34.2 Jérém se lâche après le bac philo.

- Par l'auteur HDS Fab75du31 -
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Récit libertin : 34.2 Jérém se lâche après le bac philo. Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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34.2 Jérém se lâche après le bac philo.
Précédemment, dans « 50 nuances de Jérémie » : … je sais à quel point il adore ça ce petit con… je vais lui donner, mais je le chauffe un peu plus… je lèche ses boules bien lourdes par l’arrière, je plonge mon nez dedans… j’inspire tous ces odeurs de mec… j’adore… Et puis je ne peux plus me retenir… j’ai envie de le voir vibrer de plaisir, alors je lèche copieusement sa rondelle… j’y vais franco et je sens que ça le rend dingue… encouragée, ma langue s’enroule, elle se raidit pour pouvoir s’introduire le plus loin possible dans son intimité… pour la fouiller sans ménagement… et quand elle s’insinue entre les parois de son petit trou, je le sens carrément trembler de plaisir… je l’entends souffler très fort, râler en frissonnant…Putain de salope, tu aimes ça…
Il fait exprès de me poser des questions auxquelles je suis momentanément dans l’impossibilité de lui répondre… je ne vais pas délaisser ma mission pour répliquer à une question dont il connaît la réponse… petit con ! Sans attendre de réaction, mais en appréciant ma soumission tacite, il enfonce un peu plus le clou :Vas-y goûte bien à mon fion… Ses mots salaces et vulgaires me font un effet tel que, sans que ma volonté s’en charge, les mouvements de ma langue augmentent en intensité. Et quand la notification de l’accueil positif de ma performance arrive à travers des mots encore plus triviaux, je suis le mec le plus excité de la terre.
Ah oui… comme ça, salope, bien comme ça… vas-y, fais bien ta pute…Là je deviens vraiment dingue… je n’ai plus de limites, ma langue sort de ma bouche et se déploie vers sa rondelle comme un élastique en tension extrême, juste avant de casser… je sens le bout aller encore un peu plus loin dans son intimité… il adore, ses respirations sont de plus en plus courtes, bruyantes, saccadées, ses muscles se contractent, ce sont des spasmes de plaisir… je continue longuement, le rendant de plus en plus fou… j’ai quasiment l’impression que si je continue pendant assez longtemps, pour peu qu’il se caresse un peu, je finirais par le faire jouir, comme un malade… hélas je ne suis que simple acteur dans cette scène de baise… et quand le réalisateur décide de couper, on coupe.
C’est ainsi que, à un moment, Jérém décide de priver ma langue du bonheur d’exciter sa rondelle…Je suis simple acteur, et je n’ai même pas accès au scénario. Je vis les événements en instantané. Le voilà donc qui se retourne, me chopant fermement par l’avant-bras et m’entraînant vers le lit. Une fois à proximité, il me saisit par les épaules et me balance vers l’avant, je perd l’équilibre, je tombe, je me retrouve allongé sur le ventre. Jérém est derrière moi, je le sens s’approcher, je sens son poids enfoncer le matelas…Je n’ose pas me retourner, mais mes oreilles se chargent de me raconter la suite… je l’entends à nouveau cracher dans sa main, un instant plus tard il est à nouveau en moi, sa queue a glissé comme un couteau dans du beurre chaud, le passage de mon trou largement préparé par la première visite remarquée de sa queue et la présence de son premier jus…Il reprend alors ses va-et-vient, je ne suis qu’un trou qui se fait divinement tringler par une bite insatiable… c’est bon, je la sens bien, j’adore cette position où ses boules frappent mes fesses si lourdement… je suis complètement concentré sur mon plaisir et