17 Juste revers après un cocufiage intensif

- Par l'auteur HDS Monkypython -
Auteur homme.
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Récit libertin : 17 Juste revers après un cocufiage intensif Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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17 Juste revers après un cocufiage intensif
Comment définir les sentiments qui se succédaient dans ma tête depuis que j’avais vu mon épouse tant aimée s’illustrer dans le pluralisme masculin avec quatre de mes amis ? Elle avait encore gagné un échelon dans l’échelle de débauche que Philippe avait dressée pour elle, j’avais peur qu’elle ne se perde dans l’escalade de luxure, j’avais peur de la perdre.
J’en étais là de ma vie affective, cocu mais toujours amoureux de ma femme. Certes, je partageais désormais ses charmes avec ses amants réguliers ou occasionnels mais je m’étonnais moi-même de ne pas en souffrir plus que ça. En vérité, ma femme était toujours de bonne composition, enjouée et épanouie, elle se montrait très amoureuse, très câline, et nous avions de biens meilleures relations depuis qu’elle était moins vertueuse. De plus, même si j’avais souvent conscience de passer après ses amants et de couvrir leur jouissance avec la mienne, nous faisions l’amour tous les jours, bien plus et bien mieux qu’avant. À la réflexion, et même si personne ne m’avait donné le choix, je préférais m’éclater avec une salope que m’emmerder avec une nonne. J’étais cocu de fait, mais mes cornes ne me pesaient pas trop, même si tout n’était pas beau dans le meilleur des mondes.
Convaincu que je n’y pouvais rien, j’acceptais avec le même fatalisme que Philippe soit devenu le mentor sexuel incontesté et incontestable de mon épouse légitime, amant, initiateur, guide, gourou, maître, je ne sais quoi encore ou plutôt si, il était le maquereau de ma putain conjugale ; il l’avait ferrée, pervertie au point d’avoir créé chez elle une addiction au sexe sale, et jouait avec elle en la soumettant à tous ses délires. Maria, femme de l’un et femelle des deux, formait un couple avec chacun de nous, tantôt épouse salope avec son mari cocu, tantôt chienne obéissante avec son maître pervers. C’était cette inconditionnelle soumission de sa part qui me révoltait plutôt que mon statut de cocu à longues cornes. J’étais conscient d’être la risée de mon entourage, tout le monde connaissait mon infortune, les femmes me gratifiant de moults attentions sans me dire tout haut qu’elles pensaient tout bas que j’étais un faible incapable de satisfaire une femelle trop chaude pour moi, les hommes m’invitant volontiers au verre de l’amitié dans l’espoir de se taper ma femme ou de remettre le couvert quand ils étaient déjà passés dessus. Pour tout dire, j’avais compris que la situation m’avait complètement échappé, j’acceptais l’humiliante capitulation, j’essayais d’être le plus conciliant possible avec ma femme et mon rival pour ne pas tout perdre. J’aimais toujours ma femme, j’aimais toujours notre relation, matrimoniale et sexuelle, mais il fallait que je prenne un peu de distance avec les frasques de mon épouse. J’avais compris que je devrais parfois abandonner le ventre si hospitalier de ma chère épouse aux queues victorieuses de son amant et des autres étalons invités à la chevaucher. Pour moi le meilleur moyen d’ignorer passivement mon cocufiage était de me consacrer un peu plus à mon autre passion pour la pêche.
Ce samedi, j’étais absorbé à préparer mes affaires, cannes, appâts, lignes et autres apparaux quand Maria vint me faire part de ses projets pour la soirée :
- Hélène vient de m’appeler, elle voudrait profiter que nos maris soient absents ou occupés pour passer une soirée entre filles.
- Ça me parait très bien. Vous y allez seules ou avec d’autres copines ?
- Non, pas des copines, des copains plutôt.
- Des copains ? Je les connais ?
- Je ne sais pas, elle viendra avec Paul, je l’ai déjà rencontré plusieurs fois, il est très sympa mais je ne sais pas si tu le connais.
- Je ne le connais que de nom, ce ne serait pas son amant par hasard ?
- Si, c’est lui.
- Ah ! Donc elle va dîner avec son amant et toi sans doute, tu penses y aller avec le tien ?
- On ne peut rien te cacher.
- En fait, vous voulez passer une soirée en couples, mais avec vos amants ?
- Nous serions plus de quatre, Il y aurait d’autres copains de Paul je crois.
- Encore une occasion de te faire sauter !
- Si tu crois que j’ai attendu cette soirée pour me faire sauter, tu te trompes. Je n’ai pas besoin d’un dîner pour me taper qui je veux.
- Ça je le sais figure toi, que crois tu, que je suis aveugle ?
- Si tu le sais déjà, je n’ai plus rien à t’apprendre.
- Je sais ce qu’il me faut savoir, je sais que tu me fais copieusement cocu depuis la première fois que Philippe t’a baisée.
- Mon pauvre, si tu savais !
- Si je te dis que je préfèrerais que tu n’ailles pas à ce dîner, je suppose que tu ne tiendras pas compte de mon avis.
- Je rentrerais tard, ne t’inquiète pas.
L’épouse attentionnée s’apprêta en salope distinguée pour aller retrouver Philippe et les autres, petite robe moulante et très courte, bas noirs, sous-vêtements affriolants, maquillage sophistiqué, sexy sans être vulgaire, bref, très attirante.
J’étais donc parti rejoindre deux autres fous de pêche, peut-être étaient ils cocus eux aussi, pour passer toute la nuit à traquer quelques beaux poissons. Mes efforts s’avérèrent très fructueux, les poissons étaient là, morts de faim, et venaient remplir nos paniers. Le plus souvent, ils délaissaient inexplicablement les lignes de mes compères pour se jeter sur les miennes, ce qui m’amusait et mettait en rogne mes deux amis qui trouvaient que j’avais trop de chance. Une chance de cocu semble t’il ! Je rentrai au petit mâtin, épuisé et heureux de ces sensations, avec en bonus les paniers pleins.
