43- Les jeunes parents de mon viel ami Zoubir : - histoire érotique

43- Les jeunes parents de mon viel ami Zoubir :
On me nomme Habib, agé maintenant de 60 ans environ, je suis gay depuis pratiquement 40 ans pour le plaisir de ma Terma (cul) qui raffole des zobs, surtout ceux qui sont gros, épaix et surtout très longs comme ceux des blacks, dont j’ai usé et abusé des centaines de fois à deux ou à plusieurs à la fois. Mais depuis une dizaine d’années, ma Terma, peut être à cause de mon âge, a moins de chance et je me contente de zobs entre 40 et 50 ans sauf quelques cas plus jeunes et plus vigoureux et surtout resistants. Pourtant ma Terma n’a presque rien perdu de sa largeur ni de sa souplesse et certainement pas de sa douceur interne. C’est toujours après que leurs zobs m’aient pénètrés à fond que mes amants, même âgés, s’étonnent des qualités de ma Terma et alors, ils se donnent au maximum pour la satisfaire. Je vous ai déjà raconté pas mal d’aventures de ma Terma sous d’autres prénoms, mais je préfère vous conter ce qui m’est arrivé avec les fils de mon viel ami Zoubir.
Je connais Zoubir depuis mon jeune âge car on a fait l’école ensemble et, plus tard, une partie de nos études supérieures. Au niveau sexuel, il a été vierge jusqu’à son mariage vers 30 ans, puis il est parti travailler en France comme prof de langues et s’est marié avec une française qui enseignait dans le même lycée. J’ai perdu leur trace pendant des années mais à la mort de son oncle, je l’ai revu à son arrivée dans notre ancien village lors de l’enterrement. Il était venu seulement avec un de ses fils, français Paul âgé de 30 ans et le fils de sa belle sœur, André, agés de 28 ans et qui désiraient surtout faire du tourisme durant leur séjour. Le reste de la famille de Zoubir est resté en France. Paul était professeur de dessin d’art et André enseignait comme sa tante, la musique. Ils travaillaient dans deux lycées différents mais ils ont quitté leurs parents et logeaient dans un même petit appartemen à Paris, car ils étaient encore célibataires.
Pendant leur séjour, Zoubir a accepté de loger au village mais les deux jeunes ont refusé, alors j’ai proposé de les héberger en ville, dans mon appartement F3 où je vivais seul depuis quelques années. Ils étaient donc mes invités, je leur faisais la cuisine avec des compléments de l’extérieur et ils dormaient dans une chambre, ensemble et moi dans ma mienne. Dès le premier soir, ils se sont mis à l’aise, en shorts très courts et tee shirts. Pour ne pas les généer, je les ai rassuré et que moi-même, souvent, je me mettais à l’aise ainsi. Mais dans mon fort intérieur, leurs tenues presque nues me faisaient plaisir car c’étaient deux très beaux jeunes gens. Blancs de peau fraiche, bien dans leurs corps bien remplis, ils n’avaient pratiqement aucun poil, ni devant sur la poitrine et les cuisses, ni derrière sur le dos, les hanches et les entre cuisses. Ils étaient désirables et je n’ai pas pu m’empêcher de les admirer. J’insistais surtout sur leurs zobs et leurs couilles qui déformaient leurs shorts et j’essayais d’en deviner la grosseur et la puissance. Je ne négligeais pas aussi d’observer et de peser leurs derrières et leurs Terma bien rondes qui profilaient avec précision dans leurs shorts trops courts et trop serrés. Pour la gestion du séjour, outre la chambre, je leur ai installé mon PC dans leur chambreet et comme j’avais l’internet, ils pouvaient s’amuser. Pour moi, la télé, pour les infos et quelques films, suffisait dans le salon. Après le diner, ils se sont installés dans leur chambre et fermés la porte. J’ai fais la vaiselle, écouté les infos puis j’ai rejoins ma chambre.
