24 heures sans amour (quatrième et dernière partie)
Récit érotique écrit par Kaminu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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24 heures sans amour (quatrième et dernière partie)
– Regardez ce que ce pervers essayait de cacher !
Sadique et fière, Muriel tenait dans sa main le slip avec lequel elle m'avait fait éponger mon sperme une heure plus tôt.
Pervers et perverses, nous l'étions plus ou moins tous et toutes, mais elle faisait de moi un pervers honteux, un minable qu'elle manipulait et ridiculisait avec une cruauté calculatrice. Il était établi que le respect avait remplacé la haine que j'avais à son égard mais il ne s'agissait pas encore de plaisir, ou du moins pas tout à fait. C'est vis-à-vis de Celia que j'étais réellement gêné, la moquerie éventuelle des autres m'importait peu.
– Si d'autres souhaitent qu'il se charge d'effacer les traces de votre plaisir après votre orgasme, messieurs, vous n'avez qu'un mot à dire.
– Il y a fort à craindre que son petit slip déjà taché n'y suffise pas, fit remarquer Noémie, presque hilare.
– Très juste. Mais rassurez-vous, notre pervers est un as de la lessive, il nous l'a prouvé à Nathalie et à moi il y a deux jours. Nous allons lui donner un seau dans lequel il pourra rincer sa tunique entre chaque nettoyage.
C'est ainsi qu'un manège infernal commença : à chaque demande d'un intéressé, je dus nettoyer sa semence échouée sur le sol ou ailleurs avec mon slip très vite poisseux. L'eau du seau se troubla rapidement, j'avais les mains et les avant-bras luisants de foutre, le rouge aux joues... et une érection qui incroyablement refusait de faiblir. Le plus souvent à quatre pattes, entièrement nu, je fus humilié comme jamais. Bien sûr, j'aurais pu me soustraire à cette épreuve, jeter le seau à la tête de Muriel et quitter la soirée, rien ni personne ne m'en aurait empêché, mais son emprise sur moi était incontestable et je ne cherchais pas à la contester.
Vautré sur des coussins, Celia se masturbait en me prêtant un regard distrait, il ne semblait ni choqué ni amusé. Quelques hommes ne se contentaient pas de me donner leur sperme à nettoyer, ils me demandaient de les branler pour les faire éjaculer directement dans mon seau qui contint bientôt presque autant de sperme que d'eau. Ainsi vaquais-je, de queue en queue, traînant mon fardeau et mon plaisir honteux. De temps à autre, je sentais une main me masturber que je remerciais chaudement jusqu'à ce que l'une d'entre elles me fasse jouir à mon tour, c'était encore celle de Muriel.
– Je savais que ça te plairait sale cochon. Tu t'es déjà branlé combien de fois aujourd'hui ?
– Une seule.
– Menteur. Tu n'as toujours pas envie de me sodomiser ?
– Peut-être...
– Trop tard, moi je n'ai plus envie, en plus elle est vraiment trop petite.
Sans un mot de plus, elle se détacha de moi et s'éloigna vers Celia. "Non, pitié, pas Celia". Elle s'agenouilla devant lui, caressa longuement son membre et le prit en bouche.
– Ça c'est une queue, me lança-t-elle sans se retourner.
Ma haine reprit le dessus, ce n'était plus de l'humiliation grisante mais une douloureuse torture. Il éjaculait régulièrement entre ses lèvres tout en se caressant les seins, visiblement aux anges, elle laissait couler sa semence sur ses seins jusqu'à ce que celle-ci aille se répandre sur le sol.
– Viens nettoyer petit porc, m'ordonna-t-elle la bouche pleine de sperme.
