A l’ombre des maris – Série 2 - Première partie : le mariage de Ghania -1-
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2012 dans la catégorie Plus on est
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A l’ombre des maris – Série 2 - Première partie : le mariage de Ghania -1-
Quant à vous, messeigneurs, aimez à votre guise,En ce qui me concerne, ayant un jour comprisQu'une femme adultère est plus qu'une autre exquise,Je cherche mon bonheur à l'ombre des maris.
(Georges Brassens : A l’ombre des maris)
Cette histoire a eu un prélude, il y a bien longtemps. A cette époque, je ne connaissais aucune des trois femmes qui en sont les héroïnes : Ghania et Wissam, n’étaient pas encore nées, et Farida, ne devait pas avoir plus de dix ans. J’étais sur le point de terminer mes études supérieures et, depuis longtemps déjà, j’étais follement amoureux de Fadhela, la sœur de mon meilleur ami. Il n’y avait, bien entendu, rien d’extraordinaire à cela : sauf que la fille – qui disait elle aussi m’aimer à la folie – était tellement pressée de se marier, qu’elle m’abandonna sans aucune vergogne, pour épouser un quelconque quidam qui était déjà bien installé dans la vie : il avait un travail, était dispensé du service militaire et disposait d’un logement de fonction. Tout ce que je ne pouvais avoir, qu’après au moins trois années, le temps de passer mon service militaire et de trouver un travail. La garce (j’ai aujourd’hui encore beaucoup de ressentiment contre elle) n’était pas disposée à attendre tout ce temps là. Elle disait en avoir marre de vivre avec ses parents, et qu’elle voulait être libre tout de suite. Libre de vivre sa vie. Elle disait aussi que son nouveau fiancé, l’aimait tellement, qu’elle était sûre qu’elle allait le mener par le bout du nez. Et qu’il lui offrirait une vie de princesse.
J’avais beau lui expliquer qu’elle faisait fausse route et que le prince charmant qu’elle croyait avoir attrapé se transformera très vite en « vilain mari » (selon la jolie formule de Claude Nougaro) ; j’avais beau lui crier qu’elle ne pouvait pas jeter aussi facilement à la poubelle les merveilleux moments que nous avions passés ensemble à flirter, nous embrasser, nous caresser et nous promettre un amour éternel ; elle ne m’écouta pas et se maria, le jour même de ses dix-neuf ans. Elle m’invita à assister à sa fête de mariage, en tant que meilleur ami de son frère et, pour garder l’amitié de son frère, qui n’aurait pas compris que je ne sois pas présent, j’y allai après avoir vidé quelques bouteilles de bière. Et je ne fis même pas d’esclandre.
J’étais seulement très malheureux et complètement détruit; et cela se voyait sur mon visage, et parait-il – ce fut la grande sœur de Fadhela qui était au courant de mes sentiments qui me le dit quelques jours après les noces – à cause de larmes involontaires qui coulaient de me mes yeux tout le long de la soirée. La suite importe peu. Ce qui importe pour l’histoire que je vais vous raconter, c’est la série de hasards qui se télescopèrent pour mettre une forte dose de piment dans ma vie sexuelle, bien remplie quantitativement, mais assez décevante sur le plan du bonheur et de mon équilibre psychique. Des hasards, comme seule la vraie vie sait en produire.
Après mes études et l’accomplissement de la période obligatoire de service national, je me suis lancé corps et âme dans le travail. Un travail passionnant qui a rapidement fait de moi un cadre dirigeant d’une grande entreprise publique. Je ne tardais pas à me marier. Avec une amie de mon Ex ! Et, autre hasard, le frère de Fadhela, qui était resté mon meilleur ami, tomba amoureux de ma belle-sœur et l’épousa. Les choses en restèrent là : chaque couple vécut sa vie comme il le put. J’eus deux enfants et mon ami trois. Je divorçai au bout d’une dizaine d’années (ma femme m’avait surpris entrain de la tromper) et entrepris depuis une vie trépidante de célibataire endurci.
Mon ami resta un peu plus longtemps avec sa femme et ses enfants, puis lui aussi finit par divorcer (pour d’autres raisons que les miennes : il avait le tort aux yeux de sa femme et, plus tard, de ses enfants, de trop aimer la dive bouteille).
J’ai oublié de préciser une chose importante : mon ami, ainsi donc que sa sœur, étaient de magnifiques métis : leur père était un vrai blond et leur maman, une superbe femme noire, originaire de la région de Béchar, dans le sud-ouest algérien.
Lui était vraiment beau, grand et fort, avec une peau couleur café. Sa sœur, Fadhela, était plutôt petite, avec une couleur de peau plus métissée (café au lait), des yeux immenses, d’un noir profond et brillant de mille feux. Elle avait une ressemblance profonde avec les indiennes (pas les amérindiennes, celles de l’Inde) et elle en rajoutait une touche, en s’habillant et se coiffant comme elles. C’était vraisemblablement, ce qui m’avait tant attiré vers elle. Et ce fut aussi cette caractéristique qui, bien des années plus tard, m’avait catapulté vers sa nièce, la plus jeune des filles de mon ami, dont la ressemblance avec sa tante, jeune, était tout simplement ahurissante. Wissam était le sosie parfait de Fadhela, quand elle avait son âge.
…/…Voila pour les prémices de mon histoire. Cette dernière ne commença en fait que beaucoup plus tard, quand je devins le Directeur des Ressources Humaine d’une des plus grosses entreprises du pays. J’étais déjà divorcé et vivais une vie de célibataire dévoyé. Je n’avais plus, depuis mon divorce, de vie sentimentale rangée. Je papillonnais de femme en femme, refusant obstinément de m’attacher. Je choisissais comme amante uniquement des femmes mariées, dont je savais qu’elles ne cherchaient qu’à vivre des instants de plaisir, que, la plupart du temps, elles ne trouvaient pas auprès de leurs maris. Avec elles, il n’y avait aucun risque de me retrouver piégé, avec une nouvelle corde au cou. Situation que je refusais catégoriquement, ayant déjà beaucoup donné sur ce plan là.