plus rien ne compte autour de moi… ou presque… ça aurait été le cas si un petit détail n’avait pas frappe mon attention, mettant une note discordante dans cette mélodie de la jouissance que Jérém était en train de jouer dans mon ti trou… Mon regard est attiré par un emballage de capote déchiré sur la table de nuit… ce qui est sur, c’est que dimanche matin, à mon départ, il n’y était pas… ainsi, je réalisais que la veille au soir, pendant que dans mon lit je me tapais la branlette mentale du Dimanche 2.0, avant de m’en taper une bien réelle pour m’endormir, le beau Jérém était en train de péter une chatte… ce qui expliquerait sa gueule enfarinée du matin…Du coup je sens un sentiment d’humiliation m’envahir et mon excitation retomber… je n’arrive pas à détacher mes yeux de ce petit bout de plastique, je commence à être mal à l’aise (putain, il aurait au moins pu le faire disparaître !), mon corps ne prend plus de plaisir, je me raidis, ma queue perd rapidement de la vigueur, des frissons désagréables parcourent ma peau… je commence à avoir mal… oui, une fois que la fausse note est lâchée, c’est très difficile de rattraper le coup et de se remettre dans le tempo…Jérém lui aussi s’en rend compte… je ne suis plus en train de m’offrir à lui, je suis en train de lui résister… ses coups de reins finissent par ralentir… suivant la ligne de mon regard, il a du comprendre ce qui se passe dans ma tête… la preuve en est que, sans sortir de moi, il penche son buste, il allonge le bras pour aller attraper le petit bout de plastique et le faire glisser dans le tiroir de la table de nuit, hors de ma vue…Bien joué, Jérém, t’es pas complètement con… mais bon, t’aurais pu y penser avant… mais comment aurais-tu pu savoir que je serais là cet après midi… que t’aurais cette envie pressante de me baiser ? Tu t’en doutais pas hier soir, quand tu étais en train de te taper une nana, une de plus, n’est-ce pas ?
Jérém a repris ses mouvements de bassin… une fois l’objet disparu, je sens mes muscles se détendre à nouveau et je recommence à sentir les bienfaits de sa queue coulissant en moi… il me semble que ses aller-retour sont plus amples, il joue à faire durer le plaisir… il ne le sait peut-être pas, mais c’est ainsi que je prends un max de plaisir à la sodomie, sa sodomie… des coups amples et pas trop rapides…Il me besogne ainsi pendant de longues minutes ; petit à petit, je retrouve une excitation et un plaisir intenses auquel je m’abandonne complètement… ma queue est à nouveau raide, je suis bien, heureux qu’il soit en moi et qu’il prenne son pied… j’aime penser qu’avec la nana qu’il a baisée hier soir il n’a pas pris autant son pied… déjà il a été obligé de mettre une capote, alors que avec moi, c’est nature… et surtout je sais qu’il l’aime trop mon ti cul endurant… je suis sur qu’il n’a même pas pu la baiser deux fois coup sur coup comme il est en train de faire avec moi, je suis sur qu’elle ne l’a pas léché partout pour recueillir sa transpi, je suis sur qu’elle n’a même pas pensé à lui bouffer la rondelle…Je suis perdu dans ces pensées, submergé par le plaisir d’être l’instrument illimité du sien, quand je sens ses coups s’accélérer à nouveau… c’est en lâchant un bon gros râle que Jérém jouit encore en moi… je l’entends inspirer très fort, juste avant qu’il ne se retire me moi, juste avant que le vide m’envahisse, froid, triste, désespérant… pourquoi t’es parti si tôt, Jérém… tu aurais pu rester en moi encore…Je n’ai pas bougé mais j’entends quelques bruits bien familiers… je tourne alors à peine la tête et je vois qu’il est en train de passer le short, sans le boxer, pour aller enfin fumer en terrasse.