Celia me jeta un regard plus insistant, le premier de la soirée, signifiant qu'il appuyait cet ordre. Ne m'aimait-il plus ? Comme cette fois c'est à lui que j'obéissais, je m'exécutai sans rechigner. La plus baveuse des pipes s'arrêta au bout d'un quart d'heure, je finis de nettoyer la semence de mon amour puis relevai les yeux : horreur, son membre était en voie de prendre les proportions d'un manche, signe qu'il s'apprêtait à sodomiser quelqu'un. Je sus immédiatement que ce n'était pas à moi qu'était destiné cet honneur ; non, c'était à Muriel, mon humiliatrice désormais concurrente. Elle se pencha en avant, écarta les jambes pour lui offrir son anus...
– Celia, mais...
– Tais-toi ! Toujours en train de parler pour ne rien dire, m'interrompit-elle.
Son membre était désormais un manche, LE manche, une énorme verge au bout de laquelle pointait un gland profilé, fait pour pénétrer n'importe quelle intimité en douceur mais la remplir entièrement, totalement. Quand on est sodomisé par Celia, on ne souffre pas une seconde malgré les dimensions hors-normes de son sexe en l'état de super érection, on est terrassé de plaisir. Il est si doux et à la fois si puissant, sa progression est si parfaitement dosée que lorsque sa merveilleuse queue est entièrement rentrée, on souhaiterait qu'elle aille encore plus loin. Même si vous n'aimez pas la sodomie, être sodomisé par Celia est un délice.
Muriel gémissait et je savais qu'elle ne faisait pas semblant, je l'enviais. Violemment. Il allait et venait dans son cul à un rythme régulier, appuyé, la faisant brailler de contentement. Ailleurs, le temps était suspendu, plusieurs partenaires de jeu avaient cessé leurs ébats pour venir admirer la scène, beaucoup se masturbaient, hommes comme femmes, en attendant l'explosion finale.
Et moi ? Moi, rien. J'étais tellement jaloux que je n'avais pas envie de me branler avec les autres. Dépité et rageur, je m'approchai du couple en fusion pour caresser les seins de Celia qui se balançaient au gré de ses déhanchements, comme pour lui rappeler ma présence, "ne m'oublie pas, j'ai envie que tu me possèdes aussi, tout entier, c'est d'abord à toi que j'appartiens". Ses tétons étaient chauds, très durs, je les mordillais amoureusement, les léchais et les masturbais entre mes lèvres, tant et si bien que sa bouche dessina enfin un sourire. "Mon amour ! Merci, merci pour ce sourire". Je redoublai alors d'application et massai ses globes qui m'avaient tant troublé la première fois où il était apparu nu devant moi. Une femme avec un sexe d'homme.
Lorsque Muriel eut joui dans un cri qui déchira la nuit, Celia se retira et son membre reprit les proportions d'une érection ordinaire. Il n'en était pas moins beau, seulement différent, moins fascinant. Je m'approchai du cul de Muriel duquel dégoulinait le sperme de mon amour dans un flot sans fin, il l'avait tant remplie. Sa semence était encore bien chaude et plus délicieuse que jamais, j'en fis un festin.
Mais j'en voulais plus.
Mon érection était revenue, furieuse, et je voulais plonger dans cet orifice détrempé pour y noyer mon sexe. Je posai mes deux mains sur sa croupe et la sodomisai sans même lui en demander la permission. Était-ce parce qu'elle était encore sous le coup de son orgasme ou que son conduit dilaté par le manche de Celia sentait à peine la présence et la progression de ma verge ? Elle ne dit rien. Pénétrer son rectum tapissé de sperme et a fortiori du sperme de Celia était une première, c'était merveilleux.
– Ne te gêne surtout pas ! Pour qui tu te prends ?! me lança-t-elle soudain en se retournant.
– Excuse-moi, je n'ai pas pu résister.
– Je t'autorise à me lécher mais pas à me sodomiser !
– Trop tard, je suis rentré.
– Sale cochon, pervers, petite bite.
– Je m'en fous.
Et je m'en foutais, c'était vrai. Tout ce qu'elle pouvait dire n'avait plus d'importance, ce n'était pas son cul qui m'intéressait – bien qu'il fut splendide et très accueillant –, c'était son cul foutré par Celia.