Et puis un jour Ghania, une superbe plante qui devait avoir un peu plus de vingt ans à l’époque, débarqua dans ma vie. En fait, je venais de la recruter pour un poste d’assistante d’un de mes collègues directeur, sans même l’avoir vue. J’avais fait confiance à une collaboratrice qui s’occupait des recrutements et qui faisait extrêmement bien son travail. Quand elle me présenta Ghania, pour que je signe sa décision de recrutement, j’avais du mal, à me lever de mon fauteuil pour la saluer, tellement j’étais subjugué par sa beauté. Elle était vraiment canon : grande, plantureuse, de magnifiques rondeurs et un air effronté qui titilla immédiatement mon bas-ventre. Elle avait un visage très expressif. Un visage – avec un petit nez bien droit, une bouche gourmande entourée de lèvres pulpeuses, naturellement rouges et une rangée de petites dents blanches, pointues et brillantes qui indiquaient toute son envie de croquer la vie – lumineux avec, comme figé sur ses lèvres un sourire énigmatique, dont on ne savait pas s’il était moqueur ou si c’était une invitation à la suivre dans un monde merveilleux de plaisirs.
Je crois que je suis immédiatement tombé amoureux de cette femme. Dès le début, elle hanta mon esprit. Dès les tous premiers moments, j’avais eu envie d’elle. Je voulais l’avoir à moi. Je voulais lui faire l’amour. Elle n’était pas mariée, mais pour la première fois depuis longtemps, je m’en fichais éperdument. Elle me plaisait vraiment et je la voulais pour moi. Quel qu’en soit le prix ! Sauf bien entendu, la corde au cou ! Ce fut un flop sur toute la ligne. La belle avait entendu parler de moi. Elle connaissait ma réputation de papillon et de manque de sérieux. Et quand l’occasion se présenta d’être seuls ensemble et que je commençai à lui faire du gringue, elle m’apprit qu’il n’était pas question pour elle d’avoir une aventure sans lendemain avec qui que ce soit, y compris donc, avec moi.
Mais cela ne l’empêcha pas, quelques jours plus tard - parce que je continuais sans relâche de lui montrer de plus en plus clairement toute l’envie que j’avais d’elle - de me faire comprendre que moi aussi, je lui plaisais beaucoup. Elle se mit même à flirter avec moi, pour éteindre quelque peu le feu qui la dévorait elle aussi. Des flirts qui m’emmenaient aux sommets de l’excitation, et de la frustration. Malgré que souvent, il s’agissait de flirts très poussés, ils étaient incapables d’éteindre l’énorme incendie qu’ils allumaient en moi. Parfois, elle me faisait une belle fellation, mais en refusant que j’éjacule dans sa bouche ou même sur son visage. Quand elle voyait l’intensité de ma frustration, il lui arrivait de me masturber et de me faire jouir avec sa main droite. Mais petit à petit, tout en continuant de me refuser de la pénétrer (donc de la dépuceler), elle avait fini par m’autoriser l’accès - d’abord uniquement visuel, puis de plus en plus tactile - de sa superbe chatte. Au bout d’un certain temps - qui m’avait paru avoir duré des mois – elle avait fini par m’ordonner de la lui bouffer.
« Koul‘ha !», m’ordonnait-elle en arabe (« bouffe-la !), en s’allongeant sur mon grand bureau et en levant très haut ses jambes pour me permettre de plonger ma tête entre ses cuisses et d’entamer un cunnilingus d’enfer. Elle avait immédiatement adoré le cunnilingus. A chaque fois, elle jouissait bruyamment et, dans ses divagations verbales qui accompagnaient les mouvements de ma bouche et de ma langue sur sa chatte, elle prenait à témoin sa maman :- Yemma, ach-hal mlih ! Ach-hal en-heb ki yel-hass li souwti ! En-heb elsanou fi hatchouni ! Yemma chouffi qehba enta’3 bentek ! Yemma gouli-lou i nik-ni bezzebou !
(Maman, comme c’est bon ! Comme c’est bon quand il lèche ma chatte ! J’adore sa langue dans mon vagin ! Maman regarde ta pute de fille ! Maman dis-lui de me niquer avec son zob !)Bien entendu, je n’aurais pas hésité une seule seconde pour profiter de son émoi provoqué par le plaisir et la dépuceler. Mais cela m’était impossible parce qu’à chaque fois, elle me faisait promettre de ne jamais la dépuceler, même si elle me suppliait de le faire. Je devais donc, à chaque fois prendre sur moi de me retenir. Et à chaque fois, j’en sortais extrêmement frustré. Pendant longtemps - en fait toute la période où j’avais occupé le poste de Directeur des ressources humaines de l’entreprise et qu’elle avait été mon assistante - Ghania ne semblait pas avoir eu des remords, de me mettre dans un état d’excitation. Je me faisais souvent la réflexion que cette fille était un monstre d’égoïsme. Elle prenait beaucoup de plaisir quand je lui appliquai des cunnilingus. Elle le criait. Et souvent, pour me remercier pour les orgasmes successifs qu’elle avait grâce à ma bouche, elle me donnait un très long baiser, au cours duquel elle avalait – en plus de ma salive – les sécrétions vaginales que j’avais encore en bouche. Et elle m’envoyait un superbe sourire qui me disait à quel point, elle avait aimé. Longtemps, « ma récompense » s’était arrêtée à ces baisers.
Et puis, quand, j’avais été nommé Directeur général de l’entreprise et que je l’avais emmené avec moi, nous sommes passés à une nouvelle étape. Cela faisait environ une année que nous nous fréquentions. Nous venions de prendre possession de nos nouveaux bureaux. Un matin, elle pénétra dans le mien et me dit tout de go, qu’elle voulait sentir la force et la douceur de mon zob, sur sa chatte. Je crus qu’elle avait enfin décidée de s’offrir à moi sans retenue. Et bien non ! Elle voulait seulement que je lui caresse la chatte avec ma queue. Mais elle ne la laissa s’approcher de son entrecuisse, qu’après m’avoir fait promettre de ne pas en profiter pour la « casser », (« Balak et-kessarni ! » - « Attention à ne pas me dépuceler ! »). Elle était consciente qu’à ce moment-là, elle dépendait totalement de ma bonne volonté et qu’elle n’avait aucun moyen de se défendre. Et, moi, obéissant à sa volonté, je faisais aller et venir le long de la fente de ses grandes lèvres le gland tuméfié de ma queue, en le faisant de temps en temps pénétrer dans l’entrée de son vagin et en lui titillant son petit clito dur et superbement sensible. Elle gigotait de plaisir, tout en se retenant de faire des mouvements brusques qui auraient pu aboutir à la catastrophe qu’elle redoutait tant. Ces parties de « pinceau » la faisaient jouir intensément, tout en créant en moi une frustration indescriptible.
