A bas les préjugés!

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : A bas les préjugés! Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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A bas les préjugés!
Je suis assis devant la télé quand ma femme fait son apparition. Elle retire son manteau qu’elle pose sur le fauteuil, sans lâcher un mot. En dessous, elle était habillée d’une mini jupe très courte en cuir avec un chemisier qui fait déborder sa poitrine, tout cela posé sur des escarpins à talons aux jambes gainées de nylon noir.
- Alors ? Fait-elle. Je suis assez sexy, non, tu ne trouves pas ? Faisant un tour sur elle-même qui fait que sa jupe se soulève assez pour que je distingue ses bas.
- Tu es à ravir…
Elle me remercie, et dans l’élan, elle me résume sa relation avec le jeune voisin.
- Et bien, tu n’as pas perdu ton temps !
- C’est bien ce que tu voulais ? Non ?
- Et ça s’est passé où ?
- Dans sa chambre. Il m’en a mis plein le cul, si tu veux savoir. Il est monté comme un taureau.
- Tu m’en vois ravie pour toi.
- Et moi donc ! Fait-elle en retroussant sa jupe assez haut sur ses jambes.
Ses bas noirs soulignent la blancheur des cuisses un peu plus forte. Elle ne porte pas de culotte. Fasciné, je contemple l’épaisse touffe de poils bruns et bouclés du bas-ventre. Les bords de la fente forment un double bourrelet de couleur bistre. Elle m’observe, d’un air amusé. Mes yeux brillants de désir, je pose une main sur les poils du pubis. Le simple contact de ma main additionner à celle de sa relation antérieure, réveille un violent désir d’étreinte.
Les yeux mi-clos, ma femme est agitée d’un long frisson.
- Eh bien, tu n’attends pas que je prenne une douche ?
- … salope ?
- Tu n’aimes plus les salopes ?
- Vas savoir ! Fais-je en plaquant ma main sur sa chatte.
- Cela te dit de regarder mon trou du cul ? Fait-elle en prenant une drôle de posture sur son fauteuil.
- Voir dans quel état il m’a mis le cul Ajoute-t-elle e tout en se massant son trou du cul.
Et là, comme par Maggie, la voilà qu’elle me sort de dessous du coussin une balle de ping-pong. Qu’elle prend le temps de saliver copieusement, avant de se l’introduire dans l’anus, en exerçant sur elle une pression. Son rectum se calque à la balle et finit par l’engloutir. Je la vois disparaître dans son fessier. Ma femme émet un râle de satisfaction.
- Alors ? Me fait-elle.
- Alors quoi ?
- Attends un peu, tu vas voir !
Là, à l’aide de ses mains, elle tire sur ses fesses. Pousse comme pour faire un besoin naturel. Là, son anus s’écarquille. Peu à peu la balle se manifeste lentement à ma vue, pour être recrachée par son anus. La balle rebondit sur le carrelage, et roule pour s’arrêter contre un pied de table.
Je m’en saisis. Il est maculé de substances brunâtres. Sans aucun malaise, je le porte jusqu’à mes narines. L’hume d’un air approbateur. Et me met à la laper. Suite à ça, je m’approcher pour la poser devant l’entrée de son trou béant. Que j’enfonce de nouveau dans ses entrailles. Je flatte alors l’anus dilaté, avec ma langue puis le lèche. Pesant sur la balle pour l’enfoncer plus profondément encore dans son fondement. J’entends ma femme gémir tandis que la sphère disparait dans son fion. Je la surprends en train de se masturber avec plusieurs doigts, alors que son anus palpite. Je l’entends pousser une série de plaintes, avant de lâcher.
- Oh, Alain, je n’en peux plus… ça va sortir.
Je place ma bouche au contact de son trou, que ma femme contracte. Et peu à peu, ce dernier laisse émerger la balle que je recueille dans ma bouche. Ma femme me dévisage, surprise une fois encore par mon geste.
-Tu m’étonneras toujours autant ! Me lâche-t-elle.
Pour toute réponse, je l’embrasse à pleine bouche. Elle me lèche les lèvres.
-Tu pues mon cul ! Murmure-t-elle.
Je me place derrière elle. Frotte ma queue contre sa raie. Elle pousse une plainte rauque lorsque je plante ma bite dans son anus. Je la sodomise vicieusement, explorant les moindres recoins de son trou mouillé et chaud. Mes coups sont de plus en plus forts, mes couilles tapent sur son cul. Elle respire vite. Un cri, puis un autre, avant de beugler comme une enragée. Ce qui sort de sa bouche par la suite est incompréhensible. Une série de mots dénués de sens qui émergent de sa folie lubrique, qui m’excitent encore plus.
Chacun de mes va-et-vient lui arrache un gémissement. J’accélère alors le rythme, ses cris gagnent en volume et se transformèrent en hurlements de joie et de plaisir, la laissant terrassée par l’orgasme. Je me retire.
