3 ans de pénitence - 12

- Par l'auteur HDS Mia-michael -
Auteur femme.
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Récit libertin : 3 ans de pénitence - 12 Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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3 ans de pénitence - 12
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Cours de gym.
************On arrive quand même à se parler, surtout de ce qui va arriver. J'apprends que ce couvent, qui aurait fait les délices du marquis de Sade, est un authentique couvent et que l'évêque serait aussi vraiment un évêque. Peut être légèrement en froid avec le Vatican ? Je préfère penses que ce qui se passe ici, reste un secret. . Les parents qui envoient leur fille là, le font en connaissance de cause. Ils reçoivent une somme d'argent et sont débarrassés d'un enfant qui a une grosse tendance à faire des boulettes. Mais dans mon cas, je reconnais qu'essayer de tuer sa belle mère, c'est un peu plus qu'une boulette.
Dans la foulée, l'évêques en a fait un lieu où les riches peuvent réaliser leurs fantasmes. Je suppose que l'argent que mon père a reçu lui a permis de rénover une partie du toit de son château. Qu'ils aillent brûler en enfer, mon père, ma belle mère et leur château... Non, quand même pas mon père... Passons.
J'apprends aussi qu'au début, on est dans la phase dressage, destinée à nous rendre aussi obéissantes qu'une droguée en manque. Cette période peut durer de un à trois mois. Dès qu'on a appris à ramper aux pieds de tout le monde et qu'on obéit au doigt et à l'œil, on passe au niveau supérieur, appelé "Entairtenment", autrement dit "Divertissement". Ce qui signifie qu’on ne sert plus qu’à divertir les clients.
Ceux qui ont les moyens viennent faire un séjour dans le couvent, les cellules des nonnes ou des moines étant les plus onéreuses. Derrière ce bâtiment, il y a aussi une grande annexe de luxe avec spa. Les filles dressées deviennent femmes de chambre, serveuses, masseuses dans le spa, mais elles doivent aussi savoir danser et chanter pour distraire les clients. Sexuellement, elles doivent être capables de satisfaire les moindres désirs de ces gens.
Chaque semaine, on monte une pièce de théâtre afin que les clients puissent réaliser leurs fantasmes devant des spectateurs. Les filles me disent qu'on est punies si un client le désire, mais que c'est beaucoup moins dur que le dressage. Hélas, je suis encore en plein dressage, un mot qui dit bien ce qu'il veut dire.
Une fille qui est ici depuis un mois me prévient qu'on ne sait jamais à quelle sauce ils vont nous manger le lendemain: classe de soumission (l'horreur!), cours d'éducation sexuelle, gymnastique épuisante... plus différentes activités que je n'étais pas du tout pressée de découvrir. C'était sans doute les clients qui décidaient de ce qu'ils souhaitent voir et à quoi ils ont envie de participer.
Ce matin, après le petit déjeuner obligatoire, une mère vient dire à notre table : — Vous toutes, à la salle de gymnastique et au trot!
— Oui, ma mère.
Nous sommes douze à nous dépêcher d'aller dans des vestiaires.
Il y a un gros tas de vêtements par terre. C’est franchement sale, je veux dire qu'ils ont déjà beaucoup été portés par d'autres filles pour faire la gym. L'évêque doit être un fervent défenseur du manque d'hygiène, ou bien ça fait partie du dressage, ou les deux. Comme partout, je me rends compte que les profs de gym et leurs assistants, ce sont des clients déguisés. Dans ce cas-ci, ce sont trois hommes et une femme. Un de ces types pèse plus de 100 kg et il a l'air de tout (ce qui est gros) sauf d'un prof de gym. Les deux autres hommes ont la cinquantaine, la femme a la trentaine...
On doit d’abord se mettre totalement nues. Ensuite on peut pêcher dans le tas de vêtements, un short par-ci, un tee-shirt par-là, des chaussettes, des baskets... Comme par hasard, ces vêtements sont vraiment petits. Les shorts nous rentrent entre les fesses et les tee-shirts sont tellement échancrés sur les côtés qu'au moindre mouvement, un nichon va sortir. Bah, au moins, ça ne fait pas mal.