…/…Et je ne me gênais pas pour le lui dire, pensant que comme cela, j’allais peut-être la culpabiliser et la pousser à s’offrir totalement à moi. C’était peine perdue. Elle tenait à sa virginité. Et elle la garda pendant toute cette période ; elle ne me l’offrit jamais. Comme elle l’avait annoncé elle ne l’offrit qu’à celui qui devin son mari. Je me suis rendu compte, qu’en fait, elle n’était pas aussi égoïste que je le croyais. Elle était consciente de toute ma frustration de ne pas pouvoir prendre avec elle tout le plaisir qui m’était dû et avait longtemps cherché la solution qui nous conviendrait à tous les deux. Cette solution - plutôt bizarre, il faut bien en convenir - elle la trouva au moment où elle vint prendre son poste d’assistante du directeur général, c’est-à-dire moi. Le bureau du secrétariat qu’elle devait occuper, était déjà occupé par Soraya, l’assistante de l’ancien directeur général.
Soraya était une femme, d’une cinquantaine d’années, mère de trois enfants. Elle était assez jolie, et surtout elle avait une superbe croupe de pouliche qui faisait fantasmer tous les mâles qu’elle rencontrait. A cinquante ans, tout en elle était encore très ferme, y compris ses seins qui pointaient tels des obus sous ses éternels tee-shirts en coton blanc. Son visage, aux traits un peu ingrat, débordait de sensualité. Tous les hommes qui la croisaient n’avaient en tête qu’une seule idée, même si elle était furtive et ne s’exprimait presque jamais, c’était de la tirer à la hussarde. Elle avait, il y avait quelques années déjà, été épisodiquement ma maîtresse. En fait elle ne s’était offerte à moi, que parce qu’elle voulait se venger de son mari, dont elle venait d’apprendre l’infidélité.
Et Ghania qui avait eu vent de mon aventure passée avec Soraya, m’avait demandé de la garder à la direction générale, en doublure avec elle. Je crois même qu’elle avait passé un accord avec elle, pour assurer la permanence du secrétariat, pendant que qu’elle batifolait avec moi. Les deux femmes s’appréciaient mutuellement et Ghania avait rapidement compris que sa collègue était toujours partante pour avoir des relations sexuelles avec moi. Elle avait repris avec son mari, qui lui avait juré une fidélité éternelle, après qu’elle l’ait malmené pendant deux mois, mais elle avait affirmé à Ghania qu’elle gardé un souvenir impérissable de nos ébats. Elle lui avoua qu’elle avait pris, pendant les deux mois que dura notre relation, plus de plaisir que durant toute la période de son mariage.
Et ce fut comme cela qu’une relation bizarre s’installa entre nous trois. Ghania, avait convaincu Soraya de me partager avec elle. A condition qu’elle ne fasse rien pour me prendre à elle. Elle savait que sa collègue était un super coup au lit et que surtout, elle n’avait pas de problème de virginité et d’hymen à garder intact. Ghania continua donc – presque quotidiennement - ses flirts poussés. Des flirts qui lui procuraient chaque fois des orgasmes intenses. Quand elle se sentait rassasié et surtout fourbue jusqu’aux os (elle finissait toujours sur les rotules, après nos ébats) elle appelait Soraya pour qu’elle « me termine ».
Et Soraya, me « terminait » en s’offrant à moi avec passion, pendant que Ghania prenait sa place au secrétariat. Tout ce temps là, je me conduisis avec elle en véritable goujat. Je ne cherchais que mon plaisir et la tirais sans aucune précaution.
En fait, je me vengeais de la frustration que me laissaient mes ébats inachevés avec Ghania en brutalisant Soraya. A aucun moment, elle ne s’en plaignit. Je crois même que ma façon de la tirer – sans aucune trace de douceur ou de tendresse – lui procurait autant de plaisir qu’à moi. Elle s’efforçait de ne pas trop manifester le plaisir qu’elle prenait – par des cris ou des paroles – parce que la présence de Ghania dans le bureau à côté la gênait un peu. Mais les longs gémissements rauques qu’elle n’arrivait pas à réprimer, la salive qui coulait à flot de sa bouche, sa tête qui dodelinait dans tous les sens et sa chatte qui ruisselait a comme une fontaine, disaient combien elle était heureuse d’être la victime consentante de mes furieux coups de reins.
Soraya était vraiment une bonne pâte. Elle acceptait absolument tout ce que j’exigeais d’elle. Les furieuses fellations qui faisaient pénétrer mon manche jusqu’au delà de sa gorge, qui étaient pour elle de véritables séances de torture et qui l’obligeaient à avaler des quantités immenses de sperme (ce qu’elle n’aimait pas). J’adorais aussi l’enculer en force en la faisant sadiquement hurler de douleur (en dehors de moi, personne ne l’avait jamais enculée auparavant ; ni son mari, ni même un amant furtif qu’elle avait eu, quelques mois auparavant). Je crois qu’au cours de cette année que nous avions vécu à trois dans mon bureau, elle avait fini par devenir accro à ma manière brutale de la sodomiser.
J’aimais aussi pilonner sa superbe chatte. Une chatte qui avait un aspect différent de celle de Ghania. Elle avait des grandes lèvres plus fines qui laissaient déborder ses petites lèvres cramoisies, toujours brillantes d’humidité. Mais c’était surtout la toison noire – régulièrement taillée - qu’elle gardait sur son pubis bombé qui donnait à l’ensemble une sensualité torride. Pendant cette période, j’avais baisé Soraya dans toutes les positions et par tous ses trous. Je faisais avec elle tout ce que je rêvais de faire avec la sublime Ghania. Quand nous terminons, j’actionnais l’ouverture automatique de la porte capitonnée de mon bureau pour signifier à mon assistante de venir nous rejoindre. Elle entrait dans le bureau, avec un air un peu triste, comme si elle n’acceptait la chose qu’à contrecœur et qu’elle m’en voulait un peu de prendre autant de plaisir avec une autre femme.
Mais elle ne laissait rien paraître et venait se blottir dans mes bras, en regardant Soraya du coin de l’œil, pendant qu’elle se rhabillait et repartait reprendre son poste dans le bureau d’à côté. A aucun moment, Soraya ne s’est plainte d’être maltraitée et de ne servir que de bouche-trou (c’est le cas de le dire !). A aucun moment je n’avais senti qu’elle m’en voulait d’être traitée comme une amante par défaut. Au contraire, elle m’avait toujours semblé contente de son sort. Elle m’avoua même, quelques mois plus tard, quand Ghania se maria et nous laissa seuls, qu’elle était vraiment heureuse d’être devenue ma maîtresse, même si ce n’était « qu’un remplacement ». Elle me dit que c’était avec moi qu’elle avait appris ce que c’était que le plaisir de s’offrir à un homme et de subir ses assauts, même s’ils étaient brutaux. Elle avait adoré, et adore toujours, la puissance de mon manche et sa capacité à la faire jouir intensément. Elle voudrait tant que nos relations durent le plus longtemps possible.