Je suis doublement rempli, mais je me sens vidé… deux pénétrations coup sur coup, le mec m’a démonté… c’est ça que de prétendre à satisfaire les envies d’un étalon endurant qu’on a chauffé à blanc… j’ai vraiment pris mon pied et en ce moment où il est en terrasse, où le contact de sa peau me manque déjà, je me dis une fois de plus que j’ai une chance inouïe de pouvoir accéder à sa sexualité… Je n’arrive toujours pas à le croire… on m’avait annoncé cela ne serait-ce que trois mois plus tôt, j’aurais cru qu’on se moquait de moi… pourtant… pourtant il vient bel et bien de jouir deux fois en moi… pendant que son regard est perdu dans la rue, j’en profite pour passer mes doigts dans la raie et les charger de ce goût de mec que mes lèvres seront ravies de savourer… putain, qu’est ce que j’aime le goût de sa semence, son goût…Sacré mec, sacré mâle… et si j’en crois au regard qu’il me lance en revenant de sa cigarette, pendant qu’il tombe son short en dévoilant une queue qui n’a pratiquement pas débandé, j’ai l’impression que l’après-midi baise n’est pas terminée… il avance, il s’allonge sur le lit à coté de moi, en position accoudée ; il tourne légèrement la tête vers moi, il me regarde droit dans les yeux, le regard déterminé, la voix posée, ferme et me lance :Maintenant tu peux me sucer…Une idée de fou me traverse l’esprit… lui répondre :Non, j’ai pas envie…Va savoir où cette réplique pourrait nous amener… Mais ce n’est qu’un instant, je le regarde dans cette position accoudée, le torse à nouveau moite de sueur et je me dis que même s’il en allait de ma vie, je le sucerai encore et encore… alors, l’idée de refuser ce qui m’est offert à cet instant précis et dont j’ai une envie qui dépasse l’entendement, c’est pas dans mes cordes… au diable la dignité, l’insoumission, la vengeance, son arrogance… j’ai envie de le sucer, il en a envie, alors je le sucerai, et je le sucerai longuement…Jérém allongé, appuyé sur ses coudes… la tête relevée, le petit regard lubrique pour me mater en train de lui faire ce qu’une pute se doit de faire à son maître… dès lors, c’est une évidence pour moi… je me dois de le sucer… c’est une notion aussi naturelle et évidente que « le soleil brille » et « l’eau mouille ».
Ma bouche s’approche de son sexe pendant que l’envie me prend de tester un truc avec la langue autour du gland… je passe délicatement le bout humide à la lisière de la peau qui le recouvre à moitié avant que je ne le décalotte… le bout de ma langue s’insinue au bord, presque sous l’épiderme, et ça a l’air de le rendre dingue… Je continue mon jeu pendant un petit moment, jusqu’à ce qu’une bonne petite odeur de transpiration ne remonte à me narines en me rendant nécessaire de reprendre cette mission d’exploration interrompue un peu plus tôt…J’ai trop envie de ça… les petits poils au dessus de sa queue sont à nouveau moites… je me charge de corriger cela… je reviens avec ma langue autour de son pubis, je lèche les moindres recoins, je m’attarde sur ses couilles chaudes et odorantes… je pense lui faire plaisir, et c’est le cas j’imagine, du moins jusqu’à que sente ses mains se porter sur ma tête pour la guider de façon très directive et rapprocher ainsi ma bouche de sa queue… une fois la manœuvre d’approche accomplie, c’est en appuyant lourdement avec ses mains sur ma nuque qu’il enfournera son manche raide dans ma bouche et qu’il recommencera à y mettre des grands coups de rein en maintenant fermement ma tête avec ses deux mains… un truc qui me rappelle ce dimanche matin que j’ai voulu oublier et que ce sacré petit con semble prendre un malin plaisir à me rappeler… sacré petit merdeux… c’est sa façon à lui de me montrer que