Ma queue flottait presque dans ce trou plus que lubrifié et en ressortait régulièrement, je la réintroduisais sans relâche et sans précaution particulière, la douceur n'était pas à l'ordre du jour à l'adresse de cette salope qui ne s'était pas gênée pour me ridiculiser publiquement.
– Sale pédé, tu te crois fort parce que tu m'encules ? Tu n'es qu'une fiotte tout juste bonne à passer la serpillère.
– Tu crois que tu vaux mieux ? En attendant, c'est toi l'enculée.
– Si tu crois que je la sens, minable.
– Pas étonnant, ton cul est un tel garage à bites qu'il te faut toujours plus gros pour sentir quelque chose.
– Impuissant, branleur, frustré.
– Traînée, bouffeuse de pelouse, pipeuse de bas étage...
Qu'est-ce que ça fait du bien de se défouler ! Mais ni elle ni moi ne riions, j'avais toujours une dent contre cette vicieuse et elle me traitait comme elle l'avait toujours fait : quelqu'un d'inférieur qu'il était impératif d'humilier. Je tenais ma vengeance, même si je savais qu'elle m'avait fait subir largement pire. Cette sodomie ne la dérangeait pas plus que ça, peut-être même y prenait-elle un peu de plaisir, ou du moins pas de déplaisir. Qu'est-ce que c'était à côté de ce qu'elle m'avait fait, pas grand-chose. Cérébralement, je lui étais toujours inférieur et je le savais. Mais au moins, cette fois c'était elle l'enculée et moi l'enculeur.
Pas pour longtemps.
Debout derrière moi, Celia se tenait prêt à me posséder, je le sus dès que je sentis son gland effleurer ma peau. C'était le sien, je le reconnaissais entre mille. Il l'appuya entre mes fesses, sans chercher à rentrer, juste pour me signaler sa présence. Immédiatement, je me retirai de Muriel et me penchai pour laisser mon amour me sodomiser, il eut été impensable de le laisser attendre.
Cette pénétration dont j'avais tant voulu qu'elle se fasse en privé allait être publique. Qu'importe, ça faisait 5 jours que j'attendais ce moment, 5 longs jours que j'y pensais sans arrêt, j'étais en manque. Mes fesses s'ouvrirent et Celia, calmement, fit entrer son manche dans mon rectum bientôt comblé, je reconnaissais la forme de son gland qui dilata instantanément ma rondelle et s'introduisit lentement en moi. "Mon amour, remplis-moi, je suis à toi tout entier". Il progressait tel une vague que rien ne peut arrêter jusqu'à ce que je sente ses énormes couilles battre sur les miennes. Ça y est, il était au fond, et comme toujours j'avais envie qu'il aille encore plus loin. C'était si puissant que j'en tremble encore en écrivant ces lignes.
Après avoir pris possession des lieux, son membre entama ses va-et-vient méthodiques. Quand je perçus les premières salves de semence se répandre en moi, je ne pus m'empêcher d'exulter :
– Oui ! Oui mon amour !!
Comme d'habitude, il ne dit rien.
Profondément investi et foui par la femme avec un sexe d'homme, je ne voyais plus rien autour de nous, seul comptait le plaisir dont elle m'inondait. Au terme de plusieurs puissantes éjaculations, son sperme se mit à refouler à l'extérieur de mon trou et à couler sur mes cuisses. J'adorais plus que tout sentir sa semence rouler sur ma peau, elle parvint à mes chevilles puis sur le sol, le rendant glissant. Instable, je demandai à changer de position pour me mettre à quatre pattes et pouvoir m'agripper à un fauteuil, Celia me positionna et repris son défonçage méthodique. Il était d'ordinaire plus doux, cette fois il m'enculais violemment. Je transpirais de tout mon corps et pleurais de bonheur. Son orgasme continu était communicatif : sans même me masturber, j'éjaculai une première fois en beuglant. Il fit mine de l'ignorer et n'interrompit pas sa besogne, incendiant mon rectum tout entier.
