À l'hotel ...
Récit érotique écrit par Moidemoiselle [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
À l'hotel ...
Pour commencer, on va planter un peu le décor. Tu portes un manteau sombre, et un tailleur noir très fluide.
Tu n'as que des bas sous ton tailleur, pas de soutien gorge ni de culotte. Je ne sais pas que tu es nue sous le tailleur. Nous devons nous retrouver dans une chambre d'hôtel. Je suis déjà dans la chambre et t'attends. Tu frappes à la porte, je t'ouvre et t'admire. Je remarque tes yeux brillants. Tu t'approches de moi me fais un petit bisou sur les lèvres en me caressant la joue du bout des doigts. J'essaye de t'imiter mais tu esquives. Tu retires ton manteau Mes yeux ne perdent pas une miette du spectacle. Dans ton mouvement il m'a semblé apercevoir ta nudité sous ta veste. Mais tu es tellement vive que je n'en suis pas sûr. Je me rapproche les mains en avant pour essayer de vérifier ce que tu m'as laissé entrevoir.
En fait, tu me mets ton manteau dans les bras. Tu m'embrasses de manière plus appuyée que la fois précédente.
Une de tes mains vient caresser mon entrejambe. Ce que tu constates te fait sourire. Je n'arrive pas à te toucher empoté que je suis ne sachant que faire du manteau. Je me décide à aller le suspendre. Tu en profites pour te glisser dans la salle de bains. Tu te mets face au miroir et tu me regardes venir à travers la glace. Je plonge mes yeux dans les tiens. La lueur que j'y vois emballe mon cœur. Tu sors de
ton sac un tube de gel. Tu le poses sur la table de toilettes tout en me regardant. Ton sourire est extrêmement coquin. Puis, tu te recules un peu. Je suis toujours sur le seuil de la salle de bains. Tu te cambres et doucement tu relèves ta jupe. Cette remontée est incroyablement lente. D'abord la lisière de tes bas apparaît. D'abord la
lisière de tes bas apparaît. Puis ce sont tes fesses qui se dévoilent. Ma surprise est complète lorsque la jupe remontant, je ne vois aucun tissu sur ta peau. Maintenant ta jupe n'est plus retenue que pas ta chute de reins accentuée pas ta cambrure. Pendant toute la remontée tu m'observes à travers le miroir, un sourire aux
lèvres. Mes yeux vont de ton visage à tes fesses que tu me dévoiles. Je reste totalement interdit sur le seuil. Tu poses les mains de chaque coté du miroir. La cambrure de tes reins s'accentue. Tu écartes doucement les jambes. Le spectacle de tes reins découverts soulignés par les bas et ta jupe est éblouissant. Tes yeux espiègles brillent. Je me décide enfin à bouger. Je m'approche de toi les yeux rivés dans les tiens. Arrivé derrière toi au niveau de ta croupe offerte je m'arrête et baisse les yeux. J'effleure ta peau avec mes doigts juste pour te voir frissonner et la chair de poule apparaître dans le sillage de mes caresses. Mes yeux remontent vers le miroir. Je me repais de ton visage.
Mon regard plonge dans le reflet de ton décolleté. J'aperçois la naissance du galbe de tes seins. Je suis sûr que tu ne portes pas de soutien gorge.
Mon excitation augmente. Je me déplace pour me mettre à ton niveau. Je viens t'embrasser. Nos langues s'enroulent délicieusement. Je glisse une main dans l'échancrure de ton tailleur. Je vais caresser ton sein tendre et chaud. J'en excite la pointe.
Les réactions de ta langue me confirme le plaisir que tu prends à ces caresses. Je reviens derrière toi. Je m'agenouille devant le présent que tu me fais. Je pose les mains sur ta peau dénudée et écarte tes lobes soyeux. Mes yeux se remplissent du spectacle.
Je souffle sur ta fente offerte. Tu réagis à cet effleurement. Je rapproche mon visage. Je sors ma langue et pose la pointe entre ton sexe et ta rosette. Je remonte lentement vers tes reins en élargissant ma langue au passage de ton anus. Puis, je redescends ma langue se faisant plus fine et précise.
Je viens écarter doucement chaque pli. Par un mouvement de spirale je vais vers ta porte étroite. Avec toute la douceur dont je suis capable, j'écarte ta rosette et pousse ma langue aussi loin que possible dans ton anus.