Au bout d’un moment, je commençais à entendre quelques bruits de leur chambre mais je savais que c’était les vidéos du PC. En tendant un peu mieux l’oreille, j’ai bien remarqué que c’étaient des films de sexe car les gémissements étaient éloquents. Normal, ce sont des jeunes et qui voient du porno. D’ailleurs, quelques temps plus tard, j’ai bien entendu les cris de plaisir et de jouissances, donc j’ai pensé que leurs zobs venaient d’éjaculer. Et pourtant ces mêmes bruits ont continué pendant une bonne heure sinon plus, puis ce fut le silence, ce qui m’a permis de m’endormir enfin. Le lendemain, ils se sont levés à 9h, pris des douches puis le petit déjeuner que j’avais préparé, ensuite ils sont partis pour visiter la ville. Ils ne sont rentrés que vers 19h pour se doucher encore et se mettre à l’aise en shorts. On a discuté un peu de tout et de rien puis ils ont pris leur diner rapidement et se calfeutrés dans leur chambre. Moi, j’ai diné un peu plus tard et après vers 21h j’ai rejoin ma chambre. Moins d’une heure après, les gémissements et les cris de plaisirs se sont fait entendre de leur chambre. J’ai attendu pendant plus d’un quart d’heure et comme je n’arrivais pas à m’endormir à cause de ces bruits érotiques, je me suis levé et, discrètement je suis allé coller mon oreille à leur porte. Il y avait, certes, en sourdine, le son d’une vidéo, mais les autres gémissements de plaisir étaient ceux des jeunes gens.
Curieux et désirant les voir se masturber et éjaculer, j’ai décidé d’entrer dans leur chambre. Après tout, j’étais un viel ami de leur père et je n’ai rien à cacher de mon état de gay. Au contraire, peut-être aurais-je la chance de faire plaisir à ma Terma avec ces jeunes gens. Alors j’ai ouvert la porte et j’ai eu un choc de plaisir en voyant la scène à la faible lueur du PC. Les deux jeunes étaient tous les deux à poil, un tableau formidable pur mes yeux, et mieux encore, l’un d’eux sodomisait l’autre par de grands coups de reins et de gémissaients communs de plaisir. Ils ont été, eux aussi surpris, et se sont brusquement arretés. Mais par le geste du bras, de la main et par un large sourire, j’ai demandé de continuer leur sodomie et j’ai même insisté avec le poing fermé comme un zob qui pilonne une Terma. C’est ce dernier geste du poing qui a encouragé Paul à redémarrer ses coups de reins vigoureux dans la Terma de André et leurs gémissements de jouissances remplissaient la chambre.
Alors, j’ai carrément allumé le plafonnier et pris la chaise à coté du lit pour bien jouir du spéctacle. Et pour les encourager encore plus, je suis entré dans leur jeu de plaisir sexuel. En effet, je me suis déssapé de mon pyjama et pris mon zob à la main pour me masturber devant eux. Alors Paul a accéléré les vas et viens de son zob et enfin, après une vingtaine de pilonnages et dans un hurlement non dissimulé, il a éjaculé longuement dans la Terma d’André. Après un moment de jouissance, Paul a sorti son zob brillant de sperme et s’est allongé à coté, le ventre sur le lit. J’avais déjà remarqué son merveilleux derrière blanc et dodu qui dansait en sodomisant André et il m’a excité. Maintenant, couché sur le lit, je voyais sa belle Terma, et le sillon de ses larges fesses. Mon zob a répondu à cette image en se gonflant encore plus mais je n’ai pas réussi à éjaculer.
Mais aussitôt, André, qui s’était redréssé, s’est allongé sur le dos de Paul, collant son zob gonflé sur la Terma de ce dernier et commencer à s’y frotter en gémissant déjà de plaisir. Après trois ou quatre frottements sur le sillon de son cul, Paul relevant son derrière et écartant largement ses cuisses, offrait sa Terma au zob d’André. Ce dernier, se courba pour lécher un peu l’anus de Paul qui recommençait à gémir. Comme André tardait, Paul lui intima de se dépécher pour entrer son zob car son cul le démangeait à fond et il le lui dit en termes cochons et en se tortillon le dessière. Alors Paul, prenant son zob à la main, entra tout doucement dans le cul de son ami, puis l’enfonça brusquement avec force, ce qui fit hurler de jouissances Paul « Ahhhh » bruyant et prolongé. Ensuite, la danse de la sodomie recommença. Après quelques vas et viens vigoureux et étudiés, avec des mouvements de rotation de son dans la Terma de Paul, on voyait tout de suite qu’André était plus doué dans les sodomies que son ami. J’ai deviné rapidement que Paul aimait jouir de sa Terma et Paul de son zob et ils se complétaient, malgré qu’ils fussent tous les deux bi.