Confusément, de loin en loin, je crus entendre des remarques :
– Je ne l'ai jamais vue sodomiser quelqu'un comme ça...
– Qu'est-ce qu'il prend, c'est dingue...
– Elle va l'exploser si elle continue...
– Vous croyez qu'il est encore conscient ?...
– Comment elle fait pour durer si longtemps...
Il n'y avait que moi qui parlais de Celia au masculin. Pour tous les autres, c'est une "elle".
À travers mes larmes, j'aperçus soudain le visage de Nathalie, il affichait un demi-sourire presque moqueur. Quand elle me dit :
– Tu peux toujours me jurer que c'est moi que tu aimes ?
– Pardon...
Je ne savais pas encore que je l'avais perdue.
Imperturbable, le manche de Celia poursuivit son travail de démolition. Pour la deuxième fois, je jouis sans me toucher. En jetant un regard vers le sol, je vis que mon sperme était de plus en plus liquide, ce qui ne s'expliquait pas seulement par le fait que c'était mon septième orgasme en moins de 24 heures : ma précédente éjaculation avait été la plus abondante que j'ai jamais produite. Il me vidait littéralement. J'avais la sensation d'être sous l'emprise d'un orgasme permanent.
Mon orifice anal était désormais invisible sous les flots de sperme qui s'en échappaient ; à chaque poussée, le manche de Celia expulsait une vague de foutre blanc qui ne coulait plus qu'en partie sur mes cuisses, il était littéralement projeté dans les airs. Mon cul ainsi que ma prostate me brûlaient, mon conduit était parcouru de picotements aux limites de la douleur. Mais j'avais tellement peur que ça s'arrête que mon cerveau faisait de cette douleur naissante un plaisir, je mentais à mon corps qui commençait à n'en plus pouvoir parce qu'il fallait que ça continue, que Celia me transcende définitivement, qu'il me sublime, qu'il imprime son sexe en moi de façon indélébile.
Pour la troisième fois, j'éjaculai un sperme maintenant complètement transparent et sans texture. Ma tête tournait et je perdais tout sens de l'équilibre. Pourquoi criais-je "encore !!!", pourquoi m'obstiner dans ce plaisir désormais dangereux ? Son manche ne faiblit pas une seconde et sa charge si fit même encore plus violente, il me labourait comme une furie, secouant tout mon corps qui encaissait de plus en plus difficilement les assauts. Mes genoux me portaient à peine, mes bras lâchaient prise régulièrement et je devais me rattraper tant bien que mal, embroché sur sa queue déchaînée. Crampes et points de douleur ponctuaient mon corps en plusieurs endroits mais je voulais encore, je voulais toujours lui appartenir et le sentir en moi.
– Celia, je crois qu'il faut que tu arrêtes, tu vas le tuer.
C'est Muriel qui avait prononcé ces mots terribles. Je les avais entendus, je pressentais qu'ils étaient vrais mais mon état orgasmique refusait de les admettre.
– Non. Non, qu'il continue ! Celia, continue !!
– Celia, avant qu'il soit trop tard, insista-t-elle.
Il comprit, se retira enfin et son membre repris ses proportions ordinaires.
En larmes et sentant, malgré un plaisir démentiel, mon anus et tout mon corps meurtris, je m'effondrai sur le sol dans une mare de sperme. Peu à peu, mon esprit revint à la réalité et mon regard rencontra celui de quelques témoins de la scène, ils me demandaient si ça allait, s'ils pouvaient faire quelque chose pour moi. Je fermai les yeux et quelques instants plus tard sombrai dans le sommeil.
J'apprendrai pas la suite que Celia m'aura sodomisé près de 2 heures durant, chose que je refusai de croire. Après cette soirée, il a disparu et je ne l'ai jamais revu. Nathalie m'a quitté et viré de son appartement. J'ai commencé une nouvelle vie avec... Muriel.