…/…Pour des raisons liées aux tabous sociaux, Ghania avait décidée de rester vierge jusqu’à sa nuit de noces. Elle devait, m’avait elle répété des dizaines de fois, garder son hymen intact pour celui qui sera son mari. Elle avait des parents très rigoristes qui n’accepteraient jamais le scandale de leur fille arrivant au mariage, déflorée. De par l’éducation qu’elle avait reçue mais aussi par peur du scande, elle avait pris la décision de garder intact son hymen et de ne l’offrir qu’à son mari.
Mais, ajoutait-elle, c’était tout ce qu’il recevra d’elle. Parce qu’une fois mariée – et débarrassée de son hymen – il ne dépendra plus que de moi de devenir le maître absolu de son corps ; et de son âme. Elle m’avait répété des dizaines de fois qu’elle n’aimait que moi et qu’elle ne voulait faire l’amour – le vrai – qu’avec moi. Elle disait que tous les flirts qu’elle avait eus avec moi, l’avaient mise dans un tel état d’attente, qu’il lui fallait tôt ou tard devenir l’esclave de mon bel engin. Il était vrai que chaque fois qu’elle était en présence de ma queue, elle avait les yeux qui brillaient de désir et tout le corps qui tremblait. Je n’ai toujours pas compris d’où elle puisait la force de résister, malgré le désir violent qu’elle avait de s’offrir à moi et de jouir comme une chienne sous les coups de boutoir de mon engin. Parfois, elle me l’avouait avec les mots crus qui sortaient de sa bouche et qu’elle n’arrivait pas à retenir.
- Ach-hal bghit et-dekhel-‘hou-li ! Ach-hal bghit et-nik-ni ! Ach-hal en-heb zebbek ! (Comme j’ai envie que tu me pénètres ! Comme j’ai envie que tu me niques !
Combien j’adore ton zob !)Et puis un matin, au moment même où j’arrivais au bureau, elle vint m’annoncer qu’elle avait trouvé celui qui allait devenir son mari. Elle l’avait rencontré dans la bijouterie qu’il gérait pour le compte de sa famille alors qu’elle accompagnait une amie qui venait de se fiancer et qui prospectait pour choisir les bijoux qu’elle allait se faire offrir pour son mariage. Il la trouva tellement belle et sympathique qu’il s’amouracha immédiatement d’elle. Elle me dit qu’il était encore très jeune – le même âge qu’elle – et qu’il était assez bien de sa personne. C’était le mari « idéal » qu’elle attendait. Elle était sûre qu’elle allait pouvoir le « dresser » et faire de lui un vrai toutou. Elle avait confiance en son immense pouvoir de séduction.
L’essentiel, disait-elle, c’était qu’ils vivraient seuls dans leur propre maison, loin des parents du garçon. Le reste, elle s’en chargeait.
Même si j’attendais cette nouvelle depuis longtemps, je la reçus avec un très fort pincement au cœur. Presque de la même manière que je reçus celle de Fadhela, mon amour de jeunesse, m’annonçant son mariage. Mais comme elle se fit toute coquine, accompagnant ses paroles par des petits baisers très tendres et surtout qu’elle me promettait de s’offrir à moi - sans retenue aucune - juste après son retour de voyage de noces, je me calmai un peu et me mis à attendre impatiemment et le jour du mariage, et le voyage de noces et, surtout, son retour au travail. Il se passa environ trois mois entre le moment où elle m’annonça le nouvelle et celle où elle reprit son travail à mes côtés (Le temps me parut très long, mais en réalité, elle avait réussi un véritable exploit, en faisant aussi vite, pour préparer et réaliser son mariage.)…/…Elle reprit le travail le lendemain même de son retour de voyage de noces. C’était comme si elle était aussi impatiente que moi de me revoir. Je la trouvai assise à son bureau, à côté de Soraya, sa collègue et son amie, qui avait été actrice et complice de nos séances de flirts pré-mariage. Pendant tout le mois où Ghania était absente pour cause de mariage et de voyage de noces, Soraya, avait continué de combler le vide, en s’offrant à moi sans aucune retenue. Je crois même qu’elle avait été vraiment heureuse d’être devenue mon unique maîtresse tout ce temps là. Elle riait énormément et avait les yeux qui pétillaient de plaisir chaque fois qu’elle était avec moi. Je ne savais pas trop comment Ghania allait prendre la chose, mais au fond de moi j’avais pris la décision de garder Soraya comme maîtresse ; et pas seulement comme maîtresse de remplacement. Une co-maîtresse pour ainsi dire. Et quand je lui fis part de ma décision, Ghania, l’accepta sans rechigner. C’était peut-être une manière pour elle de remercier son amie d’avoir accepté ce qu’aucune autre femme n’aurait accepté : être une maîtresse de remplacement.
Pendant un long moment, je contemplais Ghania assise à son bureau. Elle n’avait pas encore remarqué ma présence, tant elle était entrée dans une discussion très animée avec son amie (elle devait lui raconter son voyage de noces ; ou bien elle se faisait faire le compte-rendu des évènements qui s’étaient passés pendant son absence ; ou bien encore, elles parlaient de moi.) Je trouvais Ghania encore plus belle qu’il y a un mois. Elle me paraissait plus épanouie. J’eus un fort pincement au cœur, en me disant que c’était grâce à son mari qu’elle était aussi belle et épanouie. Jalousie quand tu nous tiens ! Et puis, comme si elle avait senti ma présence, elle leva la tête et m’envoya son plus splendide sourire ; celui qui m’indiqua tout le bonheur qu’elle avait de me retrouver. Elle gicla littéralement de son bureau et vint se jeter dans mes bras. C’était comme si un énorme tsunami de bonheur venait de m’ensevelir.
J’avais le cœur qui battait la chamade et les jambes flageolantes. J’avais même eu très peur de ne pas réussir à rester debout, tellement tout mon corps tremblait. Elle ne disait rien et se contentait de se serrer contre moi de plus en plus fort, comme si elle cherchait à faire pénétrer tout son corps dans le mien. Et puis, sans se soucier de la présence de Soraya, elle leva son visage vers moi et m’offrit le plus torride des baisers. Un baiser qui nous emmena elle et moi au bord de l’asphyxie, mais que nous ne voulions pas arrêter, tant il était empli de passion. Ce baiser me fit comprendre que cette femme était vraiment amoureuse de moi. Que ce n’était pas seulement l’appel du sexe qui l’animait.
