23.1 Drôle de soirée pour Nico – FINAL 1

- Par l'auteur HDS Fab75du31 -
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Récit libertin : 23.1 Drôle de soirée pour Nico – FINAL 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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23.1 Drôle de soirée pour Nico – FINAL 1
Je viens de rentrer aux chiottes. Un mec sort d’une cabine : un mec genre pas moche du tout, châtain clair, les yeux gris, pas très grand mais un joli physique quand même… un regard pas commode, genre caillera, puant l’alcool à plein nez… sa chemise blanche déboutonnée jusqu’au nombril ou presque offrant une large vue sur un beau torse imberbe, un des pans sorti du pantalon, les manches approximativement retroussées… le mec débraillé à souhait, sexy tout plein… putain que c’est beau aussi une simple chemise blanche sur un beau mec…Oui, il est vraiment pas mal, alors je le mate une peu. Problème, le mec se rebiffe.
Qu’est ce que t’as à regarder ?
Je … je… je… croyais que vous étiez quelqu’un d’autre…C’est pas plutôt que t’aurais envie de sucer ma queue, par hasard??
Vous vous trompez…Tu viens me sucer maintenant ou ça va faire mal…Et ce disant, le mec attrape la porte d’une cabine et il la fait pivoter sur les gonds, un coup en avant et un coup en arrière, le regard fixe sur moi, poussant des respirations profondes, les yeux lançant des flammes. On dirait un taureau prêt à charger.
Le fait est que ce mélange d’excès d’alcool et d’irritation ne m’inspire rien qui vaille et me fait dire : « Nico, n’y vas pas… ce mec est capable de te cogner pendant que t’es à genoux devant lui ». Non, je me sens pas du tout en sécurité… ni en disant oui à sa proposition, et encore moins en disant non…Viens… insiste le mec.
Non - je lui réponds.
Tu l’auras cherché, le pd…Il lâche la porte qui se referme en claquant légèrement et il avance lentement vers moi. Il n’est plus qu’à cinq, trois, deux mètres de moi, je me prépare à me protéger des coups qu’il va dégainer… …quand la porte des chiottes s’ouvre…
Cher lecteur...
oui, toi, c'est fab75du31 qui te cause...
Avant d'aller plus loin dans la lecture, il faut que tu saches que tu vas lire non pas LE final de l'épisode 23 mais UN final...
Dans les jours à venir, une autre issue à cette situation, complètement différente, va être envisagée et postée sur HDS. Les deux sont légitimes… A toi de choisir celle qui te semble la plus opportune...
Je compte sur toi pour déchaîner les commentaires et me dire ce que tu préfères...
Si tu préfères le final 1 tapes 1, sinon tapes 2... lol…Ton choix est fondamental car il conditionnée les épisodes à venir…Bonne lecture !

…quand la porte des chiottes s’ouvre…trois mecs entrent et passent à coté du caillera d’abord et de moi ensuite sans même nous calculer pour aller enfin se poster devant les urinoirs derrière moi. Un quatrième mec arrive et s’enferme dans la cabine dont le type avait tenu la porte un peu plus tôt.
Je vois le caillera prendre une longue inspiration et le calme semble regagner un peu son esprit : peut-être arrive-t-il enfin à réfléchir à travers les fumées alcoolisées qui engourdissent son cerveau de male primitif…T’as de la chance, toi – me lance-t-il avant de cracher un bon coup sur mes chaussures – la prochaine fois tu ne t’en tireras pas comme ça…Il fait demi tour et disparaît de l’autre coté de la porte, dans la salle. Et moi je reprends enfin ma respiration interrompue à je ne sais plus bien quel moment de notre aimable conversation. Je retourne auprès d’Elodie un brin chancelant après la brusque montée d’adrénaline que je viens de vivre, une tension qui vient de retomber brutalement me laissant ko. Evidemment, je ne me sens pas le courage de lui raconter la petite aventure que je viens de vivre… Faut dire également que depuis une minute, une minute tout juste, ma priorité est soudainement devenue toute autre. Mon portable sorti de ma poche pour regarder l’heure, je viens d’avoir la surprise géante de trouver un sms de Jérém datant de 2h42, soit 8 minutes plus tôt… « Viens a lapart minant »Toujours son sens légendaire de la formule. On dirait du Sand à Musset. Putaaaaaiiiiiiiin ! Quoi faire quand l’envie prend si fort aux tripes qu’on oublie tout le reste et on tend à un but unique vers lequel tout semble nous destiner tout naturellement ? Bah, faut être pragmatique, dans ce cas là, le plus urgent c’est d’aller voir Elodie et lui donner l’idée de rentrer…Elodie… - je l’aborde avec le calme et la pondération d’un coureur qui vient de fait le marathon de New York. Evidemment, ma cousine me voit arriver. Putain, celle là…Quoi Nico, qu’est ce qu’il se passe…On rentre ?