L’euphorie disparut en rentrant à la maison pour laisser la place à une sournoise inquiétude : depuis que j’avais surpris ma femme au lit avec d’autres hommes, je me demandais toujours ce que j’allais trouver derrière ma porte. Aucun bruit suspect ne me parvint, ce qui me rassura. Par contre, de nombreux verres, des bouteilles d’alcool non rangées, d’autres bouteilles de champagne vides me prouvèrent que la soirée avait du se passer en partie à la maison, peut-être s’y terminer. Je posai mes affaires, me préparai un thé chaud que je pris debout. Puis je me dirigeai dans la salle de bains pour quitter mes vêtements qui sentaient le poisson, et prendre une douche pour me débarrasser de cette même odeur qui empestait au point de mettre en rogne ma petite femme chérie. Une fois propre, réchauffé, requinqué par la douche, je décidai d’aller me coucher pour me reposer quelques heures.
La surprise était là, dans mon lit, deux femmes assoupies et nues dans la clarté du jour naissant. Maria était de dos vers la fenêtre, le drap coincé entre ses jambes, elle semblait dormir à poings fermés, Hélène, sa meilleure amie dormait de l’autre coté, allongée sur le dos, le même drap la couvrant jusqu’au nombril. C’était la première fois que je voyais ses seins, ils étaient bien plus gros que ceux de Maria. Hélène ne dormait pas profondément, elle ouvrit les yeux et m’adressa un magnifique sourire. Elle regarda en direction de son amie, fit le même constat que moi en la voyant endormie et me fit signe de ne pas faire de bruit. Elle se leva et se découvrit toute entière ; elle ne fit aucun geste pour me cacher ses parties les plus intimes, je pouvais admirer à loisir ses seins opulents, ses fesses bien rebondies, et son minou aussi mignon et bien entretenu que celui de Maria. Mes yeux se portèrent à nouveau sur ma femme, le drap qui la recouvrait avait glissé et plus rien ne cachait sa nudité. Mais ce n’étaient pas ses formes généreuses qui attirèrent mon attention, mais de nombreux gribouillages exécutés au marqueur noir par de bien piètres artistes. C’était un mélange d’interjections grossières et de dessins obscènes de toutes tailles, caricatures de sexes mâles dressés et au gland bien voyant appairés de boules rondes et pleines. En m’approchant, je pus lire « baisez moi » avec notre adresse et le vrai numéro de téléphone de notre domicile, en grosses lettres dans son dos, tandis que le minou, et l’anus étaient décrits comme garages à bites avec les phallus pointés sur les destinations de plaisir mises à disposition. Maria était recouvertes d’obscénités, sur le dos, le ventre, les jambes, les seins, et jusqu’au cou. Une inscription moins voyante mais néanmoins bien racoleuse ornait également son front, encore « baisez moi » avec notre numéro de téléphone. Son tableau de chasse de la soirée, gribouillis de chiffres, de prénoms masculins et de dessins explicites de phallus éjaculateurs expliquait crûment que la dame avait été successivement prise par un certain Émile, par un dénommé Bruno, ainsi que par Paul et par l’inévitable Philippe, avec en prime les commentaires des trois derniers, aussi poétiques que les dessins. Malgré leur bassesse et leur grossièreté, ces marques relataient l’historique de la soirée, et j’étais certain que rien n’avait été inventé. Je songeai un bref instant que si les marqueurs utilisés étaient indélébiles, Maria ne se pourrait pas se montrer avant longtemps ni en décolleté, ni en minijupe, et encore moins en maillot de bain, elle allait aussi devoir travailler sa coiffure pour cacher son inscription sur le front ; j’allais la plaindre, mais je me rappelais aussitôt qu’elle avait passé la soirée à me faire cocu avec au moins les quatre types recensés sur sa peau.
Après ces constatations, je pris conscience qu’Hélène se tenait à coté de moi. Elle avait juste passé une chemise qui lui arrivait au milieu des fesses et m’accompagna dans la cuisine. De fait, c’était elle ma bonne surprise, une surprise beaucoup plus agréable que celle que m’avait réservée quelques semaines plus tôt ma femme, que j’avais surprise en pleine action, empalée sur un chibre noir hors concours. Je proposai un café, quelques biscuits et nous nous installâmes face à face. J’étais troublé par cette belle femme, petite, menue, délicate, elle était très belle dans cette petite chemise qui la couvrait sans rien cacher rien et surtout pas ses seins lourds et terriblement tentants qui apparaissaient et disparaissaient au gré de ses mouvements, sans qu’elle tente de mieux refermer son vêtement. C’était un beau spectacle, et je n’étais pas de bois. Je ne savais pas si elle n’était pas tout à fait éveillée et ne se rendait pas compte de son exhibition, mais j’avais envie de croire qu’au contraire elle me montrait ses charmes en en ayant pleinement conscience. Quoi qu’il en soit, j’étais troublé, et Hélène s’en rendait compte, forcément. Elle me souriait tout en grignotant quelques biscuits et buvant son café. Il me tardait d’en savoir un peu plus :
- Alors, la soirée a été bonne ?
- Une soirée de folie, avec du bon et du moins bon. Je ne sais pas si tu seras content de savoir tout ce qui s’est passé mais si tu me le demandes, je veux bien te raconter.
- Moi, je préfère savoir plutôt que d’imaginer, raconte moi tout s’il te plait, mais seulement si tu en as envie.
- Je veux bien mais quelques détails sont assez gênants.
- Si tu veux parler des frasques de ta copine, ne t’inquiète pas, je sais qu’elle me fait cocu, et copieusement.
- J’ignorais si tu le savais ou non.
- Je ne sais pas tout, loin de là, mais je ne suis ni aveugle ni complètement stupide.
- Et tu acceptes qu’elle se tape d’autres mecs ?
- Je ne l’accepte pas, je le supporte parce que je ne peux pas l’en empêcher et parce que je veux rester avec elle.
