3 ans de pénitence - 7
Récit érotique écrit par Mia-michael [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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3 ans de pénitence - 7
Un sale goût en bouche !
La Mère nous dit: — Maintenant vous allez faire 69, Sophie en dessous.
— Je n'ai jamais rien fait avec une fille, ma Mère, et je ne sais pas ce que c'est, 69.
Sophie rigole et dit: — Elle est une pucelle ma Mère, c'est mignon, hein?
Elle m'embrasse sur la bouche. Cette fille n'est vraiment pas dégoûtée, étant donné que je viens de lui lécher le cul.
J'ai la langue de Sophie dans la bouche et trois doigts de la Mère dans la chatte. C'est de la folie! La Mère me dit: — Couche-toi sur le dos, on va te montrer ce que c'est, un 69.
Je me couche et Sophie vient carrément s'asseoir sur mon visage. Elle s’allonge sur moi et je sens son visage sur mon pubis.
J'ai la bouche sur son sexe et mon nez sur son anus. La Mère me dit: — Tu vois pourquoi je t'ai fait lécher son trou du cul, parce dans le 69, tu as le nez dedans.
Elle se met à rire et ajoute: — Mais le trou du cul de Sophie sent délicieusement bon, tu ne trouves pas?
Je bredouille: — Oui ma Mère.
Pas facile de parler quand on a une chatte mouillée sur la bouche… Elle donne une bonne claque sur les fesses de Sophie qui sont sous mes yeux, en disant: — Vous avez 5 minutes pour jouir, les filles. Attention, il y a une punition pour celle qui n'obéit pas.
Elle est folle! Comme si on pouvait jouir sur commande! Sophie doit avoir une longue habitude de lécher une chatte, parce que j'ai l'impression que la mienne se trouve soudain dans... une machine à laver. Cette comparaison me vient parce qu'elle met plein de salive et qu'elle lèche ma chatte à toute allure. Oh! C'est terrible l'effet que ça me fait. J'essaye de m’y prendre comme elle, mais elle est toute mouillée et puis son odeur quand même assez forte et je n'ai pas l'habitude et... c'est incroyable, mais, je jouis... oooohhhhhhhh....
Elle continue à lécher un peu... puis se relève.
Je suis ennuyée vis-à-vis d'elle, car je n'ai pas réussi à lui donner un orgasme et qu’elle va être punie. Je lui dis: — Pardon si je n'ai pas réussi à vous faire jouir.
La Mère répond: — Ah non, tu n'as rien compris, c'est celle qui n'a pas réussi à faire jouir l'autre qui est punie.
— Mais c'est la première fois que...
PAF!
Elle vient de me donner une gifle qui a bien claqué sur ma joue.
— Aaaiie! Mais pourquoi...
PAF!
Une seconde gifle m’a frappée au même endroit, la joue gauche.
— Aaaaiie!
Chaque fois que tu diras "mais", "pourquoi", "non" ou des mots dans le même genre, tu seras giflée.
— Oui ma Mère.
— Voilà, comme ça, c’est bien.
On se rhabille, moi avec une joue encore rouge et brûlante, ensuite on retourne à la cuisine.
Qu'est-ce qui va encore m'arriver?
Les deux autres filles ont soigneusement briqué les marmites qui brillent, maintenant. La Mère prend un pot moutarde dans une armoire et une cuiller à soupe. Elle m’annonce: — Comme tu n'as pas réussi à faire jouir ma petite Sophie, on va punir ta bouche et ta langue de fainéante. Correct, non?
NON!! Je vois qu'il est écrit « Moutarde de Dijon » extra-forte sur le pot. Quelle horreur!
La Mère me prend par une oreille et la tire violemment en disant: — Je t'ai posé une question, tu es sourde?
— Aaaiiiee! Oui c'est correct, ma Mère. Aaaiiieee, mon oreille!
