A l’ombre des maris – Série 2 Deuxième partie : le mariage de Ghania -2-
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2012 dans la catégorie Plus on est
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A l’ombre des maris – Série 2 Deuxième partie : le mariage de Ghania -2-
Le retour de Ghania avait été pour moi le début d’une merveilleuse période de bonheur,
sans la moindre tache. Depuis cette matinée bénie, où je la trouvais assise à son
bureau, le lendemain même de son retour de voyage de noces, jusqu’à la naissance de sa
(notre) première fille, nous menâmes une vie de rêve : double pour elle, qui était
mariée et qui ne voulait pas que notre histoire soit découverte par Ali, son mari qui
avait une nature plutôt jalouse et parfois violente. Simple pour moi, qui me
comportais avec elle comme un mari fidèle, complètement dépendant d’elle (je n’intègre
pas dans ma « fidélité » les relations torrides que je continuais à avoir
épisodiquement – avec la bénédiction de Ghania – avec Soraya, mon autre assistante et
son amie.
Ghania acceptait que je poursuive mon aventure avec Soraya presque comme un devoir :
elle disait qu’elle me devait une « compensation », parce qu’elle aussi me « trompait
» avec son mari. Dans notre relation bizarre, elle considérait Ali, son mari comme un
amant occasionnel. C’était moi son vrai mari. L’amour de sa vie. Elle me racontait
parfois comment se passaient ses ébats amoureux avec son époux. Elle m’affirmait –
peut-être pour ne pas me faire trop de peine – qu’elle ne prenait « qu’un tout petit
plaisir avec lui ». Rien que pour qu’il ne soit pas déçu et qu’il ne se pose pas des
questions - sur elle, d’abord et aussi sur lui. Elle ne voulait pas, ajoutait-elle,
«tenter le Diable » et le faire douter de ses capacités en tant qu’Homme, si elle
refusait ostensiblement de s’offrir à lui et à ne prendre aucun plaisir sous ses coups
de reins. Ali était, comme la plupart des hommes, vaniteux et fier de ce qu’il croyait
être ses énormes capacités sexuelles. Elle ne voulait pas le vexer ou le blesser en le
mettant en face de sa « normalité ».
Elle disait qu’elle avait beaucoup de la tendresse pour lui et qu’il lui arrivait – en
pensant à tout le plaisir qu’elle prenait avec moi - d’éprouver un sentiment de
culpabilité. Cela la poussait à être aux petits soins pour lui – elle le traitait,
disait-elle, comme un coq en pâte – et qu’au lit, elle l’emmenait, presque toutes les
nuits au septième ciel. Elle ajoutait, comme pour éloigner de moi toute jalousie, que
le plus souvent, elle simulait l’excitation, le plaisir et la jouissance, plus qu’elle
n’en avait réellement. Mais malgré cela, elle disait qu’elle me devait une
compensation ; et elle était heureuse que cette compensation soit sa fidèle amie
Soraya.
Elle disait qu’Ali n’avait pas été aussi bien doté que moi par la nature et qu’il
n’avait pas mon expérience en tant qu’amant. Son homme, c’était moi ! Rien que moi !
Inutile de dire que je buvais littéralement ses paroles. J’étais dans un état de
béatitude totale. Ghania n’aimait que moi ! Et moi, je n’aimais que Ghania. Nous
avions fait de mon bureau notre nid d’amour. Il disposait de toutes les commodités
pour rendre nos rencontres confortables : un immense fauteuil en cuir, qui nous
servait de champ de bataille ; un énorme bureau - débarrassé ou pas des dossiers qu’il
contenait - que nous utilisions souvent pour nos ébats; une petite salle de bain,
dans laquelle nous nous délassions et nous remettions en forme, après nos folles
séances de jambes en l’air ; une porte et des murs capitonnés, pour empêcher nos cris
et hurlements d’être entendus de l’extérieur et même depuis le secrétariat ; une
fermeture électrique de la porte d’accès qui empêchait tout risque d’intrusion
intempestive.
Ce fut une période où Ghania et moi travaillâmes très peu. Ses tâches, à elle, était
assurées - à la perfection - par Soraya. Quant à moi, je ne travaillais que quelques
heures par jours ; toujours très tôt le matin, ou tard en fin d’après-midi. Je
haïssais les moments où je devais m’absenter pour des réunions à l’extérieur ou quand
je devais partir pour des missions qui m’éloignaient trop longtemps de mon amante.
Aujourd’hui encore , quand il m’arrive d’y réfléchir, je me dis que je dois une fière
chandelle à mes collaborateurs directs qui s’étaient substitués à moi pour faire
fonctionner la machine. Ils me mâchaient le travail et ne me posaient que les
problèmes qu’ils ne pouvaient pas résoudre à leur niveau.
Il arrivait aussi à Ghania de venir me rejoindre, tôt le matin chez moi et passer
toute une matinée à subir les furieux assauts de mon manche. Une fois rassasiés de
sexe, nous restions allongés dans le grand lit. Elle se blottissait tendrement contre
moi, en quémandant baisers et caresses. Elle repartait au bureau vers treize heures,
après un repas léger qu’elle préparait rapidement et que nous prenions ensemble dans
la cuisine, comme un vrai couple marié.
Pour me rejoindre le matin dans ma garçonnière, elle n’avait aucune explication à
donner à son travail (et pour cause !) et, bien entendu, elle laissait son mari Ali
dans l’ignorance de cette absence du bureau. Comme il avait l’habitude de l’appeler
assez régulièrement dans la journée, et qu’il devait absolument ignorer qu’elle
n’était pas au bureau, elle avait inventé une histoire – assez vraisemblable – pour
qu’il ne l’appelle jamais sur l’une des lignes fixes du bureau. Elle lui faisait
croire, que par mesure d’économie, j’interdisais au personnel de l’entreprise
d’utiliser, pour des appels personnels, les lignes fixes du bureau. Il ne l’appelait
donc que sur son portable. Et cela ne l’obligeait pas à inventer chaque fois un
mensonge pour expliquer son absence du bureau et la mettait à l’abri des soupçons
qu’aurait pu avoir Ali qui ne la trouverait pas à son poste.
Nous adorions particulièrement ces moments de plénitude passés chez moi : en moyenne,
deux matinées par semaine. Pendant ces moments d’immense bonheur, nous étions mari et
femme. Et moi qui ne voulais absolument pas entendre parler de mariage (j’avais eu une
expérience malheureuse dans ce domaine) je voulais que Ghania soit vraiment mon
épouse, et je lui avouais que je regrettais amèrement de ne l’avoir pas épousée quand
c’était encore possible de le faire. Elle en riait, persuadée que jamais elle n’aurait
réussi à me mettre la corde au cou. Elle était suffisamment heureuse comme cela. Tout
ce qu’elle voulait, c’était que cela dure le plus longtemps possible. Et je lui
promettais que cela durera toute l’éternité.