J’ai donc assisté à cette seconde sodomie et j’avoue que le gros zob d’André qui se mouvait avec déléctation dans la Terma de P aul, m’a aussi excité. J’ai déjà décidé de lui donner ma Terma avant la fin de la nuit. Mais j’ai aussi admiré, la Terma de Paul qui a gonflé mon zob et j’ai aussi décidé de l’honorer la première. En effet, cette Terma, devant mes yeux, dansait à merveille et j’entrevoyais à chacun de ses mouvements, son anus que le zob d’André écartait à merveille. C’était un anus très élastique et qui conviebdrait parfaitement à mon zob, plus épaix que celui d’André. Je me branlais, c’était énivrant mais je n’arrivais pas à éjaculer. La sodomie de la Terma de Paul a été beaucoup plus longue que celle dans le cul d’André. J’ai compris tout de suite que ce dernier maitrisait les mouvements et les sensations de son zob et prolongeait, exprès, la sodomie dans la Terma de Paul. Ils ont certainement l’habitude de se donner du plaisir chez eux et on voyait que Paul aimait les longues sodomies de son ami. Il gémissait de plaisir et criait à André de le défoncer encore plus, de lui déchirer le cul et de le remplir de sperme et bien d’autres mots cochons.
Enfin, après plus d’une demi-heure, André ayant atteint plus que son top, se colla au cul de Paul et éjacula cinq salves de sperme. A chaque salve, je voyais bien le coup de rein puissant d’André pour éjecter son jus au fond des entrailles de Paul. J’en éprouvais déjà le plaisir pour les sodomies de ma Terma avec ce professionnel du zob. Après s’être vidé au maximum dans le cul de Paul, son ami s’est retiré et s’est allongé sur le coté. Aussitôt, Paul se releva et pris le zob d’André pour le lécher, le sucer et le nettoyer. Et c’est alors qu’ils se sont vraiment apperçu de ma présence, alors qu’ils m’avaient bien vu au début. On s’est regardé un moment puis, d’un commun accord, on a éclaté de rire. Pour aider à la suite de l’action, j’ai fréféré être le premier à éclaircir la situation. Je leur ai dit que je comprenais leur état de gay car je l’étais moi-même depuis quarente ans et que je viens d’assister à deux sodomies formidables avec des zobs et des Terma formidables et désirables tous les deux. Alors, ils m’ont expliqué que c’était avec leurs amis à l’école des beaux arts qu’ils se sont initiés aux plaisir du sexe masculin. Ils ont été dépucelés par des copains et initiés aux sodomies et comme ils ont éprouvés beaucoup de plaisirs et de jouissances, ils ont continué avec des amis et entre eux deux, surtout depuis qu’ils habitent le même appartement. Mais ils pratiquent aussi avec leurs zobs car ils ont aussi du plasir et sont maintenant bis. Moi, j’ai plutôt remarqué que Paul aimait surtout offrir sa Terma et qu’André était un prof du zob. Alors, je leur ai avoué que moi aussi, je suis bis et que la Terma de Paul m’interessait, mais qu’après, la mienne désirait aussi le gros zob d’André.
Et c’est ainsi que notre nuit a complètement changé et jusqu’au matin, nous avons baisé. Mon zob était encore bandé et j’ai tout de suite plongé sur la Terma de Paul dont la danse Termale m’avait super excitée. Mon zob, ayant enfin retrouvé la chaleur d’un cul souple et chaud s’est gonflé au maximum jusqu’à me faire mal et j’ai réussi à éjaculer comme je ne l’ai jamais fait depuis des années. Ensuite, André, ayant observé ma Terma s’est branlé, puis s’est positionné derrière moi pour honorer ma Terma. Ce fut une merveille pour ma Terma sevrée de jeunes zobs vigoureux depuis longtemps. Il m’a sodomisé avec son sens du sexe en plongeant avec force et vitesses dans mon cul et ce geste brusque me faisait crier de plaisir. Parfois, il tournoyait son zob dans ma Terma et je le sentais tout entier, dur et doux à la fois à l’intérieur de mes entrailles. Je désirais qu’il continue à l’infini, mais tout à une fin, hélas. Et lorsqu’il a éjaculé, j’ai bien ressenti la grande quantité de sperme qui a irrigué et inondé ma Terma assoiffée. Ensuite, il s’est retiré, mais je suis resté à quatre pattes, le sperme s »coulant entre mes fesses et sur mes cuisses.
