À l'ombre d'un bois tranquille.
Récit érotique écrit par Beam72 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
À l'ombre d'un bois tranquille.
Je passe le week-end chez mes parents à la campagne. J'ai 26 ans. Ma copine & moi on s'est séparés il y a peu. Revenir chez mes parents maintenant que je suis seul m'ennuie un peu, mais après tout, c'est agréable de se laisser dorloter.
Je fais une grande promenade à travers les champs, les prairies et la forêt. C'est le mois de mai, le temps est splendide. Au bout de 2 ou 3 heures, je me suis un peu égaré. Je tombe sur une petite route forestière. Au croisement, il y a un panneau qui indique Beaulieu à 11 km.
Mince ! 11 km à pieds ! Et en longeant la route en plus…
Au bout de 10 minutes, une voiture approche : allez, je tente l'auto-stop.
La voiture s'arrête. C'est un vieux break, et le conducteur est un type d'environ 50 ans, en marcel en short et tongs aux pieds…
– Bonjour. Vous allez à Beaulieu ?
– Je m'arrête avant, mais vas-y, monte, ça te rapprochera.
L'effet est immédiat : le soleil, la tranquillité de la forêt déserte, ses jambes poilues et ce tutoiement direct : une excitation totalement inattendue me submerge tout entier ! Une mollesse étourdissante m'envahit : vraiment, si je m'attendais à ça !!
Je m'assois maladroitement sur le siège passager, et je laisse mes bras le long du corps, les mains posées sur le bord du siège. De cette façon, ma main gauche est à quelque centimètres du levier de vitesses.
Il démarre. Quand il change de vitesse, ses doigts effleurent ma main. Je ne la bouge pas, je suis tétanisé.
Il change de vitesse plus souvent que nécessaire. À chaque fois, sa main touche la mienne. Je ne bouge pas. Puis il dit :
– Excuse-moi, il faut que je m'arrête un instant.
Il arrête la voiture sur le côté, sort et va pisser contre un arbre qui se trouve presque juste devant la voiture, à peine un peu sur la droite. Du coup, il est juste devant moi : par le pare-brise, je le vois de profil. Sec et musclé malgré son ventre, un air franc… il n'est pas spécialement beau, mais je le trouve irrésistible.
Il sort sa bite et se met à pisser. Quand il a fini, il me jette un petit coup d'œil : bien sûr, j'ai les yeux rivés sur sa queue. Il l'égoutte longuement. Elle gonfle. Il bande. Il la caresse un peu, puis la remet dans son short.
Il remonte dans la voiture mais ne démarre pas. La route est déserte, la forêt bruisse paisiblement. Je n'ai pas bougé. Il me regarde, et cette fois, au lieu de poser sa main sur le levier de vitesse, il la pose sur la mienne. Je ferme les yeux et ouvre la bouche pour mieux respirer. Mon cœur bat.
On reste un temps comme ça. Il se met à me caresser la main.
Puis, il prend ma main et la pose sur sa cuisse. Je le caresse à mon tour : j'aime sentir ses poils dans ma paume. Peu à peu, je remonte vers son short que je regarde fasciné. En longeant la cuisse, je remonte la main jusque dans son short. Avec mon petit doigt, je finis par sentir ses couilles sous le tissu de son slip.
Pendant ce temps, il me fixe du regard. Je suis bronzé en ce moment : il a l'air de me trouver très à son goût. Son bras est posé sur le dossier de mon siège. Il se met à me caresser les cheveux par derrière.
Je défais sa ceinture, et glisse ma main dans son slip : j'aime enfoncer mes doigts dans ses poils épais ou les glisser le long de ses couilles. Je fourrage longuement dans sa toison, je palpe ses couilles, sa queue et son gland où quelques gouttes me mouillent le poignet au passage. Puis je retire ma main et la colle à mon nez : l'odeur forte sur mes doigts m'excite au plus haut degré.
J'ai enlevé mon T-shirt et il a baissé son short. J'ai maintenant le nez collé dans sa toison qui s'étend largement sur son ventre et ses cuisses. Je m'y vautre sans retenue. Sa queue bande contre mes joues. Elle ne fait guère plus de 15 cm mais elle est très épaisse, et surtout, ses veines sont très saillantes. Elle est circoncise et son gland sombre est vraiment volumineux.
Il redémarre pour enfoncer la voiture dans un étroit chemin forestier un peu plus loin. Il prend une capote dans la boîte à gants et me dit : « Allez, sors. »
Il me place devant la voiture, face au pare-brise, les mains posées sur le capot. Il ouvre puis baisse lentement mon pantalon puis mon slip. De ses mains vigoureuses sur mes épaules, il me fait me plier encore : je me retrouve le front posé sur le capot du moteur, les bras relevés à plat sur le capot aussi.
Il met très longtemps à me pénétrer. Sa bite n'entre pas facilement : il prend tout le temps nécessaire. Cent fois, son gland pousse puis se retire, gagnant à chaque fois un demi-millimètre tout au plus. Chaque assaut me fait pousser un souffle ému.
Enfin : sa bite glisse et s'enfonce lentement.
Il laisse mon cul s'accoutumer à cette intrusion forcée, puis il commence son va-et-vient. Ça devient une jouissance. Il me pistonne avec une lenteur torturante. Je me plaque sur le capot e la voiture, je pourrais le lécher tant suis submergé de plaisir.
