, oui je le souhaite ardemment que tu baisses avec Grégoire !
Sans en ajouter, Mireille fait demi-tour et s'approche de son neveu. Elle jette sa serviette à côte de lui, le regarde et lui dit :
-Tu as entendu ce qu'à dit ton oncle, j'espère que tu seras à la hauteur !
Elle s'agenouille devant lui, reprend d'une main a verge encore gluante et recommence un branlage nerveux. Mireille est très habile, elle sait faire gémir le jeunot. Elle branle rageusement l'engin pendant quelques secondes. Puis elle cesse, elle décalotte le gland et approche sa tête , elle donne des coups de langue sur le chapeau gascon, sa langue en fait plusieurs fois le tour avant que la coquine ne le prenne en bouche.
Les succions et le aspirations sont terribles, Grégoire gémit comme une bête blessée. La fellation est celle d'une experte, la bouche vorace fait hurler Grégoire de plaisir. Georges de son perchoir hurle :
-Remplit lui la bouche, décharge dedans vas-y, vas-y !
Sous les paroles encourageantes de son mari, Mireille s'acharne sur la bite de son jeune neveu, elle veut vraiment qu'il lui donne son sperme à boire. Soudain, il se cabre, et envoie une puissante giclée dans la bouche de sa tante. Mireille recrache la bite, et avale l'onctueuse crème si généreusement offerte. Elle lève la tête vers son mari et ouvre la bouche pour lui montrer qu'elle a tout avalée. Georges, lui crie :
-Baise-le ma chérie, baise-le, éclate-toi !
Mireille s'allonge sur le sol, et ouvre les cuisses, elle dit avec des trémolos dans la voix :
-Bouffe-moi mon chéri, bouffe-moi la chatte, j'en peux plus !
Le neveu n'attendait que cela, il se rue entre les jambes de sa tante et plaque sa bouche sur la chatte dégoulinante de jus. Sa langue fouille le conduit brûlant, voyage à l'intérieur en fouillant chaque recoin. Mireille geint, son souffle s'accélère. Elle se cabre en poussant un râle, lorsque son coquin de neveu lui aspire le clito. Le bougre sait y faire, sa tante se cambre en geignant de plaisir.
Une violente secousse suivit d'une intense brûlure lui traverse le ventre. Elle grince des dents en jouissant. Grégoire se redresse et avance son pieu recourbé comme un sabre vers la chatte inondée de cyprine. Un petit coup de reins est suffisant pour enfoncer sa bite profondément dans le ventre de sa tante. Elle s'accroche à lui en geignant. Le neveu vigoureux défonce sa tante avec acharnement. Sa bite voyage sans faiblir dans le puits s'amour en tension extrême. les allers et retours sont rapides. Le pilonnage intense porte ses fruits, Mireille se cabre en hurlant. Une terrible jouissance la fait se soulever de terre.
Grégoire lui, tire sur les hanches, pour lui, enfoncer totalement sa bite dans le ventre. Il se bloque et lui remplit le ventre de sa semence épaisse. Une seconde jouissance fait hurler Mireille qui se laisse retomber sur le sol en haletant comme une bête.
Fan de photos, il fait crépiter son appareil pour un oui pour une non. Sa tante en est la cible privilégiée, souvent, il la prend à son insu. Mireille a un corps magnifique, peut-être un peu trop délaissé par Georges son mari.
Le coquin roule des mécaniques, bombe le torse en présence de sa tante. Lorsqu'il fait un petit plongeon dans la piscine, il insiste pour qu'elle le rejoigne.
Les deux jouent comme des enfants, une fois hors de l'eau, ils se courent derrière, se roulent dans l'herbe en simulant une lutte. Le jeune gredin en profite pour se frotter contre elle. Ils rient aux éclats, sous les yeux amusés de Georges. Une fois que sa tante se changer dans sa chambre, et que la porte était entrouverte, Grégoire en maillot de bain, appareil photographique en main, pousse la porte et fait crépiter l'appareil. Mireille sursaute, elle était en train d'enfiler sa culotte, elle redresse la tête et dit :
-Grégoire, qu'est-ce que tu fais dans ma chambre petit voyou, je te demande d'effacer ses photos, tu vois bien que je suis pratiquement nue !
