40 ans, lesbienne.

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : 40 ans, lesbienne. Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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40 ans, lesbienne.
A 40 ans, la vie est terne si on vit seule. C'est mon cas. Avant quand j'étais plus jeune je pouvais facilement trouver des amitiés masculines ou souvent féminines. Je dois revenir loin en arrière. J'avais à peine 14 ans quand avec une copine nous nous masturbions ensemble. Elle venait souvent passer la nuit chez moi. Nous couchions ensemble, comme nous bavardions souvent c'était le seul moyen que ma mère avait trouvé pour nous faire taire. C'est comme ça qu'un soir au lieu de nous branler, nous sommes passées à des caresses buccales plus précises. Nous aimions beaucoup nous faire du bien avec nos langues. Ce n'est que plus tard que je me suis faite dépucelée: je n'en retiens rien de bien glorieux, mis à part le fait que je devenais femme. Le reste de ma vie sexuelle se déroulait avec mes doigts. J'aimais et j'aime toujours la masturbation. Mon mari parti, tant mieux, je me trouvais libre comme l'air.
A 40 berges comment arriver à trouver une âme sœur ?
J'aide une organisation caritative depuis quelques mois. Je sympathise beaucoup avec certaines de mes camarades. J'y trouve finalement des amies aimables, amusantes souvent. C'est une autre page de ma vie qui s'ouvre, non seulement je fais des bonnes actions, mais ne plus j'en retire du plaisir.
L'une de nous propose un jour que nous fassions un repas pour fêter l'arrivée d'un de nos chez lui . Bien sur le repas s'anime, les conversations ou papotages se transforme petit à petit en confidences plutôt personnelles. Chacune raconte sa vie privée, sans aucune pudeur: c'est la règle. A peu près tout les domaines de la sexualité sont abordés et souvent décrits avec détails. Je raconte mes aventures sans rien cacher. Je pensais être la seule qui avait déjà baiser avec une autre fille: nous étions 2 en tout. C'est-ce qui nous a rapproché. Nous avions l'expérience et du corps féminin et de celui des hommes. Nous sommes parties ensemble en discutant et approfondissant nos envies.
C'est aussi que je suis crois que je suis redevenue lesbienne à la quarantaine.
Le soir en me déshabillant je me regarde en détail dans la glace: je ne suis pas déformée, à peine un ou deux kilos en plus, mes seins tiennent bien le coup. Bref j'étais encore en état de me montrer nue. Je me donne envie. Avoir envie de soi est rare: si j'avais été une autre femme je me serais fait l'amour immédiatement.
Je me couche nue, écarte mes jambes, passe mes mains sur mes seins, pour les caresser: j'ai les tétons exultés qu'ils bandent. Je me passe la main sur le ventre. Je la glisse entre mes jambes. Je ne cherche même plus la place de mon bouton: j'y vais directement. L'indes et le majeur réunis passent et repassent sur mon clitoris. Je suis entièrement trempée. Je sens ma cyprine couler jusque entre mes fesses. Mon drap va être entièrement mouillé. Je jouis une fois. Je laisse mes doigts là où ils sont. Je me fais jouir encore. Cette fois je pose ma main entière sur le sexe comme pour bien garder en moi le plaisir de l'orgasme.
Le lendemain je demande à ma nouvelles camarade de venir passer l'après midi avec moi. Elle comprend fort bien pourquoi. Enfin elle est là. Nous revenons sur nos dernières conversations. Je lui demande directement de baiser. Je me lève pour venir l'embrasser. Elle n'attend même pas que je sois droite pour à son tour se lever: nos lèvres s'ouvrent, nos langues vont dans la bouche de l'autre. Nous arrêtons un instant, juste pour nous regarder dans les yeux. La seule chose que j'y lis est qu'elle a envie de moi, comme j'ai envie d'elle. Pourquoi nous le cacher: nous avons un besoin impérieux de nous faire jouir. Nous revenons, collées prêtes à passer le pas qui est vite franchi: je lui caresse déjà un sein pendant qu'elle me passe la main tout le long du dos pour descendre vers mes fesses. Je murmure dans son oreille:- Je mouille.
En souriant: elle dit:- Moi aussi. J'ai envie de toi.
- J'ai envie de te baiser.
- Qu'est-ce que tu veux me faire ?
- Te branler et te sucer là où tu veux.
