3 filles, 5 mecs, ça partouze de partout
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2010 dans la catégorie Plus on est
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3 filles, 5 mecs, ça partouze de partout
J’ai les numéros des deux gars de l’autoroute et celui du sex-shop. J’appelle le patron pour qu’il donne mon numéro au mec soumis. Il m’appelle et je lui demande de voir le mec que ma blonde a longuement sucé pour qu’il me contacte. Après de nombreux appels aux uns et aux autres on finit par s’entendre. Ce sera un dimanche après midi, notre invité pédé ne voulant pas manquer son samedi au sex-shop. Pour le lieu, ce sera chez le vieux de l’autoroute. Il est veuf, seul, et a gardé son grand appartement. Enfin et surtout, rien ne se fera sans le consentement de l’autre.
Le dimanche matin j’emmène ma petite poupée chez elle, sagement. On n’a pas de rendez vous sur l’aire d’autoroute, et on ne baise pas chez elle. On se réserve pour notre partie.
A 13h on est au pied de la résidence, Patricia et Marie nous attendent. On monte, notre hôte nous ouvre, les autres sont déjà là. Je propose que l’on se présente, je commence et les autres suivent:
- Eric, 51 ans, 17x4, et j’espère satisfaire nos trois jolies invitées, sans oublié notre jeune ami.
- Guillaume, 24 ans, 18x3,5, prêt à vous démontrer qu’un mec vaut une femme.
- Manu, 34 ans, 19x4,3, au service de ces dames et de monsieur.
- Jean-claude, 67 ans, 16x5,2, au service de tous.
- Jacques, 61 ans, 22x5, pour ces demoiselles et ce jeune homme
- Patricia, 35 ans, offerte sans interdits. Et je vous présente Marie, 22 ans, ma petite chérie débutante, qui ne vous offrira peut-être que sa bouche, mais c’est un début.
- Joëlle, 22 ans, offerte aussi à part les deux grosses queues que je ne veux pas dans le cul.
Il y a une grand séjour et salon, on pousse les meubles, tables, chaises, canapé, fauteuils, et on récupère un matelas, alèse et drap housse, dans chacune des trois chambres, pour les installer côte à côte au milieu de la pièce. On se déshabille.
Les trois filles et Guillaume sont entièrement nus, alors que nous gardons nos dessous, slip, boxer, ou caleçons. Sans perdre de temps Joëlle et Marie s’installent sur le canapé pour nous observer tout en s’embrassant et jouant à touche pipi. On est debout, les quatre prétendus vrais mâles, et Patricia et Guillaume sont accroupis face à nous, elle devant Manu et Jacques, lui devant Jean-claude et moi. Il s’occupe de moi et elle de Manu. Ils nous caressent à travers le tissu, nous font bander, déballent notre service trois pièces, et enlèvent notre dessous tout en nous suçant. C’est maintenant au tour des deux autres. Elle dégage le manche de Jacques :
- Cette queue ! Joëlle me l’avait dit mais je n’y croyais pas. Jamais vu un engin pareil.
Elle le prend en bouche et savoure cet énorme sucre d’orge dans l’espoir de le faire fondre.
Lui a déballé le gourdin de J-C. Il ne bande pas, mais son œuf est décalotté, et sa tige pend sous le poids :
- Ce gland, trop génial ! Et tes couilles, elles sont énormes elles aussi.
- Elles sont surtout bien pleines, et je ne vais pas tarder à jouir. Suce moi mon chéri.
Il le prend en bouche, et comme avec Joëlle il est trop excité et jouis rapidement sans avoir vraiment bandé. Il avait les bourses remplies, et son petit chéri n’en finit pas d’avaler. Il finit de décharger avec des mots obscènes à l’attention de son bienfaiteur, le relève et l’embrasse à pleine bouche. L’autre se laisse faire, participe, et ils se bouffent la poire tout en s’astiquant le manche. J-C abandonne sa bouche, et ses lèvres courent rapidement dans son cou, sur ses seins, son ventre pour venir gober son jeune sexe. Il suce en continu, et caresse ses cuisses, ses fesses, fouille son cul.