Je te goûte. Je te lape. Je glisse une main vers ton entrejambe pour aller caresser tes grandes lèvres. Je me réserve des attouchements plus précis pour la suite... Je me relève et reviens à ta hauteur avec un doigt venant te caresser la rosette humide de salive.
Mon doigt ne reste qu'en surface faisant des mouvements autour de l'entrée. Je t'embrasse à nouveau.
Après ce baiser je fixe ton regard dans le miroir. Je déboutonne le plus lentement possible ma chemise. A chaque bouton je semble hésiter.Ton regard me force à continuer. Je défais ma ceinture. Je vois tes yeux s'abaisser. Je m'amuse à suivre ton regard à chaque bouton dégrafé. Mon pantalon est sur mes chevilles. Mon slip est quelque peu déformé et tu souris. J'écarte l'élastique, et le gland se redresse vers mon ventre. Je fais glisser mon slip. Mon sexe est libre de ses mouvements. Tu ne le quittes pas du regard. Je prends le tube et l'ouvre. Je pose une goutte sur mon méat. Puis très lentement je me caresse un peu ma verge. Tes yeux me confirment ton intérêt pour l'opération. Je prends le tube de gel et reviens derrière toi. Mon sexe oscille au rythme de mes pas. Ton regard le suit. Je suis à nouveau niveau de ta croupe. Je pose mon membre tendu sur la raie offerte. Tu sursautes un peu et m'interroges des yeux. Je lève le tube de gel pour que tu le voies bien. Je recule d'un pas doucement laissant ma queue glisser sur toute la fente. J'approche le tube ouvert de ta rosette luisante. Je plaque doucement l'ouverture sur ton anus le tube progresse un peu a l'intérieur. Je presse, le gel entre en toi, et je retire le tube. Je finis d'étaler le gel avec un doigt qui s'enfonce tester la résistance de l'orifice que tu m'offres. Pendant le va et vient de mon doigt mes yeux plongent dans les tiens. Je dépose du gel sur mon sexe et me branle devant toi. Tu m'observes à travers le miroir. Puis, je me rapproche de tes reins. Tu respires plus vite. Je pose mon gland sur ta rosette plissée. Tu tressailles. Je pousse doucement et vois mon gland disparaître. J'arrête, relève la tête et regarde ton visage. Ton sourire m'encourage à poursuivre p Je lâche ma hampe et pose les deux mains sur tes lobes. Je me rapproche très lentement de ta croupe. Mon sexe ouvre ta porte étroite. C'est un délice de sentir tes chairs me laisser le passage. Pendant toute la progression nos yeux ne se quittent jamais. Mon ventre arrive au contact de ta peau. Je m'avance encore un peu en toi. Puis, j'arrête. Nous respirons bruyamment tous les deux. Tu comprimes mon sexe. C'est une sensation merveilleuse. Je ne bouge plus du tout. Je te laisse t'habituer à ma queue. Ma main gauche va vers ton pubis. Elle descend doucement vers ton mont de Vénus. Mon index suit la voie tracée par ton clitoris. Arrivé au sommet du capuchon il arrête. Je commence à exercer des pressions quasi imperceptibles. Et mon index commence des mouvements circulaires. Ma main droite remonte vers ton décolleté. Je te caresse un sein. Ton visage est tout illuminé. Je fais lentement gonfler mon sexe en toi. Je te sens réagir. Après quelques instants en plus de ces variations de gonflement, je fais des rotations de bassin.
Ta respiration se fait plus haletante. Je te dis que c'est ton orgasme qui déclenchera le mien en toi. Mes caresses sur ton clitoris se font plus appuyées. Je commence les allées venues dans ton anus. D'abord avec de très faibles amplitudes puis au fur et à mesure que la tension monte ces amplitudes augmentent. Touts les
mouvements de mon sexe sont lents.
Je voudrais que tu ressentes tout. Je te caresse jusqu'a ce que ton orgasme arrive. Lorsque le plaisir déferle en toi, je me plante au plus profond de toi de manière à ressentir tes contractions Tu enserres mon sexe, tes palpitations déclenchent mon orgasme. Pendant toute notre jouissance nos regards sont soudés.