c’est encore lui qui dirige le jeu… lui et lui seul…Pendant un instant j’ai cru qu’il allait jouir de cette façon là, en me défonçant la bouche et en envoyant sa semence bien au fond de ma gorge… mais je suis surpris de voir qu’il s’arrête assez vite et qu’il dégage sa queue de ma bouche… ses mains sont toujours sur ma tête et je sens la pression s’exercer sur moi… je me laisse faire et je comprend qu’il veut que je revienne lui lèche les boules… ses mains m’y ont d’ailleurs amené… il aime ça le salop… je m’y attarde pendant un long moment, t’aime ça, mon salop de Nico !... ma langue ne se lasse pas de parcourir cette peux douce et chaude, de goûter à la fermeté de ces organes sièges de sa virilité…Je n’ose pas lever les yeux, mais je sens son regard sur moi, je sens qu’il ne perd pas une miette de mes mouvements accomplis dans une soumission totale et dans le seul but de lui offrir son plaisir de mec… juste du coin de l’œil il me semble capter un mouvement de sa tête se laissant nonchalamment basculer vers l’arrière… ce qui, dans le langage du « Jérém à poil brun », veut dire « putain que c’est bon, et surtout n’arrête pas de si tôt »… un geste, un message que je décrypte et qui me rend dingue…Pendant que je donne tout ce que je peux pour enchanter ses sens, pendant que son esprit et sa volonté s’évaporent devant tant de plaisir physique, je sens ses mains se dérober, je suis de plus en plus libre dans mes mouvements… je cesse alors de m’occuper de ses couilles et je décide de remonter le chemin de petits poil vers le nombril… j’ai trop envie de parcourir ses abdos, ce beau torse rasé de près et dont la peau est d’une douceurs incroyable, envie d’arriver jusqu’au territoire inexploré ce jour là, le paysage vallonné de ses pectoraux…Petit à petit je m’avance… cette fois-ci il me laisse faire, je m’enhardis, je me pousse encore plus loin, j’ai accès à ses tétons… je crains un peu sa réaction… mais je suis soulagé de voir que rien ne viens d’hostile… et quelle est ma surprise lorsque le bel étalon, renonçant à sa position accoudée, s’allonge sur le dos, repliant les bras jusqu’à croiser ses mains entre sa tête et l’oreiller, me lançant celle que je prends comme une claire invitation à accéder à la chaleur humide de ses aisselles… Si c’est pas beau ces poils bruns en bataille… on dirait qu’il a arrêté de les raser… cette petite touffe trempée d’où il se dégage cette odeur si masculine… il me semble avoir lu quelque part que c’est de cet endroit que certains odeurs mâles se dégagent après l’orgasme… et là je sens l’excitation monter encore d’un cran… je suis plus affamé que jamais de lécher ce jus chargé de sensualité, jusqu’à la dernière goutte… je m’y attarde, inlassable… l’une, puis l’autre, gourmand, insatiable…Je suis tellement enchanté par cette découverte que, une fois terminé mon double périple, comme dans un état second, je décide de m’aventurer jusqu’à la base de son cou, à la limite de la zone interdite… les bras de Jérém sont toujours coincés sous sa tête, alors je me dis que si ça part en sucette je vais le voir venir… pour l’instant la bête est tranquille… je m’avance doucement… ma langue arrive à caresser et drainer la transpiration juste en dessous de son petit grain de beauté… toujours pas de réaction… je décide de ne pas insister… Je me retire doucement… au passage, nos torses se frôlent, nos sexes se frôlent… pendant que ma langue titille l’un de ses tétons, ma mains descend vers nos queues… mes doigts saisissent les deux dans la même prise… les deux bites de taille différente se frôlent dans le bonheur des allées et venues de ma main… cette sensation de frottement de glands est magique pour