- Bon, alors je commence. On s’est tous retrouvés dans un petit restaurant que Paul connaît, un genre de petit bistrot très sympa. Je suis arrivée la première, juste avant Maria qui est arrivée deux minutes plus tard. Philippe était là peu après, presque en même temps que Paul qui est venu avec un de ses copains, un type qui travaille avec nous mais dans un autre service, le genre de type qui sait tout mieux que tout le monde et surtout mieux qu’une femme, si tu vois ce que je veux dire. Je n’aime pas trop Bruno, pour parler franchement je ne peux pas le sentir. Il y a quelque temps, il m’a fait des avances auxquelles je n’ai pas voulu céder, en fait il me harcelait, il avait été même très lourd, un jour il m’a coincée dans l’ascenseur en me mettant les mains sous la jupe, je me suis fâchée et je lui ai collé une gifle en me dégageant, depuis je crois qu’il ruait dans ses brancards en attendant l’occasion de se venger. Quoi qu’il en soit, ce soir je voulais passer une soirée romantique en amoureux et c’était fichu, je ne savais pas que Paul viendrait avec ce type, je n’avais qu’une hâte, qu’il disparaisse hors de ma vue après dîner. Toujours est-il que nous nous sommes installés, et que Bruno a commandé du champagne pour l’apéritif. J’ai pensé qu’il se doutait bien que je n’appréciais pas du tout sa présence et qu’il voulait me faire changer d’avis à son sujet ; il n’a pas lésiné sur les moyens, nous n’avions pas fini de vider la première bouteille qu’il en commandait une deuxième, puis une troisième. À ce moment précis, je ne pensais qu’à la note salée que cet imbécile allait payer.
- C’était une sorte d’investissement, non ?
- Je n’en savais rien encore, mais la suite va te donner raison. Bref, les coupes se remplissaient et se vidaient à une vitesse ahurissante, nous n’avions pas commencé à manger que nous avions déjà beaucoup trop bu. Tellement bu que j’ai trouvé ça louche. C’est là que je me suis rendu compte que les coupes des filles ne restaient jamais vides, il y avait toujours un des trois garçons pour la remplir et nous faire trinquer. Maria commençait à être saoule, elle éclatait de rire à chaque fois que quelqu’un ouvrait la bouche, moi j’étais en meilleur état parce que je tiens bien mieux l’alcool. Je soupçonnais les hommes de vouloir nous faire boire, je ne comprenais pas pourquoi, vu que nous avions toutes les deux l’intention de passer la nuit avec nos amants, mais je me disais qu’ils devaient avoir une idée tordue derrière la tête. Je gardais mes soupçons pour moi et le dîner se poursuivit, très agréable, la nourriture était délicieuse, les vins exquis, et nous rîmes beaucoup. Nous bûmes encore beaucoup, heureusement que nous avions beaucoup mangé pour atténuer les effets de la boisson. Quoiqu’il en soit, Maria était bien pompette, elle rigolait de tout et de rien, elle éclata de rire en disant qu’elle avait de peur de faire pipi dans sa culotte tellement elle riait. Philippe lui demanda de l’enlever, il insista tellement qu’elle commença à se tortiller sur sa chaise et nous montra sa culotte. Philippe s’en empara, la sentit, et la repassa aux deux autres pour qu’ils puissent constater que madame était toute mouillée et qu’ils puissent humer sa bonne odeur de femelle. Tout le monde s’amusa de la culotte, de l’odeur, je crois que tout le restaurant sut que Maria mouillait et qu’elle n’avait plus de culotte. En sortant de table, un des garçons proposa d’aller prendre un ou deux verres dans un pub, un autre de poursuivre la soirée en boîte, Maria préférait un endroit plus tranquille, elle proposa de profiter de l’absence de son mari pour finir la soirée chez elle. Elle affirma qu’il y avait tout ce qu’il fallait, de la musique, des bonnes bouteilles, Paul fit rire les autres en ajoutant qu’il préférait l’intimité et un bon lit pour finir la soirée avec deux bombes comme Maria et moi.
- Et c’est comme ça que je vous ai retrouvées toutes les deux dans mon lit.
- Tout le monde a trouvé que c’était une bonne idée, alors nous sommes venus chez toi. Maria nous a fait mettre à l’aise, elle a sorti des bouteilles du bar, une bouteille de champagne du frigo, Philippe l’a aidée, il a mis de la musique, a préparé les coupes et les verres. Maria était vraiment saoule, elle a dit que nous devrions danser pour ne pas nous endormir, alors elle s’est levée et a commencé à danser, Philippe s’est levé aussi, je les ai rejoint, puis les deux autres. Après je ne sais qui a mis de la musique plus douce, Paul m’a invitée, et Bruno a invité Maria, elle était obligée de se cramponner à son cavalier pour ne pas tomber. Philippe qui était seul est passé derrière elle, il a commencé à la caresser, à se frotter contre ses fesses, Maria était toujours dans les bras de son cavalier mais se laissait aller en arrière contre son amant, les mains sont passées entre les danseurs, il a peloté les nichons, le ventre. Puis il a remonté la robe de ta femme pour mieux la caresser. Puis il a déboutonné le haut de la robe, il lui a mis les seins à l’air en s’amusant avec les pointes. Tout en restant dans les bras de Bruno, elle essayait de se tourner vers Philippe en cherchant à l’embrasser, l’un la branlait tandis que Bruno lui suçait les tétons. À un moment, ils l’ont débarrassée de sa robe et elle s’est retrouvée uniquement habillée de ses chaussures à talons et ses bas entre les deux hommes. Maria se laissait caresser et embrasser tour à tour par Philippe et par Bruno. Je comprenais maintenant pourquoi ils nous avaient fait boire et comment ils voulaient finir la soirée, je venais de comprendre aussi que Paul était visiblement complice et heureux de la tournure des évènements qui se précisaient. Philippe proposa à Bruno de sauter Maria sur le canapé, elle ne protesta pas et se laissa emmener et mettre sur le dos, elle écarta les cuisses sans qu’on lui demande. Bruno la caressa puis baissa son pantalon, enfila une capote et la baisa sous nos yeux. La scène me semblait irréelle, cela semblait trop facile, Maria n’avait pas dit un seul mot, pas fait un seul geste pour s’opposer à ce rapport, bien au contraire.
- Je ne doute pas un seul instant qu’elle était consentante.
- Tu as raison, c’est comme si elle savait ce qu’on attendait d’elle et qu’elle était heureuse de se comporter en pute.
- Je peux t’affirmer que ma petite pute savait qu’elle allait se faire sauter ce soir. Et le plus pathétique, c’est que moi, son mari, je le savais aussi.
