"...Why not ?"
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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"...Why not ?"
L’autre nuit, après avoir vu un film super chaud, il me revint à l’esprit une aventure qui m’était arrivée il y a deux ans de cela.
J’étais dans la capitale d’un petit état d’Asie. Chaque jour, quand je marchais dans la rue de l’hôtel, je passais devant une petite échoppe de coiffeur, largement ouverte sur la rue. Dès la première fois, le garçon coiffeur m’avait interpellé « - Sir ! Sir ? » en me montrant ses cheveux et en mimant des ciseaux avec ses doigts, dans un grand éclat de rire de toutes ses dents très blanches. Le coiffeur avait un look bad boy qu’il cultivait sûrement. Pantalon taille basse, ceinture blanche, tee shirt hyper moulant, grand frange de cheveux décolorés qui tombent sur des yeux charbonneux, dans les 25 ans je dirais. Mignon ma fois.
Le dernier jour de mon séjour, ma fois, je me décide. Comme quoi, la persévérance, ça finit par payer. Il m’installe, il est ravi. Cinq ou six très jeunes enfants sont scotchés devant l’écran de télé qui diffuse des clips au fond de la boutique.
C’est parti pour une séance de coupe en règle. Ses ciseaux virevoltent sur ma tête. Le grand miroir qui nous fait face me permet de mieux le détailler. D »ailleurs, très souvent nos regards se croisent dans le miroir et, à chaque fois, il me décoche un grand sourire. Aujourd’hui, il porte un débardeur blanc très court qui tranche sur sa peau foncée, qui moule parfaitement son torse qui m’a l’air pas mal musclé. A chaque fois qu’il lève les bras, cela dégage son nombril ourlé d’une belle ligne de poils bruns. Excitant…L’air de ne pas y toucher, il vient coller son bassin de plus en plus souvent sur les accoudoirs du fauteuil, se frottant ainsi à mon avant bras…J’adore par-dessus tout ces travaux d’approche. Il me tripote allègrement les cheveux, la tête…A la fin de la coupe, sans même me demander – c’est une tradition paraît-il-, il entreprend un massage super efficace de mon crâne. A la fin, il me demande :« - Do you want a body massage ?
-…Why not… »Aussitôt, il chasse les enfants qui s’éparpillent comme une volée de moineaux, baisse le store métallique de la boutique et m’entraîne vers le fond de l’échoppe. On pénètre dans une pièce tendue de tentures rouges, dotée d’un grand lit et d’une table de massage. Il allume rapidement quelques bougies et quelques bâtons d’encens.
Très lentement, il me fait passer le tee shirt par-dessus et fait glisser mon longboard à mes pieds. Je me retrouve en mini slip vert flashy devant lui.
« -Wonderful ! » me dit-il en désignant mon slip. Sans savoir s’il parle du contenant ou du contenu…Lui-même se déshabille pour se retrouver en boxer blanc hyper moulant. Il faut dire qu’il fait assez chaud dans la pièce. Délicatement, il m’allonge sur le ventre sur la table de massage. Je me laisse aller, bien décidé à passer un agréable moment.
Pendant un bon moment, il va déployer toute sa technique de massage, après s’être enduit les mains d’huile. Son savoir faire est impressionnant. Ce gars aurait pu faire kiné sans problèmes. Il alterne toutes sortes de techniques, douces, plus appuyées, un vrai bonheur. Je sens que je me décontracte de plus en plus. Dans la lueur des bougies qui tremblotent, je vois son corps qui commence à luire sous la sueur. C’est vrai qu’il fait plus que chaud dans la pièce. Mon corps aussi commence à luire sous l’effet des massages et de l’huile. Je commence à capter un peu sa technique. En fait, avec ses mains, il ramène toutes les énergies vers le bas ventre…Technique pas mal utilisée dans le yoga. A un moment, il me masse l’intérieur des cuisses, remonte, remonte, passe ses mains sous le tissu du slip et commence à me masser les globes fermement. Ses deux pouces me massent les bords de la rondelle. Trop bon. Puis, il change de côté et vient me masser le dos en se plaçant à la tête de la table de massage. Ce qui fait que, lorsqu’il descend le long de ma colonne vertébrale, son bas ventre vient se coller contre mes cheveux. Je sens parfaitement bien ses boules et sa tige déjà bien raide à travers le fin tissu du boxer…Encore ! Je remue légèrement la tête…Arrivé au bas de la colonne, il passe ses mains sous le tissu et me masse les globes puis le périnée. Trop cool !