moi et ça doit l’être deux fois plus pour lui, alors que le plaisir lui vient sans effort, sans que le mouvement de sa propre main ne le distraie… je le sens vibrer sous les assauts de ma prise, et de ma langue divaguant sur ses tétons et sur ses pectoraux… et c’est un bonheur magique… magique de lécher sa sueur, magique de sentir l’odeur de sa peau moite… Je suis fou… dans un état d’excitation où je commence à croire que tout est possible… ça le fait à certains moments… ma langue s’aventure à nouveau en direction de son cou, le cœur qui tape dans la poitrine comme s’il allait l’exploser… il me laisse faire, il se laisse faire… je plonge mon visage dans le creux entre le haut de son cou et son visage, mes lèvres se retrouvent à la limite de sa mâchoire, de sa barbe de trois jours…Et puis, comme je m’y attendais, c’est là que la machine se met en sécurité… c’est là que ça bloque… il existe des limites qu’on ne peut pas dépasser… le zéro absolu, la vitesse de la lumière, la mâchoire de Jérém… je le sais, mais une fois de plus je n’ai pas pu m’empêcher de tenter de forcer cette résistance… j’étais dans un état second… alors la réaction se met en marche… me ramenant à la réalité… ses bras se sont dépliés sans presque que je m’en rende compte, ses mains saisissent désormais mes avant-bras dans une prise puissante… voilà que, pris dans le mouvement, mon torse bascule lentement pour se retrouver à la verticale… mes fesse posées sur son pubis, sa queue raide calée dans ma raie…Jérém est toujours allongé… je n’ose pas le regarder de peur de croiser son regard… je crains de me faire jeter comme dimanche matin… il n’en est rien… le geste qui suit est ferme, mais calme en apparence… il sait ce qu’il veut, et surtout il sait comment il le veut… sacré mec…Il vient tout juste de relâcher sa prise sur mes avant bras que déjà je sens ses mains se faufiler sous mes cuisses… son intention est précise, il cherche à faire remonter mon bassin… je comprends de suite ce qu’il a en tête… ça me laisse un instant incrédule, mais ça m’enchante pleinement… Il veut encore venir en moi… ça me laisse rêveur… décidemment il a de la ressource ce jeune étalon fougueux… je le seconde en écartant mes cuisses et en prenant appui avec mes genoux sur le matelas… dès que mon bassin est remonté, sa main gauche se saisit de sa queue, je sens son gland passer et repasser dans ma raie, glisser dans ce passage bien lubrifié… effleurer ma rondelle rapidement… oui, Jérém s’amuse à laisser son gland agacer ma raie… petit con, tu me fais languir à ton tour, n’est-ce pas ?
Il finit par arrêter son petit jeu en positionnant son gland pile en face de l’entrée de mon intimité, en le présentant, en me faisant frissonner avec un petit coup de bassin. La visée est parfaite. Il suffit que je me laisse glisser lentement… sa queue disparaît en moi… après les assauts que ma rondelle a subi depuis quelques heures, elle ne rencontre aucune résistance à son avancée, à sa pénétration… sans effort, comme le plus naturel au monde, il est à nouveau en moi et lorsque je regarde son visage, je le vois enchanté par la sensation d’avoir sa queue enfoncée dans la chaleur humide de mon ti trou déjà rempli et débordant de son jus… Je suis empalé sur sa virilité… je suis rempli de lui… là encore je sais ce qu’il veut… et lui aussi il le sait… il sait ce qu’il veut et il sait que j’ai compris ce qu’il veut… et que je vais le faire… c’est trop bon, ça, cette complicité de nos corps, de son envies, de nos plaisirs… je le regarde, ses yeux de feu perdus dans le vide, la peau de son torse ondulant sous l’effet d’une respiration rapide, excitée… comment peut-t-on être si jeune et si