1er trio...ou presque
Récit érotique écrit par Plaisirdecouple3 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2018 dans la catégorie Plus on est
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1er trio...ou presque
1er trio
Après cette expérience de massage sensuel, les barrages de ma femme avaient bien cédé puisqu’elle avait accepté de se faire prendre devant moi par le jeune aide du masseur et qu’elle y avait pris du plaisir ! Pour être complet, j’appris même par hasard quelques semaines plus tard qu’elle continuait à le voir de temps à autre dans mon dos, ce que je n’appréciai pas vraiment puisque je la laissai libre d’avoir des amants, mais à condition de le savoir, d’autant plus que ça participait à mon excitation ! Après une discussion houleuse, elle reconnut avoir exagéré et promit de respecter nos arrangements. Elle avait donc deux amants, l’un de 25 et l’autre tout juste majeur. Mais il était difficile de dégager des créneaux pour les rencontrer, donc les rencontres étaient très espacées. Toutefois, le principal de cette histoire était qu’elle était clairement beaucoup plus coquine. J’avais toujours pensé qu’elle retenait ses envies et j’en avais la preuve ! Un autre barrage céda pendant nos vacances d’été. Rien n’avait été prémédité, ce qui était encore plus excitant. Nous étions pour deux semaines en Martinique dans une résidence plutôt sympa avec nos deux derniers enfants. Les vacances se passaient bien, plages, visites, voile. Elle fit le bonheur d’un voyeur une fois, nos enfants étaient dans l’eau, moi aussi d’ailleurs lorsqu’en retournant vers ma serviette, je vis qu’elle était tournée vers la forêt. Je m’installai à quelques mètres à l’ombre et m’aperçus qu’elle avait largement ouvert ses cuisses. Il me semblait qu’elle avait écarté son maillot, pour en avoir le cœur net, j’allai voir dans le chemin et vis un jeune qui se masturbait copieusement en la regardant. Occupé à sa tâche, il ne vit pas que je le regardai et il lâcha de copieux jets de sperme en direction de mon épouse, puis il remballa son sexe et lui envoya un baiser avant de partir l’air apaisé. Je rejoignis alors ma femme et l’interrogeai sur la scène que je venais de voir.
- « Ah, tu as vu ?
- Ben oui, raconte ?
- C’est un jeune qui passe souvent, avant-hier j’ai vu qu’il était en train de se masturber en me regardant, comme vous n’étiez pas là, je lui ai fait plaisir en me montrant un peu.
- C'est-à-dire ?
- J’ai écarté mon maillot pour lui montrer mon sexe, enfin il a surtout dû voir des poils ! Il a joui et m’a remercié, je pense qu’aujourd’hui il devait guetter le moment où vous alliez vous baigner, il est arrivé en me disant bonjour. J’ai répondu et il a sorti son sexe direct et s’est fait son petit plaisir !
- Tu deviens une vraie cochonne !
- La faute à qui ? »
Autant vous dire que le soir je la pris avec entrain en l’imaginant se faire baiser par le jeune. Les vacances s’écoulaient tranquillement, on revit le jeune une fois et ma femme lui ayant fait signe que c’était ok pour moi, leur petit rituel recommença ! Sauf que cette fois, je m’installai à ses côtés et la masturbai joyeusement pendant qu’il s’astiquait à quelques pas, il s’était approché très près. Elle jouit d’abord et lui après. Il ne restait que moi avec mon érection. Mais mon épouse me dit de me débrouiller. C’est peut-être là qu’elle prit conscience du fait qu’elle pouvait me dominer, mais ça c’est une autre histoire.
Trois jours avant le départ, nous étions au bord de la piscine de la résidence lorsque les jeunes animateurs passèrent pour recruter du monde pour un beach volley. Personnellement, je préfère le ballon ovale, donc je restai sur mon transat, mais ma femme fut sollicitée avec insistance et elle accepta. Elle revint quelques temps plus tard et me dit qu’elle avait été invitée par des animateurs à l’atelier punch du midi. Elle y alla, pour ma part, j’y allai seulement pour goûter et comparer les différentes mixtures. L’après midi nous allons à la plage et là, ma femme me dit qu’elle a été invitée par deux des jeunes animateurs pour la soirée antillaise du soir. Elle sait que la danse ce n’est pas mon truc, à part le pogo dans ma jeunesse ! Je lui demande si elle a envie d’y aller ? Visiblement, elle hésite, donc je dis ok pour nous deux, c’est comme avec les enfants, parfois, il faut se forcer un peu.