Patricia pompe Jacques sans intention d’abandonner son sublime obélisque. Manu se retrouve seul, comme moi, et s’approche du vieux :
- Tu aimes la queue salaud, j’en étais sûr. Tiens, prends la mienne.
Il lui présente sa bite, et le vieux l’engloutit illico. Manu s’adresse à moi :
- Regarde la cette pute, elle aime sucer, comme tous les mecs qui s’arrêtent à cette aire de l’autoroute.
- Et c’est valable pour toi ?
- Oui, j’aime bien sucer, mais pas à fonds.
- C’est comme moi, j’adore un beau chibre dans ma bouche, à condition qu’il ne jouisse pas, ou alors avec préservatif.
On est sur la même longueur d’ondes, on laisse le vieux avec son jeune chéri, et on se suce à tour de rôle. Il y a longtemps que je n’ai pas sucé, et je retrouve ce plaisir avec bonheur. J’aime sa bite, comme il aime la mienne, et on se turlutte tout comme les deux autres.
Patricia suce toujours son sublime manche, s’arrête et nous apostrophe :
- Eh les mecs, si vous voulez vous occupez de moi, c’est quand vous voulez. J’ai deux trous qui sont en manque.
Manu m’abandonne et vient se planter derrière elle pour la baiser en levrette. Elle apprécie son pilonnage, continue à sucer, se doigte le fion pour se l’ouvrir et implore son baiseur pour qu’il l’encule profond. Il plante son pieu dans son anus accueillant et la matraque à en rendre jaloux notre jeune partenaire.
Il suce le vieux, et me supplie de le prendre. Je l’enfile aussitôt ; et suis émerveillé de la facilité avec laquelle je l’ai pénétré, et de la chaleur de sa grotte. On s’accouple trois par trois, sans oublier nos deux petites jeunes qui ont quitté le canapé pour s’offrir un 69 passionné sur un matelas.
J’ai envie de Patricia, et échange ma place avec Manu. Je bourre cette belle salope de mon mieux et me demande si elle me sent tellement elle est à fonds dans sa pipe royale.
Manu sodomise Guillaume avec attention, mais a envie de se faire le vieux :
- Tu aimerais être à sa place salaud, tu en as envie de ma bite qui te ramone.
- Oui, encule moi, j’aime ça.
Ils changent les positions, le vieux suce le jeune et se fait farcir l’oignon.
On change nous aussi de place.
Patricia me prend profond en bouche, je la maintiens contre moi pour atténuer ses cris lorsque le vénérable sceptre lui éclate la rondelle pour se mettre au chaud. Son œillet est élastique, du fait des godes dont elle se sert, et la douleur est de suite oubliée pour laisser place à une jouissance extrême. Il n’a pas enculé depuis longtemps, rares sont les petits trous qui l’acceptent, et il savoure cet instant magique. Il la lime en douceur et profondeur, pour ne pas jouir, et faire durer la séance.
Sa position ne change pas d’un moment tout comme le vieux qui gobe la trique du jeune. Les petites jeunes campent aussi dans leur broute minou, seuls Manu et moi changeons régulièrement de place, pour aller de la bouche de Patricia au tunnel de J-C, et inversement.
Patricia est tellement comblée analement qu’elle en oublie les deux queues auxquelles elle n’a pas goûté, et je lui rafraîchis la mémoire.
Guillaume vient dans sa bouche, et sa chatte dégouline à l’idée de sucer un petit jeune. Puis c’est au tour du vieux. Jacques a laissé sa place à Guillaume qui ferme les yeux pour s’imaginer défoncer un mec. J.C bande comme un âne, son gland est impressionnant, et elle le veut dans le cul sans plus attendre. Le jeune se retire et le vieux s’enquille la faisant hurler de douleur. Elle l’a souhaité, et il n’y a rien à dire. Il est ancré en elle, ne bouge plus pour la laisser se remette, et commence de lents vas et viens dont sa rondelle se souviendra.
