1ère nuit avec mon gendre 4
Récit érotique écrit par Belle-Mère [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
1ère nuit avec mon gendre 4
Il fallut annoncer à nos deux filles notre intention de cohabiter, avant qu’elles, le reste de nos familles et nos amis en soient progressivement informés. J’étais très troublée et mal à l’aise à l’idée de nous présenter en couple : la veuve joyeuse, encore belle mais très mure en couple avec son gendre divorcé, mur et fringant… La cougar et l’étalon, la « Granny I would Like to Fuck » (Paul m’avait appris ce terme lors de nos longues discussions) avec son propre gendre… J’étais contrariée de cette annonce mais j’avais tellement envie d’être avec Paul, son amour, sa présence, son désir de moi pour la dernière partie de ma vie.
Aussi, j’organisai un déjeuner chez moi à quatre. Dés l’apéritif, j’annonçai la couleur :
- Les filles, maintenant que des pages ont tournées, toi Florence tu as finalisé ton divorce avec Paul, et moi qui suis seule, je voulais vous dire que Paul et moi avons une amitié qui s’est renforcée. J’ai de la chance de l’avoir pour échanger et il me rend bien des services. Nous envisageons qu’il vienne habiter de temps en temps ici chez moi dans l’ancienne chambre de Sandrine (la sœur de Florence). Cela nous permettra de nous voir le plus souvent possible.
Les filles ne furent pas spécialement surprises car elles avaient constaté notre affection. J’étais heureuse d’avoir osé faire cette annonce et pris le soin d’édulcorer la force nouvelle de notre liaison.
Soulagée par l’absence de réaction de Florence, je me détendis pour le reste du repas. Je songeai même à Paul dont le sexe était emprisonné dans sa cage de chasteté. Il m’aidait considérablement pour le service, se montrait agréable et doux, un vrai petit serviteur personnel. Dans la cuisine, je passais ma main sur sa braguette et palpais le boitier, heureuse de le sentir à moi.
Lorsque le repas prit fin, nous restâmes tous les deux. Nous nous enlaçâmes et nos baisers furent encore plus passionnés que jamais. Je me blottissais contre lui, mon excitation montait alors que je l’embrassais à pleine bouche. Nous finîmes sur mon lit :
- Annette, je t’aime à la folie, je suis si heureux de pouvoir vivre avec toi, je veux te rendre également heureuse.
- Déshabillons-nous et passons sous les draps. Garde ta cage STP. Caresse-moi où tu veux, c’est si bon.
Sa bouche et ses mains étaient partout. Je lui livrai mon intimité. Je fus choquée quand je sentis sa langue se poser sur mon anus, et je me raidis quelques secondes avant de laisser les vannes de son désir s’ouvrir et me submerger. J’aimais qu’il suce mes tétons (j’ai une petite poitrine 85B pour vous donner une idée), qu’il caresse mes jambes, mes fesses, qu’il embrasse goulument ma vieille chatte, s’éternise délicatement aux abords de mon clitoris, puis viennent m’embrasser avec mes propres odeurs intimes…. Je jouis plusieurs fois cet après-midi, tremblante, échevelée, mouillée de nos lubrifiants, surprise et ravie. Je tombai vraiment amoureuse de lui. Il serait à moi exclusivement et pour toujours. Bien que jouant avec sa cage et le sentant « au bord », je ne l’autorisai pas à jouir. Par la suite, il se confia néanmoins:
- Je dois quand même te dire que j’ai une grosse libido. Je me masturbe souvent et je regarde du porno tous les jours. J’espère ne pas te choquer, mais je suis un homme en pleine santé et j’ai de gros besoins. Cela dit, je veux te plaire, te faire plaisir, et je suis prêt à me conformer à tes souhaits. En fait, j’aimerais que tu décides quand je peux avoir du plaisir.
- Tu risques d’entrer dans une sorte de frustration avec moi car je n’aime pas que tu regardes d’autres femmes et que tu passes du temps sur du porno, je ne suis pas intéressée par le sexe autant que toi.
- Je le comprends et l’accepte : te tenir dans mes bras et t’embrasser est déjà une énorme récompense. Il faut aussi que je t’avoue aimer la lingerie. Pas seulement celle que les femmes portent. J’en porte aussi au quotidien.
- Quoi ? c’est nouveau ? pourquoi fais-tu cela ? Florence savait que tu avais ce goût-là ?
- J’ai toujours aimé porter des petites culottes. Oui ta fille savait et me laissait faire. J’espère que tu n’es pas trop choquée.
Je ne répondis pas. Je me dis qu’il faudrait que j’écrive une sorte de contrat qui résume mes exigences de vie en couple, sur lequel Paul s’engage avant qu’il ne déménage. J’allai chercher les clés de sa cage là où je les avais cachées à la cave. Comme ce n’était pas pratique, je décidai de les cacher plus tard dans ma commode.