Déjà ?
Stp, je te revaudrais ça…Qu’est ce qu’il se passe ?
Il m’a envoyé un message…Il n’arrive pas à dormir, il a envie d’une gâterie…C’est à peu près ça…Et toi, en toutou bien sage, tu pars sucer la queue de ton maître dès qu’il claque des doigts…Elodie, stp… stp… stp…Vraiment parce que je t’aime bien, mon cousin, mais tu sais ce que j’en pense…Je t’adore, Elodie…Elle part prévenir Alex et Joffrey. Cinq minutes plus tard on quitte le parking de l’Esmeralda et j’envoie un sms à Jérém : « Dans un quart d’heure ».
Pendant le trajet, pas de réponse : alors, quand Elodie me dépose au carrefour à deux pâtés de maisons du dortoir (comme je lui ai demandé pour ne pas susciter la curiosité de ses amis, sous couvert de lui éviter un petit détour), je m’empresse de rejoindre l’entrée de l’immeuble, impatient de savoir si Jérém m’a attendu. Mon cœur bondit dans ma poitrine quand, au premier appui de mon doigt, j’entends le claquement électrique de la serrure… putain… pour réagir aussi vite, il devait être juste devant la porte en train de m’attendre…Je monte les marches quatre à quatre et je suis devant la porte de sa chambre… elle est ouverte et Jérém est là, appuyé au cadre, son t-shirt Airness blanc moulant son physique de dingue, cette belle ceinture de cuir épaisse, une vraie ceinture de mec, défaite, les deux extrémités béantes ; la braguette ouverte, laissant voir une large portion d’un magnifique boxer bleu de la même marque que le t-shirt… et à travers le tissu fin, je devine, je reconnais l’érection de sa queue… je sens monter l’odeur de son sexe… Toujours cette image de gardien de la vertu dans ma tête… « Monsieur, vous aviez été prévenu… vous dégagez un truc tellement sexuel, tellement viril, avec votre tête de p'tit con sexy à gifler, que là, une mesure drastique s'impose… votre permis de séduire vous sera retiré pour une durée à définir, chose qui vous interdira d’une part de vous vêtir autrement que avec une cotte de travail et d’autre part d’avoir des rapports intimes avec qui que ce soit ; par ailleurs, vous devrez vous acquitter sur le champs d'une amende payable à grand coups de queue entre les fesses de celui qui vous parle… ».
Hélas, ça c’est ce que j’espérais. Ce que j’ignorais c’est que, suite au truc de dingue que je lui avais fait le soir de la sortie avant le bac, Jérém avait conçu une vengeance ; malin, il avait intégré le fait qu’une vengeance se déguste mieux à froid et surtout qu’elle doit être stratégiquement positionnée pour ne pas compromettre les avantages que cette vengeance pourrait couper net. C’est pour cette raison sans doute que Jérém attendit la fin des révisions, les vraies, pour mettre en œuvre ses représailles vis-à-vis de ma prise de contrôle sur sa sexualité de la dernière fois… Evidemment, je ne me doutais de rien… comment me douter de lui avoir déplu en lui faisant plaisir. Oui, c’est un concept : déplaire en faisant plaisir. Un concept que, quand on l’analyse, est un bel exemple d’oxymore. Je n’aurais compris que beaucoup plus tard, quand il me l’aurait expliqué avec ses propres mots que ce soir là, Jérém avait eu l’impression de se faire pirater sa sexualité, d’en avoir perdu le contrôle… comme subissant l’attaque d’un hacker qui prend le contrôle d’un ordinateur à distance et qui en tient l’utilisateur à sa complète merci lui coupant tout libre arbitreEt ça, ça n’était pas passé, mais alors, pas du tout… et ma tentative de réitération du vendredi avait mis le feu aux poudres…Ne jamais chatouiller un male dans sa sexualité : hélas, lorsque on agit à l’aveugle, nos agissements n’atteignent pas tout le temps la cible voulue. Et dans le noir on ne voit pas le retour de boomerang qui va nous frapper de plein fouet. J’ignorais tout de ses intentions et de son ressenti : ce qui fait que rien, ce soir là, ne se passerait comme je l’aurais espéré.