- Bien sur, moi aussi je pensais faire l’amour avec mon amant, mais seulement avec lui.
- Connaissant les rapports très particuliers entre Philippe et Maria, je suis certain qu’elle se doutait bien que son mentor lui allait l’offrir à d’autres mecs.
- Je ne savais pas qu’ils avaient ce genre de rapports. Paul quant à lui me caressait plus ostensiblement, il avait passé une main dans ma culotte et s’amusait avec mon petit bouton, il avait une forte érection, j’ai surpris un rictus de victoire sur son visage, c’est à ce moment que j’ai compris qu’ils avaient tout manigancé, il avait lui aussi l’intention de se taper mon amie, et sans doute de me partager avec ses compères. Bruno avait fini sa petite affaire, il se rhabillait à peine quand la sonnette retentit. Philippe alla ouvrir, et fit entrer un monsieur d’un certain âge, un de vos voisins qui voulait qu’on baisse un peu le volume de la musique.
- Merde, alors Émile, c’est notre voisin du troisième étage ?
- C’est lui, oui. Philippe le fit entrer jusqu’au milieu de la pièce pour qu’il puisse voir ta femme encore allongée sur le canapé avec les cuisses ouvertes. Il semblait s’amuser comme un fou de la situation scabreuse dans laquelle se trouvait Maria. Il ajouta que tu n’étais pas là mais que la maîtresse de maison nous avait invités pour faire la fête avec elle. Ta femme avait du mal à émerger, elle se leva quand elle reconnut votre voisin, elle ne se rendait pas compte qu’elle était nue et que l’autre reluquait ses nichons et surtout sa minette. Comme elle tenait à peine debout, elle faillit tomber et se rattrapa dans les bras de votre voisin. Elle s’excusa pour le bruit, pour le désordre, pour je ne sais quoi encore, et resta pendue à ses bras. Philippe lui expliqua que Maria avait besoin qu’on s’occupe d’elle. L’occasion fait le larron, dit-il, et il ajouta que les choses se présentait mieux que la première fois où il avait vu ta femme se faire sauter ; il demanda à votre voisin s’il voulait profiter de l’absence du cocu pour passer un bon moment en galante compagnie. Maria, saoule et quasiment nue au milieu des trois hommes avait une présence torride, je vis que l’autre, malgré son âge, avait une belle érection. Émile dit alors qu’il ne pouvait pas être à l’aise avec une femme devant tout le monde et Philippe lui proposa d’aller jusqu’à votre chambre pour trouver l’intimité nécessaire. Le vieux acquiesça et guida Maria jusqu’à la porte qu’il referma.
- Ma femme s’est vraiment tapée le voisin ?
- Je crains que oui.
- Alors là, c’est le pompon. On peut dire que la boucle est bouclée, il a assisté en direct au début de mes malheurs, et maintenant, il y participe en baisant ma femme. Ce n’est pas beau tout ça.
- Pourquoi dis tu qu’il a assisté au début de tes malheurs ?
- Je peux te le dire, la première fois que Maria m’a trompé, j’étais avec ce monsieur, nous sommes entrés ensemble ici, et nous avons vu ensemble Philippe qui défonçait la chatte de ma femme sur ce canapé. Le vieux n’a pas perdu une miette du spectacle, et je te prie de croire que Maria se donnait à fond, elle est très démonstrative quand elle jouit. Aujourd’hui, le vieux a pu le constater par lui-même, il a vu ma femme se tordre de plaisir au bout de sa queue. C’est pour ça que j’ai dit que la boucle était bouclée, une femme commence par tromper son mari, et elle devient une grosse salope qui se tape tout ce qui bande. je suis cocu, encore cocu, et toujours cocu. Je ne sais pas quoi faire avec ce vieux bonhomme qui vient de tirer ma pute de femme, il peut revenir pour remettre le couvert.
- Il n’a pas l’air de quelqu’un de foncièrement méchant.
- De méchant je ne crois pas, mais je vais me sentir mal à l’aise à chaque fois que je vais le croiser. Et en plus, il est vieux, plus vieux que son père.
- Vieux, oui, mais apparemment, il était encore très vaillant car j’ai entendu ta femme jouir très fort.
- Ben voyons !
- L’haleine de Maria sentait l’homme mais il a joui dans sa chatte, il n’y avait pas de préservatif usagé, juste quelques mouchoirs souillés.
- Quelle salope !
- Ils sont restés tous les deux un bon moment dans votre chambre puis le vieux est ressorti, il déclara que ce n’était pas bien d’abuser d’une femme saoule.
- Facile de donner des leçons aux autres quand on vient de se taper la femme en question !
- C’est exactement ce que j’ai pensé. Quand il est parti, je suis allée voir, j’ai trouvé Maria tranquillement assise au bord du lit, elle essayait de se relever. Je me suis assise à coté d’elle et j’e l’ai prise dans mes bras. tu ne savais sans doute pas, mais je suis bisexuelle, j’aime presque autant les femmes que les hommes.
- Toi ? Bisexuelle ?
- J’y trouve beaucoup de plaisir, crois-moi. J’avais envie de Maria depuis longtemps, l’occasion était trop belle.
- Pour toi aussi ?
- Je suis désolée, j’ai profité de la situation moi aussi. J’ai commencé à la caresser, à l’embrasser, et comme elle répondait à mes baisers et à mes caresses, nous nous sommes allongées pour faire l’amour. Quand les garçons sont rentrés, ils nous ont trouvées dans les bras l’une de l’autre, ils se sont déshabillés et sont venus nous rejoindre.
- C’est beau et excitant, deux femmes qui font l’amour.
- Ils n’ont pas regardé longtemps, ils nous ont séparées, Philippe et Bruno se sont occupés de Maria, Paul de moi, puis Paul est allé avec Maria et Philippe et je me suis retrouvée dans les bras de Bruno.
- Il te voulait, et tu étais dans ses bras, nue et mûre à point.
- Exactement. Les choses sont allées très vite, Paul a commencé à baiser Maria, et Bruno est monté sur moi. Comme Paul m’avait bien chauffée, il n’y a pas eu de préliminaires, il a ajusté sa queue à l’entrée de ma fente et m’a pénétrée d’un seul coup. Il est resté longtemps sans bouger en me disant qu’il savait qu’il me la mettrait au fond un jour ou l’autre.