Nous sommes bien d'accord. Nous allons dans la chambre. Nous nous déshabillons très vite: nous nous examinons: nous sommes appétissantes. Nous nous asseyons au bord du lit. Nous nous embrassons encore: cette fois nos langues sont hors des bouches. Elles se caressent selon un rythme qui leur est propre. Nos mains se promènent sur le corps de l'autre. C'est à mon tour de lui mettre une main sur les fesses. Elle pose une main entre mes cuisses. Elle me les caresse très doucement, légèrement comme je ne l'ai jamais été.
- Tu m'excites trop !
- C'est pour ça que je le fais. Ta main sur mes fesses m'excite aussi.
- J'ai envie de ta main sur ma fente.
- J'y arrive.
En effet sa main arrive sur mon sexe. Elle sait bien me faire du bien. Elle pose un seul doigt sur l'anus. Elle ne force même pas pour le rentrer. Elle me branle le cul. Je me demande ce qu'elle va me faire. Elle garde son doigt là où il est pour venir loger son pouce dans mon vagin. Elle commence des allers et venues entre son doigt dans mon cul et son pouce dans mon con: elle me fait une double pénétration. Je n'en avais pas eu depuis une éternité. Elle me fait jouir. Enfin je jouis des caresses d'une autre que moi. Je la laisse avec sa main entre mes jambes. Je lui embrasse les seins, je les suce, à tel point que j'ai un filet de salive qui coule sur elle.
Elle se couche presque sur le dos, appuyée sur un coude, les jambes ouvertes. Je peux lui voir toute sa fente. Elle mouille. Je sens son odeur qui m'attire: je pose ma bouche sur son con. Elle me tient la tête. Cette fois c'est moi qui choisis mes endroits. Elle m'a mise son doigt sur mon anus: je lui mets la langue. Je le lèche un peu avant d'y rentrer un peu de langue. Je remonte directement vers son bouton Je le prends en bouche en suçant. Je lui mets doigte maintenant. Je la sens se raidir à chaque orgasme. Je me relève pour l'embrasser. Cette fois nos langues rentrent dans la bouche de l'autre. Elle m'attire tellement sur elle que je tombe directement sur son corps. Nous échangeons nos chaleurs avant de nous sucer.
Cette fois, elle m'enjambe pour venir à hauteur de mon sexe. J'ai le sien juste à hauteur de ma bouche. Je lui écarte les cuisses, y loge ma tête pour finalement lui remettre la langue sur son cul. Elle se laisse faire, emportée par le désir elle me prend le clitoris dans ses lèvres. Nous sommes bien ensemble à nous faire jouir. Nous n'en sommes pas lassées un seul instant. Nos jouissances sont presque simultanées. Nous ne cessons qu'un moment, pour aller manger un quelque chose, n'importe quoi. Nous allons faire notre repas nues. Le repas devient une autre façon de baiser. Je suis assise à table quand elle me demande de reculer ma chaise: elle vient s'asseoir sur la table pour donner à manger un autre mets: son sexe. Elle est penchée en arrière, les mains posées sur la table: elle ne pense qu'à son plaisir. Je lui déguste la moule plusieurs fois. Elle jouit. Je lui doigte le vagin d'abord et l'anus ensuite. Elle ne sait dure qu'une ou deux chose:- Oui, oui c'est bon, encore, je jouis.
- Tu me le feras tout à l'heure encore ?
- Oui, si tu me le fais aussi.
Nous en sommes à nous rendre caresses contre caresses. C'est délicieusement érotique, surtout quand elle me demande d'aller prendre une douche pour laver "toutes ses jouissances". J'y vais avec elle. En effet nous nous lavons de ce qu'elle veux, en tout cas non sexes eux ne peuvent qu'être propres après les litres d'eau chaudes qu'ils on reçus et des orgasmes qu'ils nous ont donnés. Elle prend un gant de toilette, le mouille sous le jet écarte bien les jambes et lentement avec les une main elle le rentre dans son con en entier en écartant ses lèvres avec l’autre main. Pour jouir, elle donne quelques coups rapides avec un seul doigt sans appuyer. Je la vois jouir ainsi. Je lui demande de me le faire: elle refuse: c'est moi seule qui doit le faire, devant elle qui me guidera en cas de besoin. Je l'imite. Je ressens un plaisir très différent que celui d'une bite qui entre dans un con. C'est plus complet. Une fois tout rentré je fais comme elle: à petits coups répétés. Je jouis en gardant le gant dans mon intérieur. Je suis prête à recommencer de suite.
Pourtant nous nous arrêtons par sagesse: il faut en garder pour le lendemain.
Le lendemain et les jours suivants nous baisons ensemble. Toutefois je me sert de gant de toilette plus souvent qu'avant.

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Texte coquin : 40 ans, lesbienne.
Histoire sexe : Une rose rouge
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