Sans attendre, la voilà qu’elle me pousse sur le fauteuil et prend place dans la foulée sur moi. Après des entrechoquements violents entre nos sexes, elle fait que sa chatte avale ma queue. Ceci fait, elle monte et descend cherchant à capturer au plus vite un autre orgasme. Pour cela elle se déhanche de plus en plus vite et crie de plus en plus fort.
Bien plus tard, une fois le plaisir consommé, alors que nous sommes devant un verre de champagne j’interroge ma femme sur le futur de sa relation.
-Je n’en sais rien ! Il a une bonne queue mais ne sait pas s’en servir. Il ne cesse de s’arrêter. Un vrai autobus !
-Je vois !
- Mais tu ne sais pas la meilleur. Alors qu’il me tirait sur son lit, sa belle-mère a fait son apparition dans la chambre.
- Et elle t'a reconnue ?
- Pardi que oui ! Elle a même attendu que je finisse la petite affaire pour me faire part de sa désapprobation.
- Et alors ?
- Sans commentaire !
- Tu crois qu’elle se tape son beau fils.
- Tu penses que ça ce fait cela, moralement ?
Je ne sais pas ce qui m’a retenu de lâcher « Tu n’as que le dire à ta mère, ce qu’elle en pense, elle, de notre relation gendre belle-mère ? »
Le lendemain, la vue de ma voisine, la mère du nouvel amant de ma femme, en train de s’occuper de ses rosiers me donne une idée.
Je m’avance jusqu’à elle. Pas un moment, elle ne s’aperçoit de ma venue. D’ailleurs, elle sursaute de surprise en me voyant devant elle.
- Je peux vous parler ?
- Pour quelle raison ? M’envoie-t-elle.
- Je pense que vous le savez aussi bien que moi ! Vous préférez pour ça qu’on en parle chez vous ou chez moi ?
- Vous voyez une différence ?
- Non… c’est juste un choix !
- Allons chez moi, alors !
- Bien… Je vous suis.
Sitôt à l’intérieur, je lui demande si son beau-fils se trouve entre les murs, sachant très bien sa réponse.
- Non… il n’est pas là ! Il a court… Pourquoi voulez-vous le voir.
- Pour éclaircir quelques détails.
- Quels détails ?
- Le fait qu’il couche avec ma femme. Je pense que vous êtes au courant ?
- Je le suis, et comme vous, je le désapprouve. D’ailleurs je lui es fait part de mon avis. Mais il n’est pas le seul fautif dans cette affaire, si vous voyez où je veux en venir
- Je le conçois bien, mais j’ai à lui parler !
- Pour vous venger ?
- Cela dépend de lui !
- C’est qu’un gosse !
- Oui ! Mais cela ne l’empêche pas d’enculer ma femme.
- Peut-être que vous ne la suffisez plus ! Allez savoir ? Il n’y a pas de honte de l’admettre. Ce n’est pas pour cela qu’il faut s’en prendre aux autres! Vous savez, de vous à moi, je subis la même chose de la part de son père. Ses activités font qu’ils ne lui laissent guère de temps de s’occuper de moi. Mais moi, par rapport à vous, je ne m’en plains pas. Je ne vais pas taper les femmes qu’il baise. Mais je suis consciente tout de même, que les facilités matérielles qu’il m’offre efface pas mal de chose.
- Je vois… fais-je.
Mais alors que je me dirige vers la sortie, la voilà qu’elle lâche :
- Dis voir, Alain, cela ne m’empêche d’être une chaudasse.
- Pourquoi me dire cela ?
- Comme ça, on ne sait jamais, si cela t’intéresse de t’amuser avec moi.
- Et pourquoi je ferais ça ?
- Parce que tu en n’as pas l’air comme ça, mais je suis sûre que t’es un vrai vicieux.
Prenant l’initiative d’employer le tutoiement. Silencieux, je reste immobile, accusant le coup, suite à ce que je venais d’entendre.
- Alors ? Me lance-t-elle, impatiente.
- Oui, je suis effectivement le genre qui aime piner les femmes cochonnes en manque d’amour.
-J’adore entendre ça de la bouche d’un beau mec. Un silence puis, elle ajoute :
- Ça m’excite de montrer mes fesses, comme ça, à un inconnu.
- Tu mouilles ?
- Bien sûr.
Aussitôt, comme si elle n’attendait que ça, Cécile, de son prénom, se dévêtit. À chaque étape, elle me dévoile davantage de sa profonde vallée et ses fiers mamelons. Sa peau diaphane laisse entrevoir le dessin léger de quelques veines d’un bleu à peine esquissé. Sa poitrine généreuse et légèrement tombante, souple comme le sont celles des femmes mûres. Offre à ma vue de ravissants contours en forme de poire. À l’extrémité de larges aréoles sombres et aux tétons pointus.
