13 07.1997 (1)

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : 13 07.1997 (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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13 07.1997 (1)
Dimanche 13.07.97


Sur la plage

Après les éclaircissements qui avaient été faites lors de notre petit déjeuner dominical, nous nous sommes (nous les hommes) précipité pour faire un bain dans le bassin.
Macho, comme tout homme issu d'une dynastie patriarcale qui se respecte, il nous faut laisser volontairement les dames faire le rangement, le ménage... Et surtout les laisser échanger leurs secrets de bonnes femmes.
Après avoir fait trompette, nous avons pris nos raquettes pour faire des parties de "ping-pong" en double : mon père et moi contre mes deux frères.
Durant la deuxième partie, nous avons commencé à commenter les évenements vécus de la veille et les propos tenus lors de notre petit-déj.
Chacun y va de son commentaire, de son "ressenti", de son envie...

— Dis frèrot, me demande Hakim, je n'ai pas bien saisi ta remarque quand maman nous avait révélé que pa est bi... Toi aussi t'es bi ?
— Ah ouais... Racontes ! Ajoute Halim.
— Promettez moi de ne pas vous foutre de ma gueule !
— Promis-Juré ! Lancent mes frères avec un petit sourire aux coins des lèvres.
— Alors voilà... 3 jours avant mon départ pour Paris en 94, je suis parti avec Rex...

Après leurs avoir raconté mon aventure avec "Lotfi" et Rex. mon frère Halim dit :

— Waaaa frère ! Donc tu es le plus jeune de la famille, et tu as déjà vécu une aventure homo, zoo et par dessus le marché, tu es "can"... quelque chose...
— Candauliste ! Réctifie mon père.
— Oui c'est ça... Et tu es.... Heuu... aussi gay et zoophile ? Fini par demander mon frère Hakim.
— Candauliste, d'après la définition faite par nos parents, oui, je le suis... Zoophile ?... Ouais j'ai essayé avec un chien, mais c'est pas trop mon truc... En tout cas j'ai essayé mais je peux dire que j'ai pas trop kifféet, mais chui pas gay... J'aime toujours et pour toujours Caline... Chui juste : bisexuel ! Répond ai-je.
— Tu vois fiston... Normalement c'est les anciens qui devraient être les plus "expérimentés", mais là tu nous bats !
— Dis paaa, tu n'as jamais essayé une bite ? Demande Halim.
— Si... Biensûr... La première fois c'était avec Peter et Tata Monika !
— Raconte !
— Que voulez vous savoir ? Pour faire court on a fait une partie à 4 et j'ai eu le plaisir de goûter à la bite de Peter !
— Et ? Demande ai-je.
— Je pense que j'ai eu la même réaction que toi !
— Donc... Si moi j'ai aimé cela veut dire qu'il en est de même pour toi !
— Exactement !

Sur ces mots apparaissent à nos cotés, ma mère et ma meuf, bras dessus, bras dessous. Elles affichent un grand sourire.

— Bon... On vous laisse à vos occupations, Caline et moi allons faire une petite baignade à la mer ! Dis-je en prenant la fiancée par le bras. On sera de retour vers 15-16h !

Je m'attends à ce que l'un de mes frères ou tous les deux demandent s'il peuvent venir avec nous, ce que je ne peux refuser, mais je crois qu'ils ont compris qu'il est plus judicieux de nous laisser en tête à tête pour que Caline et moi puissions accorder nos violons après ce que nous avons vécu hier soir.
J'ai bien vu, sur le visage de ma chérie, son étonnement à mon anonnce de la suite du programme de la journée, mais elle ne fait aucune protestation. Elle a de suite capté qu'ils nous faut être seul, pour mettre au clair ce que l'on vient de vivre lors de la première journée passée chez mes parents. Il nous faut comprendre comment tout engrenage à pu prendre forme, s'emboîter aussi facilement, comment on en était arrivé là et comprendre comment on a accepter de franchir ces interdits (religieux, civiques et pénaux).
En moins que quinze minutes, nous voilà près à partir, étant donné que nous n'avons besoin que de 2 serviettes, d'une bouteille d'eau et une crème protectrice, et nous voilà partis.
Chemin faisant, un silence total règne dans la voiture. Je fixe la route tout en réflechissant à la meilleure façon d'aborder la question.