Le soir arrive, elle est sexy en robe légère, je lui demande de mettre un string au cas où. « Tu as des idées derrière la tête ? ». « Ils te plaisent les deux, non ? ». « Oui, plutôt pas mal, surtout Max, mais ils sont deux ! ». « Justement, c’est le moment d’envisager des trucs nouveaux ! A mon avis, ils veulent se taper une femme mûre ! ». «Tu crois ? On verra bien ! ». Nous y allons, la soirée passe, elle danse pas mal, les deux compères la collent, le rhum libère les envies, mais le mari est là ! Vers 2 heures du matin, la soirée se termine, question de règlement pour le bruit, ils nous proposent un dernier rhum chez eux, banco. Je propose à ma femme de les allumer, elle me dit à l’oreille que je suis un gros pervers, c’est peut-être vrai ! On s’installe dans leur (petit) appartement, elle s’assoit sur le sol, ce qui a pour effet immédiat d’offrir son string à la vue de nos deux coquins. Ils la dévorent des yeux, mais comme je suis là, la situation est bloquée. Finalement, je prétexte un mal de tête pour m’éclipser en précisant bien « Si tu veux rester, ma chérie, pas de soucis ». « D’accord, un dernier verre et je rentre, à toute ! ». Je pars avec une boule au ventre car je devine qu’il va se passer quelque chose, mais que je ne serai pas là, frustrant. Je rentre à notre appartement, mais je ne peux pas dormir, je décide d’y retourner. Lorsque j’arrive devant leur porte je me rends compte qu’ils ont peut-être fermé, mince ! Je tourne la poignée, gagné, trop occupés (j’imagine), ils ont laissé la porte ouverte après mon départ. Je pousse doucement, j’entends des bruits et là, je découvre ma femme à cheval sur le fameux Max qui lui pétrit les fesses. Elle porte encore son string, mais comme il y a déjà deux préservatifs remplis sur le sol, j’en conclue qu’ils l’ont baisée avec. L’autre est debout à côté d’elle et se fait sucer en commentant sa prestation « Vas-y, plus loin ! ». Il prend la tête de ma femme et lui fait faire des aller-retours sur sa queue « humm, c’est trop bon de baiser la bouche d’une femme mariée, tu avales ? » Elle fait non de la tête « tant pis, je garderai ma capote ». « Vas-y Max, fais la jouir cette salope, putain t’es bonne pour ton âge et avoir eu 4 enfants, on t’avait repéré depuis plusieurs jours, il fallait qu’on te saute ! » Quel bavard, il n’arrêtait pas, alors que ma femme a toujours détesté ça, mais avec moi ! On dit toujours qu’une femme se lâche plus avec son amant, pour la mienne, c’est vrai. En attendant, je regardai ce spectacle en essayant de rester discret, mais vu la taille de l’appartement, celui qui se faisait sucer, un certain Jerôme, m’aperçut ! Je vis son regard affolé, mais je fis signe de rien et de continuer. Il me fit ok de la main, mais du coup je lui avais coupé le sifflet ! Il se plaça alors au dessus de son copain pour se faire sucer, je l’avais en face, mais ma femme ne pouvait rien voir. Par contre, le dénommé Max ne pouvait pas me voir et c’est lui qui prit le relais «Suce le ma salope, fais le cracher encore, il pourra encore te baiser t’inquiète. J’aime te prendre, ton mari a de la chance, ta chatte est trop confortable ». Quand je pense que un an auparavant, ma femme ne suçait pas et que là elle suçait sans rechigner un mec qu’elle connaissait depuis quelques heures ! Je pensais à ce mari cocu avec qui j’avais échangé et dont la femme était devenue une vraie pompeuse de queues à 45 ans, la mienne avait le même âge et était sur la même voie ! Jerôme ne me voyait plus, il se concentrait sur son plaisir qui montait « Vas-y, je vais venir, hummm ça vient » et pendant qu’il éjaculait, il prit la tête de ma femme et la maintint collé contre son ventre. J’avais vu qu’il avait un préservatif, donc pas de sperme dans la bouche, il ne fallait pas sauter les étapes ! Il me fit signe ok avec un grand sourire et sortit sa queue de son préservatif pour le jeter, il bandait encore à moitié. Son pote coucha ma femme sur lui pour l’embrasser, dégageant bien son cul que son compère commença à caresser. Il me jeta un regard qui semblait dire « je peux lui mettre un doigt dans l’anus ? » Je fis signe que oui et il mouilla son majeur et après avoir écarté la ficelle du string, commença à titiller l’anus