Au bout de quelques minutes, mon cul a comme fusionné avec sa bite : sa bite me complète, elle fait partie de moi. Chaque fois qu'elle se retire, il y a un vide, un manque profond, mon cul, mon ventre, mon corps entier la réclame. Quand elle replonge en moi, c'est un soulagement fantastique que j'accompagne d'un grand soupir de volupté.
Je fais une grande promenade à travers les champs, les prairies et la forêt. C'est le mois de mai, le temps est splendide. Au bout de 2 ou 3 heures, je me suis un peu égaré. Je tombe sur une petite route forestière. Au croisement, il y a un panneau qui indique Beaulieu à 11 km.
Mince ! 11 km à pieds ! Et en longeant la route en plus…
Au bout de 10 minutes, une voiture approche : allez, je tente l'auto-stop.
La voiture s'arrête. C'est un vieux break, et le conducteur est un type d'environ 50 ans, en marcel en short et tongs aux pieds…
– Bonjour. Vous allez à Beaulieu ?
– Je m'arrête avant, mais vas-y, monte, ça te rapprochera.
L'effet est immédiat : le soleil, la tranquillité de la forêt déserte, ses jambes poilues et ce tutoiement direct : une excitation totalement inattendue me submerge tout entier ! Une mollesse étourdissante m'envahit : vraiment, si je m'attendais à ça !!
Je m'assois maladroitement sur le siège passager, et je laisse mes bras le long du corps, les mains posées sur le bord du siège. De cette façon, ma main gauche est à quelque centimètres du levier de vitesses.
Il démarre. Quand il change de vitesse, ses doigts effleurent ma main. Je ne la bouge pas, je suis tétanisé.
Il change de vitesse plus souvent que nécessaire. À chaque fois, sa main touche la mienne. Je ne bouge pas. Puis il dit :
– Excuse-moi, il faut que je m'arrête un instant.
Il arrête la voiture sur le côté, sort et va pisser contre un arbre qui se trouve presque juste devant la voiture, à peine un peu sur la droite. Du coup, il est juste devant moi : par le pare-brise, je le vois de profil. Sec et musclé malgré son ventre, un air franc… il n'est pas spécialement beau, mais je le trouve irrésistible.
Il sort sa bite et se met à pisser. Quand il a fini, il me jette un petit coup d'œil : bien sûr, j'ai les yeux rivés sur sa queue. Il l'égoutte longuement. Elle gonfle. Il bande. Il la caresse un peu, puis la remet dans son short.
Il remonte dans la voiture mais ne démarre pas. La route est déserte, la forêt bruisse paisiblement. Je n'ai pas bougé. Il me regarde, et cette fois, au lieu de poser sa main sur le levier de vitesse, il la pose sur la mienne. Je ferme les yeux et ouvre la bouche pour mieux respirer. Mon cœur bat.
On reste un temps comme ça. Il se met à me caresser la main.
Puis, il prend ma main et la pose sur sa cuisse. Je le caresse à mon tour : j'aime sentir ses poils dans ma paume. Peu à peu, je remonte vers son short que je regarde fasciné. En longeant la cuisse, je remonte la main jusque dans son short. Avec mon petit doigt, je finis par sentir ses couilles sous le tissu de son slip.
Pendant ce temps, il me fixe du regard. Je suis bronzé en ce moment : il a l'air de me trouver très à son goût. Son bras est posé sur le dossier de mon siège. Il se met à me caresser les cheveux par derrière.
Je défais sa ceinture, et glisse ma main dans son slip : j'aime enfoncer mes doigts dans ses poils épais ou les glisser le long de ses couilles. Je fourrage longuement dans sa toison, je palpe ses couilles, sa queue et son gland où quelques gouttes me mouillent le poignet au passage. Puis je retire ma main et la colle à mon nez : l'odeur forte sur mes doigts m'excite au plus haut degré.
J'ai enlevé mon T-shirt et il a baissé son short. J'ai maintenant le nez collé dans sa toison qui s'étend largement sur son ventre et ses cuisses. Je m'y vautre sans retenue. Sa queue bande contre mes joues. Elle ne fait guère plus de 15 cm mais elle est très épaisse, et surtout, ses veines sont très saillantes. Elle est circoncise et son gland sombre est vraiment volumineux.
Il redémarre pour enfoncer la voiture dans un étroit chemin forestier un peu plus loin. Il prend une capote dans la boîte à gants et me dit : « Allez, sors. »
Il me place devant la voiture, face au pare-brise, les mains posées sur le capot. Il ouvre puis baisse lentement mon pantalon puis mon slip. De ses mains vigoureuses sur mes épaules, il me fait me plier encore : je me retrouve le front posé sur le capot du moteur, les bras relevés à plat sur le capot aussi.
Il met très longtemps à me pénétrer. Sa bite n'entre pas facilement : il prend tout le temps nécessaire. Cent fois, son gland pousse puis se retire, gagnant à chaque fois un demi-millimètre tout au plus. Chaque assaut me fait pousser un souffle ému.
Enfin : sa bite glisse et s'enfonce lentement.
Il laisse mon cul s'accoutumer à cette intrusion forcée, puis il commence son va-et-vient. Ça devient une jouissance. Il me pistonne avec une lenteur torturante. Je me plaque sur le capot e la voiture, je pourrais le lécher tant suis submergé de plaisir.
Au bout de quelques minutes, mon cul a comme fusionné avec sa bite : sa bite me complète, elle fait partie de moi. Chaque fois qu'elle se retire, il y a un vide, un manque profond, mon cul, mon ventre, mon corps entier la réclame. Quand elle replonge en moi, c'est un soulagement fantastique que j'accompagne d'un grand soupir de volupté.
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