— Hamed... Où va-t-on ?
— Sur une plage à l'écart où il n'y a génèralement personne. Tu verras la beauté de l'endroit. C'est bizarre... N'as-tu pas remarqué, que les endroits les moins fréquantés par les bipédes sont généralement les plus beaux ?
— Que dois-je comprendre ?
— Il n'y a rien à comprendre... N'as-tu pas remarqué que tous les endroits qui n'ont pas eu à souffrir du passage de la civilisation, ont un charme de ouf ! Regarde... Le désert... La forêt vierge !
— Dis... Tu te fais philosophe là ou quoi ? Philosophons d'abord sur ce qu'il c'est passé hier soir avant de parler de nature et je ne sais quoi d'autre !
— Euhhh... Bien ma Caline... Je ne savais pas comment aborder la chose, mais merci d'en parler, mais tu veux bien attendre qu'on soit arrivée pour mieux en parler, plus calmement s'il te plaît ?

Aucune réponse ne se fait entendre, j'ai juste vu que la Caline a croisé les bras en admirant le paysage qui se faisait de moins en moins urbain.
À peine, après 30 mn de route et après avoir emprunter une piste carossable de plus d'1 Km, nous sommes enfin arrivée à bon port.
En inspectant les horizons de son regard, Caline dit :

— Effectivement, il est très beau ce coin ! Et cette mer est si pure...
— Viens on va se poser sous ce palmier !

Bref, je ne vais pas vous faire languir plus longtemps. On pose nos affaires et on c'est (présque) précipité pour piquer une tête.
En sortant la tête de l'eau, je me suis dirigé vers ma douce, que j'enlace, tendrement, doucement mais fermement.

— Bon voilà Caline, je t'explique... Je t'aime, et je ne veux aimer que toi ! J'ai longement réflichis hier soir et j'en suis arrivé à une conclusion...
— Que tu hésites à me prendre pour épouse ?
— Non... C'est bien le contraire, mon épouse je te veux et mon épouse je te ferai ! Mais à la seule et unique condition !
— La quelle ?
— Que tu ne changes rien en toi... Que tu sois mienne... Que tu sois ma lionne !
— C'est à dire ?
— Une lionne qui sait sortir ses griffes quand il le faut, mais aussi une lionne qui obéit à son maître !
— "SON MAÎTRE" ? Donc, tu seras mon maître ? Non, mais... Et quoi encore ?
— Écoutes-moi bien Caline... Petit à petit, notre relation a évolué et au fil des mois, notre complicité s’est transformée en amour. C’est donc en pleine connaissance de nos désirs sexuels, disons débridés, que toi ô jeune femme de bonne famille, qui a une éducation sexuelle assez liberée, tu vas être mienne !
— Expliques-toi !
— Les "fantasmes"... Tu connais ? Tu en as et j'en ai... Et hier j'en ai découvert de nouveaux !
— Les quels ?
— Surtout celui de te voir prise par un autre... Ce truc... Le "candaulisme" !
— Et ?
— Tu seras encore confronté à des situations où il te faudra refaire la même chose et gare à toi si tu refuses !
— Sinon ?
— Sinon, je ne te ferai pas vivre un de tes fantasmes !
— Tu me prends par les sentiments là !
— Hihihi... Si tu veux !

l'enduire de crème protectrice car étant assez blanche de peau, il lui arrive facilement et rapidement d'attraper des coups de soleil. Perso, étant d'une peau mate, je n'ai que rarement été exposé à ce genre de brûlure. Une brûlure que je ne la souhaiterai pas à mon pire ennemi (quoi que !)
Bref,
Tout en lui appliquant la crême protectrice, je l'invite à imaginer qu'on est entrain de se caliner assez chaudement dans la voiture et qu'on voit passer une ombre qui jette un regard inquisiteur pour comprendre la vraie raison du balancement de ce véhicule et que cela n'est pas dû à une secousse tellurique de magnitude 9 sur l'échelle de Richter.
Je lui demande de s'imaginer la scène, de s'imaginer entrain de se faire défoncer la chatte en soutenant le regard de ce voyeur inattendu mais secrètement espéré.
Je lui demande ensuite de s'imaginer cet inconnu a la bite à la main. Une bite comme elle en rêve d'en avoir entre ses lèvres intimes.

— Tu es là, tu le vois se caresser la tige, une tige que tu veux la sentir te fouiller ton ventre mais tu sais pertinemment qu'elle ne peut éteindre cette chaleur que tu sens monter le long de son dos !

Bien entendu, je profite de la situation pour la caresser plus que nécessaire, pour lui défaire le haut de son deux-pièces et lui rappeler la présence de mon doigt qui est entrain de titiller cette zone humide encore sous le couvert du bas de son maillot que je m'empresse de le transformer en string.
Je lui ai alors demandé, peut-être même que c'est un ordre, de se mettre sur le dos.
Étant seuls, Caline au bord d'une nouvelle jouissance, s'offre langoureusement à mes caresses sur ses seins. Les yeux clos, elle se mord la main pour étouffer ses gémissements, tout en écartant largement les cuisses m'offrant sa chatte, toute trompée, à mes doigts.

