A la caserne
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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A la caserne
Les chambrées des filles sont assez éloignées de celles des soldats. Normal, l'armée n'est pas un endroit où les baises sont bien vues. Pourtant dans une des ses chambrée, il y 3 filles de 18 à 25 ans, parachutistes brevetées qui logent ensemble. A première vue rien ne s'y passe, sauf quand la nuit arrive. Le hasard fait que les trois filles aiment les filles. Pour bien s'aimer elles possèdent toutes le matériel voulu: des godes, des doubles godes soit pour utiliser à deux, soit pour le mettre à la fois devant ou derrière, boules de geisha, des doigtiers pour masturber seulement le clitoris.
Au départ de leur cohabitation, elles ignoraient ce qu'aimaient les autres. La première nuit était relativement sage. Chacune dans son coin se branlait en faisant attention de ne pas faire de bruit, ni soupirs, ni gémissements de jouissance. Ce n'est que plus tard en parlant entre elles, avant de se coucher que les conversations tournant autour du sexe, la plus jeune disait qu'elle aimait bien, de temps en temps baiser une autre fille. Les autres se trouvaient du coup, libres d'opiner et elles organisaient aussitôt le programme de la prochaine nuit. Chacune sortait ses jouets : le tri était vite fait, elles mettaient en commun leurs trésors, particulièrement les deux doubles godes dont celui à utiliser à deux, l'autre se contentant, si on peut dire ainsi de celui qui allait parfaitement pour se le mettre au coin et au cul à la fois.
Pour cette première nuit coquine, elles étaient totalement nues, sauf une qui gardait pour s'exciter une petite chemise de nuit transparente, plus excitante qu'une nudité. Elle était excitée, excitaient également ses futures amantes. Être 3 est agréable au début: on peut s'embrasser sur la bouche à deux, sauf si une des trois décident de jouer un jeu différent plus: elle abandonnait celle qui l'embrassait pour mêler sa langue avec celles des autres. Ainsi finalement les trois langues dehors caressaient les autres. Cette situation particulièrement rare devenait au fil du temps la normalité pour ces folles de sexe lesbien.
Cette nuit se poursuivait par des doubles masturbations suivit inévitablement de cunnilingus prolongés.
Leur seule crainte était que l'adjudant femme les surprennent en pleine baise. Cette gradée ne venait que très rarement: elle était mariée et semblait préférer sa vie de couple.
La nuit suivante elles osaient enfin se servir des godes. La plus jeune se trouvait seule pour jouir, pendant que les deux autres couchées presque fesses à fesses se rentraient le gode dans le con. L'aînée jouant le rôle actif: elle maniait le gode comme une vrai bite en faisant attention de faire jouir sa partenaire la première. Elles changeaient d'endroit pour s'enculer: ce n'était même plus la même qui maniait le gode.
La cadette, sans se cacher, au contraire en montrant son entrejambe aux autres se mettant d'abord le bout le plus épais dans le con, se baisait ainsi pour être très excitée avant de s'enculer avec l'autre partie. C'était la première fois qu'elle se donnait ainsi du plaisir: elle eut un orgasme indescriptible quand elle poussait un léger je jouiiiis.
Chaque nuit, c'était devenu une habitude elles baisaient. Elles devenaient esclaves de leurs jouissances, jusqu'au moment où l'adjudant entrait sans frapper, comme souvent et voyait le spectacle de ses subordonnées emmêlées dans une baise qui les mettaient dans une bulle. Cette brave gradée les enviait au fond d'elle-même : il lui était arrivé dans sa jeunesse de branler une copine et d'être branlée avec bonheur par cette copine. Elle commençait à mouiller et aurait bien voulu elle aussi participer à ces jeux jouissifs. Elle n'en pouvait plus de résister elle se mettait totalement nue exposant ainsi son corps d'une petite quarantaine à des plus jeunes qu'elle. Si elle commençait à grossir un peu, ce n'était visible que pour un œil très exercé. Elle venait se mêler aux lesbiennes pour avoir sa part de caresses et de pénétration par un des godes qui n'était pas utilisé: il servait à se caresser à la fois le point G est le clitoris: l'idéal pour elle. Elle s'asseyait juste à coté des autres écartaient ses jambes, se mettait le gode particulier dans son con mouillé et le manœuvrait sans hésitation pour se branler. Elle y arrivait facilement et ne pouvait retenir ses gémissements au moment de son orgasme. Les trois autres soldats la regardaient avec un étonnement certain. Sans se concerter, elles venaient pour la baiser. Quand trois filles décident de faire jouir un quatrième, elles y arrivent toujours. La gradée toujours excitée malgré sa jouissance se laissait entraîner dans le bal des trois filles: une l'embrassait profondément: elle répondait au baiser en rentrant sa langue dans le bouche de l'autre. Une deuxième venait prendre possession de son intimité en lui passant un doigt depuis le cul jusqu'au clitoris. La dernière prenait possession des fesses et du cul en y rentrant directement trois doigts mouillés. L'adjudant aimait se faire mettre par le cul quand elle baisait avec son mari. Que se soit une fille qui lui mette des doigts dans le cul de la gênait pas plus que ça, au contraire, surtout qu'elle était branlée.