…/…
(Georges Brassens : A l’ombre des maris)
Cette histoire a eu un prélude, il y a bien longtemps. A cette époque, je ne connaissais aucune des trois femmes qui en sont les héroïnes : Ghania et Wissam, n’étaient pas encore nées, et Farida, ne devait pas avoir plus de dix ans. J’étais sur le point de terminer mes études supérieures et, depuis longtemps déjà, j’étais follement amoureux de Fadhela, la sœur de mon meilleur ami. Il n’y avait, bien entendu, rien d’extraordinaire à cela : sauf que la fille – qui disait elle aussi m’aimer à la folie – était tellement pressée de se marier, qu’elle m’abandonna sans aucune vergogne, pour épouser un quelconque quidam qui était déjà bien installé dans la vie : il avait un travail, était dispensé du service militaire et disposait d’un logement de fonction. Tout ce que je ne pouvais avoir, qu’après au moins trois années, le temps de passer mon service militaire et de trouver un travail. La garce (j’ai aujourd’hui encore beaucoup de ressentiment contre elle) n’était pas disposée à attendre tout ce temps là. Elle disait en avoir marre de vivre avec ses parents, et qu’elle voulait être libre tout de suite. Libre de vivre sa vie. Elle disait aussi que son nouveau fiancé, l’aimait tellement, qu’elle était sûre qu’elle allait le mener par le bout du nez. Et qu’il lui offrirait une vie de princesse.
J’avais beau lui expliquer qu’elle faisait fausse route et que le prince charmant qu’elle croyait avoir attrapé se transformera très vite en « vilain mari » (selon la jolie formule de Claude Nougaro) ; j’avais beau lui crier qu’elle ne pouvait pas jeter aussi facilement à la poubelle les merveilleux moments que nous avions passés ensemble à flirter, nous embrasser, nous caresser et nous promettre un amour éternel ; elle ne m’écouta pas et se maria, le jour même de ses dix-neuf ans. Elle m’invita à assister à sa fête de mariage, en tant que meilleur ami de son frère et, pour garder l’amitié de son frère, qui n’aurait pas compris que je ne sois pas présent, j’y allai après avoir vidé quelques bouteilles de bière. Et je ne fis même pas d’esclandre.
J’étais seulement très malheureux et complètement détruit; et cela se voyait sur mon visage, et parait-il – ce fut la grande sœur de Fadhela qui était au courant de mes sentiments qui me le dit quelques jours après les noces – à cause de larmes involontaires qui coulaient de me mes yeux tout le long de la soirée. La suite importe peu. Ce qui importe pour l’histoire que je vais vous raconter, c’est la série de hasards qui se télescopèrent pour mettre une forte dose de piment dans ma vie sexuelle, bien remplie quantitativement, mais assez décevante sur le plan du bonheur et de mon équilibre psychique. Des hasards, comme seule la vraie vie sait en produire.
Après mes études et l’accomplissement de la période obligatoire de service national, je me suis lancé corps et âme dans le travail. Un travail passionnant qui a rapidement fait de moi un cadre dirigeant d’une grande entreprise publique. Je ne tardais pas à me marier. Avec une amie de mon Ex ! Et, autre hasard, le frère de Fadhela, qui était resté mon meilleur ami, tomba amoureux de ma belle-sœur et l’épousa. Les choses en restèrent là : chaque couple vécut sa vie comme il le put. J’eus deux enfants et mon ami trois. Je divorçai au bout d’une dizaine d’années (ma femme m’avait surpris entrain de la tromper) et entrepris depuis une vie trépidante de célibataire endurci.
Mon ami resta un peu plus longtemps avec sa femme et ses enfants, puis lui aussi finit par divorcer (pour d’autres raisons que les miennes : il avait le tort aux yeux de sa femme et, plus tard, de ses enfants, de trop aimer la dive bouteille).
J’ai oublié de préciser une chose importante : mon ami, ainsi donc que sa sœur, étaient de magnifiques métis : leur père était un vrai blond et leur maman, une superbe femme noire, originaire de la région de Béchar, dans le sud-ouest algérien.
Lui était vraiment beau, grand et fort, avec une peau couleur café. Sa sœur, Fadhela, était plutôt petite, avec une couleur de peau plus métissée (café au lait), des yeux immenses, d’un noir profond et brillant de mille feux. Elle avait une ressemblance profonde avec les indiennes (pas les amérindiennes, celles de l’Inde) et elle en rajoutait une touche, en s’habillant et se coiffant comme elles. C’était vraisemblablement, ce qui m’avait tant attiré vers elle. Et ce fut aussi cette caractéristique qui, bien des années plus tard, m’avait catapulté vers sa nièce, la plus jeune des filles de mon ami, dont la ressemblance avec sa tante, jeune, était tout simplement ahurissante. Wissam était le sosie parfait de Fadhela, quand elle avait son âge.
…/…Voila pour les prémices de mon histoire. Cette dernière ne commença en fait que beaucoup plus tard, quand je devins le Directeur des Ressources Humaine d’une des plus grosses entreprises du pays. J’étais déjà divorcé et vivais une vie de célibataire dévoyé. Je n’avais plus, depuis mon divorce, de vie sentimentale rangée. Je papillonnais de femme en femme, refusant obstinément de m’attacher. Je choisissais comme amante uniquement des femmes mariées, dont je savais qu’elles ne cherchaient qu’à vivre des instants de plaisir, que, la plupart du temps, elles ne trouvaient pas auprès de leurs maris. Avec elles, il n’y avait aucun risque de me retrouver piégé, avec une nouvelle corde au cou. Situation que je refusais catégoriquement, ayant déjà beaucoup donné sur ce plan là.
Et puis un jour Ghania, une superbe plante qui devait avoir un peu plus de vingt ans à l’époque, débarqua dans ma vie. En fait, je venais de la recruter pour un poste d’assistante d’un de mes collègues directeur, sans même l’avoir vue. J’avais fait confiance à une collaboratrice qui s’occupait des recrutements et qui faisait extrêmement bien son travail. Quand elle me présenta Ghania, pour que je signe sa décision de recrutement, j’avais du mal, à me lever de mon fauteuil pour la saluer, tellement j’étais subjugué par sa beauté. Elle était vraiment canon : grande, plantureuse, de magnifiques rondeurs et un air effronté qui titilla immédiatement mon bas-ventre. Elle avait un visage très expressif. Un visage – avec un petit nez bien droit, une bouche gourmande entourée de lèvres pulpeuses, naturellement rouges et une rangée de petites dents blanches, pointues et brillantes qui indiquaient toute son envie de croquer la vie – lumineux avec, comme figé sur ses lèvres un sourire énigmatique, dont on ne savait pas s’il était moqueur ou si c’était une invitation à la suivre dans un monde merveilleux de plaisirs.