…/…
Sexuellement, Ghania avait toujours été au top. C’était la sensualité personnifiée.
Elle aimait l’amour et était très imaginative. D’ailleurs si je devais mettre un
qualificatif sur elle, c’était celui d’amante extrêmement imaginative. Tellement
imaginative, qu’elle n’arrêtait pas de me surprendre et de m’emmener chaque fois vers
les plus hauts sommets du désir et du plaisir. La première manifestation de son
imagination coquine se passa le surlendemain de son retour de son voyage de noces.
Ce matin là, je recevais dans mon bureau le directeur technique de l’entreprise qui
devait me présenter le rapport d’activité mensuelle de sa structure. Nous étions en
pleine discussion, quand Ghania pénétra dans le bureau avec plusieurs parapheurs sous
les bras. Elle contourna le bureau pour se mettre derrière moi et déposer, par dessus
mon épaule gauche, les parapheurs sur la table. Elle ne dit rien et repartit à pas
lents vers la sortie. Mon collaborateur, qui était assis en face de moi, ne pouvait
pas voir Ghania qui s’en allait en dandinant du cul de manière impudique ; c’était sa
manière à elle de me dire qu’elle avait envie de faire l’amour. Je n’y prêtais pas
attention et la laissai sortir sans rien dire. Je continuais un moment ma réunion et,
machinalement, je soulevai la couverture du parapheur qui se trouvait au dessus de la
pile.
Quelle ne fut ma surprise de trouver, soigneusement étalée sur la première page, une
petite culotte en soie, couleur bordeaux. Heureusement que je n’avais fait que
soulever discrètement la couverture du parapheur ; si je l’avais ouverte complètement,
son contenu n’aurait pas pu échapper à mon collaborateur, assis en face de moi. Un
court instant, j’étais déstabilisé. Je ne savais pas quoi penser et faire. Et puis, un
émoi de plus en plus intense s’installa en moi. Il se manifesta par une douce chaleur
provenant de mon bas-ventre et qui irradiait sur tout mon corps. Et puis mon sexe se
mit à frémir et commença à se déployer à l’intérieur de mon boxer pour atteindre
rapidement sa taille maximale d’érection.
Je n’arrivais pas à chasser de ma pensée la culotte qui était dans le parapheur. Je
voulais l’en sortir et la tenir dans ma main. Je voulais la porter à mon nez pour la
humer et sentir le merveilleux parfum de la chatte de Ghania. J’étais persuadé qu’elle
venait de l’enlever – peut-être même devant Soraya à qui elle ne cachait rien. Et
qu’elle portait donc le parfum suave de sa chatte ! J’avais les narines qui
palpitaient et le rythme de mon cœur qui s’accélérait. Je n’avais plus la tête aux
affaires techniques de l’entreprise. Je ne pensais qu’à la culotte. Il fallait que je
la sorte du parapheur. Je trouvais une excuse pour chasser mon collaborateur (je lui
donnais rendez-vous pour l’après-midi, sous le fallacieux prétexte que j’attendais un
important visiteur qui n’allait pas tarder à arriver). Et avant même qu’il ne sorte
complètement du bureau, je me précipitai sur le parapheur pour en sortir l’objet de
mon obsession. Je pris fébrilement la culotte et la portai à ma joue pour en ressentir
sa douceur. Et très vite je me mis à la humer, en prenant de longues inspirations. Ce
parfum ! Suave et paradisiaque ! Et tellement aphrodisiaque !
Je bandais comme un âne ! Je voulais prendre immédiatement possession de la chatte qui
avait été enfermée, il avait seulement quelques minutes, dans ce bout de tissu en
soie. J’allais tendre la main vers l’interphone pour appeler Ghania, quand celle-ci
pénétra dans le bureau, un sourire moqueur sur les lèvres. La coquine savait qu’elle
avait tapé dans le mille et que j’étais incapable de penser à autre chose qu’à elle et
à sa chatte.
- Je ne pouvais pas attendre ! Je veux faire l’amour ! C’est pour ça que j’ai
enlevé ma culotte et te l’ai mise dans le parapheur. Il ne l’a pas vue, j’espère !
- Non il ne l’a pas vue. Mais il a bien failli la voir. Approche !
Elle contourna le bureau et vint m’embrasser tendrement sur la bouche. Nous
échangeâmes un très long baiser, qui ne fit qu’accentuer mon désir de la posséder
immédiatement. Sans attendre une seconde de plus ! J’envoyais ma main droite sous sa
jupe, sachant que j’allais immédiatement entrer en contact avec sa superbe chatte.
Elle écarta ses cuisses pour laisser ma main remonter vers son entrecuisse, sans
rencontrer de résistance. Elle alla immédiatement envelopper ses grandes lèvres
pulpeuses et humides. Je les frottais vigoureusement – je voulais lui faire un peu mal
pour lui indiquer que j’étais le maître des lieux et que sa chatte n’appartenait qu’à
moi. Elle poussa un petit cri de douleur et lança sa main pour attraper la mienne et
l’obliger à la masturber.
- Dekhal sba3-3ek ! Hek-li souwti! Nik-ni be-sba3-3ek! (Mets-y ton doigt!
Branle-moi la chatte ! Baise-moi avec ton doigt !)
Je ne mis pas un doigt, mais deux ! Le vagin de ma belle coulait déjà comme une
fontaine. Il était si chaud ! Si doux ! Si serré ! J’y allais sans ménagement ! Je
faisais faire à mes doigts des allers-retours de plus en plus rapides et de plus en
plus brutaux. Ghania poussait de petits cris de plaisir. Elle ne lâchait pas ma main
et continuait à lui imposer le rythme qu’elle voulait. Elle était restée debout à côté
de moi et écartait au maximum ses cuisses pour me faciliter l’accès. Elle avait plié
les genoux et semblait avoir des difficultés à garder l’équilibre. De temps en temps
elle me donnait un baiser en m’obligeant à boire la salive que sa bouche produisait en
grande quantité et qui coulait à flots de la commissure de ses lèvres.
Elle était dans un autre monde. Elle poussait des gémissements de plus en plus sonores
et de plus en plus rauques. Sa main s’agrippait à la mienne avec de plus en plus de
force. Elle n’allait pas tarder à jouir. Elle me le montrait en forçant ma main à
aller de plus en plus vite et en faisant pénétrer mes doigts de plus en plus profond
dans son vagin. Elle me poussait à aller encore plus vite et plus fort, en hurlant des
« encore !», « plus vite ! », « ouiiii ! », qu’elle était incapable de retenir.
Puis je sentis sa main qui se crispa sur la mienne, comme si elle était atteinte de
crampes, et elle poussa un hurlement rauque, qui provenait du plus profond de ses
entrailles. Elle se mit à décharger en tremblant et en coulant telle une fontaine.