Elle tente de cacher sa poitrine, ses seins lourds pendent sur son torse. Elle est rouge de honte. Le coquin, malgré les demandes répétées de sa tante, continue de la photographier. Sa culotte laisse deviner une toison généreuse. Grégoire s'en donne à cœur joie. Mireille élève le ton :
-Grégoire, si tu ne sors pas immédiatement de ma chambre, cela va mal se terminer !
Il gonfle sa poitrine, et avance vers sa tante, il la bascule sur le lit, se couche sur elle, et en lui tenant les bras, lui dit en souriant :
-Elle me ferait quoi ma petite tante d'amour, elle donnerait à son vilain neveu une bonne fessée !
Mireille se pince les lèvres pour ne pas rire, et dit :
-Pourquoi pas, je crois que tu la mérites bien !
Il répond en riant :
-Essaie pour voir !
Elle tente de se débattre, mais Grégoire est costaud, c'est lui qui réussi à la mettre sur le ventre. Il commence à lui donner quelques tapes sur les fesses. Mireille s'agite comme un ver en vociférant :
-Si je t'attrape, je te tue salaud !
Lui, il prend ça pour un jeu, et répond :
-Ah la tante veut tuer son neveu, rien que pour ses mots, je dois sévir !
Tout en la maintenant, d'une main, il lui baisse la culotte et se met à taper plus fort. Mireille pousse des cris, elle se contorsionne pour échapper à son bourreau. Grégoire là, y a été un peu fort, sa tante a les fesses rouges, l'empreinte de ses doigts et visible sur la peau.
Il cesse en voyant le mal qu'il a fait, il lui caresse doucement les fesses pour atténuer la brûlure, puis lui remonte la culotte et la libère. Mireille descend du lit, le regarde méchamment en faisant une moue. Grégoire écarquille mes yeux, il voit une tache humide sur la culotte à hauteur de la vulve. Mireille ne pense même pas à cacher ses seins, elle dit :
-Tu es un monstre, tu m'as fait mal, je te hais, sors de ma chambre !
Il s'approche, l'enlace et la serre dans ses bras, il lui dit avec un air penaud :
-Je te demande pardon, tante, je ne pensais par te faire du mal, je prenais ça pour un jeu !
Leurs lèvres sont très proches, leurs souffles se mêlent. Mireille a les yeux pleins de larmes. C'est en reniflant qu'elle dit :
-Sors de ma chambre, je passe l'éponge pour cette fois, aller file gredin !
Grégoire, lui donne un baiser rapide sur la joue, et lui souffle à l'oreille :
-Ta culotte est mouillée, pense à la changer !
Mireille rougit encore plus, et montre du doigt la porte de sortie à son neveu. Il sort sans refermer la porte. Mireille se jette sur son lit, elle regarde le plafond en soupirant de nombreuses fois. Machinalement sa main se pose sur la tâche humide, ses doigts passent plusieurs fois sur sa fente. Sans retirer sa culotte, elle s'agace le clito jusqu'à ce qu'elle jouisse.
Après un bon bout de temps, la tante fait son apparition, en jupe et un soutien-gorge de bain sur les seins. Elle foudroie du regard son neveu, qui lui fait un clin d'œil.
Georges a déjà préparé le diner, il a fait un barbecue et aussi dressé la table sous un olivier. Mireille prend place à côté de son neveu, elle ne cesse tourner la tête vers lui en le fusillant du regard. Lui la toise, en hochant doucement la tête. Pendant le diner, l'atmosphère se détend, les rires reprennent. De temps en temps, Grégoire appuie son genou contre la cuisse de sa tante, qui le repousse vivement. Il profite que son oncle et au barbecue, pour souffler à sa tante en ironisant :
-Alors petite mouilleuse de tante, on en veut toujours à son neveu !
Elle serre les dents, puis pour le remettre à sa place, lui dit :
-Je me suis branlée tellement je mouillais, et je n'ai même pas pris le temps de mettre une culotte, cela te va comme réponse petit salaud !
Grégoire regarde sa tante, ses yeux s'illuminent et demande !
-C'est vrai, tu n'as pas de culotte !
D'un geste vif, Mireille remonte sa jupe et la rabaisse aussi vite. Grégoire devient moite, ce qu'il vient de voir le laisse sans voix. Il ravale bruyamment sa salive. Effectivement sa tante n'a pas de culotte.