de ma femme qui devait être bien excitée car il s’ouvrit de suite. L’autre continuait à grands coups de queue, il lui ouvrait bien les fesses pour faciliter la pénétration des doigts de son partenaire. Je vis la main de ma femme se glisser sous le string, partir vers son clitoris, elle voulait jouir, ce qu’elle fit rapidement. Max, qui n’avait pas joui, arrêta de bouger et je vis le cul de ma femme se tortiller afin de faire comprendre à Jerôme de retirer son doigt, ce qu’il fit respectueusement. Puis il s’allongea à côté et enfila un autre préservatif et demanda à ma femme de venir sur lui. Elle l’enjamba, et là il lui demande d’enlever son string. « Humm, j’aime les chattes poilues, ça change, viens que je te lèche ». Elle posa son sexe sur son visage pendant que Max approchait sa queue de son visage. C’est seulement à ce moment que Max me vit, visiblement inquiet, mais il fut rassuré par mon sourire et mon pouce levé. Elle avala sa queue direct, quelle salope ! Après de longues minutes de succion, Jerôme lui demanda de venir sur lui. Elle glissa sa queue dans son sexe et Max s’installa à côté. Je décidai de ne plus me cacher et j’avançai dans la pièce, ma chérie me vit et ne dit rien, elle continua à s’empaler sur la queue de son amant tout en suçant son voisin. Ils la baisèrent alternativement, elle jouit plusieurs fois et pour finir ils se vidèrent en elle en levrette. Lorsque Max la baisait dans cette position, je m’approchai et j’embrassai ma femme pendant que son amant se vidait en elle, sensation très excitante. Nous restâmes quelque temps ainsi, puis nous discutâmes comme de vieilles connaissances, ma femme toujours nue, les deux jeunes aussi, ils se tripotaient un peu la queue, posaient leur main sur les cuisses de ma femme. Ils étaient étonnés par mon attitude, mais ils trouvaient très excitant de baiser une femme devant son mari. Leurs queues commençaient à reprendre de l’ampleur, ce que voyant ma femme leur dit de se calmer, qu’elle avait eu son compte. On se retrouva dans notre chambre, mais rien pour moi, madame était trop fatiguée ! Toutefois j’eu une grande surprise lorsque je lui dis :
- « Alors ce premier trio ? » Et là, je vis son visage embêté
- « Heu, en fait, ce n’est pas le premier.
- Pardon ?
- J’en avais déjà fait avec mon premier copain.
- …
- Je n’avais jamais osé t’en parler, de peur que tu me prennes pour une salope.
- Et combien de fois ?
- Une dizaine.
- Et toujours avec le même ?
- Non, avec trois ou quatre autres mecs, je ne m’en rappelle plus trop.
- Et ben bravo !
- C’était pour faire plaisir à mon copain de l’époque, il était très branché cul et ses copains me trouvaient à leur goût !
- Et tu avais aimé ?
- Franchement ? Pas vraiment, mais j’avais peur qu’il me largue et j’étais amoureuse.
- Si j’avais su !
- Mais j’ai arrêté lorsque je me suis rendu compte que je n’étais plus vraiment amoureuse, en plus, je te rappelle que c’est moi qui l’ai largué.
- Et là ?
- J’ai bien aimé, mais avec toi, c’est différent, je t’aime, on est marié depuis 22 ans, on a 4 enfants, j’ai confiance en toi et je sais que tu es très amoureux de moi et que tu penses d’abord à mon plaisir, et j’ai envie de te donner ce plaisir. Je vais être franche, c’était même très bon, j’ai eu beaucoup de plaisir, notamment quand Max a joui en moi pendant que tu m’embrassais, c’était très fort. »
Il était tard, enfin tôt, et on s’endormit vite, moi la tête pleine d’images et la queue tendue…
Le lever fut difficile le lendemain car la nuit avait été courte, toutefois j’eu le plaisir de pouvoir baiser ma cochonne et soulager cette grosse envie qui tenaillait mon sexe depuis des heures. Les deux derniers jours de vacances furent consacrés à la plage, on croisa une seule fois les jeunes baiseurs de mon épouse, mais le dernier soir nous allâmes au resto de la résidence pour ne pas faire de cuisine dans l’appartement, du coup nous eûmes droit à leur visite. Pour en avoir parlé avec ma femme, elle n’était pas contre recommencer, j’en fis part aux animateurs ravis qui nous donnèrent rendez-vous vers 23 heures. Pour donner le change aux enfants, nous rentrâmes à l’appartement vers 22 heures 30, puis nous ressortîmes, nous avions deux appartements, bien