Elle avait du mal à tenir en équilibre sur ses jambes flageolantes. Elle s’agrippait
désespérément à mon cou en laissant couler des flots de salive sur mes cheveux. Elle
jouissait et ne voulait pas que cela s’arrête, malgré sa grande fatigue et sa
respiration devenue haletante. Puis, vaincue par la fatigue, elle lâcha ma main et
tomba à genoux devant moi. J’enlevai mes doigts de son vagin et ma main d’entre ses
cuisses. Je descendis de mon fauteuil pour me mettre à genoux en face d’elle pour lui
donner un baiser sur sa bouche et lui murmurer à l’oreille que j’allais la tirer là
debout, penchée sur le bureau, le fesses en l’air.
- Rayeh en-nikek bel wegfiya ! Begari! Noudhi wa a3-tili dha‘hrek ! (Je vais te
baiser debout ! En levrette ! Lève-toi et donne-moi le dos !)
Elle obéit sans rechigner et se mit immédiatement en position. Je n’avais même pas la
patience d’attendre qu’elle enlève sa jupe. Je me contentais d’en relever les pans et
de dénuder complètement sa magnifique croupe de jument. Tous ses appâts étaient
offerts à mon regard de satyre vicieux : ses fesses, son anus palpitant et sa chatte
encore dégoulinante de mouille. Quel spectacle ! Je ne me lassais jamais de l’admirer,
tellement il était beau et bandant. J’étais incapable d’attendre une minute de plus
pour prendre possession de sa chatte. Sans préliminaires. Il me fallait la tirer
immédiatement. A la hussarde ! Il me fallait lui montrer que j’étais son maître ! Que
j’allais la transformer en chienne consentante ! Que j’allais en faire l’esclave de
mon manche ! Mon esclave !
Je lui disais tout cela en dégrafant fébrilement le ceinturon de mon pantalon, en
ouvrant ma braguette et en sortant ma queue frémissante d’impatience et tendue comme
un sabre. Sans plus attendre, je positionnais le gland entre ses grandes lèvres et
d’un coup de rein brutal, je la pénétrai jusqu’au fond de son vagin, en lui faisant
pousser un long cri de douleur, accompagné d’un juron.
- Wedja3tni ! Bla3-qel ya kelb! (Tu m’as fait mal ! Doucement espèce de chien !)
Depuis qu’elle est devenue ma maîtresse - en fait depuis seulement la veille - j’avais
découvert que Ghania adorait jurer et utiliser des mots crus et vulgaires – parfois
même des insultes. Elle disait que cela aiguisait encore plus son excitation et lui
procurait des jouissances beaucoup plus intenses. Les mots et phrases vulgaires
qu’elle prononçait en accompagnement de nos ébats, m’étaient devenus aussi nécessaire
qu’à elle. Je ne me gênais pas non plus pour lui rendre la monnaie en la traitant moi
aussi de tous les noms d’oiseaux pendant que je pilonnais sa chatte ou son cul. Pour
moi, il s’agissait surtout de la traiter de chienne, de pute ou de salope (Kelba !
3ataya ! Qahba !)
Le vagin de Ghania était encore très étroit. Malgré le fait que depuis son retour –
hier - il avait déjà reçu plusieurs fois mon manche, il n’avait pas encore eu le temps
de l’élargir. Celui de son mari qui l’avait dépucelée et avait occupé l’endroit
pendant tout un mois avant le mien, n’était pas assez gros pour avoir pu laisser des
traces indélébiles dans la place. Le vagin de ma belle n’en était que plus
merveilleux : doux, chaud, humide et moulant parfaitement le manche qui allait et
venait en elle, limant furieusement les parois du tunnel. Et je lui faisais mal. Et
elle criait de douleur en m’insultant, tout en m’ordonnant d’y aller encore plus fort.
- Aie ! Aiiiiie ! Rak touwdj’a3 fiya ! Aiiiie ! Zid nik-ni ya tehhan ! Zid
ewdja3’ni ! Zid dekhal zebek bezzour! Zid kessarli hatchouni! (Aie ! Aiiie ! Tu es
entrain de me faire mal ! Aiiie ! Continue de me niquer espèce de cocu ! Continue de
me faire mal ! Continue de me pénétrer en force ! Continue de me démolir la chatte !)
Ses cris devenaient de plus en plus incompréhensibles. Les phrases et les mots qu’elle
prononçait avaient du mal à aller au-delà de ses lèvres. Je sentais qu’elle était sur
le point d’avoir un immense orgasme. Elle poussa un long râle – un
aaaaaaaahhhhhhhhhhhh, rauque et interminable - et déchargea en secrétant une tonne de
cyprine, qui se mit à couler à flots à l’extérieur du vagin, chassée par les furieux
va-et-vient mon engin continuant imperturbablement à défoncer sa chatte ; sans
ménagement ! Moi-même, je sentais que je n’allais pas tarder à exploser ! J’accélérai
sensiblement le mouvement de va-et-vient de ma queue, qui produisait un bruyant et
indécent clapotis à l’intérieur du vagin inondé. Et en ahanant comme un bucheron, je
lâchai au fond de son vagin un premier, puis un deuxième et un troisième jet de sperme
abondant, épais et brûlant. Le tout ressortait immédiatement, comme pompé vers
l’extérieur par mon piston et allait s’étaler par terre, en se mélangeant avec les
sécrétions de ma belle. Il me sembla que ce matin là j’avais produit et envoyé plus
d’un litre de foutre dans le vagin de ma belle. Cela dura un long, très long, moment.
Je commençais à fatiguer. Et elle aussi.
Nous avions du mal à rester debout. Autant elle que moi, avions les jambes qui
flageolaient et avaient du mal à nous soutenir. Mais même comme cela, je ne voulais
pas sortir mon sexe de sa chatte. Je trouvais la solution en la soulevant, tout en
gardant mon manche, encore très en forme, dans son intimité et en allant m’assoir, à
reculons, sur le fauteuil directorial qui était derrière moi. Elle se retrouva assise
sur mes cuisses, me donnant le dos et la chatte empalée sur mon engin. Nous restâmes
quelques minutes dans cette position, sans bouger pour reprendre notre souffle. Elle
avait posé sa nuque au creux de mon épaule gauche et sa joue venait droite se frotter
tendrement contre ma joue gauche. Ce moment de béatitude dura longtemps. Il dura
jusqu’au moment où elle se mit à bouger circulairement ses hanches, pour reprendre le
frottement de ma queue, toujours aussi vigoureuse, sur les parois de sa chatte.
Dans cette position, elle avait du mal à faire ce qu’elle voulait : faire monter et
descendre son bassin, afin de faire aller et venir sa chatte le long de ma queue. Elle
n’avait pas assez de prise et moi j’étais bloqué sous ses hanches. Elle se leva
brusquement, laissant mon manche palpitant à l’air libre et, en me faisant face, elle
vint s’assoir sur mes cuisses et refit pénétrer l’engin dans sa chatte. Comme cela, il
lui était plus facile de faire monter et descendre ses hanches et provoquer un
miraculeux va-et-vient le long de ma verge, frémissante de désir. Elle se facilitait
la tâche en m’attrapant par la nuque et en tirant sur ses bras. C’était le paradis !
