À bout de laisse
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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À bout de laisse
Ce sera ma dernière contribution à la rubrique « entre hommes », étant donné que j’ai pris l’engagement de ne partager que du vécu. Pour ne pas être lassant, je n’ai raconté que les passages originaux qui m’ont fait franchir de nouvelles étapes dans ma recherche “atout sexe” côté hommes. Je vais terminer par une “mise en laisse” dans un sexe-shop.
Depuis plusieurs années, lorsque je n’oublie pas mon équipement, je viens avec un sac dans lequel je peux ranger mes habits pour être totalement nu ou s’il fait trop frais, je ne garde qu’un polo qui s’enlève facilement sous les caresses. Lorsque j’arrive dans ce sexe-shop, j’ai toujours la même place, à condition d’arriver suffisamment tôt car c’est la place privilégiée pour offrir un coin fellation en grand confort pour le suceur et discrétion pour le sucé.
Lorsque j’arrive et que la place est libre, j’ai mon rituel, je me mets à nu et je passe autour du coup ma ceinture ainsi offerte aux clients pour qu’ils puissent me fouetter les parties sensibles et le reste ou bien procéder à un simulacre d’étranglement pour plaquer ma tête contre leur sexe et enfouir leur queue au plus profond de ma gueule. Enfin, je me bande les yeux à l’aide d’un bonnet enfoncé jusqu’au nez. Je suis dans le noir le plus complet à la merci de qui veut profiter de moi. Je ne choisis pas mes partenaires, je ne les provoque pas, même s’ils sont tout près de moi. Je sens souvent leurs odeurs, mais tant que ma langue, légèrement sortie entre mes lèvres, n’est pas sollicitée par un bout de gland humide, je suis dans l’expectative et cela est excitant.
Un jour, j’ai dû avoir les assauts, pendant une heure, d’un quidam qui s’approchait de mon visage ; à chaque fois une odeur forte caractéristique chatouillait mes narines mais aucun contact et donc aucune réaction de ma part et en fin de soirée, il s’est décidé à poser son bout sur ma langue et là, j’ai commencé la pompe. Il a changé complètement d’attitude et m’a pilonné la gorge jusqu’à la limite du supportable, j’étais au bord de la gerbe, mais j’ai pu me soustraire juste avant de vomir.
Voilà mon rituel dans ce sexe-shop et si la place est occupée, je monte à l’étage et m’allonge, nu et les yeux bandés, sur un matelas à hauteur de couilles, la tête tournée vers le mur et les fesses offertes au passant, la porte étant grande ouverte et la cabine éclairée. J’ai les couilles coincées derrières entre les jambes, elles sont ainsi exposées près de ma fente intime permettant à qui le veut de les tirer, les torturer ou simplement les sucer ou bien alors m’enculer. J’ai accueilli plusieurs queues anonymes, une ou deux seulement sont allées jusqu’au terme et me gratifiant de leur nectar dans mon intimité.
Donc, un jour, j’étais à ma place favorite pour les fellations à la demande, mais ce jour-là j’avais oublié mon bonnet, je fermais simplement les yeux dans l’attente d’un bout de chair humide contre ma langue. Un domi s’est présenté et m’a exploré le corps et mon tréfonds avec ses doigts fortement onglés, ce n’était pas des plus agréables, il me déchirait l’anus.Je préfère les queues plutôt que les doigts à moins qu’ils soient un prélude à la pénétration d’une verge. Mais lui, la queue molle, ne l’a jamais offerte ni à ma bouche ni à ma vulve, le seul contact avec lui, c’était ses mains assez intrusives. Il a pris ma ceinture transformée en laisse et m’a arraché de mon siège pour m’entraîner nu et à quatre pattes selon son ordre à travers les couloirs, me frappant du cuir de la ceinture chaque fois que je levais les yeux vers lui. Je devais garder les yeux baissés. Il m’exposait à tout promeneur du sexe-shop en m’offrant soit à la suce ou à la baise.