pratique du coup ! Ils nous attendaient et avaient déjà préparé le Tipunch traditionnel. L’ambiance était étrange, tout le monde savait que nous étions là pour une seule chose, mais le premier pas est toujours difficile, nous étions de « jeunes » libertins. Mon épouse portait une robe très courte et n’avait rien dessous, pas la peine de salir une culotte pour rien m’avait-elle dit ! Du coup, c’est moi qui lançai les hostilités. Je leur demandai ce qui les avait attiré chez elle, je leur proposai plusieurs réponses et ce sont ses fesses qui remportèrent les suffrages. Je la fis lever et soulevai sa robe pour leur montrer l’objet de leur convoitise. « Oh madame n’a pas de culotte ! Quel cul ! » s’exclama le dénommé Max. « Elle est à vous, mais on part demain, donc pas questions d’y passer la nuit ! » Ils se levèrent et l’entourèrent, la tripotant, Max l’embrassa, je voyais leurs langues se mélanger, Jerôme demanda aussi sa part. Sa robe fut très vite à terre et elle était nue au milieu de ses deux soupirants. Comme toujours pour moi, c’était toujours troublant de voir ma femme de 45 ans nue avec deux jeunes (20 et 22 ans). Ils se mirent à l’aise et je voyais leurs queues bien tendues toucher le ventre ou les hanches de Martine (ma femme). Ils avaient des sexes normaux, mais rasés, un truc de jeune. Celui de Jerôme était plus épais, d’ailleurs ma femme m’avait confié qu’il lui avait fait plus d’effet. « Tu les suces ? » dis-je, toujours aussi excité par le fait qu’elle fasse enfin des fellations. Elle s’agenouilla et les prit en bouche l’un après l’autre. Ils étaient ravis de voir cette belle femme qui aurait pu être leur mère s’appliquer à les sucer. Jérôme, toujours bavard, ne put s’empêcher de commenter. « Les femmes mûres sucent trop bien, c’est la première fois que je me fais une cougar, elle va me faire jouir ! » Je me gardai bien de lui dire qu’elle était en fait novice dans l’art de la fellation ! Pas la peine de couper son enthousiasme ! Elle lâcha leurs queues et leur dit « à mon tour ». Elle devenait vraiment plus cochonne ! Elle s’allongea et écarta généreusement ses cuisses et Max commença son travail. Jerôme avait toujours sa petite idée et lui présenta sa queue qu’elle avala sans barguigner. Je me doutais de ce qu’il avait en tête, mais ma femme continuait à le sucer avec application pendant que Max la léchait tout en la doigtant. Et ce qui devait arriver arriva, Jerôme brailla l’arrivée de sa jouissance, ma femme eut juste le temps de tourner sa tête et les jets de sperme arrosèrent sa joue et allèrent se perdre jusqu’à sa poitrine. Elle avait posé ses mains sur la tête de Max et lui collait contre son sexe, son bassin commençait à se soulever, l’orgasme était proche et elle jouit à son tour ! Max se releva, la queue tendue et avant de dire ouf, il la plongea dans la chatte de ma femme et il commença à la pilonner, je n’eus pas le temps de dire qu’il avait légèrement oublié le préservatif qu’il jouissait à son tour. Ils restèrent quelques temps l’un dans l’autre puis il sortit sa queue encore dure et la seule chose qu’il dit fut « oups, désolé, j’avais trop envie, j’ai oublié de mettre une capote, mais je suis sain, ne vous inquiétez pas ! » « Espérons, de toute façon, c’est fait ! » Martine n’avait pas l’air trop formalisé « j’ai besoin d’une douche les garçons ! » Ils la suivirent et l’aidèrent à se laver, ce qui évidemment ne fit que redonner vigueur à leurs queues. Dès leur retour, ce fut Jerôme qui eut le droit de s’introduire dans son sexe, sans capote, mais avec le devoir de se retirer dès que le besoin s’en ferait ressentir. Ma femme n’aime pas les préservatifs, elle me l’a toujours dit, donc je ne pouvais pas être surpris. Cette fois ci, il prit son temps pendant que son compère proposait sa queue à ma femme qui l’avala sans problème. Ils inversèrent plusieurs fois, ma femme comprit l’avantage d’avoir deux queues à sa disposition, ils se relayaient juste avant l’éjaculation et ainsi ça lui permit d’atteindre l’orgasme plusieurs fois. Les deux garçons jouirent dans sa toison, ils aimaient bien ses poils, ça les changeait ! Une bonne soirée en tout cas, qui pouvait me permettre d’en attendre d’autres de même intensité !