Cette fois, il me retourne sur le dos et entreprend à nouveau ses manipulations. Tout ceci commence à m’exciter pas mal et ma bite, qui tend le tissu du slip, en témoigne largement. Je ne veux absolument pas cacher mon trouble, bien au contraire…Du coup, j’en profite pour jeter un œil sur la sienne. Qui a dit que les Asiatiques avaient de petites bites ? A voir la sienne qui tend le tissu de son boxer, pas lui en tous cas. Il continue ses manœuvres d’approche (?) bien consciencieusement. Le grand moment arrive bientôt. Avec une douceur et une délicatesse infinies, il me fait glisser lentement le mini slip, libérant d’un coup ma bite qui jaillit vers le ciel. C’est franchement surprenant une si grande douceur, alors qu’a priori, il a tous les airs d’un dur. Je n’en peux plus d’attendre. De ma main droite j’enveloppe son cul bien rebondi. Je sens ses fesses se raidir. Je passe doucement ma main sous le tissu… De son côté, il a entrepris de me masser doucement les boules et le périnée. Ses manipulations commencent à relever plus de la caresse que du massage. Je voudrais que ça dure éternellement…Puis il entreprend du bout des doigts ma bite. Il l’effleure à peine sur toute sa longueur en de lents allers et retours. Pendant ce temps, je lui parcours la raie et lui titille la rondelle. Il a écarté légèrement les jambes. Petit à petit, très progressivement, il va amplifier ses mouvements sur ma bite, finissant par la saisir à pleines mains et à la branler lentement. De temps en temps, il se penche et vient coller ses lèvres sur mon gland. Je sens la pointe de sa langue qui me titille. Je manque de tomber de la table. Il me fait alors me relever et m’entraîne vers le lit. J’en profite alors pour l’intercepter et le délester doucement aussi de son boxer. Un superbe barreau apparaît, dressé à la verticale, émergeant d’une touffe rase de poils joliment taillée. J’en profite aussi pour admirer ses pecs bien dessinés, ni trop, ni trop peu. Je sens qu’on va se régaler….
On se jette sur le lit, on s’agrippe l’un à l’autre et on se serre dans une terrible étreinte, comme si on voulait s’incruster l’un dans l’autre. On a besoin de se libérer de toute la pression qu’il a savamment accumulée tout au long de ses massages. Ce qui va suivre restera dans ma mémoire comme un de mes meilleurs souvenir de sensualité, de savoir faire, de plaisir…en attendant mieux…Non, j’exagère, Paulo, c’est top aussi…Ce gars est super doux, attentif, attentionné, doué et…résistant. Le rêve ! Je n’ai qu’une envie, c’est de le sucer à fond, mais je me doute que sa palette est bien plus large. En attendant, je le dévore de bisous, partout. Il se laisse faire, comme un chat se laisse caresser. Sa ligne de poils est fabuleuse. Je suppose, qu’elle aussi, il la taille tant soit peu. Il a juste ce qu’il faut sur le torse comme toison, exactement comme je les aime. Je m’amuse à les mordiller de mes dents, en tirant légèrement dessus. J’arrive sur zone. Je me frotte sur sa bite presque noire. Son gland décalotté fait un joli contraste. Il est luisant de mouille. J’en prélève du bout de mes doigts et lui fait goûter. Il me lèche goulûment. Je replonge pour jouer avec sa fabuleuse bite du bout de mes lèvres, de la pointe de ma langue, du bord de mes dents…Il s’arcboute pour s’offrir de plus en plus à la caresse. Je lui agace le bout du gland, le frein du prépuce…Il tremble. Je le change de position, à genoux, la tête sur le lit, les jambes écartées. Je parcours sa raie du bout de ma langue. Je lui lèche copieusement la rondelle puis lui agace le trou du bout de ma langue. Il tire sur ses globes pour se dilater, cherche ma tête et appuie dessus, m’incitant à