- Il a du savourer sa victoire.
- Encore plus que tu ne crois. Je ne voulais pas mais je n’ai pas pu m’empêcher de jouir très fort, je me suis sentie humiliée mais je n’ai rien pu faire contre ça, mon propre corps m’a trahie.
- Ces choses là arrivent très souvent à ta copine.
- Après c’est Philippe qui m’a eue tandis que les autres se relayaient sur Maria. Bref, les garçons avaient gagné, ils avaient réussi leur coup, en deux temps trois mouvements les trois cochons nous ont baisées toutes les deux. Puis ce gros vicieux de Bruno est revenu à la charge, celui là a bien profité de moi, il a pris tout ce que je lui avais refusé auparavant, tout ce qu’il a voulu, même Paul n’a pas cherché à l’empêcher de jouir en moi, alors que Philippe a exigé qu’il mette une capote pour baiser Maria. Alors l’autre m’a baisée en me chuchotant des obscénités, il me traitait de vielle salope lubrique et d’autres noms plus dégradants les uns que les autres à chaque fois que j’avais un orgasme, franchement ça m’a fait mal de constater que Paul se foutait de moi comme de sa première chemise, moi qui pensais qu’il y avait quelque chose de fort entre nous deux.
- Rassure toi, Philippe est pire avec ma femme.
- Tu crois ? Aujourd’hui Paul m’a prouvé le contraire, il avait envie de se taper ta femme et pour y arriver, il n’a pas hésité une seconde à me refiler à Philippe, et même à son collègue Bruno. Il a passé une partie de la soirée tranquille avec ta femme en me laissant entre les pattes des deux autres.
- Les deux en même temps ?
- Comme tu dis, un après l’autre, et aussi les deux en même temps, je n’avais jamais été avec deux hommes en même temps.
- Ça ne t’a pas plu ?
- La question n’est pas là, j’ai été mise devant le fait accompli, je n’ai pas vraiment choisi de le faire.
- Ta copine adore ça pourtant.
- Moi je préfère faire l’amour avec quelqu’un pour qui je ressens vraiment quelque chose que de baiser avec un ou plusieurs amants d’une rencontre même s’ils s’avèrent être des amants extraordinaires.
- Et comment es tu devenue la maîtresse de Paul ?
- Par vengeance.
- Tiens, c’est pour cette même fausse raison que Maria a couché avec Philippe la première fois. La première fois seulement, après, elle l’a fait par pur vice.
- Tu sais que j’ai divorcé de mon premier mari, le père de Lucas, je ne supportais plus qu’il me trompe impunément avec toutes les femmes qu’il pouvait. Ma première vengeance a été contre lui, vers la fin, nous étions toujours mariés, je l’ai fait cocu avec plusieurs de ses amis les plus proches, et je me suis arrangée pour qu’il le sache.
- Ben dis donc !
- Tu ne peux pas savoir comment je me suis régalée à le faire cocu, ce gros con.
- J’espère que les mecs avec lesquels tu as couché te plaisaient au moins.
- Leur physique n’était pas important, pas plus leur performance au lit, j’ai surtout privilégié de blesser mon mari dans son orgueil et dans son amour propre, c’était ma motivation première, et je t’assure que c’est extrêmement jouissif. J’ai même rejoint son gros porc de cousin dans un hôtel tenu par le meilleur ami de mon mari, j’ai baisé le moins discrètement possible avec le premier et je lui ai demandé de nous commander du champagne, juste pour que l’hôtelier me voit à poil dans le lit avec mon amant, ce grand ami est revenu dans la chambre après le départ du cousin de mon mari, à dire vrai c’était un très bel homme qui me plaisait dix fois plus que l’autre, il avait envie de moi mais je n’ai pas voulu coucher avec lui pour qu’il soit vexé et qu’il dise à mon mari que j’étais une vraie salope.
- C’est vrai que les hommes considèrent comme une salope absolue une femme que tout le monde baise sauf eux. Ce qui ne risque pas d’arriver avec Maria, elle, tout le monde la baise.
- Ne dis pas ça, tout est à cause de Philippe.
- Ce qui ne change rien au fait que tout le monde la baise.
- Je crois que ça va changer maintenant.
- Qui vivra verra !
- Après, j’ai été séduite au travail par mon mari actuel, Norbert était gentil et attentionné, comme on s’entendait bien, nous nous sommes mariés. Et un jour, j’ai appris que lui aussi me trompait, il se tapait sa secrétaire, et sans doute d’autres filles du bureau. Alors je n’ai pas hésité, j’avais le choix entre plusieurs prétendants, dont ce connard de Bruno, j’ai craqué pour Paul qui me faisait la cour et j’ai trompé mon mari avec lui pendant plusieurs années jusqu’à cette nuit.
- C’est ton amant ?
- J’ai été folle de lui, tu ne peux pas savoir ce que je tenais à lui.
- Et lui ne tenant pas à toi ?
- Je le croyais, il m’a même demandé d’arrêter de prendre la pilule pour me faire un enfant.
- Tu voulais qu’il te mette enceinte ?
- Effectivement, j’ai arrêté de prendre la pilule et j’ai évité de prendre la semence de mon mari dans mon ventre, tout ça pour lui.
- Et il le sait ?
- Bien sur, ce qui ne l’a pas empêché de laisser Bruno et Philippe me prendre sans capote.
- Tu n’étais pas obligée d’accepter, non ?
- Je sais bien, mais Paul le faisait avec Maria sans se poser de question, alors dans le feu de l’action, je l’ai accepté.
- Tu as joué la voyeuse ?
- Forcément, nous étions tous dans ton lit, et Maria est très démonstrative.
- À ce point ?
- Tu ne peux pas savoir.
- Oh ! Que si, je le sais très bien.
- C’est incroyable avec quelle facilité elle jouit, les mecs se régalent avec une fille pareille, quand Paul est passé sur elle, il lui a suffi de quelques allers et retour dans son vagin pour la faire crier, ça a été pareil avec Bruno, et aussi avec Philippe, elle a eu un orgasme à chaque fois.