J’ai jeté un coup d’œil à Paul. Il n’a pas compris, mais je lui ai dis que je désirais aussi son zob, maintenant s’il était d’accord. Alors, il m’a donné son Zob à lécher, sucer et branler. Rapidement, jeunesse faisant, zob s’esy remis à durcir et à gonfler. André l’a encouragé en lui fourrant le doigt dans la Terma et en lui branlant le cul, ce qui a accéléré le gonflage du zob de Paul. Il s’est pointé derrière moi et, dans les restes de sperme d’André, il a plongé son zob dans ma Terma, jusqu’aux couilles. Paul a aussi un zob jeune et vigoureux et je l’ai bien ressenti dès qu’il m’a pénétré. Et c’est ainsi que j’ai reussi à me faire sodomiser par le zob de Paul pendant presque une demi heure, puis il a éjaculé dans mon cul, ajoutant son sperme à celui de son ami. Puis on s’est allongé tous les trois dans le même lit, en se serrant. J’ai demandé à ce qu’on aille se doucher avant de se coucher, mais ils ont refusé pretextant avoir encore du plaisir de dormir avec leurs spermes mutuels dans les culs et sur les zobs. Le matin, parait-il, cette situation les excite immédiatement et les incitent à faire encore l’amour. J’ai accepté leur décision, mais j’ai exigé de me mettre au milieu, avec mon zob coincé sur le cul de Paul et ma Terma serrés sur le zob d’André. Ils ont été gentils d’acceper et on s’est endormi ainsi jusqu’à 10h passée le lendemain.
Le matin, après la douche et le petit déjeuner, ils sont partis en ville comme hier et revenus, cette fois, plus tot, à 17h. J’avais compris qu’ils en avaient pour ma Terma. Alors, on a occupé la chambre des jeunes pendant le reste de la soirée. Et ils m’ont sodomisés l’un à la suite de l’autre, mais en changeant les roles d’hier soir, Paul d’abord puis André qui est resté beaucoup plus longtemps dans ma Terma. Puis ils sont patis dans leur chambre et fermé la porte. Moi, je me suis douché et préparé le diner. A un moment donné, curieux, je suis allé jeter un coup d’œil dans leur chambre. Ils étaient en train de se caresser et de se sucer en position de 69. Je suis retourné à la cuisine, mais dix minutes plus tard, des gémissements ont attirés mon attention et je suis encore allé voir. En effet, comme prévu André sodomisait Paul avec vigueur et gemissements mutuels bruyants. J’ai déjà dis que j’avais remarqué depuis hier soir quelques différences entre eux. Certes, tous les deux étaient bi, mais quelques signes m’ont fait découvrir qu’André était beaucoup plus porté sur l’usage de son zob et que Paul, le fils de mon ami Zoubir, était beaucup plus enclin à offrir sa Terma. Ainsi, leurs gouts et plaisirs se complétaient.
Plus tard, après le diner, ce fut mon tour de sodomiser la belle Terma de Paul. Il y avait encore un peu de sperme dans son cul et mon zob glissait avec jouissance, puis j’ai éjaculé. Ensuite, j’ai offert ma Terma pour la seconde fois ce soir à André, qui possedait un zob infatigable. Trois ou quatre coups de dranle et des caresses et des lèchements sur ma Terma lui ont suffi pour se gonfler à bloc et il a enfoncé son zob dans mon cul avec puissance et rugissement. Malgré qu’il avait déjà baisa deux Terma auparavant, il a eu la force de me donner un plaisir fou et des jouissances qui ont fait frissonner tout mon corps. Ma Terma semblait avoir retrouvé sa jeunesse et s’être élargie gâce aux mouvements de vrille qu’André faisait à son zob à l’intérieur de mes entrailles. Elle semblait être redevenue plus souple et plus douceet ses sensations de jouissances plus fortes et plus longues qu’auparavant. En tous cas, j’ai eu le maximum de plaisir avec ce jeune homme et j’ai compris que je préférais le plaisir d’étre sodomisé avec ce zob que de faire plaisir à mon zob sur la Terma de Paul.
J’ai décidé que pour le reste du séjour de ces jeunes ches moi, je donnerais totalement le plaisir à ma Terma en usant et abusant de leurs zobs. Et ce fut ainsi jusqu’à ce que leur père descente du village une semaine après. Cette dernière nuit, les jeunes se sont tenus tranquilles dans leur chambre et leur père a dormi avec moi, dans mon lit, en bons copains. Le lendemain, ils sont partis en France et les jeunes m’ont donnés leurs phones et m’ont invité dans leur appartement commun.