Elle montait et descendait avec un rythme de plus en plus rapide. Elle avait sa bouche
à quelques centimètres de la mienne et accompagnait chacun des allers-retours d’un
bécot à la fois tendre et torride. Chaque fois qu’elle avait mon manche tout au fond
de son vagin, elle arrêtait le baiser qu’elle me donnait et poussait un gémissement
rauque qui exprimait tout le plaisir qu’elle prenait.
Et puis, après quelques minutes, je la sentis qui fatiguait. Je pris la relève en la
prenant par la taille, pour la soulever d’une quinzaine de centimètres et la maintenir
dans cette position et pilonner moi-même sa chatte. Et j’y allais avec force et
fureur. Elle était toujours accrochée à ma nuque et respirait avec de plus en plus de
difficulté. Je la sentais au bord de l’étouffement. J’accélérai le rythme du pilonnage
de sa chatte, avec comme objectif de déclencher un orgasme immédiat. Il arriva
quelques secondes plus tard, avec autant de force que tout à l’heure. J’eus
l’impression qu’elle avait perdu connaissance un moment, tellement son souffle était
devenu court et inaudible. Elle déchargea tout ce qu’elle avait produit comme jus sur
mes couilles et sur le fauteuil et s’affala sur moi, la tête posée au creux de mon
épaule ; elle resta ainsi un très long moment avant d’émerger de sa torpeur et de
relever la tête pour me regarder et de m’envoyer un merveilleux sourire de femme
heureuse.
…/…
L’imagination de Ghania, en matière d’érotisme, n’avait pas de limite. Elle voulait
tout connaître et tout vivre. Et parfois, il me semblait qu’elle allait trop loin et
qu’un jour il nous arriverait une tuile. Mais tant pis me dis-je. Elle est tellement
merveilleuse comme cela. Et puis, j’étais sous le charme. Un moment, son fantasme
absolu, c’était de faire l’amour avec moi, tout en appelant son mari au téléphone.
Elle lui faisait croire qu’elle était seule au bureau, qu’elle pensait à lui et
qu’elle était en chaleur. Qu’elle avait envie de faire l’amour avec lui. Elle lui
susurrait qu’elle avait envie de tenir son zob et de le caresser ! de le sucer ! de le
faire jouir dans sa bouche ! Elle lui disait qu’elle voulait jouer avec son sperme !
Qu’elle voulait qu’il la mette enceinte ! De porter son enfant !
Et Ali, qui tout comme moi, était devenu l’esclave sexuel de sa femme, se laissait
entrainer par les paroles coquines de sa femme et entrait dans son jeu. Le pauvre ne
savait pas que les râles et les gémissements qu’elle poussait, en lui faisant croire
qu’elle branlait sa chatte, étaient le fruit du pilonnage de sa chatte par mon engin.
Et moi, qui au début avait peur qu’Ali découvre le pot-aux-roses, je m’efforçais de
retenir les gémissements de plaisir qui provenaient du fond de mes entrailles. Il ne
fallait pas que le mari entende les sons impudiques qui sortaient de ma bouche et ne
découvre qu’il y avait quelqu’un avec sa femme. Ghania adorait jouer comme cela avec
le feu. Et le plaisir qu’elle prenait n’en était que plus intense. A chaque fois, elle
demeurait de très longues minutes, avec des milliers d’étoiles dans les yeux et sur
les lèvres un sourire de béatitude totale. Elle était heureuse ! Et cela se voyait !
Je finis même par croire, qu’elle voulait que son mari apprenne qu’il portait une
immense paire de cornes. Et à chaque fois, c’était moi qui insistais pour qu’elle
arrête de jouer à ce jeu malsain et surtout très dangereux pour nous deux. Mais rien
n’y faisait : elle ne pouvait pas résister à l’appel du plaisir intense que lui
procurait la voix de son mari au bout du fil, pendant qu’elle le cocufiait avec moi.
Elle finit même par aller plus loin dans cette voie. Une fois, elle le fit venir au
bureau en fin de journée, sous prétexte qu’il devait la récupérer pour l’emmener à une
fête de mariage d’une cousine. Il arriva vers dix-sept heures. Elle l’avait accueilli
rapidement, avant de venir me rejoindre dans mon bureau. Elle lui avait croire, que
j’avais un travail urgent à terminer avec elle, elle devait lui assura-t-elle,
corriger avec moi un important document, et que cela ne durera pas plus d’une demi-
heure. Elle le fit attendre au secrétariat, en compagnie de Soraya, pendant qu’elle
que je la tirai comme une chienne dans mon bureau. Ce jour là, il m’avait semblé
qu’elle avait joui avec encore plus d’intensité que d’habitude. Elle semblait vraiment
adorer ces moments où elle jouait avec le feu et était à deux doigts de provoquer la
catastrophe. Elle hurlait – heureusement que mon bureau était capitonné et que nos
cris ne pouvaient pas s’entendre du bureau d’à côté – et appelait son mari pour qu’il
vienne la voir prendre son pied sous les violents coups de mon manche ;
- Ali arouah et-chouffe martek i-nik‘ha radjel en-ta’3 essah ! Radjel li 3’andou
zeb en-t’3a hmar! Machi kima mergaza en-ta’3ek ! Chouf kifach en-hab zebou ! Ezzeb !
Ezzeb kbir ! Ezzeb li yewdja3 ! (Ali viens voir ta femme qui se fait se tirer par un
homme véritable ! Un homme qui un zob d’âne ! Pas comme ta merguez ! Regarde combien
j’aime son zob ! Zob ! Un grand zob ! Un zob qui fait mal !)
Le pire c’était que moi aussi – au moins cette fois où il était dans le bureau d’à
côté – j’avais pris un plaisir sadique à faire hurler sa femme, en la tirant avec plus
de violence et de brutalité que d’habitude, comme si j’espérais qu’il entende tout et
qu’il débarque pour nous surprendre. Et, cette fois-là, j’avais poussé le sadisme,
jusqu’à venir – en compagnie de Ghania qui avait remis de l’ordre dans sa tenue mais
avec des milliers d’étoiles dans les yeux – pour le saluer et m’excuser d’avoir dû
garder sa femme aussi longtemps. Il me sourit gentiment et me tendit une main ferme et
chaleureuse, en me disant que ce n’était pas trop grave. Il me rassura même en
m’affirmant, qu’il soutenait pleinement la carrière de sa femme. Elle n’avait pas
besoin de travailler, parce qu’il était assez riche pour subvenir à tous ses besoins,
mais comme elle voulait être économiquement libre et qu’elle aimait son travail, il ne
pouvait rien faire d’autre que de la soutenir. Pauvre Ali ! Si tu savais !
