22 ans ! L'Age insouciant ! - histoire érotique

Je préviens ceux qui n'aiment pas les longs textes, que c'est le cas ici !
Je raconte une des mes journées de l'époque.
Je ne peux donc pas, la couper en deux !

Quand j'ai connu Jean-Yves, je vivais encore chez mes parents.
Donc, je ne pouvais pas dormir chez lui, trop souvent !

Et puis, j'avais besoin de retrouver mon autre vie aussi !
Sinon, je me serais lassé de ce rythme, boulot baise, incessant !

Retrouver ma famille, ma copine, et quelques copains, me ressourçait !

Le hasard a fait que quelques mois auparavant, mon voisin homo m'a surpris avec d'autres hommes, au cinéma porno !
Il en a bien profité ce salaud, mais il a bien fait !
J'adore baiser avec lui, moi aussi !

Je me souviens qu'un matin, sur le chantier, j'ai vu Jean-Yves surgir dans la pièce ou je bossais !
Il nous enferme !

Il faut préciser, que c'est un gros immeuble neuf en construction !
Avec presque 70 appartements !

"Putain ! Enfin, je t'ai trouvé ! Viens là ! J'ai trop envie !".

Il me plaque au mur, en m'embrassant.
Ses mains me défont de mon pantalon de travail.
Elle me palpent le cul, en les écartant au maximum.

"Mmmmmmmm ! Orhh ! Jean-Yves ! Tu veux pas attendre ce soir ?".
"Non ! Mais c'est ta faute aussi ! Tu me rajeunis ! Plus je baise, et plus j'en ai envie ! Viens ! On s'éloigne de la porte !".

Il m'entraine dans une salle de bain, presque terminée, déjà raccordée à l'eau.
Il me penche au dessus de la baignoire !

"Orhhhh ! Jean-Yves ! Tu veux pas que je te suces un peu, avant ?".
"Merci, mon p'tit chéri ! Mais on a pas le temps !".

"Arghhhhhh ! Oh, putain ! Arhhhhhhh ! Orhhhh ! Salaud ! Oui ! Continues ! Mmmmmmmm !".

Sa verge commence son opération de conquête de ma chatte !

Elle gagne du terrain, millimètre par millimètre !
Je mord mon bras en me cambrant à l'extrême !
Pourquoi fait on toujours ça, quand un sexe nous pénètre ?
Toujours est il, que j'adore ce moment !

Le summum, c'est quand il vient toucher mon coccyx !
Il force plus fort, sans bouger.
Sans rien dire, il me rappelle ainsi que c'est lui qui me domine !
Il marque son territoire !
C'est le bonheur total, pour moi ! Je suis soumis à cet homme !

Ensuite, il commence sa possession !
De plus en plus fort, et profond !
Il veut m'empaler jusqu'aux couilles !

A force de cognements, il franchit mon fondement !
Je retiens un fort besoin de hurler mon plaisir anal !

Il me plaque contre le carrelage froid, mon visage est collé, et déformé par la jouissance.
Mes orgasmes s'enchainent, comme d'habitude !
Je râle avec difficulté:

"Putain ! Jean-Yves ! T'arrives pas à jouir ? Ca prend trop de temps ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh !...".
"Plains toi ! Salope ! C'est pas bon ?".
"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhh ! Siiiiiiiiiiii !".

Ca y est, il m'a eu le salaud ! Je crache mon sperme, dans le fond de la baignoire vide.
J'ai encore la chatte trempée de jus !
Ca aussi, ça rejoint le foutre au fond de le baignoire !

"Putain ! J'adore ta chatte, bébé ! Tu m'encaisses trop bien !".
"Orhhhh ! Jouis, je t'en supplie !".

"Désolé, pas encore ! Mais ça va venir, je le sens !".
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhh !...".

Ma prostate est trop sollicitée, je me vide de plus en plus abondamment !
Il se retire, pour me laisser gicler un trop plein de liquide chaud.

"Orhhh ! Ca, ça m'excite ! J'adore te faire pisser, mon chéri !".

Il me reprend la chatte.
Je suis en train de couvrir le fond de la baignoire !

Heureusement, qu'il m'encule ici !
Je vois mon foutre, qui flotte au milieu de tout ça !
Je joui du cul, en sachant que j'aime cette vue perverse !

En même temps qu'il est pris de convulsions dans ma chatte, il se met à grogner de plaisir !
Son ventre frappe contre mon cul, plusieurs fois !
En m'écrasant contre le carrelage !

Je sens encore très bien son déversement de foutre, à travers son canal urinaire !

"Orhhhh ! Oui, Jean-Yves ! Joui, jusqu'au bout ! Je veux tout !".
"Arghhhhh ! Arghhhhhh ! Tiens ! Salope ! Je me vide ! Arghhhhhh !...".

Je me redresse contre lui, pour lui prendre la nuque par derrière.

"Orhhhh ! C'est trop bon, j'adore comme tu m'encules ! Tu me baises trop bien ! Mmmmmmm !".
"Ourhhhffffffffff ! Orhhh ! Ca fait du bien ! Merci, mon p'tit bébé ! J'en avais besoin !".