Après cette expérience de massage sensuel, les barrages de ma femme avaient bien cédé puisqu’elle avait accepté de se faire prendre devant moi par le jeune aide du masseur et qu’elle y avait pris du plaisir ! Pour être complet, j’appris même par hasard quelques semaines plus tard qu’elle continuait à le voir de temps à autre dans mon dos, ce que je n’appréciai pas vraiment puisque je la laissai libre d’avoir des amants, mais à condition de le savoir, d’autant plus que ça participait à mon excitation ! Après une discussion houleuse, elle reconnut avoir exagéré et promit de respecter nos arrangements. Elle avait donc deux amants, l’un de 25 et l’autre tout juste majeur. Mais il était difficile de dégager des créneaux pour les rencontrer, donc les rencontres étaient très espacées. Toutefois, le principal de cette histoire était qu’elle était clairement beaucoup plus coquine. J’avais toujours pensé qu’elle retenait ses envies et j’en avais la preuve ! Un autre barrage céda pendant nos vacances d’été. Rien n’avait été prémédité, ce qui était encore plus excitant. Nous étions pour deux semaines en Martinique dans une résidence plutôt sympa avec nos deux derniers enfants. Les vacances se passaient bien, plages, visites, voile. Elle fit le bonheur d’un voyeur une fois, nos enfants étaient dans l’eau, moi aussi d’ailleurs lorsqu’en retournant vers ma serviette, je vis qu’elle était tournée vers la forêt. Je m’installai à quelques mètres à l’ombre et m’aperçus qu’elle avait largement ouvert ses cuisses. Il me semblait qu’elle avait écarté son maillot, pour en avoir le cœur net, j’allai voir dans le chemin et vis un jeune qui se masturbait copieusement en la regardant. Occupé à sa tâche, il ne vit pas que je le regardai et il lâcha de copieux jets de sperme en direction de mon épouse, puis il remballa son sexe et lui envoya un baiser avant de partir l’air apaisé. Je rejoignis alors ma femme et l’interrogeai sur la scène que je venais de voir.
- « Ah, tu as vu ?
- Ben oui, raconte ?
- C’est un jeune qui passe souvent, avant-hier j’ai vu qu’il était en train de se masturber en me regardant, comme vous n’étiez pas là, je lui ai fait plaisir en me montrant un peu.
- C'est-à-dire ?
- J’ai écarté mon maillot pour lui montrer mon sexe, enfin il a surtout dû voir des poils ! Il a joui et m’a remercié, je pense qu’aujourd’hui il devait guetter le moment où vous alliez vous baigner, il est arrivé en me disant bonjour. J’ai répondu et il a sorti son sexe direct et s’est fait son petit plaisir !
- Tu deviens une vraie cochonne !
- La faute à qui ? »
Autant vous dire que le soir je la pris avec entrain en l’imaginant se faire baiser par le jeune. Les vacances s’écoulaient tranquillement, on revit le jeune une fois et ma femme lui ayant fait signe que c’était ok pour moi, leur petit rituel recommença ! Sauf que cette fois, je m’installai à ses côtés et la masturbai joyeusement pendant qu’il s’astiquait à quelques pas, il s’était approché très près. Elle jouit d’abord et lui après. Il ne restait que moi avec mon érection. Mais mon épouse me dit de me débrouiller. C’est peut-être là qu’elle prit conscience du fait qu’elle pouvait me dominer, mais ça c’est une autre histoire.
Trois jours avant le départ, nous étions au bord de la piscine de la résidence lorsque les jeunes animateurs passèrent pour recruter du monde pour un beach volley. Personnellement, je préfère le ballon ovale, donc je restai sur mon transat, mais ma femme fut sollicitée avec insistance et elle accepta. Elle revint quelques temps plus tard et me dit qu’elle avait été invitée par des animateurs à l’atelier punch du midi. Elle y alla, pour ma part, j’y allai seulement pour goûter et comparer les différentes mixtures. L’après midi nous allons à la plage et là, ma femme me dit qu’elle a été invitée par deux des jeunes animateurs pour la soirée antillaise du soir. Elle sait que la danse ce n’est pas mon truc, à part le pogo dans ma jeunesse ! Je lui demande si elle a envie d’y aller ? Visiblement, elle hésite, donc je dis ok pour nous deux, c’est comme avec les enfants, parfois, il faut se forcer un peu.