Le mec est là, devant moi, il me toise, il me jauge. Il a un regard dur, viril, limite agressif. Je vois dans ses yeux un truc noir, une étincelle mauvaise qui me surprend et qui me chiffonne. Il n’est pas comme d’hab… l’alcool, peut être… le chichon… sais pas… il y a quand même un truc qui me parait pas comme d’hab… il me regarde, immobile, la queue tendue dans son boxer, je ne comprends pas bien de quoi il a envie ce petit con. Il finit par reculer dans la chambre, me faisant un signe de la tête pour que je le suive.
Je passe le seuil, il ferme la porte. Et il s'appuie au mur sans bouger: il me jauge toujours et encore de ce regard détaché, arrogant, un regard qui tue… putain de p'tit con, si fier, si hautain, si sur de lui, merdeux, juste parce t’as une queue et deux couilles entre les jambes, qui semblent t'autoriser à te sentir le maître du monde, appartenant à une race supérieure, celle des jeunes mâles dominants, une affirmation de supériorité qui passe par le mépris de ton « pd », de ce vide couilles dont tu te sers quand même assez souvent pour assouvir tes envies et tes fantasmes…Petit merdeux, va, tu verrais ti con si d'un coup, d’un seul, toutes les nanas arrêtaient de coucher si tu ferais autant le malin... c'est génial d'être aussi beau et d'avoir autant le choix pour soulager sa queue, n'est pas?
Et de but en blanc je l’entends me lancer cela :Fous toi à poil…Il me regarde me dessaper en silence, dans un silence lourd, très lourd, lourd comme son regard, lourd et pénétrant.
Petit con de Jérém, tu es insupportable dans ton attitude de jeune mâle dominant… tellement odieux et assuré que je trouve si bon de me faire ainsi humilier par toi… je me rends compte que notre relation n’est qu’un rapport de force continuel… j’adore me faire humilier par toi, mais j’ai parfois aussi envie de te montrer que tu ne contrôles pas tout… comme l’autre soir… te tenir par les couilles… et j’en ai à nouveau envie juste à, devant ton attitude de macho dépassant carrément les bornes… putain de ti con, tu ne mérites que ça… te faire jouir tellement fort à faire disparaître ta superbe !
Mais pour l’instant sa superbe est bel et bien là, et d’un simple regard je comprends qu’il veut que je me mette à genoux devant lui. Quoi de plus naturel à mes yeux ? Dans ma tête j’y étais déjà, à genoux devant lui, bien avant sa sommation silencieuse. Dans ma tête, j’y suis tout le temps.
Et le voilà qui ôte son t-shirt… et putain de putain de putain… à chaque fois c’est la même décharge d’adrénaline… non, non, non, je ne m’y habituerai jamais, jamais !!! Jamais, tellement son simple geste de se dénuder, d’attraper le t-shirt, de le soulever, de lever les bras en pliant le buste vers l’avant, et de le faire passer à travers sa tête est à mes yeux d’une puissance érotique à me faire presque défaillir… oui, la vision de sa plastique incroyable, me fait un choc à chaque fois…Il ouvre un peu plus sa braguette, il porte une main derrière ma tête et la colle à la bosse qui déforme son boxer… il relâche sa pression et je me retrouve le nez collé contre le tissu, humant son odeur, son odeur de mec, l’odeur de sa queue, mes lèvres parcourant la bosse millimètre après millimètre, sentant sa chaleur, la prenant en bouche a travers le tissu, continuant à la sentir se gonfler, palpiter de désir, retardant le moment ou enfin sa queue va déborder du tissu… putain que c’est bon… Là j’ai vraiment envie de le prendre en bouche et je porte une main vers l’élastique du boxer pour commencer à descendre tout en douceur ce voile léger mais oh combien excitant qui me sépare de cette queue dont le désir commence à cogner dans ma tête jusqu’à me rendre dingue…La surprise de taille arrive quand sa main vient prestement et violemment arracher la mienne à sa noble intention. Son autre main vient à nouveau ramener ma nuque contre sa bosse, mon nez coincé dans le creux entre ses couilles et la naissance de sa queue. Il me maintient ainsi pendant un bon moment, jusqu’à que je le sens me repousser aussi violemment qu’il m’avait attiré à lui…Il sort sa queue de son boxer et la prend dans sa main en commençant à se branler vigoureusement. Me voilà de plus en plus impatient d’avaler ce sexe gonflé et pulsant de virilité. J'avance mon buste pour approcher ma bouche de son gland, pour substituer mes lèvres à sa main autour de sa queue : hélas, je suis surpris de constater que Jérém ne semble pas vouloir arrêter ses va-et-vient… faut imaginer ma frustration et ma déception quand, en lieu et place de la douceur de la peau de son gland, je reçus sur mon nez et sur mes lèvres les quelques coups de retours rapides de sa main, avant que je me décide à reculer.