Sadique et fière, Muriel tenait dans sa main le slip avec lequel elle m'avait fait éponger mon sperme une heure plus tôt.
Pervers et perverses, nous l'étions plus ou moins tous et toutes, mais elle faisait de moi un pervers honteux, un minable qu'elle manipulait et ridiculisait avec une cruauté calculatrice. Il était établi que le respect avait remplacé la haine que j'avais à son égard mais il ne s'agissait pas encore de plaisir, ou du moins pas tout à fait. C'est vis-à-vis de Celia que j'étais réellement gêné, la moquerie éventuelle des autres m'importait peu.
– Si d'autres souhaitent qu'il se charge d'effacer les traces de votre plaisir après votre orgasme, messieurs, vous n'avez qu'un mot à dire.
– Il y a fort à craindre que son petit slip déjà taché n'y suffise pas, fit remarquer Noémie, presque hilare.
– Très juste. Mais rassurez-vous, notre pervers est un as de la lessive, il nous l'a prouvé à Nathalie et à moi il y a deux jours. Nous allons lui donner un seau dans lequel il pourra rincer sa tunique entre chaque nettoyage.
C'est ainsi qu'un manège infernal commença : à chaque demande d'un intéressé, je dus nettoyer sa semence échouée sur le sol ou ailleurs avec mon slip très vite poisseux. L'eau du seau se troubla rapidement, j'avais les mains et les avant-bras luisants de foutre, le rouge aux joues... et une érection qui incroyablement refusait de faiblir. Le plus souvent à quatre pattes, entièrement nu, je fus humilié comme jamais. Bien sûr, j'aurais pu me soustraire à cette épreuve, jeter le seau à la tête de Muriel et quitter la soirée, rien ni personne ne m'en aurait empêché, mais son emprise sur moi était incontestable et je ne cherchais pas à la contester.
Vautré sur des coussins, Celia se masturbait en me prêtant un regard distrait, il ne semblait ni choqué ni amusé. Quelques hommes ne se contentaient pas de me donner leur sperme à nettoyer, ils me demandaient de les branler pour les faire éjaculer directement dans mon seau qui contint bientôt presque autant de sperme que d'eau. Ainsi vaquais-je, de queue en queue, traînant mon fardeau et mon plaisir honteux. De temps à autre, je sentais une main me masturber que je remerciais chaudement jusqu'à ce que l'une d'entre elles me fasse jouir à mon tour, c'était encore celle de Muriel.
– Je savais que ça te plairait sale cochon. Tu t'es déjà branlé combien de fois aujourd'hui ?
– Une seule.
– Menteur. Tu n'as toujours pas envie de me sodomiser ?
– Peut-être...
– Trop tard, moi je n'ai plus envie, en plus elle est vraiment trop petite.
Sans un mot de plus, elle se détacha de moi et s'éloigna vers Celia. "Non, pitié, pas Celia". Elle s'agenouilla devant lui, caressa longuement son membre et le prit en bouche.
– Ça c'est une queue, me lança-t-elle sans se retourner.
Ma haine reprit le dessus, ce n'était plus de l'humiliation grisante mais une douloureuse torture. Il éjaculait régulièrement entre ses lèvres tout en se caressant les seins, visiblement aux anges, elle laissait couler sa semence sur ses seins jusqu'à ce que celle-ci aille se répandre sur le sol.
– Viens nettoyer petit porc, m'ordonna-t-elle la bouche pleine de sperme.
Celia me jeta un regard plus insistant, le premier de la soirée, signifiant qu'il appuyait cet ordre. Ne m'aimait-il plus ? Comme cette fois c'est à lui que j'obéissais, je m'exécutai sans rechigner. La plus baveuse des pipes s'arrêta au bout d'un quart d'heure, je finis de nettoyer la semence de mon amour puis relevai les yeux : horreur, son membre était en voie de prendre les proportions d'un manche, signe qu'il s'apprêtait à sodomiser quelqu'un. Je sus immédiatement que ce n'était pas à moi qu'était destiné cet honneur ; non, c'était à Muriel, mon humiliatrice désormais concurrente. Elle se pencha en avant, écarta les jambes pour lui offrir son anus...
