2 histoires de fessées
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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2 histoires de fessées
Et voici enfin, le dernier texte ! - J'ai retrouvé dans mes archives quelques-uns de mes premiers et vieux textes inédits que j'avais écrit il y a bien longtemps, alors je vous les propose en ''hors série'' ! - 2 histoires de fessées -
LA FESSEE DE MARIE -
Je suis Maître Jacques invité d’honneur du Marquis d’Evans dans son immense château. Et à ce titre le Maître des lieux me donne plein pouvoir sur ses soumises et soumis durant mon séjour. Et justement pendant celui-ci, un matin, alors que je rentrais dans la cuisine du Château pour la visiter, je trouvai une de ses soumises, Marie, penchée en avant, ramassant les morceaux d'un verre qu'elle venait de laisser tomber. Elle était vêtue d'un chemisier et d'une jupe courte qui, dans la position où elle était, laissait entrevoir le début de ses fesses, ce qui me donna des idées on ne peut plus salaces. M'approchant d'elle, alors qu'elle venait de se redresser, je l'embrassai légèrement sur ses lèvres et, tout en caressant ses fesses, je lui dis sèchement sur un ton de reproche:
- Casser la luxueuse vaisselle du Château, le Marquis ne sera pas content du tout, cela mérite au moins une fessée !
Intimidée, fautive et en balbutiant, elle me répondit craintivement :
- Je n’ai pas fait exprès, ce verre de cristal est tombé et…
- Silence, j’ai dit que cela mérite au moins une fessée !
- Heu…Si… Si vous pensez que je le mérite, Maître, alors punissez-moi !
Cet accord tacite me fit brutalement bander et, la penchant en avant pour bien dégager ses fesses, je soulevais sa jupe, et commençai à la fesser, d'abord doucement et en me limitant aux zones recouvertes par sa culotte. Progressivement, j'appuyai mes coups en commençant à claquer sa peau nue. À un moment, Marie poussa un cri et je lui demandai si elle souhaitais que je m'arrête . Elle me répondit :
- Non, au contraire, allez-y plus fort, Maître, je dois payer la vaisselle cassée.
Je baissai alors sa culotte et frappai alternativement, de plus en plus fort ses fesses qui, sous les coups, devenaient cramoisies. À chaque coup, Marie poussais un cri mais ne voulais toujours pas refuser la correction. M'arrêtant, je passai mes doigts dans sa fente et me rendis compte qu'elle était toute mouillée, témoignant de son excitation. Je décidai d'aller plus loin dans la correction. Je redressai Marie et lui demandai de maintenir sa jupe soulevée, debout. Puis, j'enlevais ma ceinture et commençais à la fouetter, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que chaque coup de ceinture marque ses fesses d'une traînée rouge, accompagnée d'un cri et d'un mouvement de recul. Je m'arrêtai, vérifiai que sa fente étais toujours aussi émoustillée, puis j’enlevaisa culotte à terre, en fit un chiffon serré dans ma poigne de ma main et je l'enfonçai dans sa bouche afin que ses cris ne réveillent pas tout le Château.
Puis je dégrafai sa jupe et lui demandai d'écarter les jambes. Je recommençai alors à la fouetter, en accentuant bien mes coups, d'abord sur ses fesses déjà bien striées, puis sur ses cuisses. Pour chaque nouveau coup, elle poussait un gémissement étouffé par le bâillon, et je lui redemandais si elle voulait que je m'arrête. Devant son mouvement de tête négatif, je continuai alors la correction en portant mes coups, d'abord à l'intérieur de ses cuisses, puis sur son sexe, la ceinture allant claquer son pubis. Au premier coup, elle resserra ses jambes, puis les écarta à nouveau, encore plus qu'auparavant, m'invitant à continuer, ce que je fis de bon cœur. À mesure que les coups pleuvaient, elle faisait un bond mais maintenait ses jambes écartées, attendant les prochains coups.