Le soir arrive, elle est sexy en robe légère, je lui demande de mettre un string au cas où. « Tu as des idées derrière la tête ? ». « Ils te plaisent les deux, non ? ». « Oui, plutôt pas mal, surtout Max, mais ils sont deux ! ». « Justement, c’est le moment d’envisager des trucs nouveaux ! A mon avis, ils veulent se taper une femme mûre ! ». «Tu crois ? On verra bien ! ». Nous y allons, la soirée passe, elle danse pas mal, les deux compères la collent, le rhum libère les envies, mais le mari est là ! Vers 2 heures du matin, la soirée se termine, question de règlement pour le bruit, ils nous proposent un dernier rhum chez eux, banco. Je propose à ma femme de les allumer, elle me dit à l’oreille que je suis un gros pervers, c’est peut-être vrai ! On s’installe dans leur (petit) appartement, elle s’assoit sur le sol, ce qui a pour effet immédiat d’offrir son string à la vue de nos deux coquins. Ils la dévorent des yeux, mais comme je suis là, la situation est bloquée. Finalement, je prétexte un mal de tête pour m’éclipser en précisant bien « Si tu veux rester, ma chérie, pas de soucis ». « D’accord, un dernier verre et je rentre, à toute ! ». Je pars avec une boule au ventre car je devine qu’il va se passer quelque chose, mais que je ne serai pas là, frustrant. Je rentre à notre appartement, mais je ne peux pas dormir, je décide d’y retourner. Lorsque j’arrive devant leur porte je me rends compte qu’ils ont peut-être fermé, mince ! Je tourne la poignée, gagné, trop occupés (j’imagine), ils ont laissé la porte ouverte après mon départ. Je pousse doucement, j’entends des bruits et là, je découvre ma femme à cheval sur le fameux Max qui lui pétrit les fesses. Elle porte encore son string, mais comme il y a déjà deux préservatifs remplis sur le sol, j’en conclue qu’ils l’ont baisée avec. L’autre est debout à côté d’elle et se fait sucer en commentant sa prestation « Vas-y, plus loin ! ». Il prend la tête de ma femme et lui fait faire des aller-retours sur sa queue « humm, c’est trop bon de baiser la bouche d’une femme mariée, tu avales ? » Elle fait non de la tête « tant pis, je garderai ma capote ». « Vas-y Max, fais la jouir cette salope, putain t’es bonne pour ton âge et avoir eu 4 enfants, on t’avait repéré depuis plusieurs jours, il fallait qu’on te saute ! » Quel bavard, il n’arrêtait pas, alors que ma femme a toujours détesté ça, mais avec moi ! On dit toujours qu’une femme se lâche plus avec son amant, pour la mienne, c’est vrai. En attendant, je regardai ce spectacle en essayant de rester discret, mais vu la taille de l’appartement, celui qui se faisait sucer, un certain Jerôme, m’aperçut ! Je vis son regard affolé, mais je fis signe de rien et de continuer. Il me fit ok de la main, mais du coup je lui avais coupé le sifflet ! Il se plaça alors au dessus de son copain pour se faire sucer, je l’avais en face, mais ma femme ne pouvait rien voir. Par contre, le dénommé Max ne pouvait pas me voir et c’est lui qui prit le relais «Suce le ma salope, fais le cracher encore, il pourra encore te baiser t’inquiète. J’aime te prendre, ton mari a de la chance, ta chatte est trop confortable ». Quand je pense que un an auparavant, ma femme ne suçait pas et que là elle suçait sans rechigner un mec qu’elle connaissait depuis quelques heures ! Je pensais à ce mari cocu avec qui j’avais échangé et dont la femme était devenue une vraie pompeuse de queues à 45 ans, la mienne avait le même âge et était sur la même voie ! Jerôme ne me voyait plus, il se concentrait sur son plaisir qui montait « Vas-y, je vais venir, hummm ça vient » et pendant qu’il éjaculait, il prit la tête de ma femme et la maintint collé contre son ventre. J’avais vu qu’il avait un préservatif, donc pas de sperme dans la bouche, il ne fallait pas sauter les étapes ! Il me fit signe ok avec un grand sourire et sortit sa queue de son préservatif pour le jeter, il bandait encore à moitié. Son pote coucha ma femme sur lui pour l’embrasser, dégageant bien son cul que son compère commença à caresser. Il me jeta un regard qui semblait dire « je peux lui mettre un doigt dans l’anus ? » Je fis signe que oui et il mouilla son majeur et après avoir écarté la ficelle du string, commença à titiller l’anus de ma femme qui devait être bien excitée car il s’ouvrit de suite. L’autre continuait à grands coups de queue, il lui ouvrait bien les fesses pour faciliter la pénétration des doigts de son partenaire. Je vis la main de ma femme se glisser sous le string, partir vers son clitoris, elle voulait jouir, ce qu’elle fit rapidement. Max, qui