Nous reprenons doucement notre souffle. Je me retire de ta croupe. Mes mains sont posées sur tes fesses les maintenant bien écartées. Ton petit trou luisant est exposé à ma vue. Je le regarde se refermer doucement. Tu te redresse lentement, ta jupe vient recouvrir mes mains puis ton cul rebondi. Tu te retournes et m’embrasses. Pendant notre baiser je sens tes doigts se refermer sur ma queue. J’en gémis de plaisir. Tu me masses doucement le sexe, tu sens l’afflux de désir dans ta paume. Puis tu t’écartes un peu gardant mon sexe dans ta main tu te dirige vers la porte de la salle de bains. Mon pantalon sur les chevilles entrave mes mouvements.
Tu me laisse m’en débarrasser maladroitement. Tes doigts continuent de jouer sur mon sexe, pressant le gland pour en faire sortir quelques gouttes de désir. Tu me guides vers le lit puis tu t’approches de moi pour me murmurer de m’allonger sur le lit. Je m’exécute perdant le contact de ta main sur ma queue. Tu portes tesdoigts à ton visage pour respirer l’odeur déposée par mon membre. Cette vision fait décoller ma queue de mon ventre. Tu me demandes de fermer les yeux. Je baisse les paupière et j’entends des frôlements de tissu. J’imagine ton tailleur glisser sur ta peau. A cette idée, ma queue recommence ses soubresauts sur mon ventre. Puis à ma surprise je t’entends le bruit de la porte de la chambre. J’ouvre les yeux pour apercevoir ta silhouette disparaître dans le couloir accompagnée de ton rire. Je n’ai pas le temps de me relever, tu as déjà disparu. Je reste là sur le lit, vêtu uniquement de ma chemise, la queue se dégonflant pitoyablement. J’en rigole, me lève et vais prendre une douche. Je m’offre un petit plaisir solitaire sous les jets d’eau. Puis je me rhabille et quitte le théâtre de ton exploit pour rentrer à la maison.
Tu n'as que des bas sous ton tailleur, pas de soutien gorge ni de culotte. Je ne sais pas que tu es nue sous le tailleur. Nous devons nous retrouver dans une chambre d'hôtel. Je suis déjà dans la chambre et t'attends. Tu frappes à la porte, je t'ouvre et t'admire. Je remarque tes yeux brillants. Tu t'approches de moi me fais un petit bisou sur les lèvres en me caressant la joue du bout des doigts. J'essaye de t'imiter mais tu esquives. Tu retires ton manteau Mes yeux ne perdent pas une miette du spectacle. Dans ton mouvement il m'a semblé apercevoir ta nudité sous ta veste. Mais tu es tellement vive que je n'en suis pas sûr. Je me rapproche les mains en avant pour essayer de vérifier ce que tu m'as laissé entrevoir.
En fait, tu me mets ton manteau dans les bras. Tu m'embrasses de manière plus appuyée que la fois précédente.
Une de tes mains vient caresser mon entrejambe. Ce que tu constates te fait sourire. Je n'arrive pas à te toucher empoté que je suis ne sachant que faire du manteau. Je me décide à aller le suspendre. Tu en profites pour te glisser dans la salle de bains. Tu te mets face au miroir et tu me regardes venir à travers la glace. Je plonge mes yeux dans les tiens. La lueur que j'y vois emballe mon cœur. Tu sors de
ton sac un tube de gel. Tu le poses sur la table de toilettes tout en me regardant. Ton sourire est extrêmement coquin. Puis, tu te recules un peu. Je suis toujours sur le seuil de la salle de bains. Tu te cambres et doucement tu relèves ta jupe. Cette remontée est incroyablement lente. D'abord la lisière de tes bas apparaît. D'abord la
lisière de tes bas apparaît. Puis ce sont tes fesses qui se dévoilent. Ma surprise est complète lorsque la jupe remontant, je ne vois aucun tissu sur ta peau. Maintenant ta jupe n'est plus retenue que pas ta chute de reins accentuée pas ta cambrure. Pendant toute la remontée tu m'observes à travers le miroir, un sourire aux
lèvres. Mes yeux vont de ton visage à tes fesses que tu me dévoiles. Je reste totalement interdit sur le seuil. Tu poses les mains de chaque coté du miroir. La cambrure de tes reins s'accentue. Tu écartes doucement les jambes. Le spectacle de tes reins découverts soulignés par les bas et ta jupe est éblouissant. Tes yeux espiègles brillent. Je me décide enfin à bouger. Je m'approche de toi les yeux rivés dans les tiens. Arrivé derrière toi au niveau de ta croupe offerte je m'arrête et baisse les yeux. J'effleure ta peau avec mes doigts juste pour te voir frissonner et la chair de poule apparaître dans le sillage de mes caresses. Mes yeux remontent vers le miroir. Je me repais de ton visage.