Après avoir fouetté son entrejambe pendant plusieurs minutes, je stoppai et lui enlevai son bâillon, puis baissant mon pantalon, je pénétrai d'un coup sa chatte toute trempée, ce qui la fit gémir, non plus de douleur, mais de plaisir. Après quelques mouvements de va-et-vient profonds et amples, je la penchai en avant et, me positionnant devant son anus, je la sodomisai aussi brutalement, et m'enfonçai jusqu'à la garde dans son cul. Elle poussa un cri puis commença à bouger d'avant en arrière, pendant que ma main, tenant toujours sa culotte humidifiée par ses sécrétions vaginales et sa salive, alla branler son clitoris. Je la pistonnai de plus en plus rapidement, réveillant des cris mêlés de plaisir et de douleur, alors que j'enfonçai toute sa culotte puis quatre doigts dans son vagin largement ouvert. Brutalement je déchargeai dans son cul, alors qu'elle atteignait l'orgasme en poussant de longs gémissements et en plaquant ma main aussi loin que possible dans sa chatte.
Une fois calmée, je me retirai et, alors qu'elle était toujours penchée en avant, je la contournai et lui donnai ma queue encore raide et pleine de foutre à nettoyer, ce qu'elle fit sans recul. Parallèlement, je retirai sa culotte de sa chatte et nettoyai son anus largement ouvert qui laissa échapper quelques traces de sperme.
Marie se souviendra longtemps de sa punition et moi de mon séjour au château…. Et je remercie le Marquis d’Evans de son hospitalité …------------------------------
LA FESSEE DE LA NOUVELLE BONNE -
Le château des Evans, est situé en pleine campagne et il faut vraiment avoir envie d’y venir travailler, la demeure étant assez isolée, loin des villes. C’est un vieux bâtiment de pierres du seizième siècle, aux parquets cirés, aux grandes fenêtres, aux salles hautes, aux longs couloirs, où tentures, tableaux et lustres abondent. Tout semblait calme dans cette vieille bâtisse. L’hiver, la neige en cette fin d’après midi de décembre… En plus, le vieux bâtiment est mal chauffé… trop grand pour tout chauffer….
Emma la nouvelle bonne, embauchée par Sir Evans par petites annonces, était heureuse d’avoir enfin un emploi, cet emploi, elle, au chômage. Elle venait d’avoir ses 22 ans… Il était dix-sept heures quand Sir Evans la convoqua dans son bureau pour les formalités d’embauche. Elle frappait donc doucement à la haute porte en chêne. Une voix froide et laconique lui ordonna d’entrer. Emma était une grande jeune femme, au charme certain, aux cheveux châtains avec des reflets roux, mi-longs, aux traits fins, aux yeux noisette en amande, à la poitrine déjà lourde, généreuse que l’on pouvait deviner dans son décolleté presque indécent. Bref, elle faisait de l’effet, et plus d’un homme devait rêver de la baiser…
Malgré l’hiver, elle était en jupe courte en cuir, des bas, et des bottes montant jusqu’au genoux. Le tout noir… En haut, un chandail de laine recouvrait un chemisier blanc. Une vraie femme déjà, au cul que l’on devinait musclé, au charme très sensuel Une fois entrée timidement, elle trouva en face d’elle, un lourd bureau vernis de style louis XVI où se trouvait le maître des lieux, le marquis Evans appelé communément Sir Evans. Il a du charme dit-on dans son éternel costume noir lui donnant une belle élégance et un certain charisme qui devait en impressionner plus d’un.
- « Bien asseyez-vous, nous devons parler de votre contrat de travail, », dit-il en lui indiquant une chaise tout aussi stylée que le bureau. Elle s’assit prestement, d’un mouvement souple, en relevant légèrement la jupe de façon à bien sentir le velours chaud et doux, velours de haute qualité de la chaise sous ses fesses.
- « Vous m’êtes recommandée par l’agence pour vos états de service mais je vois dans votre dossier que malgré vos qualités professionnelles lesquelles je ne doute pas, je suis septique en lisant : A perdu son dernier emploi pour affaires privées » Pouvez-vous m’expliquer, ce que cela veut dire ?
- Et bien dit Emma très gênée et rougissante, je… J’ai… j’ai..
- Oui vous ? … Ecoutez dites-moi, j’exige de tout savoir si vous voulez ce poste.