— Mon Dieu que tu es belle ! Tu ferais bander une momie, s'il te voyait ainsi !
— Hummmm... Beau... Parleur !
— Tu es belle à croquer quand je te cois prendre ton pied... Quand je te vois jouir et crier ton orgasme !

Je la trouve, (même maintenant), si belle quand elle prend du plaisir et qu’elle se laisse aller, oubliant toute pudeur pour se noyer dans une mer de jouissance...
Ce qui est entrain de produire à ce moment-là précisément.
Elle gémit, s’écartele sur sa serviette pour mieux s’offrir à mes caresses. Mes mains courrent sur son corps, malaxant ses seins si sensibles, lui agaçant les bouts qui se sont durcis à l’extrême par le désir. Je les lui pince, les tordant un peu entre le pouce et l’index, provoquant des gémissements de plaisir qu’elle ne peut, ne veut réprimer. Elle se cambre encore davantage, dans l’espoir que je m’occupe enfin de sa petite chatte que j’avais volontairement oubliée pour laisser gonfler en elle le désir de se sentir fouillée jusqu’à ne plus en pouvoir...
Dans un moment de prise de conscience, elle me murmure :

— Tu surveilles que personne n’arrive ?
— Mais chérie on est à 10.000 lieux de toute agglomeration... Ici c'est loin de tout... Et s'il y avait quelqu'un ici, je ne pense pas qu'il se plaindrait de ce spectacle que tu offres ! D'ailleurs... Imagine qu'il y a en ce moment même un gars que tu ne connais pas qui est allongé entre tes cuisses entrain de te branler !
— Tu... Le... Laisse... Faire ?
— Et comment !

J'ai senti, j'ai cru sentir, son excitation monter d'un cran. Je vois dans ses yeux qu'elle est entrain de s'imaginer la scène. Elle essaie de sentir la main de cet inconnu entre ses cuisses, elle essaie de voir ses doigts recueillir ce filet de mouille qui s'échappe de sa moule

— Qu’est-ce qu’il fait ? Murmure-t-elle...
— Il te reléve le bassin... Il pointe son zob sur ta chatte affamée... Tu veux qu'il...
— J’ai envie... j’ai envie oui...

Je pose délicatement, tout doucement, un doigt entre ses belles lèvres gonflées de désir, sans appuyer. Elle vient au contact en se cabrant d’un coup et émet un long gémissement de plaisir en sentant mon doigt entrer en elle :

— Ouiiiiiiiiii j’ai envie de me faire baiser... Prends-moi s’il te plaît, j’en peux plus, je veux jouir...

J’attrape mon sac à dos et en sors le gode que j’avais pris dans la salle de bain de ma mère. J'avais un pressentiment que j'allais en faire usage. C'est un gode noir, de bonne taille, avec de grosses veines dessus.
Je le présente devant son con ruisselant et le fais tourner un peu autour sans qu’il ne pénètre, étalant sa mouille sur tout son entrecuisse.

— C'est quoi ça ?
— Ça ? C'est la teub de notre inconnu... Tu veux que je lui dise de te baiser ?...

N'entendant aucune réponse, je relève la tête pour voir les grimaces que ma chérie fait en attendant de sentir ce baton franchir ses lèvres intimes.
C'est dans ce geste que j'entraperçois ce jeune homme près d'un palmier qui se trouve à notre droite. Quand nos regards se sont croisés, il ne prit pas peur. Et il ne fait aucun mouvement pour s'enfuir. Le fixant du regard, je suis entrain de calculer à une vitesse grand "V" comment je peux prendre avantage de cette situation.
Je vois bien que ce jeune homme, est plus ou moins dans la même tranche d'âge que nous. Ses habits indiquent qu'il ne fait pas partie des clochards qui crêchent dans les bois.
Après quelques secondes d'observation, je lui fais un large sourire amical. De ma main gauche, je pose on index sur mes lèvres pour lui signifier le silence total. À aucun moment j'ai pu lui indiquer que sa présence n'est pas souhaîté.
Bien au contraire, je lui ai même fait signe de la tête pour qu'il s'approche pour mieux suivre le jeu que je suis entrain de jouer.
Sans peur et sur la pointe des pieds, cet inconnu s'approche délicatement de cet amas de chair que ma Caline et moi formant alors.
Tandis qu'il s'approche tout doucement, je surveille les réactions de cette femme que je vais offrir.
Je sens que ma chérie commence à se languir.