- Et toi, tu n’as pas pris de plaisir ?
- Si, bien sur, le comportement des garçons et les orgasmes de Maria ont créé une ambiance survoltée, et quand Bruno m’a prise, je n’ai pas pu m’empêcher de jouir très fort.
- Avec Bruno ? J’ai cru comprendre que tu ne pouvais pas le sentir.
- C’est ça le dilemme, j’ai honte d’avoir crié de plaisir, je me suis sentie sale et humiliée mais je n’y pouvais rien, je crois que les orgasmes à répétition de Maria ont provoqué les miens, et c’est Bruno qui en a le plus profité. Je crois qu’il n’est pas possible de posséder une femme plus qu’il ne l’a fait avec moi cette nuit, j’ai honte mais je me suis livrée complètement à lui.
- Il a joui en toi ?
- Ça oui, il ne s’en est pas privé, il a joui dans mon ventre, dans mes intestins, dans ma bouche, sur mon visage, mes cheveux, mes seins, partout où il en a eu envie.
- Tant que ça ? C’est un surhomme ce type !
- À un moment, il m’a dit qu’il allait me baiser toute la nuit parce qu’il avait pris un cachet.
- C’était un traquenard alors ?
- Oui, ça a confirmé mes doutes, Paul et lui avaient prémédité leur coup. En fait, j’ai été l’enjeu d’un marchandage entre eux pour une promotion.
- Au travail ?
- Oui, un poste de cadre s’est libéré, les deux ont postulé, et si j’ai bien compris, Paul savait que Bruno me voulait à tout prix, il a proposé à son concurrent de lui offrir l’occasion de me baiser s’il lui laissait le champ libre.
- Pas possible !
- Si, et le plus fou, c’est que Paul va travailler directement sous les ordres de mon mari.
- Je sais par expérience que le dicton anglais « fucking in job fuck the job » est toujours vrai. Se taper la femme du patron n’est pas la meilleure protection sociale qui soit.
- Tu as tout à fait raison, et je ne vais pas me priver de m’en servir au cas où l’un ou l’autre de Paul ou de Bruno voudrait me faire des choses que je ne veux plus faire avec eux.
- De vrais salauds, mais pourquoi les femmes craquent pour des pourris pareils ?
- Parce qu’on est des connes, Maria est une conne, et moi je suis encore plus conne.
- Et comme Maria, en plus d’être conne, est une belle salope, ils ont réussi leur forfait.
- Tu as raison, elle a de sacrées dispositions la miss, je ne sais pas si elle est toujours comme ça mais cette nuit elle était déchaînée, une folle du sexe qui m’a rendue folle moi aussi.
- Je crains qu’elle ne soit tout le temps comme ça quand elle est au lit avec plusieurs hommes.
- Elle offre son cul, sa bouche, elle pleure pour qu’on la prenne par la chatte, elle a joui je ne sais combien de fois avec tout le monde, ils l’ont même baisée avec une bouteille dans le cul et une autre dans la chatte, et elle a crié de plaisir. Philippe riait de la surprise des deux autres, je crois que ni Bruno ni Paul n’avaient jamais connu une fille comme ta femme.
- Il en a fait une chienne.
- Et il en est fier, il se vante volontiers d’avoir transformé une femme fidèle en salope nymphomane qu’il peut se taper à volonté et faire baiser par tout le monde.
- Ça me fait vomir mais c’est vrai.
- Tu sais que la plupart de tes amis l’ont baisée ?
- Ça aussi me fait vomir.
- Il a dit qu’avant lui, ta femme était un peu nunuche.
- Nunuche ? Non, elle aimait beaucoup le sexe, mais seulement avec moi.
- C’est ce qu’il a dit, mais plus grossièrement. Ta femme te réservait son petit con bien serré et ne connaissait pas la sodomie, maintenant, son petit con est toujours aussi serré mais tout le monde en profite, et son cul est devenu très hospitalier depuis qu’il a ouvert la voie.
- C’est malheureusement vrai, elle lui a accordé ce qu’elle m’avait toujours refusé. Et, ce dont j’ai honte, c’est que ça s’est passé sous mes yeux, la première fois qu’elle a couché avec lui.
- Alors il y a bien un fond de vérité dans ses fanfaronnades.
- Malheureusement oui, Maria est devenue sa salope attitrée.
- Tu sais, si ça peut te consoler, au cours de cette soirée, je me suis comportée tout comme elle, en véritable salope.
- Peut-être, mais tu ne l’as fait qu’une seule fois, tandis que ta copine le fait dès que Philippe lui demande.
- Tu as raison, ce soir je l’ai vu de mes yeux, elle a été offerte à votre voisin, à Paul, à Bruno, et elle semblait ravie de se faire prendre par tout le monde.
- Une vraie chienne en chaleur, c’est ce qu’il en a fait.
- À un moment, après l’avoir baisée et bien faite jouir, Bruno a dit en plaisantant que Maria cachait bien son jeu, elle donnait l’image d’une femme mariée sérieuse alors qu’elle était en fait une vraie cochonne. Philippe a suggéré qu’elle méritait l’appellation de salope authentique, et qu’on devrait le marquer sur elle, pour valoriser la marchandise avec un label.
- D’où les cochonneries qu’elle a sur tout le corps ?
- Oui, Bruno a couru jusqu’à sa veste, il est revenu avec un gros marqueur dont il se sert au travail en disant qu’il fallait décorer ta femme.
- Et elle les a laissés faire ?
- Au début, elle a un peu protesté, mais peu à peu elle est entrée dans leur jeu et a fait ce qu’ils voulaient. Elle se tournait quand ils lui demandaient, se mettait sur le dos, sur le ventre, à quatre pattes, écartait les cuisses, cambrait les fesses pour écrire dessus, rigolait comme une folle en voyant les bites fleurir sur son ventre et sur ses seins.
- Quelle idiote ! Salope et idiote !
- Apparemment, toutes ces obscénités l’ont beaucoup amusée. En fait, il n’y a qu’à la fin de la soirée qu’elle a réagi.
- Ah oui ?