Il la tringle le temps nécessaire pour que l’on passe les quatre dans sa bouche, et l’abreuve de nos liqueurs. Il se retire et lui sert à boire à son tour.
Elle est épuisée, rejoint Marie, et nous envoie Joëlle.
A suivre……………………………
Le dimanche matin j’emmène ma petite poupée chez elle, sagement. On n’a pas de rendez vous sur l’aire d’autoroute, et on ne baise pas chez elle. On se réserve pour notre partie.
A 13h on est au pied de la résidence, Patricia et Marie nous attendent. On monte, notre hôte nous ouvre, les autres sont déjà là. Je propose que l’on se présente, je commence et les autres suivent:
- Eric, 51 ans, 17x4, et j’espère satisfaire nos trois jolies invitées, sans oublié notre jeune ami.
- Guillaume, 24 ans, 18x3,5, prêt à vous démontrer qu’un mec vaut une femme.
- Manu, 34 ans, 19x4,3, au service de ces dames et de monsieur.
- Jean-claude, 67 ans, 16x5,2, au service de tous.
- Jacques, 61 ans, 22x5, pour ces demoiselles et ce jeune homme
- Patricia, 35 ans, offerte sans interdits. Et je vous présente Marie, 22 ans, ma petite chérie débutante, qui ne vous offrira peut-être que sa bouche, mais c’est un début.
- Joëlle, 22 ans, offerte aussi à part les deux grosses queues que je ne veux pas dans le cul.
Il y a une grand séjour et salon, on pousse les meubles, tables, chaises, canapé, fauteuils, et on récupère un matelas, alèse et drap housse, dans chacune des trois chambres, pour les installer côte à côte au milieu de la pièce. On se déshabille.
Les trois filles et Guillaume sont entièrement nus, alors que nous gardons nos dessous, slip, boxer, ou caleçons. Sans perdre de temps Joëlle et Marie s’installent sur le canapé pour nous observer tout en s’embrassant et jouant à touche pipi. On est debout, les quatre prétendus vrais mâles, et Patricia et Guillaume sont accroupis face à nous, elle devant Manu et Jacques, lui devant Jean-claude et moi. Il s’occupe de moi et elle de Manu. Ils nous caressent à travers le tissu, nous font bander, déballent notre service trois pièces, et enlèvent notre dessous tout en nous suçant. C’est maintenant au tour des deux autres. Elle dégage le manche de Jacques :
- Cette queue ! Joëlle me l’avait dit mais je n’y croyais pas. Jamais vu un engin pareil.
Elle le prend en bouche et savoure cet énorme sucre d’orge dans l’espoir de le faire fondre.
Lui a déballé le gourdin de J-C. Il ne bande pas, mais son œuf est décalotté, et sa tige pend sous le poids :
- Ce gland, trop génial ! Et tes couilles, elles sont énormes elles aussi.
- Elles sont surtout bien pleines, et je ne vais pas tarder à jouir. Suce moi mon chéri.
Il le prend en bouche, et comme avec Joëlle il est trop excité et jouis rapidement sans avoir vraiment bandé. Il avait les bourses remplies, et son petit chéri n’en finit pas d’avaler. Il finit de décharger avec des mots obscènes à l’attention de son bienfaiteur, le relève et l’embrasse à pleine bouche. L’autre se laisse faire, participe, et ils se bouffent la poire tout en s’astiquant le manche. J-C abandonne sa bouche, et ses lèvres courent rapidement dans son cou, sur ses seins, son ventre pour venir gober son jeune sexe. Il suce en continu, et caresse ses cuisses, ses fesses, fouille son cul.
Patricia pompe Jacques sans intention d’abandonner son sublime obélisque. Manu se retrouve seul, comme moi, et s’approche du vieux :
- Tu aimes la queue salaud, j’en étais sûr. Tiens, prends la mienne.