Mon regard plonge dans le reflet de ton décolleté. J'aperçois la naissance du galbe de tes seins. Je suis sûr que tu ne portes pas de soutien gorge.
Mon excitation augmente. Je me déplace pour me mettre à ton niveau. Je viens t'embrasser. Nos langues s'enroulent délicieusement. Je glisse une main dans l'échancrure de ton tailleur. Je vais caresser ton sein tendre et chaud. J'en excite la pointe.
Les réactions de ta langue me confirme le plaisir que tu prends à ces caresses. Je reviens derrière toi. Je m'agenouille devant le présent que tu me fais. Je pose les mains sur ta peau dénudée et écarte tes lobes soyeux. Mes yeux se remplissent du spectacle.
Je souffle sur ta fente offerte. Tu réagis à cet effleurement. Je rapproche mon visage. Je sors ma langue et pose la pointe entre ton sexe et ta rosette. Je remonte lentement vers tes reins en élargissant ma langue au passage de ton anus. Puis, je redescends ma langue se faisant plus fine et précise.
Je viens écarter doucement chaque pli. Par un mouvement de spirale je vais vers ta porte étroite. Avec toute la douceur dont je suis capable, j'écarte ta rosette et pousse ma langue aussi loin que possible dans ton anus.
Je te goûte. Je te lape. Je glisse une main vers ton entrejambe pour aller caresser tes grandes lèvres. Je me réserve des attouchements plus précis pour la suite... Je me relève et reviens à ta hauteur avec un doigt venant te caresser la rosette humide de salive.
Mon doigt ne reste qu'en surface faisant des mouvements autour de l'entrée. Je t'embrasse à nouveau.
Après ce baiser je fixe ton regard dans le miroir. Je déboutonne le plus lentement possible ma chemise. A chaque bouton je semble hésiter.Ton regard me force à continuer. Je défais ma ceinture. Je vois tes yeux s'abaisser. Je m'amuse à suivre ton regard à chaque bouton dégrafé. Mon pantalon est sur mes chevilles. Mon slip est quelque peu déformé et tu souris. J'écarte l'élastique, et le gland se redresse vers mon ventre. Je fais glisser mon slip. Mon sexe est libre de ses mouvements. Tu ne le quittes pas du regard. Je prends le tube et l'ouvre. Je pose une goutte sur mon méat. Puis très lentement je me caresse un peu ma verge. Tes yeux me confirment ton intérêt pour l'opération. Je prends le tube de gel et reviens derrière toi. Mon sexe oscille au rythme de mes pas. Ton regard le suit. Je suis à nouveau niveau de ta croupe. Je pose mon membre tendu sur la raie offerte. Tu sursautes un peu et m'interroges des yeux. Je lève le tube de gel pour que tu le voies bien. Je recule d'un pas doucement laissant ma queue glisser sur toute la fente. J'approche le tube ouvert de ta rosette luisante. Je plaque doucement l'ouverture sur ton anus le tube progresse un peu a l'intérieur. Je presse, le gel entre en toi, et je retire le tube. Je finis d'étaler le gel avec un doigt qui s'enfonce tester la résistance de l'orifice que tu m'offres. Pendant le va et vient de mon doigt mes yeux plongent dans les tiens. Je dépose du gel sur mon sexe et me branle devant toi. Tu m'observes à travers le miroir. Puis, je me rapproche de tes reins. Tu respires plus vite. Je pose mon gland sur ta rosette plissée. Tu tressailles. Je pousse doucement et vois mon gland disparaître. J'arrête, relève la tête et regarde ton visage. Ton sourire m'encourage à poursuivre p Je lâche ma hampe et pose les deux mains sur tes lobes. Je me rapproche très lentement de ta croupe. Mon sexe ouvre ta porte étroite. C'est un délice de sentir tes chairs me laisser le passage. Pendant toute la progression nos yeux ne se quittent jamais. Mon ventre arrive au contact de ta peau. Je m'avance encore un peu en toi. Puis, j'arrête. Nous respirons bruyamment tous les deux. Tu comprimes mon sexe. C'est une sensation merveilleuse. Je ne bouge plus du tout. Je te laisse t'habituer à ma queue. Ma main gauche va vers ton pubis. Elle descend doucement vers ton mont de Vénus. Mon index suit la voie tracée par ton clitoris. Arrivé au sommet du capuchon il arrête. Je commence à exercer des pressions quasi imperceptibles. Et mon index commence des mouvements circulaires. Ma main droite remonte vers ton décolleté. Je te caresse un sein. Ton visage est tout illuminé. Je fais lentement gonfler mon sexe en toi. Je te sens réagir. Après quelques instants en plus de ces variations de gonflement, je fais des rotations de bassin.