Le gros homme s'adresse à la femme et lui dit : — Puisque tu as grossi, tu vas faire la gym avec les filles.
La femme grimace en répondant : — Je t'en prie, mon chéri... c'était juste un moment de faiblesse, je te jure que...
Il la coupe en s'adressant aux deux hommes : — Vous pourriez déshabiller ma femme?
Oh oui, ils peuvent! Ils lui sautent dessus et en quelques minutes, elle est aussi nue que je jour de sa naissance. Et tout aussi imberbe, car sa chatte est soigneusement épilée, ce qui était très rare dans les années 50. Elle prend vite des vêtements sales pour s'habiller.
À mon avis, elle a dû s'envoyer en l'air avec le chauffeur ou le prof de yoga. En tout cas, elle a l'air encore plus dégoûtée que nous en enfilant des chaussettes sales.
On va dans une très grande salle de gym. Il y a des espaliers, des cordes accrochées au plafond et même un ring. Mais il y a aussi des spectateurs, comme pour toutes les activités du couvent. Cinq hommes, deux femmes, tous bien habillés, sûrs d'eux et dominateurs, comme les riches savent être. Oui, comme mon père, ma belle mère et toute la famille.
Le mari s'adresse à un des deux hommes : — Je te laisse faire.
— D'accord.
Il se tourne vers nous et ordonne : — Mettez-vous sur trois rangs, à cinquante centimètres l'une de l'autre et à un mètre de distance du rang suivant.
Ça a l'air simple, mais on a du mal à le faire. Aussitôt, l'homme prend une longue baguette flexible. Une fille m'a dit que cette badine était faite en fanons de baleine. J'en prends vite un coup sur les cuisses, d'autres filles aussi. Par conséquent, on trouve vite comment se mettre en rang. Il nous dit : — Chaque fois que je sifflerai, vous vous replacerez immédiatement de la même façon. Compris?
— Oui, Monsieur.
Il nous indique une ligne sur le sol le long d'un mur et nous dit : — Vous allez faire cinq fois le tour de la salle, le plus vite possible.
On va toutes se mettre derrière la ligne, mais il y en a qui poussent pour se mettre devant. Le "prof" siffle et on démarre. Rapidement, plusieurs filles prennent la tête. Après quelques minutes, on a fait les cinq tours. Le prof siffle et on s'arrête. Moi, je suis dans les dernières avec la femme du gros type. Le prof dit : — Les quatre dernières devant moi.
On y va. Aie, aie! Que va-t-il nous arriver? Il nous dit : — Pourquoi êtes-vous les dernières?
Je pense: "Parce qu'on court moins vite que les autres, connard!" mais je ne lui réponds, évidemment, rien. Les autres non plus. Il nous continue : — C'est peut-être parce que vos shorts vous gênent. Enlevez-les.
Il lève sa badine, on enlève aussitôt nos shorts. On va être obligées de faire de la gym avec les fesses et la chatte à l'air. Bande de pervers! Le prof nous dit : — Vous allez toutes venir me présenter vos fesses et je vous donnerai un coup de fouet. Ensuite, on refera la course et les dernières en recevront dix. Toi, ici...
Ma voisine va lui tendre ses fesses. S'ensuit le sifflement de la badine et le cri de la fille : — Aaaaiiieeeee!
Il lui dit : — Retourne avec les autres.
Il me regarde et dit : — À toi.
Au secours! Fwwwwiiiii… — Aaaaiiieeeee!
Une brûlure intense me traverse les fesses, d'une hanche à l'autre. Je les frotte en dansant sur place, tandis qu'il me jette : — Dégage!
Ensuite, c'est au tour des autres : Fwwwwiiiii!
— Aaaaiiieeeee!
Fwwwwiiiii!
— Aaaaiiieeeee!
Les deux filles viennent nous rejoindre et se frottent les fesses en gémissant, comme nous.
Le prof donne un coup de sifflet. On se met à courir. Je ne pense plus à ma nudité, la seule chose qui compte, c'est de ne plus arriver dernière. Et ça marche, on court aussi vite qu'on peut, en filant même de temps en temps un petit coup de coude à une rivale, donc ce sont quatre autres qui arrivent dernières.