"Je comprends ! Bon, on va devoir, reprendre le boulot maintenant !".
"Ouais, t'as raison !".

Il enlève sa grosse verge, je me baisse pour la lécher quelques minutes, avant qu'il la range dans son Jeans.

Je fais partir mes écoulement d'urine, et de sperme, dans l'évacuation de la baignoire.

"C'est bien pratique ça ! On recommencera !" Me dit il !
"Oui, c'est vrai !".

Je me sèche l'anus, puis il me quitte.
J'irai trois fois aux toilettes, pour me vider la chatte, avant midi.

Le soir, il est prévu que je rentre chez mes parents, donc, on s'arrête en chemin.
Il me dit:

"J'ai envie d'une bonne pipe, ce soir ! Comme aux chiottes, au début !".
"Hummmm ! Avec plaisir ! Tu sais que j'aime, aussi !".

Il se gare, puis on se place à l'arrière de la voiture.
Il est assis, avec la porte ouverte.
Je suis entre ses cuisses.

Ma petite main s'appuie sur ses couilles, pour tenir sa grosse verge.
Je lui lape le gland, puis le lèche avec passion.

"Orhhhh ! Qu'est-ce j'aime ta bouche ! C'est trop bon ! Encore, chéri !".

J'ouvre mes lèvres, pour le faire glisser dans ma gorge chaude.

"Hummm ! Putain ! Ouais ! Orhhhh ! Salope ! Tu me suces bien !".

Je peux commencer ma première série de pompages humides.
Ses râles et ses gémissements, me confirment qu'il aime toujours autant ma bouche !

Il me dit des mots tendres, et d'autres plus pervers, il m'excite !
On prend tout notre temps, sa grosse verge est couverte de salive.
Ca la rend magnifique !

Je la reprend profondément dans ma gorge, après une longue séance de léchage pervers.
Je coulisse sur sa grosse bite, en gloussant de plaisir buccal.

De la chaleur envahit ma gorge !
Son puissant râle, me confirme qu'il éjacule !
Je ne faibli pas, il doit jouir sans gêne !

Le foutre commence à me remplir la gorge, ça me fait bander !
Je prend une première gorgée.
Le foutre s'accumule encore, pendant qu'il râle en commentant son plaisir.

J'hésite, mais je résiste au besoin de me masturber en avalant son sperme !
Putain ! Qu'est-ce que j'aime avaler son foutre !

Surtout avec sa grosse verge, qui me déforme la gorge et les joues !
J'aime cette sensation de remplissage buccal !
Ca rend son éjaculation plus excitante, encore !

Il vit ses derniers spasmes dans son canal urinaire !

"Orghhh ! Salope ! J'adore quand tu m'avales comme ça ! Tu suces trop bien, mon p'tit chéri !".

Je ne réponds pas encore, je termine de l'avaler, tout en lui procurant du plaisir buccal.
Un long moment plus tard, je lui rend sa grosse verge.
Toute propre, et vidée de tout son jus !

Il me regarde faire depuis longtemps, ce vicieux !

"Putain ! Je crois que t'y prends autant de plaisir que moi ! Ca se voit que t'aimes me sucer la bite !".
"Merci ! Je le prends comme un compliment ! C'est vrai ! Ca me passionne ! J'adore ça ! C'est pour ça, que j'ai pas pu m'empêcher de te sucer, la première fois !".

"Hummm ! Tant mieux pour moi, alors !".
"Oui, je regrette pas de l'avoir fait !".

Il me dépose près de chez mes parents, ensuite.
Après le repas, je décide de sortir un peu, vers 20 h.
Je ferme la porte d'entrée, en la tirant derrière moi.

"Pssst ! Pascal !".

C'est Olivier, mon voisin homo !
Je le vois en peignoir, dans l'entrebâillement de sa porte.

"Viens vite, mon mec est chez ses parents !".
"Olivier ? Bon... d'accord !".

Eh oui, c'est comme ça ! J'arrive pas, à me refuser à un homme !

Il nous enferme, et m'entraine dans son salon.
Son peignoir tombe, il bande comme un taureau !

Quand je pense que je viens de faire jouir Jean-Yves, et que je vais encore sucer la bite de mon voisin !
Mais, la vie est trop courte ! Je dois en profiter !

J'ai l'impression de revivre la même scène, en lui léchant la verge !
Mais ses râles me confirment que c'est un autre homme que je suce, et ça m'excite !

Il me dénude pendant que je m'affaire sur sa bite.

"Putain, je vais encore te défoncer ! Ma p'tite salope ! Ca fait longtemps que je t'ai plus baisé !".
"Mmmmmm ! Oui, c'est vrai ! Mmmmm ! Mmmmmm !...".

"D'abord, je vais me vider les couilles ! Et ensuite, on recommencera ! Tu veux bien ?".
"Mmmmm ! Oui ! Si tu veux !".