— Hamed... Je t'en supplie... Prends-moi... Fais moi jouir !
— Tu ne veux pas d'abord dire "Bonjour" à ton inconnu ? Dis-je en lui présentant le godmichet que je veux lui planter avant cette brêve interruption.
— Bonjour Mr "Godman"! Voulez-vous bien me faire jouir comme la chienne que je me dois d'être ? Mon MAÎTRE n'a que se souhaît en tête !
— Et notre voyeur... Il n'a pas droit à ton salut aussi ?

Surprise en entendant mes mots, elle resserre ses cuisses par réflexe et par peur.

— Laisses-toi faire ma belle ! Fais-moi confiance... Tu ne le regretteras pas !

Elle était trop loin dans son excitation, elle ouvre les yeux, me regarde... Puis tourne légèrement et timidement elle pose les yeux sur notre voyeur, debout à quelques pas de nous... Jugeant qu’il n’avait pas l’air agressif mais plutôt respectueux, elle détourne son beau regard tout chaviré de plaisir. Je l’embrasse avec passion, lui murmurant des mots d’amour.
Puis je prends avec douceur son beau visage entre mes mains, elle ouvre les yeux et me regarde, les yeux noyés de désir. Je lui parle doucement, mais je sais que l’homme peut entendre ce que je lui dis :

— Tu es belle mon amour ! Tu aimes être admirée ? Tu aimerais exciter cet homme ?

Comme elle ne me répond pas, je lui demande expressément de me répondre... Elle avait l’air un peu perdue devant mes soudaines exigences, elle finit par céder et me murmure :

— J’aime quand un homme bande pour moi... J'aimerai... J'aimerai le voir se branler.
— Je veux qu’il entende... Dis le plus fort !
— Ça m’excite de voir qu’il bande pour moi ! Dit-elle, juste assez fort pour se faire entendre par notre voyeur, mais en rougissant comme une pivoine.

Je continu à la diriger vers une participation plus active de sa part :

— Maintenant, je veux que tu le regardes, que tu regardes comme tu l’excites, je veux que tu vois comme il a envie de toi...

Son regard perdu d’inquiétude planté dans le mien, elle resta un moment figée... Je pose le bout du gode doucement à l’entrée de sa chatte gluante. La réaction ne se fait pas attendre. Le désir reprend le dessus. Elle écarte ses cuisses comme dans un appel impérieux à se faire prendre rapidement.
Suspendant mon geste, je réitére mon ordre :

— Regarde-le !

Sa tête tourne lentement, son regard quitte le mien et elle le fixe dans les yeux, écartant à nouveau les cuisses, peut-être même davantage, pour lui plus que pour moi. J’appuie alors le gland du phallus en plastique contre son con ruisselant. Elle gémit, mais ne détourne pas le regard. Puis, ses yeux descendent lentement sur la bite tendue vers elle et je vois ses globules oculaires qui s’emplissent de désir pour cette chose qu’elle veut sentir entrer profondément en elle.
Elle m’avoura par la suite que dès que son regard avait défini les vraies mesures de ce membre, elle avait eu envie de le sentir la posséder, se disant qu’il ira très loin dans sa chatte et qu’elle mourrait, presque, d'envie de l’essayer. En plus, il a un gland qui a presque la forme d'un gros champignon... Le gland est bien plus gros que la hampe, pourtant déjà bien large.
Caline aime que dans nos jeux horizontaux, je lui mette de gros objets, godes, légumes, doigts joints, dans sa moule pour la lui dilater, elle aime, à ce temps-là, que je lui raconte des choses, lui permettant de s’imaginer la personne qui serait en train de la défoncer. Et à force il m'arrivais de manquer d'imagination mais cela ne nous jamais empêcher de jouir !
Mais jusqu’à présent (excepté hier soir), tout cela ne s’était jamais déroulé que dans notre imagination lors de nos jeux intimes dans notre lit.
Je comprends, en voyant son regard, qu’elle a envie d’aller plus loin, qu’elle désire cet homme, du moins la queue de ce mec. Cet instant magique semble s’éterniser, comme si notre cher Éros avait fait un arrêt sur image, pour mieux apprécier tous les traits, toutes les grimaces et faire durer l'attente.
Je continue de masser, la petite princesse, avec le gode qui me semble soudain ridicule par rapport à la queue du type qu’elle dévore du regard.
Notre voyeur n’osait pas bouger de peur de rompre le charme du moment. Il semble attendre un signe, de ma part. Pour ma part, je bande comme un âne en la voyant ainsi offerte aux regards libidineux de ce jeune homme, qui bave d'envie en s'imaginant entendre ses cris de plaisir quand il s'enfoncera bien au fond de sa matrice humide.
Et à la pensée que je vais certainement enfin la voir offerte pour se faire baiser sous mes yeux émerveillés, je saute presque de joie. Non pas comme il en était le cas hier soir, où c'était elle qui avait pris l'initiative de s'offrir à mon père pour éveiller en moi une jalousie qui sommeillerait en moi, que je connais pas.
Je veux avoir ce pouvoir de l'obliger à accepter de ce faire prendre par la personne que je jugerai digne de la faire jouir pour enfin la voir, l'admirer, entrain de prendre du plaisir avec un autre avec mon accord !!!
Depuis que j’en rêvais secretement, inconsciemment... Je n’ose y croire que cela va se réaliser. Je vois que son regard reste scotché sur notre complice du jour, allant de ses yeux à sa bite.
Le désir lui brûle le visage, tous ses traits disent qu’elle le veut, tout son corps aussi d’ailleurs !
Elle se trémousse outrageusement devant lui sur les mouvements du membre factice que je fais aller et venir dans sa chatte coulante de ce jus des plaisirs
C’est finalement moi qui décide de briser le silence, craignant que si ça durait trop longtemps, elle ne se ressaisisse et se referme. Je fais entrer doucement le gode en elle, en lui disant :