Pour le narguer, Mireille fait mine de se caresser en passant la main sous sa jupe. Grégoire défaille, sa verge commence à entrer en érection. Sa tante regarde la bosse qui déforme son maillot en souriant. Elle lui donne une grande tape dessus en disant en riant :
-Couchée sale bête, aller à la niche !
L'érection est au top, Grégoire ne se contrôle plus, il écarte son maillot et extirpe sa verge tendue. Il la saisit et commence à se masturber en serrant les dents, heureusement que la table le cache de son oncle. Quant à sa tante, elle ne quitte pas des yeux le manche dressé. Elle serre les poings, pour ne pas saisir le membre bien raide. Soudain, elle sursaute, plusieurs giclées sont expulsées du mat de chair et retombent sur les doigts du branleur en lui souillant aussi le maillot.
Georges est sur le point de revenir avec les grillades. Grégoire a juste le temps de ranger sa queue dans son slip de bain. Il regarde sa tante et lui dit :
-Tu es une salope, j'ai joui pour toi !
La tante en souriant se penche sur lui et lui dit :
-Nous sommes quittes salaud, va te changer avant que Gorges ne se pose des questions !
Grégoire se lève et rapidement va mettre un autre slip de bain. Le repas se passe un peu tendu. Georges remplit plusieurs fois les verres, l'euphorie gagne. Les allusions sur le sexe et monnaie courante, Mireille s'agite sur sa chaise. Grégoire parle de baise, en fixant sa tante du regard. Georges lui rit aux éclats. L'alcool coule à flot, Le repas se termine, comme à l'accoutumé Georges va rejoindre sa chambre pour faire un sieste. Grégoire va chercher son appareil photo, et commence par mitrailler sa tante. Qui comme une star, en souriant prend la pose.
Elle met ses mains derrière sa tête en relevant ses cheveux, en faisant un regard ravageur, elle attend le clic de l'appareil pour changer de pose. Mireille en fait un jeu, elle pose un pied sur la chaise, sa jupe remonte sur le haut de sa cuisse, en découvrant presque totalement sa vulve. Grégoire fait crépiter l'appareil, il jubile, il excite sa tante pour qu'elle se découvre davantage. Grisée par l'alcool, elle dénoue son soutien-gorge, et plaque directement ses deux mains pour cacher ses seins.
Grégoire grince des dents, il bègue en parlant :
-C'est magnifique tante, retire doucement tes mains, les photos vont être merveilleuses, tu es dignes d'une star, retire tes mains, retire les !
En se penchant en avant, lentement Mireille ôte ses mains. Ses seins sont magnifiques, les mains du photographe amateur tremblent. Il dit en écarquillant les yeux :
-Retire ta jupe, montre ton fruit oh comme il doit être juteuse !
Mireille se redresse et lentement en souriant remonte sa jupe en dévoilant totalement sa vulve. Grégoire zoom, prise en gros plan il peut voir que la toison soyeuse est humide. En s'exhibant la coquine mouille. Il lui dit :
-Ouvre bien tes cuisses, montre bien à l'objectif ton bonbon, oh tante ce que tu es belle !
Sans aucune gêne, Mireille ouvre les cuisses et sans que l'on lui demande, avec ses mains elle écarte sa chatte. Grégoire croit rêver, sa tante lui ouvre son temple, c'est en riant qu'elle lui dit :
-Elle te plait, mais elle n'est pas pour toi !
Rapidement elle fait tomber sa jupe sur l'herbe brulée par le soleil, et s'élance entièrement nue dans la piscine. Grégoire bande comme un cerf, il pose son appareil et plonge aussi dans le bassin. Les deux jouent comme des enfants, ils s'enfoncent la tête sous l'eau, font des courses. C'est épuisée que la tante s'accroche au bord du bassin. Elle est vite rejoint par son neveu qui s'agrippe à elle, il plaque son bassin contre le fessier bien rebondi de sa tante et commence à onduler du bas-ventre.
Pendant qu'il se frotte contre elle, il lui donne une multitude de baisers sur la nuque les épaules et sur le cou. Mireille sent contre sa croupe le manche de son neveu qui ne cesse de grossir. Elle pousse de gros soupirs puis se retourne pour lui faire face. Elle se retient comme elle peut, pour ne pas couler. Lui l'enlace c'est le ventre de sa tante qui maintenant est agressé par la verge tendue. Elle le regarde intensément, lui voudrait la prendre là, dans l'eau. Il approche ses lèvres des siennes, les frôlent, sa tante tourne la tête pour éviter le contact. Elle dit :
-Reste sage Grégoire, je suis ta tante !