- Bien Monsieur le Marquis, j’ai… j’ai… heu… voila, j’ai … couché avec Monsieur mon ancien patron quand sa femme est arrivée et j’ai perdu ainsi mon emploi, prise en flagrant délit… mais je …je ne voudrai pas que vous croyez que…- « Etes-vous sûre de vouloir travailler ? coupa court alors froidement Sir Evans d’un regard perçant
Emma brièvement s’imagina punie, les fesses à l’air. Cela faisait longtemps que cela ne lui était pas arrivé, trop longtemps. Sa gorge se noua, elle sentit son visage s’empourprer, et son sexe s’humidifier. Délicieuse sensation. Quand d’un coup à sa grande surprise, Sir Evans lui dit en se levant et sans équivoque, sèchement :- « Allez mademoiselle, je ne peux laissé une telle histoire chez moi sans sanction. Enlevez votre culotte et relevez votre jupe ».
Elle se raidit par la surprise, comme figée de stupeur, elle frémit, tressaillit de plaisir en suite. Elle obtempéra tellement Sir Evans l’impressionnait, elle se releva donc lentement, essayant de masquer son trouble face à son nouvel employeur. D’un geste maladroit, elle releva le cuir de la jupe sur ses reins, puis se courba en avant, veillant à offrir son décolleté au regard de l’homme, tout en faisant choir le mince morceau de coton blanc qui lui servait de slip. Le marquis fit le tour du bureau puis se mit à tourner autour d’elle, matant son cul de jeune salope, l’effleurant, puis laissant sa main traîner longuement du côté pile. Quel beau sexe, épilé parfaitement, jeune, frais, et qui pourtant avait déjà du recevoir un certain nombre de mâles avec leurs gros mandrins… Certain qu’Emma préférait les gros mandrins, avec des réserves bien juteuses. Son sexe, on aurait cru un abricot, bien doux, sucré, gorgé de jus.
Le Maître se rassit, la détailla encore quelques instants avant de lancer :- « Viens sur mes genoux petite salope, fesses sur ma droite ». Après une légère hésitation, les yeux baissés, Emma se glissa en souplesse sur les genoux du marquis. Tête en avant, cheveux dans le vide, seins tirant le chemisier tendu, jambes touchant à peine terre, cul proéminent, véritable aimant pour une main virile d’homme. Main d’ailleurs, qu’elle sentait pétrir successivement, chacune de ses fesses délicates, encore blanche mais qui n’allait plus tarder à rougir. Une main douce, mais elle sentait, grande, protectrice.
Une main qui lui pétrissait le cul, comme le boulanger pétrissait la pâte, oui c’est cela sa chair, était de la pâte… Une pâte qu’on malaxait avant de la frapper. Une main comme celle qui lui caressait simultanément la nuque avec délicatesse. Et soudain, la première claque sur la fesse droite, sèche, forte, violente. Et une deuxième pour la jumelle. L’alternance était respectée. Vlan ! Et Vlan ! Encore. Un rythme, une cadence. Et puis au lieu de la claque cinglante attendue, une douce caresse, la peau d’une main d’homme qui caresse la peau d’une fesse de femme. Emma avait les yeux et le sexe dans le même état : ruisselants. Le bonheur d’une fessée, aussi fort, qu’une bonne baise, voire plus. Bonheur aussi pour celui qui donne, jouissance mentale aussi forte que celle d’une pipe royale, à genoux, comme celles que les lèvres et la langue d’Emma devaient savoir dispenser. Et puis, maintenant, la séance de tam-tam. Les deux mains claquaient légèrement, caressaient, frôlaient en rythme.
Le cul d’Emma était un tambour. Elle était un tambour, un tambour qui pleurait, qui gémissait. De bonheur ou de douleur ? Si l’on en croyait le sourire et les larmes, les deux. Une sensation amplifiée, parce qu’elle sentait sous le tissu du pantalon du marquis, un bâton raide, gonflé, lourd. Ensuite un dernier coup violent, sec, puis de nouveau une main douce câline. Et puis une agréable sensation dans son entrecuisse. Un index caressait son clitoris, puis elle se sentit délicieusement fouillée… Un cri, une secousse… la jouissance totale… l’orgasme était là, puissant, véridique, extrêmement violent à se tortiller en hurlant son plaisir trop fort pour le taire.