- Elle était à quatre pattes sur le lit et cambrait ses reins pour faire admirer les chef-d’œuvres dessinés sur son cul, Philippe a dit qu’elle était une bonne petite pute et lui a demandé de venir le sucer. Elle a obéi, et l’a pris en bouche. Philippe a proposé à Bruno s’il voulait tirer un dernier coup, Bruno a déclaré forfait, il a dit que je lui avais vidé les couilles et qu’il ne pouvait plus. Philippe a déclaré que Maria avait vidé les couilles de tout le monde. Et que maintenant, grâce à moi, elle appréciait aussi les chattes. Ils se sont amusés à estimer nos chances de gagner le concours de la plus grosse salope, ils sont tombés d’accord pour dire que Maria était la plus salope de nous deux, d’après eux je suis meilleure gouine, mais Maria est plus une femme à bites que moi. Paul a déclaré qu’il me restait des progrès à faire avant de devenir une salope de concours comme ma copine.
- Et aucune de vous deux n’a rien dit ?
- Bien sur que si, les propos de Paul m’ont révoltée, j’ai dit que je n’avais pas l’intention de devenir une salope soumise.
- Mais tu l’as fait ?
- Bien sûr, avec l’ambiance torride que mettait Maria, j’aurais eu du mal à ne pas être excitée moi aussi. Je n’ai pas l’habitude de bouder mon plaisir au lit mais cette nuit j’ai été presque aussi salope que Maria. Même Paul a été surpris.
- Tu es amoureuse de Paul ?
- Je l’étais. J’étais amoureuse Paul jusqu’à cette nuit, mais après ce qui s’est passé, c’est bien fini maintenant.
- J’aimerais bien entendre ces paroles de la bouche de Maria à propos de Philippe, elle accepte tout de lui, vraiment tout.
- Je crois qu’elle s’est rendue compte cette nuit qu’il la traitait comme une merde.
- Si tu pouvais dire vrai !
- Je pense ne pas me tromper.
- Et que s’est il passé ensuite ?
- Bruno est parti le premier, nous sommes restés à quatre et nous avons refait l’amour, d’abord entre filles, puis avec les garçons et en changeant de partenaire. Philippe a continué, il tapotait sur la tête de Maria qui le suçait, tout en disant qu’il était content que sa pute soit plus salope que celle de Paul, il était très fier de sa petite chienne. Je suis sortie de mes gonds, j’ai crié que je n’étais la pute de personne, et encore moins celle de Paul.
- Et Maria ?
- Elle aussi s’est révoltée, elle a dit qu’elle était devenue une traînée à cause de lui, mais qu’elle voyait bien qu’il ne la respectait pas. Alors Philippe a rétorqué que pour qu’il la respecte, il aurait fallu qu’elle soit respectable, et qu’une salope bonne à vider les couilles du voisinage et à manger la moule de n’importe quelle pétasse était tout sauf respectable.
- C’est plutôt dur comme propos.
- Maria a commencé à pleurer, j’ai crié que la pétasse les emmerdait, je les ai traités de gros connards et ils sont partis sous mes insultes.
- Si ça pouvait être l’épilogue de mon cauchemar !
- Nous sommes restées au lit toutes les deux, jusqu’à ce que tu arrives.
- C’était une belle surprise de te trouver dans mon lit.
- Oui ? C’était une bonne surprise ?
- Une belle femme nue dans mon lit, oui, c’est une très belle surprise.
- Tu me trouves belle ?
- Bien sur, belle et sensuelle.
- Assez pour avoir envie de moi ?
- Je ne me ferais pas prier.
- Alors je sais comment me faire pardonner.
- Pardonner ? Mais que veux tu te faire pardonner ?
- Cette soirée était mon idée, je n’avais pas prévu tout ce qui s’est passé, mais c’est bien par ma faute que ta femme s’est embarquée là-dedans.
- Je suis certain qu’elle ne s’est pas faite prier longtemps pour écarter les cuisses.
- Elle était saoule, et c’est aussi à cause de moi qu’on a tant picolé. Et puis Maria m’a tout raconté à propos de ce qui s’est passé avec Norbert et Lucas.
- Ah ! Tu es au courant.
- Oui, elle m’a tout raconté. Autant je suis contente qu’elle initie mon fils, autant je suis en colère pour Norbert, je me demande comment elle a pu se taper mon connard de mari.
- Pour ton fils, Maria a compris qu’il était encore puceau et aussi qu’il avait envie d’elle, je crois qu’elle était ravie de jouer les initiatrices. Et pour ton mari, c’était le jeu, il a gagné et Maria a perdu, disons que le hasard a bien fait les choses pour lui.
- Tu ne peux pas savoir comment je suis soulagée pour Lucas, je ne l’avais jamais vu avec une fille, je croyais qu’il préférait les garçons.
- Je peux t’assurer qu’il aime les filles, je l’ai vu à l’œuvre et il assure.
- Tant mieux, je vous remercie Maria et toi, pour Lucas et pour moi. Quant à ce salopard de Norbert, il aurait mieux fait de s’abstenir de profiter de la situation, il ne perd rien pour attendre. Et je sais comment je vais me venger.
- Comment ?
- Tu n’as pas ta petite idée ? D’ailleurs, non seulement je vais me venger, mais en plus je vais y prendre beaucoup de plaisir.
- Le mot vengeance me fait peur.
- Et ça, ça te fait peur ?
Hélène n’avait pas fini de parler qu’elle défaisait la ceinture de son peignoir, s’en débarrassait et venait se pendre à mon cou. Elle n’avait pas besoin de ma réponse, ma réaction à son baiser lui suffisait. Après un baiser torride, elle me conduisit à notre chambre où nous retrouvâmes Maria telle que nous l’avions laissée, endormie comme une souche. Nous nous sommes allongés sur le lit, Hélène avait vraiment envie de moi, et sut provoquer chez moi un désir violent et une solide érection qu’elle chevaucha sans plus attendre. Elle eut bientôt un premier orgasme, s’apaisa quand je passai sur elle, puis repartit vers le septième ciel après une cavalcade endiablée. J’avais de quoi être fier de moi, elle avait eu trois orgasmes, elle devait me considérer comme un bon amant même si je savais pertinemment qu’elle était à l’instar de ma femme une vraie bénédiction pour l’ego de ses partenaires, au vu de la facilité avec laquelle elle arrivait à jouir. Sur ce point, elle ressemblait à Maria qui s’était réveillée sur ces entrefaites et qui nous avait regardés faire l’amour. Elle vint se blottir contre moi, et pour la première fois de ma vie, j’eus ces deux femmes nues dans mes bras, une épouse et une maîtresse pour moi tout seul.