…/…
sans la moindre tache. Depuis cette matinée bénie, où je la trouvais assise à son
bureau, le lendemain même de son retour de voyage de noces, jusqu’à la naissance de sa
(notre) première fille, nous menâmes une vie de rêve : double pour elle, qui était
mariée et qui ne voulait pas que notre histoire soit découverte par Ali, son mari qui
avait une nature plutôt jalouse et parfois violente. Simple pour moi, qui me
comportais avec elle comme un mari fidèle, complètement dépendant d’elle (je n’intègre
pas dans ma « fidélité » les relations torrides que je continuais à avoir
épisodiquement – avec la bénédiction de Ghania – avec Soraya, mon autre assistante et
son amie.
Ghania acceptait que je poursuive mon aventure avec Soraya presque comme un devoir :
elle disait qu’elle me devait une « compensation », parce qu’elle aussi me « trompait
» avec son mari. Dans notre relation bizarre, elle considérait Ali, son mari comme un
amant occasionnel. C’était moi son vrai mari. L’amour de sa vie. Elle me racontait
parfois comment se passaient ses ébats amoureux avec son époux. Elle m’affirmait –
peut-être pour ne pas me faire trop de peine – qu’elle ne prenait « qu’un tout petit
plaisir avec lui ». Rien que pour qu’il ne soit pas déçu et qu’il ne se pose pas des
questions - sur elle, d’abord et aussi sur lui. Elle ne voulait pas, ajoutait-elle,
«tenter le Diable » et le faire douter de ses capacités en tant qu’Homme, si elle
refusait ostensiblement de s’offrir à lui et à ne prendre aucun plaisir sous ses coups
de reins. Ali était, comme la plupart des hommes, vaniteux et fier de ce qu’il croyait
être ses énormes capacités sexuelles. Elle ne voulait pas le vexer ou le blesser en le
mettant en face de sa « normalité ».
Elle disait qu’elle avait beaucoup de la tendresse pour lui et qu’il lui arrivait – en
pensant à tout le plaisir qu’elle prenait avec moi - d’éprouver un sentiment de
culpabilité. Cela la poussait à être aux petits soins pour lui – elle le traitait,
disait-elle, comme un coq en pâte – et qu’au lit, elle l’emmenait, presque toutes les
nuits au septième ciel. Elle ajoutait, comme pour éloigner de moi toute jalousie, que
le plus souvent, elle simulait l’excitation, le plaisir et la jouissance, plus qu’elle
n’en avait réellement. Mais malgré cela, elle disait qu’elle me devait une
compensation ; et elle était heureuse que cette compensation soit sa fidèle amie
Soraya.
Elle disait qu’Ali n’avait pas été aussi bien doté que moi par la nature et qu’il
n’avait pas mon expérience en tant qu’amant. Son homme, c’était moi ! Rien que moi !
Inutile de dire que je buvais littéralement ses paroles. J’étais dans un état de
béatitude totale. Ghania n’aimait que moi ! Et moi, je n’aimais que Ghania. Nous
avions fait de mon bureau notre nid d’amour. Il disposait de toutes les commodités
pour rendre nos rencontres confortables : un immense fauteuil en cuir, qui nous
servait de champ de bataille ; un énorme bureau - débarrassé ou pas des dossiers qu’il
contenait - que nous utilisions souvent pour nos ébats; une petite salle de bain,
dans laquelle nous nous délassions et nous remettions en forme, après nos folles
séances de jambes en l’air ; une porte et des murs capitonnés, pour empêcher nos cris
et hurlements d’être entendus de l’extérieur et même depuis le secrétariat ; une
fermeture électrique de la porte d’accès qui empêchait tout risque d’intrusion
intempestive.
Ce fut une période où Ghania et moi travaillâmes très peu. Ses tâches, à elle, était
assurées - à la perfection - par Soraya. Quant à moi, je ne travaillais que quelques
heures par jours ; toujours très tôt le matin, ou tard en fin d’après-midi. Je
haïssais les moments où je devais m’absenter pour des réunions à l’extérieur ou quand
je devais partir pour des missions qui m’éloignaient trop longtemps de mon amante.
Aujourd’hui encore , quand il m’arrive d’y réfléchir, je me dis que je dois une fière
chandelle à mes collaborateurs directs qui s’étaient substitués à moi pour faire
fonctionner la machine. Ils me mâchaient le travail et ne me posaient que les
problèmes qu’ils ne pouvaient pas résoudre à leur niveau.
Il arrivait aussi à Ghania de venir me rejoindre, tôt le matin chez moi et passer
toute une matinée à subir les furieux assauts de mon manche. Une fois rassasiés de
sexe, nous restions allongés dans le grand lit. Elle se blottissait tendrement contre
moi, en quémandant baisers et caresses. Elle repartait au bureau vers treize heures,
après un repas léger qu’elle préparait rapidement et que nous prenions ensemble dans
la cuisine, comme un vrai couple marié.
Pour me rejoindre le matin dans ma garçonnière, elle n’avait aucune explication à
donner à son travail (et pour cause !) et, bien entendu, elle laissait son mari Ali
dans l’ignorance de cette absence du bureau. Comme il avait l’habitude de l’appeler
assez régulièrement dans la journée, et qu’il devait absolument ignorer qu’elle
n’était pas au bureau, elle avait inventé une histoire – assez vraisemblable – pour
qu’il ne l’appelle jamais sur l’une des lignes fixes du bureau. Elle lui faisait
croire, que par mesure d’économie, j’interdisais au personnel de l’entreprise
d’utiliser, pour des appels personnels, les lignes fixes du bureau. Il ne l’appelait
donc que sur son portable. Et cela ne l’obligeait pas à inventer chaque fois un
mensonge pour expliquer son absence du bureau et la mettait à l’abri des soupçons
qu’aurait pu avoir Ali qui ne la trouverait pas à son poste.
Nous adorions particulièrement ces moments de plénitude passés chez moi : en moyenne,
deux matinées par semaine. Pendant ces moments d’immense bonheur, nous étions mari et
femme. Et moi qui ne voulais absolument pas entendre parler de mariage (j’avais eu une
expérience malheureuse dans ce domaine) je voulais que Ghania soit vraiment mon
épouse, et je lui avouais que je regrettais amèrement de ne l’avoir pas épousée quand
c’était encore possible de le faire. Elle en riait, persuadée que jamais elle n’aurait
réussi à me mettre la corde au cou. Elle était suffisamment heureuse comme cela. Tout
ce qu’elle voulait, c’était que cela dure le plus longtemps possible. Et je lui
promettais que cela durera toute l’éternité.
…/…
Sexuellement, Ghania avait toujours été au top. C’était la sensualité personnifiée.