Ce jour-là, il y avait pourtant du passage mais pas de client vraiment intéressé pour profiter de cette lope. Il m’a donc tiré jusqu’à l’étage, et il m’a conduit dans la salle au fameux lit où j’avais l’habitude de m’offrir aux passants. Dans cette pièce, il y avait un vieux à la queue pendante, il m’a obligé à gober cette dernière, relevant mes fesses pour les offrir en spectacle pendant que je tentais, de mon mieux, de donner du plaisir à ce vieux, sa queue retrouvant du volume sans toute fois se raidir suffisamment pour une pénétration. Mon maître voulait un enculeur à la teub coiffée d’un préservatif. Pendant que j’étais occupé à donner un peu de jouissance à ce client, j’ai senti une intrusion dans mon postérieur. Un engin, assez imposant qui avait de la peine à se frayer un passage dans mon anus pourtant visité assez régulièrement mais, c’est vrai, jamais distendu par un fist agressif. Avec une de mes mains libres, j’aidais ce berlingot à me pénétrer car la tête était passée et le reste pliait dans ma fente sans entrer dans mon canal. Je sentais sous mes doigt le caoutchouc cause de cette difficile intrusion.
Je me suis retourné un instant pour voir mon agresseur du cul, c’était un noir, j’ai repensé aussitôt à mon tout premier noir, en Afrique, qui m’avait tant donné. Je lui ai dit « Oh oui, possède-moi, féconde-moi ». Mon maître s’est insurgé : « non, ne jouis pas dans son cul, il doit boire ta semence. » Je n’étais pas très satisfait de cette semi-pénétration, le caoutchouc m’enlève toute sensation de proximité avec mon enculeur, c’est comme si je m’enfonçait un sextoy, on peut s’en contenter quand il n’y pas de queue disponible. Mais une queue vêtue d’un latex c’est très frustrant quand celle-ci te pénètre, elle n’entre pas en contact intime avec ton anus et ne te versera aucune récompense pour l’offrande de ton intimité. Finalement, je me suis relevé sans obéir à mon maître et je me suis couché sur le dos relevant mes jambes écartées. Le noir a compris ma manœuvre, il a fait sauter discrètement la capote et m’a baisé en profondeur. J’étais bien, j’avais abandonné le vieux sucé, le laissant me contempler faire l’amour. La baise se faisait maintenant en profondeur et je pouvais contempler mon beau partenaire. Je réitérais ma demande de me faire féconder avec toujours la protestation de mon maître mais je n’allais pas laisser passer ce plaisir d’être honoré de sperme dans mon intérieur surtout par un noir. Je voyais le visage de mon enculeur s’adonner avec application à la sodomie. J’ai vu arriver son orgasme dans un rictus signifiant qu’il allait tout donner, il s’est enfoncé encore plus profond et s’est figé dans mon cul.
Je me suis alors relevé pour me jeter sur sa tige, une belle goutte de sperme encore accrochée à son bout toujours raide. Je l’ai dégustée, elle avait le gout de mon cul, il m’avait bien pénétré à cru, au désespoir de mon maître. Satisfait, je me suis à nouveau soumis à ce dernier qui m’a tiré par la laisse en dehors de la cabine pour me promener dans les couloirs et m’offrir de nouveau à d’éventuels candidats à la baise. Pas facile de descendre les escaliers étroits à quatre pattes, mais je restais à la merci de mon domi.
Le problème actuel des lieux de drague, c’est qu’ils sont envahis par des passifs (dont moi) en quête d’actifs qui se font de plus en plus rares. On trouve plus de pompeurs/pompés que de pures pompés. Mon maître m’a finalement abandonné à mon sort. J’ai revu le noir dans la salle, la queue toujours raide, tannique je le suçait, il me caressait la tête, les cheveux de blancs c’est doux.
Voilà, je vais arrêter ici, mes récits sexuels avec des hommes, même s’il y a eu encore beaucoup de suces et baises, mais sans originalité, qui puissent être partagées avec intérêt.