- Il est temps de prendre une douche. Tiens, voici les clés pour ta toilette, mais je regarde comment tu te dé-vérouilles et te laves. Tu remettras ta cage ensuite.
Quand je le vis propre et encore nu, son sexe se gonflant sans le tube de la cage, je m’agenouillai dans la douche et engloutis son gland dans ma bouche de belle-mère devenue un peu fofolle. Je tenais ses testicules d’une main, et entrepris de sucer son membre qui se déployait sans contrainte. Ma langue et mes lèvres goutaient avec curiosité et plaisir aux replis de son gland. J’adorais sentir son désir palpiter dans ma bouche et je pressai ses couilles jusqu’à ce qu’il gémisse de douleur. Ca faisait si longtemps que je n’avais pas sucer un mâle…Je me retins lorsque je le sentis au bord d’éjaculer. Je n’avais pas envie de sperme et je voulais maintenir son désir pour moi.
- Débrouilles-toi pour rentrer tout cela dans ta cage, donne-moi les clés et allez ouste, rhabille-toi . Va chercher quelques affaires parce que je voudrais passer ma 1ère nuit avec toi. Prends une de tes petites culottes si ça t’amuse. A moins que tu acceptes que je te prête une nuisette en coton ?
Il accepta, tout heureux de rester et de s’habiller avec ma lingerie de nuit. Nous dinâmes ainsi : moi habillée, lui en nuisette et en cage. Ca m’amusait beaucoup.
Nous dormîmes enlacés. Il me confia que son sexe, comprimé dans sa cage, l’avait réveillé très tôt.
J’étais heureuse d’avoir joui, de pouvoir vivre avec Paul et de le maintenir en état de manque sexuel alors même qu’il m’avait satisfaite : c’était bon de « tenir » son homme.
Le lendemain matin, il partit chez lui se changer avant d’aller à son travail. Je l’interrogeai sur l’efficacité de la cage de chasteté :
- Tu as joui l’autre jour alors que tu portais ta « boite » : elle n’est donc pas efficace ?
- Mon amour (c’est la 1ère fois qu’il m’appelait ainsi) c’est la 1ère fois que je parviens à jouir alors que je suis encagé. Je mets cela sur le compte de mon excitation extrême pour toi. Je te rassure : la cage m’empêche bien de me toucher et de jouir.
Je suis une femme très jalouse et j’étais satisfaite qu’il ne puisse avoir une érection, qu’il ne puisse se masturber et jouir, je le laissais partir. Je voulais être le centre de toute son attention.
Aussi, j’organisai un déjeuner chez moi à quatre. Dés l’apéritif, j’annonçai la couleur :
- Les filles, maintenant que des pages ont tournées, toi Florence tu as finalisé ton divorce avec Paul, et moi qui suis seule, je voulais vous dire que Paul et moi avons une amitié qui s’est renforcée. J’ai de la chance de l’avoir pour échanger et il me rend bien des services. Nous envisageons qu’il vienne habiter de temps en temps ici chez moi dans l’ancienne chambre de Sandrine (la sœur de Florence). Cela nous permettra de nous voir le plus souvent possible.
Les filles ne furent pas spécialement surprises car elles avaient constaté notre affection. J’étais heureuse d’avoir osé faire cette annonce et pris le soin d’édulcorer la force nouvelle de notre liaison.
Soulagée par l’absence de réaction de Florence, je me détendis pour le reste du repas. Je songeai même à Paul dont le sexe était emprisonné dans sa cage de chasteté. Il m’aidait considérablement pour le service, se montrait agréable et doux, un vrai petit serviteur personnel. Dans la cuisine, je passais ma main sur sa braguette et palpais le boitier, heureuse de le sentir à moi.
Lorsque le repas prit fin, nous restâmes tous les deux. Nous nous enlaçâmes et nos baisers furent encore plus passionnés que jamais. Je me blottissais contre lui, mon excitation montait alors que je l’embrassais à pleine bouche. Nous finîmes sur mon lit :
- Annette, je t’aime à la folie, je suis si heureux de pouvoir vivre avec toi, je veux te rendre également heureuse.
- Déshabillons-nous et passons sous les draps. Garde ta cage STP. Caresse-moi où tu veux, c’est si bon.