Sir Evans la fit alors se relever, déboutonna sa braguette, fit cambrer Emma contre la table et la pénétra par derrière dans ce sexe trempé. Il n’eu aucune peine à l’enfiler tellement sa mouille était abondante. Le marquis la pilonna très fort en des vas et viens à n’en plus finir quand son grosse bite explosa dans cet étui si chaud et humide. En éjaculant violemment à fortes secousses en de puissants jets de foutre, il entendit la bonne jouir de nouveau ayant eu 2 orgasmes quasi simultanément …
FIN DES TEXTES ''HORS-SERIE'' -
LA FESSEE DE MARIE -
Je suis Maître Jacques invité d’honneur du Marquis d’Evans dans son immense château. Et à ce titre le Maître des lieux me donne plein pouvoir sur ses soumises et soumis durant mon séjour. Et justement pendant celui-ci, un matin, alors que je rentrais dans la cuisine du Château pour la visiter, je trouvai une de ses soumises, Marie, penchée en avant, ramassant les morceaux d'un verre qu'elle venait de laisser tomber. Elle était vêtue d'un chemisier et d'une jupe courte qui, dans la position où elle était, laissait entrevoir le début de ses fesses, ce qui me donna des idées on ne peut plus salaces. M'approchant d'elle, alors qu'elle venait de se redresser, je l'embrassai légèrement sur ses lèvres et, tout en caressant ses fesses, je lui dis sèchement sur un ton de reproche:
- Casser la luxueuse vaisselle du Château, le Marquis ne sera pas content du tout, cela mérite au moins une fessée !
Intimidée, fautive et en balbutiant, elle me répondit craintivement :
- Je n’ai pas fait exprès, ce verre de cristal est tombé et…
- Silence, j’ai dit que cela mérite au moins une fessée !
- Heu…Si… Si vous pensez que je le mérite, Maître, alors punissez-moi !
Cet accord tacite me fit brutalement bander et, la penchant en avant pour bien dégager ses fesses, je soulevais sa jupe, et commençai à la fesser, d'abord doucement et en me limitant aux zones recouvertes par sa culotte. Progressivement, j'appuyai mes coups en commençant à claquer sa peau nue. À un moment, Marie poussa un cri et je lui demandai si elle souhaitais que je m'arrête . Elle me répondit :
- Non, au contraire, allez-y plus fort, Maître, je dois payer la vaisselle cassée.
Je baissai alors sa culotte et frappai alternativement, de plus en plus fort ses fesses qui, sous les coups, devenaient cramoisies. À chaque coup, Marie poussais un cri mais ne voulais toujours pas refuser la correction. M'arrêtant, je passai mes doigts dans sa fente et me rendis compte qu'elle était toute mouillée, témoignant de son excitation. Je décidai d'aller plus loin dans la correction. Je redressai Marie et lui demandai de maintenir sa jupe soulevée, debout. Puis, j'enlevais ma ceinture et commençais à la fouetter, d'abord doucement, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que chaque coup de ceinture marque ses fesses d'une traînée rouge, accompagnée d'un cri et d'un mouvement de recul. Je m'arrêtai, vérifiai que sa fente étais toujours aussi émoustillée, puis j’enlevaisa culotte à terre, en fit un chiffon serré dans ma poigne de ma main et je l'enfonçai dans sa bouche afin que ses cris ne réveillent pas tout le Château.
Puis je dégrafai sa jupe et lui demandai d'écarter les jambes. Je recommençai alors à la fouetter, en accentuant bien mes coups, d'abord sur ses fesses déjà bien striées, puis sur ses cuisses. Pour chaque nouveau coup, elle poussait un gémissement étouffé par le bâillon, et je lui redemandais si elle voulait que je m'arrête. Devant son mouvement de tête négatif, je continuai alors la correction en portant mes coups, d'abord à l'intérieur de ses cuisses, puis sur son sexe, la ceinture allant claquer son pubis. Au premier coup, elle resserra ses jambes, puis les écarta à nouveau, encore plus qu'auparavant, m'invitant à continuer, ce que je fis de bon cœur. À mesure que les coups pleuvaient, elle faisait un bond mais maintenait ses jambes écartées, attendant les prochains coups.
Après avoir fouetté son entrejambe pendant plusieurs minutes, je stoppai et lui enlevai son bâillon, puis baissant mon pantalon, je pénétrai d'un coup sa chatte toute trempée, ce qui la fit gémir, non plus de douleur, mais de plaisir. Après quelques mouvements de va-et-vient profonds et amples, je la penchai en avant et, me positionnant devant son anus, je la sodomisai aussi brutalement, et m'enfonçai jusqu'à la garde dans son cul. Elle poussa un cri puis commença à bouger d'avant en arrière, pendant que ma main, tenant toujours sa culotte humidifiée par ses sécrétions vaginales et sa salive, alla branler son clitoris. Je la pistonnai de plus en plus rapidement, réveillant des cris mêlés de plaisir et de douleur, alors que j'enfonçai toute sa culotte puis quatre doigts dans son vagin largement ouvert. Brutalement je déchargeai dans son cul, alors qu'elle atteignait l'orgasme en poussant de longs gémissements et en plaquant ma main aussi loin que possible dans sa chatte.