continuer. Il couine de plaisir. Il veut me rendre la pareille alors, on se met en position de 69. Il me rend caresse pour caresse, à la seconde même. Du coup, c’est aussi un peu à moi que je fais tout ça. Je lui gobe les boules qu’il a bien rases. C’est super agréable. C’est avec lui que j’ai découvert les avantages d’être rasé. Je sens la douce chaleur de sa bouche sur les miennes. Je lui prends délicatement le gland en bouche et je descends, je descends…Enfin, je l’ai ! Sa belle tige brune, finement veinée, longue mais pas épaisse, bien droite…Je le pompe doucement. Il me fait la même chose. Putain ! C’est trop trop bon !! J’en profite pour lui titiller la rondelle et lui passer rapidement un doigt. Il gémit de plaisir. J’accélère légèrement la cadence sur sa bite en aspirant bien : il adore. On se donne ainsi du plaisir pendant un bon moment. De ma main gauche, je lui agace les tétons…Il en redemande ! Je promène ma main sur ses pecs finement musclés.
« -French people are good lovers ! » me souffle-t-il« - Do you want to fuck me ? » me demande-t-il« - Fuck me first, please !! »« -You are sure ? »« Oh YESSS ! »Je lui enfile un préservatif sur sa queue et le lubrifie copieusement. Il m’enduit le trou de gel. Je me place sur le dos, face à lui, jambes bien écartées. Je veux voir son plaisir monter sur son visage. Il commence à me titiller le trou d’un doigt qu’il passe rapidement. Il tourne pour bien me dilater et peut très vite en passer un deuxième. Il approche sa bite de mon trou. Alors, je l’empoigne contre moi et l’embrasse à pleine bouche en le serrant très fort. Un peu surpris, il se laisse finalement emporter par la fougue de ma langue. Je lui enserre la taille de mes deux jambes croisées et l’attend avec impatience. Comme sa bite est assez fine, elle vient assez facilement et je la sens bientôt en moi…Trop bon. Je le bloque et profite de la sensation au maximum. Je lui malaxe le cul un max. Puis je le tire vers moi pour qu’il s’empale à fond et lui imprime la cadence des allers et retours en agrippant son bassin de chaque côté. Wouuuaaahh ! Vas-y mon gars ! Lâches toi !! Cette fois, j’ai carrément passé mes jambes sur ses épaules, offert au maximum. Il s’active et je sens bien la chaleur de son barreau qui me laboure le ventre. A nouveau, je change de position, me mets en levrette et tire sa bite vers mon trou. Cette fois, plutôt que de le laisser me pistonner, c’est moi qui m’enfonce et me retire sur sa bite, en cadence. Il aime beaucoup. Mais, je ne lui ai pas encore fait goûter à ma position préférée, c'est-à-dire dos au mur, accroché à lui et empalé sur sa bite. Par contre, vu son plus petit gabarit, je ne suis pas sûr que ça puisse le faire…Avec force gestes, je lui fais comprendre ce que j’aimerais. Il a toujours l’air partant. J’avise une poutre basse, me suspends à elle et viens m’empaler sur son dard, en enserrant sa taille de mes jambes croisées. Alors là, il apprécie à donf ! Petit à petit, je me risque à me lâcher de la poutre pour lui enserrer le cou, le dos bien collé au mur. Est-ce sa terrible excitation qui décuple ses forces, toujours est-il qu’il me trombonne de plus en plus violemment. Il se déchaine carrément, le souffle court, les yeux écarquillés, le corps ruisselant de sueur. Putain ! C’est le pied !! Je sais pas pourquoi mais j’adore être ainsi défoncé et chahuté. Je crois qu’il ne va pas tarder à jouir…Je me trompe lourdement. Il me malmène ainsi pendant encore un sacré bout de temps. Je suis aux anges ! Tout à coup, il pousse un grand cri , se crispe de tout son corps et se bloque. Il jouit longuement, extasié. Presqu’aussitôt, il retombe, complètement lessivé. Je le laisse