Sans un mot, je m’allonge sur le sol et je lui demande de s’accroupir sur moi. Elle proteste mollement. Mais finit tout de même par prendre la bonne position. La voilà donc, croupe épanouie. Dans un semi-accroupissement, elle déploie sa fente entre ses doigts. Elle me montre l’intérieur, coule comme une fontaine. Je lui demande de faire du bruit avec ses doigts. Je suis fou des clapotis dans sa chatte. Elle se branle en gros plan. J’entends d’une voix essoufflée, que ça l’excite que je la regarde.
Son majeur enfoncé dans la fente remue de gauche à droite avec application. Les autres doigts tendus à l’horizontale laissent apercevoir son pubis bombé, sa vulve ronde. Son sexe est recouvert d’un beau tapis de poils. Il souligne tout au moins, les détails de son sexe plus qu’il ne les cache. C’est sur le clitoris qu’elle s’acharne à présent. Le pressant sous sa phalange. Le repoussant sur les côtés en faisant tourner son doigt.
Je bande comme un taureau. Elle gémit doucement. Elle continue à se caresser en ondulant au-dessus de moi. Séparant puis resserrant les globes lisses de sa croupe charnue à un rythme lent. La raie s’entrouvre, révélant fugitivement le sillon ocre, velu, au centre duquel s’étale un large cercle sombre en son milieu de fronces régulières.
Je ne tiens plus. J’empoigne les sphères fermes. Les maintiens écartés pour passer la langue entre elles. Suivant le sillon odorant jusqu’à l’anus que je lape avec avidité. Excité, j’enfonce ma langue dans les fronces de l’anus. Éprouvant la souplesse du sphincter. Elle se cambre pour mieux s’offrir avec un gémissement voluptueux.
-Je ne me suis pas trompé sur ton compte !
Pour toute réponse, je me remets à lécher, faisant tourner ma langue dans le trou amer pour le dilater davantage.
- Oh oui, c’est ce que je désirais d’un homme !
Je me déboutonne, mais elle m’arrête. Elle se tortille lascivement.
-Je veux que tu continues avec la bouche !
Alors je m’exécute. Je colle mon majeur plus haut sur l’orifice plissé. Mon doigt glisse aisément dans le rectum tiède, et humidifié par ma salive. Elle creuse les reins en poussant un cri de plaisir. Je reprends mon doigt pour le remplacer par ma langue. L’enfonçant entre les parois qui s’assoupissent. C’est deux doigts que je pose ensuite sur l’anus dilaté et graissé de bave. Pesant sur la corolle jusqu’à ce que mon majeur et index accolés disparaissent entre les replis mauves.
Elle pousse un cri aigu et son rythme de sa masturbation s’accélère. Je fais tourner mes doigts joints dans son cul. Il s’évase. Par ses coups de reins, elle fait coulisser la bague dilatée sur mes phalanges. Elle jouit très vite, contractant l’anneau du sphincter autour de mes doigts. Ecrasant sa chatte au creux de sa main.
Pas mécontent de moi, je retire mon bien avec précautions. Libérant ainsi le trou du cul, dans les fronces élastiques se resserrent aussitôt. Je me penche pour la lécher de nouveau, mais elle contracte ses fesses, m’interdisant l’accès.
Elle se retourne, alors. Une expression honteuse sur son visage rougi, avant de baisser pudiquement les yeux.
-Je ne sais plus où me mettre !
-Mais… mais pourquoi ça?
Pour toute réponse elle émet un rire de gorge.
-Il est temps que tu t’occupes de moi, lui fais-je en lui exhibant ma queue, qui se raidit au contact de ses doigts.
C’est une sensation des plus excitante. Elle étrangle le nœud pour faire bâiller l’orifice. Faire sourdre une goutte de mouille translucide. Regard insolent, la voilà qu’elle donne un coup de langue à la base du nœud, comme pour provoquer la contraction des muqueuses.
Un fil translucide relie l’extrémité de mon gland à sa langue. Elle le lape. Son autre main me presse les couilles. Elle me touche, me tète, toute concentrée sur mon plaisir. Elle creuse les joues, m’aspire. Elle me pompe avec application. Elle me gobe. Elle avale mon jus, me plante un doigt dans le cul. Je grogne, ma jouissance. Elle interrompt ses mouvements de succion pour me souffler qu’elle aime le cul avec moi, qu’elle veut tout essayer !
Elle entrouvre les lèvres pour laisser échapper une coulée de bave qui file sur son menton. J’aime sa façon de sucer. Comme une cochonne. Elle déglutit en me fixant de ses yeux.
Elle passe son index sous mes couilles. Les pétrit avec ses autres doigts. Son ongle me griffe le trou du cul. Reviens vers sa bouche pour qu’elle le mouille de salive. J’adore me faire enculer par une femme !
Je suis comme possédé de partout. Un doigt dans le cul, d’autres qui me pressent les couilles et tout ça en étant pomper. La tête de Cécile monte et descend. Quand enfin j’autorise la libération de mon orgasme, c’est pour gicler plusieurs fois. Des spasmes aggravés par sa succion font que mon anus étrangle son doigt enculeur. La bouche pleine de foutre, elle me sourit, autant ravie que moi d’avoir pris notre pied !

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