son utérus.
Il reste planté, là, tout au fond, la faisant râler de plaisir :

— Arrrrggghhhhhooouuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Puis pendant qu’il la besogne puissamment, entrant et sortant presque totalement de cette chatte baveuse, elle ne cesse de gémir de bonheur !

Elle m'avouera plus tard, qu'elle n’avait jamais rien ressenti de semblable... (Ni moi non plus... Hihihi).
Ma queue me fait mal à force de bander sans même la toucher (ici le "la" fait réference à ma Caline et à ma queue).
Ça y est... Enfin, elle se fait baiser ! Et en plus, elle aime ça la salope !
De toute évidence, ça lui plaît de se faire mettre par cette grosse queue d'un jeune concitoyen.

— Dis moi chérie... Tu la sens bien sa bite mon amour ?
— Oooohhhh ouiiiiiiiiiii il est groooooooooooooooooosss je le seeeeennns biieenn... il va au foooooooooooooooonnnnnnd.

Elle pose sa petite main sur son ventre pour sentir la queue qui la perfore...


C'est peut être la centième fois que je lui dis, toujours est-il que je suis fasciné par le spectacle de ce ventre, qui est fouillé et possédé par cette queue qui appartient à ce mâle en rut dont je regarde le gland hypertrophié qui, à chaque aller-retour, tente de transpercer les parois du sexe de ma salope, à une vitesse de plus en plus folle.
Elle encourage son amant, en lui disant qu’elle aime se sentir bien remplie, que ça la fait partir plus loin dans son plaisir...
Voir ma chérie, s’offrir ainsi librement devant moi, à cet inconnu, ne peut que me combler !
Et elle ?
Elle aussi... Je crois, à en juger par le bruit qui s'échappe de sa bouche et qui ferait fuir le plus coriace des voleurs !!!
Si tous les fantasmes se réalisaient comme-ça, je serai le plus heureux des hommes, et je promettrai à Caline qu'elle sera la femme la plus comblée dans notre univers.

Quand je le vois, la baiser comme une chienne, à grands coups de sa zob, je me mets, daredare, à genoux au-dessus de sa tête et je m'astique nerveusement le zob.
Le jeune homme pousse un long râle de jouissance et se déverse au plus profond d’elle. Il s'étale sur le corps essoufflé de ma déesse, en l’écrasant de tout son poids, lui remplissant l’utérus de sa semence tandis que me répands moi aussi, mais sur leurs corps unis.
Après qu’il soit resté un long moment emboité dans le corps de ma chérie, il pousse sur ses bras, se relève et sort sa longue queue, bien plus fine à présent. Un peu de sa semence s’écoule de la chatte encore béante de ma cochonne. Elle est bien, détendue, heureuse.
Me regardant, elle me murmure :

— Merci mon amour !

Merci mon amour ? Eh béé merde alors... Et dire que là on vient juste de débuter la deuxième journée de nos vacances... À ce rythme je ne donnerais pas cher de ma peau !


À suivre...

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Texte coquin : 13 07.1997 (1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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