Sa bouche et ses mains étaient partout. Je lui livrai mon intimité. Je fus choquée quand je sentis sa langue se poser sur mon anus, et je me raidis quelques secondes avant de laisser les vannes de son désir s’ouvrir et me submerger. J’aimais qu’il suce mes tétons (j’ai une petite poitrine 85B pour vous donner une idée), qu’il caresse mes jambes, mes fesses, qu’il embrasse goulument ma vieille chatte, s’éternise délicatement aux abords de mon clitoris, puis viennent m’embrasser avec mes propres odeurs intimes…. Je jouis plusieurs fois cet après-midi, tremblante, échevelée, mouillée de nos lubrifiants, surprise et ravie. Je tombai vraiment amoureuse de lui. Il serait à moi exclusivement et pour toujours. Bien que jouant avec sa cage et le sentant « au bord », je ne l’autorisai pas à jouir. Par la suite, il se confia néanmoins:
- Je dois quand même te dire que j’ai une grosse libido. Je me masturbe souvent et je regarde du porno tous les jours. J’espère ne pas te choquer, mais je suis un homme en pleine santé et j’ai de gros besoins. Cela dit, je veux te plaire, te faire plaisir, et je suis prêt à me conformer à tes souhaits. En fait, j’aimerais que tu décides quand je peux avoir du plaisir.
- Tu risques d’entrer dans une sorte de frustration avec moi car je n’aime pas que tu regardes d’autres femmes et que tu passes du temps sur du porno, je ne suis pas intéressée par le sexe autant que toi.
- Je le comprends et l’accepte : te tenir dans mes bras et t’embrasser est déjà une énorme récompense. Il faut aussi que je t’avoue aimer la lingerie. Pas seulement celle que les femmes portent. J’en porte aussi au quotidien.
- Quoi ? c’est nouveau ? pourquoi fais-tu cela ? Florence savait que tu avais ce goût-là ?
- J’ai toujours aimé porter des petites culottes. Oui ta fille savait et me laissait faire. J’espère que tu n’es pas trop choquée.
Je ne répondis pas. Je me dis qu’il faudrait que j’écrive une sorte de contrat qui résume mes exigences de vie en couple, sur lequel Paul s’engage avant qu’il ne déménage. J’allai chercher les clés de sa cage là où je les avais cachées à la cave. Comme ce n’était pas pratique, je décidai de les cacher plus tard dans ma commode.
- Il est temps de prendre une douche. Tiens, voici les clés pour ta toilette, mais je regarde comment tu te dé-vérouilles et te laves. Tu remettras ta cage ensuite.
Quand je le vis propre et encore nu, son sexe se gonflant sans le tube de la cage, je m’agenouillai dans la douche et engloutis son gland dans ma bouche de belle-mère devenue un peu fofolle. Je tenais ses testicules d’une main, et entrepris de sucer son membre qui se déployait sans contrainte. Ma langue et mes lèvres goutaient avec curiosité et plaisir aux replis de son gland. J’adorais sentir son désir palpiter dans ma bouche et je pressai ses couilles jusqu’à ce qu’il gémisse de douleur. Ca faisait si longtemps que je n’avais pas sucer un mâle…Je me retins lorsque je le sentis au bord d’éjaculer. Je n’avais pas envie de sperme et je voulais maintenir son désir pour moi.
- Débrouilles-toi pour rentrer tout cela dans ta cage, donne-moi les clés et allez ouste, rhabille-toi . Va chercher quelques affaires parce que je voudrais passer ma 1ère nuit avec toi. Prends une de tes petites culottes si ça t’amuse. A moins que tu acceptes que je te prête une nuisette en coton ?
Il accepta, tout heureux de rester et de s’habiller avec ma lingerie de nuit. Nous dinâmes ainsi : moi habillée, lui en nuisette et en cage. Ca m’amusait beaucoup.
Nous dormîmes enlacés. Il me confia que son sexe, comprimé dans sa cage, l’avait réveillé très tôt.
J’étais heureuse d’avoir joui, de pouvoir vivre avec Paul et de le maintenir en état de manque sexuel alors même qu’il m’avait satisfaite : c’était bon de « tenir » son homme.
Le lendemain matin, il partit chez lui se changer avant d’aller à son travail. Je l’interrogeai sur l’efficacité de la cage de chasteté :
- Tu as joui l’autre jour alors que tu portais ta « boite » : elle n’est donc pas efficace ?
- Mon amour (c’est la 1ère fois qu’il m’appelait ainsi) c’est la 1ère fois que je parviens à jouir alors que je suis encagé. Je mets cela sur le compte de mon excitation extrême pour toi. Je te rassure : la cage m’empêche bien de me toucher et de jouir.
Je suis une femme très jalouse et j’étais satisfaite qu’il ne puisse avoir une érection, qu’il ne puisse se masturber et jouir, je le laissais partir. Je voulais être le centre de toute son attention.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonsoir Madame,
Merci pour cette nouvelle étape. Votre nouveau compagnon va beaucoup souffrir de plaisir à vos côtés et nous apprécier vos récits
Merci
Thallium
Merci pour cette nouvelle étape. Votre nouveau compagnon va beaucoup souffrir de plaisir à vos côtés et nous apprécier vos récits
Merci
Thallium