– Celia, mais...
– Tais-toi ! Toujours en train de parler pour ne rien dire, m'interrompit-elle.
Son membre était désormais un manche, LE manche, une énorme verge au bout de laquelle pointait un gland profilé, fait pour pénétrer n'importe quelle intimité en douceur mais la remplir entièrement, totalement. Quand on est sodomisé par Celia, on ne souffre pas une seconde malgré les dimensions hors-normes de son sexe en l'état de super érection, on est terrassé de plaisir. Il est si doux et à la fois si puissant, sa progression est si parfaitement dosée que lorsque sa merveilleuse queue est entièrement rentrée, on souhaiterait qu'elle aille encore plus loin. Même si vous n'aimez pas la sodomie, être sodomisé par Celia est un délice.
Muriel gémissait et je savais qu'elle ne faisait pas semblant, je l'enviais. Violemment. Il allait et venait dans son cul à un rythme régulier, appuyé, la faisant brailler de contentement. Ailleurs, le temps était suspendu, plusieurs partenaires de jeu avaient cessé leurs ébats pour venir admirer la scène, beaucoup se masturbaient, hommes comme femmes, en attendant l'explosion finale.
Et moi ? Moi, rien. J'étais tellement jaloux que je n'avais pas envie de me branler avec les autres. Dépité et rageur, je m'approchai du couple en fusion pour caresser les seins de Celia qui se balançaient au gré de ses déhanchements, comme pour lui rappeler ma présence, "ne m'oublie pas, j'ai envie que tu me possèdes aussi, tout entier, c'est d'abord à toi que j'appartiens". Ses tétons étaient chauds, très durs, je les mordillais amoureusement, les léchais et les masturbais entre mes lèvres, tant et si bien que sa bouche dessina enfin un sourire. "Mon amour ! Merci, merci pour ce sourire". Je redoublai alors d'application et massai ses globes qui m'avaient tant troublé la première fois où il était apparu nu devant moi. Une femme avec un sexe d'homme.
Lorsque Muriel eut joui dans un cri qui déchira la nuit, Celia se retira et son membre reprit les proportions d'une érection ordinaire. Il n'en était pas moins beau, seulement différent, moins fascinant. Je m'approchai du cul de Muriel duquel dégoulinait le sperme de mon amour dans un flot sans fin, il l'avait tant remplie. Sa semence était encore bien chaude et plus délicieuse que jamais, j'en fis un festin.
Mais j'en voulais plus.
Mon érection était revenue, furieuse, et je voulais plonger dans cet orifice détrempé pour y noyer mon sexe. Je posai mes deux mains sur sa croupe et la sodomisai sans même lui en demander la permission. Était-ce parce qu'elle était encore sous le coup de son orgasme ou que son conduit dilaté par le manche de Celia sentait à peine la présence et la progression de ma verge ? Elle ne dit rien. Pénétrer son rectum tapissé de sperme et a fortiori du sperme de Celia était une première, c'était merveilleux.
– Ne te gêne surtout pas ! Pour qui tu te prends ?! me lança-t-elle soudain en se retournant.
– Excuse-moi, je n'ai pas pu résister.
– Je t'autorise à me lécher mais pas à me sodomiser !
– Trop tard, je suis rentré.
– Sale cochon, pervers, petite bite.
– Je m'en fous.
Et je m'en foutais, c'était vrai. Tout ce qu'elle pouvait dire n'avait plus d'importance, ce n'était pas son cul qui m'intéressait – bien qu'il fut splendide et très accueillant –, c'était son cul foutré par Celia.