Après qu’elle a lâché mon oreille, je la frotte avec les larmes aux yeux. Elle plonge sa cuiller à soupe dans la moutarde et la ressort bien remplie. Elle m’ordonne: — Ouvre la bouche!
Que faire, si ce n'est obéir? J'ouvre mes lèvres et elle met la cuiller entre elles en disant: — Garde bien la moutarde dans ta bouche.
Je fais ce qu'elle dit. Elle retire la cuiller, ça commence aussitôt à me piquer et à me brûler les muqueuses. Je suis sûrement devenue encore plus rouge et bientôt j'aurai de la fumée qui me sortira des oreilles. Je mets mes mains devant ma bouche pour ne pas avoir le réflexe de cracher cette horreur. Je me dandine d'un pied sur l'autre, le palais et la langue en feu.
Au bout d'un moment, elle me dit: — Avale!
Ouch! De la lave en fusion descend dans mon œsophage.
La Mère, Sophie et les deux autres filles me regardent, ravies du spectacle de mes grimaces.
J'essaye de saliver le plus possible pour calmer ce feu dans mon gosier. La Mère me dit: — Ça, c'est pour avoir léché mollement la chatte de Sophie et pour avoir dit des mots interdits.
— Ooouiii ma Mère, mais ça brûûûllle.
Elle prend du pain, me le tend en disant: — Tiens, mange ça.
— Merciiii ma Mèèère...
Je mets une grosse bouchée de pain dans ma bouche, tandis qu'elle pousse un gros soupir et dit: — Je suis trop bonne.
Les trois filles approuvent: — C'est vrai ma Mère!
Oui, elles sont bien dressées.
La Mère s’adresse à elles: — Je sors un moment avec Sophie, qu'est-ce qui vous reste à faire?
— Nettoyer le sol et le feu de bois, ma Mère.
— Vous pouvez faire travailler la bouffeuse de moutarde à votre place.
— Oh, merci ma Mère!
— Si elle n'obéit pas bien, vous pouvez lui donner quelques coups sur les fesses et les cuisses avec une cuiller en bois.
— Merci ma Mère, vous êtes une sainte.
Elles sont folles! Ou alors, elles diraient n'importe quoi pour s'attirer les bonnes grâces de cette grosse salope de nonne.
Les filles me regardent avec... gourmandise. Rien n'est plus cruel qu'un esclave qui devient maître. Je me soumets d’avance: — Je ferai tout ce que vous dites.
— Tu dois commencer par nous appeler Mademoiselle Lucie et Mademoiselle Jeanne.
— Oui Mademoiselle Lucie.
— Bien. Pour commencer, embrasse nos pieds pour prouver ta soumission.
— Oui Mademoiselle Lucie.
Je me mets à genoux et je me penche sur leurs pieds, elles sont en vêtements de travail, c'est-à-dire un genre de robe tablier assez courte, qui a l'air de sortir d'une poubelle. Aux pieds, elles ont des sandales qui proviennent du même endroit. Je couvre leurs pieds de baisers mouillés. C'est humiliant et dégoûtant, mais ça ne fait pas mal.
Elles rient toutes les deux. Jeanne y va de sa remarque: — Tu as l'air d'aimer embrasser nos pieds, petite souillon.
Je bredouille: — Oui Mademoiselle.
— C'est bon, relève-toi mais reste à genoux et ne bouge pas.
J'obéis tout de suite. Embrasser leurs pieds, c'est dégoûtant. Mais ce qui est vraiment dégoûtant aussi, c'est le sol de la cuisine. Le bâtiment est ancien et son sol inégal est recouvert de dalles abîmées. Il y a des déchets de légumes et on a marché avec des chaussures boueuses. Quant au feu de bois, il y a encore quelques morceaux de bûches qui se consument, et plein de cendres.
Elles vont chercher une vieille caisse en carton, un seau avec de l'eau claire, un autre avec de l'eau savonneuse, une brosse dure à tenir en main et une vieille serpillière.