Il lui présente sa bite, et le vieux l’engloutit illico. Manu s’adresse à moi :
- Regarde la cette pute, elle aime sucer, comme tous les mecs qui s’arrêtent à cette aire de l’autoroute.
- Et c’est valable pour toi ?
- Oui, j’aime bien sucer, mais pas à fonds.
- C’est comme moi, j’adore un beau chibre dans ma bouche, à condition qu’il ne jouisse pas, ou alors avec préservatif.
On est sur la même longueur d’ondes, on laisse le vieux avec son jeune chéri, et on se suce à tour de rôle. Il y a longtemps que je n’ai pas sucé, et je retrouve ce plaisir avec bonheur. J’aime sa bite, comme il aime la mienne, et on se turlutte tout comme les deux autres.
Patricia suce toujours son sublime manche, s’arrête et nous apostrophe :
- Eh les mecs, si vous voulez vous occupez de moi, c’est quand vous voulez. J’ai deux trous qui sont en manque.
Manu m’abandonne et vient se planter derrière elle pour la baiser en levrette. Elle apprécie son pilonnage, continue à sucer, se doigte le fion pour se l’ouvrir et implore son baiseur pour qu’il l’encule profond. Il plante son pieu dans son anus accueillant et la matraque à en rendre jaloux notre jeune partenaire.
Il suce le vieux, et me supplie de le prendre. Je l’enfile aussitôt ; et suis émerveillé de la facilité avec laquelle je l’ai pénétré, et de la chaleur de sa grotte. On s’accouple trois par trois, sans oublier nos deux petites jeunes qui ont quitté le canapé pour s’offrir un 69 passionné sur un matelas.
J’ai envie de Patricia, et échange ma place avec Manu. Je bourre cette belle salope de mon mieux et me demande si elle me sent tellement elle est à fonds dans sa pipe royale.
Manu sodomise Guillaume avec attention, mais a envie de se faire le vieux :
- Tu aimerais être à sa place salaud, tu en as envie de ma bite qui te ramone.
- Oui, encule moi, j’aime ça.
Ils changent les positions, le vieux suce le jeune et se fait farcir l’oignon.
On change nous aussi de place.
Patricia me prend profond en bouche, je la maintiens contre moi pour atténuer ses cris lorsque le vénérable sceptre lui éclate la rondelle pour se mettre au chaud. Son œillet est élastique, du fait des godes dont elle se sert, et la douleur est de suite oubliée pour laisser place à une jouissance extrême. Il n’a pas enculé depuis longtemps, rares sont les petits trous qui l’acceptent, et il savoure cet instant magique. Il la lime en douceur et profondeur, pour ne pas jouir, et faire durer la séance.
Sa position ne change pas d’un moment tout comme le vieux qui gobe la trique du jeune. Les petites jeunes campent aussi dans leur broute minou, seuls Manu et moi changeons régulièrement de place, pour aller de la bouche de Patricia au tunnel de J-C, et inversement.
Patricia est tellement comblée analement qu’elle en oublie les deux queues auxquelles elle n’a pas goûté, et je lui rafraîchis la mémoire.
Guillaume vient dans sa bouche, et sa chatte dégouline à l’idée de sucer un petit jeune. Puis c’est au tour du vieux. Jacques a laissé sa place à Guillaume qui ferme les yeux pour s’imaginer défoncer un mec. J.C bande comme un âne, son gland est impressionnant, et elle le veut dans le cul sans plus attendre. Le jeune se retire et le vieux s’enquille la faisant hurler de douleur. Elle l’a souhaité, et il n’y a rien à dire. Il est ancré en elle, ne bouge plus pour la laisser se remette, et commence de lents vas et viens dont sa rondelle se souviendra.
Il la tringle le temps nécessaire pour que l’on passe les quatre dans sa bouche, et l’abreuve de nos liqueurs. Il se retire et lui sert à boire à son tour.
Elle est épuisée, rejoint Marie, et nous envoie Joëlle.
A suivre……………………………
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