récupérer. J e lui vide la capote sur son sexe qui commence à diminuer de volume et je le tartine copieusement avec son sperme sur sa queue, ses boules, son ventre. Il me prend la main et la porte à sa bouche pour la lécher. Il me regarde, rayonnant et reconnaissant. Très vite, il veut que, moi aussi, je jouisse. Il déchire un deuxième préservatif, me l’enfile et l’enduit de gel. A califourchon sur moi, il se présente au dessus de ma bite dressée. Il cherche à s’enfoncer. Je veux le dilater un peu mais il me fait signe qu’il préfère être forcé ainsi. Il s’appuie de plus en plus fort sur ma queue, la tenant de sa main droite passée dans son dos. Je le sens s’ouvrir sous la poussée. Ca y est ! Mon gland est passé ! Je sens son trou qui me serre et m’enserre. Il commence à bouger lentement de bas en haut. Petit à petit, ça coulisse de plus en plus facilement et il se retrouve empalé jusqu’à la garde. On inverse le mouvement : il se soulève et c’est moi qui viens le défoncer par-dessous. J’accélère un peu. Il aime et me le dit.
« -Good ! So good !! »Maintenant, on s’y met tous les deux. On conjugue nos mouvements. J’adore être dans son ventre chaud, à le labourer furieusement. Visiblement, lui aussi aime être défoncé de la sorte. Il me sourit de toutes ses dents, d’un regard chaviré. Le lit grince sous nos assauts. Je sens monter la jouissance en moi. Ca me brule d’un coup. Je le serre à le casser et je jouis, je jouis. Il m’embrasse en me coupant définitivement le souffle.
On retombe, exténués. On comate dans les bras l’un de l’autre, tendrement enlacés. Je reste en lui. Après un bon temps de récup, il me propose de me faire une coupe artistique des poils de mon bas ventre. Je veux bien essayer. C’est ainsi que j’y ai pris goût.
« -To morrow, you come ? » me demande-t-il« -To morrow, I go… » Son regard s’embue.
J’étais dans la capitale d’un petit état d’Asie. Chaque jour, quand je marchais dans la rue de l’hôtel, je passais devant une petite échoppe de coiffeur, largement ouverte sur la rue. Dès la première fois, le garçon coiffeur m’avait interpellé « - Sir ! Sir ? » en me montrant ses cheveux et en mimant des ciseaux avec ses doigts, dans un grand éclat de rire de toutes ses dents très blanches. Le coiffeur avait un look bad boy qu’il cultivait sûrement. Pantalon taille basse, ceinture blanche, tee shirt hyper moulant, grand frange de cheveux décolorés qui tombent sur des yeux charbonneux, dans les 25 ans je dirais. Mignon ma fois.
Le dernier jour de mon séjour, ma fois, je me décide. Comme quoi, la persévérance, ça finit par payer. Il m’installe, il est ravi. Cinq ou six très jeunes enfants sont scotchés devant l’écran de télé qui diffuse des clips au fond de la boutique.
C’est parti pour une séance de coupe en règle. Ses ciseaux virevoltent sur ma tête. Le grand miroir qui nous fait face me permet de mieux le détailler. D »ailleurs, très souvent nos regards se croisent dans le miroir et, à chaque fois, il me décoche un grand sourire. Aujourd’hui, il porte un débardeur blanc très court qui tranche sur sa peau foncée, qui moule parfaitement son torse qui m’a l’air pas mal musclé. A chaque fois qu’il lève les bras, cela dégage son nombril ourlé d’une belle ligne de poils bruns. Excitant…L’air de ne pas y toucher, il vient coller son bassin de plus en plus souvent sur les accoudoirs du fauteuil, se frottant ainsi à mon avant bras…J’adore par-dessus tout ces travaux d’approche. Il me tripote allègrement les cheveux, la tête…A la fin de la coupe, sans même me demander – c’est une tradition paraît-il-, il entreprend un massage super efficace de mon crâne. A la fin, il me demande :« - Do you want a body massage ?