Je crois que je suis immédiatement tombé amoureux de cette femme. Dès le début, elle hanta mon esprit. Dès les tous premiers moments, j’avais eu envie d’elle. Je voulais l’avoir à moi. Je voulais lui faire l’amour. Elle n’était pas mariée, mais pour la première fois depuis longtemps, je m’en fichais éperdument. Elle me plaisait vraiment et je la voulais pour moi. Quel qu’en soit le prix ! Sauf bien entendu, la corde au cou ! Ce fut un flop sur toute la ligne. La belle avait entendu parler de moi. Elle connaissait ma réputation de papillon et de manque de sérieux. Et quand l’occasion se présenta d’être seuls ensemble et que je commençai à lui faire du gringue, elle m’apprit qu’il n’était pas question pour elle d’avoir une aventure sans lendemain avec qui que ce soit, y compris donc, avec moi.
Mais cela ne l’empêcha pas, quelques jours plus tard - parce que je continuais sans relâche de lui montrer de plus en plus clairement toute l’envie que j’avais d’elle - de me faire comprendre que moi aussi, je lui plaisais beaucoup. Elle se mit même à flirter avec moi, pour éteindre quelque peu le feu qui la dévorait elle aussi. Des flirts qui m’emmenaient aux sommets de l’excitation, et de la frustration. Malgré que souvent, il s’agissait de flirts très poussés, ils étaient incapables d’éteindre l’énorme incendie qu’ils allumaient en moi. Parfois, elle me faisait une belle fellation, mais en refusant que j’éjacule dans sa bouche ou même sur son visage. Quand elle voyait l’intensité de ma frustration, il lui arrivait de me masturber et de me faire jouir avec sa main droite. Mais petit à petit, tout en continuant de me refuser de la pénétrer (donc de la dépuceler), elle avait fini par m’autoriser l’accès - d’abord uniquement visuel, puis de plus en plus tactile - de sa superbe chatte. Au bout d’un certain temps - qui m’avait paru avoir duré des mois – elle avait fini par m’ordonner de la lui bouffer.
« Koul‘ha !», m’ordonnait-elle en arabe (« bouffe-la !), en s’allongeant sur mon grand bureau et en levant très haut ses jambes pour me permettre de plonger ma tête entre ses cuisses et d’entamer un cunnilingus d’enfer. Elle avait immédiatement adoré le cunnilingus. A chaque fois, elle jouissait bruyamment et, dans ses divagations verbales qui accompagnaient les mouvements de ma bouche et de ma langue sur sa chatte, elle prenait à témoin sa maman :- Yemma, ach-hal mlih ! Ach-hal en-heb ki yel-hass li souwti ! En-heb elsanou fi hatchouni ! Yemma chouffi qehba enta’3 bentek ! Yemma gouli-lou i nik-ni bezzebou !
(Maman, comme c’est bon ! Comme c’est bon quand il lèche ma chatte ! J’adore sa langue dans mon vagin ! Maman regarde ta pute de fille ! Maman dis-lui de me niquer avec son zob !)Bien entendu, je n’aurais pas hésité une seule seconde pour profiter de son émoi provoqué par le plaisir et la dépuceler. Mais cela m’était impossible parce qu’à chaque fois, elle me faisait promettre de ne jamais la dépuceler, même si elle me suppliait de le faire. Je devais donc, à chaque fois prendre sur moi de me retenir. Et à chaque fois, j’en sortais extrêmement frustré. Pendant longtemps - en fait toute la période où j’avais occupé le poste de Directeur des ressources humaines de l’entreprise et qu’elle avait été mon assistante - Ghania ne semblait pas avoir eu des remords, de me mettre dans un état d’excitation. Je me faisais souvent la réflexion que cette fille était un monstre d’égoïsme. Elle prenait beaucoup de plaisir quand je lui appliquai des cunnilingus. Elle le criait. Et souvent, pour me remercier pour les orgasmes successifs qu’elle avait grâce à ma bouche, elle me donnait un très long baiser, au cours duquel elle avalait – en plus de ma salive – les sécrétions vaginales que j’avais encore en bouche. Et elle m’envoyait un superbe sourire qui me disait à quel point, elle avait aimé. Longtemps, « ma récompense » s’était arrêtée à ces baisers.
Et puis, quand, j’avais été nommé Directeur général de l’entreprise et que je l’avais emmené avec moi, nous sommes passés à une nouvelle étape. Cela faisait environ une année que nous nous fréquentions. Nous venions de prendre possession de nos nouveaux bureaux. Un matin, elle pénétra dans le mien et me dit tout de go, qu’elle voulait sentir la force et la douceur de mon zob, sur sa chatte. Je crus qu’elle avait enfin décidée de s’offrir à moi sans retenue. Et bien non ! Elle voulait seulement que je lui caresse la chatte avec ma queue. Mais elle ne la laissa s’approcher de son entrecuisse, qu’après m’avoir fait promettre de ne pas en profiter pour la « casser », (« Balak et-kessarni ! » - « Attention à ne pas me dépuceler ! »). Elle était consciente qu’à ce moment-là, elle dépendait totalement de ma bonne volonté et qu’elle n’avait aucun moyen de se défendre. Et, moi, obéissant à sa volonté, je faisais aller et venir le long de la fente de ses grandes lèvres le gland tuméfié de ma queue, en le faisant de temps en temps pénétrer dans l’entrée de son vagin et en lui titillant son petit clito dur et superbement sensible. Elle gigotait de plaisir, tout en se retenant de faire des mouvements brusques qui auraient pu aboutir à la catastrophe qu’elle redoutait tant. Ces parties de « pinceau » la faisaient jouir intensément, tout en créant en moi une frustration indescriptible.