Lucie me donne ses consignes: — Tu mets les détritus dans la caisse, ensuite tu brosses le sol avec l'eau savonneuse et tu rinces. Il faut que ce soit impeccable. Tu lécheras le sol et s'il reste une crasse dans un coin, tu le boufferas. Compris?
— Oui Mademoiselle Lucie.
Je commence par ramasser les saletés qui sont par terre. Cette cuisine est immense et je dois avancer sur mes genoux… Jeanne, l'autre garce, intervient: — Elle est beaucoup trop lente, ce ne sera jamais fini à temps. Qu'en pensez-vous Mademoiselle Lucie?
— Tout à fait d'accord avec vous, Mademoiselle Jeanne.
Ah, elles s'amusent bien!
Jeanne m’ordonne sèchement: — Mets-toi à quatre pattes!
Quand c’est fait, elle remonte ma jupe d'uniforme et descend ma culotte jusqu'aux genoux. Elle ajoute: — Ça va te gêner. Mets-toi debout, enlève ta jupe et ta culotte, souillon.
Je ne peux faire qu'obéir. Quand je me remets à quatre pattes, les fesses hélas on ne peut mieux exposées, une des deux me dit: — On la stimule?
— Excellente idée!
Elles prennent des grandes cuillers en bois et se mettent à frapper sur le bas de mes reins.
Je crie: — AAAAIIIIEEEE! Ça fait mal!
— Alors travaille plus vite, fainéante!
Je me mets à ramasser le plus vite que je peux. Ouf, elles arrêtent de me frapper.
Jeanne fait remarquer: — Ça fait quand même des jolies marques, ces cuillers.
— Oui et puis comme ça, on ne risque pas de manquer son gros cul. Aaah! Elle ralentit!
— NON!! AAAAIIIEEE!!!
À nouveau, je prends une dizaine de coups de cuiller sur les fesses. Je ramasse à toute allure.
A suivre.
Si vous aimez mes histoires, vous aimerez mes livres, tous renseignements, ici : mia.michael@hotmail.fr
La Mère nous dit: — Maintenant vous allez faire 69, Sophie en dessous.
— Je n'ai jamais rien fait avec une fille, ma Mère, et je ne sais pas ce que c'est, 69.
Sophie rigole et dit: — Elle est une pucelle ma Mère, c'est mignon, hein?
Elle m'embrasse sur la bouche. Cette fille n'est vraiment pas dégoûtée, étant donné que je viens de lui lécher le cul.
J'ai la langue de Sophie dans la bouche et trois doigts de la Mère dans la chatte. C'est de la folie! La Mère me dit: — Couche-toi sur le dos, on va te montrer ce que c'est, un 69.
Je me couche et Sophie vient carrément s'asseoir sur mon visage. Elle s’allonge sur moi et je sens son visage sur mon pubis.
J'ai la bouche sur son sexe et mon nez sur son anus. La Mère me dit: — Tu vois pourquoi je t'ai fait lécher son trou du cul, parce dans le 69, tu as le nez dedans.
Elle se met à rire et ajoute: — Mais le trou du cul de Sophie sent délicieusement bon, tu ne trouves pas?
Je bredouille: — Oui ma Mère.
Pas facile de parler quand on a une chatte mouillée sur la bouche… Elle donne une bonne claque sur les fesses de Sophie qui sont sous mes yeux, en disant: — Vous avez 5 minutes pour jouir, les filles. Attention, il y a une punition pour celle qui n'obéit pas.
Elle est folle! Comme si on pouvait jouir sur commande! Sophie doit avoir une longue habitude de lécher une chatte, parce que j'ai l'impression que la mienne se trouve soudain dans... une machine à laver. Cette comparaison me vient parce qu'elle met plein de salive et qu'elle lèche ma chatte à toute allure. Oh! C'est terrible l'effet que ça me fait. J'essaye de m’y prendre comme elle, mais elle est toute mouillée et puis son odeur quand même assez forte et je n'ai pas l'habitude et... c'est incroyable, mais, je jouis... oooohhhhhhhh....