outrageusement sexy ? Comment peut-t-on avoir un corps comme le sien, une bonne petite gueule comme la sienne, une queue aussi endurante que la sienne ? Une bombe ce mec… une véritable bombe anatomique…Qu’est-ce que c’est beau de voir ses yeux se fermer, son visage grimacer, et ses abdos animés par la respiration profonde du plaisir… tu vas jouir encore, Jérém, c’est moi que te le dis… je n’ai envie que de ça, te faire jouir…Alors j’y vais, je vais faire ce qu’il attend de moi. Prenant appui sur mes genoux, j’entreprends de remuer mes reins en faisant coulisser mes fesses et mon trou sur son manche… je le sens trépider dès mon premier mouvement… si c’est pas beau ça… tenir dans ses mains (ou plutôt dans son trou) le pouvoir de faire jouir un si beau mâle… Mes mouvements, d’abord lentes et dosés, encore et toujours dans le but de le faire languir, de le préparer au déluge de plaisir que je lui réserve, s’accélèrent peu à peu, jusqu’à prendre une cadence régulière qui a l’air de lui convenir parfaitement…C’est une vision de rêve, son beau torse tout tendu vers le plaisir, ses bras à nouveaux pliés, ses mains croisées entre sa tête et l’oreiller… j’adore, j’adore, j’adore ! Il a l’air de prendre un pied de fou… je vois son dos se cambrer sous la vague de plaisir, je vois sa tête partir vers l’arrière (je kiffe à mort ce que tu me fais, en langage Jérém à poil brun)… qu’est-ce que c’est beau son petit grain de beauté noyé dans la transpiration qui a repris à perler de sa peau mate… et que dire de sa chaînette, négligemment posée sur sa peau moite…C’est beau à se damner… et même si je commence à fatiguer un peu, car cette fois ci c’est moi qui mouille la chemise pour le faire jouir, j’ai décidé que j’irai jusqu’au bout… je suis vraiment en nage mais ce jour là, l’homme que j’aime a envie de me baiser une fois de plus, alors je ne le décevrai pas… je penche mon dos vers l’arrière, je cherche appui avec mes mains sur le matelas entre ses jambes, mes jambes à moi se déplient et je prends appui sur mes pieds tout en gardant sa queue en moi… en changeant mes appuis, j’arrive a donner plus d’ampleur à mon mouvement… le beau mâle a l’air d’apprécier… je trouve la cadence qui me permet de stabiliser mon effort tout en continuant d’approcher mon Jérém de sa jouissance… tout en prenant un max de plaisir…Petit à petit je vois l’excitation grimper en lui, je suis son avancement sur cet écran qu’est son visage parcouru par les grimacements et les expressions typiques du plaisir masculin, un écran que je sais désormais lire si précisément… je vois que ça approche… en faisant appel à mes dernières forces, j’augmente encore la cadence… je vois son visage changer d’expression, je sens sa respiration s’accélérer, je vois ses yeux se plisser, ses lèvres s’entrouvrir… je sais qu’il va le dire dans les cinq secondes à venir… et quand je l’entends annoncer fièrement, sa voix coupée par la vibration de l’orgasme qui est en train de le submerger :Tu vas m’avoir… je viens…Je me retiens de justesse de lui répondre :Je sais, je le vois…Il n’empêche que je suis ému de cette merveilleuse entente de nos corps, je suis heureux de me rendre compte que je connais si bien cette merveilleuse machine qu’est la sexualité de mon beau brun. J’ai envie de pleurer, tellement je suis heureux de ce que je suis en train de vivre.
Et Jérém jouit à nouveau en moi en émettant un râle puissant.
Quand j’y repense, à distance de tant de temps, je crois que jamais par la suite je ne revivrai un moment aussi chaud, aussi intense, côté baise… je crois que cet après-midi là, on a touché un sommet de sensualité et de charge sexuelle qu’on ne vit qu’une fois dans sa vie.