J’ai été très heureux de mettre des mots sur mon vécu caché et de le partager. Je vais maintenant glisser vers la rubrique « entre homme et femme » pour évoquer les explorations de ma queue dans les cavernes féminines où elle a laissé beaucoup de dons en nature car pas encapuchonnée. Je ne partagerai que les découvertes originales, laissant en filigrane mes ébats amoureux classiques.
Depuis plusieurs années, lorsque je n’oublie pas mon équipement, je viens avec un sac dans lequel je peux ranger mes habits pour être totalement nu ou s’il fait trop frais, je ne garde qu’un polo qui s’enlève facilement sous les caresses. Lorsque j’arrive dans ce sexe-shop, j’ai toujours la même place, à condition d’arriver suffisamment tôt car c’est la place privilégiée pour offrir un coin fellation en grand confort pour le suceur et discrétion pour le sucé.
Lorsque j’arrive et que la place est libre, j’ai mon rituel, je me mets à nu et je passe autour du coup ma ceinture ainsi offerte aux clients pour qu’ils puissent me fouetter les parties sensibles et le reste ou bien procéder à un simulacre d’étranglement pour plaquer ma tête contre leur sexe et enfouir leur queue au plus profond de ma gueule. Enfin, je me bande les yeux à l’aide d’un bonnet enfoncé jusqu’au nez. Je suis dans le noir le plus complet à la merci de qui veut profiter de moi. Je ne choisis pas mes partenaires, je ne les provoque pas, même s’ils sont tout près de moi. Je sens souvent leurs odeurs, mais tant que ma langue, légèrement sortie entre mes lèvres, n’est pas sollicitée par un bout de gland humide, je suis dans l’expectative et cela est excitant.
Un jour, j’ai dû avoir les assauts, pendant une heure, d’un quidam qui s’approchait de mon visage ; à chaque fois une odeur forte caractéristique chatouillait mes narines mais aucun contact et donc aucune réaction de ma part et en fin de soirée, il s’est décidé à poser son bout sur ma langue et là, j’ai commencé la pompe. Il a changé complètement d’attitude et m’a pilonné la gorge jusqu’à la limite du supportable, j’étais au bord de la gerbe, mais j’ai pu me soustraire juste avant de vomir.
Voilà mon rituel dans ce sexe-shop et si la place est occupée, je monte à l’étage et m’allonge, nu et les yeux bandés, sur un matelas à hauteur de couilles, la tête tournée vers le mur et les fesses offertes au passant, la porte étant grande ouverte et la cabine éclairée. J’ai les couilles coincées derrières entre les jambes, elles sont ainsi exposées près de ma fente intime permettant à qui le veut de les tirer, les torturer ou simplement les sucer ou bien alors m’enculer. J’ai accueilli plusieurs queues anonymes, une ou deux seulement sont allées jusqu’au terme et me gratifiant de leur nectar dans mon intimité.
Donc, un jour, j’étais à ma place favorite pour les fellations à la demande, mais ce jour-là j’avais oublié mon bonnet, je fermais simplement les yeux dans l’attente d’un bout de chair humide contre ma langue. Un domi s’est présenté et m’a exploré le corps et mon tréfonds avec ses doigts fortement onglés, ce n’était pas des plus agréables, il me déchirait l’anus.Je préfère les queues plutôt que les doigts à moins qu’ils soient un prélude à la pénétration d’une verge. Mais lui, la queue molle, ne l’a jamais offerte ni à ma bouche ni à ma vulve, le seul contact avec lui, c’était ses mains assez intrusives. Il a pris ma ceinture transformée en laisse et m’a arraché de mon siège pour m’entraîner nu et à quatre pattes selon son ordre à travers les couloirs, me frappant du cuir de la ceinture chaque fois que je levais les yeux vers lui. Je devais garder les yeux baissés. Il m’exposait à tout promeneur du sexe-shop en m’offrant soit à la suce ou à la baise.