Lui pour toute réponses donne quelques coups de reins pour que sa tante se fasse une idée dans quel état elle la mis. Elle sent contre son ventre la verge tendue que le slip de bain emprisonne. Elle frisonne. Puis en poussant un gros soupir, se dégage de son agresseur bandant. Elle sort de l'eau, Grégoire regarde le corps nue de sa tante ruisselant de perles de rosées. Ses yeux ne peuvent quitter les fesses rebondies, il serre les dents en soupirant. Elle saisit une serviette qu'elle étend sur l'herbe et s'allonge dessus.
Grégoire sort à son tour, il s'étend à côte de sa tante. Il lui dit :
-Mireille tu as un corps magnifique, oh si tu le voulais, mon dieu !
Mireille, lui dit :
-Cesse de te faire du mal, pense à autre chose, je te répète que je suis ta tante !
Il lui caresse doucement le dos en la complimentant sur sa beauté. Mireille se laisse charmer, par ce jeune beau parleur, qui pourrai être son fils. Elle frissonne sous ses doigts, le soleil a séché son corps. La caresse de la main sur sa peau brûlante la fait soupirer. La main descend doucement sur ses reins, avance lentement sur les lobes séparés par un large sillon. Deux doigts s'insère entre les demi-sphères, s'approchent dangereusement de l'œillet brun, fortement ridé.
Mireille commence à trembler, elle dit :
-Grégoire cesse, ce petit jeu malsain !
Le coquin lui souffle à l'oreille :
-Pendant la séance photo, ta chatte mouillée, tu t'excitais en d'exhibant devant moi, tu me rend fou. Regarde comme je bande pour toi !
Mireille, se met assise, et regarde la bosse monstrueuse qui déforme le slip de son neveu. Lui allongé sur le dos, baisse son slip de bain et exhibe sa verge dressée comme un mat, i ll'agite. Mireille regarde un long moment le membre tendu, il est vrai que Grégoire est bien monté. Il est vrai aussi, que Le manque de libido de son mari, la prive d'étreintes fougueuses. Elle ravale sa salive, puis sans se préoccuper des suites que cela peux engendrer, elle saisit la verge.
Elle la branle lentement au début, puis en a fixant toujours du regard, accélère. Son neveu gémit, le branlage est sévère, à chaque descente de son poignet, sa main frappe durement les couilles du jeunot. Grégoire, souffle comme un animale, il grimace et dit entre deux moues :
-Oh tante, tante, je vais jouir !
le branlage augmente en intensité, un giclée, est expulsée de la verge, et retombe sur la main branleuse et sur le ventre du branlé. Elle est suivie d'une autre giclée encore plus abondante. Mireille décalotte le gland et le maintient décalotté, toute en le tenant d'une main, de la paume de l'autre elle frotte doucement le chapeau visqueux. Cet attouchement inconnu produit son effet, Une nouvelle giclée se produit, le sperme s'écoule le long de la verge en engluant les couilles de l'éjacuteur.
La tante lâche le membre, regarde sa main et la frotte sur le torse de son neveu pour l'essuyer. Sa chatte est noyée, sous elle la serviette s'humidifie de plus en plus. Elle se lève, saisit sa serviette et se dirige vers la maison. Son neveu lui crie :
-Mais tante ne me laisse pas comme ça !
Soudain une voix se fait entendre, c'est l'oncle qui depuis sa fenêtre dit :
-Il a raison Mireille, tu ne peux pas le laisser comme ça !
Mireille sursaute, son cœur s'arrête presque, elle regarde vers la fenêtre. Son mari en souriant ajoute :
- Ca fait un bon bout de. temps que je vous observe ma chérie, continue ce que tu as commencée regarde le pauvre dans quel état tu le laisse !
Mireille s'arrête de marcher, fronce les sourcils et dit avec étonnement en béguant un peu :
-Tu, tu veux que je fasse l'amour avec lui Georges !
Georges réplique :
-Je te demande de ne pas le laisser comme ça, je suis certain que tu es en feu, je suis même étonné que tu ne lui à pas offert ta chatte, j'admire comment que tu métrises ma chérie, mais là, lâche toi, je suis de tout cœur avec toi !