Ma queue flottait presque dans ce trou plus que lubrifié et en ressortait régulièrement, je la réintroduisais sans relâche et sans précaution particulière, la douceur n'était pas à l'ordre du jour à l'adresse de cette salope qui ne s'était pas gênée pour me ridiculiser publiquement.
– Sale pédé, tu te crois fort parce que tu m'encules ? Tu n'es qu'une fiotte tout juste bonne à passer la serpillère.
– Tu crois que tu vaux mieux ? En attendant, c'est toi l'enculée.
– Si tu crois que je la sens, minable.
– Pas étonnant, ton cul est un tel garage à bites qu'il te faut toujours plus gros pour sentir quelque chose.
– Impuissant, branleur, frustré.
– Traînée, bouffeuse de pelouse, pipeuse de bas étage...
Qu'est-ce que ça fait du bien de se défouler ! Mais ni elle ni moi ne riions, j'avais toujours une dent contre cette vicieuse et elle me traitait comme elle l'avait toujours fait : quelqu'un d'inférieur qu'il était impératif d'humilier. Je tenais ma vengeance, même si je savais qu'elle m'avait fait subir largement pire. Cette sodomie ne la dérangeait pas plus que ça, peut-être même y prenait-elle un peu de plaisir, ou du moins pas de déplaisir. Qu'est-ce que c'était à côté de ce qu'elle m'avait fait, pas grand-chose. Cérébralement, je lui étais toujours inférieur et je le savais. Mais au moins, cette fois c'était elle l'enculée et moi l'enculeur.
Pas pour longtemps.
Debout derrière moi, Celia se tenait prêt à me posséder, je le sus dès que je sentis son gland effleurer ma peau. C'était le sien, je le reconnaissais entre mille. Il l'appuya entre mes fesses, sans chercher à rentrer, juste pour me signaler sa présence. Immédiatement, je me retirai de Muriel et me penchai pour laisser mon amour me sodomiser, il eut été impensable de le laisser attendre.
Cette pénétration dont j'avais tant voulu qu'elle se fasse en privé allait être publique. Qu'importe, ça faisait 5 jours que j'attendais ce moment, 5 longs jours que j'y pensais sans arrêt, j'étais en manque. Mes fesses s'ouvrirent et Celia, calmement, fit entrer son manche dans mon rectum bientôt comblé, je reconnaissais la forme de son gland qui dilata instantanément ma rondelle et s'introduisit lentement en moi. "Mon amour, remplis-moi, je suis à toi tout entier". Il progressait tel une vague que rien ne peut arrêter jusqu'à ce que je sente ses énormes couilles battre sur les miennes. Ça y est, il était au fond, et comme toujours j'avais envie qu'il aille encore plus loin. C'était si puissant que j'en tremble encore en écrivant ces lignes.
Après avoir pris possession des lieux, son membre entama ses va-et-vient méthodiques. Quand je perçus les premières salves de semence se répandre en moi, je ne pus m'empêcher d'exulter :
– Oui ! Oui mon amour !!
Comme d'habitude, il ne dit rien.
Profondément investi et foui par la femme avec un sexe d'homme, je ne voyais plus rien autour de nous, seul comptait le plaisir dont elle m'inondait. Au terme de plusieurs puissantes éjaculations, son sperme se mit à refouler à l'extérieur de mon trou et à couler sur mes cuisses. J'adorais plus que tout sentir sa semence rouler sur ma peau, elle parvint à mes chevilles puis sur le sol, le rendant glissant. Instable, je demandai à changer de position pour me mettre à quatre pattes et pouvoir m'agripper à un fauteuil, Celia me positionna et repris son défonçage méthodique. Il était d'ordinaire plus doux, cette fois il m'enculais violemment. Je transpirais de tout mon corps et pleurais de bonheur. Son orgasme continu était communicatif : sans même me masturber, j'éjaculai une première fois en beuglant. Il fit mine de l'ignorer et n'interrompit pas sa besogne, incendiant mon rectum tout entier.