Elle aimait l’amour et était très imaginative. D’ailleurs si je devais mettre un
qualificatif sur elle, c’était celui d’amante extrêmement imaginative. Tellement
imaginative, qu’elle n’arrêtait pas de me surprendre et de m’emmener chaque fois vers
les plus hauts sommets du désir et du plaisir. La première manifestation de son
imagination coquine se passa le surlendemain de son retour de son voyage de noces.
Ce matin là, je recevais dans mon bureau le directeur technique de l’entreprise qui
devait me présenter le rapport d’activité mensuelle de sa structure. Nous étions en
pleine discussion, quand Ghania pénétra dans le bureau avec plusieurs parapheurs sous
les bras. Elle contourna le bureau pour se mettre derrière moi et déposer, par dessus
mon épaule gauche, les parapheurs sur la table. Elle ne dit rien et repartit à pas
lents vers la sortie. Mon collaborateur, qui était assis en face de moi, ne pouvait
pas voir Ghania qui s’en allait en dandinant du cul de manière impudique ; c’était sa
manière à elle de me dire qu’elle avait envie de faire l’amour. Je n’y prêtais pas
attention et la laissai sortir sans rien dire. Je continuais un moment ma réunion et,
machinalement, je soulevai la couverture du parapheur qui se trouvait au dessus de la
pile.
Quelle ne fut ma surprise de trouver, soigneusement étalée sur la première page, une
petite culotte en soie, couleur bordeaux. Heureusement que je n’avais fait que
soulever discrètement la couverture du parapheur ; si je l’avais ouverte complètement,
son contenu n’aurait pas pu échapper à mon collaborateur, assis en face de moi. Un
court instant, j’étais déstabilisé. Je ne savais pas quoi penser et faire. Et puis, un
émoi de plus en plus intense s’installa en moi. Il se manifesta par une douce chaleur
provenant de mon bas-ventre et qui irradiait sur tout mon corps. Et puis mon sexe se
mit à frémir et commença à se déployer à l’intérieur de mon boxer pour atteindre
rapidement sa taille maximale d’érection.
Je n’arrivais pas à chasser de ma pensée la culotte qui était dans le parapheur. Je
voulais l’en sortir et la tenir dans ma main. Je voulais la porter à mon nez pour la
humer et sentir le merveilleux parfum de la chatte de Ghania. J’étais persuadé qu’elle
venait de l’enlever – peut-être même devant Soraya à qui elle ne cachait rien. Et
qu’elle portait donc le parfum suave de sa chatte ! J’avais les narines qui
palpitaient et le rythme de mon cœur qui s’accélérait. Je n’avais plus la tête aux
affaires techniques de l’entreprise. Je ne pensais qu’à la culotte. Il fallait que je
la sorte du parapheur. Je trouvais une excuse pour chasser mon collaborateur (je lui
donnais rendez-vous pour l’après-midi, sous le fallacieux prétexte que j’attendais un
important visiteur qui n’allait pas tarder à arriver). Et avant même qu’il ne sorte
complètement du bureau, je me précipitai sur le parapheur pour en sortir l’objet de
mon obsession. Je pris fébrilement la culotte et la portai à ma joue pour en ressentir
sa douceur. Et très vite je me mis à la humer, en prenant de longues inspirations. Ce
parfum ! Suave et paradisiaque ! Et tellement aphrodisiaque !
Je bandais comme un âne ! Je voulais prendre immédiatement possession de la chatte qui
avait été enfermée, il avait seulement quelques minutes, dans ce bout de tissu en
soie. J’allais tendre la main vers l’interphone pour appeler Ghania, quand celle-ci
pénétra dans le bureau, un sourire moqueur sur les lèvres. La coquine savait qu’elle
avait tapé dans le mille et que j’étais incapable de penser à autre chose qu’à elle et
à sa chatte.
- Je ne pouvais pas attendre ! Je veux faire l’amour ! C’est pour ça que j’ai
enlevé ma culotte et te l’ai mise dans le parapheur. Il ne l’a pas vue, j’espère !
- Non il ne l’a pas vue. Mais il a bien failli la voir. Approche !
Elle contourna le bureau et vint m’embrasser tendrement sur la bouche. Nous
échangeâmes un très long baiser, qui ne fit qu’accentuer mon désir de la posséder
immédiatement. Sans attendre une seconde de plus ! J’envoyais ma main droite sous sa
jupe, sachant que j’allais immédiatement entrer en contact avec sa superbe chatte.
Elle écarta ses cuisses pour laisser ma main remonter vers son entrecuisse, sans
rencontrer de résistance. Elle alla immédiatement envelopper ses grandes lèvres
pulpeuses et humides. Je les frottais vigoureusement – je voulais lui faire un peu mal
pour lui indiquer que j’étais le maître des lieux et que sa chatte n’appartenait qu’à
moi. Elle poussa un petit cri de douleur et lança sa main pour attraper la mienne et
l’obliger à la masturber.
- Dekhal sba3-3ek ! Hek-li souwti! Nik-ni be-sba3-3ek! (Mets-y ton doigt!
Branle-moi la chatte ! Baise-moi avec ton doigt !)
Je ne mis pas un doigt, mais deux ! Le vagin de ma belle coulait déjà comme une
fontaine. Il était si chaud ! Si doux ! Si serré ! J’y allais sans ménagement ! Je
faisais faire à mes doigts des allers-retours de plus en plus rapides et de plus en
plus brutaux. Ghania poussait de petits cris de plaisir. Elle ne lâchait pas ma main
et continuait à lui imposer le rythme qu’elle voulait. Elle était restée debout à côté
de moi et écartait au maximum ses cuisses pour me faciliter l’accès. Elle avait plié
les genoux et semblait avoir des difficultés à garder l’équilibre. De temps en temps
elle me donnait un baiser en m’obligeant à boire la salive que sa bouche produisait en
grande quantité et qui coulait à flots de la commissure de ses lèvres.
Elle était dans un autre monde. Elle poussait des gémissements de plus en plus sonores
et de plus en plus rauques. Sa main s’agrippait à la mienne avec de plus en plus de
force. Elle n’allait pas tarder à jouir. Elle me le montrait en forçant ma main à
aller de plus en plus vite et en faisant pénétrer mes doigts de plus en plus profond
dans son vagin. Elle me poussait à aller encore plus vite et plus fort, en hurlant des
« encore !», « plus vite ! », « ouiiii ! », qu’elle était incapable de retenir.
Puis je sentis sa main qui se crispa sur la mienne, comme si elle était atteinte de
crampes, et elle poussa un hurlement rauque, qui provenait du plus profond de ses
entrailles. Elle se mit à décharger en tremblant et en coulant telle une fontaine.