Elle continue à lécher un peu... puis se relève.
Je suis ennuyée vis-à-vis d'elle, car je n'ai pas réussi à lui donner un orgasme et qu’elle va être punie. Je lui dis: — Pardon si je n'ai pas réussi à vous faire jouir.
La Mère répond: — Ah non, tu n'as rien compris, c'est celle qui n'a pas réussi à faire jouir l'autre qui est punie.
— Mais c'est la première fois que...
PAF!
Elle vient de me donner une gifle qui a bien claqué sur ma joue.
— Aaaiie! Mais pourquoi...
PAF!
Une seconde gifle m’a frappée au même endroit, la joue gauche.
— Aaaaiie!
Chaque fois que tu diras "mais", "pourquoi", "non" ou des mots dans le même genre, tu seras giflée.
— Oui ma Mère.
— Voilà, comme ça, c’est bien.
On se rhabille, moi avec une joue encore rouge et brûlante, ensuite on retourne à la cuisine.
Qu'est-ce qui va encore m'arriver?
Les deux autres filles ont soigneusement briqué les marmites qui brillent, maintenant. La Mère prend un pot moutarde dans une armoire et une cuiller à soupe. Elle m’annonce: — Comme tu n'as pas réussi à faire jouir ma petite Sophie, on va punir ta bouche et ta langue de fainéante. Correct, non?
NON!! Je vois qu'il est écrit « Moutarde de Dijon » extra-forte sur le pot. Quelle horreur!
La Mère me prend par une oreille et la tire violemment en disant: — Je t'ai posé une question, tu es sourde?
— Aaaiiiee! Oui c'est correct, ma Mère. Aaaiiieee, mon oreille!
Après qu’elle a lâché mon oreille, je la frotte avec les larmes aux yeux. Elle plonge sa cuiller à soupe dans la moutarde et la ressort bien remplie. Elle m’ordonne: — Ouvre la bouche!
Que faire, si ce n'est obéir? J'ouvre mes lèvres et elle met la cuiller entre elles en disant: — Garde bien la moutarde dans ta bouche.
Je fais ce qu'elle dit. Elle retire la cuiller, ça commence aussitôt à me piquer et à me brûler les muqueuses. Je suis sûrement devenue encore plus rouge et bientôt j'aurai de la fumée qui me sortira des oreilles. Je mets mes mains devant ma bouche pour ne pas avoir le réflexe de cracher cette horreur. Je me dandine d'un pied sur l'autre, le palais et la langue en feu.
Au bout d'un moment, elle me dit: — Avale!
Ouch! De la lave en fusion descend dans mon œsophage.
La Mère, Sophie et les deux autres filles me regardent, ravies du spectacle de mes grimaces.
J'essaye de saliver le plus possible pour calmer ce feu dans mon gosier. La Mère me dit: — Ça, c'est pour avoir léché mollement la chatte de Sophie et pour avoir dit des mots interdits.
— Ooouiii ma Mère, mais ça brûûûllle.
Elle prend du pain, me le tend en disant: — Tiens, mange ça.
— Merciiii ma Mèèère...
Je mets une grosse bouchée de pain dans ma bouche, tandis qu'elle pousse un gros soupir et dit: — Je suis trop bonne.
Les trois filles approuvent: — C'est vrai ma Mère!
Oui, elles sont bien dressées.
La Mère s’adresse à elles: — Je sors un moment avec Sophie, qu'est-ce qui vous reste à faire?
— Nettoyer le sol et le feu de bois, ma Mère.
— Vous pouvez faire travailler la bouffeuse de moutarde à votre place.
— Oh, merci ma Mère!
— Si elle n'obéit pas bien, vous pouvez lui donner quelques coups sur les fesses et les cuisses avec une cuiller en bois.
— Merci ma Mère, vous êtes une sainte.