C’est vraiment beau et incroyable la sexualité d’un garçon de 19 ans… je ne saurais même pas dire combien de fois il avait joui ce jour là… en moi, dans ma bouche, sur ma peau… souvenir d’une dernière pipe à coté de la porte d’entrée, lui débout et moi à genoux, une gâterie dispensée avec un plaisir indescriptible, ivre que j’étais de son corps, de sa sexualité, de son plaisir, une pipe faite en relevant les yeux pour avoir une vue de soumis sur ses tablettes de chocolat si bien dessinées, si sexy, si fermes, à la peau si douce… souvenir d’une jouissance plus longue à venir et au contenu moins copieux, signe que le mec s’était vraiment vidé les couilles… souvenir d’une toute dernière giclée venue dessiner sur mon torse sa signature chaude et virile…Je suis claqué, épuisé… au fil de ses assauts, j’ai moi-même joui plusieurs fois… je suis carrément lessivé, endolori de partout… mon intimité a pris cher et je sais que je vais en faire les frais… tout mon corps garde un souvenir vif et marquant du passage de Jérém en mode « mâle en rut »… mais pour l’instant je suis encore sous l’effet d’une drogue puissante, une drogue faite de son odeur de mâle, de ses goûts virils, celui de sa semence, celui de sa transpiration, je suis comme hypnotisé par la puissance de son sexe… Pendant qu’il part en terrasse, je vais à la douche. Avant de passer la porte de la salle de bain, je le regarde une dernière fois, de dos, appuyé à la rambarde, sa chaînette pendouillant négligemment à la faveur de l’inclination de ses épaules. Souvenir de fierté en moi, de plénitude… voir ce mec en train de fumer sa cigarette, momentanément libéré de tout désir sexuel, repu par mon propre corps… c’est vraiment là tout ce que j’aime… c’est éphémère comme sensation, mais tellement intense…Je le regarde pendant un long instant, avec l’espoir fou qu’il se retourne et qu’il m’adresse un petit sourire, comme ce matin pendant la philo, le sourire qui a déclanché tout ça… j’attends, en vain… j’ai trop envie d’aller le rejoindre en terrasse au soleil, de le serrer à moi maintenant qu’il est revenu à lui, maintenant que le mâle laisse à nouveau entrevoir le garçon… Jérém en short, torse nu au soleil, beau comme un Dieu, en train de fumer, après m’avoir baisé un après-midi entier… Jérémie, mon héros et mon désespoir… cette image est destinée à s’imprimer sur ma rétine, et elle ne me quittera jamais… il y a des instantanées comme ça, qui nous quittent jamais… et celle là, aujourd’hui encore, tant d’années plus tard, elle est là, en moi, vive comme à cet instant précis… Soudainement un sentiment de solitude grandissant inonde mon cœur… souvenir d’avoir pensé que cette pipe à coté de la porte d’entrée c’était sans doute la dernière que je lui faisais… que ces deux mois de baise intense sont tout ce que je vivrai avec ce mec dont je suis fou… je me sens étouffer… ça fait un mal de chien… il faut que je parte vite, je suis comme ébloui par sa présence, par la beauté de cette image qui sent « la dernière scène du dernier épisode de série » que mon regard disjoncte, je coupe le contact visuel et je me retires dans la salle de bain… Je fais couler l’eau, je m’y glisse dessous… l’eau me fait un drôle d’effet… je la sens tomber sur ma tête et sur mes épaules, glisser sur mon corps comme une caresse… comme j’aimerais qu’il vienne me rejoindre dans cette petite cabine… je suis sur qu’on pourrait y tenir tous les deux, se serrer l’un l’autre, pendant que l’eau nous masse, nous revigore…Sous l’eau, je me dis qu’en arrivant dans la chambre de Jérém juste après le bac philo, j’étais tellement excité que rien d’autre que sa queue ne comptait à mes yeux ; maintenant que j’ai joui, maintenant que la tristesse du départ imminent m’envahit, je réalise que je suis revenu sans ciller à cette chambre d’où je suis parti en larmes moins de deux jours plus tôt, après une nuit qui me marquera à jamais, après un réveil qui me blessera longtemps… je me sens dériver… j’ai envie d’une tendresse qui ne viendra pas… Je reste longtemps sous l’eau, je ne suis pas pressé de passer la porte de la salle de bain… j’ai peur de me retrouver face à sa froideur de toujours, peur d’avoir mal quand il me laissera partir