Une fois calmée, je me retirai et, alors qu'elle était toujours penchée en avant, je la contournai et lui donnai ma queue encore raide et pleine de foutre à nettoyer, ce qu'elle fit sans recul. Parallèlement, je retirai sa culotte de sa chatte et nettoyai son anus largement ouvert qui laissa échapper quelques traces de sperme.
Marie se souviendra longtemps de sa punition et moi de mon séjour au château…. Et je remercie le Marquis d’Evans de son hospitalité …------------------------------
LA FESSEE DE LA NOUVELLE BONNE -
Le château des Evans, est situé en pleine campagne et il faut vraiment avoir envie d’y venir travailler, la demeure étant assez isolée, loin des villes. C’est un vieux bâtiment de pierres du seizième siècle, aux parquets cirés, aux grandes fenêtres, aux salles hautes, aux longs couloirs, où tentures, tableaux et lustres abondent. Tout semblait calme dans cette vieille bâtisse. L’hiver, la neige en cette fin d’après midi de décembre… En plus, le vieux bâtiment est mal chauffé… trop grand pour tout chauffer….
Emma la nouvelle bonne, embauchée par Sir Evans par petites annonces, était heureuse d’avoir enfin un emploi, cet emploi, elle, au chômage. Elle venait d’avoir ses 22 ans… Il était dix-sept heures quand Sir Evans la convoqua dans son bureau pour les formalités d’embauche. Elle frappait donc doucement à la haute porte en chêne. Une voix froide et laconique lui ordonna d’entrer. Emma était une grande jeune femme, au charme certain, aux cheveux châtains avec des reflets roux, mi-longs, aux traits fins, aux yeux noisette en amande, à la poitrine déjà lourde, généreuse que l’on pouvait deviner dans son décolleté presque indécent. Bref, elle faisait de l’effet, et plus d’un homme devait rêver de la baiser…
Malgré l’hiver, elle était en jupe courte en cuir, des bas, et des bottes montant jusqu’au genoux. Le tout noir… En haut, un chandail de laine recouvrait un chemisier blanc. Une vraie femme déjà, au cul que l’on devinait musclé, au charme très sensuel Une fois entrée timidement, elle trouva en face d’elle, un lourd bureau vernis de style louis XVI où se trouvait le maître des lieux, le marquis Evans appelé communément Sir Evans. Il a du charme dit-on dans son éternel costume noir lui donnant une belle élégance et un certain charisme qui devait en impressionner plus d’un.
- « Bien asseyez-vous, nous devons parler de votre contrat de travail, », dit-il en lui indiquant une chaise tout aussi stylée que le bureau. Elle s’assit prestement, d’un mouvement souple, en relevant légèrement la jupe de façon à bien sentir le velours chaud et doux, velours de haute qualité de la chaise sous ses fesses.
- « Vous m’êtes recommandée par l’agence pour vos états de service mais je vois dans votre dossier que malgré vos qualités professionnelles lesquelles je ne doute pas, je suis septique en lisant : A perdu son dernier emploi pour affaires privées » Pouvez-vous m’expliquer, ce que cela veut dire ?
- Et bien dit Emma très gênée et rougissante, je… J’ai… j’ai..
- Oui vous ? … Ecoutez dites-moi, j’exige de tout savoir si vous voulez ce poste.
- Bien Monsieur le Marquis, j’ai… j’ai… heu… voila, j’ai … couché avec Monsieur mon ancien patron quand sa femme est arrivée et j’ai perdu ainsi mon emploi, prise en flagrant délit… mais je …je ne voudrai pas que vous croyez que…- « Etes-vous sûre de vouloir travailler ? coupa court alors froidement Sir Evans d’un regard perçant
Emma brièvement s’imagina punie, les fesses à l’air. Cela faisait longtemps que cela ne lui était pas arrivé, trop longtemps. Sa gorge se noua, elle sentit son visage s’empourprer, et son sexe s’humidifier. Délicieuse sensation. Quand d’un coup à sa grande surprise, Sir Evans lui dit en se levant et sans équivoque, sèchement :- « Allez mademoiselle, je ne peux laissé une telle histoire chez moi sans sanction. Enlevez votre culotte et relevez votre jupe ».