…/…Et je ne me gênais pas pour le lui dire, pensant que comme cela, j’allais peut-être la culpabiliser et la pousser à s’offrir totalement à moi. C’était peine perdue. Elle tenait à sa virginité. Et elle la garda pendant toute cette période ; elle ne me l’offrit jamais. Comme elle l’avait annoncé elle ne l’offrit qu’à celui qui devin son mari. Je me suis rendu compte, qu’en fait, elle n’était pas aussi égoïste que je le croyais. Elle était consciente de toute ma frustration de ne pas pouvoir prendre avec elle tout le plaisir qui m’était dû et avait longtemps cherché la solution qui nous conviendrait à tous les deux. Cette solution - plutôt bizarre, il faut bien en convenir - elle la trouva au moment où elle vint prendre son poste d’assistante du directeur général, c’est-à-dire moi. Le bureau du secrétariat qu’elle devait occuper, était déjà occupé par Soraya, l’assistante de l’ancien directeur général.
Soraya était une femme, d’une cinquantaine d’années, mère de trois enfants. Elle était assez jolie, et surtout elle avait une superbe croupe de pouliche qui faisait fantasmer tous les mâles qu’elle rencontrait. A cinquante ans, tout en elle était encore très ferme, y compris ses seins qui pointaient tels des obus sous ses éternels tee-shirts en coton blanc. Son visage, aux traits un peu ingrat, débordait de sensualité. Tous les hommes qui la croisaient n’avaient en tête qu’une seule idée, même si elle était furtive et ne s’exprimait presque jamais, c’était de la tirer à la hussarde. Elle avait, il y avait quelques années déjà, été épisodiquement ma maîtresse. En fait elle ne s’était offerte à moi, que parce qu’elle voulait se venger de son mari, dont elle venait d’apprendre l’infidélité.
Et Ghania qui avait eu vent de mon aventure passée avec Soraya, m’avait demandé de la garder à la direction générale, en doublure avec elle. Je crois même qu’elle avait passé un accord avec elle, pour assurer la permanence du secrétariat, pendant que qu’elle batifolait avec moi. Les deux femmes s’appréciaient mutuellement et Ghania avait rapidement compris que sa collègue était toujours partante pour avoir des relations sexuelles avec moi. Elle avait repris avec son mari, qui lui avait juré une fidélité éternelle, après qu’elle l’ait malmené pendant deux mois, mais elle avait affirmé à Ghania qu’elle gardé un souvenir impérissable de nos ébats. Elle lui avoua qu’elle avait pris, pendant les deux mois que dura notre relation, plus de plaisir que durant toute la période de son mariage.
Et ce fut comme cela qu’une relation bizarre s’installa entre nous trois. Ghania, avait convaincu Soraya de me partager avec elle. A condition qu’elle ne fasse rien pour me prendre à elle. Elle savait que sa collègue était un super coup au lit et que surtout, elle n’avait pas de problème de virginité et d’hymen à garder intact. Ghania continua donc – presque quotidiennement - ses flirts poussés. Des flirts qui lui procuraient chaque fois des orgasmes intenses. Quand elle se sentait rassasié et surtout fourbue jusqu’aux os (elle finissait toujours sur les rotules, après nos ébats) elle appelait Soraya pour qu’elle « me termine ».
Et Soraya, me « terminait » en s’offrant à moi avec passion, pendant que Ghania prenait sa place au secrétariat. Tout ce temps là, je me conduisis avec elle en véritable goujat. Je ne cherchais que mon plaisir et la tirais sans aucune précaution.
En fait, je me vengeais de la frustration que me laissaient mes ébats inachevés avec Ghania en brutalisant Soraya. A aucun moment, elle ne s’en plaignit. Je crois même que ma façon de la tirer – sans aucune trace de douceur ou de tendresse – lui procurait autant de plaisir qu’à moi. Elle s’efforçait de ne pas trop manifester le plaisir qu’elle prenait – par des cris ou des paroles – parce que la présence de Ghania dans le bureau à côté la gênait un peu. Mais les longs gémissements rauques qu’elle n’arrivait pas à réprimer, la salive qui coulait à flot de sa bouche, sa tête qui dodelinait dans tous les sens et sa chatte qui ruisselait a comme une fontaine, disaient combien elle était heureuse d’être la victime consentante de mes furieux coups de reins.
Soraya était vraiment une bonne pâte. Elle acceptait absolument tout ce que j’exigeais d’elle. Les furieuses fellations qui faisaient pénétrer mon manche jusqu’au delà de sa gorge, qui étaient pour elle de véritables séances de torture et qui l’obligeaient à avaler des quantités immenses de sperme (ce qu’elle n’aimait pas). J’adorais aussi l’enculer en force en la faisant sadiquement hurler de douleur (en dehors de moi, personne ne l’avait jamais enculée auparavant ; ni son mari, ni même un amant furtif qu’elle avait eu, quelques mois auparavant). Je crois qu’au cours de cette année que nous avions vécu à trois dans mon bureau, elle avait fini par devenir accro à ma manière brutale de la sodomiser.
J’aimais aussi pilonner sa superbe chatte. Une chatte qui avait un aspect différent de celle de Ghania. Elle avait des grandes lèvres plus fines qui laissaient déborder ses petites lèvres cramoisies, toujours brillantes d’humidité. Mais c’était surtout la toison noire – régulièrement taillée - qu’elle gardait sur son pubis bombé qui donnait à l’ensemble une sensualité torride. Pendant cette période, j’avais baisé Soraya dans toutes les positions et par tous ses trous. Je faisais avec elle tout ce que je rêvais de faire avec la sublime Ghania. Quand nous terminons, j’actionnais l’ouverture automatique de la porte capitonnée de mon bureau pour signifier à mon assistante de venir nous rejoindre. Elle entrait dans le bureau, avec un air un peu triste, comme si elle n’acceptait la chose qu’à contrecœur et qu’elle m’en voulait un peu de prendre autant de plaisir avec une autre femme.
Mais elle ne laissait rien paraître et venait se blottir dans mes bras, en regardant Soraya du coin de l’œil, pendant qu’elle se rhabillait et repartait reprendre son poste dans le bureau d’à côté. A aucun moment, Soraya ne s’est plainte d’être maltraitée et de ne servir que de bouche-trou (c’est le cas de le dire !). A aucun moment je n’avais senti qu’elle m’en voulait d’être traitée comme une amante par défaut. Au contraire, elle m’avait toujours semblé contente de son sort. Elle m’avoua même, quelques mois plus tard, quand Ghania se maria et nous laissa seuls, qu’elle était vraiment heureuse d’être devenue ma maîtresse, même si ce n’était « qu’un remplacement ». Elle me dit que c’était avec moi qu’elle avait appris ce que c’était que le plaisir de s’offrir à un homme et de subir ses assauts, même s’ils étaient brutaux. Elle avait adoré, et adore toujours, la puissance de mon manche et sa capacité à la faire jouir intensément. Elle voudrait tant que nos relations durent le plus longtemps possible.