sans un mot, peur que, quoique je lui dise, il me réponde comme si je le dérangeais. Me baiser tout l’après-midi, certes, mais pas gaspiller son souffle pour un trou à bite…L’eau chaude commence à manquer, alors je me décide à fermer le robinet. Je me sèche, je me rhabille. Je me regarde un long moment dans le miroir, en attendant un miracle. T’es fous, Nico, si tu espères qu’il va venir te voir… Je retiens mes émotions, je prends une grande respiration, il faut bien ça pour affronter son regard… je passe la porte de la salle de bain presque d’un bond, je vais me tirer au plus vite…Et là, surprise. Quel est mon émerveillement quand je vois mon bel étalon, torse nu, négligemment allonge en travers du lit, les bras écartés, la tête légèrement inclinée vers son épaule gauche… il fait dodo… il s’est assoupi, tombé comme une pierre, comme un lapin après l’amour… il faut dire qu’il ne s’est pas vraiment ménagé cet après-midi… sacré petit taureau… ah, c’est beau de le voir tranquille, abandonné, beau et inoffensif comme un bébé… de toute façon, tout est beau chez lui… à part son caractère de cochon…Je pourrais rester à le regarder ainsi, me perdre après sa respiration apaisée, ses abdos qui ondulent calmement ; un petit vent rentre par la porte fenêtre et caresse sa peau douce… sa transpiration a cessé, ce beau torse donne carrément envie de l’enlacer, de s’abandonner au sommeil en le serrant contre soi…J’ai envie de le prendre dans mes bras ou qu’il me prenne dans les siens, j’ai envie de passer la nuit avec lui peau contre peau, dans son lit, dans son parfum, dans son monde, dans sa vie…Sa tendresse, voilà justement tout ce qui m’est interdit et qui me le sera à jamais. J’ai beau me branler l’imagination avec un Dimanche 2.0, Jérém est Jérém et il ne changera pas parce que je le veux.
Adieu mon beau Jérém. Je t’aime et je t’aimerais toujours, quoiqu’il arrive. Même si je sais que tu voulais juste me baiser. Et que les coups à répétition de cet après-midi étaient le bouquet final du feu d’artifice sexuel qu’ont été nos révisions, le bouquet final avant que le silence ne retombe à jamais sur notre histoire.
Je voudrais passer la nuit avec toi, je voudrais passer ma vie… mais je ne ferai pas la pas la même erreur que la veille… je vais partir pendant que tu dors… je vais partir avec cette toute dernière image inattendue gravée dans mon cœur… avec celle de tout à l’heure, Jérém penché sur la rambarde en train de fumer sa cigarette, c'est la dernière image que je veux garder de lui… dommage que les smartphones n’existaient pas encore à l’époque…En tout cas, merci Jérém de m’avoir offert ces deux mois de baise incroyable… ces deux mois de bonheur, ce deux mois au contact de ta beauté, de ce corps de dingue, de cette sexualité de rêve… merci pour cette dernière révision… je savais que c’était la toute dernière, alors j’ai tout donné, tout…Merci Jérémie, merci d’exister et d’avoir apporté ce bonheur, bien que si court. Je sais que l’on ne se verra plus à part aux épreuves du bac, et que après le bac tu partira loin, je partirai loin ; que je souffrirai longtemps en essayant de t’oublier… mais ce qui est fait est fait et je ne regrette rien… non, je ne regrette rien car je sais que quoique tu fasse, où que tu ailles, qui que tu rencontres, personne, jamais, ne t’aimera comme j’ t’ai aimé, comme je t’aime, comme je t’aimerai…

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Jérém&Nico, FINAL 3/4 – Rien n’a vraiment d’importance - Récit érotique publié le 28-08-2024
Jérém&Nico, Final 2/4 – Retour vers le futur. - Récit érotique publié le 15-08-2024
Jérém&Nico, FINAL 1/4 – Porte d’embarquement. - Récit érotique publié le 04-08-2024
Jérém&Nico 0410 Dernier chapitre (ou presque). - Récit érotique publié le 15-07-2024
0409 Le garçon au blouson bleu. - Récit érotique publié le 13-07-2024
Jérém&Nico 0408 Le garçon au blouson bleu. - Récit érotique publié le 12-07-2024
0408 Un intense rayon de soleil (Gueule d’Ange). - Récit érotique publié le 20-06-2024
Jérém&Nico - 0407 Parfois, les réponses n’apportent que plus de questions. - Récit érotique publié le 02-06-2024
30 Le vendeur du magasin d’électroménager. - Récit érotique publié le 19-05-2024