Elle se raidit par la surprise, comme figée de stupeur, elle frémit, tressaillit de plaisir en suite. Elle obtempéra tellement Sir Evans l’impressionnait, elle se releva donc lentement, essayant de masquer son trouble face à son nouvel employeur. D’un geste maladroit, elle releva le cuir de la jupe sur ses reins, puis se courba en avant, veillant à offrir son décolleté au regard de l’homme, tout en faisant choir le mince morceau de coton blanc qui lui servait de slip. Le marquis fit le tour du bureau puis se mit à tourner autour d’elle, matant son cul de jeune salope, l’effleurant, puis laissant sa main traîner longuement du côté pile. Quel beau sexe, épilé parfaitement, jeune, frais, et qui pourtant avait déjà du recevoir un certain nombre de mâles avec leurs gros mandrins… Certain qu’Emma préférait les gros mandrins, avec des réserves bien juteuses. Son sexe, on aurait cru un abricot, bien doux, sucré, gorgé de jus.
Le Maître se rassit, la détailla encore quelques instants avant de lancer :- « Viens sur mes genoux petite salope, fesses sur ma droite ». Après une légère hésitation, les yeux baissés, Emma se glissa en souplesse sur les genoux du marquis. Tête en avant, cheveux dans le vide, seins tirant le chemisier tendu, jambes touchant à peine terre, cul proéminent, véritable aimant pour une main virile d’homme. Main d’ailleurs, qu’elle sentait pétrir successivement, chacune de ses fesses délicates, encore blanche mais qui n’allait plus tarder à rougir. Une main douce, mais elle sentait, grande, protectrice.
Une main qui lui pétrissait le cul, comme le boulanger pétrissait la pâte, oui c’est cela sa chair, était de la pâte… Une pâte qu’on malaxait avant de la frapper. Une main comme celle qui lui caressait simultanément la nuque avec délicatesse. Et soudain, la première claque sur la fesse droite, sèche, forte, violente. Et une deuxième pour la jumelle. L’alternance était respectée. Vlan ! Et Vlan ! Encore. Un rythme, une cadence. Et puis au lieu de la claque cinglante attendue, une douce caresse, la peau d’une main d’homme qui caresse la peau d’une fesse de femme. Emma avait les yeux et le sexe dans le même état : ruisselants. Le bonheur d’une fessée, aussi fort, qu’une bonne baise, voire plus. Bonheur aussi pour celui qui donne, jouissance mentale aussi forte que celle d’une pipe royale, à genoux, comme celles que les lèvres et la langue d’Emma devaient savoir dispenser. Et puis, maintenant, la séance de tam-tam. Les deux mains claquaient légèrement, caressaient, frôlaient en rythme.
Le cul d’Emma était un tambour. Elle était un tambour, un tambour qui pleurait, qui gémissait. De bonheur ou de douleur ? Si l’on en croyait le sourire et les larmes, les deux. Une sensation amplifiée, parce qu’elle sentait sous le tissu du pantalon du marquis, un bâton raide, gonflé, lourd. Ensuite un dernier coup violent, sec, puis de nouveau une main douce câline. Et puis une agréable sensation dans son entrecuisse. Un index caressait son clitoris, puis elle se sentit délicieusement fouillée… Un cri, une secousse… la jouissance totale… l’orgasme était là, puissant, véridique, extrêmement violent à se tortiller en hurlant son plaisir trop fort pour le taire.
Sir Evans la fit alors se relever, déboutonna sa braguette, fit cambrer Emma contre la table et la pénétra par derrière dans ce sexe trempé. Il n’eu aucune peine à l’enfiler tellement sa mouille était abondante. Le marquis la pilonna très fort en des vas et viens à n’en plus finir quand son grosse bite explosa dans cet étui si chaud et humide. En éjaculant violemment à fortes secousses en de puissants jets de foutre, il entendit la bonne jouir de nouveau ayant eu 2 orgasmes quasi simultanément …
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