Hélène resta avec nous tout le dimanche, je leur fis l’amour à toutes les deux, elles firent l’amour ensemble, ce fut en vérité un des plus beaux jours de ma vie. Au soir, notre amie dut partir, elle affirma qu’elle était heureuse avec nous, elle voulait que notre relation amoureuse et triangulaire n’en reste pas là. Elle promit de faire en sorte de nous revoir aussi souvent que possible, ensemble ou séparément. Je visais un rêve absolu, mais je ne savais pas si Maria vivait le même, c’était la seule ombre qui assombrissait mon paradis. Dès que nous fûmes seuls, je décidai d’affronter mon inquiétude :
- Hélène est vraiment une chouette fille.
- Je trouve aussi.
- Dis-moi, il s’était déjà passé quelque chose entre vous avant ce week-end ?
- Non, jamais, en fait je n’avais jamais eue envie de faire l’amour avec une femme, je ne m’intéressais qu’aux hommes.
- Tu as aimé le faire ?
- Oui, je m’étonne moi-même d’avoir aimé à ce point, je viens de découvrir que j’aime aussi les femmes.
- Jamais je n’aurais pensé qu’on pourrait un jour coucher avec la même fille.
- Moi non plus, mais c’est arrivé, et c’est magnifique.
- Tu es prête à recommencer ?
- J’ai envie de vivre cette aventure à trois, Hélène, toi et moi, c’est nouveau et c’est troublant. À dire vrai, je suis troublée par mes sentiments pour Hélène, avant je l’aimais comme on peut aimer sa meilleure amie, maintenant je suis physiquement attirée par elle. En plus, tu es là toi aussi, tu fais partie de notre relation.
- Crois moi que j’en suis ravi, pour une fois, tu ne me laisses pas sur le bas-côté de la route.
- Je ne t’ai jamais laissé de côté, mais je n’allais pas te faire tenir la chandelle à chaque fois que je voyais quelqu’un.
- Admettons ! Mais tu comprendras que je préfère notre relation commune avec Hélène que tes aventures avec Philippe.
- Moi aussi finalement.
- Je ne pense pas qu’Hélène te traite comme le fait ton amant, elle est plus sincère.
- Je le sais, et je ne sais plus trop où j’en suis avec Philippe, il m’a encore humiliée la nuit dernière.
- À sa décharge, avoue que tu t’éclates dans cette relation tordue.
- C’est la vérité, j’ai fait des folies à cause de lui, j’ai découvert des aspects du sexe que je n’imaginais même pas, mais c’est bon, j’arrête.
- Si ça pouvait être vrai !
- Je suis sincère, tu peux me croire. Mais attention, je n’ai pas dit que je ne coucherais plus jamais avec d’autres hommes, ni que je ne tromperais jamais plus, j’ai juste dit que j’arrêtais de faire la pute pour Philippe.
- Je n’en demande pas plus pour le moment. Je m’inquiète seulement qu’il ne te manque un jour et que tu finisses par revenir avec lui.
- Ça je ne crois pas, Hélène m’a ouvert les yeux et plus jamais je ne veux être la sous-merde de quelqu’un.
Je faillis pleurer de bonheur, j’avais retrouvé ma femme adorée. Je n’avais plus qu’une peur, celle d’un revirement de sa part. Mais grâce à Hélène, grâce aux sentiments qu’elles éprouvaient l’une pour l’autre, Maria s’épanouissait dans notre relation triangulaire. Nous ne voyions pas trop souvent, nos rencontres allaient au gré des aléas de nos vies respectives, au gré des absences de son mari, et c’était parfait. Nous nous entendions à merveille, ces deux bombes sexuelles réunies dans le même lit m’avaient transporté aux confins de la galaxie. Comme lors de notre dernière joute, j’avais successivement pénétré Maria et Hélène, elles avaient pris leur plaisir avec moi et sans moi, elles s’amusait de l’intensité de mon désir, elles se jouaient de moi et de mon érection douloureuse en me laissant en plan au pire moment, puis Hélène avait eu pitié de moi et avait fini par récolter ma semence au fond de son ventre. Elles me laissèrent un peu de répit puis se firent à nouveau coquines, elles me mangèrent tout cru, d’abord ma bouche, puis mes tétons, puis mon ventre et finalement mon sexe qu’elles avaient réussi à faire revivre. Leurs mains courraient sur moi, leurs langues s’enroulaient sur ma verge, leurs lèvres affolaient mon gland, leurs bouches aspiraient mes pensées et m’anéantissaient, leurs salives mêlées adoucissaient ces tortures si douces et si intenses. J’avais affaire à deux artistes, je savais qu’Hélène était une experte, je découvrais comment Maria l’égalait et la surpassait dans l’art consommé de faire durer le plaisir d’un homme. J’aurais oublié jusqu’à mon propre nom si elles avaient continué, elles avaient gagné, à dire vrai les femmes gagnent à chaque fois qu’elles le veulent, elles me soumirent à leur volonté, et ce fut seulement au moment où elles le décidèrent, après que j’eus maintes fois l’impression que les bourses allaient éclater, qu’elles me firent venir presque en claquant des doigts tellement cela leur fut facile. Ce fut un vrai déluge d’un liquide de feu, j’inondais le lit, leurs corps, leurs visages, elles en récoltèrent sur leurs langues, se léchèrent les seins, s’amusèrent de mon plaisir. Et moi, pauvre jouet entre leurs griffes de panthères, j’avais eu un des orgasmes les plus violents de toute ma vie.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Quand on est con on est con !!!! Comme dit la chanson !!!!

Histoire Libertine
Faire la pute qu'elle descende dans les quartiers ,dans les baraquements là ou les putes sont le cheptel de la mafia et elle comprendrai sa douleur !!!



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Histoire sexe : Une rose rouge
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