Elles sont folles! Ou alors, elles diraient n'importe quoi pour s'attirer les bonnes grâces de cette grosse salope de nonne.
Les filles me regardent avec... gourmandise. Rien n'est plus cruel qu'un esclave qui devient maître. Je me soumets d’avance: — Je ferai tout ce que vous dites.
— Tu dois commencer par nous appeler Mademoiselle Lucie et Mademoiselle Jeanne.
— Oui Mademoiselle Lucie.
— Bien. Pour commencer, embrasse nos pieds pour prouver ta soumission.
— Oui Mademoiselle Lucie.
Je me mets à genoux et je me penche sur leurs pieds, elles sont en vêtements de travail, c'est-à-dire un genre de robe tablier assez courte, qui a l'air de sortir d'une poubelle. Aux pieds, elles ont des sandales qui proviennent du même endroit. Je couvre leurs pieds de baisers mouillés. C'est humiliant et dégoûtant, mais ça ne fait pas mal.
Elles rient toutes les deux. Jeanne y va de sa remarque: — Tu as l'air d'aimer embrasser nos pieds, petite souillon.
Je bredouille: — Oui Mademoiselle.
— C'est bon, relève-toi mais reste à genoux et ne bouge pas.
J'obéis tout de suite. Embrasser leurs pieds, c'est dégoûtant. Mais ce qui est vraiment dégoûtant aussi, c'est le sol de la cuisine. Le bâtiment est ancien et son sol inégal est recouvert de dalles abîmées. Il y a des déchets de légumes et on a marché avec des chaussures boueuses. Quant au feu de bois, il y a encore quelques morceaux de bûches qui se consument, et plein de cendres.
Elles vont chercher une vieille caisse en carton, un seau avec de l'eau claire, un autre avec de l'eau savonneuse, une brosse dure à tenir en main et une vieille serpillière.
Lucie me donne ses consignes: — Tu mets les détritus dans la caisse, ensuite tu brosses le sol avec l'eau savonneuse et tu rinces. Il faut que ce soit impeccable. Tu lécheras le sol et s'il reste une crasse dans un coin, tu le boufferas. Compris?
— Oui Mademoiselle Lucie.
Je commence par ramasser les saletés qui sont par terre. Cette cuisine est immense et je dois avancer sur mes genoux… Jeanne, l'autre garce, intervient: — Elle est beaucoup trop lente, ce ne sera jamais fini à temps. Qu'en pensez-vous Mademoiselle Lucie?
— Tout à fait d'accord avec vous, Mademoiselle Jeanne.
Ah, elles s'amusent bien!
Jeanne m’ordonne sèchement: — Mets-toi à quatre pattes!
Quand c’est fait, elle remonte ma jupe d'uniforme et descend ma culotte jusqu'aux genoux. Elle ajoute: — Ça va te gêner. Mets-toi debout, enlève ta jupe et ta culotte, souillon.
Je ne peux faire qu'obéir. Quand je me remets à quatre pattes, les fesses hélas on ne peut mieux exposées, une des deux me dit: — On la stimule?
— Excellente idée!
Elles prennent des grandes cuillers en bois et se mettent à frapper sur le bas de mes reins.
Je crie: — AAAAIIIIEEEE! Ça fait mal!
— Alors travaille plus vite, fainéante!
Je me mets à ramasser le plus vite que je peux. Ouf, elles arrêtent de me frapper.
Jeanne fait remarquer: — Ça fait quand même des jolies marques, ces cuillers.
— Oui et puis comme ça, on ne risque pas de manquer son gros cul. Aaah! Elle ralentit!
— NON!! AAAAIIIEEE!!!
À nouveau, je prends une dizaine de coups de cuiller sur les fesses. Je ramasse à toute allure.
A suivre.
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Fantasme ou réalité arrangée, quoiqu'il en soit, c'est agréable à lire, en tout cas certainement plus qu'à vivre...