Il me permet de lui dévorer la bite pendant un long moment.
Ensuite, il me propose de choisir la position, pour qu'il m'encule !

Je colle mes cuisses contre le flanc de son canapé, puis me couche sur la longueur.
Ce qui me cambre naturellement les fesses !

"Hummm ! T'es bandant dans cette position ! Je vais me régaler !".

Il m'enduit de gel anal.
Puis, son gros gland commence à me remplir !

"Arghhhhhhhhhhh ! Putain ! Ce que j'aime ça ! Orhhhhhhhhhh !".
"Putain, tu m'encaisses de mieux en mieux, p'tite salope !".
"Orhhhhhhh ! C'est bon ! Continues ! Mmmmmm !".

Sa verge cogne contre mon coccyx, puis recule avec aisance, grâce au gel.
Il entame alors, une longue série d'assauts puissants et profonds.

Je me sers d'un coussin pour atténuer mes râles de jouissance anale.

"Mmmmmm ! Mmmmmm ! Putain, je joui du cul ! Olivier ! Encore !".
"Tu sais que j'adore t'enculer ici ? Salope ! Avec ton père, à coté !".

"Mmmmm ! Oui, je sais ! Moi aussi, ça m'excite ! Défonces-moi ! Argghhhhhhhhhhhh !".
"Orhhhh ! Elle est trop bonne ta p'tite chatte !".
"Mmmmm ! Mmmmmm ! Mmmarghhhhhhhhhhhhh !...".

Comme il est homo et endurant, je l'encaisse en jouissant plusieurs fois.
Il m'appuie fort sur le creux des reins, en m'enculant.
La position l'excite !

Il m'enfonce ses doigts plus fortement dans les flancs.
Son bassin se fige contre mon cul.

Je sens ses spasmes dans son canal urinaire, me renvoyant dans mes souvenirs avec Jean-Yves, au dessus de la baignoire !

Je me cambre davantage, de plaisir, pour recevoir sa longue insémination.
Il se vide patiemment les couilles, sans se défaire de ma chatte béante.

"Arghhhhhhh ! Putain, j'adore t'enculer, Pascal ! Orhhh ! C'est bon ! Tu aimes, toi aussi ?".
"Orhhh ! Oui, sinon, je ne serais pas là ! Dommage que tu m'encules pas plus souvent !".

"Ouais, je sais ! Mais, j'ai mon mec ! Désolé !".
"Je comprends ! Orhhh ! C'est normal !".

Il recule, en regardant sa verge, quitter mon anus poisseux.

"C'est trop beau ! Tu veux voir ?".
"Oui, j'aimerais bien !".

Il attrape un miroir, et le pose au sol, en le tenant par le haut.
Je m'accroupi en face.

"Tu vois comme ça ?".
"Montes le un peu ! Stop ! Orhhh ! J'ai l'impression que t'es encore dans mon cul ! Orhhh !".

J'assite à mes spasmes anaux qui refoulent son foutre, et du jus anal en même temps !

"Orghhh ! Ca me plait ! J'adore voir ça ! Putain, t'as beaucoup éjaculé ! C'est excitant !".

Il passe sa main entre mes fesses, et me la donne à lécher.
Ca me fait bander d'un coup !

"Mmmm ! Glllrp ! Salaud ! Tu me rends fou ! Mmmmm !".

Il ôte sa main, et me demande de tout rejeter devant lui, en polluant le miroir.
Inévitablement, il me demande de le lécher !
Et j'ai adoré ça !

Ensuite, on s'est câliné en discutant.

"T'as quelqu'un en ce moment ?".
"Oui, j'ai ma copine !".

"Oui, ça, je sais ! Je te parle d'un mec !".
"Ah, désolé ! Oui, je baise avec un maçon, sur mon chantier d'immeuble !".

"Allez ! Salope ! Depuis combien de temps ?".

Je lui raconte tout, les circonstances scabreuses de notre rencontre.
Comment, il me baise, les lieux différents, la taille de sa bite, bref, tout !

"Elle est plus grosse que la mienne ?".
"Euh... Oui ! Désolé !".

"Salope ! Pas étonnant que tu m'encaisses aussi bien, alors !".
"Ben, j'adore les grosses queues ! Et comme je rencontre beaucoup de mecs ! Forcément, dans le tas, il y en a pas mal qui ont des grosses bites ! A force, je m'habitue !".

"Putain ! Tu sais qu'il y en a qui craignent ça ?".
"Non ! Je te crois pas ! Moi, plus c'est gros, plus j'aime ! J'adore me faire déchirer le cul ! C'est le summum de la soumission pour moi !".

"Hummm ! En parlant de soumission ! Si on recommençait ? Ma p'tite salope ! Viens, on va dans ma chambre !".

On a encore baisé plus d'une heure trente !
Je suis rentré chez moi, vers une heure du matin !

Je me suis assoupi comme une souche !
Même ma chatte éclatée et poisseuse, ne m'a pas empêché de dormir !

J'adore mon voisinage ! Et tant pis pour Papa !