Elle avait du mal à tenir en équilibre sur ses jambes flageolantes. Elle s’agrippait
désespérément à mon cou en laissant couler des flots de salive sur mes cheveux. Elle
jouissait et ne voulait pas que cela s’arrête, malgré sa grande fatigue et sa
respiration devenue haletante. Puis, vaincue par la fatigue, elle lâcha ma main et
tomba à genoux devant moi. J’enlevai mes doigts de son vagin et ma main d’entre ses
cuisses. Je descendis de mon fauteuil pour me mettre à genoux en face d’elle pour lui
donner un baiser sur sa bouche et lui murmurer à l’oreille que j’allais la tirer là
debout, penchée sur le bureau, le fesses en l’air.
- Rayeh en-nikek bel wegfiya ! Begari! Noudhi wa a3-tili dha‘hrek ! (Je vais te
baiser debout ! En levrette ! Lève-toi et donne-moi le dos !)
Elle obéit sans rechigner et se mit immédiatement en position. Je n’avais même pas la
patience d’attendre qu’elle enlève sa jupe. Je me contentais d’en relever les pans et
de dénuder complètement sa magnifique croupe de jument. Tous ses appâts étaient
offerts à mon regard de satyre vicieux : ses fesses, son anus palpitant et sa chatte
encore dégoulinante de mouille. Quel spectacle ! Je ne me lassais jamais de l’admirer,
tellement il était beau et bandant. J’étais incapable d’attendre une minute de plus
pour prendre possession de sa chatte. Sans préliminaires. Il me fallait la tirer
immédiatement. A la hussarde ! Il me fallait lui montrer que j’étais son maître ! Que
j’allais la transformer en chienne consentante ! Que j’allais en faire l’esclave de
mon manche ! Mon esclave !
Je lui disais tout cela en dégrafant fébrilement le ceinturon de mon pantalon, en
ouvrant ma braguette et en sortant ma queue frémissante d’impatience et tendue comme
un sabre. Sans plus attendre, je positionnais le gland entre ses grandes lèvres et
d’un coup de rein brutal, je la pénétrai jusqu’au fond de son vagin, en lui faisant
pousser un long cri de douleur, accompagné d’un juron.
- Wedja3tni ! Bla3-qel ya kelb! (Tu m’as fait mal ! Doucement espèce de chien !)
Depuis qu’elle est devenue ma maîtresse - en fait depuis seulement la veille - j’avais
découvert que Ghania adorait jurer et utiliser des mots crus et vulgaires – parfois
même des insultes. Elle disait que cela aiguisait encore plus son excitation et lui
procurait des jouissances beaucoup plus intenses. Les mots et phrases vulgaires
qu’elle prononçait en accompagnement de nos ébats, m’étaient devenus aussi nécessaire
qu’à elle. Je ne me gênais pas non plus pour lui rendre la monnaie en la traitant moi
aussi de tous les noms d’oiseaux pendant que je pilonnais sa chatte ou son cul. Pour
moi, il s’agissait surtout de la traiter de chienne, de pute ou de salope (Kelba !
3ataya ! Qahba !)
Le vagin de Ghania était encore très étroit. Malgré le fait que depuis son retour –
hier - il avait déjà reçu plusieurs fois mon manche, il n’avait pas encore eu le temps
de l’élargir. Celui de son mari qui l’avait dépucelée et avait occupé l’endroit
pendant tout un mois avant le mien, n’était pas assez gros pour avoir pu laisser des
traces indélébiles dans la place. Le vagin de ma belle n’en était que plus
merveilleux : doux, chaud, humide et moulant parfaitement le manche qui allait et
venait en elle, limant furieusement les parois du tunnel. Et je lui faisais mal. Et
elle criait de douleur en m’insultant, tout en m’ordonnant d’y aller encore plus fort.
- Aie ! Aiiiiie ! Rak touwdj’a3 fiya ! Aiiiie ! Zid nik-ni ya tehhan ! Zid
ewdja3’ni ! Zid dekhal zebek bezzour! Zid kessarli hatchouni! (Aie ! Aiiie ! Tu es
entrain de me faire mal ! Aiiie ! Continue de me niquer espèce de cocu ! Continue de
me faire mal ! Continue de me pénétrer en force ! Continue de me démolir la chatte !)
Ses cris devenaient de plus en plus incompréhensibles. Les phrases et les mots qu’elle
prononçait avaient du mal à aller au-delà de ses lèvres. Je sentais qu’elle était sur
le point d’avoir un immense orgasme. Elle poussa un long râle – un
aaaaaaaahhhhhhhhhhhh, rauque et interminable - et déchargea en secrétant une tonne de
cyprine, qui se mit à couler à flots à l’extérieur du vagin, chassée par les furieux
va-et-vient mon engin continuant imperturbablement à défoncer sa chatte ; sans
ménagement ! Moi-même, je sentais que je n’allais pas tarder à exploser ! J’accélérai
sensiblement le mouvement de va-et-vient de ma queue, qui produisait un bruyant et
indécent clapotis à l’intérieur du vagin inondé. Et en ahanant comme un bucheron, je
lâchai au fond de son vagin un premier, puis un deuxième et un troisième jet de sperme
abondant, épais et brûlant. Le tout ressortait immédiatement, comme pompé vers
l’extérieur par mon piston et allait s’étaler par terre, en se mélangeant avec les
sécrétions de ma belle. Il me sembla que ce matin là j’avais produit et envoyé plus
d’un litre de foutre dans le vagin de ma belle. Cela dura un long, très long, moment.
Je commençais à fatiguer. Et elle aussi.
Nous avions du mal à rester debout. Autant elle que moi, avions les jambes qui
flageolaient et avaient du mal à nous soutenir. Mais même comme cela, je ne voulais
pas sortir mon sexe de sa chatte. Je trouvais la solution en la soulevant, tout en
gardant mon manche, encore très en forme, dans son intimité et en allant m’assoir, à
reculons, sur le fauteuil directorial qui était derrière moi. Elle se retrouva assise
sur mes cuisses, me donnant le dos et la chatte empalée sur mon engin. Nous restâmes
quelques minutes dans cette position, sans bouger pour reprendre notre souffle. Elle
avait posé sa nuque au creux de mon épaule gauche et sa joue venait droite se frotter
tendrement contre ma joue gauche. Ce moment de béatitude dura longtemps. Il dura
jusqu’au moment où elle se mit à bouger circulairement ses hanches, pour reprendre le
frottement de ma queue, toujours aussi vigoureuse, sur les parois de sa chatte.
Dans cette position, elle avait du mal à faire ce qu’elle voulait : faire monter et
descendre son bassin, afin de faire aller et venir sa chatte le long de ma queue. Elle
n’avait pas assez de prise et moi j’étais bloqué sous ses hanches. Elle se leva
brusquement, laissant mon manche palpitant à l’air libre et, en me faisant face, elle
vint s’assoir sur mes cuisses et refit pénétrer l’engin dans sa chatte. Comme cela, il
lui était plus facile de faire monter et descendre ses hanches et provoquer un
miraculeux va-et-vient le long de ma verge, frémissante de désir. Elle se facilitait
la tâche en m’attrapant par la nuque et en tirant sur ses bras. C’était le paradis !