Ce fut une nuit mémorable tant elles se consacraient à une saine débauche. Au petit matin elles devaient se préparer pur la journée de garde qu'elles devaient faire.
La plus part des nuits quand elle était de service, un fois par semaine, l'adjudant passait sa nuit chez ces trois filles folles de jouissance.
Au départ de leur cohabitation, elles ignoraient ce qu'aimaient les autres. La première nuit était relativement sage. Chacune dans son coin se branlait en faisant attention de ne pas faire de bruit, ni soupirs, ni gémissements de jouissance. Ce n'est que plus tard en parlant entre elles, avant de se coucher que les conversations tournant autour du sexe, la plus jeune disait qu'elle aimait bien, de temps en temps baiser une autre fille. Les autres se trouvaient du coup, libres d'opiner et elles organisaient aussitôt le programme de la prochaine nuit. Chacune sortait ses jouets : le tri était vite fait, elles mettaient en commun leurs trésors, particulièrement les deux doubles godes dont celui à utiliser à deux, l'autre se contentant, si on peut dire ainsi de celui qui allait parfaitement pour se le mettre au coin et au cul à la fois.
Pour cette première nuit coquine, elles étaient totalement nues, sauf une qui gardait pour s'exciter une petite chemise de nuit transparente, plus excitante qu'une nudité. Elle était excitée, excitaient également ses futures amantes. Être 3 est agréable au début: on peut s'embrasser sur la bouche à deux, sauf si une des trois décident de jouer un jeu différent plus: elle abandonnait celle qui l'embrassait pour mêler sa langue avec celles des autres. Ainsi finalement les trois langues dehors caressaient les autres. Cette situation particulièrement rare devenait au fil du temps la normalité pour ces folles de sexe lesbien.
Cette nuit se poursuivait par des doubles masturbations suivit inévitablement de cunnilingus prolongés.
Leur seule crainte était que l'adjudant femme les surprennent en pleine baise. Cette gradée ne venait que très rarement: elle était mariée et semblait préférer sa vie de couple.
La nuit suivante elles osaient enfin se servir des godes. La plus jeune se trouvait seule pour jouir, pendant que les deux autres couchées presque fesses à fesses se rentraient le gode dans le con. L'aînée jouant le rôle actif: elle maniait le gode comme une vrai bite en faisant attention de faire jouir sa partenaire la première. Elles changeaient d'endroit pour s'enculer: ce n'était même plus la même qui maniait le gode.
La cadette, sans se cacher, au contraire en montrant son entrejambe aux autres se mettant d'abord le bout le plus épais dans le con, se baisait ainsi pour être très excitée avant de s'enculer avec l'autre partie. C'était la première fois qu'elle se donnait ainsi du plaisir: elle eut un orgasme indescriptible quand elle poussait un léger je jouiiiis.
Chaque nuit, c'était devenu une habitude elles baisaient. Elles devenaient esclaves de leurs jouissances, jusqu'au moment où l'adjudant entrait sans frapper, comme souvent et voyait le spectacle de ses subordonnées emmêlées dans une baise qui les mettaient dans une bulle. Cette brave gradée les enviait au fond d'elle-même : il lui était arrivé dans sa jeunesse de branler une copine et d'être branlée avec bonheur par cette copine. Elle commençait à mouiller et aurait bien voulu elle aussi participer à ces jeux jouissifs. Elle n'en pouvait plus de résister elle se mettait totalement nue exposant ainsi son corps d'une petite quarantaine à des plus jeunes qu'elle. Si elle commençait à grossir un peu, ce n'était visible que pour un œil très exercé. Elle venait se mêler aux lesbiennes pour avoir sa part de caresses et de pénétration par un des godes qui n'était pas utilisé: il servait à se caresser à la fois le point G est le clitoris: l'idéal pour elle. Elle s'asseyait juste à coté des autres écartaient ses jambes, se mettait le gode particulier dans son con mouillé et le manœuvrait sans hésitation pour se branler. Elle y arrivait facilement et ne pouvait retenir ses gémissements au moment de son orgasme. Les trois autres soldats la regardaient avec un étonnement certain. Sans se concerter, elles venaient pour la baiser. Quand trois filles décident de faire jouir un quatrième, elles y arrivent toujours. La gradée toujours excitée malgré sa jouissance se laissait entraîner dans le bal des trois filles: une l'embrassait profondément: elle répondait au baiser en rentrant sa langue dans le bouche de l'autre. Une deuxième venait prendre possession de son intimité en lui passant un doigt depuis le cul jusqu'au clitoris. La dernière prenait possession des fesses et du cul en y rentrant directement trois doigts mouillés. L'adjudant aimait se faire mettre par le cul quand elle baisait avec son mari. Que se soit une fille qui lui mette des doigts dans le cul de la gênait pas plus que ça, au contraire, surtout qu'elle était branlée.
Ce fut une nuit mémorable tant elles se consacraient à une saine débauche. Au petit matin elles devaient se préparer pur la journée de garde qu'elles devaient faire.
La plus part des nuits quand elle était de service, un fois par semaine, l'adjudant passait sa nuit chez ces trois filles folles de jouissance.
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