n’avait pas joui, arrêta de bouger et je vis le cul de ma femme se tortiller afin de faire comprendre à Jerôme de retirer son doigt, ce qu’il fit respectueusement. Puis il s’allongea à côté et enfila un autre préservatif et demanda à ma femme de venir sur lui. Elle l’enjamba, et là il lui demande d’enlever son string. « Humm, j’aime les chattes poilues, ça change, viens que je te lèche ». Elle posa son sexe sur son visage pendant que Max approchait sa queue de son visage. C’est seulement à ce moment que Max me vit, visiblement inquiet, mais il fut rassuré par mon sourire et mon pouce levé. Elle avala sa queue direct, quelle salope ! Après de longues minutes de succion, Jerôme lui demanda de venir sur lui. Elle glissa sa queue dans son sexe et Max s’installa à côté. Je décidai de ne plus me cacher et j’avançai dans la pièce, ma chérie me vit et ne dit rien, elle continua à s’empaler sur la queue de son amant tout en suçant son voisin. Ils la baisèrent alternativement, elle jouit plusieurs fois et pour finir ils se vidèrent en elle en levrette. Lorsque Max la baisait dans cette position, je m’approchai et j’embrassai ma femme pendant que son amant se vidait en elle, sensation très excitante. Nous restâmes quelque temps ainsi, puis nous discutâmes comme de vieilles connaissances, ma femme toujours nue, les deux jeunes aussi, ils se tripotaient un peu la queue, posaient leur main sur les cuisses de ma femme. Ils étaient étonnés par mon attitude, mais ils trouvaient très excitant de baiser une femme devant son mari. Leurs queues commençaient à reprendre de l’ampleur, ce que voyant ma femme leur dit de se calmer, qu’elle avait eu son compte. On se retrouva dans notre chambre, mais rien pour moi, madame était trop fatiguée ! Toutefois j’eu une grande surprise lorsque je lui dis :
- « Alors ce premier trio ? » Et là, je vis son visage embêté
- « Heu, en fait, ce n’est pas le premier.
- Pardon ?
- J’en avais déjà fait avec mon premier copain.
- …
- Je n’avais jamais osé t’en parler, de peur que tu me prennes pour une salope.
- Et combien de fois ?
- Une dizaine.
- Et toujours avec le même ?
- Non, avec trois ou quatre autres mecs, je ne m’en rappelle plus trop.
- Et ben bravo !
- C’était pour faire plaisir à mon copain de l’époque, il était très branché cul et ses copains me trouvaient à leur goût !
- Et tu avais aimé ?
- Franchement ? Pas vraiment, mais j’avais peur qu’il me largue et j’étais amoureuse.
- Si j’avais su !
- Mais j’ai arrêté lorsque je me suis rendu compte que je n’étais plus vraiment amoureuse, en plus, je te rappelle que c’est moi qui l’ai largué.
- Et là ?
- J’ai bien aimé, mais avec toi, c’est différent, je t’aime, on est marié depuis 22 ans, on a 4 enfants, j’ai confiance en toi et je sais que tu es très amoureux de moi et que tu penses d’abord à mon plaisir, et j’ai envie de te donner ce plaisir. Je vais être franche, c’était même très bon, j’ai eu beaucoup de plaisir, notamment quand Max a joui en moi pendant que tu m’embrassais, c’était très fort. »
Il était tard, enfin tôt, et on s’endormit vite, moi la tête pleine d’images et la queue tendue…
Le lever fut difficile le lendemain car la nuit avait été courte, toutefois j’eu le plaisir de pouvoir baiser ma cochonne et soulager cette grosse envie qui tenaillait mon sexe depuis des heures. Les deux derniers jours de vacances furent consacrés à la plage, on croisa une seule fois les jeunes baiseurs de mon épouse, mais le dernier soir nous allâmes au resto de la résidence pour ne pas faire de cuisine dans l’appartement, du coup nous eûmes droit à leur visite. Pour en avoir parlé avec ma femme, elle n’était pas contre recommencer, j’en fis part aux animateurs ravis qui nous donnèrent rendez-vous vers 23 heures. Pour donner le change aux enfants, nous rentrâmes à l’appartement vers 22 heures 30, puis nous ressortîmes, nous avions deux appartements, bien pratique du coup ! Ils nous attendaient et avaient déjà préparé le Tipunch traditionnel. L’ambiance était étrange, tout le monde savait que nous étions là pour une seule chose, mais le premier pas est toujours difficile, nous étions de « jeunes » libertins. Mon épouse portait une robe très courte et n’avait rien dessous, pas la peine de salir une culotte pour rien m’avait-elle dit ! Du coup, c’est moi qui lançai les hostilités. Je leur demandai ce qui les avait attiré chez elle, je leur proposai plusieurs réponses et ce sont ses fesses qui remportèrent les suffrages. Je la fis lever et soulevai sa robe pour leur montrer l’objet de leur convoitise. « Oh