Le cœur de sa femme se met à battre fortement dans sa poitrine, son mari la pousse à le cocufier, mais elle a un doute :
-Mais Georges tu es conscient de se que tu me demandes, tu es sûr que tu le désires que je le fasse !
Georges répond :
-Je sais que je te néglige, alors fait toi plaisir, oui je le souhaite ardemment que tu baisses avec Grégoire !
Sans en ajouter, Mireille fait demi-tour et s'approche de son neveu. Elle jette sa serviette à côte de lui, le regarde et lui dit :
-Tu as entendu ce qu'à dit ton oncle, j'espère que tu seras à la hauteur !
Elle s'agenouille devant lui, reprend d'une main a verge encore gluante et recommence un branlage nerveux. Mireille est très habile, elle sait faire gémir le jeunot. Elle branle rageusement l'engin pendant quelques secondes. Puis elle cesse, elle décalotte le gland et approche sa tête , elle donne des coups de langue sur le chapeau gascon, sa langue en fait plusieurs fois le tour avant que la coquine ne le prenne en bouche.
Les succions et le aspirations sont terribles, Grégoire gémit comme une bête blessée. La fellation est celle d'une experte, la bouche vorace fait hurler Grégoire de plaisir. Georges de son perchoir hurle :
-Remplit lui la bouche, décharge dedans vas-y, vas-y !
Sous les paroles encourageantes de son mari, Mireille s'acharne sur la bite de son jeune neveu, elle veut vraiment qu'il lui donne son sperme à boire. Soudain, il se cabre, et envoie une puissante giclée dans la bouche de sa tante. Mireille recrache la bite, et avale l'onctueuse crème si généreusement offerte. Elle lève la tête vers son mari et ouvre la bouche pour lui montrer qu'elle a tout avalée. Georges, lui crie :
-Baise-le ma chérie, baise-le, éclate-toi !
Mireille s'allonge sur le sol, et ouvre les cuisses, elle dit avec des trémolos dans la voix :
-Bouffe-moi mon chéri, bouffe-moi la chatte, j'en peux plus !
Le neveu n'attendait que cela, il se rue entre les jambes de sa tante et plaque sa bouche sur la chatte dégoulinante de jus. Sa langue fouille le conduit brûlant, voyage à l'intérieur en fouillant chaque recoin. Mireille geint, son souffle s'accélère. Elle se cabre en poussant un râle, lorsque son coquin de neveu lui aspire le clito. Le bougre sait y faire, sa tante se cambre en geignant de plaisir.
Une violente secousse suivit d'une intense brûlure lui traverse le ventre. Elle grince des dents en jouissant. Grégoire se redresse et avance son pieu recourbé comme un sabre vers la chatte inondée de cyprine. Un petit coup de reins est suffisant pour enfoncer sa bite profondément dans le ventre de sa tante. Elle s'accroche à lui en geignant. Le neveu vigoureux défonce sa tante avec acharnement. Sa bite voyage sans faiblir dans le puits s'amour en tension extrême. les allers et retours sont rapides. Le pilonnage intense porte ses fruits, Mireille se cabre en hurlant. Une terrible jouissance la fait se soulever de terre.
Grégoire lui, tire sur les hanches, pour lui, enfoncer totalement sa bite dans le ventre. Il se bloque et lui remplit le ventre de sa semence épaisse. Une seconde jouissance fait hurler Mireille qui se laisse retomber sur le sol en haletant comme une bête.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par linsee
10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ma femme et moi, on aimerait bien avoir un neveu pareil !
Pour jacques, j'ai déjà rependu, pas la peine de t'accrocher aux branches, Le mal est fait.
J'espère que tu ne liras plus de mes récits, ce n'est pas parce que tu n'aimes pas, qu'il faut en dégoûter les autres. Et j'ajoute que les personnes qui lisent mes récits ne sont tous sains d'esprit, pour toi, j'ai un gros doute.
J'espère que tu ne liras plus de mes récits, ce n'est pas parce que tu n'aimes pas, qu'il faut en dégoûter les autres. Et j'ajoute que les personnes qui lisent mes récits ne sont tous sains d'esprit, pour toi, j'ai un gros doute.
Linsee tu nous fais rêver, mon mari et moi dévorons tes récits. C'est du pur bonheur pour nous, merci encore
Hummmm encore
Je viens de lire les derniers commentaires de votre récit en partenariat avec Olga. Oui, je sais, j’ai suis retard et ce n’est pas la bonne place pour vous faire part de ma réaction. Je n’ai trouvé aucun autre moyen.