Elle montait et descendait avec un rythme de plus en plus rapide. Elle avait sa bouche
à quelques centimètres de la mienne et accompagnait chacun des allers-retours d’un
bécot à la fois tendre et torride. Chaque fois qu’elle avait mon manche tout au fond
de son vagin, elle arrêtait le baiser qu’elle me donnait et poussait un gémissement
rauque qui exprimait tout le plaisir qu’elle prenait.
Et puis, après quelques minutes, je la sentis qui fatiguait. Je pris la relève en la
prenant par la taille, pour la soulever d’une quinzaine de centimètres et la maintenir
dans cette position et pilonner moi-même sa chatte. Et j’y allais avec force et
fureur. Elle était toujours accrochée à ma nuque et respirait avec de plus en plus de
difficulté. Je la sentais au bord de l’étouffement. J’accélérai le rythme du pilonnage
de sa chatte, avec comme objectif de déclencher un orgasme immédiat. Il arriva
quelques secondes plus tard, avec autant de force que tout à l’heure. J’eus
l’impression qu’elle avait perdu connaissance un moment, tellement son souffle était
devenu court et inaudible. Elle déchargea tout ce qu’elle avait produit comme jus sur
mes couilles et sur le fauteuil et s’affala sur moi, la tête posée au creux de mon
épaule ; elle resta ainsi un très long moment avant d’émerger de sa torpeur et de
relever la tête pour me regarder et de m’envoyer un merveilleux sourire de femme
heureuse.
…/…
L’imagination de Ghania, en matière d’érotisme, n’avait pas de limite. Elle voulait
tout connaître et tout vivre. Et parfois, il me semblait qu’elle allait trop loin et
qu’un jour il nous arriverait une tuile. Mais tant pis me dis-je. Elle est tellement
merveilleuse comme cela. Et puis, j’étais sous le charme. Un moment, son fantasme
absolu, c’était de faire l’amour avec moi, tout en appelant son mari au téléphone.
Elle lui faisait croire qu’elle était seule au bureau, qu’elle pensait à lui et
qu’elle était en chaleur. Qu’elle avait envie de faire l’amour avec lui. Elle lui
susurrait qu’elle avait envie de tenir son zob et de le caresser ! de le sucer ! de le
faire jouir dans sa bouche ! Elle lui disait qu’elle voulait jouer avec son sperme !
Qu’elle voulait qu’il la mette enceinte ! De porter son enfant !
Et Ali, qui tout comme moi, était devenu l’esclave sexuel de sa femme, se laissait
entrainer par les paroles coquines de sa femme et entrait dans son jeu. Le pauvre ne
savait pas que les râles et les gémissements qu’elle poussait, en lui faisant croire
qu’elle branlait sa chatte, étaient le fruit du pilonnage de sa chatte par mon engin.
Et moi, qui au début avait peur qu’Ali découvre le pot-aux-roses, je m’efforçais de
retenir les gémissements de plaisir qui provenaient du fond de mes entrailles. Il ne
fallait pas que le mari entende les sons impudiques qui sortaient de ma bouche et ne
découvre qu’il y avait quelqu’un avec sa femme. Ghania adorait jouer comme cela avec
le feu. Et le plaisir qu’elle prenait n’en était que plus intense. A chaque fois, elle
demeurait de très longues minutes, avec des milliers d’étoiles dans les yeux et sur
les lèvres un sourire de béatitude totale. Elle était heureuse ! Et cela se voyait !
Je finis même par croire, qu’elle voulait que son mari apprenne qu’il portait une
immense paire de cornes. Et à chaque fois, c’était moi qui insistais pour qu’elle
arrête de jouer à ce jeu malsain et surtout très dangereux pour nous deux. Mais rien
n’y faisait : elle ne pouvait pas résister à l’appel du plaisir intense que lui
procurait la voix de son mari au bout du fil, pendant qu’elle le cocufiait avec moi.
Elle finit même par aller plus loin dans cette voie. Une fois, elle le fit venir au
bureau en fin de journée, sous prétexte qu’il devait la récupérer pour l’emmener à une
fête de mariage d’une cousine. Il arriva vers dix-sept heures. Elle l’avait accueilli
rapidement, avant de venir me rejoindre dans mon bureau. Elle lui avait croire, que
j’avais un travail urgent à terminer avec elle, elle devait lui assura-t-elle,
corriger avec moi un important document, et que cela ne durera pas plus d’une demi-
heure. Elle le fit attendre au secrétariat, en compagnie de Soraya, pendant qu’elle
que je la tirai comme une chienne dans mon bureau. Ce jour là, il m’avait semblé
qu’elle avait joui avec encore plus d’intensité que d’habitude. Elle semblait vraiment
adorer ces moments où elle jouait avec le feu et était à deux doigts de provoquer la
catastrophe. Elle hurlait – heureusement que mon bureau était capitonné et que nos
cris ne pouvaient pas s’entendre du bureau d’à côté – et appelait son mari pour qu’il
vienne la voir prendre son pied sous les violents coups de mon manche ;
- Ali arouah et-chouffe martek i-nik‘ha radjel en-ta’3 essah ! Radjel li 3’andou
zeb en-t’3a hmar! Machi kima mergaza en-ta’3ek ! Chouf kifach en-hab zebou ! Ezzeb !
Ezzeb kbir ! Ezzeb li yewdja3 ! (Ali viens voir ta femme qui se fait se tirer par un
homme véritable ! Un homme qui un zob d’âne ! Pas comme ta merguez ! Regarde combien
j’aime son zob ! Zob ! Un grand zob ! Un zob qui fait mal !)
Le pire c’était que moi aussi – au moins cette fois où il était dans le bureau d’à
côté – j’avais pris un plaisir sadique à faire hurler sa femme, en la tirant avec plus
de violence et de brutalité que d’habitude, comme si j’espérais qu’il entende tout et
qu’il débarque pour nous surprendre. Et, cette fois-là, j’avais poussé le sadisme,
jusqu’à venir – en compagnie de Ghania qui avait remis de l’ordre dans sa tenue mais
avec des milliers d’étoiles dans les yeux – pour le saluer et m’excuser d’avoir dû
garder sa femme aussi longtemps. Il me sourit gentiment et me tendit une main ferme et
chaleureuse, en me disant que ce n’était pas trop grave. Il me rassura même en
m’affirmant, qu’il soutenait pleinement la carrière de sa femme. Elle n’avait pas
besoin de travailler, parce qu’il était assez riche pour subvenir à tous ses besoins,
mais comme elle voulait être économiquement libre et qu’elle aimait son travail, il ne
pouvait rien faire d’autre que de la soutenir. Pauvre Ali ! Si tu savais !
…/…
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