Le prof dit : — Il me faut des volontaires pour les tenir. Les spectateurs se précipitent, l’air ravi. Ils savent ce qu'ils vont pouvoir faire. Ils prennent les filles, les déculottent et les maintiennent penchées sur un banc, les fesses en l'air. Le prof donne des badines à trois hommes et une femme.
Et ça repart, les sifflements des badines, les cris des filles, mais cette fois-ci, c'est multiplié par quatre, puisqu'il y a quatre filles fouettées en même temps et même par dix, puisqu'il y a dix coups de badines. C'est une cacophonie de "Fwwwwiiiii!" et de "Aaaaiiieeeee!" Quand elles reviennent se mettre dans le groupe, elles ont les fesses striées de rouge. Le prof siffle et ça repart. On court le plus vite possible. À l'arrivée, on est toutes hors d’haleine. Le prof ne se préoccupe pas des dernières. Les filles déjà fouettées ne le sont plus, ce sont les quatre "élèves" encore en short qui doivent l'enlever pour recevoir des coups de fouet. C'est injuste, comme d’habitude dans ce couvent. Pour faire bonne mesure, moi et les trois filles qui n'ont reçu qu'un coup de badine, nous en recevons également dix.
Quelle horreur! J'ai l'impression qu'on trempe mon derrière dans un volcan plein de lave en fusion. Quand c'est fini et que je pleure de mal avec les autres, je sens que la badine a laissé des marques en relief mais ça ne saigne pas. C'est la règle ici, jamais de vraies blessures, afin que les pensionnaires restent constamment disponibles.
Ensuite le "prof" crie : — Arrêtez de pleurnicher ou vous en prenez dix autres sur le cul.
C'est magique, on se tait.
Il siffle et on se met vite en rang. Il dit : — Enlevez le reste de vos vêtements.
On se déshabille toutes entièrement. Nous sommes donc une douzaine de filles complètement nues avec les fesses barrées de marques brûlantes. Le prof nous ordonne : — Écartez les jambes et touchez le sol avec les mains sans plier les genoux. Je vous dirai quand arrêter.
On le fait toutes, il doit y avoir douze chattes bien visibles dans cette position. Après cinq minutes, il nous donne un autre ordre : — Stop, maintenant sautez sur place.
On se met toutes à sauter. Je vois les fesses de la fille qui est devant moi monter et descendre. Moi, j'ai une petite poitrine mais il y a des filles dont les seins vont et viennent lourdement.


On se prend toutes des coups de badines sur les cuisses et les mollets, sous prétexte qu'on ne saute pas assez haut. Ça dure bien un quart d'heure, on rouges, suantes et à bout de souffle quand il nous permet d'arrêter. Maintenant, on a de nouveau les jambes complètement marquées par les coups.


Le prof annonce : — Vous pouvez aller boire.
On se précipite toutes vers une table où il y a des bouteilles d'eau. Quand on a bu, le prof demande aux spectateurs : — Tout le monde a le forfait A+?
Je suppose qu'ils ont effectivement tous le package "blow job and all sex included" (pipes et sexes compris) et évidemment, ça va être difficile de refuser quelque chose à des gens qui ont une badine en main.

À suivre.

Pour tous renseignements, concernant mia, sa vie, ses livres : mia.michael@hotmail.fr

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