Ce jour-là, il y avait pourtant du passage mais pas de client vraiment intéressé pour profiter de cette lope. Il m’a donc tiré jusqu’à l’étage, et il m’a conduit dans la salle au fameux lit où j’avais l’habitude de m’offrir aux passants. Dans cette pièce, il y avait un vieux à la queue pendante, il m’a obligé à gober cette dernière, relevant mes fesses pour les offrir en spectacle pendant que je tentais, de mon mieux, de donner du plaisir à ce vieux, sa queue retrouvant du volume sans toute fois se raidir suffisamment pour une pénétration. Mon maître voulait un enculeur à la teub coiffée d’un préservatif. Pendant que j’étais occupé à donner un peu de jouissance à ce client, j’ai senti une intrusion dans mon postérieur. Un engin, assez imposant qui avait de la peine à se frayer un passage dans mon anus pourtant visité assez régulièrement mais, c’est vrai, jamais distendu par un fist agressif. Avec une de mes mains libres, j’aidais ce berlingot à me pénétrer car la tête était passée et le reste pliait dans ma fente sans entrer dans mon canal. Je sentais sous mes doigt le caoutchouc cause de cette difficile intrusion.
Je me suis retourné un instant pour voir mon agresseur du cul, c’était un noir, j’ai repensé aussitôt à mon tout premier noir, en Afrique, qui m’avait tant donné. Je lui ai dit « Oh oui, possède-moi, féconde-moi ». Mon maître s’est insurgé : « non, ne jouis pas dans son cul, il doit boire ta semence. » Je n’étais pas très satisfait de cette semi-pénétration, le caoutchouc m’enlève toute sensation de proximité avec mon enculeur, c’est comme si je m’enfonçait un sextoy, on peut s’en contenter quand il n’y pas de queue disponible. Mais une queue vêtue d’un latex c’est très frustrant quand celle-ci te pénètre, elle n’entre pas en contact intime avec ton anus et ne te versera aucune récompense pour l’offrande de ton intimité. Finalement, je me suis relevé sans obéir à mon maître et je me suis couché sur le dos relevant mes jambes écartées. Le noir a compris ma manœuvre, il a fait sauter discrètement la capote et m’a baisé en profondeur. J’étais bien, j’avais abandonné le vieux sucé, le laissant me contempler faire l’amour. La baise se faisait maintenant en profondeur et je pouvais contempler mon beau partenaire. Je réitérais ma demande de me faire féconder avec toujours la protestation de mon maître mais je n’allais pas laisser passer ce plaisir d’être honoré de sperme dans mon intérieur surtout par un noir. Je voyais le visage de mon enculeur s’adonner avec application à la sodomie. J’ai vu arriver son orgasme dans un rictus signifiant qu’il allait tout donner, il s’est enfoncé encore plus profond et s’est figé dans mon cul.
Je me suis alors relevé pour me jeter sur sa tige, une belle goutte de sperme encore accrochée à son bout toujours raide. Je l’ai dégustée, elle avait le gout de mon cul, il m’avait bien pénétré à cru, au désespoir de mon maître. Satisfait, je me suis à nouveau soumis à ce dernier qui m’a tiré par la laisse en dehors de la cabine pour me promener dans les couloirs et m’offrir de nouveau à d’éventuels candidats à la baise. Pas facile de descendre les escaliers étroits à quatre pattes, mais je restais à la merci de mon domi.
Le problème actuel des lieux de drague, c’est qu’ils sont envahis par des passifs (dont moi) en quête d’actifs qui se font de plus en plus rares. On trouve plus de pompeurs/pompés que de pures pompés. Mon maître m’a finalement abandonné à mon sort. J’ai revu le noir dans la salle, la queue toujours raide, tannique je le suçait, il me caressait la tête, les cheveux de blancs c’est doux.
Voilà, je vais arrêter ici, mes récits sexuels avec des hommes, même s’il y a eu encore beaucoup de suces et baises, mais sans originalité, qui puissent être partagées avec intérêt.
J’ai été très heureux de mettre des mots sur mon vécu caché et de le partager. Je vais maintenant glisser vers la rubrique « entre homme et femme » pour évoquer les explorations de ma queue dans les cavernes féminines où elle a laissé beaucoup de dons en nature car pas encapuchonnée. Je ne partagerai que les découvertes originales, laissant en filigrane mes ébats amoureux classiques.
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