-…Why not… »Aussitôt, il chasse les enfants qui s’éparpillent comme une volée de moineaux, baisse le store métallique de la boutique et m’entraîne vers le fond de l’échoppe. On pénètre dans une pièce tendue de tentures rouges, dotée d’un grand lit et d’une table de massage. Il allume rapidement quelques bougies et quelques bâtons d’encens.
Très lentement, il me fait passer le tee shirt par-dessus et fait glisser mon longboard à mes pieds. Je me retrouve en mini slip vert flashy devant lui.
« -Wonderful ! » me dit-il en désignant mon slip. Sans savoir s’il parle du contenant ou du contenu…Lui-même se déshabille pour se retrouver en boxer blanc hyper moulant. Il faut dire qu’il fait assez chaud dans la pièce. Délicatement, il m’allonge sur le ventre sur la table de massage. Je me laisse aller, bien décidé à passer un agréable moment.
Pendant un bon moment, il va déployer toute sa technique de massage, après s’être enduit les mains d’huile. Son savoir faire est impressionnant. Ce gars aurait pu faire kiné sans problèmes. Il alterne toutes sortes de techniques, douces, plus appuyées, un vrai bonheur. Je sens que je me décontracte de plus en plus. Dans la lueur des bougies qui tremblotent, je vois son corps qui commence à luire sous la sueur. C’est vrai qu’il fait plus que chaud dans la pièce. Mon corps aussi commence à luire sous l’effet des massages et de l’huile. Je commence à capter un peu sa technique. En fait, avec ses mains, il ramène toutes les énergies vers le bas ventre…Technique pas mal utilisée dans le yoga. A un moment, il me masse l’intérieur des cuisses, remonte, remonte, passe ses mains sous le tissu du slip et commence à me masser les globes fermement. Ses deux pouces me massent les bords de la rondelle. Trop bon. Puis, il change de côté et vient me masser le dos en se plaçant à la tête de la table de massage. Ce qui fait que, lorsqu’il descend le long de ma colonne vertébrale, son bas ventre vient se coller contre mes cheveux. Je sens parfaitement bien ses boules et sa tige déjà bien raide à travers le fin tissu du boxer…Encore ! Je remue légèrement la tête…Arrivé au bas de la colonne, il passe ses mains sous le tissu et me masse les globes puis le périnée. Trop cool !
Cette fois, il me retourne sur le dos et entreprend à nouveau ses manipulations. Tout ceci commence à m’exciter pas mal et ma bite, qui tend le tissu du slip, en témoigne largement. Je ne veux absolument pas cacher mon trouble, bien au contraire…Du coup, j’en profite pour jeter un œil sur la sienne. Qui a dit que les Asiatiques avaient de petites bites ? A voir la sienne qui tend le tissu de son boxer, pas lui en tous cas. Il continue ses manœuvres d’approche (?) bien consciencieusement. Le grand moment arrive bientôt. Avec une douceur et une délicatesse infinies, il me fait glisser lentement le mini slip, libérant d’un coup ma bite qui jaillit vers le ciel. C’est franchement surprenant une si grande douceur, alors qu’a priori, il a tous les airs d’un dur. Je n’en peux plus d’attendre. De ma main droite j’enveloppe son cul bien rebondi. Je sens ses fesses se raidir. Je passe doucement ma main sous le tissu… De son côté, il a entrepris de me masser doucement les boules et le périnée. Ses manipulations commencent à relever plus de la caresse que du massage. Je voudrais que ça dure éternellement…Puis il entreprend du bout des doigts ma bite. Il l’effleure à peine sur toute sa longueur en de lents allers et retours. Pendant ce temps, je lui parcours la raie et lui titille la rondelle. Il a écarté légèrement les jambes. Petit à petit, très progressivement, il va amplifier ses mouvements sur ma bite, finissant par la saisir à pleines mains et à la branler lentement. De temps en temps, il se penche et vient coller ses lèvres sur mon gland. Je sens la pointe de sa langue qui me titille. Je manque de tomber de la table. Il me fait alors me relever et m’entraîne vers le lit. J’en profite alors pour l’intercepter et le délester doucement aussi de son boxer. Un superbe barreau apparaît, dressé à la verticale, émergeant d’une touffe rase de poils joliment taillée. J’en profite aussi pour admirer ses pecs bien dessinés, ni trop, ni trop peu. Je sens qu’on va se régaler….