…/…Pour des raisons liées aux tabous sociaux, Ghania avait décidée de rester vierge jusqu’à sa nuit de noces. Elle devait, m’avait elle répété des dizaines de fois, garder son hymen intact pour celui qui sera son mari. Elle avait des parents très rigoristes qui n’accepteraient jamais le scandale de leur fille arrivant au mariage, déflorée. De par l’éducation qu’elle avait reçue mais aussi par peur du scande, elle avait pris la décision de garder intact son hymen et de ne l’offrir qu’à son mari.
Mais, ajoutait-elle, c’était tout ce qu’il recevra d’elle. Parce qu’une fois mariée – et débarrassée de son hymen – il ne dépendra plus que de moi de devenir le maître absolu de son corps ; et de son âme. Elle m’avait répété des dizaines de fois qu’elle n’aimait que moi et qu’elle ne voulait faire l’amour – le vrai – qu’avec moi. Elle disait que tous les flirts qu’elle avait eus avec moi, l’avaient mise dans un tel état d’attente, qu’il lui fallait tôt ou tard devenir l’esclave de mon bel engin. Il était vrai que chaque fois qu’elle était en présence de ma queue, elle avait les yeux qui brillaient de désir et tout le corps qui tremblait. Je n’ai toujours pas compris d’où elle puisait la force de résister, malgré le désir violent qu’elle avait de s’offrir à moi et de jouir comme une chienne sous les coups de boutoir de mon engin. Parfois, elle me l’avouait avec les mots crus qui sortaient de sa bouche et qu’elle n’arrivait pas à retenir.
- Ach-hal bghit et-dekhel-‘hou-li ! Ach-hal bghit et-nik-ni ! Ach-hal en-heb zebbek ! (Comme j’ai envie que tu me pénètres ! Comme j’ai envie que tu me niques !
Combien j’adore ton zob !)Et puis un matin, au moment même où j’arrivais au bureau, elle vint m’annoncer qu’elle avait trouvé celui qui allait devenir son mari. Elle l’avait rencontré dans la bijouterie qu’il gérait pour le compte de sa famille alors qu’elle accompagnait une amie qui venait de se fiancer et qui prospectait pour choisir les bijoux qu’elle allait se faire offrir pour son mariage. Il la trouva tellement belle et sympathique qu’il s’amouracha immédiatement d’elle. Elle me dit qu’il était encore très jeune – le même âge qu’elle – et qu’il était assez bien de sa personne. C’était le mari « idéal » qu’elle attendait. Elle était sûre qu’elle allait pouvoir le « dresser » et faire de lui un vrai toutou. Elle avait confiance en son immense pouvoir de séduction.
L’essentiel, disait-elle, c’était qu’ils vivraient seuls dans leur propre maison, loin des parents du garçon. Le reste, elle s’en chargeait.
Même si j’attendais cette nouvelle depuis longtemps, je la reçus avec un très fort pincement au cœur. Presque de la même manière que je reçus celle de Fadhela, mon amour de jeunesse, m’annonçant son mariage. Mais comme elle se fit toute coquine, accompagnant ses paroles par des petits baisers très tendres et surtout qu’elle me promettait de s’offrir à moi - sans retenue aucune - juste après son retour de voyage de noces, je me calmai un peu et me mis à attendre impatiemment et le jour du mariage, et le voyage de noces et, surtout, son retour au travail. Il se passa environ trois mois entre le moment où elle m’annonça le nouvelle et celle où elle reprit son travail à mes côtés (Le temps me parut très long, mais en réalité, elle avait réussi un véritable exploit, en faisant aussi vite, pour préparer et réaliser son mariage.)…/…Elle reprit le travail le lendemain même de son retour de voyage de noces. C’était comme si elle était aussi impatiente que moi de me revoir. Je la trouvai assise à son bureau, à côté de Soraya, sa collègue et son amie, qui avait été actrice et complice de nos séances de flirts pré-mariage. Pendant tout le mois où Ghania était absente pour cause de mariage et de voyage de noces, Soraya, avait continué de combler le vide, en s’offrant à moi sans aucune retenue. Je crois même qu’elle avait été vraiment heureuse d’être devenue mon unique maîtresse tout ce temps là. Elle riait énormément et avait les yeux qui pétillaient de plaisir chaque fois qu’elle était avec moi. Je ne savais pas trop comment Ghania allait prendre la chose, mais au fond de moi j’avais pris la décision de garder Soraya comme maîtresse ; et pas seulement comme maîtresse de remplacement. Une co-maîtresse pour ainsi dire. Et quand je lui fis part de ma décision, Ghania, l’accepta sans rechigner. C’était peut-être une manière pour elle de remercier son amie d’avoir accepté ce qu’aucune autre femme n’aurait accepté : être une maîtresse de remplacement.
Pendant un long moment, je contemplais Ghania assise à son bureau. Elle n’avait pas encore remarqué ma présence, tant elle était entrée dans une discussion très animée avec son amie (elle devait lui raconter son voyage de noces ; ou bien elle se faisait faire le compte-rendu des évènements qui s’étaient passés pendant son absence ; ou bien encore, elles parlaient de moi.) Je trouvais Ghania encore plus belle qu’il y a un mois. Elle me paraissait plus épanouie. J’eus un fort pincement au cœur, en me disant que c’était grâce à son mari qu’elle était aussi belle et épanouie. Jalousie quand tu nous tiens ! Et puis, comme si elle avait senti ma présence, elle leva la tête et m’envoya son plus splendide sourire ; celui qui m’indiqua tout le bonheur qu’elle avait de me retrouver. Elle gicla littéralement de son bureau et vint se jeter dans mes bras. C’était comme si un énorme tsunami de bonheur venait de m’ensevelir.
J’avais le cœur qui battait la chamade et les jambes flageolantes. J’avais même eu très peur de ne pas réussir à rester debout, tellement tout mon corps tremblait. Elle ne disait rien et se contentait de se serrer contre moi de plus en plus fort, comme si elle cherchait à faire pénétrer tout son corps dans le mien. Et puis, sans se soucier de la présence de Soraya, elle leva son visage vers moi et m’offrit le plus torride des baisers. Un baiser qui nous emmena elle et moi au bord de l’asphyxie, mais que nous ne voulions pas arrêter, tant il était empli de passion. Ce baiser me fit comprendre que cette femme était vraiment amoureuse de moi. Que ce n’était pas seulement l’appel du sexe qui l’animait.
…/…
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