madame n’a pas de culotte ! Quel cul ! » s’exclama le dénommé Max. « Elle est à vous, mais on part demain, donc pas questions d’y passer la nuit ! » Ils se levèrent et l’entourèrent, la tripotant, Max l’embrassa, je voyais leurs langues se mélanger, Jerôme demanda aussi sa part. Sa robe fut très vite à terre et elle était nue au milieu de ses deux soupirants. Comme toujours pour moi, c’était toujours troublant de voir ma femme de 45 ans nue avec deux jeunes (20 et 22 ans). Ils se mirent à l’aise et je voyais leurs queues bien tendues toucher le ventre ou les hanches de Martine (ma femme). Ils avaient des sexes normaux, mais rasés, un truc de jeune. Celui de Jerôme était plus épais, d’ailleurs ma femme m’avait confié qu’il lui avait fait plus d’effet. « Tu les suces ? » dis-je, toujours aussi excité par le fait qu’elle fasse enfin des fellations. Elle s’agenouilla et les prit en bouche l’un après l’autre. Ils étaient ravis de voir cette belle femme qui aurait pu être leur mère s’appliquer à les sucer. Jérôme, toujours bavard, ne put s’empêcher de commenter. « Les femmes mûres sucent trop bien, c’est la première fois que je me fais une cougar, elle va me faire jouir ! » Je me gardai bien de lui dire qu’elle était en fait novice dans l’art de la fellation ! Pas la peine de couper son enthousiasme ! Elle lâcha leurs queues et leur dit « à mon tour ». Elle devenait vraiment plus cochonne ! Elle s’allongea et écarta généreusement ses cuisses et Max commença son travail. Jerôme avait toujours sa petite idée et lui présenta sa queue qu’elle avala sans barguigner. Je me doutais de ce qu’il avait en tête, mais ma femme continuait à le sucer avec application pendant que Max la léchait tout en la doigtant. Et ce qui devait arriver arriva, Jerôme brailla l’arrivée de sa jouissance, ma femme eut juste le temps de tourner sa tête et les jets de sperme arrosèrent sa joue et allèrent se perdre jusqu’à sa poitrine. Elle avait posé ses mains sur la tête de Max et lui collait contre son sexe, son bassin commençait à se soulever, l’orgasme était proche et elle jouit à son tour ! Max se releva, la queue tendue et avant de dire ouf, il la plongea dans la chatte de ma femme et il commença à la pilonner, je n’eus pas le temps de dire qu’il avait légèrement oublié le préservatif qu’il jouissait à son tour. Ils restèrent quelques temps l’un dans l’autre puis il sortit sa queue encore dure et la seule chose qu’il dit fut « oups, désolé, j’avais trop envie, j’ai oublié de mettre une capote, mais je suis sain, ne vous inquiétez pas ! » « Espérons, de toute façon, c’est fait ! » Martine n’avait pas l’air trop formalisé « j’ai besoin d’une douche les garçons ! » Ils la suivirent et l’aidèrent à se laver, ce qui évidemment ne fit que redonner vigueur à leurs queues. Dès leur retour, ce fut Jerôme qui eut le droit de s’introduire dans son sexe, sans capote, mais avec le devoir de se retirer dès que le besoin s’en ferait ressentir. Ma femme n’aime pas les préservatifs, elle me l’a toujours dit, donc je ne pouvais pas être surpris. Cette fois ci, il prit son temps pendant que son compère proposait sa queue à ma femme qui l’avala sans problème. Ils inversèrent plusieurs fois, ma femme comprit l’avantage d’avoir deux queues à sa disposition, ils se relayaient juste avant l’éjaculation et ainsi ça lui permit d’atteindre l’orgasme plusieurs fois. Les deux garçons jouirent dans sa toison, ils aimaient bien ses poils, ça les changeait ! Une bonne soirée en tout cas, qui pouvait me permettre d’en attendre d’autres de même intensité !
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Les choses évoluent dans le sens voulu par le mari
Très bonne histoire, bien écrite.
Tu es un mari formidable mais tu aurais pu participer également.
Mama Mia..... Quelle évolution... Cette femme se libère et vous avez l'air d'adorer !!!!!!et nous aussi pauvres lecteurs... Imaginant votre femme mûre et devenue si vicieuse... En notre compagnie.....
Oh j'imagine l'intensité de l'orgasme en injectant sa semence de mâle au plus profond de votre belle épouse pendant que vous l'embrassez !!!! Le pied pour vous... Pour elle... Pour l'amant....
Merci encore...
Oh j'imagine l'intensité de l'orgasme en injectant sa semence de mâle au plus profond de votre belle épouse pendant que vous l'embrassez !!!! Le pied pour vous... Pour elle... Pour l'amant....
Merci encore...
Très belle histoire, j'espère qu'elle va continuer à évoluer. Moi j'adore aller lécher ma femme pleine de sperme de ses amants.
A très vite.
Des bisous
A très vite.
Des bisous