Putain, je suis à vingt centimètres de son gourdin, son odeur de mec me rend dingue et je suis en train de le regarde se branler... quel gâchis… vraiment je ne comprends pas ce qu'il attend. Il demeure silencieux. Je cherche son regard. Une lueur coquine, perverse et mauvaise l'embrase. Maintenant j’en suis sur, il y a un truc pas comme d’hab…Il est sexy à crever... je n'en peux plus de le voir se branler, j’ai vraiment l'urgence de le prendre en bouche...
J'ai envie de te sucer, je lui lance...
Je sais, mais cette fois-ci tu vas juste regarder...
Ca va être dur...
Tu n'y toucheras pas...
Son sourire mauvais toujours au coin des lèvres... Espèce de ti merdeux impuni!!!!!!!!!!! Regarder sans pouvoir toucher son gland pulpeux… il se rend pas compte de la torture que ça va être…Je suis de plus en plus frustré de cette situation, dans mes narines cette odeur de queue et de transpiration de mec, une odeur qui met tous sens dans cet état d’excitation extrême dans lequel lui seul sait me mettre, sans arriver à comprendre pourquoi il renonce au bonheur d'avoir mes lèvres si douces, ma langue si experte et ma gorge si accueillante autour de sa queue, œuvrant dans le seul but de le faire jouir...
Regardes-la... tu en as envie, n’est pas?
Oh oui, Jérém, même très envie...
Mais tu ne vas pas l'avoir...
Tu ne vas pas me faire ça... j'en ai trop envie là... tu me fais tellement d'effet, j'ai tellement envie de ta queue...
Je te dis que tu vas juste regarder, espèce de salope!
Je me dis que ce n'est pas possible d'être si beau et si con à la fois, mais je lis clair dans son jeu: ce petit con est en train de renoncer à ma sublime fellation juste pour le plaisir de me faire crever d'envie. Pour sentir le désir brûlant, le désir de lui, le désir faire vibrer mon corps tout entier. Son désir de me voir languir comme tout à l’heure dans les toilettes de la Bodega serait son truc à lui pour prendre son pied ce soir là ? C'est frustrant et terriblement excitant. J’ai vraiment envie de le supplier de me laisser le sucer et de me laisser gouter à son foutre...
S'il te plait, Jérém, tu es trop canon, trop bien foutu, trop sexy, laisse moi te prendre en bouche...
Non !
Mais j'ai trop envie de te sucer...
Je sais mais je m'en fous, tu vas me regarder me branler et jouir sans y toucher...
S'il te plait Jérém... je l'implorais carrément, complètement soumis à sa virilité et dominé par sa queue - si tu me laisses te sucer je vais aussi te lécher la rondelle... à fond... comme tu aimes...
NON !
...et quand u vas jouir, je vais tout avaler...
Je sais que tu es une pute, mais cette fois ci tu ne touchera pas à mon manche…Tu aimes quand je te suce à fond?
Bien sur!
Et quand j'avale?
C'est le pied...
Tu aimes quand je te lèche la rondelle?
Ah oui!
Alors laisse moi te faire plaisir, laisse moi te lécher la rondelle et laisse moi te faire jouir avec ma bouche, s'il te plait...
Il ne répond rien, continuant à se branler sans répit, s’approchant dangereusement de l’orgasme...
Putain de p'tit con! J’ai chaud, j’ai chaud, j’ai chaud, je n'y tiens plus...
J'ai trop faim de ta queue, d'avoir la bouche bien remplie, je te laisserai la baiser profond, je te laisserai jouir bien au fond, j'ai envie de sentir ton jus chaud qui coule dans ma gorge...
Mes mots doivent l'exciter car je sens qu'il va désormais jouir rapidement, l'odeur de son sexe augmentant en intensité, sa respiration prenant ce rythme bien connu, son visage pris dans les grimaces qui annoncent l’approche de sa jouissance; je me dis que mon torse va en prendre pour son grade ou que mon visage va être souillé par ses giclées...
Mais non, pas du tout, le p'tit con a autre chose en tête... et là je le vois diriger sa queue vers le bas et gicler plusieurs jets denses et copieux en direction du carrelage entre nous deux, certains étant si vigoureux que je sentis mes bras en être éclaboussés...
Il se secoue la queue pour faire tomber les dernières gouttes et je sens plusieurs impacts humides toucher ma joue. Il s’est vidé… dans l’air une putain d'odeur de foutre... par terre devant moi, un certain nombre de traînées de jus de mec…Tu sais ce qu’il te reste à faire...
Putain... il ne va pas me demander ça... Hélas, devant mon hésitation, je l’entends préciser :Mets toi à quatre pattes et essuie ça...

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