Confusément, de loin en loin, je crus entendre des remarques :
– Je ne l'ai jamais vue sodomiser quelqu'un comme ça...
– Qu'est-ce qu'il prend, c'est dingue...
– Elle va l'exploser si elle continue...
– Vous croyez qu'il est encore conscient ?...
– Comment elle fait pour durer si longtemps...
Il n'y avait que moi qui parlais de Celia au masculin. Pour tous les autres, c'est une "elle".
À travers mes larmes, j'aperçus soudain le visage de Nathalie, il affichait un demi-sourire presque moqueur. Quand elle me dit :
– Tu peux toujours me jurer que c'est moi que tu aimes ?
– Pardon...
Je ne savais pas encore que je l'avais perdue.
Imperturbable, le manche de Celia poursuivit son travail de démolition. Pour la deuxième fois, je jouis sans me toucher. En jetant un regard vers le sol, je vis que mon sperme était de plus en plus liquide, ce qui ne s'expliquait pas seulement par le fait que c'était mon septième orgasme en moins de 24 heures : ma précédente éjaculation avait été la plus abondante que j'ai jamais produite. Il me vidait littéralement. J'avais la sensation d'être sous l'emprise d'un orgasme permanent.
Mon orifice anal était désormais invisible sous les flots de sperme qui s'en échappaient ; à chaque poussée, le manche de Celia expulsait une vague de foutre blanc qui ne coulait plus qu'en partie sur mes cuisses, il était littéralement projeté dans les airs. Mon cul ainsi que ma prostate me brûlaient, mon conduit était parcouru de picotements aux limites de la douleur. Mais j'avais tellement peur que ça s'arrête que mon cerveau faisait de cette douleur naissante un plaisir, je mentais à mon corps qui commençait à n'en plus pouvoir parce qu'il fallait que ça continue, que Celia me transcende définitivement, qu'il me sublime, qu'il imprime son sexe en moi de façon indélébile.
Pour la troisième fois, j'éjaculai un sperme maintenant complètement transparent et sans texture. Ma tête tournait et je perdais tout sens de l'équilibre. Pourquoi criais-je "encore !!!", pourquoi m'obstiner dans ce plaisir désormais dangereux ? Son manche ne faiblit pas une seconde et sa charge si fit même encore plus violente, il me labourait comme une furie, secouant tout mon corps qui encaissait de plus en plus difficilement les assauts. Mes genoux me portaient à peine, mes bras lâchaient prise régulièrement et je devais me rattraper tant bien que mal, embroché sur sa queue déchaînée. Crampes et points de douleur ponctuaient mon corps en plusieurs endroits mais je voulais encore, je voulais toujours lui appartenir et le sentir en moi.
– Celia, je crois qu'il faut que tu arrêtes, tu vas le tuer.
C'est Muriel qui avait prononcé ces mots terribles. Je les avais entendus, je pressentais qu'ils étaient vrais mais mon état orgasmique refusait de les admettre.
– Non. Non, qu'il continue ! Celia, continue !!
– Celia, avant qu'il soit trop tard, insista-t-elle.
Il comprit, se retira enfin et son membre repris ses proportions ordinaires.
En larmes et sentant, malgré un plaisir démentiel, mon anus et tout mon corps meurtris, je m'effondrai sur le sol dans une mare de sperme. Peu à peu, mon esprit revint à la réalité et mon regard rencontra celui de quelques témoins de la scène, ils me demandaient si ça allait, s'ils pouvaient faire quelque chose pour moi. Je fermai les yeux et quelques instants plus tard sombrai dans le sommeil.
J'apprendrai pas la suite que Celia m'aura sodomisé près de 2 heures durant, chose que je refusai de croire. Après cette soirée, il a disparu et je ne l'ai jamais revu. Nathalie m'a quitté et viré de son appartement. J'ai commencé une nouvelle vie avec... Muriel.
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