On se jette sur le lit, on s’agrippe l’un à l’autre et on se serre dans une terrible étreinte, comme si on voulait s’incruster l’un dans l’autre. On a besoin de se libérer de toute la pression qu’il a savamment accumulée tout au long de ses massages. Ce qui va suivre restera dans ma mémoire comme un de mes meilleurs souvenir de sensualité, de savoir faire, de plaisir…en attendant mieux…Non, j’exagère, Paulo, c’est top aussi…Ce gars est super doux, attentif, attentionné, doué et…résistant. Le rêve ! Je n’ai qu’une envie, c’est de le sucer à fond, mais je me doute que sa palette est bien plus large. En attendant, je le dévore de bisous, partout. Il se laisse faire, comme un chat se laisse caresser. Sa ligne de poils est fabuleuse. Je suppose, qu’elle aussi, il la taille tant soit peu. Il a juste ce qu’il faut sur le torse comme toison, exactement comme je les aime. Je m’amuse à les mordiller de mes dents, en tirant légèrement dessus. J’arrive sur zone. Je me frotte sur sa bite presque noire. Son gland décalotté fait un joli contraste. Il est luisant de mouille. J’en prélève du bout de mes doigts et lui fait goûter. Il me lèche goulûment. Je replonge pour jouer avec sa fabuleuse bite du bout de mes lèvres, de la pointe de ma langue, du bord de mes dents…Il s’arcboute pour s’offrir de plus en plus à la caresse. Je lui agace le bout du gland, le frein du prépuce…Il tremble. Je le change de position, à genoux, la tête sur le lit, les jambes écartées. Je parcours sa raie du bout de ma langue. Je lui lèche copieusement la rondelle puis lui agace le trou du bout de ma langue. Il tire sur ses globes pour se dilater, cherche ma tête et appuie dessus, m’incitant à continuer. Il couine de plaisir. Il veut me rendre la pareille alors, on se met en position de 69. Il me rend caresse pour caresse, à la seconde même. Du coup, c’est aussi un peu à moi que je fais tout ça. Je lui gobe les boules qu’il a bien rases. C’est super agréable. C’est avec lui que j’ai découvert les avantages d’être rasé. Je sens la douce chaleur de sa bouche sur les miennes. Je lui prends délicatement le gland en bouche et je descends, je descends…Enfin, je l’ai ! Sa belle tige brune, finement veinée, longue mais pas épaisse, bien droite…Je le pompe doucement. Il me fait la même chose. Putain ! C’est trop trop bon !! J’en profite pour lui titiller la rondelle et lui passer rapidement un doigt. Il gémit de plaisir. J’accélère légèrement la cadence sur sa bite en aspirant bien : il adore. On se donne ainsi du plaisir pendant un bon moment. De ma main gauche, je lui agace les tétons…Il en redemande ! Je promène ma main sur ses pecs finement musclés.