Ta respiration se fait plus haletante. Je te dis que c'est ton orgasme qui déclenchera le mien en toi. Mes caresses sur ton clitoris se font plus appuyées. Je commence les allées venues dans ton anus. D'abord avec de très faibles amplitudes puis au fur et à mesure que la tension monte ces amplitudes augmentent. Touts les
mouvements de mon sexe sont lents.
Je voudrais que tu ressentes tout. Je te caresse jusqu'a ce que ton orgasme arrive. Lorsque le plaisir déferle en toi, je me plante au plus profond de toi de manière à ressentir tes contractions Tu enserres mon sexe, tes palpitations déclenchent mon orgasme. Pendant toute notre jouissance nos regards sont soudés.
Nous reprenons doucement notre souffle. Je me retire de ta croupe. Mes mains sont posées sur tes fesses les maintenant bien écartées. Ton petit trou luisant est exposé à ma vue. Je le regarde se refermer doucement. Tu te redresse lentement, ta jupe vient recouvrir mes mains puis ton cul rebondi. Tu te retournes et m’embrasses. Pendant notre baiser je sens tes doigts se refermer sur ma queue. J’en gémis de plaisir. Tu me masses doucement le sexe, tu sens l’afflux de désir dans ta paume. Puis tu t’écartes un peu gardant mon sexe dans ta main tu te dirige vers la porte de la salle de bains. Mon pantalon sur les chevilles entrave mes mouvements.
Tu me laisse m’en débarrasser maladroitement. Tes doigts continuent de jouer sur mon sexe, pressant le gland pour en faire sortir quelques gouttes de désir. Tu me guides vers le lit puis tu t’approches de moi pour me murmurer de m’allonger sur le lit. Je m’exécute perdant le contact de ta main sur ma queue. Tu portes tesdoigts à ton visage pour respirer l’odeur déposée par mon membre. Cette vision fait décoller ma queue de mon ventre. Tu me demandes de fermer les yeux. Je baisse les paupière et j’entends des frôlements de tissu. J’imagine ton tailleur glisser sur ta peau. A cette idée, ma queue recommence ses soubresauts sur mon ventre. Puis à ma surprise je t’entends le bruit de la porte de la chambre. J’ouvre les yeux pour apercevoir ta silhouette disparaître dans le couloir accompagnée de ton rire. Je n’ai pas le temps de me relever, tu as déjà disparu. Je reste là sur le lit, vêtu uniquement de ma chemise, la queue se dégonflant pitoyablement. J’en rigole, me lève et vais prendre une douche. Je m’offre un petit plaisir solitaire sous les jets d’eau. Puis je me rhabille et quitte le théâtre de ton exploit pour rentrer à la maison.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une histoire palpitante qui m'a fait bien chaud dans mes entrailles, au point de me faire plaisir. Intéressant qu'une femme écrive du point de vue d'un homme
Très belle histoire. Et en tant qu'homme, j'ai particulièrement aimé cette rapide
"plongée" vers l'anus.
"plongée" vers l'anus.
C'est vrai que je suis allée droit au but mais comme tu le dis si bien ceci satisfaisais pleinement mes envies. Mais j'ai imaginé aussi que ce genre de situation plaît tout particulièrement aux hommes, pouvoir entrer directement pas la porte etroite ... donc j'ai voulu decrire ce fantasme tout particulièrement masculin ! Mais je prends en noté ta remarque et le prochain récit ira plus en douceur et moins rapidement à la petite porte ...
la description est bonne mais en ce qui me concerne je trouve que vous etes allée un
peu vite en allant direct à l'anus.
a moins que vous l'ayez fait volontairement pour satisfaire vos envies
qui sont légitimes.
continuez je pense que vos lecteurs (lectrices ) vous encourageront.
merci
peu vite en allant direct à l'anus.
a moins que vous l'ayez fait volontairement pour satisfaire vos envies
qui sont légitimes.
continuez je pense que vos lecteurs (lectrices ) vous encourageront.
merci