Vous avez décidé d’abandonner à cause de mon commentaire que vous n’avez pas apprécié.
C’est vrai que mon commentaire était plutôt sévère mais il n’en reflétais pas moins mes réactions après la lecture de votre récit que je trouve toujours extrêmement irresponsable d’ailleurs.
Vous m’avez recommandé de ne pas prendre ce récit au premier degré et de réaliser que c’était une fiction. Je l’ai bien entendu réaliser lors de la lecture mais ce genre de récit lu par des gens gens sans scrupules, par des gens un peu dérangés qui peuvent tout simplement mettre en action ce qu’ils viennent de lire. Là, de gros dommages peuvent arriver. J’appelle ça la responsabilité sociale.
Vous avez décidé de terminer votre partenariat a cause que quelqu’un, quelques parts a décidé de vous critiquer.
Je ne sais pas quel âge vous avez mais si vous lâchez vos projets à la moindre embûches, vous ne réalisez pas grand-chose a votre goût dans votre vie Des critiques vous en aurez souvent et régulièrement surtout si vous êtes du genre actives et intéressée à la découverte d’un avenir meilleur.
Les commentaires Linsee vous les lisez, vous prenez ce qui fait votre affaire et vous jetez le reste. Si ça vous convient vous pouvez les utiliser pour vous ajuster. Vous pouvez les prendre au premier degré mais en partie si ça vous convient mieux ou pas du tout. C’est vous qui décidez, pas les autres.
Au grand jamais Linsee ne laisser personne vous faire abandonner vos projets. Vos projets sont votre avenir. Continuer et réalisez-les c’est ça qui vous donnera une grande satisfaction personnelle.
Je n’ai pas lu votre récit plus haut. J’ai décidé lors de notre dernier entretien de ne plus vous lire. Vous de votre côté vous faites comme moi, à votre guise et selon vos désirs. Seul la vie décidera de votre avenir.
Bonne chance.
Vous avez décidé d’abandonner à cause de mon commentaire que vous n’avez pas apprécié.
C’est vrai que mon commentaire était plutôt sévère mais il n’en reflétais pas moins mes réactions après la lecture de votre récit que je trouve toujours extrêmement irresponsable d’ailleurs.
Vous m’avez recommandé de ne pas prendre ce récit au premier degré et de réaliser que c’était une fiction. Je l’ai bien entendu réaliser lors de la lecture mais ce genre de récit lu par des gens gens sans scrupules, par des gens un peu dérangés qui peuvent tout simplement mettre en action ce qu’ils viennent de lire. Là, de gros dommages peuvent arriver. J’appelle ça la responsabilité sociale.
Vous avez décidé de terminer votre partenariat a cause que quelqu’un, quelques parts a décidé de vous critiquer.
Je ne sais pas quel âge vous avez mais si vous lâchez vos projets à la moindre embûches, vous ne réalisez pas grand-chose a votre goût dans votre vie Des critiques vous en aurez souvent et régulièrement surtout si vous êtes du genre actives et intéressée à la découverte d’un avenir meilleur.
Les commentaires Linsee vous les lisez, vous prenez ce qui fait votre affaire et vous jetez le reste. Si ça vous convient vous pouvez les utiliser pour vous ajuster. Vous pouvez les prendre au premier degré mais en partie si ça vous convient mieux ou pas du tout. C’est vous qui décidez, pas les autres.
Au grand jamais Linsee ne laisser personne vous faire abandonner vos projets. Vos projets sont votre avenir. Continuer et réalisez-les c’est ça qui vous donnera une grande satisfaction personnelle.
Je n’ai pas lu votre récit plus haut. J’ai décidé lors de notre dernier entretien de ne plus vous lire. Vous de votre côté vous faites comme moi, à votre guise et selon vos désirs. Seul la vie décidera de votre avenir.
Bonne chance.
Très bien racontée, j'ai connu la même situation il y a quelques années, c'était merveilleux
Joëlle de Belgique
Joëlle de Belgique
Nous te remercions
Francie et Luc
Francie et Luc
Comment rester de marbre devant un neveu si ardent
ouah cela commence bien, j'adore
C'est comme cela que j'aime les reecits
Mauricette
Mauricette