« -French people are good lovers ! » me souffle-t-il« - Do you want to fuck me ? » me demande-t-il« - Fuck me first, please !! »« -You are sure ? »« Oh YESSS ! »Je lui enfile un préservatif sur sa queue et le lubrifie copieusement. Il m’enduit le trou de gel. Je me place sur le dos, face à lui, jambes bien écartées. Je veux voir son plaisir monter sur son visage. Il commence à me titiller le trou d’un doigt qu’il passe rapidement. Il tourne pour bien me dilater et peut très vite en passer un deuxième. Il approche sa bite de mon trou. Alors, je l’empoigne contre moi et l’embrasse à pleine bouche en le serrant très fort. Un peu surpris, il se laisse finalement emporter par la fougue de ma langue. Je lui enserre la taille de mes deux jambes croisées et l’attend avec impatience. Comme sa bite est assez fine, elle vient assez facilement et je la sens bientôt en moi…Trop bon. Je le bloque et profite de la sensation au maximum. Je lui malaxe le cul un max. Puis je le tire vers moi pour qu’il s’empale à fond et lui imprime la cadence des allers et retours en agrippant son bassin de chaque côté. Wouuuaaahh ! Vas-y mon gars ! Lâches toi !! Cette fois, j’ai carrément passé mes jambes sur ses épaules, offert au maximum. Il s’active et je sens bien la chaleur de son barreau qui me laboure le ventre. A nouveau, je change de position, me mets en levrette et tire sa bite vers mon trou. Cette fois, plutôt que de le laisser me pistonner, c’est moi qui m’enfonce et me retire sur sa bite, en cadence. Il aime beaucoup. Mais, je ne lui ai pas encore fait goûter à ma position préférée, c'est-à-dire dos au mur, accroché à lui et empalé sur sa bite. Par contre, vu son plus petit gabarit, je ne suis pas sûr que ça puisse le faire…Avec force gestes, je lui fais comprendre ce que j’aimerais. Il a toujours l’air partant. J’avise une poutre basse, me suspends à elle et viens m’empaler sur son dard, en enserrant sa taille de mes jambes croisées. Alors là, il apprécie à donf ! Petit à petit, je me risque à me lâcher de la poutre pour lui enserrer le cou, le dos bien collé au mur. Est-ce sa terrible excitation qui décuple ses forces, toujours est-il qu’il me trombonne de plus en plus violemment. Il se déchaine carrément, le souffle court, les yeux écarquillés, le corps ruisselant de sueur. Putain ! C’est le pied !! Je sais pas pourquoi mais j’adore être ainsi défoncé et chahuté. Je crois qu’il ne va pas tarder à jouir…Je me trompe lourdement. Il me malmène ainsi pendant encore un sacré bout de temps. Je suis aux anges ! Tout à coup, il pousse un grand cri , se crispe de tout son corps et se bloque. Il jouit longuement, extasié. Presqu’aussitôt, il retombe, complètement lessivé. Je le laisse récupérer. J e lui vide la capote sur son sexe qui commence à diminuer de volume et je le tartine copieusement avec son sperme sur sa queue, ses boules, son ventre. Il me prend la main et la porte à sa bouche pour la lécher. Il me regarde, rayonnant et reconnaissant. Très vite, il veut que, moi aussi, je jouisse. Il déchire un deuxième préservatif, me l’enfile et l’enduit de gel. A califourchon sur moi, il se présente au dessus de ma bite dressée. Il cherche à s’enfoncer. Je veux le dilater un peu mais il me fait signe qu’il préfère être forcé ainsi. Il s’appuie de plus en plus fort sur ma queue, la tenant de sa main droite passée dans son dos. Je le sens s’ouvrir sous la poussée. Ca y est ! Mon gland est passé ! Je sens son trou qui me serre et m’enserre. Il commence à bouger lentement de bas en haut. Petit à petit, ça coulisse de plus en plus facilement et il se retrouve empalé jusqu’à la garde. On inverse le mouvement : il se soulève et c’est moi qui viens le défoncer par-dessous. J’accélère un peu. Il aime et me le dit.
« -Good ! So good !! »Maintenant, on s’y met tous les deux. On conjugue nos mouvements. J’adore être dans son ventre chaud, à le labourer furieusement. Visiblement, lui aussi aime être défoncé de la sorte. Il me sourit de toutes ses dents, d’un regard chaviré. Le lit grince sous nos assauts. Je sens monter la jouissance en moi. Ca me brule d’un coup. Je le serre à le casser et je jouis, je jouis. Il m’embrasse en me coupant définitivement le souffle.
On retombe, exténués. On comate dans les bras l’un de l’autre, tendrement enlacés. Je reste en lui. Après un bon temps de récup, il me propose de me faire une coupe artistique des poils de mon bas ventre. Je veux bien essayer. C’est ainsi que j’y ai pris goût.
« -To morrow, you come ? » me demande-t-il« -To morrow, I go… » Son regard s’embue.
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